BULLETIN — DE L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE S’-PETERSBOURG. TOME VINGT-DEUXIEME. (Avec 9 Planches.) Mo. Bot, Garden, 159 Co v Rx ST.-PÉTEPSBOURG, 1877. Commissionnaires de l'Académie Impériale des sciences: A ST.- PÉTERSBOURG: A RIGA: : A LEIPZIG: MM. Eggers € Cit, J, Glasounof EL ; ? 1d Voss. et Jacques Issakof; M. N. Kymmel; M. Léopo Prix du volume: 3 Roub. arg. pour la Russie, 9 marks Allemands pour l'étranger. Imprimé par l'ordre de l'Académie Impériale des sciences. Janvier 1877. - C. Vessélofski, Secrétaire perpétuel, Imprimerie de Académie Impériale des sciences. (Vass.- Ostr., 9° ligne, N: 12.) TABLES DES MATIÈRES. A. TABLE SYSTÉMATIQUE. (Les chiffres indiquent les pages du volume.) \ SCIENCES MATHÉMATIQUES, PHYSIQUES ET BIOLOGIQUES. | C. à Maximowles, Diagnoses plantarum Japoniae et Mandshuriae. e 264 - cas XX (avec une planche). 209—264, e ATHEMATIQUES. N. Geleznow, Recherches sur la quantité et la répartition de l'eau V. Bouniakowsky, Sur quelques propositions nouvelles relatives au dans la tige des plantes ligneuses. 921—358. systéme de Legendre (2). 958—377. ZOOLOGIE ET PHYSIOLOGIE. J, Schmalhausen, Les plantes de l'étage oursien, trouvées dans les ts fleuve Ogour, Sibérie orientale (avec 4 planches). ASTRONOMIE. A. Sawiteh, Observations faites à l'Observatoire astronomique de l'Académie des sciences à St.-Pétersbourg. 198—199. 0. Struve, Sur le satellite supposé du Procyon. 295—303. E. v. Asten, Recherches ultérieures sur la comète Encke. 550—572. PHYSIQUE. M. Avenarius, Sur les causes qui déterminent la température cri- tique (avec une planche). 378—889. 0. Chwolson, Sur un rhéostate à mercure construit par M. Jacobi (avec deux planches). 409—440, R. Lenz, Application de la loi de Kirchhoff sur la distribution du courant électrique aux liquides. 440—450. CHIMIE. J. Setschenow, Sur l'absorption du carbone par l'acide sulphurique „et par ses mélanges avec l'eau. 102—107. N. Mentschoutkin, Sur l'acide tartronamique. 138—145, — — Sur l'éthyl- et le méthylsuccinimide. 145—147. Jdanow, Sur l'acide diéthylméthylacétique, nouvelle variété isomé- rique de l'acide œnanthilique. 170—173. 6. Lawrinowitseh, Sur le pinacone et le pinacoline qui se forment du méthyléthylketon. 488—492, . D. Pawlow, Action des chlorures électronégatifs sur les composés métallorganiques. 497—533. : GEOLOGIE. H. Abieh, Sur l’âge géologique du grés houiller jurassique du Nord aucase et sur le salpétre naturel qui s’y rencontre dans la vallée de Kouban. 148—170. BOTANIQUE. A. Famintzin, La formation des bourgeons des Equisetum (avec une planche). 194—198, 277—291. —— Examen microscopique des restes de nourriture du Rhinoceros antiquitatis seu tichorhinus de la Sibérie. Communication préa- lable. 291—295. F. W. Woldstedt, Sur une collection d’Ichneumonides de Silésie. 402 H, Struve, Phénomènes osmotiques produits dans les cellules végé- tales et animales par l'action de l'éther. II. 533—550. + PHILOLOGIE ET HISTOIRE. A, Nauck, Remarques critiques. VII. 1—109. L. Stephani, Parerga archaeologica. XXIX et XXX. 107 — 122 et 402—409. A. Schiefner, Contes indiens. IV — VI. 123—138. M. Bésobrasof, L'Institut de droit international de 1873 à 1876. 73—193. M. Brosset, Rapport sur Pouvrage manuscrit de M. Bakradzé con- tenant l'exposé des recherches archéologiques faites dans l'Ad- chara et dans le Gouria par ordre de l'Académie en 1873. 264—277. —— Revue de la littérature historique de l'Arménie. 303—812. Bulletin bibliographique, 200—208, 315—820, 492—496, 572—576. ——= — B. TABLE ALPHABÉTIQUE. (Les chiffres indiquent les pages du volume.) — - = Ce géologique du grès houiller jurassique du Nord ucase et sur - salpétre naturel qui s'y rencontre dans la ei er Kouban. v. Asten, E, Recherches dn sur la cométe Encke. 550. radis, M. Sur les causes qui déterminent la température cri- tique (avec une planche). 378. Bésobrasof, Wl. L'Institut de droit international de 1873 à 1876. Böhtlingk, 0. — observations concernant is racines de l'an- avec les r et 1 formant des syllabes. Bouniakowsky, Y. Sur quim propositions nouvelles relatives au — |. 358. sset, M. Rapport sur l'ouvrage manuscrit de M. Bakradzé con- — mech des Deere archéologiques faites dans PAd- a par ordre de l'Académie en 1878. 264. ren de Legendre 303. —— ei ei Lea technique géorgienne, ben et civil Bulletin Bibliogr aphique. 200, 315, 492, 572. Chwolson, O, Sur un rhéostate à mercure construit par M. Jacobi (avec deux planches) 409. Famintzin, A. u formation des bourgeons des Equisetum (avec une planche). Geleznow, N, eris sur la quantité et la répartition de l'eau dans la tige des plantes ligneuses. 321 Jdanow. Sur l'acide diéthylméthylacétique, nouvelle variété isomé- rique de l'acide œnanthilique. 170. Lawrinowitsch, 6. Sur le pinacone et le pinacoline qui se forment du méthyléthylketon. 488. Lenz, R. Ai de la loi de Kirchhoff, sur la distribution urant électrique aux liquides. 44 Masini, C. J. Diagnoses plantarum Fësch et Mandshuriae. XX (avec une planche). 20 ve: N. Sur l'acide tartronarhique. 138. thyl- et le méthylsuccinimide. 145. Nau à, A, ee critiques. VII. 1. Pawlow, D. Ad hs chlorures électronégatifs sur les composés métallorganiq ¡E Sawiteh, A. Observations faites à l'Observatoire astronomique de PAcadémi e des sciences à St.-Pétersbourg. 198. Sehmalhausen, J. Les plantes de l'étage oursien, trouvées dans les galets du fleuve Ogour, Sibérie orientale (avec 4 planches). T5 xamen microscopique des restes de nourriture du Rhinoceros demie seu tichorhinus de la Sibérie. Communication préa- Schiefner, A. Contes indiens. IV — VI. 123. — J. Sur l’absorption du carbone par l'acide sulphurique > alados avec l'eau. 102. Steph s zi ion archaeologica. XXIX et XXX. 107, 402. Struve, 0. Sur le satellite supposé du Procyon. 2 Struve, H. En osmotiques is dans les cellules végé- 8 imales par l'action de l'éther. II. 538 Woldstedt, d W.S ur une collection PIchienmohides de Silésie. 390. T. XXI, N° 1: ` t | ` : beu. ure — . BULLETIN DE L'ACADEMIE IMPÉRIALE DES-SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG. 4 | | TOME XXII. (Feuilles 1--13.) CONTENT. ; Page A, Nau, Kesatuan orioa WO e EE 1—102 J. Setschenow, Sur l'absorption du carbone par l'acide MA ERIC, et par ses "mélanges ; Ae EE ON E E AES 102—107 i. L. Stephani, Parerga archaeologica. CU CERE. A E 107—122 3 2 Sehiefner, Contes indiens. I Iv — Vi. NE C ou v vs A eee 123—138 P © N: Menschutkin, Sur l'acide tartronamique.. 2.22. ee eee 138—145 E ~ Sur Péthyl- et le méthylsuceinimide. ....:.......... Meo Ma RE cii E 145—147 : H ën Sur Page géologique du grés houillier jurassique du. Nord du Caucase et sur is “ le salpétr e naturel qui ST rencontre dans la vallée de Kouban................ 148—170 Jdanow, Sur l'acide diéthyl - Bee, A nouvelle variété Komiaa de, Hinde l We EE E EE EE A 170—173 E WI. Besobrasof, L'Institut de drojiternational B 138.1576... E a L,ss 173—193 S A. Famintzin, La formation des bourgeons des Équisetum (avec une planche)......... 194—198 2 ? A. Sawiteh, Observations"faites à die aire a de l'Académie des sciences. . 5 LPS ure MEE Lou. ccs ve M 198--199 E E EE e EE 200— 208 ; *on s’abonne: chex MM. ge & Cie, J. Issakof et J. Glasounof, libraires à St.-Pétersbourg; au Comité Ad KR ministratif de l'Académie (Komurers IIpamaemis Muneparopcroúl Axaxenia Hdyk»); N. Kymmel, libraire à Riga, i et chez M.Léopold Voss, libraire à Leipzig: kom 9 gris d'abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 3 rbl.arg pour la push o 8 thalers de Prusse pour l'étranger. -~ < Imprimé par ordre » l'Académie Impériale des sciences. C. Vessélofski, Secrétaire perpétuel. Imprimerie de l'Académie Haze des sciences. (Vass.-Ostr. „9° ligne, 12.) Juillet 1876. t BULLETIN DE L'ACADÉMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG. + Kritische Bemerkungen. Von A. Nauck. (Lu le 25 no- vembre 1875.) VII. Im Bulletin XVII p. 216—219 oder Mélanges Gréco-Rom. III p. 259—263 glaube ich erwiesen zu haben dass das bei Homer als Epitheton der Sub- stantiva veixos, mokemos, vous und Savaros ziemlich häufig auftretende ópoítos, mit dessen Erklärung man in alter Zeit wie in unseren Tagen sich vergeblich abgemüht hat, nichts anderes ist als ein thürichter Schreibfehler statt des allein möglichen &ottoc. Auch der Verfasser des Hymnus in Vener. 244: viv òè oi uiv taya ynpas öpoltov gea cdder. hat das Greisen- alter ohne Zweifel cAoáov genannt. Dagegen steht nichts der Annahme entgegen dass spätere Dichter, getáuscht durch einen alten Fehler, dem Adiectivum ópotog eine seiner Natur nach ihm durchaus fremde Bedeutung «elend, traurig» irrthümlicher Weise bei- gelegt haben. Vgl. Quintus Smyrn. 13, 197: Arc- pevóç Tote yioas "eben eigapuxéa Sau. Gregorius Naz. Anth. Pal. 8, 50: où vécos oùdé cc yrpas óp.oov, où oé Y OV, xairep ynpahény, piteo eni; daj.a.cev. Non- aus Metaphr. 11,49: Aafapov suvaos ROTILOS ebe, agro dido Urvov &yov. Inschrift aus Palästina C. I. 4578c vol. 3 p. 253: órrrror àv» alca ferm óporiov Savareıo, wo Buckinghams Lesung OHOIIOY nichts anderes zu enthalten scheint als das von Franz ge- setzte önorev. Für die Form Gees finde ich bei Gre- gorius Naz. drei Belege. Vol. 2 p. 82 B: oe orparcv ero xaptepóy, O oAotıov EpBadev¿ySos. p. 86 C: 5 po ypas Eyeuev doten, p. 132 C: eldos Er sldos ayouoav Zeien, An diese Nachweisungen knüpfe ich noch eine bemerkung über Nonnus Dion. 13, 416: app! de ven Daadov side Bons avriSpoos ALO Ywtns apa pépovre xapıkonewn Átowo0, xal OTRA] Tope Sapooç Öpottov. Statt des letzten Wortes hat Köchly nach eigener Vermuthung &Aorov gesetzt. Ist hier eine Aenderung Tome XXII. | Homerischen Poesie bereits bekannt würe. überhaupt berechtigt, so wird &Aotev unbedingt vor- zuziehen sein, nicht sowohl weil dies der Ueberliefe- rung näher liegt, als weil Sous überhaupt nicht hin- reichend verbürgt ist. Die Formen eyxo3: und geg unterscheiden sich wie etwa ó3: und c9, d. h. ayysSı ist die ältere und * ausschliesslich poetische Form, jünger ist das ver- kürzte, auch von einigen Prosaikern gebrauchte ayye. In den Homerischen Gedichten finden sich beide F For- men überliefert. a) € 412: orn%os BeßAyxemw Arie av- TUYOS, Grën detors. 1p 762: renviov ¿Eshxouca Wa ee ov, dën à loyer. v 103 (347): gë à atis avtov érnparoy Zesceäde, b) B 172(09): genä iota- Rëm Toocéon YAauxorız ASnvn. B790(T 129. A 199. Q 87): gen A totapéwn mpocépn modas dxéa “Ip. A 92 (E123. 2169. X215. 228): ayyoù è icrapévn Greg nrepoevta zëpegoëe, A203 (N 462. € 356.11 537. 825.0 552.7 100): eme 9' texagevoc Iren nrepcevra rpoonuda. N 768: gen A iotapevos roccéon alo- xgolo: Ereoow. 0173: eu à totapéva rpoodon xv- Toy sivocÓqatov. P 684: dei 9 iocagevog moccéQm OS Mevéhaos. Q 709: geg de EvpBhnvto zou verpev ayoytt. € 159: get à icrauévn Tpocepoves da Segov. € 5: égen KuxAonov apor ME 0 349: dyycü 9' iorapevos Iren mtepóevc a.yopzuen. 9526 (7271): ayyod, Oerrpoto» dyBpO» èvè niov mue. Nach der Ueberlieferung hätten wir somit, wie es die - Herausgeber thun, an 4 Stellen dyyóst, an 27 Stellen ayxoú zu schreiben. Gegen aYyo9 spricht jedoch ein sehr triftiger Grund, dass es námlich bei Homer nicht eine einzige Stelle gibt, welche die zweisilbige Form mit Nothwendigkeit fordert, wie es ohne Zweifel der Fall sein würde, wenn die jüngere Form ayyoö der Dieser ` Grund scheint mir durch kein Raisonnement beseitigt oder erschüttert werden zu kónnen: dass unter 31 Be- legen dieses Adverbium nicht ein einziger die zwei- -~ silbige Form erweist, kann unmöglich dem Zufall bei- gemessen werden. Wenn wir also gegenüber der hóchst unzuverlássigen Ueberlieferung unserer Homerischen i 1 3 Bulletin de PAcadémie Impériale 4 Gedichte nicht blindlings auf jedes eigene Urtheil ver- zichten, wenn wir dem Dichter selbst mehr glauben als den auf uns gekommenen Handschriften, so wer- den wir bei Homer durchgüngig die dreisilbige Form dyyóst herzustellen haben, falls nicht jemand mit Payne Knight avyoro (d. h. ayyóo) zu schreiben sich für berechtigt erachtet; was selbstverständlich in glei- cher Weise für ayyoð wie für ayysSı überall eintreten kann. Dass ein alterthümliches gë dem gangba- ren ge? mehrentheils bei Homer gewichen ist, hat nichts befremdliches!): selbst die Einstimmigkzit un- serer Handschriften, die meines Wissens nirgends ein Schwanken zeigen zwischen ayyoS und geg, wird niemand überraschen, dem es bekannt ist inwieweit unsere Homerischen Handschriften selbst in gering- fügigen Fehlern zu harmoniren pflegen. = Unter den so genannten Homerischen Hymnen fin- det sich (als Nr. VIII) eine Anrufung des Ares, die vielleicht mit Ruhnken und G. Hermann zu den Or- phischen Poesien zu rechnen ist, sicherlich einer ziem- lich spáten Zeit ihren Ursprung dankt. Der sechste Vers dieses Hymnus lautet: Tiooé£ms GXNTTOLE, Tupanyéa xo pos éAiocav. Unhomerisch ist hier wie die ganze Redeweise so auch die Stellung des Wortes oxmrrodyos, dessen mittlere Silbe den Versaccent hat, wie gewóhnlich in der epi- schen und elegischen Poesie der spáteren Zeit. Vgl. Moschus 2, 161: ol oxnrrouger avaxtes émtysovtototy £oovraı. Meleager Anth. Pal. 7, 428, 5: % da vs v- xaevra paya oxartovyoy avaxta. Orph. Hymn. 15, 6 (18, 3): Zen Kooves, cxnnrouys. 52, 7: onge, ox- mt6üye, xoporuavés. 55, 11: mupgrëig, ouvdaute, TEO» cx*r1o0ys, Avxawa. Nonnus Dion. 26, 105: A wv axnrrouxos £yov, Tryphiod. 267: Aapdavidn cxn- 1) Für weit ER halte ich es, wenn der Genit. Sing. der zweiten Declinatio zech) veründert worden ist, as in der That zuweilen repudian sein dürfte. Vgl. 2295: Toy xaTa TAtóg: xAurd zeigen hady lom, :oxad y amo rasgado. Coy5v Ahrens Rhein. Mus. N. F. II p. 168 f. mit hoher ae keit die Genitive ’IAloo, macadhoo, rovroo, rrUoo, yalxso empfohlen. Auf einer ganz ähnlichen Verderbniss — zu beruhen, was bei He- siod Op. 369 jetzt steht: pint de nidou xoi xéyorros xopécacia:, 0$. geí8coSat* dern 0. Evi ru uév: pedo, Statt es WC der Genitiv angemessener; ich móchte daher mécooo gcíóco3a: lesen. rrodys… Dagegen lesen wir bei Homer A 279 (8231. e 9): ORmmToÖyes Pages. B 86 (3 41): oxmmreoöyoı Bardies. E & 93: Gees rein ai où reoigrg hal. 864: axi coUo», net où xe xaxol totouade TExotev. $47: emeng xmpué de peroyero doy geräcu, Diese Verschiedenheit lehrt dass bei er die júngere contrahirte Form unberechtigt ist, dass ihm vielmehr wie atyioyos qavnoyos Amfoxoc Yvloyos, SO OXNTTOOLOS zukommt. In gleicher Weise dürfte Y 457 statt An- woöyev vielmehr Ampóoxov nothwendig sein. Durchaus willkürlich ist es, wenn bei Homer ge- schrieben wird oder geschrieben wurde X 97: rupyo ent Wiel de Y 325: xal Toy mgeuyovca crever. P4535: iie ppasaaro 8 innov dotem. TQOUOVT. y 8: xal TROULOVTO Éxaotod Evven Tanpoug. 6138: Een nióvas OS x 90: èv ga det mood youcty. r 544: dl mpouyovtt peAaSpo. 082: garg Ent toov- yovon, xt miarei Edmoróvro. Keine dieser Stellen erweist die Contraction peu statt mocéye: es sind also die offenen Formen in ihr Recht einzusetzen, Tpoéyovte Tpoéyovta Tpoéyovto TEoeyovoaç U.S. W., nicht weil x 90 in einigen Handschriften mọoéyovow sich findet, sondern weil das unwandelbar feste Gesetz, das der Dichter beobachtet hat, höher zu stellen ist als die Schulweisheit thörichter Grammatiker oder die Willkür gedankenloser Schreiber. Selbst Contractio- nen wie roeuSnxev sind in der Homerischen Poesie mehr als bedenklich.. Vgl. O 367: eure uv eis Aído ruhaptao roourepbev. N 136 (0 306. P 262): Tewes òè neoutubay does. Q 409: cag Oy rpouSnxey Ayi- Meis. 1143: euäi mp&npatver (déoSal. 1145: eupavoSev rooupame. p 394: Deol cepa. mgougatyov. v169: xai . ` 87, ei ie ráca. p54: TOY por dro roourephe. o 117: frroo mpoöreudbe xal puc: xohAnroïou. Das Metrum gestattet und der constante Gebrauch fordert tpoérepubey rocétubay rocéSnxev u. s. w. Die einzige Stelle; wo zgeuzepdhe durch das Metrum ge- fordert wird, o 360: ya, òè Tmdépoyo xoà Bouxokoy nds cuo roovrepŸ, de Av deinvov deerMogaer TayıoTa, ist entweder durch den jüngeren Ursprung der be- treffenden Partie zu entschuldigen oder, was ich für ` wahrscheinlicher halte, fehlerhaft überliefert. Selbst rpouxerto bei Hesiod Scut. 312 ist zu verwerfen, wie im Hymnus Cerer. die Schreibungen Sxpov Te QoU- yovarv (A8 xpndepva X qoc (V. 151) und éri mpovyovtt . Versschluss ausser £91. VM QUA DERT een Ge 5 . des Sciences de Saint- Pétersbourg. | 6 "me (272. 298). — Beiläufig erwühne ich noch Choerob. in Theod. p. 244, 18: tò yde O xal E eig Rb OY pSoyyov wipvarraı H x1pyaal), olov To pov TOULOV, t QOEG tt TPOÍOTL, TooéBn rooußm. Diese Stelle hat Lentz in seinen Herodian aufgenommen vol. 2 p. 339, 12 und abermals p. 623, 15. Das überlie- ferte zouen ist p. 339 stillschweigend in E verändert worden; dagegen wird p. 623 TPOVOT: ge- duldet, aber in den Corrigenda et addenda p. 1260 meoart als rectius bezeichnet. Statt "ës TpodoT: war vielmehr“ zu schreiben rpoeorn rpoöorn (vgl. Soph. Ai. 1133: % oo yde Alas TOMÉpLLOS TEPOVOTN Tore). Wer diese auf flacher Hand liegende Emendation — - nicht sofort selbst machte, konnte sie entnehmen aus Choerob. in Theod. p. 395, 26: vo yap O xai E oydé- TOTE sis mv EY KpSoyyov Soa (l. xıpvarar), LAN eis ny OY, olov tò épóv rouuév, TOOEETN TECUGTN, rooeßn EIER eine Stelle welche ebenfalls im Hero- dian von Lenz zu lesen ist und zwar, wie sich erwar- ten liess, wiederum doppelt, vol. 2 p. 336, 11 und DIT DA Die Homerische Stelle o 88: BovAonaı Aën veta Sat de ipéreg': ei yap črev eme, kann ich nicht für richtig halten um der contrahirten Form veicSæ willen. In der nachhomerischen Poesie Wird eine derartige Contraction niemand befremden, wie wir z. B. lesen bei Pind. Pyth. 4, 247: paxpa mot wetoSot xax apalrro. Nem. 2, 12: pn TmAösev 'Q- plova veioSat. Soph. Ant. 33: xal Sedpo Velo Sa aura, Toit un eldoorv cap reoxmpuéovta. Eur. Alc. 737: où yap TOŠE y” eig tato otéyos veloS" al à arenei Xe ps. Epigr. im Corpus Inscr. Att. vol. 1 p. 207: TAUT droðupapevo vsiohe ¿mi Tomy dyaSév. Arat. 407: do Eorepinv ¿ha veras. Callim. Hymn. 3, 148: el «t pépouca velar niov ¿deopa. 6, 7: tava veltat; 6, 82: veirat tor Totoras. Apoll. Rhod. 3, 373: veto? avtos dóhoto: rahicouror. 3, 431: % pe xal evade wosa Erzeypasv. Bei Homer dagegen finden wir fast durchgängig vísoSe wie veéoSo und veéoSov. Ameis bemerkt über das vereinzelte vedar im Anhang zu 088: «vetoSat findet sich nur hier contrahiert, was durch die Stellung im Verse motiviert ist, in den übrigen 55 Stellen steht véo%a und zwar stets im 5221. #51.» Also durch den Zwang des Metrum d. h. durch die Messung des Wortes dën soll der Dichter bewogen worden sein eine sonst durchgüngig gemiedene Contraction sich zu gestatten? Das mag glauben wer es vermag. Ich denke, der Dichter schrieb oder vielmehr sang QouAo- par amovésoSo4. Gerade der Umstand, dass Homer lieber arovesoSa: mit irrationaler Debünus des kur- zen Alpha als arovsioSa: sich gestattet hat, ist der sicherste Beweis für die Unrichtigkeit des überliefer- ten» Boulou ën veioSæ. Die an 13 Homerischen Stellen unversehrt erhaltene Form dxovésoSar scheint auch anderwärts in Folge unwillkürlicher Fehler oder durch willkürliche Correcturen verdrängt zu sein. Da- hin rechne ich A 19: Exrégou Hotópuoto nor, du 8 ol- xa ixéoSou. (530: dos bi Oäuoerg Dees ol- xai Ieëeza, 066: Sn ydp por "ue eerderau olco ixéo Sou, d 211: rou à aAdov où zen &xouca Senden épè aes UTOTOTO» olxad ixícSat, 135: d See, où WET répaoxsS Umorpomov olxad” Leder Anen aro Teóov. An diesen fünf Stellen würde der Versschluss. amovéeoSa: dem Sinn wie dem Metrum genügen, und vielleicht ist dafür oixad’ ixécSa: gesetzt worden von einem Corrector welcher die Verlüngerung der ersten Silbe in «ro beanstandete?). Dass 435 der Inf. Aor. 2) Vielleicht wird man einwenden, es widerstreite aller Wahr- scheinlichkeit, dass alte Correctoren oder Copisten die Form &xc- vécodar bei Ho omer an ceti Stellen geduldet, an fünf Stellen da- gegen durch otxaó n Erfahrungen unmógliche x welche an drei Stellen din MI nn (7 283. y 316. w 343) es ist, habe ich geändert in £x "Aere mit der Bemerkung dass ver- muthlich nv substituirt worden sei zur Vermeidun ng.eines durchaus Geen Hiatus, der bei Zoe ut an der gleichen Vers- telle von mir nachgewiesen wurde. Die zur Begründung meiner Ansicht gren gemachte APER benutzt W. Harte Wind wenn sie ES und Zn» kannten, so EEN sie eben auch Any für erechtigt erac hten, wie es denn n Belegen dieser fehlerhaften Form nicht gänzlich fehlt. Ob freilich C. I. 6280 B 39 vol. 3 p. 919 die von Franz gebilligte Schreibung xat Tavuundein xoi Aapdavıov yévos nny zu dulden ist, lässt sich entscheiden nur durch eine neue Vergleichung des Originals: sicherlich jedoch steht wës par, exra- + Yhus, Enern poda por pídos nnv viermal hinter einander KE : Pariser Papyrus (vgl. meine Vorrede zur Odyssee I p. , währen dem Verfasser dieses Verses nur Fey zugetraut werden darf. n aber kann es nicht überraschen dass Correctoren und Abschreiber geduldet hatten, ab und zu beanstandeten: wir selbst gaps gen nur zu oft dem chen Spe wie Lobeck im Phryn. 1 7 Bulletin de l'Académie Impériale E ec ixécSa: dem Sinne nach schlechterdings unmóglich ist, erkannte Madvig Adv. crit. I p. 170, dem ich je- doch nicht beistimmen kann, wenn er die in den Scho- * lien überlieferte Variante olxade veioSa: einfach bil- ligt. Allerdings ist vetoSaz durchaus sinngemäss, aber die Form erscheint als unstatthaft, und so meine ich dass die Variante olxads veicSa: zwar eine Spur der richtigen Lesart enthält, nicht aber das Original wie- dergibt. — Wenn die Form veioSo« der Homerischen Poesie fremd ist, so werden wir auch die Contractionen veia. und veía: beanstanden, und gewiss ist es nicht zufällig dass an den in Betracht kommenden Stellen der Odyssee die offenen Formen vésta: und vésa dem Metrum sich fügen. Vgl. à 633: onrors Tnaéayoc weit de Tlúhov muaSoevtros. À 114 (p 141): ok xaxos velar, done dro mavtas écaíoouc. p 188: oi 6 ye repbapevos vetar xat Thelova cidos. E 152: de vetar OSvosus. — Noch befremdlicher als vetoda: und veta: ist veópo: E 136: dozen yap veupa ER TEMO avovre. Entsprechend dem Homerischen Sprachgebrauch, d. h. den Formen véopas veovrar veopny véovco veojesa. véov- Ta: tee amovdovrar amoveovro, werden wir zu lesen haben no0%ev véopa: yde. In der späteren Poesie ist dagegen vedpa: durch mindestens einen Beleg und ^. ^ durch zahlreiche Analogien sicher gestellt. Vgl. Epigr. Hom. 15, 11: vedyaf cot, vedpar émadotos. Theocr. 18, 56: veupeSa xapqec de Sg3go. Apoll. Rhod. 2, 1153: veupsS de Opyopevoy xredvov ASapavtoç ente. Anti- pater Anth. Pal. 9, 96: efrev, ST qj» dën veumevos eis Av Marcellus de piscibus 76: xeivo Aros tonto dravenpevoy 4Smcnoos. Orphica (fr. 19, 11 Herm. oder Lobeck Aglaoph. p. 497) bei Proclus in Plat. Tim. p. 38 A: dj pécos Zë REMO TpÉTETAL motveúpevos. Oppian. Cyneg. 3, 101: al 8 ap ¿mer on(oo ra vev- svat. Nonnus Dion. 14,89: Zooous p.etavedpLevos cuy». -29, 7: io» géet) weraveupevos. 33, 286: mot Te- Rtapémy peraveupevos. 36, 161: &were, xal Tpopa- Xoue petaveupevos. Nonnus Metaphr. 1,115: Sec rep at SepíQy pets ¿dpaxe xoXxov. 6,66 (6, 102): bezeugt, wenn er sagt: «quotusquisque nostrum mon aliquando ad ea obstupescit , quae plus centies legit». Sollte endlich die Aenderung Emiero statt nv gewaltsam scheinen, so erinnere ich an Verwech- ungen wie Eoxev und Zriero Od. $ 284, Tt» und Zosen Od. E 222, méie und nv Od. 7 192, ¡Emdey und dv Il. M 11 und Tzetz. Posth. 477. Ist übrigens meine Vermuthung éxhero statt Tiny an den drei oben eitirten Stellen der Odysses berechtigt, so wird für Il. A 808, wo Tny vor einem Consonanten überliefert ist, die gleiche Substi- tution weder unmóglich noch unwahrscheinlich : zu nennen sein. actu Kagasvaobp. weraveupevar. 12, 49: haos TouSaíov peravsúp.evos. 13,25: AolaStov.Ex TPOTOU pecaveupe- vos. 15, 41: roxoëns dyarns aroveúpevos. Freilich lassen sich die Formen vevpeSa und veopevog in den vorgeführten Stellen eher entschuldigen als veópas, sofern veópe5a und veópevos dem daktylischen Maasse widerstreben, während véop.a: in der epischen und ele- gischen Poesie ohne Schwierigkeit gebraucht werden komnte. Nur selten fordert der Homerische Vers den ein- ; silbigen Nominativ raiz (vgl. Bulletin VI p. 22 oder Mélanges Gréco-Rom. II p. 418), während die offene Form zas fast durchgängig entweder nothwendig oder doch zulässig ist und um der Häufigkeit der Fälle willen auch da als vollkommen berechtigt erscheint, wo das Metrum die jüngere Form reg zulässt. Der dem Nom. ras entsprechende Accus. ov ist i in der spáteren Poesie nicht eben selten. Vgl. Apoll. Rhod. 4, 697: Ge T Almtao raw xvayev. Oppian. Cyneg. 3, 218: ¿oy naw Aorßeßocev. Anth. Pal. 3, 8: ¿ova pèv ets ’ISaxnv ouy ünedeko naw, 9, 125, 9: Toly Tay aSoricoct Ashoup.évov Údat: GegvO. 9, 125, 6: autos En aont Sixev éov nov, 008 geriet, Greg. Naz. vol. 2 p. 43 A: coùte ray Svmtoioty opota yervapévoro. p. 105 A: doaypmv TE Tpófatóv TE TAY T ATO TAYT ChÉGAVTE. p. 120 A: aytíx apDpnonayv duu raw, (ca. TÉXECO! tiovres. p. 121 C: púpato oùxéte Spa, Tay Ò og xspo! dapevra. p. 122 C: alba ratno dée xaxov Taty, adyén yelpas théatre. p. 162 B: où yàp anró- root raros éyvos raw. Greg. Naz. Anth. Pal. 8, 51: doxe Sch Sucín» Aßpaap. naw. Georgius gramm. bei Matranga Anecd. p. 575: teteheapévas ò de Opus Taw ayxaraıcı oépBots. Eben diese Form finden wir in einer _ ziemlich jungen prosaischen Inschrift aus Lesbus, C. I. | 2186 vol. 2 p. 195: tò» ayovoSétav xai ravayuotapyav, rar Ediévo 76 apyeiodos, aro yovoy Eu&évo, Vielleicht ist es nur zufällig dass unsere Ueberlieferung der älte- sten Dichter diesen Accus. nicht kennt. Ich halte:es für wahrscheinlich dass er der üblichen Form traida. gewichen ist an folgenden Stellen. M 309: adtixæ 35 Pisis noccéon nad ‘Irroïoyoo. M 387: Teuxpos St TAauxov xpatepov mais ImmoAóyo. © 289: ao Estvov Suornvov, Euov raid, el mot ¿nv ye. Hesiod. Op. 378: ympatos de Savos Erepov raid ¿yxatadeímos. Desgleichen Z 432: un raid cepamxoy Seins xnon TE yovaixa. Y 56: xat raid dy neyapcıoı' xaxóg 9. ol ré Ri ëëeten, Eben so wäre nat zulässig an zwei Stellen, 9 des Sciences de Saint - Pétersbourg. wo jetzt viov den vierten Fuss schliesst, E 612: xoi Barcy Approv Zshdyou vióv, Ze 8 ¿yl Hatow vais rohu- xrnmov, und P 590: éoSov Evi rponayoroı Ion, vièv Heríwvos ?). Selbst an Stellen wie A 327: cup” viov Ie- tedo MeveoIna IDejeer cov, A 499: GX viby HMotóp.oto vosov Bade Anpoxóovta, I 651: ret y viðv II rang dalpgovos, “Exropa doy, A 197 (0239): eve viðv Iota- poro daippovos, “Extopa 8icv, würde ich za vorziehen (supe ma, dé rov u. dgl.), und Y 391 könnte 1 òè per ‘Adprrou viðv aus y 5i per Adumror ray ge- macht sein. Das Nomen viós*) wird bei Homer in den Casus obliqui überwiegend nach der dritten Declination flectirt; den Formen vio und vícóg wie vict begegnen wir in der Ilias und Odyssee nirgends, den Formen uie) und vicio: je einmal. Für den Accus. Sing. vióy lassen sich aus den beiden Epen zusammen mehr als 160 Belege anführen; die bei weitem meisten Stellen bieten jedoch keine völlige Garantie für die Richtig- keit der jetzigen Schreibung, sofern am Schluss des Verses und in der Hauptcüsur vta, an anderen Stellen viéa dafür eintreten kann. Dies detaillirt zu erórtern überlasse ich anderen: nur auf einige Fille móchte ich hinweisen, wo die Ueberlieferung uns zwingt” die Form vióv zu beanstanden. Bei Athenaeus XIV p. 632 E wird als Beleg eines oríxos huyapós als Home- risch folgender Hexameter angeführt: aipa 3' ag Aaen vièv ocv A yícuo. — Dieser Vers findet sich nicht in unserem Homer, und er ist kein oriyog dayagós. Gemeint aber war, wie ich glaube, Q 333: aide 8° de "Eppeíny viev oiov dcc» ` ma, und um einen artyos hayapós zu gewinnen, wer- den wir zu schreiben haben Ov vièy statt viv oiov. Diese bereits von Meineke Philolog. exercit. in Ath. II p. 35 oder Anal. crit. p. 304 vorgenommere, von ihm selbst als nicht hinlänglich wahrscheinlich be- zeichnete Aenderung wird gegen jeden Zweifel ge- 3) Was hier über E 612 und P 590 gesagt ist, gilt in gleicher Weise für N 185, wo nicht vid y, sondern vía mit elidirtem Endvocal am Schlusse des vierten Fusses steht: Kredrov uf Axrooiwvoc, Auch hi Krearov zé für besser und eben darum für wahr- scheinlicher als die überlieferte Lesart. 4) Einen Nominativ nach der dritten Declination vive (auch wie geschrieben) oder vvs hat kürzlich R. Neubauer im Berliner Hermes p. 158 ff. aus Inschriften nachgewiesen. Den Nominativ ves soll Simonides gebraucht. haben, vgl. Etym. Flor. bei Miller Mélanges de litt. Gr. p. 291: vios’ ¿ori Dre Utoc, Oç Gps Oqtos* eloncat y cveta mago Zuon. sichert durch zwei andere Homerische Verse. Od. e 28 schreibt man gewöhnlich 7 7 ba, xal “Eopetay vioy plov avcícy niða, während die meisten und besten Handschriften píhov viðv bieten, und A 103 (oder y 343) steht zwar in un- seren Handschriften | Xoopevos Ze oi uiv píhoy é&aAaocas, aber Maximus Tyr. XXX VIII, 7 citirt Ze oi piov utóv ééahawoev. Hiernach erscheint das gangbare uióv píhov Q 333. e 28. à 103 (v 343) als eine metrische Cor- ' rectur, der ein gelinderes Heilmittel vorzuziehen sein dürfte, nämlich Q 333: aj à de "Erpetav oiov vida avriov nöd. € 28: d Ba, xal Epuetay piov viéa avtiov nda. À 103 (v 343): xoopevos Zo ol piov vica. Zëe- A&ocac. Dass der Hiatus am Schluss des vierten Dak- tylus vollkommen berechtigt ist, bedarf kaum der Er- wühnung. Das Nomen pòca bezeichnet bei Homer und spáter theils kluge Anschläge theils die männliche Schaam. In letzterer Bedeutung steht es Od. £ 199: êx TUXIVNS Ò dns mTopSov xhdos ystol Tayei púM O», Oc Ducato Tepl ygol pndco, porós. o 67: Deag à» bureau Ep} próca. c 87: prdea T dëssen: doy xuclv opa daca- aSa. y 476: umden T éÉépuoav, xuciv opa dacachar. Hesiod. Theog. 180: œéhou 3' ano pròsa maroc Zeen, pévos doe, 188: phòca 8 de To moros dree dën: gäonauct xaBBaX ar mreiooro TOAUKAVOTO dal TÓVTO. Emped. 349: où node, où Ion get. où phòca a- xnevra. Antimach. fr, 42: Sperávo Ténvoy dro pòca mazgos. Apoll. Rhod. 4, 986: Spéravey — d are ra- tpóc pòca vnàciðç étape Koovos. Oppian. Cyneg. 1, 581: phòed T avõpopéorot maveíxeho xapróvovtas (Seh- Qiwc) 3, 207: pepaos "mie vevusco: Tapéo Sat phòca. 3, 388: dmmvér 8 ¿vdosr Jupo Ange xuvóz opiyyov de paisa. 4, 207: add xuvóg ei Y aŭt aro unden Béean deet herrado. 4, 441: da: Yovov T dro puden yeun. Maneth. 4, 220: yovipov feu amapnropas Avdpas. 4, 312: otopareoot OTULOMÉVOUS, yovorotas, phòca posó exovras. 6, 298: xépoavres ydp dyosiow éd amd couaros aldo xal xucl phòca dovres éxovrny opa dacaciar. 6, 580: | phòc amorunyovres dpnpépos elvexa. opge Äerer Süpqot» Epsornörss därer, Nonnus Dion. 7, 227: ansporyauo Koóvog &orm pròsa mareos éreuvev. Orph. ` bei Proclus in Plat. Crat. p. 116 (Lob. Agl. p. 542): próso 3 ap méAmyog récev úbosev. Orac. Sibyll, 1, 3 » mende Adi. Seet pflegt man entwed M n ` _ Bulletin de l'Académie Impériale 12 49: unden T apoexdhubar, rel cola je aldog. Dass Alexandrinische und Byzantinische Dichter die mánn- liche Schaam prdea genannt haben, kann durchaus kein Befremden erregen: bei Homer, Hesiod, Empe- dokles und Antimachus dürfte dagegen, wo diese Be- deutung erforderlich ist, vielmehr pé£ea zu schreiben sein, wie im Homer von Payne Knight bereits p.eScea. gelesen wird. Diese von Gregorius Corinth. de dial. p. 535 als Ionisch ‚bezeichnete Form ist unversehrt geblieben bei Hesiod. Op. 512: Snpss A poicaous, odpas à Uno pels ¿Sevto. Vgl. Archil. fr. 137 p. 567 ` ` (hergestellt von Schneidewin Coni. crit. p. 138): (vas wetéov dméSouew. Lycophr. 762: vico» à eis Kgovo otuyouyéwny Agry reoaouc, peléov xpemvópiov. Nic. Ther. 722: aytíxa 5i yoos pétem T avdpos ¿vepde tt- taveta. Wenigstens kann ich es nicht für glaublich halten dass die männliche Schaam, die in den "Epgya xai nuéoa des Hesiod péZea genannt wird, in Hesiods Theogonie pòsa geheissen habe, oder dass wenn Ho- mer die pudo avdoov erwühnt, nur der Zusammen- hang entscheiden soll ob die Geschlechtstheile oder die Anschläge der Männer gemeint sind. Die für pnèeæ in der Bedeutung «Schaam» scheinbar sprechende Stelle. Hesiod. Theog. 200: (man nannte die Aphro- dite Kungoyévera) Zo yéyto zchachdoco Evi Kurpo, nos pthopndéa, ext y m93éov ¿¿soaa3n, wird von Lennep, Schoemann, Kóchly u. a. mit Recht. für eine spütere Einschaltung gehalten: der Urheber dieser Worte scheint ein unverstündiger Grammatiker gewesen zu sein, der nicht wusste was toppene (denn so hiess Aphrodite) bedeutet und auf die falsche Schreibung ‚role luan: eine thörichte Etymologie gründete. Ein so apokryphes Zeugniss kann gegen die empfohlene Schreibung péteo schwerlich etwas beweisen. Das in der ältesten epischen Poesie öfters vorkom- von tò evgos oder von Zeie abzuleiten und danach entweder durch weit, geráumig oder durch schimmlig, moderig zu er- kláren. Vgl. Etym. M. p. 398, 1: eügdevco, — mago. Toy gek Ve, süpocóevca., xal exor Suerg. d Tapa To SUYOS tugoeyca, xal dxráce: suposyra, Beide Etymologien sind in formaler Hinsicht schwerlich zu rechtfertigen (vgl. Lobeck Pathol. elem. I p. 352), und beide Erklürungen finden an dem Gebrauch der Dichter aus classischer Zeit keine Stütze. Dass einige Spätlinge uge: für eugus nahmen (vgl. Oppian Hal. te natürlich nicht in Betracht. 5, 3: xöArov ay eügósyca, Saracons. Nonn. Dion. 25, 476: Advdgeov eupwevri xaxéxougey avdepeov:), kommt In welchem Sinne das Wort bei älteren Dichtern zu fassen ist, ergibt sich aus folgenden Stellen. Y 65: céxéx (des Hades) ouep- Sa upasven, ra ts oruyéouar Jeol Tep. x 512: av- Tos Ai cic Aldeo Léva dopov eupdevra. y 322: es Aldo dopo» GU Siogerg, o 10: Zens Ai apa oo “Epuetas AXUANTO KAT suodevca. xé.soSa. Hesiod. Op. 153: és eupwevra Dépov xpuepod Aídao. Theog. 739: tegat ¿not deyadé (oder nach Philodemus x. eucefeias p 27 Eusodadé”) evpdevra, Ta TE aruydoum Deet meg. Hymn. Cer. 482: oSígsvóg rep Und Góp eupwevtt. Diese Stellen lehren dass evpwers nichts anderes be- deutet als dunkel, finster, wie schon alte Gramma- tiker das Wort durch oxorsıvos wiederzugeben pflegen, und wie es jüngere Dichter in diesem Sinn gebraucht zu haben scheinen. Vgl. Anon. bei Hippol. Refut. haer. p. 96 ed. Gott.: Taprapov eupwevrog aetxAaucotat weAASootg. Orac. Sib. 2, 303: ¿Ma paxpay GopcevS’ und Taprapov eupuevta TERN Bocovra:. Greg. Naz. vol 2 p. 40 B: Ñ xal ge Undvepdev és eupwevra Bé- oeSpa. Nonnus Dion. 26, 107: Bomen suguer xat- exMiioos QeoéSoo 5). Das Adi. svooets wird mit andern . Worten, abgesehen von einigen gelehrten Dichtern sehr später Zeit, durchgängig in demselben Sinn ange- troffen wie nepoeıs(vgl. O 191: Ardng A8 Aaye Cópov egó- eyta. W 51: vexoóv — vésaSat uro Écoov msocevca.. v 64: xaT Teoocvca, xékeuSe. Hesiod. Theog. 119: Tágtapo 7’ nepoevra. Hymn. Merc. 172: &vtoo dv meocevtt, u. à.). Auf+diesen Thatbestand hat L. Döderlein (Hom. Gloss. I p. 6) die Vermuthung gegründet, dass nepóses und svowets verschiedene Formen desselben Wortes seien; er sieht in evowets eine uralte, vielleicht Dorische Form, aus ausoost entstanden, welches sich zu vegoetc eben so verhalte wie auadéos zu dies, und meint, das av 5) Einmal finden wir in din Tragódie dasselbe Wort, Soph. Ai. 1167: orevoov xoiAny xametoy tw Ey 199^, ¿vda Bporore TOY aci- poto» tagov supwevra voie, Die meisten Erklárer denken hier an das finstere, manche an das verfaulte Grab. Bei der £inen wie bei der anderen Auffassung erscheint die Verbindung detuvnotoy coowevra tagov als höchst befremdlich ; ; Hartung hielt cov aetuvnarov für unrichtig und schrieb dafür del œuvnotov, wo gegen Morstadt cvpwevta durch ey jocsévra ersetzen wollte. Es ist mir nicht móglich über diese Stelle zu einer festen Entscheidung zu gelangen: für wahrscheinlich aber halte ich dass eópuevra auf einem — beruht, obgleich Quintus Smyrn. die Lesart tapoy eúpueyta vor A gehabt zu haben scheint, wenn er 14, 241 den Grabhügel i Achilles Tug ov evoweyra nennt. 1 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 1 sei durch das folgende o getrübt, «wie eópos neben aden». Dieser von Ahrens im Philol. VI p. 7 gebillig- ten Ansicht kann ich nicht unbedingt beitreten. Die Identität von nepóstig und eUoóetg erscheint auch mir unzweifelhaft: dass aber von ame eine Bildung eUoóetg: hergeleitet werden kónne, halte ich für unmóglich. Die dicke, schwere, atmosphärische Luft, mit der sich die Vorstellung des Nebels und der Dunkelheit ver- bindet, heisst bei Homer im Nominativus anp (E 864. n 143. ( 144), während in den Casus obliqui (népos géet néga) wie in den abgeleiteten Wörtern (Nepros Ñe- pós:s nepocidns u. a.) durchgängig der Vocal Eta im Anlaut erscheint. Ob die seltsame Discrepanz zwischen ano und népos berechtigt sei, lasse ich unentschieden: in jedem Falle aber stand nach dem ersten Vocal, mag er nun À oder E gelautet haben, ursprünglich ein Vau. Dies ergibt sich aus dem Lakonischen aßnp und dem Lesbischen ou wie aus dem Lateinischen aura. Das Adi. nepósis lautete also ursprünglich nrepcers. Daraus konnte vielleicht entstehen evepoe:s, schwerlich aber evpoets, wo das Omega meines Wissens der Analogie widerstrebt. Die Form eupwers erscheint um so bedenk- licher, da sie am Metrum nirgends eine Stütze fin- det: statt Sieger und evpwevra kann durchgängig ve- poevr. und nepcevra eintreten. Für die Annahme dass evposis eine falsche Nebenform von yeposıs sei, lassen sich auch einige Schwankungen der Eoberliefsrato gel- tend machen. Bei Hesiod Op. 153 findet sich neben edpoeyta Benz die Schreibung suposvra Scpov, die auf ein ursprüngliches nepcevra 9. hinzuweisen scheint. Eben so steht otuyepov dópov eupcevra im codex Palat. bei Nicarchus Anth. Pal. 11, 328, 5. Die Stelle des He- siod Theog. 119 wird angeführt von Cornutus de N. D. e. 17 p. 83, wo die Handschriften zwischen Tap- Tapa T vepósvta und Taprapı T evpuóevta (oder cù- pucdoyta) getheilt sind. Od. d 322 bieten unsere Hand- schriften und Ausgaben: d de sig Aco Sopov T- AuSey &Upoevca., aber vo. ñepósvra ein Scholion cod. Vind. 5. Sollte endlich jemand, um suposts neben ye- ects zu retten, sich auf Hesiod Theog. 729 — 731 berufen: voa Scol Tirives Uno Cogo nepcevtı Kerpuparaı Boukyo! Atos ele eg 1090 Ev e dedeurt, zeideg coyaro. votas, so kann ich allerdings die Aenderung yopo dv nepósvt: nach dem voraufgehenden úrò Lópo nepésvr: nicht für wahrscheinlich erachten: aber mit Recht hat man hier den letzten Vers längst beseitigt als eine spätere Zu- hat. Die mit dem Substantivum pnrıs zusammengesetz- ten Adiectiva schwanken in hóchst auffallender Weise zwischen den Endungen «s und ns: neben dem xeAv- pres Oducosús finden wir bei Homer den Kooves ay- xuhop Tas, und demselben Schwanken begegnen wir anderwárts. Welche Endung die richtige sei, darüber kann nach den Gesetzen der Griechischen Wortbildung + nicht der geringste Zweifel bestehen. Von pavrıs kom- men die Composita eXrSopavete aporöpavrıg Tsonavrıs KOMOAYTIS VUXTOJLOYTIS CVELRCLAVTIS TOM vti TOWTO- pavrız IvSopavris oepvopavrız otoatomavris deudc- wavrıs buyöpovris u. a.; dem Substantivum pv ent- | sprechen Bapupmvıs duopmvıs aime, mods liefert Composita wie ¿tods Mrd œuhomoks u. à. In glei- cher Weise ist roAupnrıs eine gesetzmässige Form, dyxvhounTns dagegen nicht minder befremdend als es befremden würde, wenn jemand aroAng und othorchns schriebe. Durchaus nicht zutreffend ist was L. Schroe- der Unterscheidung der Redetheile im Griech. und Lat. p. 380 zur Rechtfertigung von Schoumtns beibringt, Formen wie Asıroraxıng (richtiger Aıroraxıng), aiSon- yevérng, imrogarns u. dgl., wo die Endung tyg handgreif- lich vorliegt. Die einzige Analogie welche für dyxuħo-- ` ptas, TouxthounTrns und entsprechende Missbildungen sich nachweisen lässt, bieten, so viel ich sehe, gewisse Composita von ee: wo wir neben den regelrechten Bildungen ¿v3opy:s évooyts xoubopxis povopyıs auch fin- den évéoyns omodcoyns Teopxms, Wie aœvopyos Évopxos tolopyos. Was von évooyns und &vopxos (letzteres schon Il. Y 147) nebst entsprechenden Formen zu halten sei, lasse ich für jetzt unerörtert: in Betreff der von pitte abgeleiteten Adiectiva glaube ich jedoch dureh fort- gesetzte Beobachtung zu dem Resultate gelangt zu sein dass die auf ntng ausgehenden Adiectiva als un- berechtigt erscheinen. Selbst wenn dies Resultat sich als unrichtig erweisen sollte, wird eine Mittheilung des von mir gesammelten Materiales nicht unnütz sein. — Der leichteren Uebersicht wegen folge ich bei der Aufzählung der hier in Betracht zu ziehenden Adiec- — ` tiva der alphabetischen Ordnung. 1. aæyxvkountns. Nom.: Kocvos donot À 59: Hesiod. Theog. 137. 168. 473. 495. Hymn. Hom. 4, 22. 42. Dorotheus 36. TpownSeds groupe t HYPE TW We S e T IR CN rl, y OT AE en ES F \ d x d x^ ` -. Bekk. p. 329, 3. Aehnlich Suid.: % — e ES ENS pice on itg . nesius p. 126, 17 ed. Bonn. — Accus.: AB A A A A MeL, S ré repo ro e UE COTES ERA Re CM à SC EN Ne INC UAE AS ET ce EM T n ETG ee ZG "ech 4 ue Tue vi 4 15 Bulletin de l'Académie Impériale Hesiod. Theog. 546. Op. 48. aacyetos ayxvhounTns Tzetz. Posth. 39. An allen diesen Stellen bildet æyxv- Acus den Schluss des Verses, so dass ayxvAöpmtıs durch das Metrum gestattet ist. Von Prosaikern vgl. « Mss. nostri, aipuXcoumtıv» und Ilgen p. 361: «Fl. Ald. aigvrourrnv. Codd. Mosc. et Regg. aipvAopmrıv», wäh- rend G. Hermann, Fr. Franke und A. Baumeister über dies Schwanken der Ueberlieferung schweigen. Damasc. de princ. p. 186: ós moi 6 Te oupras bes gUebrigens hat Ruhnken oip»AcyvSov vermuthet, Igen xai ó ayxvrountns. Nicetas bei Westermann Mythogr. p. 355, 4: ¿mísera Aros: ixétoc, Épéotios — dyxuho- patas. Grammatiker und Lexikographen lasse ich im Allgemeinen geflissentlich unerwühnt. Bei Christ. pat. 3 schreibt Dübner dpaxov ayxwhoprtas, aber dyxvhountis bietet, wie Boissonade Anecd. V p. 16 bemerkt, eine Pariser Handschrift. — Genit.: Koóvou ras ayxvhoumtew B 205: 319. A 75. 137. M 450. II 431. 3 293. 9 415. marpos Keen ayxukopnteo Anonymus de herbis 105. «09 œyxvaoumrou Auge Ge- Koovov ayxv- %ounenv Hesiod. Theog. 19. Maneth. 4, 425. vcov ay- xukoy.n tr» Procl. Hymn. 6, 49. Ueberall schliesst die Form den Vers, überall wäre also ayxwopmrıv zu- lässig. — Vocat.: ayrwhopnta, oepıots Orph. Hymn. 13, 9. — Nom. Plur.: dyxvhountar oxodroßoudc: Lex. AYAVMPATAS. xal ` ayxvhouiras ol aworößoudct. ^... 11, 215. 234. — Accus.: . taphr. 4, 75. cdyxvkopntes. Nom. : Koovog ayxvhountis Epime- _nides bei Tzetz. in Lyc. 406. xai Auxos dyxvounric . erepysrar Gora. Aaa Nonn. Metaphr. 10, 47. xoi X096 dyxuhópnts anıororartoy (Üneppiaioy) Papıcarov | 2 Toia xal ayruhpntiy eré- Suen ¿vtuvao3a: xepdo Oppian. Hal. 2, 107. où Kocvov Grengen £o Sorvnropa ratdov Nonn. Dion. 21, 253. sine, xal dyxuhópnty ap opalo zi puso Nonn. Me- "Icuóa/ov yopov ayxuopnty dacag 12, 148. raw Y einorog xal dyxvhcunti (so Osann nach .. den meisten Handschriften statt T— xa Ova! mo» Kapen Cornutus de N. D. c. 7 p. 2 2. aa ente. Nom.: rapSévos illo Tepi- pony aykaspmrız Greg. Naz. vol. 2 p. 152 B. éuredos aep aoo d dvagtayýeoxe yevézAn Procl. Hymn. 3, 10. téns aha pas Ens énégouvev Ererós Tryphiod. 183. — Vocat.: mag3éve xudnecoa xal dyhaopnr: mepippwv Greg. Naz. vol. 2 p. 55 C. 3. aiuvrountrnc (?). Hymn. Merc. 13: xa tot éyeivaro oido. TOAYTPOTOY alpulop try, wo der Vers die fehlerhafte Endung nicht schützt, die nicht einmal in den Handschriften einstimmig über- liefert ist; wenigstens sagt Ruhnken Epist. erit. I p. 28 1 alovhopatra» geschrieben; eher könnte man an atos- paro oder ayxvkopntiv denken. 4. aloXountns. Hesiod. fr. Lycophr. 284: KonSeds nd ASapac xai Xíguooc aiokountne. atokdópntis. Nom.: tieta à alohóp.nTig Seos oot; ¿mi oepvois Aesch. Suppl. 1037. ¿v3a tor atohop.ntes | aAopevos TASe» Odvaceys Dion. Per. 207. rouvre aiohountes EInpove rue téton Nonn. Dion. 1, 279. xal mAéow aiokcuntis édéyvuro Muerte avinv 9, 299. Muortíhos adohopentes émixdhorcoy mvuse vixnv 20, 160 und 37, 340. Seutepos atohóp.ntes "Eros Teyvaipov Seco 33, 90. Moppsus atcAomte* énepSéyÉavro de Auot 36, 471. Alaxos atohop.nytis, UmoxAémtowu dE vapco 37, 576. pov 9 ‘'aichounris enel pasev Zeg povons 38, 31. Zéuowy atohcuntis: eremBedove Te tapco Nonn. Metaphr. 21, 120. &v8o« yap atorounris "Epos Behé- eco! Zougier ) Materne 198. — Accus.: nos HooynSéa rouxkihov aohopntiy (andere e'Yxoloymz» oder unme- Disch œyxvaounrnv) auapriveoy T Entpunséan Hesiod. em, 511. ¿v3a toy atohcumriv Oducaéa Oppian. Hal. 2, 503. da v9 T aloAoumrıv avotyyunı xara. TOV ee Anonymus (Verf. von origor Neotxol eis TO Ve im Catal. cod. Clark. I p. 58 5. oizungcne im oct bei Aesch. Prom. 18: ans CoScBouhou Gépidos ainupnta rai. [æicuounTns ist lediglich eine etymologische Fiction, durch welche das Wort atovyvntne erklärt werden soll, Etym. M. p. 39, 27. Etym. Gud. p. 22, 28. 617, 46.] 6. RS Aesch. Agam. 222: Bords Spa- ouer yap alaypoumtıs Taawa ropaxora. Dasselbe Wort in etwas veränderter Form hat vielleicht ge- bráucht Tzetzes Posth. 702: cüvexa p loaaxoç dti- cato aicyeotipas, wo ich atoyeópmris oder allenfalls auch AS vermuthen móchte. 7. apyıpnrns nur bei dem Tragiker Phrynichus fr. 15 p. 560: apyıpmras tavpos, von dem Stiere, welcher die Europe entführte. Hesychius und Eusta- thius, welche das Fragment erhalten haben, weichen nur insofern von einander ab, als dort gen gege, hier apynys sich findet. Mir scheint weder dies noch 32, 4 bei Tzetz. des Sciences de Saint- Pétersbourg. deyénte zulässig; vielmehr sollte man, denke ich, etwa depono erwarten nach Moschus 2, 85: xú- xhos 9 Geiger Hëooo pops pETOTO. Vel. P 454: Ey dE pETOTO Asuxov ML ÉTÉTURTO T.EPÍTOONOY NUTE payo. 8. ap3itopqtis bei Greg. Naz. vol. 2 p. 147 A: Scute de raot Seco Bod hoyos OSTs. 9. BaSvpnta (Nomin.) beruht auf Pind. Nem. 3, 53: Ae yopevoy de TOUTO T.QotéoQYy Emos ro" Basuyñta Xeoov todos AS "lago Evdov réyer. 10. dtyopmrıs. Nom.: apo deyopntıs č Eny "is Nonn. Metaphr. 7, 167. opSnv míoct» Zreueg xal ei Zoch eoöoa 11, 146. — Accus.: ’Incods Ardyp.oro voov dryopmrıv Geen Nonn. Metaphr. 20, 132. [dorountıs s. Sohounris.] dis dohop NTs. Vocat.: té S a9 tot, Soden, So oupppodocaro Boukds A 540. zos ¿duvo, Soho- pita, Sun Bes Serporopmoa: Hymn. Merc. 405. TÉ mrwggete , dodopnta; zéi Anea Ameporevero Oppian. Hal. 2, 305. cyéxX "Epos Schouñte 4, 11. Schopnrtis. Nom. Sing.: va 3 oi poor õe- SE AlyıoSos doldpntiç; rel ura ve rohov apelo a 250. 0» ba xaSciccv Alyıodog dohcuntis ayov à 525. Kac- cavdons, TY xTelvs Kuston dohopontis À 422. Scopa puyav Sox papes ITpounSeus Nonn. Dion. 2, 576. os pay.évn Soportes Zeus ouye Bot. pov 8, 176. Tape Sohopntis, Eros Hoparotov En 29, 336. ¿93 órorav dohop.ntes (nv 9' orola» Sorröumtıs cod.) avro Orac. Sibyll. 13, 89. Boats étixhoTov eúparto Déeg anrín Oppian. Hal. 2, 120. oc xal ¿pol SchopnTis, ¿mel Loës č ovra, puy Eyvoy Greg. Naz. vol. 2 p. 32 B. touvexa xai dohópntes, rel Xotocoo Bacos p. 59 B. vexpoßópos Souris ataosados p. 80 B. rois ò Zivov doropnrıs ¿médpape tpavpact Bolso» Tzetz. Posth. 688. — Accus.: AlyiaSoy Sohópnty, 6 d ra- Tépa, xhutoy čxta & 300. y 198. 308. doópyty D ara- tay Aesch. Pers. 93. ech axoltny Dupong dohe- bg, émel Sutixo mapa xévrow Nonn. Dion. 6, 96. — Vocat.: yaips, Sea Sordat. dohorrhavés Nonn. Dion. 8 126. — Nom. Plur.: Sovhoppoves Ak xai pidas Suoayvors ppsotv Aesch. Suppl. 750, wo man zur Her- stellung des Metrum Folge: e xai Aeueugeäee oder CUM Qoeve c 8 ayay xal Sckoumrides vermuthet hat. 13. Svopnrns oder Suounrts. Hesych.: Svoun- Te "` xaxoteyvoç. Suidas: vont: ó xaxogcuAoc. 14. ¿predopytes. ¿predópnrtis dvayxn Nonn. Me- Tome XXII. taphr. 10, 63. mas Bporès Epredéunric ópórioxoç els Ré piuvov 15,:17. bbs dd s. xotvopante. ] 15. Eup 71s als Nomen pr. bei Apollod. ILE, 8 der neben vielen anderen Sóhnen des ee ge ch nigs Lykaon auch Expajeny erwähnt. unge, Nom.: paros vto egene: ¿mel xal untos AATTOY Oppian. Hal. 5, 97. — Accus.: & dé os Kuss EVYapov, Ep Made, t OEC CY Aene Antipater Anth. Pal. 9, 59, 8. 16. nriountis. Nom.: Top evi piv Tola TT Os NTIOUMTIS Ex Supo quéov EmitéA ope Greg. Naz. vol. 2 p. 62 D. — Vocat.: dAX Eurns téde eet rav- TOY Théoy, route. Greg. Naz. vol. 2 p. 112 A. 17. Seopntıs. Dat.: Suid.: Seounte' Seoppev: Seoßevrg. — Accus.: xai noSev où Secpntew à OH yt- vocxete povyy Nonn. Metaphr. 8, 121. | 18. Spaoupmtis. Leonidas Anth. Pal. 6, 324: es de Tunas ou Séyopa Bopolz 6 Spacupnris Apns. 19. ix zcpmtte. Pind. Isthm. 7, 9: apo Jas inrounriv. 20. XAXCHATAE. Nom. Sing.: P8 Tots no, XAXOLNTELS dvi Eur. Or. 1403, wo jetzt ziemlich all- gemein xaxcuınrıs «vno goscliricben wird nach einer Emendation von Porson, welche lediglich durch Rück- sicht auf das Metrum bedingt war, zugleich aber statt einer falschen Bildung die richtige Form herstellte. — Nom. Plur.: Teravss xaxop.ta: onéoQtv Zeen EJOVTEG Orpheus (Lobeck Aglaoph. p. 507) bei Proclus in Tim. p. 54 B. xaxountis. Gen. Sing.: E coce Meyaton: - Orph. Lith. 223. xal Pagano xaxounridoc efspuostas wagtus Anon. bei Cramer Anecd. Paris. vol. 4 p. 292; 16. — Acc.: vis Papao xaxopntiv, Aya Solos, AcoupÍoy vs TUXPOTATOWS Bocinas ¿Jpépato Greg. Naz. vol. 2 p. 50 B. aà) ¿pens xaxcunty @dsveo p. 57 C. oe Pagan xaxopnziy, dvardéas Epyodiwxras p. 97 B. - ‚| meta (7) Papas xaxcunriv, andéas dovovs Anon. bei Cramer Anecd. Paris. vol. 4 p. 291, 24. — Der Nom. Pl. xaxouyries ist vielleicht herzustellen bei Maneth. 2, Ee 308: rohhaxt xal xreavay rioters, Ovméo vig ÉdUXEY ` Aa don raoSéxevog Seegen MEVNTAVTO, und 4, 307: gel xaxÓqct quvatxo» GupcuAct, Béier, Maxopmtopsg, alcyposrdaxtar. Allerdings liegt es an der zweiten Stelle sehr nahe mit Köchly xaxopyotopes zu schrei- e die Bulletin de l’Académie Impériale ben; aber xaxounotog ist so wenig nachweisbar als xaxountiæ, wofür sich eine analoge Bildung findet nur in dem bei einigen Grammatikern (Hesych. Suid. Etym. M. p. 11, 30. Aneed. Paris. vol. 4 p. 89, 12) er- wähnten ayhaopntia. ` 7 591. xaptépomnrts. Greg. Naz. vol. 2 p. 76 A: cuoc KOOTEPCHANTIS, evi. TETOMECOL pLÉYLOTOS. 2 YAV TOP TAS: Philostr. iun. Imag. e. 13: Ac- xd mitos dé, eet, outos Eros Tadya Tov mapeyyoov egen xa x). AUTOpATAS (Variante xAvropntıs) oùx dra- Erën mapa ccu axovoar. Aus dieser Stelle hat man den wahrscheinlichen Schluss gezogen, dass Sophokles das Wort als Epitheton des Asklepios gebraucht habe, natürlich nieht xAvropmrng, sondern xAutóponTes. xAutopmtte. Acc.: "Hoatoco» xAuxópoaytw deloso Hymn. Hom. 20, 1. Nixoxparny xAuröumtıv, ap alpa- Tos apxıspnov Corp. Inser. 1066 vol. 1 p. 562. — Voc.: Aapóyaot xAutóuntt, Begonche, oot Tode xUdOS Anth. Plan. 43, 1. vouochuta, xAuropmtı, pepfoßıe Corp. Inscr. 5973* vol. 3 p. 801 23. xowopntes. Aesch. Suppl. 700: to Snpov, TÒ Eë xgatUvet, roma sus euxorvonmtıs geg, Die Herstellung der fehlerhaften Stelle scheint mir un- | sicher; nur dies kann keinem Zweifel unterliegen, dass ` statt des sinnlosen ebxowéunris vielmehr xowópnt zu schreiben ist, wie Lachmann bemerkt hat. 24. hemrópntis. Hesychius: Aer towntes (so Mu- sūrus statt des handschriftlichen Aertöprrus) y ða- asia (vielleicht Aen sta 21 vy. 25. peyadopytes, bei Aesch. Ag. 1426: peyadó- ne el, mepíppova À ¿haxss. [peyan stand nach einer unrichtigen Vermu- . thung von Musurus ehemals bei Hesychius, wo man das handschriftliche peduyoperións jetzt in peryoper- ns oder pertyopstöng geändert hat auf Grund der beigefügten Erklärungen toadyehos, 13uYeAos.] 26. tp pente. Simonides (fr. 61 p. 891) bei Theo- philus ad Autol. II, 8: Seès ó ráppares. 27. rnotxthounTtns. Aceus.: datppova other (durchgüngig am Sehluss des Verses und durchgángig mit der Variante rotxthcpntt oder rorxAopmrıv) A 482. y 163. y 168. y 115. 202. 281. — Vocat.: cyéous, ost Ta, oiov. dar, D de pentes v 293. cyé- TAE, Tox Cem ca, TÉ voy dr prosa: ho Hymn. Apoll. Pyth. 144. tinte oý, Fetten garg, möSey Tode vuxrèc du Zen Zeg Hymn. Merc. 155. 3e&x, Mauados vis, Staxtops tormdopnto 514. rouxthowntts. Nom. Sing.: awp rose ap Eoreping éme[epSe(c Orac. Sib. 12, 257. "Hen Tomt- Mounts apuvouén maoaxctcn» Nonnus Dion. 8, 125. To Ò dr romerhcpontis avedpapev xüs EosySeuc 37, 622. — Vocat.: mayra repropadéns, Boot rommdoumtı Sohoppoy Orac. Sib. 3, 217. ¿Ma où pa pillo», Beer rotxt}OUNTL xaxoppov Orac. Sib. 3, 624 (mit der Va- riante rotxtAcunrt Boaduvs angeführt von Clemens Alex. Protr. p. 64). — Nom. Plur.: rotedopnrides rar Soph. fr. 530 bei Stob. Flor. 98, 45. 28. rodupatas. Gen.: Gig gear ompetov roAuum- tou Anonymus bei Boissonade in Marin. p. 132. — Accus.: tva, darcvov Guhov lee tGavorca, theter TOAU- Spouv xal rohuuntay Synesius Hymn. 2, 54 p. 317 C, wo das Metrum auch die Form roAupntıv zulässt. Toduprtao als Nom. bei Oppian.. Hal. 5, 6: 'Tare- Tolo yévos rodupita IpoumSeus. roïvpntts. Als Beiwort des Odysseus findet ih der Nom. zouge an 18 Stellen der Ilias, an 68 Stellen der Odyssee, überall durch das Metrum ge- sichert. Entsprechend aurap mel ToURNTIS doy TONY- pngavov eucev Hymn. Mere. 319. zehun gene Oduoceds Ar. Vesp. 351. Tod peones ovaxtop Orac. Sib. 14, 94. Xs'oG» oOXAugévov &opet rodupnrıs (andere SE ASnvn Orpheus (vgl. Bulletin XII p. 517 oder Mé- langes Gréco-Rom. III p. 60 f.). zeideg ésadpasey oBoruorraten Orph. Lith. 569. Ae papévn reos Orup- Toy ¿Bn rovente AS Nonn. Dion. 26, 36. Tvioyos Tokupntis čov xal édocovas inzous 37, 203. — Gen.: zue Terponever roAupmrıos "Hoatccoto D 355. ob mooto rom token tios Hoaíotot Verfasser der Popwvis in Schol. Apoll. Rhod. 1, 1129. “Hoatozoto xo» roAupmtios Apoll. Rhod. 1, 851. moXupmttec "Eopeao Orph. Lith. 54. — Dat.: rokupnnd céyvq Orph. Argon. 127. — Accus.: yhauxorty tou, apelhyoy Yrop éycuca» Hymn. Hom. 28, 2. où «v AVATTUCCOYTA glo zehn doSpoóv Anth. Plan. 325, 1. autoteAn roAuumtıv "Epoca Orph. Arg. 426. Dieselbe Form ist vielleicht 8 200 herzustellen, wo man jetzt liest: où tva deldtnev prne, oùt, da Tré- baier, paia geg Todu pu ov dóvta. — Vocat.: dia poxap rompen: rohuonope Orph. Hymn. 6, 10. Zen», Tokur: (so Hermann statt zoAyynSe) peyis rph. Hymn. 10, 10. M | paa». des Sciences de Saint. Pétersbourg. 30. taxvpnteis. Nasavanı TAXVNTE E értog voae Pinze Nonnus Metaphr. 1, 184. xat Matos tay- ws avédqae 9G. cog cd 19, 16. Bei Hesychius wird AYTO durch rayvumrıs erklärt. 31. Jorepépnres. Nonnus Dion. 2, 8: Aeren ae WM A-TORTEÍELE Tuposus, 13, 540: Hpíacos DOTEPOUMTLS ENv ÚrTEdUCaTO Tcov. Kona. Metaphr. 20; 130: Oopas 3 vorepounris aquorgasa. péato DOYNY. Aus der vorstehenden Stellensammlung, die zwar durchaus keine Ansprüche auf Vollstündigkeit erhebt, aber doch schwerlich etwas wesentliches: vermissen lässt, ergibt sich, wenn wir bei den mit (zt; zusam- mengesetzten Adiectiva die nachgewiesenen Formen nach den Casus ordnen, folgende Uebersicht: Bing. Nom.: a) lios aydasımrıs aLohop.n tes aio yocpamcts APTO Te Buren Sohópuntis Suas epmedepa as eps ATICUNTIS Soacupmtc xax ott KAPTEHORNTIS HOLVOILIITLS NERTOBMTIS peyahopnts TAP- PUNTES TOUXAOPNTIE uge IS UOTEPÓP.NTIS. b) apo NTI aiohoUNTNs ApypnTas (-Tns)-duo- PATAS xaxountas xkurounrns nebst dem Nomen pro- prium Evunrns. d c) BaSupyra roAupnee. Genit. a) xaxopntios roAupmrios, xoxopo idos. b) geen teo Green geen up ren. Dat. Seounrt rorupaısı. Accus, a) @yxuXcpnrıv aiguhountew alokcumriv Syo- bom Soon Te» duty Seopmrıy Inropmtv xa coat large TOAVUNTY TON. b) ayxuropnenv aipukopnrn momdounmv TOV- Voc. a) Gage Soho gege XAUTOLNTL TOL- tient "reicae, b) gehen gea alrup.ico, Sohop.nTa. ee Plur. Nom.: a) Sodoy-ntides TOXIOUNTLÈES, zweifel- haft xaxounries. b) ayxuionfrar zaxou.ntar. Selbst eine flüchtige Betrachtung dieser Tabelle lehrt dass die gesetzmässige Endung Agen: im Nom. Sing. und die dieser Endung entsprechenden Formen in den übrigen Casus bei weitem vorherrschen: bei ge- ~ mauerer Analyse erweisen sich die immerhin zahlreichen Contraventionsfälle, welche für -uytng zu sprechen Scheinen, was die classische Gräcität anbetrifft, als 21 22 29. roaUpmtte. Pind. Ol. 6, 42: readpentíy + | durchaus unsicher, uud als berechtigt nur bei wenigen Eeva. Spätlingen, die in Folge ihrer Unkenntniss der Ge- setze der Wortbildung ‘durch fehlerhafte Texte sich täuschen liessen. Gehen wir die einzelnen Casus durch, so ist nicht eine einzige Dichterstelle vorhanden, welche im Nom. oder Accus. Sing. das Eta der Endung er- wiese: Formen wie doAopmrıs und doAdanrıv, ToAupmrıs und xoXopmtw werden für Masc. und Femin. ge- braucht; ayxudopneng alodounıns AYXUYAOPNTNY TOLL- hop» und entsprechende Formen erscheinen in der Ueberlieferung nur masculinisch, sind aber durchgän- gig so gestellt, dass der Vers die gesetzmissigen Bil- dungen æyxvhoumnris aloAcuyrız Gelénge TCOUXCÀG- ug u. dgl. gestattet‘). Da dies unmöglich einem blinden Ungefähr beigemessen werden kann, so sehen wir uns genöthigt Formen wie Kpóvos Dok es Kocvoy ayxudopnenv u. ü. für unber echtigt zu halten, Wie also bei Eur. Or. 1403 das überlieferte xaxo- puras avnp als verdorben aus zesinn: avro schon durch das Metrum erwiesen wird, so sind ganz in glei- cher Weise Schreibungen wie Kocvos donas, KE moien Kpovov arxuAojareny, Uëuege Ae poova rorxerounenv u. dgl. fehlerhafte Bildungen aus ‚den Texten der Dichter zu entfernen. Die Consequenz, mit der namentlich bei Homer das ursprüngliche Kpóvos ayxvhoumrs in Koövos ayxudounens entstellt worden ist, lehrt augenscheinlich dass wir es hier wie bei den mei- sten E ! desH hen Textes nicht mit zu- fälligen Versehen der Abschreiber zu thun haben, son- dern mit Correcturen der Alexandrinischen Öelehr. .| ten, die mit einer höchst unzulänglichen Kenntniss der elementaren Grammatik ausgerüstet sich für befugt hiel- ten die Homerischen Gedichte zu emendiren, deren dtop- ` Søges eben darum mehrentheils napalio Saori waren: wasan sich kein grosses Unglück wäre, wenn nicht diese Paradiorthosen in zahllosen Fällen die ursprüngliche Lesart völlig verdunkelt hätten. Wie aber konnte ein Grammatiker darauf verfallen das vollkommen unver- fängliche Kpovos æyxvňópntıs in das vollkommen un- mögliche Kgóvos dyxvaounrns zu corrumpiren? Der. Grund ist einfach dieser, dass bei Adiectiva oder Sub- 6) Diesen Thatbestand hat richtig erkannt Moschopulus in He- siod. Op. 47 . 65: loréoy © ott TO KyxuAöumtig, TO Torxop ne tò ĝo- AQUNTIG xal oco and toU Daa € GUyxeccat mpoxupobiverut xat ài tod I ‚ypaperar. — ót di ènt To» eddy Bpayuxar dAnera raura dor: xai qm qe Zéien and toy pérpey, el rt ré roraure ÉEcraéer Bodhe 9* [ Bulletin de l'Académie Impériale 24 stantiva mobilia überaus häufig die Endungen tys (Gen. zov) für das Masculinum und o (Gen. 1.005) für das Femin. einander entsprechen. Dahin gehören Bonia- "ge ¿oy TNG TAPACTATNS, Kgotovaras Hoang Zrap- KA Teyearne, dparméres EUVÉTNS xéTe CDEAÉTNS | MODUS evepyirns Vrnperns, gute XOUNTNS Age s formen wie BonAatıs dpyarıs Tapastarız, rhamrens TOMATNS neoprene Unopnens Alyıynıns, 9o- parime omita modos orönplıns revue Tpadtıns opine yaptıns ABsnpitng Zuagi, nepopaktns ops- aupolTNs, AYPÉTNE Aeren rpodceng Wee OLYOTOTNS zokorng, TEsoßurng, gregorge I Sacorns torte Aprea- Sege Apysrorns H paxheuTns Zixeitiarng Borg, tepo- pavths, xepaoıng puotns u. dgl., wo überall Femininal- Kootowarts Modus Zraprıarız Teysätıs, dpandrız euvéttg ixétus dperhétis quAétis u. s. w. vorhanden sind. Getäuscht durch diese Analogie meinten die Grammatiker, bei den mit pis zusammengesetzten Adiectiva gehöre die Endung uc: von Rechts wegen nur dem Femi- ninum ; für das Masculinum suchten sie nach Möglich- . keit die fehlerhafte Endung +prrns einzuschmuggeln. Den eine 'O8uccsog konnten sie nicht los werden; statt Kocvos œyxvacunrie und Koovov ayxukopntev setz- ten sie dagegen, da der Vers es zuliess, die falschen . Bildungen Kpovos ayxudopnens und Kpcvov ayxuroun- nv. Auf einem ähnlichen Missverständniss scheint es zu beruhen, wenn zu dem ursprünglich als Masc. und Fem. gebrauchten wnotts die Masculinarform vyotns ` ziemlich früh (bei dem Paroden Matrón, vielleicht so- gar schon bei Simonides) vorkam, obwohl hier die En- . dung -ng sich bei weitem besser vertheidigen lässt den entgegengesetzten Fehler r als bei ayxuħopntngs : machten diejenigen welche zu cuyyewns und evyevos besondere Feminina bildeten, ouyysvés suyevís, die von den Grammatikern als äusserst barbarisch bezeichnet werden. — Hiermit glauben wir die der Analogie wi- derstrebenden und durch das Metrum nirgends ge- sicherten Formen ayxvhountns alohopntns Suourrns XAUTOUATNS, wie deier afp Try Tohoi- RW rorupmtav beseitigt zu haben. Der Nom. apyı- pytas (oder apyıpyeng) gees bei dem Tragiker Phry- nichus erschien um des Sinnes willen als unzulissig; xaxounras bei Eur. Or. 1403 musste schon um des Metrum willen dem gesetzmässigen xaxopnt weichen. Unsicher ist das Urtheil über das Nomen pr. Eÿuyrns bei Apollodor: vielleicht ist hier Evpxôns zu schreiben, ein ziemlich häufiger Name, dem zahlreiche entspre- chende Bildungen zur Seite stehen (vgl. Pape-Benseler Wörterb. der gr. Eigennamen p. X XX); in jedem Falle kann dieser Name nichts beweisen. Hóchst auffallend ist der Nominativ BaSvpnta bei Pind. Nem. 3,53: Xe- yóp.evoy Ab erg rporepwv ¿mos Ego BaSupnra Xefpov zone Mtv Iacov ¿vdoy téyer xal émertev AcxAnnuv. Ob der Dichter BaSupmrıs reos, ob anders geschrieben hat, vermag ich nicht zu sagen; dass BaSupita Xeipov unrichtig ist, kann keinem Zweifel unterliegen. Statt rohvunta IpopmSceus bei Oppian vermuthe ich (yévos) Trompa: Ho. — Die Vocative aërupnta dohop.qTa tot- xüOcpre sind willkürlich substituirt von alten Gram- watikern statt der allein berechtigten Formen atrú- ponte Soo pg: conor: bei &yxurounre Orph. Hymn. 13,9 kann man zweifeln, ob die Abschreiber gefehlt haben oder der Verfasser selbst. — Im Gen. Sing. erscheint als anstóssig nur der ófters wiederkehrende Versausgang Kocvou mous ayxvhounteo: denn bei By- zantinern sind die Formen dyxvhquytou und roAupmTou als Sprachfehler hinzunehmen. In der Homerischen Poesie dagegen dürfte Kocvou meg ayxuhounteo ein schlechter Ersatz sein statt des ursprünglichen Keovou Tats œyxvounti. Denn bei der Erwähnung des Kro- niden Zeus erwarten wir vielmehr ein diesen selbst charakterisirendes Beiwort als ein Epitheton zu Kpo- vou, und sicherlich konnte ayxuXcpnris auch Zeus ge- nannt werden. Vielleicht also erinnerten sich gelehrte Grammatiker bei der Verbindung Kpöveu mag ayxu- Acunris zur Unzeit des Umstandes, dass Homer den Kronos als æyxuħopytys (oder vielmehr ayxvhcpntes) zu bezeichnen pflegt. — Der Dat. Sing. zeigt nur die gesetzmüssigen Formen Seopnr: (richtiger vielleicht Secuntu) und roAupmeıdı. Wenn" Ed. Kammer (Ein- heit der Odyssee p. 432) statt Alyio30s Soho tes Od. y 250 schreiben wollte Atylo3o Schengen, so fehlte er gegen die Gesetze der Grammatik und bediente sich einer Dativform, die ich erst aus dem 19. Jahrhun- dert n. Chr. nachzuweisen vermag, vgl. O. Schneider Callimach. vol. II p. 416: «id enim epithetum Kgovo dyxvhopnty potius quam Urano convenit». — Auffallend‘ selten begegnen wir dem Pluralis der in Rede stehen- den Adiectiva: die Formen «YxuXopTro: und xaxo- pra: sind durch die Unkenntniss der Autoren, bei denen sie sich finden, hinreichend entschuldigt. Für airus und alreıvos finden sich zwei Nebenfor- AX am. ER V a Ren ee Ed E ES ER 25 des Sciences de Saint - Pétersbourg. le - men, die nur bei gelehrten Dichtern der späteren Zeit td zu sein scheinen, airneis und atrós. Die Form oatzgerc gebrauchen Apoll. Rhod. 2, 721: vnoov AT OV rien, Leonidas Anth. Pal. 7, 973: EÜPOU pe Kale xal alrneoca, xatayý. Quintus Süiyi. 1,304: ga/vecat almneooa. Tétpn Zug T groepdë. 11,333: Moro poto xoci nréky airneccav. Die einzige Gewähr für diese Form bietet ® 87: Imdaoov alrícocay ELOY ent Zatuoevtt, wo airnscca vielleicht durch Indacov a'reym» Z 35 veranlasst ist, der Dichter aber wohl eher ein gleichbedeutendes DA Tvsnocccav ge- braucht haben dürfte. — Häufiger begegnen wir der neben atrus höchst auffallenden Form Altos die bei Homer in zwei Verbindungen auftritt, aira Seen und réi airmv. Vgl. 0369: Sruyèc Sr aTa — Soa. DO: Ev $ émecoy pe yodo Rao TO, Boaye Ò atra Ge Go à apo! me! pe YaN taxov. N 625: öç te TOT ppal Ot pSéocet TOt Str, 1130 ( 533. » 316): Motoucto ze NEUEN org, 3516: 20v 3 Ay dere rokwy xsparíépey aërmv. Statt Tóry airy dürfte es nicht allzu verwegen sein Tomy GP rc0v^) zu vermuthen nach Analogie von 199g duty, IAS deen, zeideg é9 oregtag und ähnlichen Verbindungen, die ich' Bul- letin histor.-philol. XVI p. 439 f. oder Mélanges Gré- co-Rom. II p. 189 f. zusammengestellt habe. Für eic ist eine derartige Uebertragung der Masculinarform auf das Femininum zwar nirgends überliefert, aber ‘noch an einer anderen Homerischen Stelle mit ho- her Wahrscheinlichkeit anzunehmen. Bekanntlich ge- braucht Homer, wie Aristarch sehr richtig beobachtet hat, “Dos als Fei. , wogegen das Neutrum "Icy ihm fremd ist. Diesem eset widerstrebt in dem auf uns gekommenen Text eine einzige Stelle, 071: etc 6 £ Ayao "Dov aro £kotev ASnvains Sa Bovhas. Sollte auch diese Stelle unecht sein, wie alte und neuere Kritiker vermuthet haben, so wäre ein "Dua atr» da- mit allein noch keiileswegs entschuldigt, da tò "Duov erst aus der Tragódie nachweisbar ist. Ausserdem spricht gegen die Richtigkeit der Lesart "Duren aix éhotev der zwar nicht unerhórte, aber doch immerhin 7) Od. » 316 bietet in der That aixdy der codex Augustanus, und zwar post rasuram, wie La Roche bezeugt. Dies erwühne ich, nicht um meine Vermuthung als diplomatisch beglaubigt hinzustellen, sondern um anzuerkennen dass ein anderer vor mir den gleichen Gedanken gehabt hat sehr auffallende Hiatus nach arú. Aristarch soll “Troy éxméococty geschrieben haben. Die blinden Verehrer des «grossen Kritikers» werden nicht ermangeln zu behaupten dass er diese Lesart aus besseren Hand- schriften entnommen habe; denn eine gewaltsame oder unwahrscheinliche Vermuthung dem Aristarch zuzu- trauen kónnen sie sich nicht entschliessen: damit an seinem Namen nicht dieser Makel hafte, müssen seine uns unbekannten Handschriften so gefällig sein jeder seiner Vermuthungen, den richtigen wie den unrich- tigen, die nöthige diplomatische Beglaubigung zu ver- leihen. Mir scheint es unzweifelhaft dass wir O 71 "Doy airdv herzustellen haben, was in au verändert wurde, weil man aëruv als Masculinarform auffasste. — Die alra bes on (0369. 99) lauteten vielleicht ur- sprünglich atva osea. Zu Gunsten der Vermuthung 27uyos údatos od béeSpa könnte man sich berufen auf die Handschriften des Quintus Smyrn. 5,453: 7 de Song Üxave mori Zruyos alva deep, wo jetzt nach einer Vermuthung von Spitzner in Uebereinstimmung mit 6,266 Zruyos atna beson geschrieben wird. ® 9 würde ich, wenn die Aenderung atva hier berechtigt ist, nicht sowohl ava épa als Boaye 3 alva. verbin- den (vgl. A 420: 3ewóv 9' ¿Boays yoXxog). Bei gelehr- ten Dichtern ist alos natürlich zu dulden. Apoll. Rhod. 1,927: lotia $ cüoo oTnoapevez xovens ASapavridos P beeipa, elogfahov. Quintus Smyrn. 2,596: aii ¿ho cop.évou "Yreepiovos alma x£ActSa. 5,55: tedmnotec aina xéheuda. 6, 145: "Extopos alna éhaSoe. 6,266: Tapa Zruyos aina beine. 7,557: d Sumdccs aina papa. Unsicher ist Tupoonoto alris bei Euphorion fr. 84. ; Der Homerische Vers B 544: Soenxac Ber Inlov apol anse, galt nach Eust. p. 282, 29 den Alten als zwülfsilbig : To À Üm(ov draoa ol mararol afrovor d ka ayayı- vooxeıy Broud äu: Sa dxpovnocos rei I, xal yíveras eeng To Eos ¿hooróvdcioy. Die DECH des Ho- mer messen dagegen $ntov anapästisch. Dieser An- nahme widerspricht Cobet Mnem. nov. II p. 200: modo ' Butt &yBoec, Sniov avòga, Anton de nohépoto, Iniov És Topo dizit TeaM Bos, modo per synaeresin Soto: naysosar, Beer 85 yappa yevéoSas, p.opvacSa! qora: — i sed Bekkero placuit Snoot, Snious, niov, Zuierg seri- bere incertum quo more aut iure. Allerdings findet sich für das Verbum 3*«»6o überaus häufig in unserem Bulletin de l'Académie Impériale 28 Homerischen Text die kürzere Form 950 (vgl. $no- coc A416. 3qoSévcov A 417. Sou» E 452 u. dgl.); für das Adiectivum dos lässt sich dagegen aus Homer nur eine einzige Stelle geltend machen, deren Lesart jedoch streitig ist. 1594 liest man gewóhnlich: xéxva dé T GRO dyouct Basubavous TE vuvaixas. Zenodot aber soll gelesen haben téxva òè Spot Ayovar. Wiire diese Lesart richtig, zo dürften wir ein zweisil- biger 3os für Homer als erwiesen betrachten. Alle übrigen Homerischen Stellen welche Cobet zu Gunsten der Schreibung 3105 anführen kann, sind so beschaf- fen dass dns mit Verkürzung der ersten Silbe durch den Vers nicht ausgeschlossen wird. B 415: rpmoa 3 Tugs önloro Súpetoa. B 544: Sognxas prsy nov app} ornSecotv. À 373: Gase naysosar. Z 82: Ömioror 3 yappa menge, 2331: mupcs Gate Eu H 241: nía píhmeoa: Apy. 0181: Tupos Bunter evécSo. 1317 (P 148): paovasdout Sufotety dr ayàgaat. 1347 (674): aAcéepevar Bro Top. K 358: vo $ dvògaç Snus, Aanbnga Se ‚yovvar boya. A 190 (205): pag- vadar Bnioo XATA LPATEPNY Zog, A 667: Tupos nou Sépovre. M 264: Baroy dr autawy Önlous. M276: dníous voti &ccu Beate, 11127: rupgos Inforo | sS lor». 11 301: drogue vol Bou rp. P 667: 9ntotct Nros». 3 13: arocduevor oy x0o.. Q 684: aydpacty 3» Snícrar. Die Uebereinstimmung dieser Stellen lehrt — . dass Homer die erste Silbe in Ae: nicht selten ver- kürzt, die zweisilbige Form dos dagegen gemieden hat, und dass Zenodots Schreibung téxva 85 IYor ayouot keinen Glauben verdient, ein Pentameter dagegen wie yoAxso» dy. övvya státe póovoy niov (Anyte Anth. Pal. 6,123) von Seiten des Metrum nichts gegen sich hat. Mit der Verkürzung dgos statt Sos vergleicht Cobet die Homerischen Doppelformen Beie und Og- xss. Allerdings sind die Schreibungen Goÿxss Oonxn Oonxn se» Ooyxenvds jetzt bei Homer herrschend, ver- bürgt aber«sind diese Contractionen nur durch E 462: eidopevos Axapavte 300 nynTopt Bonxöv. Alle übrigen Stellen wo jetzt entsprechende Formen geschrieben werden, lassen sich zurückführen auf Govt- xes mit verkürzter Wurzelsilbe oder @géxss (nach Steph. Byz. p. 317, 1: to éSwxov paol xal Bpdıxes „xal Smvxos Opéaca). So À 519: Bars 9 Opyuoy ayös avgav, und entsprechend A537. Z7. 15. 72. K 464. 470. 506. 518. A222. NA. 301. 2227. Y485. 0234. . $361. Diesen Thatbestand erkannte Payne Knight, der E 462 als unecht bezeichnet: «etsi enim dei ple- runque sub virorum personis in acie versabantur , non ita Mars nunc fecisse videtur. Vide infra 846, etc. Ocqxov» quoque, quum in Homerico sermone SAN fuerit Sezrixov, in nullo vel fine vel initio versus locum habere potuit». — Wie nach der vorstehenden ¡CU der Vers (B544) Sognxas Käfeg nifo» appl os gg nicht sechs, sondern nur fünf Spondeen enthält, so sind zwülfsilbige Hexameter wie wir sie in der ältesten Rö- mischen Poesie finden, z. B. olli respondit rex Albai longai, oder introducuntur legati Minturnenses, von Griechischen Dichtern schwerlich jemals gebraucht worden. Denn die insgemein angeführten Delege rein spondeischer Hexameter (A. Ludwich de hex. spond. p. 26) kónnen eine derartige Licenz nicht erweisen. Vgl. A130:"Azocións: «à 9 adc Ex déppou youvatéoSnv. Statt 'Atosión< schreibt man jetzt mit vollstem Rechte Arosións (eig. Arperlöns): der älteste Epiker der ein dreisilbiges Atpsións sich gestattet hat, ist meines Wis- sens Tzetzes. Der Gen. dopo wird besser Sípooo lau- ten, wie Leo Meyer erkannt hat. — Y 221: Quynv x- xAncxoy Horgoxkros derhoto. Homer kennt nicht Ha- TROXA OS , sondern nur IlatooxAécos. — 0 384: aitov xal xperoy T olvov Befpídaciv. Fehlerhaft ist x get», was vielmehr xpedov heissen sollte; bedenklich dë otvov, wofür xal olvoo erwartet wird. — ọ 15: co à ¿y Mec- ann Euren». AAA ADV, Statt der activen Form up- Barri» fordert der Sprachgebrauch das Medium, also EuvySinato mit einem erlaubten Hiatus: ev Meco yg scheint statt ¿vi Mecoyyy substituirt zu sein. —1175 (192): Sek Se rhextny dE autou TELQNVADTE. Miel mehr «3x6o. — Hymn. Apoll. Del. 31: vñcos T Aëyéms yaucixAeve T Eäëerg. Der Dichter dieses Hymnus hat im 4. und 5. Fusse Daktylen gebraucht, vaa Asi, T Euca. Il A 156 ist überliefert: érem (oder émel 5 para moda peta Éd op TE GXIOEVTE SALTO TE NANETTO. Statt des in der Ilias und Odyssee nirgends weiter vor- kommenden petağó hat I. Bekker peomyus gesetzt, wie der aus einer erheblichen Zahl von Stellen ersicht- liche Homerische Sprachgebrauch zu schreiben ge- bot. Was man gegen diese Aenderung eingewendet hat, läuft hinaus auf die eine ger. dass eraf 29 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 30 in allen unseren Handschriften steht und bei einigen späteren Schriftstellern °) und Grammatikern aus eben dieser Stelle angeführt wird, kurz dass die Ueberliefe- rung A 156 eben nur perafu kennt, nicht aber peonyo oder peonyus. Ein derartiges Argument ist freilich geeignet auch das widersinnigste zu vertheidigen, will aber doch sehr wenig bedeuten, wenn man erwägt wie nahe es einer jüngeren Zeit lag das dichterische und veraltete peonyyó durch das gangbare petaÉy zu er- setzen. In einem bekannten Orakel (bei Phot. Lex. und Suid. v. onst: Anth. Pal. 14, 73. Schol. Theocr. 14, 48) finden sich die Worte: AAN Ent xal zën eloly dneivoveg d To pe GNYÙ TiguvSog vatova: xo Apxading nekupmdon, wofür Tzetzes Chil. 9, 492. 886 ct tò peras citirt, ' wie-anderwärts fva ëng 03, ¿mos und Aóyoz, pos und gute u. del. unendlich oft voi titóclit werden. Um die: handschriftliche Lesart A 156 zu schützen, war zu zei- gen dass schon in ziemlich alter Zeit yeca£9 gebraucht wurde. Einen Versuch dies zu beweisen macht Ameis, der behauptet, in dem Sprichwort road peroo neher xúlixos xal yeldcos axpou sei der Anfang sicherlich aus unserer Stelle entlehnt -— eine durchaus willkür- liche Behauptung, die, wenn sie richtig wäre, für die Form petag nichts beweisen würde — und darauf fort- fährt: «wird doch sogar der ganze Vers (xoX1à.— dxpov) von Michael Hamartolus in Boisonnade's Anecd. IV 455 dem Homer beigelegt, was wol jeder als ein Zeug- niss für das Alter des Verses betrachtet.» Wie alt ein Vers mindestens sein müsse, damit er von einem schlecht unterrichteten Pyme für Homerisch ge- halten werden kónne, hat Ameis vorsichtiger Weise unentschieden gelatin Michael Hamartolus aber hat seine falsche Angabe vermuthlich aus Stob. Flor. 111, 14 entlebnt, wo der nàmliche Vers roMa petao ré- het eege xal yesos degen angeführt wird mit dem Lemma "Oagecu 'O3uccsíac. Der Ursprung dieses Irr- ` - thums erklärt sich sehr einfach, wenn man weiss dass in den Schol Od. xy 9 dieser Vers besprochen wird; statt der Homerischen Odyssee hätte Stobaeus viel- mehr die Scholien zur Odyssee erwühnen sollen. Aus Dez Auf einem Irrthum beruht Bekkers Angabe (Hom. Blàtter I 212), dass Plato in einer Anführung uera&v habe; bei Plato wird dido Stelle überhaupt nicht angeführt. Wohl aber bieten petao in Uebereinstimmung mit unseren Handschriften Plut. Mor. p. 672 D. Dio Chrysost. 37, 44. Apollon. e Epist. 60. Iohannes Alex. p. 42, 19. Schol. E 479. I 363. T 218 t der irrthümlichen Angabe des Michael Hamartolus lässt sich somit das Alter jenes sprichwürtlichen Ver- ses in keiner Weise bestimmen, Zu Od. x268: olda yap de ed aucóg dhevocar ees TY aAdov diete oe étage, finden wir in den Schol. - Havn. über cà» die Bemerkung: 'Apíotapyos gud) tod cóov. In seiner ersten Ausgabe der Odyssee billigte Ameis die Auffassung des Aristarch aus verschiedenen Gründen, die man bei ihm selbst nachlesen mag; spá- ter Mikschnóte er có» als Gen. von cos, wofür er wie- derum verschiedene Gründe anführte, ohne jedoch des einfachsten und schlagendsten Grundes zu gedenken, ` des Umstandes nämlich dass die einsilbige Form ode der Homerischen Poesie fremd ist. Bekanntlich ist coz entstanden aus oae (eigentlich caros), wofür frühzei- tig ocos aufgekommen zu sein scheint. Abgesehen von einer einzigen Stelle, X 332: Kee, aca TOY ČENG Hazzeniee éEeva.ot oy cos &cceoS , ¿pi 9 oùdèy orikeo voopıy dovra, wo 00s ¿o0z03 aus Los £cocoS oder gods ¿osos ver- derbt ist, gestattet die Homerische Poesie durchgün- gig die an mehreren Stellen durch den Vers gefor- derte zweisilbige Form, die wir eben deshalb bei Ho- mer als allein berechtigt anzusehen haben‘, während der «grosse Kritiker» Aristarch, sei es nach schlechten Handschriften, sei es nach eigener Willkür, das Attische cóc bei Homer unrichtiger Weise bevorzugte (vgl. La Roche Hom. Texteskr. p. 358). Die zweisilbige Form lautet in der Ueberlieferung der Homerischen Ge- dichte fast durchgängig cóoç: nur selten begegnen wir der Form 6005 (wie bei Apollon. de coni. p. 489, 16: Boukou eyo Aay cao» qvos, aus À 117, und Schol. A 11252: Soe ypapstar, xat coc» xal caoy), die ety- mologisch allein berechtigt ist und aus zahlreichen Ableitungen auch bei Homer erkannt wird: dahin ge- hören oacppwv und oacogocuvn, Verbalformen wie écaoca écawSny caoco caVcopa:, namentlich aber der Comparativ caortepos A 32. Nach diesen Ablei- tungen, die das Alpha der Wurzel durchgángig be- wahrt haben, erscheint es als höchst auffallend, dass odos aus unserem Homerischen Texte fast spurlos ver- schwunden ist. Für die Veränderung der ursprüngli- chen Form oaos in ccc; dürfte der O-Laut der En- . dung maassgebend gewesen sein: ganz eben so kam statt pacs. die Form edos frühzeitig auf (die Schrei- bung og wird von Leo Meyer Zeitschr. f. Spr. IX ` 31 : Bulletin de l'Académie Impériale 32 p. 389 verworfen); aber die Trübung des wurzelhaften Alpha beschrünkte sich auf den Nom. und Acc. Sing., d. h. auf die Formen wo ein O auf das Alpha folgte, wogegen pas und oasa den ursprünglichen Vocal durch- güngig bewahrt haben: wie etwa Anpopaov zu Anpopoov werden konnte, Evpvoascscoa dagegen eine entspre- chende Veránderung nicht erlitten hat. Kónnen wir somit die Formen 0605 gov ocot bei Homer gelten las- sen, so dürften doch schwerlich Trübungen zu recht- fertigen sein wie ccv, und oda. Vgl. O 497: &hoyos «e con xal naiss ómicoo. 0382 (v 364): ug meo cac zo. góa ép. Den alten Grammatikern lag es begreif- licher Weise sehr nahe, sobald 0005 und odo» aner- kannt waren, auch con und soa für berechtigt und - nothwendig zu erachten?): uns wird obliegen die gesetz- mässigen Formen san oaa wiederherzustellen, weil für. . diese Formen eine Trübung des Alpha als unmotivirt erscheint, und namentlich weil das Attische va (Neu- - trum Plur. bei Eur. fr. 762 und Plat. Critias p. 111 C, Fem. Sing. bei Aristoph. Com. 2 p. 1194) den Wur- zelvocal Alpha erweist. Eine Spur der richtigen Fe- mininalform ist vielleicht wahrzunehmen I 230: ara inv péyo Tempo, dorpepés, Stoppe dsldıyev dy Berg 9$ oo cépev y Loon: vias duscéhpovs, el pon ol ys dussar deg, Hier hat I. Bekker das sinnlose caocéuey geändert in 0005 čev (eben so etwas später Cobet Mnem. IX p. 392); - die Gesetze der Grammatik fordern vielmehr eaa dev, und caocégsv erklärt sich nunmehr ganz einfach aus der falschen Verbindung cuacéuev. Der classischen Zeit durchaus fremd ist die Form 0095 (richtiger 000g), die zuweilen bei Homer als Variante auftaucht (wie A 117. H310. © 246) und bei Attischen Prosaikern ‚statt des ursprünglichen coz sehr häufig in die Hand- schriften eingedrungen ist: so weit wir zu urtheilen vermögen, kann cocs als sicher gelten nur für nach- alexandrinische Autoren, wie Apoll. Rhod. 1, 918. Philodemus Anth. Pal. 6, 349, 6. Babr. 94, 8. Ma- ximus zei xatapyo» 386. Merkwürdig ist der Miss- brauch späterer Dichter, welche durch die Form ocez veranlasst wurden Bildungen wie Boorecocos im Sinne 9) Sehr bezeichnend für die Anschauung der alten Grammatiker ist was über den Ursprung der Form 50 berichtet wird Schol. Eur. Hec. 994: 4x5 tod 0005 xatd SUXOT HV YÉverat 005, 100% Sek Awpt- awe 040%, xat tponn toù À eig v péya xai &xßon tod O 605. Ext (L &£ott) di xal odor did 109 O use von gau tous aySporovs zu gebrauchen: während die in álterer Zeit vorkommenden Adiectiva der gleichen Endung (Aao006os, Soguoccos u. dgl.) bekanntlich nicht mit c&og oder cóos zusammenhängen, sondern von csào (eigentlich orso) abgeleitet sind. Dem Adiectivum caos entspricht das Verbum caño, das in den Homerischen Gedichten die regelrechten Bildungen caëco acp. 800.000. 200.057» nebst den zugehórigen Flexionsformen durchgángig bewahrt hat, im Präsens und Imperfectum dagegen eine Unregel- ` mässigkeit zeigt, in der ich nur einen neuen Beweis finde für die nach meinem Dafürhalten unzweifelhafte That- sache, dass die Alexandrinischen Grammatiker wenig Griechisch verstanden, und dass die Homerischen Ge- dichte, weil diesen vorzugsweise ihre unreife und will- kürliche Kritik galt, am meisten systematisch entstellt . wurden. Auf einem leicht erklárlichen Irrthum beruht _ die Schreibung eg o als Imperf. an zwei Stellen der Ilias wie als Imperat. an zwei Stellen der Odyssee. II 363: aa xal Os dvépuuve, cao à Eoinpas Eraipous. 238: Locus òè oao xata xaha bé5pa. v 230: Ma cao piv radta, cao 9 pé. p595: ayrov piy oi THOTA cao (sao eine Wiener Handschrift und Apollonius de pron. p.59 A). -Dieselbe Form finden wir überwiegend in ` der späteren Poesie, wo man mitunter zweifeln kann, ob die Dichter selbst oder die Abschreiber durch den Homerischen Text sich täuschen liessen. Callim. Hymn. 5, 142: xoi Aavasv xAdgov aravra cao. 6, 135: yale. Sea xai Tavès cao To. Phaedimus Anth. Pal. 13, 2: Anohodooou raida xal rarpav ` cao.: Greg. Naz. vol 2 p. 73 B: dMa cao xal vous pcv. p. 79 D: Ma can pe cam. pe, PAN tuas. p. 96 B: aka cgo pe cao pe, Teod cys. Greg. Naz. Anth. Pal. 8, 37: Ma cao xal v0» pe, TATEP, peyadyo: tow. Apollinar. Par. Psalm. bei O. Schnei- der Callim. I p. 83. Unversehrt hat sich e&ocv erhal- ten Hymn. Hom. 13, 3: yaips Sea xal tnvèe oaov To- Xv (wo man jetzt cao schreibt mit Barnes). Callim. (Epigr. 35) Anth. Pal. 6, 347: ¿Ma où pèv dé, Tó- cw, THY dE oaov (so Anna Fabri). Hedylus bei Ath. XI p. 486 B: nv aaou (ny c) sas richtig L. Dindorf im Thes.) ravrog. Theodoridas Anth. Pal. 6, 157: Toto piv wAoras Bale, caou de Grieg Quintus Smyrn. 12, 153: xAüSt, Sea peyadupe, caou 9 ep xal TEOV immo». Synes. fyra. 3, 496 p. 329 B: ra où rayta paxap Arfueco: oaov. 3, 543. 546 p. 330 B: xai des Sciences de Saint -Pétersbourg. # cópa cao grenge, &ySpaic a aov Aën, xal zen gaou dpóħuvtev, avaë. 8, 6 p. 345 C: où dé pov Broto» caou ravarmova, xoipave. 8, 38 p. 346 B: òapov dienen oaov. Einem Schwanken zwischen beiden Formen be- gegnen wir in dem Epigramm Anthol. append. 294: _xuies, Ze Bachet, xal oao Apxadlav, wo Polybius 4, 33 cdo (Var. cac?) bietet, Pausanias dagegen 4, 92 caos (Var. cóc). Für Hosen wie überhaupt für die lrinische Zeit werden wir das regelrechte oëeu für nothwendig zu erachten haben mit CobetMnem. noy. II p-356: «nempe Ev Tolg tarator évévearto CAO, napspIapn 3b Und Toy PeTayapaxınpıcavwv, qui ca . scripserunt quum caOY deberent.» — Stärker entstellt sind diejenigen Formen des Verbum c«6o, welche bei Homer in der Wurzel den Vocal get on zeigen. 1393: nv yap òr pe 0000, Seol xa, olas Be ee? Hier ist entweder nv yap $% pe caño: Seo oder nv yao 91, cacwot Seo zu schreiben; dass die Ueberlieferung schwankte lehrt ein Schol. m cómo!" Topavviov np TEPLOTO Oc degen — Ariov Ak Bui rod A Yoage: — 1 de Tcov Xenets, Qv ¿om xal ó Acxahovíras, oe 00- oct, xal Sidoy Ser Tod ouer ouarokmy autos (doch wohl aro) del roapadécacsa: Womit zu vergleichen das Citat in Schol. V 11 252: du yao 3 we oaoot Jeol xal oixad tempor. Ferner 1424: 1| xé Gen vñas te 060 (andere on) xai Xa6v Aan, und 1681: érroc xev vidis. Te 005 (andere Handschriften bieten cénc, Gute, 0005, eege) xai Aay A xe16v. An diesen bei- den Stellen liegt es nahe vis Te cao? und vite Te cactis zu schreiben, zumal Aristarch 1681 zwischen |: cops und caos schwankte; vielleicht aber ist vorzu- ziehen vac oacy und vias cacas. In jedem Falle ver- langt die Wurzel den Vocal Alpha. Vgl. -Tyrtaeus fr. ‘11, 13 bei Stob. Flor. 50, 7: m&UpoteQot Svroxouct, cavòt (so Buttmann statt des handschriftlichen adouat) òè Aaó» ómiooo. Theognis 868: alypnuns yap avro mm Te xal &ccv oao? (andere cao). Callim. Hymn. 4, 22: oao? dé pv avr dria Soo. Nicander Alex. 167: TÒ yap On Lon» te cac? (andere cac), xai mótuoy ért- aret (?). Diog. L. 3, 45 (Anth. Pal. 7, 109): Peißes épuas Bporois Amy 792 Marovo, tv py {va Yu- mv, Toy 8’ "e E cao? ^), — Endlich ermangelt für > 10) aig bei Diog. L. als in pra Anth. pe scheint ‘tot überlie- . Eine Prüsensform von oacw vermuthet m auch bei [een Se 73, angeführt von Apollonius Ae pron. p. 128 B: Ggs Tome XXII. p Homer und die ältere Poesie hinreichender Beglaubi- gung die Form cwo, deren sich spätere Dichter aller- dings bedient haben. Apoll. Rhod. 2, 296: ol à ¿px elgaytes Undotpepov ap dei vga gece zer (so Ruhnken nach dem Zeugniss Etym. M. p. 742,7 statt des hand- schriftlichen Ceieczer, 2, 610: 3n yap paca ZE Aldao Good. 2, 1010: adovco maptE TıBapnvida yaiav. 3, 307: Ud cte atn coopéyor peoonyos Évéxaoev. 4, 197: avtov S úpelov doShmy éraoo'0y dodoay costs. Nicodemus oder Bassus Anth. Pal. 9, 53: “Trroxporns paos T wies xal costo Ay Eve Macedonius Anth. Pal. 5, 235: dAX ¿pl cb VU yo dm nreiporo pavéyta oe Tedy Ayıdvov ¿vd dsfop.eévn*). Bei Ho- mer ist o@eıv überliefert an zwei Stellen, 0363: ő of paño rokhoxtg ulov vetpGpevoy COECXCY UT. Euguc'ic déShov, und (430: «o 9 étépo ÉxateoSev itv» ges éva/oouc. Weder die eine noch die andere Stelle kann das Omega der Wurzelsilbe rechtfertigen; es werden also die durch die Analogie geforderten Formen in ihr Recht einzusetzen sein, dort caceoxoy, hier TUCOVTES, In gleicher Weise ist e 490: orépua uge roto», wo Buttmann Ausf. Sprachl. II p. 295 appa. Topos TONY vorgeschlagen hat, vielmehr créppa Tupos ca her- zustellen: die Zulässigkeit dieser dreisilbigen Form spricht dafür dass Buttmann, wenngleich sein Verbes- serungsvorschlag nicht zu bise ist, doch mit vollem Recht gègen das handschriftliche cotoy sich erklärt hat ^). oT gon armoluuévous Game H AXxaioc Sevtépw. Doch könnte hier, wie Bekker erinnert, auch Sawo oder géngen oder eine entspre echende Form gestanden haben 11) Von zweifelhafter Gewähr ist die handschriftliche ec? bei kan fab. 103, 17 setzte Lachmann: aoro, eot», statt des iae rotin Coto, áns andere mit Recht in 181, 23. an einer Stelle des älteren ee: ei coto, überliefert, aber keineswegs einstimmig, bei Hesiod Op. mouvoyevne de mars Ge Cot beier ua OÙLOV. So die eine Recension, während andere schreiben: N enge, ai rats ely TATpwtoy otxov "exi (ws yàp mhoUros aketat èv Keyaporaıv. Hier FE der zweite Vers eine spätere Zuthat zu sein, die durch das erg E en wurde. Mit Tilgung dieses Verses möchte ich schreiben vere di oe cado! 7 Tatpwtoy oËxov. Die Form caco: kon e leicht einerseits in oo, andrerseits i in ein entstellt werden. Auffallend bleibt freilich oixov statt roixov. 8 Bulletin de l'Académie Impériale Od. 0.479 ist überliefert: avcho © Evdounnse TETOVO Oe all xh. Die einsilbige Form xn£ findet sich nur hier und bei - Grammatikern die auf die vorliegende Stelle Bezug | nehmen. Sonst gebrauchen die uns bekannten Dichter zur Bezeichnung des hier gemeinten Vogels durch- güngig nur die zweisilbige Form, xnu& oder xam. Babrius 115, 2: dans re xai xuw Se doo caus. Lucian E 113: roûs tavta mere dya xa SN LEVOS p.ovos omoi XApUE (l. ud) ge Toy Toda. Hippo- nax fr. 2 p. 589: Kixov 3 ó mavdarnrtog (?), Ap.p.opos xaung. Antimach. fr. 77: dcs ttg xauné duvy. Callim. fr. 167: eudtot AS Lycophr. 495: tpuacous de TAL{UTOUGL Keoxaipov vara, zouge, 741: E Goen mom iuevoc xhado. 789: AcioSov A8 xanë Bots HAT Seoyeus. Leonidas Anth. Pal. 7, 652, 5: 10 Lä To anne xal ¿y Sugcgors \apfdecats eine ärvous. Euphor. fr. 88: ng ov alsura C905 xpuspol xaunxes. Schon nach diesen Stellen muss das einsil- bige së bei Homer’als höchst befremdlich erscheinen, zumal da xq»$, wie die Nebenform xaung und das La- | teinische gavia lehrt , ‚zwischen den beiden Vocalen ursprünglich noch ein "Vau hatte. Es dürfte somit zu schreiben sein: avrho à Evdounnas negos Og ely AN XIVE. Somit ist es vielleicht nicht zufällig, dass mehrere Handschriften der Odyssee die zweisilbige Form XNUË bieten, die auch im cod. Gotting. der Schol. Pind. Pyth. 8, 10 sich findet. Zur Unterstützung meiner Vermuthung kann dienen Schol. Soph. Ant. 264, wo in einem Verse des Callimachus (fr. 209) péyas etvd- Atos pudooc überliefert ist statt péyas sv Al pudpos. Statt ¿vdour nos wird aús einer: Wiener Handschrift und Eust. das Simplex 'éBour os. von La Roche ange- merkt: vielleicht eine Spur des ursprünglichen «vto 8 äydsunnee. Uebrigens dürfte die aus Hipponax, An- timachus und jüngeren Dichtern nachgewiesene Form xavné in Verbindung mit dem Lateinischen gavia wohl eher auf ein älteres xarné oder xnrné schliessen las- sen, das freilich nirgends bezeugt zu sein scheint, als | auf das von mir vorgeschlagene xnu£, das als Appella- tivum spät und selten, überaus häufig dagegen und schon bei Hesiod als-Eigenname auftritt. Darum würde ich nichts einzuwenden haben, wenn jemand an der Homerischen Stelle avte A eydounnos recodo os ci» adi xnnë zu schreiben vorzöge. 1l. 0532 — 541 spricht Hektor in einer Versamm- lung folgende Worte: Siocna) ef xé pe 0 Tudsións OS Aroumöng TAO yr» TOO Tel oc ATWOETAL, d Lë ¿yo TO e daucas Sapo. Bporcevra popa. aŭ otoy NV deer» dasiostas, d x pov tee ue(vq émepyópevoy: oO), Ev TQÓTOLON, do, KEÍCETOL Deet rohées à app TOY étaigot, LA AYLOVTOS Ze a3 gto. el yap ey Oc ELN Gsavares xal aynpaos npara TANTA, E a 9 de tet ASnvain xal ATOMOV, ` de vOv Tjxéon NE xaxòy oéoet Apyetorow. Ueber die Verse 535 — 537 finden wir in den Scho- lia A folgende Bemerkung Get Ñ TOUTOUS del Tous toeig oriyous pM ote TO avcíovyy.a mapaxsıcat, Y TOUS ¿Ens toeic, ot al ocea TagaxewTaL eis yap d AUT yeypappévor slol Sroaivoray. ¿yxpíver SE p.obhhov ó Aplarap- yos ie deutépous da: TO HO Meer etyat TOUS hóyovg' 6 òè Znvodoros tods noWroug telg cU8b čypapey. Hierhach hätte Aristarch drei Verse und zwar ent- weder 535 — 587 oder 538 — 540 ausscheiden wol- len. Es liegt aber auf der Hand dass 538 — 540 sich nicht ausscheiden lassen, falls nicht zugleich 541 ver- worfen wird: darum wollte I. Bekker schreiben 9 tovg ¿Eng téocoapas (538 — 541), eis al otypal Taga- serien, und in der That konnten tests und tégoapes überaus leicht vertauscht werden, wie sonst tptrog und réragros. Gleichwohl ist Bekkers Aenderung unwahr- scheinlich mach den Worten 6 32 Zyveðotos tovg rpw- trous tosta 0085 ¿vpaqe», die darauf hinzuweisen schei- nen dass es sich um je drei Verse handelte. Unter den ¿Ens toets ere möchte ich daher mit Pluygers und 585 540 und L. Friedländer (Aristonici mep? onpelov "Dados reliq. p. 152) die Verse 538. 539. 541 verstehen und annehmen dass Aristarch die aus N 827 entlehnten Worte moin I de tér ASnvaén war Ane) oy an unserer Stelle überhaupt nicht gekannt habe. Dies ` ist der wesentlichste Gewinn der sich aus dem oben mitgetheilten Scholion ergibt: nicht zu verschmähen ist demnächst die Notiz, dass Zenodot die Verse 535 — 537 083 ¿ypage», d. h. aller Wahrscheinlichkeit nach in seinen Handschriften des Homer gar nicht vorge- funden. In der That bieten diese Verse manches be- fremdliche: nv apermv statt roy ap., dostosta: statt des hier zu erwartenden use Setter, endlich oùrnSes 37 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 38 statt des üblichen ovtap.evos. Gleichwohl dürfte es misslich sein auf diese Indicien hin die drei Verse 535 — 537 als eine spátere Einschaltung zu verurthei- len: ich möchte eher mit Payne Knight und I. Bek- ker die Echtheit der Verse 535 — 541 in Zweifel ziehen als annehmen dass die drei in der Ausgabe des Ze- nodot fehlenden Verse von unberufener Hand nach- tráglich eingeschaltet seien. Dass 535— 537 vor 538 nicht fehlen dürfen, scheint mir klar hervorzugehen aus einer bisher meines' Wissens von niemand wahr- genommenen Entstellung unseres Textes, um derent- willen gerade eine Besprechung dieser Stelle nicht überflüssig schien. Aristarch wollte entweder 535 — 937 oder die drei nachfolgenden Verse (nach unserer Zählung 538. 539. 541) ausscheiden '”), weil in bei- den Stellen derselbe Gedanke enthalten sei. Worin aber besteht die von Aristarch gerügte Tautologie? Offenbar nur in der Ver bindung von &0ptov NY APETV Stasisera. und meAíou AYLOYTOS ÉS gäe, Allerdings ist diese Verbindung unerträglich; aber neXlou awovroc és gäeren scheint mir an sich unpassend, und wenn die Erklärer bemerken, és otov sei hier «unrichtig» statt avgtoy gebraucht, so kann ich diese Unrichtigkeit nicht dem Verfasser unserer Stelle zur Last legen, sondern lediglich den Abschreibern. Wie wir H 423 lesen: NeALog piv ¿mento véoy TpocéBO ME» gëeuiege — OÙ pAVOY Stoos, und ähnliches anderwürts, so scheint es mir ‚unzweifelhaft, dass es utspränglich geheissen nehtou dvóvtos és oupavov. Gerade durch das voraufgehende adprov V. 535 wurde der. Fehler unseres Textes ver- anlasst, und wenn wir dwóvrog és oupavov herstellen, so ove sich für die früheren Worte eine leon: mung wie sie in avptoy enthalten ist, als unentbehrlich; V.535 — 537 kónnen somit unmóglich einfach ES geschieden werden. Statt éreoyoyevov 536 dürfte dreg- Xop.évou nothwendig sein. — Eine andere Metamorphose hat das Wort oupavós NE Georgius get, in Spengels Rhet. Gr. vol. 3 p. 254, 16 erlitten, ein Beleg der rpoowror.euia angeführt wird, ot où Ber Simyoüyrar SoËav Seen, Den Ruhm Gottes verkün- den wie andere Geschópfe so wohl auch die Geier, vor- zugsweise aber doch die Himmel: statt e otwvol ist 13) Statt n£verv wäre angemessener a3eceiv: wenn drei Verse den- selben Gedanken enthalten wie drei unmittelbar voraufgehende oder nachfolgende, so ist dies ein Grund nicht zum Beibehalten, sondern zum Tilgen von drei Versen. vielmehr d cuvol d. h. oi odpavol zu schreiben, wie die Quelle des Spruches (Psalm 18, 2) lehrt. 1.1412 415:, el pév x aus: pávov Troov TONY APPLY pa, * GASTO Wë pot 09706, ATAG sën apSttoy datar: el Sé xe olxad Top im de rarplda yatay, GAETO por xhdos éoShov, ¿ml Bmpo dé por atoy, Die Ueberlieferung schwankt V. 414 zwischen top: und began. Gegen cixaÿ (op spricht der Umstand, dass in tx» die erste Silbe stets lang gebraucht wird. Tadellos in metrischer Hinsicht ist Bentleys Vermu- thung oixa$' Txopoa, éd» de rarplda aia, welche von Bekker Hom. Bl. p. 218 und Meineke Stob. Ecl. p. CXCVI gebilligt wird. Dass jedoch ein überliefertes opt Ey in Txopoa oO» übergegangen sei, kann ich nicht für wahrscheinlich halten *). Leichte ist jedenfalls die Aenderung: el dé xe olxad (ont pim» de Tarplda yatay, und wohl auch sinngemässer: denn el xev Txopo be- deutet «wofern ich gelangt sein werde», el x&v lop dagegen «wofern ich aufbreche»; dem ads: pévery kann aber füglich nur das Antreten der Reise, nicht das Ankommen in der Heimath gegenübergestellt werden. Die Form tow, die ich sonst nicht nachzuweisen ver- mag, ist gesichert durch iyasa K 67 und tyow 1701. Il. A528 — 530: xelo Imroug te xal App. iSuvopev, Sa guo ca. innies reboi te, xaxnv ¿pida rooBahoytec, ` ŒAimhous OAÉxouct, Bon Ò Lofeotos Zegeen. Die Verbindung ¿o xoogoXAst» ist mir räthselhaft, und meines Wissens ist es bis jetzt niemand gelungen eine mit dieser Redensart vergleichbare Anwendung des Verbum rpoßarrsıy nachzuweisen. Denn nur auf einer falschen Vermuthung, welche durch die vorlie- gende Stelle gestützt werden sollte, beruht was Wun- der dem Sophokles beilegte: erst pot mv Epıv ov mpoi- Bares Trach. 810, wo ich das handschriftliche mv E 0 | pay für durchaus nothwendig, dagegen rpoußades für verdorben halte und mit der auf die Scholien gegrün- deten Aenderung drei po: (oder éxeiv)) mv Séptv au mpovashets zu heilen versucht habe. An der Homeri- - 14) Die ei Vertauschung scheint — Od. TT c 8 ¿mi rotor ëréeeoa yepatv êmat. Wo ich yepot a vorziehen würde nach X27: Kach ð: veel el A noyuve Saitov. "D 99: do£faro yepol planer. € 482: Aen 8 cun» ÉtTapnouto yepal Pina. h 3 -Tepopépovtes. Tzetzes Anteh. 25: Bulletin de l'Académie Imperiale 40 "schen Stelle scheint mir nothwendig zu sein: xaxny ¿pda roopépovres. Ueber diese Verbindung vgl. T7: Téguu Y dom Tai qs ott ¿onda mpopepovran Ç 92: oreißov 3 d» Bósparo: Sods ¿pida mpopepoucat. 3210: Ge Tis Estodoxo ¿pda eecht aéShoy Sip. Ev dAAo- $axó. Anth. Plan. 29, 5: “Extoga — Aavaoict MONTY (ayns die Handschr.) rpopepovra. Orac. Sibyll. 14, 93-(196): &hAnhous XTEVÉOUO! (xorpovo!) xaxny ¿pda (Lone aig. TOSYTOS er aXmhois mpopépovoar. Die Mehrzahl der vorste- - henden Stellen spricht für das Activum reopégew: nur L7 und $ 210 finden wir das Medium, &prda roopépoy- «at und Eorda rpopepyrar déShov. Aber 3210 erscheint bei Julian p. 96 B in folgender Fassung: Gares ervo- oxo ¿oda t oopégqot Qagstav, und T7 wäre xaxn» ¿pudo moopépovary durch das Metrum gestattet. Il. T1810 f. heisst es von Euphorbus: xal yap On tote portas Éelxoot Boe» ap Dora, root Zu c)» Asor, Sida oro pevos TohépLolo. Durchaus berechtigt ist eine Structur wie ¿pretoos rives, eldos tivos, dedampévos tivos: aber PIRL O x Ope voc twos hat bisher niemand zu rechtfertigen vermocht. Man sollte, wie ich meine, erwarten 1:Aatopevog To- Anere, Vgl. l 133: deefe Arkaröpevor end IL. 2410: 1, xal ax da osécoto TEMP alnzov avéotn "wie: Ad 9i xvnpol baovro Aparal. Wenn Hephästus réhos genannt wird, so bezieht sich diese Benennung auf die Hässlichkeit seiner gleichsam den Naturgesetzen zuwiderlaufenden Erscheinung: was das nur hier vorkommende aintev bedeute, ist ein un- gelöstes Räthsel. Ein durchaus angemessenes und zwar nicht weiter in der Homerischen Poesie, aber bei Ar- chilochus erscheinendes Wort bekümen wir, wenn es hiesse zéAoo ainvès dvéorn. Ueber aimms (Attisch alawıs) vgl. Blomfield zu Aesch. Pers. 935 und die im Bulletin VI p. 38 f. oder Mélanges Gréco-Rom. II p. 441 f. von mir gegebenen Nachweisungen. Alte und neuere Grammatiker berufen sich, um alnros zu schützen, auf ® 395: virt ar, © KUYOLULO, Secüc épòt Euvehmbverg Sapaos d ANTOY Eyouca; Auch diese Stelle ist höchst bedenklich: denn nur für einen Nothbehelf kann ich es halten, wenn man &qccv auf np: «wehen» zurückführen und aus der hiernach gewonnenen Bedeutung «wehend» die neue Bedeutung «heftig» ableiten will. Die von Hesychius überlieferte Notiz, dass Aeschylus (fr. 2) anrous für p.eyohos ge- braucht habe, kann uns wenig helfen, da der Beleg für diese Behauptung uns vorenthalten wird, und wenn Nic. Ther. 783 dyros im Sinne von axopeotos an- wendet, so beruht diese Redeweise vielleicht nur auf einer falschen Auffassung des Homerischen Sapoos an- xov. Dentlicher ist die Entlehnung aus Homer bei Quin- tus Smyrn. 1, 217: GX dye Sagoos datovy Evi arep- vost haBóvres axs pynoopecõa. Zu einem sicheren Urtheil über das Sapoos antev habe ich bisher nicht gelangen können: sicherlich aber ist reXop atqtov durch Sapcos nto noch keineswegs gerechtfertigt. Od. «68 f.: cà Hocedatoy yamoyos aaxeitg alet Kúxdoros xeyóhota:, 0v 69S aA. 00 aAamcev. Die Verbindung ó95So24.09 doce» kehrt wieder (516: vOv SÉ p dv CAlyos Te xal cutibavog xal axtxuc oprah- pod dhawoas. Man entschuldigt die pleonastische Re- deweise damit dass in aA«cóv der Begriff des Berau- bens enthalten sei, also óoSeXqc0 ahaocev stehe für zone dorépncev. Aber ahaocuy heisst «blind ma- chen, blenden», und daou «tva 6oSauo ist nicht minder befremdlich als tupAoöv tiva $9SeApo0 oder «jemand des Auges blenden» es sein würde. Dass von tupXog zuweilen ein Genitiv abhängig gemacht wird, kommt hier nicht in Betracht: tuphos tivos ist so viel als out 690v «t oder Ardpis tivos (vgl. Tuokos Tod péh- Aovcog u. à.), lässt also mit aioeug SoSarnou sich ganz und gar nicht vergleichen. Wie man aber TupXag Toy Erepov 6pSa.ov sagt, so würde ich SoSaapous daf twa nicht beanstanden. Der Genitiv pSaapod scheint an den beiden oben citirten Stellen hinzuweisen auf das ursprüngliche Sao dranepoeg und OQSaAxoU arapepcas. Für apépðew oder dmap.éodey Teva tivos finden sich bei Homer und jüngeren Dichtern zahl- reiche Belege; unseren Stellen gleicht am meisten 3 64: ooTar.oy piy & dpegae, dido à nèeiav adn). Od. T387: eið Ki ¿de Be à aya yet, ahha Bohea3e | UTOY TE GOEY xal fren TATPOLA TAYTA TÉ. Eine der wenigen Stellen wo statt des bei Homer herr- schenden rav3ayo die jüngere Form aydavo gebraucht ` zu sein scheint"). Vielleicht ist &pavdavsı eine will- kürliche gg statt des ursprünglichen arsvadev. 15) Statt Boukns, n $a. Seoisıy Epnvdave unticwo:y H 45 hat Hoff- mann 3eotc émoavdave vermuthet, I. Bekker dagegen Seotory ¿rnydave drucken lassen: wir werden vorziehen Szoto:y Eravdave mit Payne A9 ; des Sciences de Saint- Pétersbourg. TN 42 Noch kónnte ich manche Stelle zur Sprache brin- gen, wo die überlieferte Fassung des Homerischen Textes mir unhaltbar scheint; doch es kam mir zu- nüchst wesentlich darauf an, zu zeigen dass wir berech- tigt und verpflichtet sind wie bei anderen Texten des Griechischen Alterthums, so vorzugsweise bei Homer unser Urtheil nicht blindlings den Handschriften oder den Alexandrinischen Grammatikern gegenüber gefan- gen zu geben. Sollte es mir gelungen sein für diese Ansicht einige Anhánger gewonnen zu haben, so würde der Zweck der vorstehenden Bemerkungen vollstündig erreicht sein. Dass wir alle mehr oder weniger ge- neigt sind den gangbaren Homerischen Text als un- trüglich zu betrachten, geht hervor namentlich aus der Gleichgiltigkeit oder Willkür, mit der wir Homerische Citate und Reminiscenzen zu behandeln pflegen. Bei weitem die meisten Citationen aus Homer geben al- lerdings den herrschenden Text; zuweilen aber dürfte es doch nicht ganz zufállig sein, wenn im Alterthum selbst Varianten auftreten, die mit den Vermuthun- gen neuerer Kritiker -ganz oder theilweise zusammen- fallen. Hierfür einige Beispiele. X 460 liest man: xoà Sopnx * o ya Ñy ol, drmodeos moros éxaiooc. Da das ein- silbige du bei Homer mir bedenklich scheint, so habe ich vor mehreren Jahren die Vermuthung ausgespro- chen dass eu &xéAecs zu lesen sei mit Tilgung des entbehrlichen Pronomen ci. Zu Gunsten meiner Ver- muthung konnte ich anführen das Citat bei Choerob. in Psalm. p. 9, 18: © yap nv anwheoev rotos Eraipog, wo Gaisford durch den gangbaren Homerischen Text sich verleiten liess nach yy das Pronomen (ot) in Klam- ‘mern einzufügen. —&8185 wird allgemein geschrieben: TOMA dàyea Suouevésoou(v), yappata à eupeveryor. Sehr i ansprechend vermuthet Herwerden Eur. Ion. p. 198 "osparg 8’ e gevésaat. Damit vel. Gregor. Naz. vol. 2 p. 47 A: yappa péy edpevécoory, dos dé te Suoye- véeccty. — Besonders aber ist belehrend für die bei Citationen Homerischer Verse jetzt und vermuthlich bereits in Byzantinischer Zeit herrschende Praxis 539: | Eada A dorun: péyas aleros ayrwdoyeling TOL XAT Ee ge xal ¿xtavey. Knight. Eben so wenig beweist gegen raydayo r 178, wo Helena sa- gen soll: i JO Savartós por Adely xaxoc, OmMTOTE dedo oo Erópmv. Hier ist ¿dele nicht ganz sinngemáss: Helena konnte nur wünschen «hätte mich doch der Tod Naveseeta », also oc Gpehey Javarós W Edépev xaxoc So unsere Handschriften und fast alle Ausgaben. Da jedoch Avant, ursprünglich For vojal lautete, hat Da- WES TAOL XAT axyéva rage, Cobet taot xac CS ¿age - vorgeschlagen: vgl. Kontos im Acte: "Epuns I p. 88. Zur Empfehlung, wenn es deren bedarf, dient Hero- dian eg} pov. AE. p. 15, 18: mao: xav ayyév ¿n- Eev") xal ¿xravev. Dies nämlich bietet die Hand- schrift: Lehrs jedoch (Herodiani scripta tria emendat. p. 48) trug kein Bedenken die Worte zu ändern in räsı xat avyévaç vés xal čxtavev; und selbstverstündlich ist Lentz Herod. vol. 1 p. 395, 8 oder vol. 2-p. 921, 32 ihm gefolgt. So werden die Spuren aller Abwei- chungen von den Homerischen Handschriften und Aus- gaben vertilgt in maiorem vulgaris lectionis gloriam. Bevor ich Homer verlasse, móchte ich noch auf ei- nige Citate oder Benufzungen Homerischer Stellen hinweisen, wo die Worte des Dichters mehr: oder weniger entstellt vorliegen, wo also der citirende oder benutzende Autor zu emendiren ist. Derartige Emen- dationen sind allerdings oft ziemlich wohlfeil, aber dafür um so einleuchtender und einem Widerspruch kaum ausgesetzt. Anecd. Oxon. vol. 1 p. 44, 30: deier yap Beos, aus v 305: dhevaro yap Béhos autos. Eben da p. 44, 32: a3Acuo xal mod dvaxtoç, Zu lesen d3Asuoy ro avaxtos nach Q 734. Anecd. Oxon. vol. 1 p. 164, 19: të roc éyoi- pony og vuxceoíc. Vielmehr éyouny nach p 433. Anecd. Oxon. vol. i p. 169, 14: maídos ééoyn vía. Gemeint ist A 131: o:dos doy pula». Anecd. Oxon. vol. 1 p. 253, 1 (oder Herodian. gr. vol. 2 p. 297, 9): Eoreora y Kä? Die Emendation ergibt sich aus y 130: ¿otaóT ayy autis. Anecd. Oxon. vol. 1 p. 441, 18: ppovtidos supeins. Lies popridog eupeíns (250). Eben da p. 441, 31: amp auto drun, Vielmehr yuuén (T 284. $527). Anecd. Oxon. vol. 2 p. 376, 28 (oder Herod. gr. vol. 1 p. 469, 9): anrócyovtar xoAAct. Vielmehr dró- oyavrar Kohémor (A799. £78. 1141. E199) ` Choerob. in Theodos. p. 645, 32 (oder Herod. gr. vol. 2 p. 806, 1): 3jose« ysociv dung, Vgl. p 444: mpesa yspotv ënger, woran schon O. Schneider Cal- lim. vol. 2 p. 763 erinnert hat. ` 16) Formen wie Euvéntey oder xacevj£apev soll bekanntlich Zeno- dot bei Homer gelesen haben: vgl. Duentzer de Zenod. p. 61. Ent- sprechend sind &wvoyxcer, Envdavey u. dgl. 43 Bulletin de l'Académie Impériale | 44 Iohannes Alex. p. 42, 18: ¿mel % par ap dopadés. Lehrs Quaest. epic. p. 62 schrieb stillschweigend erst dad dg acpahé, und Lentz Herod. gr. vol. 1 p. 520, 7 ist dieser Aenderung beigetreten. Die verba incerti „auctoris gehören,’ wie bereits La Roche im Anhang "seiner Ausgabe der Odyssee erkannt hat, dem Vater Homer, vgl. 196: dren par apropadé” beten oudoy, wo andere lasen dpropadis ¿ppevar cüdaz. Longinus bei Spengel Rhet. Gr. vol. 1 p. 327, 29: arevdovro À rANSUS ¿mi vn as Auen, Die Wortfolge sollte sein: n TANTOS ènt vias Aan drevéovto (0305). | Maximus Planudes Rhet. Gr. vol. 5 p. 557, 10: dXX dye co» 8 Eänas Qéoo» ava dopa. Vgl. 9234: aka cu, AC Evpazs, oépoy dva dopara (andere dopa ro) togov. Schol. BLV B 284: vov yap xal movos Zort, Ueber dies Citat sagt Cobet Mnem. nov. vol. 3 p. 88: «in Ho- mericis carminibus non reperies. Laudaverat homo, opi- nor, ex. Odyssea 9. 258. vÜv piy yap xata pov Zeen voto Seoto, sed ex evanida ac fugiente scriptura librarius quum ni- hil extunderet dedit quod in buccam venit.» Vielmehr meint der Grammatiker, wie auch O. Schneider Callim. vol 2 p. 778 urtheilt, B291: 7) piy xal rovos goriv ayımaevra, vécoSas. Schol. A Z 152 (oder Herod. gramm. vol. 2 p. 54, 29 und p. 164, 23): 0 dy tereheopévoy dotó. Zu schrei- ben mit O. Böhnsidar tetedeapévos nach A 388, ob- gleich auch hier zufälliger Weise eine Handschrift TE- rercopevov bietet. Schol. A O 187 (oder Berek gr. vol. 2 p. 93, 25): elgaro suen, Vielmehr £coaxo reuyea (H 207), vgl. O. Schneider Callim. vol. 2 p. 774 f. Schol. V 11221: avéoye micovaou.o ou E. op.cíoc ` xaà À o AT EVITPOTOY Asydov Sopov für entschieden unrichtig; schon die Verbindung von xata und ax erscheint hier als höchst befremdlich. Somit vermuthe ich xaë à dọ éuavoocov Xeyéov Sopov. Hymn. 33, 14 — 17 ist die Rede von den Dios- kuren, welche den bedrängten Schiffen Rettung brin- - gen: avta à gra Aën avégov XA TÉTONCOY OEAAAG, | xuparo A dorogecay Aeuxic ados dy Eze 43 4 des Sciences de Saint: Pétersbourg. 46 vavta ONPLATO xara, Tovod cpio. ol dE Goeres "ëmge, ravaavro à diéupoio TcOvotc. Völlig unverständlich und ganz sinnlos sind die Worte rovov optoıv. Was Matthiae dafür vermuthet hat, rAcou coto», würde ich der Erwähnung nicht werth achten, wenn nicht mehrere Herausgeber diese Vermuthung in den Text gebracht hätten, natürlich mit anderer Interpunktion: —xUpLaTO à dotopeoay heuxns QAOG Ev meAa[soaty VAÚTOLE, ONPATO KAAL TAOOU TH" wo vautats und coíct» als geradezu unertráglich er- scheinen, màcou mindestens höchst überflüssig ist. Sehr richtig hat Baumeister erkannt dass der Fehler liegt nicht in rovov, sondern in coíctv. Wenn er jedoch schreibt vautars opata xaha, móvov xpíat», und zóveu xpfou durch laboris discrimen d. h. finem oder exitum erklärt, so legt er dem Wort stoe eine Bedeutung bei, die demselben nicht zukommt. Wie vc- cou xpícis dasjenige Stadium der Krankheit bezeichnet wo eine Wendung zum Guten oder zum Schlimmen d. h. zur Genesung oder zum Tode eintritt, so würde Tovou xpfois — wenn überhaupt eine derartige Verbin- dung möglich wäre— es unentschieden lassen nach wel- cher Seite hin die Wendung erfolgte: hier dagegen muss nothwendig «die Befreiung aus der Noth» be- zeichnet werden, wonach ich rovov Aucıv für wahr- scheinlich erachte. Verbindungen wie Auct; póySov Soph. Trach. 1171, revSeov Pind. Nem. 10, 76, rn- pato» Eur. Andr. 900, revéns Theognis 180, Savarou Theogn. 1010 u. del. sind hinlánglich bekannt. Bei Hesiod Op. 240 f. bieten die neusten Ausgaben: roldx xal Évproca TOAG XAXOV dvðgòg gien, Ze e adıroatver xal acaso. qon y evi ant, Wáre diese Schreibung richtig, so würde sie der alten, leider noch nicht ganz veralteten Theorie über die só genannte Zerdehnung contrahirter Formen eine ge- wichtige Stütze bieten. Bekanntlich nahmen oder neh- men die Grammatiker an, aus einer Form wie altıaov- ra: sei zunächst durch Contraction attiovra: entstan- den, und sodann sei diese contrahirte Form, damit sie dem daktylischen Maasse sich füge, wiederum zerdehnt worden in attıöovrar. Auf diese Theorie gründet sich bei Lobeck Technol. p. 173— 189 das Capitel de diectasi, das mit den Worten beginnt: «Verborum. in ao deri- vatorum notum est apud poetas epicos tres reperiri for- 4 mas, integram, contractam et ex contractione dilatatam ; quarum altera omnibus verbis concessa est, reliquae non omnibus.» Gegen die der gesunden Vernunft wider- streitende Annahme, dass man zuerst contrahirt und dann die Contraction wieder beseitigt habe, hat sich besonders Leo Meyer erklärt, der altıcovra: als eine falsche Schreibung statt alticovra: bezeichnet und aus altıaovraı zunächst æitiwovrau, sodann erst aictóvcat entstanden sein lässt. Für die Richtigkeit dieser Auf- fassung und gegen die Schreibung a/ctóovcot spricht, wenn wir lediglich die uns vorliegenden Thatsachen ins Auge fassen, namentlich folgender Umstand: wäre eine Form wie altıcovra: berechtigt, so hätten die Dichter auch die erste Pers. Sing. atricopar gebrau- chen dürfen, für die ein Beleg nirgends vorzukommen scheint. Nicht minder befremdlich als atriópar ist der Indicativus pmyavaarar mit einer Dehnung der vorletzten Silbe. Darum halte ich es für unzweifelhaft dass an der obigen Stelle des Hesiod mit Goettling die Coniunctive herzustellen sind, Ge tig adırpalvn xal ATACIAAA PNLAYAATAL, = Im Coniunctivus ist pnyavaata eine vollkommen be- rechtigte Form, die den Uebergang vermittelt von unyavantaı zu wnyovacos. In der That findet sich bei Hesiod die Variante «Atpatvy, und Ge xe» aXwxoatvq xal atacada paridara (oder gonyavaa.cos) lautet der Vers bei Aeschines c. Ctesiph. $ 135. Bemerkens- werth aber ist dies, dass die fehlerhafte Schreibung des Hesiodischen Verses ihren Einfluss ausgeübt hat auf spätere Dichter, bei denen wir den Indicativus pn- yavaarar und einige entsprechende Formen antreffen als handgreiflichen Beweis für die Urtheilslosigkeit, mit der sie die ihnen vorliegenden Texte ausschrieben. Vgl. Orac. Sib. 5, 125: al al col Auxén, Zeg col xaxa ungayaaraı novros. 5, 171: ovx raue Tí Sebc duva- rat, TÉ 2 pnyavaara:, Nic. Alex. 221: Oe 0 voou Ava- ep eoo) pa Bpuxavaaraı pudo». Oppian. Cyn. 3, 67: n 9 ¿prod eloopaarar pelo: iv peltoy Tehé- Set, peyadyo: de petov. Orph. fr. 2, 12 Herm.: oude TNG AUTOY eigopa. Vuyov ITY, e 9 elccoaata. Tzetz. Hom. 372: àyptoo» $ paata! oro vpo» ¿pr dourov. Secundus Anth. Pal. 9, 301: tinte TOY. ÓYxN- - mv Bpadurovy ¿vov dpqu de esoe "mec dhoetvais ¿share dpópo»; Quintus Smyrn. 1, 420: y cuj Zeg: ate yuvaixa péy — TEOPEROUGAY ELO Orac. Sibyll. 1, 77 47 Bulletin de l'Académie Impériale | As voan 9 ap papol, XEXOQUSLÉVOL aipat POTOY xal TOAépLoUS émotouv. Hóchst unpassend ist xsxropuQpever, offenbar vordorben aus peLoguy Ever. , 112: oùre Seov Serdrôtec cur aydpamoug | aldc- Beie, Es muss natürlich heissen Serdorxotes. Derselbe Fehler kehrt wieder 1, 179: cox Gpynv de Seoû dersto- tes Uioroto. 8, 183: ai provea Geen Seudrores cox (l. 098 ) AYTO TO». 3, 248: | nvixa à Alyurtov heípe xal xeorvov Odeuner Ange ó Budsxapuhos Ev Hyapocıv Seomépetoo «té. Dass dy nyepootv unrichtig sei mag ich nicht behaupten, wenngleich. gn wyspoow mir besser zusagen würde. Entschieden sinnlos aber ist tspr.vov ódevos: von den durch die Wüste wandernden Israeliten: man erwar- tet was die metrische Lateinische Uebersetzung aus- drückt, desertaque vadet per loca, also xai £o ov ödev- ce. Aus KAIEPHMON konnte leicht KAITEPIINON entstehen. 5, 467: el TOTE Supoßope: pépores o yowmas, Mg TELQOJLEVOL. Die hier vorliegende Anwendung des Adiectivum Sv- ‚moßepos ist nach dem sonstigen Gebrauch des Wortes ' ganz unglaublich: Supoßcgev ist was am Herzen nagt, wie êgts, Auty, Göuvar, besonders aber «Sorgen» (vgl. Corp. Inscr. 6203, 14 teli 9 p. 883: Aeuyaddong te po- Bous xal Supoßepous pohedovas. Nonn. Dion. MF; 53: Supogópous yap 0) atayues Aucuct pehnôcvas), die in ähnlicher Weise auch yuroßopor (Hesiod. Op. 66) und dameëëee (Synes. Hymn. 4, 244 p. 340 A) genannt werden. Die ihre Eltern Weer Menschen dürf- ten wohl eher als a3eopofópor zu bezeichnen sein. Zwar ist dies Wort bisher nicht nachgewiesen: aber aSsc- _popayes kennen wir aus Maneth. 4, 564. 7, 40 — 42: OR S hor > eben Il£ocat, poyójnoy quAXcv, aca, Servoi Eoaovrar Sarapo vouoóy ux duovana pila. Im mittleren Verse móchte ich weder mit Alexandre paytpcv púñov noch mit Meineke payrov púthov (eine meines Wissens völlig unerhörte Form) setzen. Das fehlerhaft gemessene põħov ist ohne Zweifel veranlasst durch die 300 vaux puta des folgenden Verses: der Si- byllist dürfte payxınov yévos geschrieben haben. 11, 94: 900650» dl Téga yocvotc. "in den ersten Jahrl Dass der Verfasser die mittlere Silbe in rpoosASov kurz gebraucht habe, scheint mir undenkbar. Vermuthlich ist zu lesen tocuohov ert tépuæ yoovotc. 11, 130: tovtov A eig dotar Baotdeds xAUTÔS autre. Zur Herstellung des Metrum hat Alexandre xAyTos in xdertos geändert: ich möchte vorziehen xhvtos à QY mom! Ò mûre TOMEG UT gaeren rokqUoTOY TONVLOROIS ATOAOUYTAL. Es war zu schreiben nicht reXsıg ro avSoorov» mit einem schwerlich zu entschuldigenden Hiatus, sondern ROÂNES UT ATL TO. David Proleg. ad Porphyr. Isag. p. 18 b 4 behaup- (tet, über Porphyrius und Iamblichus habe die Pythia den Ausspruch gethan: ¿vous 6 Zupos, TOAULAINS 6 o Poiwé. Nach G. Wolff de novissima oraculorum aetate (Berlin 1854) p. 9 ist dies der jüngste Delphische Orakelspruch, von dem eine Notiz auf uns gelangt ist. Welche me- ' trische Form die obigen Worte ursprünglich hatten, lehrt ein von Cramer Anecd. Paris. vol. 4 p. 281, 14 mitgetheiltes Epigramm, das etg toy Ge EN TOY 3606 ov betitelt ist: "E»Seog nv ó 2ópec, Keel desch nev 6 Doré, Karradoxns Y dppo xal un Däer, Im ersten Verse steht bei Cramer Av 82 6 Doiwé, im zweiten xe ien apporépors. Nach diesem Epigramm ist es klar dass Davids Angabe über den Ausspruch ` der Pythia nicht den mindesten Werth hat. Bei Didymus Alex. de trinitate IT, 27 p. 300 wer- den zum Beweis dass auch ci ^EAXqvez d. h. die heidni- schen Griechen über die göttliche Dreieinigkeit zuwei- len richtige Ansichten ausgesprochen haben, folgende Hexameter eines unbekannten Verfassers angeführt: Teva, piv aSavaroro Get GS ex por Gps auroIev évSev ¿By mévoy Eumedov Utt. ueota cov, aha Seoïo Moto pévov Ca Séotc omg xohrots TAYTA TEAC ën Selog apmderar apyEyovos PONY, xrícpoo! de Euuması pépet qaot, d oro ravta Epya Dee Edel xal alov ¿May apoy.. Diese angeblich heidnische' Poesie rührt offenbar hér von einem Christen und gehört vermuthlich zu den eben so zahlreichen als albernen Fálschungen, welche derten unserer Zeitrechnung von H des Sciences de Saint- Pétersbourg. frommen Betrügern in Umlauf gesetzt wurden, um christliche Dogmen durch erlogene Autoritáten zu stützen und einem kritiklosen Publikum zu empfehlen. Einer solehen Afterpoesie gegenüber hat die Kritik einen schwierigen Stand, da man keineswegs berech- tigt ist dem Autor durchweg eine verstündige Aus- druckweise zuzutrauen: aber wenigstens einige Fehler des Mingarellischen Textes lassen sich mit vólliger Si- cherheit heben. V. 2 dürfte zu schreiben sein péve: &urcedov mit Lobeck Aglaoph. p. 959. Im vorletzten z Verse würde ich ns vro vorziehen. Ob im letzten Verse Lobecks Schreibung xoi aet» May apoynv einer- seits nothwendig und andrerseits ausreichend sei, wage ich nicht zu entscheiden. Am handgreiflichsten aber ist entstellt V. 4: ravra TEAST ër Selos AUNÔETAL apyeyovos per. Statt Seïos apmdera: hat Mingarelli Señoy & undsrar vorgeschlagen, und ihm ist Lobeck gefolgt in der Weise dass er, ohne die überlieferte Lesart zu erwähnen, dréien: lässt: mayta teici, Ars Selov, & phòetat dpi PA Pory. Die handschriftliche Lesart war vielmehr beizubehal- ten und nur die Buchstaben anders abzutheilen: i nayta téhera TiSei Con dt apyéyovos pon». In derselben Schrift des Didymus finden sich III, - 21 p. 402 folgende Hexameter: TAYTA Seod peyodoto voou UTC VEN poo! «sitas, geg ug re Cons xal Vnefpoyoy uge xal «paros nas Bin xal layuog Autos gin? xai SUVAUUS xoxceoT) XA? APLPLÉAMITOS Anon. Die letzten drei Verse citirt Lobeck Aglaoph. p. 444, ohne die gangbare Lesart zu beanstanden. Dennoch scheint es mir unzweifelhaft, dass der Verfasser schrieb æotupéhixtos avayxn. Bekanntlich ist dies Adiecti- vum der spüteren Poesie sehr gelüufig, wie wir es in ähnlichen Versen bei Didymus selbst finden. II, 19 p. 287: pépov Deia ATUPÉMATO?. III, 2 p. 322: asa- varog AR Seóc Tavayapaos THESES C RS III, 18 p. 386: dSavatos A eds mavurégtatos asp: valo», Aptos AOTUPÉMATOS. Maneth. Apot. 1, 210: el òè Are Lau ege TANIOUGA CEANN XTÉ. Den Dativ oa: finden wir, nachdem er 6, 575 durch die Emendation œavn von Köchly beseitigt ist, noch an einer Stelle der AxexeAeo acier, 6, 566: pavas 3 gv PV SONT paet Tedëuom XATA TAVTA, Vielleicht ist Tome XXII. Mo. Bot. Garden, 1897. es nicht zufällig dass hier wie dort ein mit zwei Con- sonanten beginnendes Wort folgt: vermuthlich ist an beiden Stellen oo? zu schreiben, eine bisher nur aus den Sibyllinischen Orakeln (prooem. 18. 1, 348. 3, 494) nachgewiesene Dativform, die selbst in dem Vers- schlusse ¿y qai xcıvo von den Abschreibern in das gangbare que: geändert worden ist. 2, 210 — 212: ¿osos 9 a9 DaécSov Apeos clxotat Beßnxev, LE epar» nynTopes Ev te Bporolory TLOJLEVOL TONY MYNTOLES N paces. ; Zunächst ist die Schreibweise tptopaxapss eben so un- berechtigt als ¿urenooovras 2, 153. Es muss heissen du ronocovtas und tols poxapes*”). Sodann befremdet die Wiederkehr desselben Wortes in zwei auf einander folgenden Versen, orparıov nynropss: und tokio» Hyn- topes. Der Fehler scheint an der zweiten Stelle zu lie- gen: ich denke, der Verfasser schrieb rokMoy may. - OTLTEVOVTAG ÉTOLOOY suverıdas TNOY TE, XAL aloysa Laxoa TEXOUVTA. Vielleicht aioysa moxa TeXoövrag nach 2, 381. 3, 151. 39 2, 367: duet xe Üemvrar pazapavy lepols rap Bupols. Ich kann es nur für eine Uebereilung halten, wenn Axt und Rigler das ei£qxe« der Gronovschen Ausgabe 17) In gleicher Weise ist tots paxopas zu schreiben bei Maneth. ` 77.177.317, wie tols Ekuxroc oder torékuxtoc (nicht aber totoéluxrog) 197. Auf die richtige Se Schreibung deuten ófters die ba 27 EL nte, wie rproorfupnv xov hei Archilochus oder rorspuaxap bei Callimachus, wofür einzelne Gelehrte der Neuzeit ger Weise tproorlupmv und tplopaxap gesetzt haben. Noch deutlicher ergibt sich die nothwendige Trennung aus Redeweisen wie tots paxapes xat te- | zpaxıs bei Hom., Timon, u. a., rie 9” ob xunare Anth. Pal. 12, 52, óic xo P xo. mE waxaoros Greg. Cyprius in Boisson. Anecd. vol. 1 p. 357. Dazu kommen metrische Gründe, vgl. Soph. Oed. C. 372: detiëe toiy cole élu otc xaxn, wo die Verbindung torca dto.» einem in der Tragödie mit unverbrüchlicher Strenge be- obachteten Gesetz zuwiderlàuft, das Porson Eur. Hec. p. XXVII hachgewiesen hat, neuere Kritiker aber nur zu oft in ihren Coniectu- ren verletzen. Ob in unseren Handschriften totoíydtotos oder tots Dire häufiger ist, kommt ganz und gar nicht in Betracht, da die Verbindung oder Trennung von Wórtern bezüglichen Fragen überhaupt nach handschriftlicher Autorität nicht zu entscheiden ind. Ein unzweideutiges Zengniss für die richtige Schreibung bie- e dagegen TPEIC- OÀBIOV A. h tots Gov) auf einer christ- lic hen Inschrift C. I. 8668 vol. 4 p. 812. — Fehlerhafte Schreibungen wie EUvALOMEvOS statt ed (oder 20) EEN gar Aryunvetov- dad Bap nn ra: ravrapiotos, rokupéptaros sind n jetzt zwar noch nicht veier aber doch érésstéutheils Dee 4 A: A AR m A NS O E * BERN: VER dad E na idet Sn td E. CUM EET LU E S rca cet ue n CUTE. S NEU BR? t iot rie T nde IT 51 Bulletin de l'Académie Impériale in !Eyvrar ünderten, und finde es ráthselhaft dass eben dieses f£nvra bei Kóchly im Text steht und von Veitch Greek verbs irregulare and defective p. 291 registrirt worden ist. Der hier erforderliche Pluralis kann nur - lauten t&ovca:. -^ 3, 277 — 279: Agooyevel de cuvov Daho 79 Ayreon ey TocoButépas oteípas T ahoyous xal deızdag alvos DOXEV. | Die Verbindung von rpsoßurepa: und oreipar mit dem ganz heterogenen astxéss kommt auf Rechnung eines Abschreibers, nicht des Dichters, der ohne Zweifel asióéas alvos BEE hat. 4,07 f.: dppwners, dohosprós, goes, aloysópuSos, rapnbextop, adldarrtos, gel Ae är än due: aicyooic. «Unterrichtet in schändlichen Dingen» könnte heis- ‚sen dedrdaypevos aioye oder aoyoóv, nicht aloypois: der Begriff aber « unterrichtet von schändlichen Men- schen» würde hier zu schwach sein, wo nicht «ein Schü- ler der Bösen», d. h. ein an sich guter, aber durch schlechten Umgang oder böses Beispiel verdorbener Mensch, sondern ein Ausbunt der Schlechtigkeit be- ‘ zeichnet werden soll. Dazu kommt die wunderliche . Verbindung von astdaxtos und aei dcdSæyuéves, die unmöglich durch die Annahme eines Oxymoron ent- schuldigt werden kann. Es scheint unzweifelhaft dass dedıdaypzvos durch das unmittelbar vorhergehende gët. daxtos veranlasst ist. Man erwartet ael pepelnyévos aicyoos. Ueber diese Anwendung des Perf. pepin- par vgl. Maneth. 4, 124 (oder 1, 289): &xpoor arosto- > TUTEOLG pepeAnpévor noz xac. 4, 505: Gäeren pepeinpevar. Nonn. Dion. 13, 431: pepernuévoy etcéct palo. 37, 12: pepe pvo 738: omg, 37, 495: géi roypaykg pepekmpées. 37, 502: 6c topos atel TATO0O pepóhro TO LEVOS aan Nonn. Metaphr. 11, 208: SunyroMy meushnuéves. Andere Belege gibt Köchly Quint. Smyrn. 4, 500. Dass atcyootz pepe- Anpevos gesagt werden konnte, lehren Nonnus Dion. 37, 202: oc dé xc Ateyvrievet so pepeinpevos ein. Me- taphr. 9, 129: oÛTos Argent Téhe! pepehnpévoç gung, Aaf Psalm. 5, 19: Soepcïon gel eelere puSors. 36, 61: ee peneinpever. Nicht we- sentlich Eee ist was wir bei Maneth. 4, 321 lesen, oxurein tég neweinpedvm aäëiers Da- e. nach berichtige man 4, 279: afSépt xal yain pepeton- péva Zeg rehonvras, und 4, 524: cuum peperonpéva roaypar Eyovtas, WO pepetonpévo durch nepeinnevo zu ersetzen ist. — Auch das Perfectum Act. pépnàa wird in gleichem Sinne gebraucht, wie sonst (vgl. Quin- tus Smyrn. 4, 530: irracógor peros. Nonnus Dion. 37, 1: oran pepondores. 37, 135: tavroíars dps- | TAG pepmhdtes), so bei Maneth, 6, 369: porav yav- sept pepodoras avöpas Zeenëog, 6, 590: xpurradíars T cüvQot pepmdoras (gewöhnlich E avöpas Etsugav. 4, 197: xépdeos ÉxSporatou Inentopas. Was wég- dos Ayo» hier bedeuten soll, ist mir unverstándlich; passender dürfte sein aioyporazou.. 4, 210: yaropétoaç deixvuor. So Köchly statt des überlieferten yazop.étoas, das andere in yeopérpas ge- ändert haben. Es war vielmehr yetouéteas zu schrei- ben, wie yetomovo: 4, 433. vetonovous 6, 489 und Aë, yeto< überaus Mate / in den Apotelesmatika vorkommt. 4, 422: yvartopas eu iopo» zérAov xal TEVXTOQAÇ . auto» fotorcvous. An evonpoyv haben Axt und Rigler mit Recht Anstoss genommen; ihren Vorschlag euvn- zov kann ich nicht für richtig halten, weil &uvntos oder ÉvyynTes von keinem Dichter jemals dreisilbig gebraucht zu sein scheint.: Darum möchte ich vorziehen eyoxn- ` vov reriov. Bildungen wie sösxnpos sind in der spä- teren Gräcität nicht eben unerhört. So @oynpos Thes. Gr. L. und tó» aoynporarov Diog. L. 2, 88. doyn- pos Schol. Il. O 21. suoynpos Suid. v. gedeeft, Anecd. - Bekk. p. 439, 29. ópororgnos Apoll. de pron. p. 87 A. 131 B. ed Me Phoebammon Rhet. VIII p. 492. 493. Mate Ae Tevraoympog, dexaoynpos Ps. - Plut. p. 175 Did. xaxsoynpos und rodoympos Herod. Epim. p. 177 Boiss. Dass Theophr. de causis plant. VI, 1,6 ueyahocynuos gebraucht habe, halte ich für ales scheinlich, Sicherlich fehlerhaft ist Eur. Hec. 569: To Mn Tepovoray ÉGYEV ed y my. og nece, wo die in der dritten Ausgabe von mir empfohlene Schreibung ev po» soci» neuerdings eine gewich- tige Stütze bekommen hat an einem noch nicht veróf- fentlichten Papyrus von Herculanum: vgl. Th. Gom- perz Beitr. zur Kritik und Erkl. gr. Schriftst. II p. 13 (oder Sitzungsb. der phil.-hist. Cl. der Wiener Akad. | i LXXX p. 757). Als nicht minder anstóssig erscheint Anv pos statt axúpoy bei Eur. Herc. 698: Botten: | Toy dxupoy xey Bieren Éooccic, Tépoas deinara Ingo», . wenngleich spätere Schriftsteller diese Form zugelas- A >. 62. :: ! 53 des Sciences de SE 54 sen haben. Eher lässt sich entschuldigen das von Cra- tinus Com. 2 p. 103 gebrauchte &Xorpröyvopos. ` 4, 483: Tupetpwv émavoixtooag Ovda. Ueber diese Stelle sagt Kóchly in der Leipziger Aus- gabe p. XXX: «elegantissimus auctor dubitari non po- test quin Svpéoy scripserit, cum a compilatore I, 310 turpissimus soloecismus Suoécoov ¿Svetawv haud alie- nus videatur.» Aber denselben Fehler hat der Ver- fasser des vierten Buches der Apot. begangen, indem er Ynpaoy schrieb (V. 448). Ganz entsprechend ist poraoy bei Quintus Smyrn. 4, 212 (was einige Lexi- kographen auf einen Nom. Sing. poty zurückführen wollen), desgleichen vqcaov bei Callimachus Hymn. 4, 66. 275. Andere Beispiele derartiger Declinations- fehler verzeichnet ein Scholion BV T 1, vgl. Ahrens de dial. Dor. p. 229. Schneider Callim. vol. II p. 775. Die älteste Autorität für diese Genitive bóte Hesiodus Scut. 7, wenn er wirklich geschrieben hätte, was ihm beigelegt wird, Bhzpaguy + arc xvavsaov. 4, 490: TE p.a. TUXPOY Agbleue Tixons popne UT AYNA. Kóchly schreibt TEA Auygov Astbouor: vielleicht ist . vorzuziehen ryeupa oXov, wofür zu sprechen scheint Tove Upa S ¿oy Astıbouor 1, 320. 4, 531: où plav eic atparov Birou voov Exvavovres, gece Ò ao Co?» eutgertov Eyovtec. Das sinnlose Beérou vóov hat Köchly in gréccu popoy gebessert. Consequenter Weise wird éxvevovtes durch (SUvovcec zu ersetzen sein: non unam in viam vitae cursum. dirigentes. Vgl. 4, 326: M3opoxto XALAT Bien ¿Suvoyras. 4, 507: PRA Biov Couougat, 4, 525: eig tòény SE arem ıboyspcv Bícv (Suvovcas. 4, 584: OTELDAS TOL aerea xol ATÉX LOVAG dvòpáar vwppas Greg TE vOxoto Axn hrorarda pepóucas. Eine Bildung atéxpoy ist nicht nur unerhört, sondern schlechterdings undenkbar. Die vorliegende Stelle hatte ehemals folgende Gestalt: IER . atelpas To. Šele xal AKYMONAS avöpacı VUPPaS. Mit den übergeschriebenen Buchstaben war atéxvas ge- meint; ein unverständiger Abschreiber machte aus axv- povas und arexvas das unmögliche arexuovas. Uebri- gens war die Interpretation ungenau: dxupov bedeu- tet nicht «kinderlos», sondern «unfruchtbar». , 105: où xados domi Apne ren fain Appodéry. Zur Herställung des Metrum hat Rigler Aen: pàv de. Köchly Aons xal Ereußaivov geschrieben. Beide Vor- schläge sind dem Sinne nach unzulässig. Darum ziehe ich vor: Aen où xadós deen, Der Schluss der Apotelesmatika 6, 751 — 755 lautet: antao doru povoyo: xai aSso(otcty à ap OTRO EVÉALEVOS 7 Armin d Sek XATATAUTO aom» AOTÉRES cupsyyels Atos alytóyov te Suyarpes, Darte xal xAéog éoShov Ka ROPOUVET geän. Im ersten dieser Verse ist qua lästig: vielleicht schrieb der Verfasser xai aorpaoıy alsepíoraw. Entschieden unrichtig scheint mir der zweite Vers, da die in den beiden letzten Hexametern an die Sterne und an die Musen gerichtete Bitte unmöglich als Artis Upvos be- zeichnet werden konnte. Wie ich glaube, ist herzu- stellen Atv otov ¿ps groe acne. Ueber die Verbindung otos do; und über die Ver- wechslung von yves und olmos habe ich gesprochen Bulletin XII p. 490. XVII p. 224 oder Mélanges Gréco- Rom. III p. 21 f. 270. Anführungen von Versen des Manetho sind fast un- erhórt; mir ist nur eine Stelle bekannt, wo ein Vers unserer AroreAsopuarixo ohne Nennung des Verfassers erscheint, Philoponus de mundi creat. IV, 20: 6%ev ol géttóvcec adc (nämlich Thy Yevestadoytay) "ie ayvolas alo Jopevor aho els adas "ie anotevËsos altías Kap TOVTAL xal xotyóv uiv amat TO el de Gen deiert, guef een Gravra, T» evpeîv Eotıv aduvarov. Vel. Maneth. 5, 27: yy & Deny pevontas, cuvidMoSeY à LTOYTO, WO Dorvilles Ver- muthung nv $ ó pevos sehr nahe kommt, obwohl schon Philoponus das fehlerhafte bevonra: vorfirid^ — Die im Etym. M. p. 328, 56 ohne Nennung des Verfassers angeführten Worte apsrooBloy Zeg dru finden sich allerdings bei Manetho (1, 53), aber auch bei-Nonnus (Dion. 17, 382. 26, 296. 36, 162), so dass an Manetho zu POR kein EE vorlag. Zur astrologischen Poesie gehören die von unseren Literarhistorikern, wie es scheint, übersehenen Kar- opn devas: dem richtigen el à Sen + apyaí eines Ee aus denen Tzetzes bei Cramer Anecd. Oxon. vol. 3 p. 382 und Exeg. Il. p. 33, 8 meh- rere Verse anführt. Die Stelle der Anecd. Oxon. ist mit Benutzung von Matrauga Anecd. p. 613 und Bois- : AT SA qu TREE Uu Um "Ab dd CH A aa AU IA P e AS EE E Fa ** Ze p REM T SC EU Live " ` ET sč T 55 Bulletin de l'Académie Impériale wa Tj "LT Le Eé Dk, d ao E SA ire 23 E PAN SR 56 sonade Tzetz. Alleg. Il. p. 122 etwa so zu schreiben: | dx zöv Appwvos ARTO ev vgonixois oùT ap "open way oÙTE yopoto uynoteiny pathy eier, cU OS ONY" pb Sampocivny AE TLVOS Get: choc. el SE xal dAdo ct nonypa SEAS poso» ¿rl Ömpov, PA gu Ye our ¿pEns tgortxols pavas evsouans' 5 TOLVTO yap Ev vie TaNvrpona ÉXTEALOUOL, xal Xenepot xat Ovarpoı peudovr dy Tporıxolgt. ¿ndios A 6 Aaßov ct xal Goran amodwaet. els Estuny dE ret) xal Gdeuuey nv UN EL ev teen, see vootos dé vot Zogerat deus, 10 Av elg oe Ing TUOS Esing dng acts. ny de em Separov XOXOUYILAVOS Ev Tponixalarv, a eig olxov dyaxtoz Zieieeragr oò Umaruker das à Ev Kai dhogetor 0udé TE Jose, V. 1 ist überliefert odT «9 yopésv, V. 3 pure, V. 4 zz, Lë: épSets , V. 6 raMyrova Enteklount, V.8 End; C 6 Aagàv xal domacíos aro víget, V.8 el òè Éévnv rhoËn (oder TA Gen) xal beve nv ¿SémnoTa, V. 10 vos, V. 11 xal eis ofxov y (oder č) Timos, V. 14 dMoxeta:. Die Emendation vorros V. 10 rührt her von Dübner. Fehlerhaft scheint éxrehéouot V. 6, wo éxte- Aovar den Vorzug verdient, wie psudovr V. 7. — In der Exeg. Il. sagt Tzetzes: ¿me 88 6 pasnparıxös pnaty Anna Ev rafe Éautoÿ xarapyals: dv arepeoig Lee ewy els aia» deel: ` Inpov de Bess, xa Tor 20706 Boadus dorar" doapévn 9i vococ arepeois xoxo o98b yap oxa TAVETAL, LAND pever TE vocos xal Tohhaxıs dvdpas OAECEY, el un Tis phwy Seóc eloudev doe, x + .V.2 schrieb man bisher 8oa90c dore. Verdächtig ist ‚never te vooos V. 4, ganz unverständlich im letzten Verse pwy, wofür vielleicht yx» genügt. Die neusten Bünde der zweiten Sammlung der Her- culanensia volumina machen einen traurigen Eindruck, sofern die hier mitgetheilten Texte, titellose Schriften unbekannter Verfasser, in so trostloser Zerrüttung vor- liegen, dass nur selten einige zusammenhängende Zei- len sich ergeben, zumal da bei dem Copiren der un- deutlichen Schriftzüge vielfache Irrungen unvermeid- lich waren. Zuweilen erregen Namen alter Dichter, die in diesen Fragmenten auftauchen, unser Interesse: Dichterworte lassen sich dagegen nur wahrnehmen, wo - eine anderweitig uns bekannte Stelle benutzt wird. Dahin gehört VIII fol. 142: KAIOATTAAON . A TOPXHC€ Al d. h. xa£ Y doo» [yeraoaı] soi T opyncaciar (aus |, Od. E 465). Ferner VIII fol. 51: THNA^ BIAPAOYTTAPAINEC TIPWT/ VOHPOCTTETPAIOYKPH TIM CTANC NITPOCTPE TTCON ICTTONECCINOMI YHCI IAAPOCTTWCTAPTEN d. h. my Alp |prapaou rapaiveolev| «r[ov|7[tojo FImpos rerpatou [yllo] place vo[o]v Week [rasalıs TolMJeoor épifher]» ono! [TMév]Sapos. TOS YAP TE.., WO die Emendation der Fehler wie die Ergánzung der Lü: cken durch Pind. fr. 19 uns ermöglicht wird, an Va- |rianten nur mpooreeroy statt des gangbaren mgocQé- oov sich ergibt. — Wenn wir VIII fol. 59 lesen AOKAHCEDHO ETIONHTOC so liegt das Supplement [’Epre]doxins 8 «S[sog dp- Bootos, dat Svyroc» auf flacher Hand; aber etwas neues erfahren wir nicht. — Ein anderer Vers i Empedokles (2 der Steinschen Ausgabe), | oteworol uiv YAP TAAAPOL XATA (uia. XEXUvTaL, erscheint dagegen VII f. 29 in etwas verschiedener Gestalt: à; : | TAITTOTEKAIEMTTEAOKAHC CYNEMYAINWNTOYTOAIA T. 7^ EINCTEINWTTOIMENFAP H \IKATAFYIATETAN + ANINAETATWI wW TTHNA TUTAI d. h. quéíve]taí (?) mote xoi Epredoxhñs cuvey.quóvoy toto do où Aërker «otewonrot piv yap [taiapa] xata yuia tétavt[or»]. Die Lesart tétavta: scheint mir vor dem gangbaren xéyuvtat den Vorzug zu ver- dienen, vgl. Emped. 288: tac Mopapo! cagxóy cugr(- yes mupato» xata copa téravrat. Was im Papyrus folgt, vermag ich nicht zu enträthseln. — Noch er- wähne ich IV f. 136, wo der Schluss QATTEPOTANE* Il €EITHIFENNAIOT TPOTTWNTEKM ein Citat aus Euripides enthält, dessen For tsetzung, wie Th. Gomperz brieflich mir mitgetheilt hat, erst. zu Anfang von f. 140 zum Vorschein kommt: H ` des Sciences de Saint - Pétersbourg. l XHMAEXEIC CAH WFY AlLFNWIH ANWC TO IANOPWTTOY < HMAIACONTIC T ENEYFENHCTO wonach es klar ist dass die Blätter 137 — 139 eine falsche Stelle einnehmen ^). Die lückenhaften Worte sind ungefähr so zu ergänzen: [xa]Sarep Srav Eulor- nins] eiry yevvatót...... toon TEX] NOLOV ro ohipa Eyes, Intels 9 [mor et], à yulvlar. DNK [82] &» os [ta] zoa y | ayäporcu regt TO ona du» oe [el mépux]ev euyevnc. Vier Trimeter aus Eur. Ion. 237 — 240: yewaroıng r , ` " ` " get, XAL TPONWY rechte TO erën Eyetg TEÒ, ne el xot, © yuvaı xté. Die Worte yewozcrns oct sind nicht ohne Grund beanstandet worden. Sollte Dobrees Vor- schlag yevvaños el ctc richtig sein, so wäre die Entstel- lung des Euripideischen Textes älter als der Anony- mus der Herculanischen Rollen; mit gleichem Rechte könne man jedoch yevvazórntos (so Boissonade) toy toó- Toy vex otov vermuthen. Antipater Anth. Pal. 9, 92: Aoxsi terrıyas Weder Spocos” AAA TIOVTES . dele xuxvov elol yeyovóTtepor. Os xal doados avro &sv(o» yap avrancdoüvaı Upvoug EUÉPATALE ote, THAT OY CAYO. Das nicht weiter vorkommende esvéoxrns kann nichts anderes bezeichnen als svepyens: dieser Begriff aber scheint hier nicht eben angemessen, darum weil der- jenige welcher einem &évog Speise und Trank verab- reicht, noch nicht dessen « Wohlthüter» genannt wer- den kann. Unerlässlich nothwendig ist dagegen eine nähere Bestimmung zu úp.vovs: denn der Verfasser des Epigramms will zeigen dass wie die Cicaden, wenn sie im Thau sich berauscht haben, lieblicher singen als . man 34 Tafeln CN neuen Sammlun die Schwáne, so der Sünger eine geringfügige Gabe zu lohnen. weiss nicht mit Liedern schlechthin, die vielleicht besser ungesungen blieben, sondern mit herr- aq Diese Erfahrung ist nicht neu, seit Th. Gomperz nachgewie- n hat, dass im zweiten Bande der neuen Sammlung mar Rollen Tafel 94 und 61 die Reste einer und derselben Columne hilodemus Rus gera enthalten (vgl. Zeitschr. f. d. ida Gymn. 1864 p. 731 ff. Philodem úber Frómmigkeit p. 45), wonach ng zu ern hatte, um zwei zusammengehörige Papyrusfetzen egeo etie ngen. — Bei- pies mag hier erwähnt werden, dass Here. Vol. Coll. alt. IV f. 137 n bei Demetrius eben da VI f. 154 wiederkehrenden E des Sophokles (fr. 690) enthält, vauta: 8° ¿unpúdayto vnos icy | | lichen und kóstlichen Liedern. Somit wird herzustel- | len sein vous SUMPÉNTOUS, womit zu vel. Telestes bei Ath. XIV p. 626 A: vol à ó£ugovotc rnxtidov Wah- pois xpéxov Au8tv Úp.vov. Mnasalcas Anth. Pal. 7, 192: a30 xpéxouoa péhos. Leichter lässt sich nunmehr’ in dem obigen Epigramm ein anderer Fehler heben; ich meine die unertrügliche Gegenüberstellung von ayrarodouvar und raSov. Es muss heissen: Oz xal aote ae Ésvloy yapry dvtarodouva! Upvous cüxoéxcous old, Aa àv Alya. Dem raSov würde xoci» entsprechen: zu dvrarodou- va: bildet den allein möglichen Gegensatz Aa fu. Palladas Anth. Pal. 9, 379 (Pagi maporaxos «x&v de Saxo dvdpa Tcovmpóv»* CAAA Tod ody odTO pp? monas Ayer». dd 8axot xay de aa Seu; xal arpaypovas due, To dE xaxov dedios Önkerat ovðè dpaxwv. Der Sinn des hier angeführten und als unwahr be- zeichneten Sprichwortes ist leicht verstündlich: ein schlechter Mensch bringt einen jeden gegen sich auf, oder bildlich, einen Schlechten beisst sogar ein Thier das sonst keinem etwas zu Leide thut. Es liegt auf der Hand dass die Erwähnung des Schweines, das zwar in dem Rufe grosser Unsauberkeit steht, nicht aber als gutmüthig oder harmlos gilt, hier unpassend ist. Da- - rum hat man ehemals x4» püs daxcı avðpa Tongoy vermuthet, was Meineke Theocr. p. 458 billigt. Mir scheint diese Aenderung unstatthaft: die Maus ist zwar ein furchtsames, aber keineswegs ein sanftes Thier; sie beisst unter Umständen, nämlich im Drange der Noth oder (nach Batrachom. 44 ff.) im nächtlichen Dunkel, einen jeden. Und wie können pos und 39axov einander gegenübertreten? Maus und Lówe würden einen passenden Gegensatz bilden als Symbole der Furchtsamkeit und des Muthes, der Ohnmacht und der höchsten Kraft; nur würde hier dieser Gegensatz nicht gut gewählt sein, weil damit dem Schlechten eine An- erkennung gezollt würde, die:der Dichter sicherlich nicht beabsichtigte. Ein drittes Thier finden wir in der bei Diogenianus 5, 87 überlieferten Fassung un- , seres Sprichwortes, x0 até Saxn avöga rovnpov, WO ` Leutsch zwar das unmögliche Saxn ohne Anfechtung durchlässt, aber dafür mit naturhistorischer Gelehr- samkeit uns überrascht: «caprarum. morsus, quum ip- sae nunquam sine febre et maxime epilepsiae obnoxiae sint, noxii et exitiales putantur: v. Hippocr. negt leon 58 Bulletin de l'Académie Impériale _: yocou T. 1,606 Kuehn. Varr. R. R. II, 3, 5» u. s.w. = Ob die Ziegen beständig fieberkrank sind und zu epi- — leptischen Anfällen neigen, ob ihre Bisse schädlich oder gar tódtlich sind, dies kommt für das Sprichwort SE: ' dass den Schlechten selbst eine Ziege beisst, ganz und S gar nicht in Betracht. Auch die Ziege will für dieses - Sprichwort sich nicht schicken. Das von Diogenian | überlieferte Sprichwort lautete ursprünglich x&v ofç axor Avdpe rovmoóv, und eben so ist in dem obigen - Epigramm V.1 wie V. 3 Ae zu ändern in ots, wodurch Es wir zu dem dgaxo» d. h. der giftigen Schlange den passendsten Gegensatz bekommen in dem gutmüthi- - gen Schaf. Die Substitution von cz statt Oe verdient = ` kaum den Namen einer Aenderung, sofern die Byzan- tiner zwischen OI und Y keinen Unterschied machten. Wie also Suidas es der Mühe werth findet anzumer- ken dass das Schweinefleisch Aeren xpéas mit dem Yp- y, . silon, das Schaffleisch dagegen olstov xodas mit OI zu schreiben ist, so ist die Wahl zwischen ôç und ot nur vom Sinn der betreffenden Stelle abhüngig zu machen, nicht von der Autorität Byzantinischer Handschriften. . Die hier nachgewiesene Verwechslung finden wir wie- . der in dem Sprichwort: tò xuvóg x«xóv Ús améroey . bei Gregorius Cyprius 3, 77 u.a. (vgl. Meineke Theocr. p. 461), dessen Sinn nur sein kann, dass der Schul- dige oft straflos bleibt, indem ein Unschuldiger für ihn büsst. Offenbar muss es heissen tò XUVOS X&XCY Og . amérv, den Schaden den der Hund angerichtet, be- zahlt d das sen mein, sondern das unschuldige Schaf. Anth. Pal. 9, 498: Mn Jarre TOY ASATTOY, ča xucl xpa yeveodar' 17 Tyco UNTE LNTEODŸ OO oU ÖEyET avöoe. Ec Den metrischen Fehler des ersten Verses ‚hat Jacobs durch die Aenderung pn Sarreıv zu heben gesucht; vielleicht ist ‚vorzuziehen pn Sans zën AJATTOY, WAS nicht nur Plan. bietet, sondern auch Agathias 2, 31. Anth. Pal. 9, 701: AVTOV ERR C0 otxos ¿atroz 099 gn Ohvuros pépubsta: oupmvoSev Ziva xatepyowevor. ‚Schwerlich sage ich etwas neues, wenn ich bemerke dass pépparr oUonvóSey zu lesen ist: aber selbst in der neusten Pariser Ausgabe der Anthologie wird pépye- ta: stillschweigend geduldet. . Posidippus Anth. Plan. 119, 1: AVGITTE, TAQOTO Zonóws, 30poahén Yeh. Dem Ausdruck Sagoaden yel, zuversichtliehe oder ver- = PES AP Lee e M 4 E wegene Hand, lässt sich hier .schwerlich ein passender . oder aueh nur erträglicher Sinn abgewinnen?) Die ursprüngliche Lesart 3a:da id yet ist uns zufällig ge- rettet worden von dem diesen Vers anführenden Hi- merius Orat. XIV, 14 p. 74, 38 Dübn. Zur Bestiti- gung dient Anth. Pal. 9, 826: cóv Boogícu carupoy reyvnsaro Boräoidn yefo. Ein bekanntes Epigramm des Aratus ets Arorunov lautet: Alako Aën, og Ev rerogor xaSmvat Dapyagéwy raralv Bita xol arpa Mov. Der Hexameter dieses Distichon erscheint bei Bergk Anthol. lyr. p. 141 in einer wesentlichen verschiede- nen Gestalt, Alato à oct polvos Evi Tétonot xa 3 gra, ohne dass die Vorrede p. XI, wo nur gesagt wird « Ara- ‚tus. Stephanus Byz. v. Éd et Anthol. Pal.. XI 457», über die Neuerung der Lesart uns aufklärt. Das Epigramm findet sich auch bei Macrob. Sat. V, 20, 8 und Eust. Il. p. 986, 48. Von den übrigen in der zu- ' erst mitgetheilten Lesart, äbgesehen von der gering- fügigen Variante rétoauot xaS1ca:, übereinstimmenden Zeugen weicht allein ab Stephanus Byz. p. 199: exei (nämlich. ev Tapyapoıs) xa Arcrıpos ó Akaora edldaoxE mëtteg, ets oy Agatos & ce. alaka GT: p.ouvos Evi TÉTENOL Séier ra:cıy l'apyagéoy Bita xol aapa Méqov. — Lediglich auf diese Stelle gründet sich die von Bergk gegebene Fassung, in der die Einschaltung des & auf Coniectur beruht. Die gangbare Lesart ist aber ent- schieden die richtige, weil sie den Namen des Diotimus enthült, von dem das Distichon handelt. Die schein- bar auffallende Abweichung des Stephanus glaube ich in einfachster Weise erklären zu kónnen. Aus aiako AIOTIMON OC ey réropot xaS tot wurde zunüchst, indem man nur falsch theilte, aiako AIOTI MONOC £ réronot xaSntet, und dafür setzte ein Verbesserer alo Oct Rouge dd TÉTENOL xaSmcau, so dass die ursprüngliche Lesart zu Gunsten des Me- trum an das Stellen willkürlich geündert wurde (wo- 19) 9) In an neusten Ausgabe der Griechischen Anthologie wird mit Sapoakin yeto verglichen eine Stelle des Propertius (IV, 8, 9): a Lysippo est animosa effingere die mir durchaus nicht hierher zu gebóren scheint, Unter den ani- mosa signa kënnen offenbar nur «lebensvolle Figuren » gemeint sein. Wie aber wäre es möglich Sxpoahén yeto in diesem Sinne zu deuten? E d À a uer acidi us A à A JA : | D E hd xal Ev geg ei me D ET J MEE fia T x E E. : CUTS MINES > V 5 2: ^ EE z Gë Vs SE CES ES ‘ 1 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 2 62 bei immer noch die Dehnung des Iota in ¿ví anstóssig bleibt) und von dem Namen Arctos kaum noch eine Spur sich erhielt. Aehnliche Willkürlichkeiten werden auch jetzt noch begangen. Den auffallendsten Beleg dieser Art bietet eine in der Revue archéologique 1866 I p. 439 publicirte, im Philologus XXV p. 369 unge- nau und fehlerhaft wiederholte Kyprische Grabschrift, bestehend aus fünf elegischen Distichen, deren letztes in der Abschrift so lautet: OYKAKOZEETAIAAETTAPIOIZENEXAIPE TIPOZEITTAZ KOINOZETTEIONATOIZOTTAOOZEIT POIMENOYE Der Herausgeber D. Piéridès las den Hexameter: Oùx dxoc $ ¿orar 8 domapror, Eee, Xaipe rooceîras, und Egger wollte corrigiren ` ` | où xaxos Zem 9 domacpos, Ecve, Jalps rooceirau, bis endlich E. Miller in derselben Revue 1866 II p. 62 erinnerte, dass TTAPIOI eine falsche Lesung war statt TTAPIOI, die Buchstaben aber etwas anders abgetheilt werden mussten: s ou xaxés dor Aübuz uoi, Ééve, «yaipe» noooeinas. Dass eine derartige Erinnerung überhaupt jemals noth- wendig wurde, ist kaum zu glauben. Und doch geschah etwas noch viel unglaublicheres: im Philologus XXVI p. 445 wurde Millers Lesung verworfen und eine neue | Herstellung empfohlen, ovx dxos dotar ò, de maprov, Edve, yaios Tocosiras, über die ich nur sagen kann dass sie mir vollkommen unverstándlich ist. Procopius de bello Gotthico IV, 22 erzühlt, Aga- memnon habe in Gerástus der Artemis ein steinernes Schiff geweiht, auf welchem entweder damals oder spá- ter eine metrische Inschrift eingegraben worden sei. Die Charaktere dieser Inschrift seien im Laufe der Zeit zum gróssten Theile unleserlich geworden, die ersten Buchstaben aber seien noch sichtbar und lauten: Nia yéAatyay idovoato Tis Avapéyvov, Eine arpartınz oué Tcikondvng. Eye «Tnvwyos ¿motor Aprenıdı Bohocía». Der Hexameter dieses Distichon dürfte so herzustellen sein: Noa pérmvay avaË iSoucare Tio. Ayapzavov. .. Wie leicht &va& nach péhavay ausfallen konnte; lehrt der Vers eines christlichen Dichters bei Cramer Anecd. Paris. vol. 4 p. 294, 18: LANA p dy ¿hémips xal sixcva. Velay devo, Wo MA p GvaË datos zu schreiben ist. In dem Pen- tameter des von Procopius erhaltenen Epigrammes ist onpa vielleicht zu ersetzen durch das deutlichere pa. Die nachher folgenden Worte Tage Emoter Aprepıdı Bohooín standen sicherlich am Schluss des Epigrammes, wo- nach èv geg nicht richtig sein kann, wie auch daraus hervorgeht dass à» deng keinen richtigen Gegensatz bildet zu ta roûta veappoara. Man sollte erwarten ems rap ix ee RII NU M xal úroypapn» yet, In dieser Unterschrift wird Tqw- | v. xoc mit, Welcker Sylloge epigr. p. 226 in Towiyos zu ändern sein. Die "Aprepıs Botocía ist vielmehr Bo- Aocta zu nennen; dafür spricht die von Dindorf ange- führte Stelle des Etym. M. p. 205, 25 wie das Me- trum; denn offenbar bildet diese Unterschrift einen iambischen Trimeter*), zu dessen Herstellung es nur einer ganz geringen Aenderung bedarf: Tovwyos ¿mofery Aprépud Boiocta. Die Form Zoos kennen' wir aus einer Milesichen In- schrift, vgl. Kirchhoff Studien zur Geschichte des Gr. Alphabets (Abhandl. der hist.-philol. Klasse der K. Akademie der Wissensch. zu Berlin 1863) p. 140. bei L. Heuzey Le mont Olympe (Paris 1860) p. 479 findet sich eine aus zwei Distichen bestehende Grab- schrift, von denen nur das erste sich herstellen lässt: FAIOCEIMAPTHAAOKW TOA€CHMAOANOYCH z OHKEAYKEIANHMNH MOCYNHGENEKEN Vermuthlich bietet der Stein EIMEPTHAAOXW. Da- nach würde das Distichon lauten: ` Paros einsprh arogo dës cipa Savovor, xs Auxsiavn pynmoouvng Évexev. : Natürlich ist epson so viel als ipsoc d, während sipag- zg @\yo mir sinnlos scheint. — Von der bei Heuzey p. 480 folgenden Grabschrift vermag ich nur den ersten Vers zu entziffern, welcher lautet oder doch lauten sollte: b In dieser Unterschrift erkannte Meineke Del. poet. Anth. Gr. p. 285 f. ner einen iambischen Trimeter: Kuduvaras Koncidas clpyaëute. Dass diese Vermuthung bis auf eine geringfügige Kleinigkeit rich- , tig war, lehrt das neuerdings aufgefundene Original im ersten Bande des Corpus Inscr. Att, p. 187. Nur hätte Meineke cipyaooaco schrei- ben sollen, wie vor Auffindung des Steines Boissonade vermuthet hatte. * Bulletin de l'Académie Impériale ‘Qg 0600 slagevev pe BoorcoSopos forages Ans. Was der Herausgeber dafür gesetzt hat, kónnen wir auf sich beruhen lassen. Eine neue Bearbeitung der Bruchstücke des Calli- machus war nach der nie genug zu bewundernden Lei- stung von Bentley ein dringendes Bedürfniss, dem end- lich Otto Schneider durch den zweiten Band seiner Callimachea im J. 1873 abgeholfen hat in einer Weise die unsere vollste Anerkennung verdient. Die Her- stelluug der Fragmente bleibt, wie es in der Natur der Sache liegt, vielfach unsicher. Entschieden fehlerhaft aber ist was in der neuen Ausgabe p. 244 dem Calli- machus beigelegt wird (fr. 83°), : roonyaysv 9 emi mhsioto» A Estos Dod& Edpopfos, dois gëurmue XTÉ., wo der dritte und vierte Fuss des Choliambus durch ein einziges Wort gebildet werden. — Fr. 147 ergánzt O. Schneider zu einem überlieferten Pentameter ver- suchsweise die vorgehenden und nachfolgenden Worte: [Spéravo» Y ois ne Kocvoto, | zo TEpl StynsyT Axpovidny SS, Dao xeivnor]. Derartige Ergänzungen sind an sich kaum mehr als ein müssiges Spiel; in dem vorliegenden Falle aber müssen wir Protest erheben gegen die Form ns, die zwar bei Gregorius? Naz. sich ófters findet (vol. 2p. 46 A: enel xeos Ye yevíoSon. p. 99 O: réprros 9 e PT- TOS, 63 Extos Bap3ohopatos. p. 101 A: TOD TÉTOATOS ne Kaivav. p.126 B: ro: pèv gege Ye, Torov Dé Te rarotv éctoty), die ich aber dem Callimachus, trotzdem dass es mit seiner grammatischen Correctheit schwach ` bestellt ist, zunächst nicht zutrauen móchte”'). — Eine der gelungensten Ergünzungen eines Fragmentes des Callimachus verdanken wir O. Jahn (Berliner Hermes i p. 249), der die abgerissenen und unverstándlichen 21) Hartel (age ue 2. Aufl. Wien ée D nt ) wundert sich, dass ich O ei pe Groe Ergo T» KEÓVÓTATOS «e, das mir bei Homer anstössige Ty nicht wage in de zu ändern, sondern lieber an der Herstellung dieser und «ühnlicher Stellen» (mir ist entsprechen bei Se men ern die Formen Zoxe(v), čev, dev, nv, Zon (nny ist nur eine Fiction der Grammatiker). Die erste dieser Formen hat den rs schon in der classischen Zeit einge- büsst; von den übrigen Formen ist nur der in de verkürzt worden, aber meines Wissens nicht früher als bei dem Kirchenvater Grego- rius Naz. Worte «àv ¿ydoov Gore Kopcıpov (fr. 307) aus Porphy- rion vervollstándigt hat: énta cool yalporte: Te dech date Kopetgov OÙ TUYAS LÍO LEY. Unbegreiflicher Weise hat der neuste Herausgeber ge- gen Jahns glánzende Herstellung sich ablehnend ver- halten. — Einen durchaus richtigen Takt hatten die Kritiker bewiesen, welche nach Cie. Tusc. 1, 39, 93: non male ait Callimachus multo saepius Lett fuis: mum quam Troilum, und Plut. Mor. p. 113 E: peto» yap ¿vros Edaxpucev Towtkos n Ilptapos, dem Callimachus (fr. 363) den Pentameter zueigneten pelos édaxouoev Teoíhos y Hptapos. Dieser Pentameter liegt bei Plutarch unversehrt vor, sobald man die Worte yde und &vrog auscheidet, die offenbar dem Plutarch gehóren und nichts zu thun ha- ben mit dem von ihm benutzten Dichterwort?). Wie schwerfällig nimmt sich dagegen aus, was Schneider nach der Plutarchischen Stelle dem Callimachus auf- bürdet, sl yap dvros Teodce y Eduxpugev n Moíap.os. In dieser Fassung enzieht sich évcoz unserem Verständ- niss, und die zu Gunsten des Metrum eingeschaltete Partikel ye ist unpassend, weil Troilus nur einer uhter vielen ist, die mit gleichem Rechte im Gegensatz zu Priamus erwähnt werden konnten. —Die weit verbrei- tete, selbst in mythologische Handbücher (wie Preller Griech. Mythol. I p. 247 zw. Aufl.) übergegangene | Notiz einiger Grammatiker, Callimachus (fr. 82° oder fr. 62) habe in den Worten "ois EdxoMvr die Hekate xat avriopacıy Edxokn genannt, beruht auf einem mg lin Irrthum. Wie schon Bentley er- 22) Das ydp ist von Plutarch eingefügt, weil er mit den Worten des Ed die voraufgeschickte Behauptung (er: 6 heyopevos € Sdvaros evrapapdInrós ċott) begründet; durch Zus zeigt der Schriftsteller an dass er dem citirten Autor Recht gibt, dass in dem vorliegenden Fall ein ,bekannter Ausspruch sich bewahrheitet oder etwas ähnliches. Ganz entsprechend sagt z. B. Cornutus de N. D. c. 30 p. 174: ¿vrs yap civög TL Tupt Toon pávos GË xată tods TOLNTAG, wo nicht ein iambischer Trimeter (wie etwa ¿vts yap olvog pévog £go» io» up) zu suchen ist, sondern hinlänglich bekannte Worte des posters + (p.153 Bernh ) benutzt werden: 06 TOL Tuot tcov Zyct pe ALL cur d» de audpa EN xup.atyct © cía A(Quocay aha one v) vorog XT Bo Worte über welche ausser A thenaens; Stobaeus nit Clemens Alex. ` noch verglichen werden kann er, v. vapImxorinpwrov, oder Hiller Eratosthenis Carm. reliq. p. 111 f waren noch zu beachten Aelian N. A. 65 des Sciences de Saint» Pétersbourg. ! 66 - kannte, galt das yates bei Callimachus nicht der‘ Exarn, sondern der Exayn, und statt yate EuxcMyn, war viel- mehr mit Cobet Mnem. nov. 1 p. 378 yaig “Exadvn . zu schreiben. Vgl. Etym. M. p. 319, 45: aurny (nám- lich nv Exam») ExaMvn» Zeen ol zaiacl úroxoptgo- evo. Plut. Thes. c. 14: tn» "Exo étépoy Exadvny (Exadny»n» die Handschriften) vroxopföpevor da To xaxswm» véoy ovra x xov Ongéa Eevikoucav aera- caosa. Tpcofutixos xal quiopooveloSqt ToLoUTOLE VTO- xoptapois. — Für Callim. fr. 222: TEULOY Qc EtépO tig ÉD XAXOV Bart TEUYEL, 7, 11 und das von R. Hercher herausgegebene Fragmentum Marcia- num (Hermes 3 p. 385, 13), vgl. Bulletin XVII p. 227 oder Mélanges Gréco-Rom. III p. 275 f. — Fragm. 289 war einfach zu tilgen. Statt Sava ¿via xeaco. hat Bentley unzweifelhaft richtig ¿via Java xsaocaı her- gestellt”); diese Worte aber sind aus der Odyssee (0322) entlehnt, und wenn es auch an sich nicht unmóglich ist dass Callimachus einen ähnlichen Ausdruck den Homerischen Worten nachgebildet habe, so kann doch eben so wohl der Name KoMipoxos auf einer Gedan- kenlosigkeit des Suidas beruhen. In jedem Falle ist die Ergänzung Sava Bio [turda] zesoen: durchaus will- kürlich. — Auf fr. 481: pon peroeiv oyotvo Hepotó nv vopiny, | bezieht sich Gregorius Naz. Epist. 209 vol. 1 p.903B , (bei Hercher Epistologr. p. 15): té yap n m Hasan oyo perpsioSar dei nv acpíay n Tadros Lal Ges Das von Herodian m. pov. Aé. und Choerob. erhaltene 23) Zu den úblen Angewohnheiten der Schreiber unserer Codices gehórt auch die wunderliche Neigung ein nachgestelltes Adiectivum seinem Substantivum vorzusetzen. So bieten alle unsere s MEM d. y 418. Zwischen T0ÀÀo0 Aoet und got xoAAot schwankt lieferung bei Hesiod Op. 763 f. In den Sibyllinischen Orakeln 12, 2 02: xat rote ôn Bacídera xAvTn peyxAoto avaxtos, ha n die Ab- schreiber xut) que vorgezogen. Der Versausgang 00» raren THLOLEVOY Eur. fr. 2 5 ist mit Recht von Bothe geändert worden in marépo Gv men Aus derselben Unsitte erklárt sich bei Eur. Andr. 423 Ce N, unserer, Handschriften zwischen eit £up.- Zog de yon Ms e Se A Yet, onv raid i£ayetv, at ony rató yery wo Kirchhoff durch die Umstellung xatóa 67» aye» die Hand des . Dichters hergestellt hat, während interpolirende Byzantiner einen dreifachen unrichtigen Versuch gemacht t hatten die fehlende Silbe durch Einschaltung zu gewinnen. Einige andere Belege für derar- tige Umstellungen habe ich beigebracht im Lexicon Vindob. p. XVI f. Tome XXII. fr. 505: vuppís Anuooco», axe Eeve, steht ohne Nen- nung des Verfassers auch bei Procopius Gaz. Epist. 18 p. 539 Herch. Den Bruchstücken des Callimachus hat O. Schnei- der eine nahezu 400 Numern umfassende Sammlung. epischer und elegischer Anonyma angehängt (p. 705— 791), die man dem Callimachus vermuthungsweise zu- geschrieben hat oder vielleicht zuschreiben darf. In dieser überaus fleissigen Zusammenstellung, welche einem künftigen Bearbeiter der Fragmente der Grie- chischen Epiker von wesentlichem Nutzen sein wird, bleibt natúrlich vieles streitig und zweifelhaft. Um so lieber beschränke ich mich auf die Nachweisung über- sehener Thatsachen. Der Vers ygouvol pèv datovro, péyas à “Hoatoros avéotn (fr. 84) steht auch bei Tzetzes in Lycophr. 86, wo er dem Homer beigelegt wird. — Fr. 112 ist zu tilgen, da der Hexameter men, TEPOÍXOOL, Ta TE COÍOLY AYTLONGLY sich bei Oppian Hal. 1, 48 findet. — Warum wurden die Worte yırava Te wuto cocas fr. 113, wo der Herausgeber eine Verunstaltung von Od. ¿229 voll- kommen richtig erkannt hat, nicht einfach ausgeschie- den? Ein gleiches gilt von fr. 154. 291. 321. 324. 337. 342. 356. Ueber alle diese Stellen genügt es auf Schneiders eigene Auseinandersetzungen zu ver- weisen. — Fr. 119 aus Etym. Flor. p. 93: vat èx rod duo yetar dun xol dual Sual Ev pepélnytas, wiirde vermuthlich fortgeblieben sein, wenn meine Emendation, Sox ds tod due yetar orot xal Sorat Souat gà» MeveAao (A 7), dem Herausgeber früher be- kannt geworden wäre. Diese Stelle kann zeigen, wie vorsichtig die Texte der Grammatiker zu benutzen | sind. — Der Zweifel über die echte Lesart in fr. 116: zeng Ò autíxX ¿metta xatappenèc ¿cauto xup.a, erle- digt sich und das Bruchstück verschwindet, wenn man die Quelle desselben kennt, Apoll. Rhod. 2, 593. — Dass fr. 120: x1000 9 ipeposvt: xac iones (l. ¿ote- bey) éSetoas, dem Periegeten Dionysius (947) gehört, habe ich in dem Bericht über E. Millers Mélanges bemerkt. Auch sonst werden or@Asıv und atépely ver- wechselt. — Was unter fr. 132 über méxtos mir bei- gelegt wird, ist genau das Gegentheil von dem wasich in an der von 0. Schneider angeführten Stelle (Bulletin ` XIII p. 362 oder Mél. Gr.-Rom. III p. 129) gesagt habe: auch ich wunderte mich dass M. Schmidt und Lentz das bei Arcad. p. 80, 9 überlieferte móxtos ge- 5 67 Bulletin de "Académie Impériale . ! 6s ändert- und zwar stillschweigend geändert hatten in méxros. — Die Glosse des Hesychius a Aéhotrey (fr. 144) ist entlehnt aus Greg. Naz. vol. 2 p. 52 D. Wie dieser Kirchenvater dem Lexikon des Hesychius “und anderen Byzantinischen Grammatikern eine reiche Ausbeute zugeführt hat, so sind nachweisbar aus der- selben Officin hervorgegangen die Glossen in fr. 160: sideos xs céhas (Greg. p. 102 D), fr. 204: uns x30- vos (Greg. p. 52 D), fr. 214: ¿ma ynevovtes (Greg. p. 36 B), fr. 218: rap xuAcova (Greg. p. 58A), fr. 246: "gien tàs (Greg. Anth. Pal. 8, 112, 1). Alle diese auf Gregorius Naz. beziiglichen Nachweisungen liessen sich aus der Schmidtschen Bearbeitung des Hesychius gewinnen: Homerisch sind die als fr. 207 erscheinen- den Worte voponv ye vény (À 447), wie fr. 224: rohu- deuxéa ovr» (vgl. meine Bemerkung zu Od. 7521), desgleichen fr. 322: deen. £yov ¿mi vnas (A 168). — Ueber den gelegentlich (p. 772) erwähnten Hexameter Apdo Ate ¿post moAUQorct; Aer konnten noch einige Zeugnisse beigefügt werden (vgl. Bulletin XII p. 517 oder Mél. Gréco-Rom. III p. 60 f.). — Fr. 329: Seorıv xatefpóvrnoev ó QAérov Ora, ist ein Vers aus den Kavowss des Iohannes Damascenus (Hymn. 3, 91}, über die ich zuerst in der Zeitschr. £ d. Alt.- Wiss. 1855 p.19 — 22 und später bei verschiedenen Anlüssen gesprochen habe. Nachdem diese Kavovss durch die Anthologia christiana von W. Christ und M. Paranikas (Lipsiae 1871) allgemein zu- ‚gänglich geworden sind, wäre es endlich an der Zeit dass sich mit ihnen alle diejenigen genauer bekannt | - machten, welehe über Griechische Grammatiker und über die bei denselben erhaltenen Dichterfragmente zu Schreiben unternehmen. O. Schneider hatte um so mehr Veranlassung diese Hymnen zu lesen, da Naeke einen Vers derselben mit Callim. fr. 76 verbinden wollte: eine Muthmassung, durch welche sich mit vie- len anderen auch Bernhardy im Suidas II, 2 p. 1296 Duschen liess, wie denn unter den Philologen unseres - Jahrhunderts Ce e in seinen Ausgaben des Suidas und des Etym. M. fast der einzige gewesen sein diirfte der die: metrischen Hymnen des Iohannes Damascenus kannte. — Fr. 334. Den in den Schol. V IL M 5 anonym überlieferten halben Vers, va wy regl récav esp yet, hat O. Schneider durch die Aenderung puy statt wy geheilt; was er aber über die ursprüngliche Be- ziehung dicte? Worte p. 97'und p. 774 vermuthet (er denkt an das unheilvolle Gewand, welches Medea ihrer Nebenbuhlerin Glauke gesendet), ist irrig, da die frag- lichen Worte dem Hesiod gehóren, Theog. 127: Tato 8é tot roûtov pèv éeivarco (oov ¿otr | Deene EI , {va pity mepi TAYTA X OX tot, öpp ein paxdpeoar Dec: ¿dos dopadis aiei. So (abgesehen von der Variante xaħunty) unsere Hand- ` schriften und Ausgaben; aber fva py tepl aca» éépyor ist, wie die Koechly- Kinkelsche Ausgabe anmerkt, deutlich erkennbar in den mannichfachen Entstelhin- ` gen der Handschriften des Cornutus de N. D. c. 17 p. 87 f. Os., wo die Worte tva qu» — acpañès atei an- geführt werden. Abermals ein Beweis, wie unfrucht- bar es ist abgerissenen Fragmenten eine bestimmte Stelle in verloren gegangenen Gedichten zuweisen zu wollen. — Fr. 343: opuewns axpatou xal xéôpou vn- ' Xe xarvo. Dieser Vers lässt sich nach der Ansicht al- ter Metriker als daktylischer Hexameter und als iam- bischer Trimeter lesen. Ein Schol. Hephaest. p. 21 und Tzetzes in Aneed. Oxon. vol. 3 p. 318 legen den Vers dem Hesiod (fr. 248 Goettl.) bei und bieten eine bei weitem wahrscheinlichere Fassung: rioong Te Ôvo- pepis xal xédpou Aé xarvo. — Fr. 359: vov ð piv ` ot tócoy veléSet xaxèv ¿vd0% pépvov. Die auch im Etym. M. p. 614, 9. Etym. Gud. p. 417, 15 stehen- den Worte his dem Gregorius Naz. "li 2 p. 129D, wonach die von Schneider begonnene Emendation zu vervollständigen ist. — Ueber das vom: Herausgeber (fr. 37 16) nur aus Plutarch angefiihrte (oda tot xuapoug ¿ode XEPOLOS TE TOXNOY konnten nicht wenige andere Parallelstellen beige- bracht werden, vgl. Bulletin XVIII p. 494 f. oder Mélanges Gréco-Rom. III p. 577 ff., wo ich hinzufüge Etym. Gud. p. 351, 8: Opnpos, fody Tor ugoe TE panel. — Fr. 378: yaotpos aro meins Bou. xal unriv auetve. Die Vermuthung 8ouA7 xal pntis apei voy wird bestätigt durch eine andere Stelle des Plutarch Quaest. symp. VII, 9, 1 p. 714 A. — Fr. 380: Asun- TO TAPA Dmtsüoat piyay els Enavröy, berücksichtigt von” Clemens Alex. Str. I p. 383 : xai Adna Syrevov (zë súploxeta: «uéay eis Evinurevo, Nach Schol. Eur. Alc. 1 haben einige Gelehrte den Vers dem Rhia- nus beigelegt (vgl. Düntzer Fragm. der ep. Poesie II p. 72 und Meineke Anal. Alex. p. 180). — Nachträge - zu den von O. Schneider zusammengestellten Adespota beizubringen wäre eine endlose Aufgabe, welche die Vi 69 des Sciences de Saint. Pétersbourg. 70 Grenzen dieser Bemerkungen weit überschreiten würde, Eine Stelle móchte ich jedoch erwühnen, wo ein Dich- terwort benutzt zu sein scheint. ‚Athenagoras Suppl. pro christ. e. 14: dy tolvuv mue, ött pm xotóg exsívorz Secasßoun.ev, Aosßonev, TOTO! po TONELS ravra 85 ¿Syn ceQouctv' ou yap TOUS groe Tavres your Sous, Den letzten Worten dürfte ein Pentameter, wie etwa de OÙ TOUS ŒUTOUS TAVTES d'[cuct Sege zu Grunde liegen, der möglicher Weise von Callima- chus herrührt. Die Texteskritik der Fabeln des Babrius ist durch die Ausgabe von A. Eberhard (Berlin 1875) wesent- lich gefórdert worden: nichts desto weniger bleibt für diesen Diehter sehr viel zu wünschen und wohl auch noch manches zu thun übrig. Dass der im codex Athous überlieferte Text hie und da durch ungeschickte Hände erweitert ist, lässt sich urkundlich darthun und wird allgemein zugestanden; in Betreff der einzelnen Stellen werden freilich die Ansichten vielfach getheilt sein. Eine längst erkannte Interpolation wird von Eberhard nicht Geiger Eab:.9;.1f.; Aieue tic [akous ee xal Topos mode’ xol ÒN mov] Gov Anloas auoySntos Au TPOS ahy mupoyiny Est, TO déxruov Sels ¿repériey edpoucos. ' Gewiss ist es nicht zufällig dass die eingeklammerten Worte sich ausscheiden lassen zum entschiedenen Vor- theil der Darstellung. Die Verbindung æÿhods eiye mit copos nde: ist an sich so ungeschickt, wie wenn jemand sagen wollte: «N. N. besass Geigen und geigte gut»; hier wird diese Verbindung noch lästiger durch das nachfolgende avi0v. Der Pluralis «9Acog ist veranlasst durch die folgenden Worte teós 4010 rdvpovin», woraus der Interpolator den falschen Schluss zog, der Fischer habe mehrere Flöten: gleichzeitig geblasen. Nicht minder einleuchtend scheint mir die Fäl- -. schüng 22, 2: d ex Së Ba e TON TAY pé» £yov Gem [véos p&v ovx y, oudémO òè rosoßurng] Aeuege pehatag peyadas Exdover yaltas. Wohl kann man sich gefallen lassen eine Erläuterung wie sie 103, 2 gegeben wird: Aéov èr drem ouxért GS évOy Basen, TONNO väe non TO AT Ab xoldns Zou onmAvyyos Og vóco xapvoy Geer, Dass aber zu dem allgemein verstündlichen Begriff der mitt- leren Jahre noch der Zusatz tritt «zwar nicht Jüngling, aber noch nicht Greis», dies ist nicht nur überflüssig, sondern geradezu lüppisch. — Fabel 44 handelt von drei zusammen weidenden Stieren; der Lówe getraute sich nicht mit der Gesammtheit em zu werden, ACotc 9 UroUActg da gohais TE TUYXAPOVOY éx3pous droit, yopícas Y ar’ dd Exactov auto» ¿oye badíay Solny. Bei éy3pouz émoter fehlt die Hauptsache, eine Bezeich- nung dessen mit welchem die Stiere verfeindet wur- den, nämlich «kmo. Auch scheint dagohais wenig Gd, sofern es neben den &taßoAa noch andere arg- listige Reden gab (namentlich Verspr echungen), durch welche der Lówe seinen Zweck eben so gut und besser erreichen konnte. Babrius-dürfte geschrieben haben: hoyos Ò Unoÿhos yopícas ar oda Éxaotov auto» days badlws Sotynv. Frei von der Interpolation war das Original der pro- saischen Fassung (Fab. Aesop. 394 Halm): aipudous de Aóvotc Toutous dayopícas, pep.ovopévovs coutoy Eva xas ¿va een dòcoç TjoStev.— Von den Arabern, welche den mit Lügen und Schelmereien gefüllten Wagen des Hermes ausplündern, heisst es 57, 9 — 11: rëm doratovcsc dzee gece ` éxévogay AUTRY où donxav eis dee [Er mpoeASelv aéreo Gvras dvSpomous]. Dem Unsinn der Worte xaírso övros dv3purous hat man mit verschiedenen Mitteln abzuhelfen versucht; ` dass derartige Versuche scheiterten kann nicht be- fremden, da der ganze Vers nichts weiter ist als eine cite Zuthat von spüterer Hand. In der Fabel vom Fuchs und den Trauben liest man bei Eberhard 19, 6. 7: xapyouca Y dios (où yap Zoyusy Aen opge eco Bouxolcusa zg AUT NY. Nicht während der Fuchs sich umsonst abmühte, ging er vorüber, sondern nachdem er sich umsonst abgemüht hatte, ging er fort, also xapo9ca à dwg — amiASsv, wo arvise längst Burges in Aesch. Suppl. 920 vorgeschlagen hat, xapvovoa aber aus xa- poca gemacht ist wie Fab. 9, 5 éxauve aus éxaue. Auch toyöev scheint mir bedenklich, da das Ypsilon dieses Verbum bei Babrius sonst stets lang ist (vgl. 47, 12. 76, 16. 77, 6. 95, 7. 112, 10).ausser in dem unechten Epimythion von Fabel 96; vielleicht ist zu bessern où yap doSevey daier, wie oSévew oft durch toyúety erklärt wird. pt Bulletin de l'Académie Impériale 22, 4 wird bei Suidas v. xôpoç angeführt, wonach xogcug künftig nicht als Coniectur des Minoides Mi- nas zu bezeichnen sein wird *). 35, 3. 4: AX dy pév ayróv asks Um EUvoËns q SAArovoa xoXmotg drëtte ATOTVÉYEL. Der Herausgeber schreibt mit Bergk und Seidler &yoíog amorvíye: und bemerkt: sedem uu. a. As e. el à. à. commutabat N (d. h. Nauck). Vielmehr habe ich Philol. 6 p. 408 vermuthet: GAN Du piv avtov ayong ÚT euvobns Sahrouoa xóhrots dS Ao € ATOTVÍYEL, was ich noch jetzt für nothwendig halte. 46, 6 — 7 lauten in der neuen Ausgabe: do» Ò EMO coc TIS TONG T ATOTEUYOY … Tit Tòc VAAS 6 8i tahac XATEGXANXEL, un xo xopavny Seucégn» avanınaaz. Statt des mittleren Verses bietet die Handschrift zwei Choliamben: diet mpos Vus: ó 8b nevin Ivy axel. Davos JE ALO xoà VOTO XATECXANKEL. Mit Recht hat Bergk die Worte £Aagoc — ON x: getilgt. Vorher dürfte zu schreiben sein © 8 yenving Svijoxet, wie ich bereits früher bemerkt habe”). Vollkommen richtig sind die nachfolgenden Worte pn TO xopovny devtépny avarınoas, die im Rhein. Mu- seum N. F. IX p. 312 angefochten wurden: sie be- zeichnen dass der durch den Besuch seiner Freunde des Futters beraubte Hirsch vor der Zeit starb; denn der Hirsch ist teroaxopwvos nach Hesiod. 1.163, 2. Oppian. Cyneg. 2, 292. 54, 1. 2: Euvouyos gie noos Dom Unio raldov axel ópevos. 24) Uebersehen ist von den Eee des Babrius auch fol- gende Glosse des sag ydping TE pLpEpoU i 8€ pyne froe De ydpin:. Dies Citat ist + Oe dlane von Babr rius 25, 5: el de Muvns ¿yyds Noa» eüpeine. 2 in n TYPIHY übergehen konnte, lásst sich begreifen; bemerkenswerth aber ist die Freiheit, mit welcher Suidas oder sein Gewührsmann eine völlig sinnlose Entstellung als unverfälscht hin- nimmt und frischweg erklärt. Auf der gleichen Quelle beruht Zon. Lex. p.459: yuping meprpeoods. Wäre nur diese Glosse uns erhal- ten, so würde niemand den Betrug ahnen. Ein B wir Grund Seng gegen Suidas und Consorten uns misstrauisch zu verhalten. 25) Vgl. Bulletin XVII p. 258 f. oder Mélanges Gréco-Rom. III .820. Diese meine Bemerkung scheint Eberhards Aufmerksamkeit entgangen zu sein, eben $o wie die Vermuthung Aóyotot gniwJeioa coi; pelryhwocors 95, 9 (vgl. Bulletin XII p. 519 oder Mélanges Gréco-Rom. III p. 63 f.). Was oxepóp.evos hier soll, vermag ich nicht ausfindig zu machen: offenbar ist zu bessern xpnoóp.evos. 56, 9 steht bei Eberhard: "i aUTOS TOY giereg TAG TLG EUTPETN MQUvEL. Wozu bemerkt wird: «autós tov E: toy aire A». In den Verbesserungsvorschlägen zum Text des Babrius (Berlin 1866) p.8 sagt der Herausgeber: «v. 9 hat A TOY (TCU más "e Singer? zoher: also wird zu schrei- ben sein autos tv gären. Vielmehr scheint die Hand- schrift zu bieten: ev autos aútod TAS tig eunpenn xpívez. Ist dies aber der Fall, so sehe ich keinen Grund zu einer Aenderung. 59, 17: nepa te Toret, TOY PIovov DE py xplveiv. Der Sinn dieser Paränese kann nach dem Zusammen- hang nur dieser sein: «lass dielt, wenn du etwas zu schaffen suchst, nicht irre machen oder stören durch Neider oder Tadler», womit die nachfolgende Zeile stimmt, apsorov aros Worte tòv qSovov òè pn xolva, die sich dem Verständ- niss entziehen, für fehlerhaft zu halten sind, selbst wenn das Epimythion, dem sie angehören, nicht von Babrius herrührt, haben Eberhard und Tournier rich- tig erkannt. Tournier (Bibliotheque de Pécole des hautes études, Sciences philol. et hist. Dixiéme fasc.. p. 33) vermuthete «6v oSovov à da xptvew. Ich denke, man sollte eher das Gegentheil erwarten, ev qSóvov Se py ča »otverv, wie denn Eberhard ph PSovev à ča xoweuw im Texte gibt und Hertzberg, ohne eine Aen- derung für nothwendig zu erachten, übersetzt Thu, was du willst, doch lasse nie den Neid richten. Dass auch Eberhards Aenderung einen schiefen Aus- druck gibt, scheint mir keines Nachweises zu bedürfen: die Fabel lehrt dass der Momos, der früher unter den Göttern wohnte, überall wo etwas geleistet wird, Stoff ` zum Tadeln findet ; wer etwas schafft, kann nicht verhin- dern dass die Missgunst der Neider an seiner Schö- pfung mükelt; aber er soll gegen unberechtigten Ta- del sich gleichgiltig verhalten. Nur dieser Gedanke ist hier statthaft, also weder un oSóvov A ča xpiverv noch où oSóvoy SE SeT sien noch det PScvov SE um sët vet» (wie Eberhard früher wollte) noch etwas ähnliches. Vielmehr ist hier erforderlich die Mahnung: «küm- mere dich nicht um den Szeen, d. h. Toy QSoyov Y da ya tpsty. Aus dieser Lesart floss der Unsinn des jetzigen Textes in Folge einer übergeschriebenen Erklárung: I oudév ¿ori to Mopo. Dass die ' vg 78 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 74 un xplverv mov pSovoy $ Em yalp. Damit war gemeint zu p3óvov 3 un do xpiveuv: aus metrischen Rücksichten aber wurde das Zo fortgelassen. 70, 3: “YBptv SE mae, où yap eis.xaremmper. So Eberhard nach einer Vermuthung von Seidler, die ich nicht nur als misslungen , sondern als geradezu unbegreiflich bezeichnen muss. Zwischen ovdeíg und ouy eis besteht. ein gewaltiger Unterschied, sofern ou eig nichts anderes bedeutet als ¿vto oder zeiAet, Vgl. Aesch. Sept. 103: tatayos out évos Sopcs. Soph. O. R. 122: Ayoras Epaoxe ouvtuyovras où jud boy xravelv vu, aha Guy zer yegay. Eur. fr. 273: tij; tuyns 9 cUy eig to6roc. 71, 5. 6: Nxovas A y SaXacca, xol yu vanesa» Aaoüca povny eine ré. Statt der «weiblichen Stimme» würde ich hier vor- ziehen «weibliche Gestalt», also yuvarxeiny AaBodra poppy eire, vgl. 32, 3. 72, 14: xal. noas Seous NEw aletod xoe(ocov. Bezeichnender wäre atetod Saccwv. Der Schlussvers derselben Fabel lautet in der Handschrift: toig ÉTÉQUY YAP dj.moéro» coUtov CTEPNSNON. Somit wird es genügen, wenn wir schreiben, was in den Eurip. Stud. II p. 190 empfohlen wurde, toteu ÉTÉQOV YAP dj. moérov Green, ~ 89, 4: où Ti ps mépuor puxpôs Ov encore. Statt en 3% pe würde ich ou toi pe vorziehen, was je- denfalls leichter ist und wohl auch passender. 94, 10: GAX doxécet cot ph te xao» raoyetv. Rich- tig der Herausgeber py t: xol xaxov macyst», wie ich selbst (Eur. Stud. II p. 190) schon früher vorgeschla- gen hatte.— Die Form oto5as 95, 14 glaube ich Eur. ‚Stud. II p. 71 — 73 (vgl. p. 190) hinlänglich geschützt zu haben, so dass kein Grund vorlag dafür oídas zu setzen mit Minoides Minas und den prosaischen Pa- raphrasen der Aesopischen Fabeln. 95, 50: yoaXenóv xeAcuctc, AAA VIOLENTO. Den fehlenden Versfuss hat man auf verschiedene Weise zu gewinnen versucht: mir scheint das passendste ya- heroy xedevers Epyov oder ¿pyov xeAeuetg jy emóv. Gegen das 115, 12 überlieferte té yap vepov pot wüsste ich nichts einzuwenden; vgl. Bernhardy Paral. synt. Gr. p. 67 und meine Bemerkung im Bulletin XII p. 519 f. oder Mélanges Gréco-Rom. III p. 64 f. * - Einen Vers wie 134, 1: rom» cxúňaxa tts čte èx xeveßpeiov, wo der Tribrachys des zweiten Fusses von einem dreisilbigen Wort gebildet wird, hat Ba- brius schwerlich sich gestattet. — Zu den Druchstü- cken daktylischer Fabeln, welche Eberhard p. 96 f. nach dem Vorgang von Lachmann p. VII f. seiner Aus- gabe des Babrius beigefügt hat, kommt eine von Bois- sonade in Tzetz. Alleg. Il. p. 320 aus einer Handschrift von Iohannis Georgidae Gnomol. mitgetheilte Stelle, die sich auf Babrius 86 zu beziehen scheint: yaatéon (8 ?) öyxov. &youcay "Ti Aent opel» elcodos où duvara. y | Für die geistlichen Hymnen des Bischofs Synesius war, wie wir meinten, durch die im J. 1871 erschie- nene Anthologia carminum christianorum von W. Christ und M. Paranikas vorliufig in ausreichender Weise gesorgt, zumal da diese gedunsene Poesie nur wenige Leser jetzt findet und. künftig finden wird. Nachdem jedoch die neuste Specialausgabe dieser Hymnen uns zu Gesicht gekommen ist (Synesii episcopi hymni me- trici. Apparatu critico adjecto ed. Johannes Flach. Tubingae, apud Franciscum Fues. 1875.), halten wir eine abermalige Bearbeitung eben dieser Hymnen für hóchst wünschenswerth. Die Fehler des neusten Tex- tes schrittweise zu verfolgen hiesse Papier verschwen- den; es genügt uns einige Verbesserungsvorschläge mitzutheilen, die einem künftigen Herausgeber der Hymnen des Synesius vielleicht nicht unerwünscht sind. Hymn. 1, 13: xSapas piroug épécoeuv. Vermuth- lich ist zu lesen apacoew, nach Christod. Ecphr. 46: isonv A8 Aupmv où yepalv apacas:s. Orph. Arg. 384: Poígov xıSapny pera yepoiv apacowv. 400: Oétidos xat Timdéos vióg yspoi Aver» npacoe. Entsprechend das Lateinische pulsare citharam. 3, 250 — 252: dia rare pan ay YEVOpLEvOS Ó yevnoopevos. Der mittlere Vers ist- metrisch fehlerhaft und sinnlo zugleich. Man sollte aov. yeyos erwarten. 3, 670 — 673: 0d yap ySoviag | Segpóg AVLYXAS Augen Sva.colc | Biov otvoy oet. m | Also dvdyxas Seapòç Bien olvoyost? Das klingt etwas ‚wunderlich; ich denke, Synesius schrieb piv anos, wie etwa Meleager Anth. Pal. 12, 119: ege Ivarav Guest xpadlav. Waff o A A 2 RUN 75 Bulletin de l'Académie Impériale 76 :3, 713 — 724: Mas ovpavía xéyujat xata yas nayd pe dido, OSev éEeyuSmy puya ANUS. VEUTOY TOOYOVE OT peynvar veúcoy 9 dré col 720 TOPLLEVOPÉVOS, CUY AVARTL 000 Gren Coins VospOUG Dpaeue, -1 EH Qu So der Flachsche Text. V.717 ist dAnrns überliefert: aus soll nach p. XI von Boissonade herrühren (ob- wohl schon bei Petavius in der Ausgabe von J. 1612 «Xie sich findet), ` eu? (statt puyas) scheint ein Druckfehler zu sein. Um das Metrum in Ordnung zu bringen schrieb Badham Comm. in Eur. Hel. 1454 (Lond. 1851) gorras dAqtus. Gegen porras aber wie gegen dene spricht Emped. 381: zou xal ¿yo gu cini, puy As Seósey xal atnes, eine Stelle welche Sy- nesius hier ausgeschrieben hat, wie er xudel yalov 1, -56 aus Homer, aßarov arogas 3, 134 aus Soph. Oed. C. 167 wörtlich zu entlehnen kein Bedenken trug. Somit glaube ich dass Synesius die erste Silbe in qu- ds lang gemessen hat, zumal da mehrfach ähnliche Licenzen bei den Vocalen v und : in diesen Hymnen auftauchen ®). V. 721 ist überliefert rarp! capseucpé- 96) Dahin nn in d Er wie 1, 45: de xai os eda» (ut 5: ra à dvo orya ptum (Gu 4, ' 56—59: eet tis | mevdotyto rarpos, | Deo de iis T 7 erba iude. 1, 128: Eye pot, puxa, motoa. 3, 10: Sup AYAÍLARTOY (ge e- wöhnlich 38k duisi als ob Synesius die u. Silbe in avat- paxtov verkürzt hätte); „desgleichen Verlängerungen wie 4, 115: npoyuoty vice. 3, 234: où xatayu3¿y (vielleicht fehlerhaft, + lich aber nicht in xatayeudéy zu ändern). 10, 10: ta por dp. gu 3. Für die Verlängerung des Ypsilon in xarapooet 3, 122 konnte sich der Verfasser auf das Beispiel älterer Dichter berufen. Bedenklich scheint mir 10,8: 30 or xaS£ov, vielleicht durch kút & ra3Éoy zu ersetzen, Nicht minder verdächtig ist 8, 28: 9td cow, narep, ixéca v, wo das sinngemissere, aus 10, 4 zu entnehmende olxeray überaus nahe liegt. 1, 100: ¿ye pay, Eve Tt péyyos (tv-t), möchte ich Eveorı péj vermuthen. Schreibungen wie xtd VOY XPUSELOv SAßov (ur. ER A t.) 1; 28. TOLXGpUPOY Zeen dixdy 1, 66. móvos cic sign rayüoat 1, 117 dürfen wir als nicht Hire ed beglaubigt ihrem Schicksal überlassen, Die Accentfehler ent Barfidas 3, 109 sprechen scheinen 3, 99: o£, xat , Hé Zoe, | yevéra x6Guou, ind 8, 45: &££atvuco zu dr | xoi Acuyaléas ATAG. „Aber r yevéta ist wohl - nur verschrieben statt yevétav, und Acvyakéac atras scheint verdorben va»: die Münchener Handschrift A, deren Autorität für taprevopévay geltend gemacht wird, bietet vor diesem Worte eine Rasur, bestátigt also lediglich die Lesart der übrigen Codices; mir scheint die scharfsin- nige Vermuthung von Badham, - vedaov $ UTO oe TOUTOVEUOILÉVEY, dus Original wiederzugeben. Die Verse 6$ xaprov aroporoy ` TOOPOV Geraihgou popou TOQEV AOYEYOVO vosoav' OTEPAVNPÓOS xus, cé, mateo Tai rapSévov Uva Soho nidos, bei Christ und Paranikas Hymn. 9,7 — 12, bezeich- net Flach p. VI f. als haud contemnendos: gleichwohl - hat er sich nicht gemüssigt gesehen ihnen die gebüh- rende Stelle im Text zu gónnen, sondern sie in die Vorrede verwiesen (p. XV), ohne das apodiktische Ur- theil «equidem pro spuriis eos habeo» irgend wie zu begründen. Die unmetrischen und sinnlosen Worte Topey Goyeyóvo vospay hat Badham geheilt durch die Aenderung röpev apyeyovo Bopav. Statt ma rapSévou war hier wie nachher (9, 11. 28 Chr.) ra vagoSévou zu schreiben. Aesch. Prom. 1 f.: XSovos pàv eis TnAoupoy Nxopev Tédov S 2xU3ny de oipov, aßporov eis dompiay. ` Unsere Lexikographen folgern aus dieser Stelle für otgos die unerweisbare Bedeutung «Landstrich»; ich denke, der Dichter konnte hier nicht von dem Scy- thischen «Pfade», sondern nur von dem Scythischen «Lande» reden, d. h. statt der gangbaren und von ei- nigen Grammatikern bereits vorgefundenenen Lesart Za és einen vermuthe ich Xxu30v és aav. An entsprechende Verbindungen wie tr» ciònpopntopa &I- Sely de aia» Prom. 302, DPevyóv és aia» Eur. Hec. 1141, Köxyov és alav Med. 2, Poxéov de ata» EL 1287 u. dgl. brauchen wir nicht zu erinnern. Bemerkens- werth aber ist für Eur. Alc. 8: dza de yalav më ¿Boupópfouy Eévo, die bei Athenagoras Suppl. pro christ. e. 21 p. 104 überlieferte Schreibung 81$» 5 gç alav, der gegenü- ei die handschriftliche Lesart als hüchst Torr aus aus Acuyalén vas (AYAS konnte leicht für ATAZ genommen werden). - } «7, des Sciences de Saint- Pétersbourg. erscheint. MUR Wort dürfte verdunkelt sein bei Eur. Hel. 4 devis 3 és AAA» rpouSeumv yo: pi où, To Ò övopa ToUpLov, ASA "Einen dopo. Statt npouSeuny hat Musgrave wohl richtig TOUTES NY geschrieben; wodurch alles verstándlich wird mit Aus- nahme des Anfangs Pouyoy 9 de dhxnv. Dass in ax eine Schwierigkeit liegt, kónnen die verschiedenen Uebersetzungen lehren, welche man versucht hat: Phrygum in proelio proposita fui (Musgrave), Phrygum in potestate proposita. fui (Fix), Phrygum in manum mandata sum (Klotz). Der Begriff proelium ist hier un- passend, die Würter potestas oder manus entsprechen durchaus nicht dem Worte zAxr. Man sollte, denke ich, vielmehr erwarten Povyoy 8 ¿y aix oder allenfalls Pouyoy Y de alav teouréSnv. Sehen wir nach den vor- stehenden Belegen bei den Abschreibern eine Abnei- gung gegen das ihnen fremd gewordene ata, so werden wir geneigt sein auch Aesch. Pers. 492: Marron, de "aiay Ke Maxsdovov xopav Apoyos, En’ AËlou mopov, für verschrieben zu halten statt baie a 9 de atav. Aesch. Prom. 88 — 91: vw dog aip xal Tayurrepor TVOM, TOTALOY TE TNYAl TOVTÍOY TE AUPATOY avnoIpov "gong, TAPLNTOR TE YN, xa TOY TAVÓTTIV XUXA OY HALOU XANG. Einen Anapäst im ersten Fusse des iambischen Tri- meters hat Aeschylus keineswegs vermieden, und na- mentlich im Prometheus ist diese Licenz háufiger als in irgend einem anderen Aeschyleischen Stück. Gleich- wohl ist der Anapäst mzocapev V. 89 schwerlich be- rechtigt, weil er sich überaus leicht vermeiden liess. Wie wir bei Aeschylus lesen Syxas te reoyóvoy (nicht rooycvay te Snxas) Pers. 405, desgleichen bei So- phokles pnto 9$ Megóren (nicht Meporm 35 prog) Oed. R.775, und bei Euripides Soc pavías (nicht pavas dc) Andr. 52, rétvovoa yovarov (nicht yovarov rervouoe) Andr. 573, aoa ayopas elow (nicht ayo- gas ayarpat sioív) El. 388, Aourpoicı xaSagois (nicht xaapoto: Aourpois) El. 794, Soxnte Sucías (nicht Sv- alas doxnts) El. 1137, Euvnys zdhencg (nicht zëieten Euwnbev) Rhes. 428, und entsprechend sonst, so glaube ich dass Aeschylus schrieb nicht mocajóv te nyyaí, sondern za te rorapov, zumal da eben diese Worte Tnyal te motapo» bei Eur. Herc. 1297 zu Anfang eines Trimeters sich finden. — Für entschieden unrich- - tig halte ich die sich anschliessenden Worte rovríoy TE Xopaccov ave duo yóhacpa. Ausdrücke wie Hymn. Cer. 14: yola te mao ¿yéhacos xal ahpugd olðpa Sa- hacons, Trag. adesp. fr. 269: dxúparos de "mopSpó: ev œpéxn yerd, Leonidas Anth. Pal. 7, 668: 0uS el per yeóoca xatactopéoets yayo xúpora, sind zwar kei- neswegs selten; aber das «Lücheln des Meeres» kann nur einen vorübergehenden Zustand bezeichnen, ist also unpassend da wo das Meer als ein Theil des Uni- versum anderen Elementen gegenüber gestellt wird. Der Dichter wird geschrieben haben: mOVtÍQV TE XULATOY KC ruo. In diesem Ausdruck haben wir eine passende. Bezeich- nung des sich weithin erstreckenden, die Erde rings umschlingenden Meeres. Vgl. Aesch. Choeph. 586: novel T ayudar. fr. 450 (vgl. Ar. Ran. 704): Yuxas čyovteç xupatoyv e ayxahars. Eur. Or. 1378: 'Queavos 6» TOMPÓXPAYOS ayxaras ÉMocwy xvxhoi ySova. Hel. 1062 und 1436: rehayious de ayxahas. Nausicrates Com. 4 p. 575: neXaytoız Ev ayxadars. Die Form v- ou3pos ist bisher zwar erst aus Theokrit und Lykophron nachgewiesen, aber für die ältere Zeit nicht anstóssi- ger als etwa vnvepos. Aus neo konnte sehr leicht entstehen avqo'Syov, und gerade diese Verderbniss mag zur willkürlichen Veränderung von ayxadtopa in yé- Aacyc den Anlass geboten haben. . Aesch. Prom. 732: dotar de Synrois eis gel hóyos peyas ns ons Topslag. «Die Menschen werden von deiner ardor viel re- den»: dieser hier erfórderliche Gedanke konnte mei- nes Erachtens nur durch Aóyog mods ausgedrückt werden. Ueber die Verwechslung. von mods und péyas habe ich Bulletin XVII p. 241 oder Mélanges Gréco- Rom. III p. 295 gesprochen. Vielleieht gehórt dahin auch Soph. Ai. 714: rawy: 6 péyas Xoevos papatet, wo ich $ reide yoóvoç vorziehen würde; ó péyas ypevos bezeichnet «die gewaltige Zeit», wogegen «die Länge der Zeit» © modus (oder ó paxpòs) xocvoc zu nennen War. Aesch. Prom. 1014 ff. redet Hermes von den Lei- ` den welche Prometheus zu gewärtigen hat. V. 1016 — 25 heisst es: Toota pi» yap Oxo ` papayya Boovrf xal xepauvía oXov ` rarno capote zue, xal xputjet dépas 79 Bulletin de PAcadémie Impériale TO có», menm. 8 dyxahn cs Bacracer. poxpoy de phxos Enreksurngas Xgevou apogeo» mess els paros: Atos dé Tor TeTnpOS xóo» Saporvos MTS Aagooc Simpra unos: cópatos péya bnixos, axAnros domos Sarradeds Tvn pLepos, xehamoBooros Y hrap dxSovaoeta.. 1025 In diesen Versen befremdet zunüchst die Verbindung ¿xpida gapayya, da weder óxoí (oder öxpıs) noch pa- paré jemals adjectivisch gebraucht wird. Vermuthlich ist papayya Boovrÿ aus mépory: Bpovrns entstanden, womit zu vergl. xspawvía zë Beovens Soph. fr. 493 und fulminis venti Virg. Aen. 2, 649, Eben dahin gehört vielleicht Eur. fr. 972: CH 8 Qoovciis nv avamoy QÀsgev, wo die Ueberlieferung schwankt zwi- schen rvsupe (Plut.) und tọavpa (Theo Smyrn.); ob &vary.ov richtig sei, wage ich nicht zu entscheiden. — Nachher halte ich orapafeı 1018 für anstóssig: der Blitz kann wohl den Felsen «treffen» odér «zerschmet- tern», nicht aber orapasceıv d. h. lacerare, hin und her zerren, zerfleischen, zerzausen. Was hier vom Blitz unpassend ausgesagt wird, würde vortrefflich passen für den Adler, welcher als ungebetener Gast táglich - den Prometheus heimsucht und dessen Leber, wie Ci- cero in der Uebersetzung einer Aesehyleischen Stelle (fr. 187) sagt, aduncis lacerans unguibus pastu dila- niat fero. Mit anderen Worten, Aoorasgfet gehört in V. 1023, wo wir jetzt lesen: Saprapıması opge péya hands, Worte die kaum eine Spur ihrer ursprünglichen Ge- stalt bewahrt haben. Denn dass Aeschylus nicht schrei- ben konnte soparos péya Bëss, ist selbstverständlich und lángst von andern bemerkt (vgl. Heimsoeth Wie- ` derherst. der Dramen des Aesch. p. 430 und H. Weil zu d. St.); aber auch dtapraneiv «in Stücke zerlegen» oder «schlachten» passt nicht für den die Leber des Prometheus anfressenden oder aufzehrenden Adler. . Die Anfänge der Verse 1018 und 1023 hatten ehe- mals folgende. Gestalt: rap omapakeı Tryde und dLmomapaksı OT. Ein alter Corrector, der an der Wiederholung des Verbum oragaccew mit Recht Anstoss nahm, änderte an falscher Stelle und schon deshalb verkehrt; wir halten 8120 agas: 1023 für nothwendig, und bessern 1018 ratno apaEeı gës, 1020 Sept. 995 f.: IZM. io lo xaxa, ANT. dop.aoı xai ySovt. Ohne die sonstigen Schwierigkeiten dieser Zeilen zu | erórtern, móchte ich nur darauf hinweisen dass die Ver- bindung des «Hauses» und des «Landes» schwerlich sich rechtfertigen lásst; ich denke, der Dichter schrieb Sopacı xal roher. Dass roms und ysov oft, vertauscht werden, ist hinlänglich bekannt ”). : Suppl. 453: Sélo Ò ddots [Xv N COPOS HARDY ELVaL. i Die Verbindung 0965 «tvog lässt sich aus späteren Schriftstellern nachweisen; für die classische Grácitát ist mir kein zweites Beispiel gegenwärtig. Vielleicht schrieb der Dichter y xaxov igts. Die jetzige Lesart konnte daraus entstehen in Folge der unwillkürlichen Aenderung der Wortfolge 7 gis xandv. Ag. 479: Té Ode TOMÓVOS d PPEVOY HEXOLLÉVOS ; Das unerhörte und unverstündliche oosvóv xexopq.évoc scheint nichts weiter zu sein als eine thórichte Ent- stellung aus gocvó» trytopevos. Vgl. Soph. El. 1326: d TAslota, popor xal ppevo» cWcojevot. Dasselbe Par- ticipium wäre durchaus passend bei Theognis 223, wo jetzt vécu BeBhappévos doe gelesen wird. Ag. 1389 f.: xuxqoucióy öfslav alpatos coayny Baker y. doepag baxadı porvías Spcaou. Sollte der Dichter nicht ¿Estay afyatos pony vorgezo- gen haben? Jedenfalls wáre dies ein angemessener Ausdruck, und zur Empfehlung unseres Vorschlages dient Soph. Ant. 1238: xal quctów déclav &xgeDXe Bony Aeusg magst. qotvíou OTAALYPATOG. Choeph. 178: pdmot éxetvou Bootpuyöıs rgo G- 27) Vgl. meine Bemerkungen im Bulletin XII p. 496 f. XVII .253£ oder Mélanges Gréco-Rom. III p.30 ff. 318 f. Zu den daselbst DEE Beispielen dieser Vertauschung füge ich drei neue hin T L Eur. Alc. 476: &&vot, Depaías mode xwprta: yŸovde Da hier die Bewohner der Stadt Pherá im Lande Thessalien angeredet wer- den, so ist wohl nichts natürlicher als Pepatas au XOATEL TC - zog, wie bald nachher E aotu gelesen wird. I. Xuthus will bei Eur 5 en ihm geschenkten Sohn mit sich „nehmen nach Affen: SCH 9 ’Admvalov 13o0vos ¿En Jeatnv à59cw, Oc oUx Ovt àipów Nicht das Land, sondern die Stadt der Athener soll Ion kennen lernen: folglich werden wir Adnyalov ` aben zéien: herzustellen h: IH. Ephippus (Com. 3 p. 339) bei Ath. XI p. 509 E: rat Avaoras eie veavías tà» ¿E Axadnue(ae tig — ¿efes « AVÔPES TAS AJ- aiwv y3ovoc». Offenbar spielt die pes in Athen; somit liegt es tio zu vermuthen c? ASnvaiwv óleo "e, a? Le si des Sciences de Saint- Pétersbourg. eidstat. Dass ein Attischer Dichter in einem iam- bischen Trimeter die Form rpoostöera: gebraucht habe, kann weder durch das in einem Chorgesange bei ET Ag. 772 vorkommende Participium etôouévay noch durch sonstige Analogien wahrscheinlich gemacht wer- den. Mir scheint statt rpoczódstar nichts anderes denk- bar als rocosupcons, über dessen Anwendung in der Tragódie ich gehandelt habe in den Eurip. Stud. II p. 85. 190 Choeph. 617: ypuooxpnraoıv oppo; riSnouoa soporo: Mévo. Dem Participium r'Snouc begegnen wir öfters in der ältesten epischen Poesie (Il. A398. Z183. 1119. A 235. N 369. P 48. X 107. Od. 9315. Hesiod Op. 359. 671. Hymn. Hom. 3, 546), einmal bei Pin- dar (Pyth. 4, 109), sodann in den angeführten Wor- ten des Aeschylus, endiech bei einigen Spátlingen wie Lyeophr. 236. 735. Apoll. Rhod. 1, 33. Nonn. Me- taphr. 12, 105. Orac. Sibyll. 3, 656. Entsprechende Formen anderer Modi scheinen überaus selten vorzu- kommen; ich vermag augenblicklich nur nachzuweisen enee Quint. Smyrn. 13, 415. eriSncav Nonnus Me- taphr. 9, 90. Alexandrinischen und Byzantinischen Dichtern werden wir das Participium rı$ncas unbe- denklich zugestehen, im ältesten Epos halte ich die Berechtigung dieser ganz vereinzelt dastehenden, durch keine Analogie geschützten Form für hóchst zwei- felhaft ; theils weil die Ueberlieferung zuweilen we- nigstens (wie N 369 und © 315) zwischen zi/$9,cac und reno Sos schwankt, theils weil geg: überwiegend in Verbindungen gebraucht wird welche nach parallelen Stellen vielmehr xezo$og erwarten lassen (vgl. Butt- mann Sprachl. II p. 265 f.). Wie man aber auch dar- über urtheilen mag, immer bleibt das Aeschyleische a höchst befremdlich. Vielleicht ist zu bes- sern copot retoSeian, zumal da in den Handschriften ratSnouca steht: coppers retoSeioa bietet die Ausgabe des Stückes von Blomfield, der rsto3ston. als eine Aen- derung von Heath bezeichnet. Auch bei Pindar, wo die Handschriften zwischen Xeuxaig rtSnoauvra opacity und Asvxais neSnoavta ppaciy getheilt sind, würde Aeuegio retodévra ppaciv dem Sinn wie dem Metrum gerecht werden. Choeph. 900. Orestes ist unschlüssig, ob er gegen seine Mutter die Hand erheben soll; Pylades erinnert an die Weisung des Delphischen Gottes, indem er, ‚sagt: Tome XXII. red Sn Ta Moara Acten pavreumata Ta IvSoyenora; Die Worte a hora paveedp.aca kónnen nur bedeu- ten «die übrigen Weissagungen», während es sich hier - nicht um 'Orakel handelt, die zu einem bestimmten, vorher erwühnten Gótterspruch in Gegensatz treten, sondern lediglich um den einen Befehl des Gottes, weleher unter Androhung schwerer Strafen gefordert hatte, dass Orestes die Ermordung des Agamemnon mit Blut sühne. Die bei Blomfield verzeichneten Ver- muthungen, durch welche man das unpassende ta hora, zu beseitigen versucht hat, sind in hohem Grade unwahrscheinlich. Der Dichter dúrfte geschrieben haben: ou Bn tò Acımcv AoËtou pavteúpara a P " Bulletin de l'Académie Impériale zu bezeichnen durch ¿morgopaí, und so dürfte hier zu 'schreiben sein. Vgl. Sept. 648: xataë£w pora tóvds 77) xal Tahy Ser ma pda dopaToy éniotgopaç. fr. 245: Znepyetè Totapè Bouvouoi T Erıorpopat. Der Pluralis Bom äu ¿moteopaí scheint durch den Spachgebrauch ` empfohlen zu werden, wenngleich érusteoon nicht ab- solut unzulässig sein dürfte. Eum. 794: epo mí(SeoSe m Begurr het gépe" où ydp vevínoS, AAA toOto den ¿ENAS age «té. Worte der Athene, welche den über die erlittene N Jie- derlage entrüsteten Chor der Eumeniden zu begütigen sucht. Unpassend scheint hier Bapvarovos, sofern es : sich lediglich darum handelt dass die Eumeniden sich fügen in die zu Gunsten des Orestes ausgefallene Ent- scheidung, dass sie dem Lande der Athener nicht wei- ter grollen um dieser Entscheidung willen u. dgl. In dem fapuotóvos wird ein unwesentliches Accidens her- - vorgehoben, die Hauptsache dagegen bleibt ungesagt: Groll gewichen ist. Der in diesem Zusammenhang pas- Ü sendste Ausdruck ist, wie ich glaube, ¿pol see E be CS un TOMYAÓTOS ER und eben darum halte ich ta- - Myxotag für das von Aeschylus hier gewáhlte Wort. . Die gleiche Verbindung hat Eur. fr. 576, 2: goen E CULLTÉTTOYTE Ph TOAYMCTOS. -Sopb. Oed. R. 907: oätvovra, yap Aatov Sécoar ¿Earpovar gär, xouday.od tais ATOAAOY épars. | In diesen Worten lásst der Chor seine Missbilligung laut werden über die Gottlosigkeit der Iokaste, welche —.N.851— 858 behauptet hat, das dem Laius ertheilte Orakel, wonach er durch die Hand seines Sohnes ge- tödtet werden sollte, sei unter allen Umständen ein lügenhaftes gewesen, so dass man auf Weissagungen überhaupt nichts zu geben habe. Die Worte pStvovra 29) Gewöhnlich xaragw 8 avôpa tivi, wo de völlig sinnlos ist. gim Anhang zu Soph. Ai, 1093. Dieselbe Ver- P: 197 ¿v8pa £xactov bietet. Bald nachher liest dlacacxsv. Zur Vermeidung des Hiatus haben alte Correctoren un- verstándiger Weise önuou T Mag geschrieben; ich möchte Syjuou qoa vermuthen . der Groll der Eumeniden ist zu fürchten, nicht ihr de" schweres Seufzen, das von selbst aufhört, sobald der man B198:0 9 ad önpoväavdna 180: Boswyra T Épepot, 19v unnrew yap Aaïoy scheinen lückenhaft, und eine sichere Her- stellung dieser wie der vorhergehenden Worte lässt sich nicht hoffen, da auch die entsprechende Partie der Strophe in fehlerhafter Gestalt auf uns gekommen ist. Wahrscheinlich ist nach oSéovra yap ein Epitri- tus _.__ ausgefallen; ich habe œStvovræ YAQ; TANT ` avaccov, Aatoo vermuthet, worüber ich auf die 6. Auf- lage der Schneidewinschen Bearbeitung verweise. Mit völliger Sicherheit aber glaube ich einen bisher nicht bemerkten Fehler der obigen Worte heben zu kónnen. Der Ausdruck Aafen Sécpata leidet an Undeutlich- keit, sofern man nicht weiss, ob Orakel zu verstehen sind welche Laius bekommen hat, oder welche sich beziehen auf Laius: sodann ist eben dieser Ausdruck unpassend; denn nur dies kann der Chor tadeln, dass man ein göttliches Orakel missachtet; wem es ertheilt worden ist und auf wen es sich bezogen hat, thut nichts zur Sache. Durchaus verfehlt war also die Ver- muthung eines, neueren Gelehrten: oSvoyra yap Anßdaxelcu Tpeppatos . Séopar ¿Eopovaty non. | Statt der dem Laius ertheilten oder auf Laius bezüg- lichen Orakel waren vielmehr die Orakel des Apollon zu erwähnen, d. h. es ist herzustellen Ao&lou Seopar 2£arpedar von. «Man missachtet die Sprüche des Lo- xias, und Apollon wird nirgends in Ehren gehalten», dies ist der hier erforderliche Gedanke. Ueber die Anwendung der Synonyma Aoëfaç und ATÓAAQY genügt es zu erinnern an Oed. C. 623: el Zeus čt Zeie x0 Aros Poißos capas, wo © Ad: kein anderer ist als eben Poißos. Soph. Oed. R. 1034 — 1038 in dem Gesprüch zwischen Oedipus und dem Korinthier, welcher den Tod den- Polybus gemeldet hat, lesen wir: ! ATT. Mo c pa iS root axpas. OIA. deuvoy y ovetdos GTAQYAVOY ayer ipn». “ALL, Sar Qyop.aoSne ex de Tayıng Og gt OIA. à Uu 3609, Ge bm: N TATPÓS; PPAGOY. ATT. cüx old ó Doug de rot épod Ago» Ppovel. Schon vor einer Reihe von Jahren habe ich erinnert dass die Frage mobs putos 7 rarpos; 1037 nicht wohl passt zu dem unmittelbar voraufgehenden ovo- oos, sondern besser sich anschliessen wird an dta- Tügous "ëch Cape 1034. Wenn Oedipus > den, 8t cogot rodatv a.a oder richtiger von den ang ol- | lenen Füssen seinen Namen bekommen hat, so ist es 1085. . $5 des Sciences de Saint - Pétersbourg. klar dass nicht seine ihn dem Tode preisgebenden Eltern ihm diesen Namen beigelegt haben, sondern die Finder oder die Adoptiveltern, und ob einem Kinde der Name beigelegt wird von dem Vater oder der Mutter, wird sich in den meisten Fällen kaum ermit- teln lassen. Nachdem dagegen die durchbohrten Füsse erwähnt sind, erscheint die Frage, ob der Vater oder die Mutter des Oedipus in dieser Weise das Kind be- handelt haben, als wohl motivirt. Somit werden 1035 f., weil sie den Zusammenhang von 1034 und 1037 in unerträglicher Weise stóren, .entweder zu tilgen oder mit M. Schmidt umzustellen sein. Unabhängig von der Entscheidung dieser Frage ist ein den letzten der obi- gen Verse betreffendes Bedenken: za? ¿pod Agen ooovst ist ein offenbarer Unsinn, da es sich hier weder um schärferes Urtheil noch um grösseres Wohlwollen handelt, sondern lediglich um genaueres Wissen öder Mittheilen. Statt pove? ist nothwendiger Weise ent- weder opaosı oder, was ich für wahrscheinlicher halte, pave? zu schreiben. Ant. 885 — 888: ou. gës" Oç TÁLLOTO; KO xo rnpepe? Tippo mepımrugavtes, oc elo evo, gäer ek domp.ov, elte Len | Savety cit dy rolaury Coca vuppeustv are. Dass Tragiker und Komiker statt xenéex und iite ziemlich häufig uge und xo gesagt haben, ist eine in unserer Zeit allgemein herrschende Ansicht. Von alten Grammatikern die für diese Ansicht sprechen, sind mir nur zwei Zeugnisse bekannt. Suidas v. jet: xonc de ro regéiere xat den. Kporivos Nóposs (Com. 2 p. 87): vôv yao On co Tapa pv Jeopol TOY npuetégo, Tapa 9 «AX 6 tt yolis. Hesych.: ege SéAetc, xonters. Auf Grund dieser Zeugnisse haben neuere Kritiker die in Rede stehenden Formen in dem bezeichneten Sinne statt des überlieferten yon für nicht wenige Stellen vorgeschlagen, wie etwa xpñs für Soph. Ai. 1373. El. 606. Trach. 749. 1155. Eur. Hipp. 345 (oder Ar. Eq. 15), xen für Soph. Ant. 887. Eur. fr. 910, 1. Derartige Vorschläge würden zu billigen sein, wenn die vorausgesetzte Thatsache hinreichend beglau- bigt wäre. Gegen die Richtigkeit der bei Suidas und Hesychius sich findenden Angabe sprechen aber triftige Gründe. Zunüchst zeigt sich nirgends eine Form, die zu xeÿs und xo eine Analogie böte; sodann ist es mir wenigstens unverstündlich, wie die Formen Schmidt Verisim. (enge 1861) p. 27 und F xeñs und eg zu der vorausgesetzten Bedeutung ge- langen konnten; endlich kann überall wo jetzt yegs und ven gelesen wird, dafür eintreten Ags und AÑ. Das Dorische Verbum 20, über das wir ziemlich vollständig unterrichtet sind ?), ist auch in der Tragödie zuwei- len gebraucht worden, wie bei Euripides im Meta 3é- vas fr. 627 b: xal xataSe yo T Age role. Die For- men Age und An konnten überaus leicht in zeg über- gehen, sobald die Interpretationen yoners und xereet in den Text gedrungen waren und um des Metrum willen die zweisilbigen Formen durch einsilbige ersetzt werden sollten. Hiernach möchte ich Ant. 887 eïte Ag Sew» für wahrscheinlicher erachten als zu der Annahme mich entschliessen dass die Tragiker und Komiker xoñís und Ate oder zeg und Ay in gleichem Sinne gebraucht haben. — Ausserdem befremdet in der obigen Stelle der Ausdruck xarnpepei cupo, trotzdem dass dieselbe Bezeichnung wiederkehrt El. 381: Sa unxé vato oéyyos mpoodber, Coca à dv xarnpeoel otéyy modos (die Handschriften sinnlos ySovéc) tos Exrös Unwmosıs xaxa. Das Adiectivum xarmpsons kann nur von einem mit einem Dach ver- sehenen Raume verstanden werden im Gegensatz zu dem freien Himmel; Ant. 885 wie El. 381 ist offen- bar gemeint ein unterirdisches Gewólbe, eine Art von Grabkammer: man erwartet also xol xo co uy: Tp Ro repıntukevres und dy xacoouyxt otéyn. Vgl. Ant. 774: xoUtjo merpuder (vielleicht mérpa wv oder gë vw?) coca» ev HAT QUIL. Ant. 1100: ¿A3oy xópm» piv Ex xatopuyos areyng AVES, xticoy DE TO Wie ee TAO. Cassius Dio 56, 11, 7: oùto yap mov tò Tüp érexgn- TAGEV DOTE Kr Tous dy Ty axger. és: Gage xata LO- po», welvar, AAA TAS vuxtos aty Exdmelv xol èc. oixnpata xaropuya xaraxpupSnvat. Virg. Georg. 3, 376: ipsi in defossis specubus secura sub alta otia agunt terra. Cul. 274: defossasque domos ac Tartara. In entsprechender Weise wird das Substantivum ai xat- dems von der Schatzkammer der Priamiden ge- braucht bei Eur. Hec. 1002: xpuoou rahatat Hprapı- Bon xatopuyes, und von den unter der Erde lebenden Menschen der Vorzeit sagt Aesch. Prom. 452: xato- d 30) Sehr genaue Nachweisungen über die auf uns gekommenen Formen dieses Verbum gibt Ahrens de dial. Dor. p. 347 f- Vgl. M. r. Heimsoeth de diversorum mendorum rare ge dedi altera (Programm der Bonner Universitat 1867) p. X a ? À Bulletin de l’Académie Impériale euxeé 8. Zvarov (defossi habitabant) dor anovpot y-Xoyn- zes avrguy Ev muyals avmlors, wie Plinius Nat. hist. IX, 7: animalium quae semper defossa vivunt, cew talpae; den gleichen Sinn gibt Dionys. Per. 964: of Breu ev rerogor xatoguyéeootv &Ssvro. Nach dieser Stelle des Periegeten wie nach dem Homerischen Aasooı xato- ouxézao apapuia Od. £267 und xatoguyésao: MSototy Od. (185 könnte man geneigt sein an den oben be- zeichneten Dichterstellen die flurch das Metrum ge- stattete Form xatoguyas für die allein berechtigte zu erachten und somit xatoguyeis Aesch. Prom. 452, . xaxoouyoog Soph. Ant. 1100, xatogujel Ant. 774. 885. El. 381 zu schreiben; ich wage darüber keine Entscheidung abzugeben, so lange wir auf das hier mitgetheilte Material beschrünkt sind”). Eur. Alc. 363: AXX o9» xeitos x9o080xa p , Ta Javo. Monk bemerkt ganz richtig, dass die Worte exstos rooodoxa. pe nur bedeuten können «expecta me illuc venturum». Aber die Redeweise rgo0d0xa ue éxsios entzieht sich dem Verständniss: soll exeise möglich werden, so muss ein Verbum des Kommens hinzutre- ten, wie man im Deutschen zwar sagen kann «erwarte mich dorthin». nur schreiben n&sıv Y éxeïce npoodoxa p, otav Sayo. dass ich dorthin kommen werde», nicht aber «erwarte So viel ich sehe, konnte der Dichter Ale. 852: ety TÖV ër -Kógns avaxtos T eis avnàlouçs Sóp.ovs. Die Unterwelt wird Euripides wohl eher bezeichnet haben als avnkovs puyous, wie Herc. 607: dE avn- Aloy p.uyoy Ardou Kopnc T éveo%ev, Heracl. 218: A:3cu T &ospyov puyov. Selbst der Interpolator von welchem Soph. Ai. 571 herrührt, hat mit richtigem Takte pu- 31) Dass Formen wie »arwpuyss, xatwpuyoc, xarupuy: durch die E I geschützt sind, würde an sich die Móglichkeit nicht hliessen dass derselbe Fehler 80 und so oft gemacht worden unc Zur Erläuterung diene das Wort zpoacrıov. Die Überliefe- ruug unserer Handschriften qu in ‚ganz entschiedener Weise für die v von Herodian vol. 2 p.573, 18) TE Schreibung xoodGteto», die in unseren Texten, so weit nicht das Metrum Einsprache erhebt, die herrschende ist. ‘Um weder mit dem Gebrauch der Dichter i in Collision zu an me t Lobec Paral. p. 253 sich zu der nn entschlossen, don sei da dichterische, tpodoteroy die pros Eurip. Stud. II p. 77 f. rpoaoreov mm "iie richtige Em. Rpodsterov als eine falsche Schreibung bezeichnet. Neuerdings ist diese meine "Ansicht bestätigt worden durch eine im Berliner Hermes VIII p. 193 . edirte Urkunde aus Mykonos, wo vir die Worte finden: yuvalzı xat dem die falsche Schreibung rpoaoterov geläufig war, hat dem voll- kommen richtigen rpoacríw: überflüssiger Weise ein sie beigefügt. en habe ich yoös (nicht Sopous) tod xato Zen geschrieben. Eine Vertauschung dieser Substantiva glaube ich auch Soph. Ant. 1241 wahrzunehmen: sera de vexooc Tepl VEXQÓ, TA ue EAN hoyo» delas Ev Ardov dopors. Weder civ “Ardou Sép.ors durfte hier geschrieben wer- den noch v y “Aou 3opot;; denn die Partikel ye ist dem Sinne nach ungehórig, die Form etv aber dem Trimeter fremd. Für bei weitem wahrscheinlicher halte ich die gewaltsamere Aenderung. 2v yalas puyol. Andr. 103: A "Mio alnewg Maps oi yapoy AAA TY arav nyóyer euvalay eis Sahapous “Edévay. Schon früher habe ich y%p.ov als verdächtig bezeichnet, darum weil yæpoç weder für yvvy gebraucht werden kann noch in der dem Worte zukommenden Bedeu- tung hier passt. Manche werden vielleicht, um den überlieferten Zügen sich móglichst eng anzuschliessen, an yavos denken; ich móchte ypas, vermuthen nach Hel. 1134: vous ou Lech AAR Zeng AavaGy vepéhay èr} d'M aov. Hel. 448: rings du ouai y ayyshelv tods aus Aëteue, Durch Hirschigs Emendation rıxgous ist ein Fehler dieses Verses gehoben; ein abscheulicher gramma- tischer Schnitzer liegt aber in der Verbindung ayys- hey y), und völlig sinnlos ist die nach opo von ` einem unverstándigen Corrector eingefügte Partikel Ys. Cobet V. L. p. 574 begnügt sich zu sagen «locus corruptus est»; ich denke, der Dichter schrieb: rtxgous ay cat goe arayysihar hoyos. ` Hel. 1047 f.: n GAN cu8i py vais Zarıy y a@Seipev dv @uyovrss' TV Yo slyop.ev Saraco Eye. «Das Sehiff, das wir hatten, hat das Meer». Wollte Euripides in dieser Weise mit dem Verbum yes spie- len, so konnte er nur sagen Zu yap pels TgocSev 32) Denselben iic machte Haupt pates - p. 295, wo er für Eur. fr. 288, 18 — 15 die Er rgänzung vorse de $ av Spas, el ne Apyos av Sec £Uyotro xoi yn yerpt guhhéyor Blov (Mj) redvrigev. ai 9^ aveimıoror "et 3 ia > TUpyodo at xaxa TE oup. poo Die Lücke nach doc Bioy scheint Haupt richtig. erkannt zu ha- ben; sein Supplement ist unzulässig, da die Partikel X» mit tedvn- Esıy sich so wenig verträgt als mit oiua. Andere Herstellungsver- suche der unheilbar zerrütteten Stelle finden sich bei Th. K eri sim. p. 249. zu Eurip. p. 361 f. < ^ n Herwerden Stud. crit.: p. 45. Wecklein Studien ` y - i wi: Se Ce Ké A^ & E > t ; ES ES E RA R ~ S A^ s LC So zg y a. ag , ' 89 | des Sciences de Saint- Pétersbourg. ` ` 90 elyop.ey, Ta vöv yet n Sahacoæ. Der überlieferte Aus-| Here. 1155: XAL TEXVOMTOVOY MUTOG druck lehrt dass nicht der Dichter sondern ein Ab- schreiberversehen verantwortlich zu machen ist für das frostige Wortspiel. Man erwartet Ñ yde mASouev Saraco Eye. Hel. 1263. Für die Todtenfeier welche zu Ehren des angeblich gestorbenen Gemahles der Helena ver- anstaltet werden soll, verlangt Menelaus vom Aegyp- tischen König Theoklymenus auch Waffen, weil der Verstorbene ein Kriegsheld gewesen sei: xohenhaS Oro xal yap gu plos Seet, Der Ausdruck qoc dogí scheint unstatthaft; ertrüg- licher wäre pov 36pu, für angemessener aber und eben darum für wahrscheinlicher haite ich: xat yap ny Aper plos. Hel. 1490: 'Qpoívva T &vyoyiov. Nach dem entspre- chenden antistrophischen Verse (1507 : Bdħete Bapße- gov Aeyéov) dürfte Oagíova + Evvaxıov zu schreiben sein. Here. 62: os ouàèv Coren TOY Sev» cagéc. Kirchhoffs Emendation to» Seto» wird bestátigt durch Iustinus Märtyr Exposit. rectae fidei c. 8: däin yao avipmrors tQ» Selay capés, oc EhAmvoy copos tc Zorte, wo die Herausgeber den Euripideischen Vers verkannt haben”). 33) Eur. El. 122 lautete ehemals und lautet hoch in der fünften Ausgabe von eg ti SE sceni ci: rep, 00 8” ¿y “Arda On , Gas dÀCyOU X Statt des Molossus Ada ES liess das antistrophische aipatoy einen Creticus erwarten; darum schrieb ich im J. 1854 où 9' &v Aida (mit Til- g der Partikel 97). Neuerdings sind wir durch Wilamo witz- Moel- von einem Zen Dontecter eingeschaltet ist. - — Heracl. 356 und 365 schrieb man frü veremos: Eë Y ¿pas bm ai ¿mas ySovóc avrepoué im J. 1854 E eg ich peyainyoptaroı à "ex und xat £u dc Voie avromevoug. Noch vor dem Erscheinen der zweiten Ausgabe meines Euripides erfuhr ich dass peyaAnyopía:o: 8° ¿pas im Pal. 287 (cod. B nach Kirehhoffs Bezeichnung) gelesen wird. — Zu Iphig. Aul. 253: Toy Botozüv 8° oroma rovrías, und 265: £x Muxiyac 0€ ras KuxAo- rías, bemerkte ich in der Ausgabe vom J. 1854 vol.2 p. III: «253 töv et 265 èx deleverim». Etwas später wurde bekannt dass in der besten Handschrift B der Artikel to» erst von zweiter Hand ein- geschaltet ist. — Ueberraschender war mir eine theilweise Bestäti- gung ramps sowas Phoen. 747 ausgesprochenen Vermuthung. Phoen. 146 f. lies ER Space reoxplvas 5 gos eupouMa; KP. dueorepoy aroderpdiy ydp ovðèv Jarepo Dass der zweite Vers fehlerhaft ist lehrt "rej eer dem he Gesetz widerstrebende Ausgang ovdty Fate Die Handschriften lassen uns völlig im Stich, und die Hifanagber schweigen, v vermuth- ich weil mit einer leichten Aenderung zu helfen unmöglich ist. ste ORG? nes: Qao Eevav Lov. fingen wie texvoxróvo< statt des üblichen raudoxró- vos sind bei Schriftstellern der classischen Zeit nur sel- ten anzutreffen; aus der Tragödie lassen sich von derar- tigen Composita folgende Analoga beibringen. Aesch. Sept. 928: mpo racav TUVO OTOTO! Texvoyévot xéxhnyra:. Agam. 155: olxovopos Šola pvaquov Mrs tex»omotvoe. Soph. El. 107: TEXVOAÉTELO” OS Tt andov. Eur. Tro. 853: texvororóy reueg zëgbe yas Soo Ev Sarapo. Ich halte es für sehr wahrschein- lich dass bei Sophokles die Nachtigall vielmehr raso- Aécetoa. genannt worden ist, und Aesch. Sept. 928 fin- det sich das dem Sprachgebrauch angemessene maso- yovor in mehreren Handschriften. Abgesehen von te- rvodaítas (Orakel bei Paus. 8, 42, 6), rexvomorcs (He- rodot, der jedoch auch maboros gebraucht) und te- xvotpopía (Democritus bei Stob. Flor. 76, 13), schei- nen sonst nur Xenophon und Aristoteles mit Dildun- gen wie TEXVITOEÎO DEL TEMVOTOLÍO. TEMVOTOLOS TEMVOYOVÍA TEXVOTPODELV Texvoreopía von dem herrschenden Gesetz abgewichen zu sein. Was das bei Euripides überlie- ferte cexvoxcovov pugos betrifft, so finden wir allerdings in späterer Prosa Texvoxtoveiv (Clem. Al. Heliod. Charit.) und texvoxtovía (loseph. Plut. Charit.), wie in der Anthologie texvogoveiv und bei Lycophr. 38 te- xvopatoTns: dagegen gebrauchen raSoxtoves Soph. Ant, 1305. Eur. Herc. 835. 1381, mardoxtoveiv Eur. Herc. 1280, rardopöves Eur. Med. 1407. Herc. 1201, mabo- Denn dass die Worte arolsıydiv oudiv Satepov völlig sinnlos sind, kann einem aufmerksamen Leser nicht entgehen. Der hier erforder- , a: zen Écépov oudiy stev. Auf Grund dieser Erwägung sagte ich n der dritten Ausgabe vol. 2 p. XLII: wv 747 graviter corruptus. a yap tepov Sarépou Acherupévov temptabat N.» Mehrere Jahre später fand ich die Aenderung Asketupévov epe pr einen By- zantinischen Dichter bei Cramer Anecd. Par vol. Ar cupido TOS TOY Srparnyav TU sss E 8oxGv, ay3pure, da mapa.tpéyetc, Sapcet mpoxpivag TOY QpEYOYV evpouxtav; Ev yàp EA Sattpov AEAEtp. MÉvVOY. Wo £v Yap aus Zorıv yàp entstanden zu sein scheint. Für den Vor- ; schlag Erepov Sarépou scheinen die Scholien (bei Dindorf vol. 3 p. 208, . 4) zu sprechen: oUdEy yap fort tò Erepov arolerpdéy tod Étéoou, und grepmdiv yàp TO Érepoy toU étépou o oudiv Zorıy. — Auch.aus anderen Schriftstellern könnte ich Beispiele anführen, wo-von mir aus- gesprochene Vermuthungen hinterher anfhörten blosse Vermuthun- e sein; doch es kam mir nur darauf an zu zeigen dass die Con- rg deren Nothwendigkeit und Berechtigung von vielen noch immer nicht begriffen wird, etwas mehr ist als eine unfrucht- bare meme dés Scharfsinns. » Bulletin de l'Académie Xmpériale ber "i héros Aesch. Sept. 727. Eur. Med. 1393. Rhes. 549, roudohérsipa Med. 849, rarSodvp.as Aesch. Cho. 604, ratSoBcocs Cho. 1068. Somit wird bei Euripides Herc. 1155 xai pucos ratBoxrovoy herzustellen sein. Daraus wurde zunüchst, in Folge der oben Anm. 23 bespro- chenen Abschreibermarotte, xai tatdoxtóovov jococ, was man hinterher aus metrischer Rücksicht in das handschriftliche xai vexvoxcovov usos umänderte. — Für die vorgeschlagene Aenderung glaube ich mit Si- cherheit auf die Zustimmung desjenigen Kritikers rech- nen zu dürfen, der das von mir verworfene cexyoxcovoc für eine andere Euripideische Stelle selbst vorgeschla- gen hat. Iph. Taur. 1082 f. richtet die Heldin des Stückes an die Artemis folgende Worte: à mótw, rep œ AuAldog xata TUYAS derung ¿oras Ex TATOOKTOVOU Xepöc. Dass dem Agamemnon, sofern er seine Tochter der Göttin als Opfer darbringt, unmöglich eine rarpoxts- vos "eis beigelegt werden kann *), hat Herwerden Adnot. crit. et exeget. ad Eurip. (Amsterd. 1873) p.25 sehr richtig bemerkt: «matpoxtóvov yepos pro _ratoùs 5006. Qovíac dici potuisse ab Euripide difficul- ter adducar ut credam, nec improbabile mihi videtur fuisse aliquando in Akter groe Sevis Eco cac Ex TEXVOXTOVOU yeooc indeque matum esse quod. hodie legitur in codicibus.» Nur móchte ich glauben dass Euripides geschrieben Ex yeooc TOLDO MTIYON, und dass auch hier die Umstel- lung de ma:doxróvov ysooc den Anlass geboten zu dem thórichten matpoxtóvos. Suppl. 93: pntéga yepaza» Bouiay ¿pnyévny. Der Sprachgebrauch scheint zu fordern popíay Sam Zum, Suppl. 320: un Int ¿pós y dy, d céxvov, Jpacys ^t: Die Worte ph dodoys tas bedeuten in diesem Zusammenhange so viel als py Ber iaa ¿pAys, un deos épeupe3ís, zieh dir nicht den Vorwurf der Feigheit zu, indem du den Schutzfiehenden deine Unterstützung 34) Selbst dies scheint mir anstóssig, obwohl es sich eher ent- schuldigen lässt, dass Orestes nach Od. o 299 und y 307 &cavc (oder > wie es y 197 heisst, pee rarpopoyna, Alyıodoy Solounreiv, © ot ratépa »Auröy Éxra. Aegisth us tódtete zwar den Vater des Orestes, nicht aber war er ein marpopoveds, d. h. ein 7 also vielmehr avöpopovja oder avepopavrnv erwarten. An dem glei- chen Fehler scheinen zu leiden Soph. Trach. e xoi mapeuvrioto yàp au Tic TATPOPO YTOV „(richtiger dyOpopovtau) y TPOS, We XAUELV êué, und Eur. Or. 193: ata doug rurpogovou (richtiger dy8popóvos) parpós. versagst. Wer die voraufgehenden Verse nachliest, wird sich überzeugen dass 3oxcqmc hier ganz sfatilos ist. Es muss heissen UN — raSys tods. Suppl. 346 — 349: ein xal vexpods Exkucopa Aoyoıcı Telov" el de bi Bin. Sopcs non Tod ¿orar xouy! ouy po SEO. dotar de xonko xal zéie TAON Tode. Theseus will die Leichen der gefallenen Helden aus- lösen auf gütlichem Wege oder nöthigenfalls mit be- waffneter Macht; wozu, wie er wünscht und hofft, die Bürger von Athen ihre Zustimmung geben werden. Die Erwähnung des Neides der Götter kommt hier hereingeschneit so unpassend wie nur möglich. Wila- mowitz-Moellendorf hat mit Recht nach dopss 347 eine stärkere Interpunktion gesetzt; unbegreiflich aber ist mir die nachher von ihm beliebte Schreibung, xal Bu 709 État, soual cuy QS6vo Tedy, sókat SE onto xal node raon Tode. Die Worte òn 708 ¿oras soit c0» oScvw Seo» waren auszuscheiden als ein ungeschicktes Supplement, her- rührend von einem Abschreiber, der die Brachylogie «el SE pn, Bla Seegen nicht verstand. | Suppl. 640: - 9» Zeug XEPALYO TuproAo xoa soot. Für xspauvo rueróko ist mir ein entsprechender Aus- druck nicht bekannt. Darum habe ich xegauvQ Typ- rvöo vermuthet nach Stellen wie Pind. fr. 123: Tue rveovrog xspauvod. Aesch. Prom. 359: pue ÉXTVEDY oxoya. Prom. 917: zıvaoowv yetpl nupr.voov Béhos. Non- nus Dion. 21, 224: rupérvoov deng xepauvod. Doch könnte Euripides wohl auch xspauvo muggópo geschrie- ben haben. Vgl. Pind. Nem. 10, 71: Wl Thake bodoevra xepauvóv. Aesch. Sept. 444: tòv- uppépoy ngeıv MEQOLIVO». Soph. Oed. C. 1658: Tuppégos Seot xepauvos. Oed. R. 200: zuppópov actpat TAY XPATH VÉLOY. | Hipp. 274 — 285 finden wir ‚folgendes Gespräch zwischen dem Chor und der rgop05 über den Zustand der Phädra: XO. o os a.o Sever te xal warregavron Myas. TP. xóg 3 où, tortatay coc dotes ipépay; . TOTEPOV ÚT ATNS N Davelv retpopevn; . Savelv' dorre? Ò eis anooracıv Bien. . Saupaorèy cimas, el tað ¿iapuel rade. . MAQUITTEL o NOS og xou delt vogsiv. 275 des ni de Saint» Pétersbourg. ee, 94 XO. 0.8 eis roccwnov où texpaloerar Bhérov; 280 P. Exdnpos Ov yap trade Tuyyavsı ySovos. XO. où Ò oux avayany TPOTPÉQELG, TELpOLEYN voco» TUSÉTIAL TNOÈE xal avc» QosvOv; TP. eis mày apiypar xoudèv elovacogat Toy" OÙ Wm ayoo Y out vuy TpoSuplas «té. 285 Auf die undeutliche Frage in V. 276 antwortet die -Amme, Phádra enthalte sich der Speise eig dróotacr» Biou, d. h. sie gehe darauf aus Hungers zu sterben. Darauf der Chor: seltsam, wenn ihr Gatte Theseus sich dabei beruhigt. Diese Antwort ist unpassend; auf die eben empfangene Mittheilung konnte die Frage folgen, ob nicht Theseus oder sonst jemand die Phádra zum Essen bewegen könne: das ¿¿apxet ist dagegen nach den voraufgehenden Worten vóllig unmotivirt. ' Die Amme entgegnet (V. 279); Phädra verberge ihre Krankheit und behaupte gesund zu sein. Also darum soll Theseus das bis zur drógtao:g Prov sich fortsetzende aoureiv der Phädra ruhig ansehen, weil sie gesund zu sein behauptet? Das würe von Seiten des Theseus eine in der That unbegreifliche Fügsamkeit oder Gleichgil- tigkeit. Weiter fragt der Chor, ob Theseus nicht sei- ner Gattin ins Gesicht sehe und daraus Schlüsse ziehe (über ihren Zustand, was freilich hátte ausgedrückt werden sollen). Die Amme berichtet darauf, Theseus sei verreist. Wie aber geht es zu, dass wir dies erst Lë erfahren und nicht unmittelbar nach den Worten ei tað ¿émpxei nocet V. 278? Müssen wir nicht aus . V. 279 auf die Anwesenheit des Theseus schliessen?— “Ich denke, der Mangel an folgerichtigem Zusammen- hang in V.276 — 281 lässt sich nicht in Abrede stellen. Die betreffenden noe sind, wie ich glaube, 80 zu schreiben: XO. Sieste un ATS À Save e 276 TP. xpurteı vae ne Tape xou poly vocety. 279 XO. Sauasroy einas, el xa ¿capuel TOGEL. 278 TP. Zxönpos du yap 7509s Tuyyaver YSovog. 281 Nachdem 279 und 278 ihren Platz getauscht hatten, wurden zwei Verse eingeschaltet: denselben Vorgang habe ich bei Soph. Ant. 570 — 573 ehemals nach- o" . gewiesen. Die beiden hier ausgeschiedenen Verse sind auch in der Form anstóssig; den Worten & à sis mpós- eov où texpolpetos QAémov fehlt das zu texpofgeras erforderliche Object, und antorasız Seu «der Abfall vom Leben», ist eine Redeweise, die weder sonst vor- zukommen scheint noch, wenn sie vorkáme, hier pas- send zu nennen wáre. Entschieden fehlerhaft überlie- fert ist noch V. 276, wo ich in der dritten Ausgabe TOLAS UT ATNE XATIAVEÙY T. vermuthet habe. Auf den Ruf der Phädra Q yuvalxss, ÉÉcupyaoueda folgt Hipp. 566 die Frage des Chors: ri $ ott, Da/dpa 8etvov Ev doporo! colg; Der tragische Ee lässt statt Savoy viel- mehr xatvov erwarten. Nicht möchte ich mit Elmsley coi; in cct ändern; vielleicht aber schrieb der Dichter: ti Ò Zoe, Paidoæ, tolode xatvov Ev Soyetc; Hipp. 1325 f. spricht Artemis zu Theseus: dev ¿mpañas, AAA OS ET domi col xal ube CUYYYOpnS TUE. Besser wohl x&x tóvds, auch unter diesen Umständen; über dx rovôe vgl. die zu Soph. Ai. 537 gegebenen Nachweisungen. Iph. A. 936£.: où yap Eumdcxerv thomas gé naplo 00 nocet tovpov dépas. Worte des Achilles, welcher der Klytümnestra erklárt, er werde niemals zulassen dass man die Iphigenie opfere, nachdem man sie unter dem Vorwand, er (Achil- les) werbe um sie, nach Aulis gelockt. In dieser Si- tuation ist Sépos sehr unpassend; nicht den Leib, son- dern den Namen des Achilles hatten die Atriden für ihre Zwecke gemissbraucht, wie Achilles selbst aus- spricht in den unmittelbar folgenden Worten: toùvopa Ye, el xal un alómpcy npapny, Toupcy qoveuct aida any (vel. oben V. 910 Klytümnestras Aeusserung: voua ydo TO goy " aráheo, © c anuvaSeiv "peu, Folglich wird V. 937 zu EE sein: ¿yo rapézo rodpov bvop.a có rocet. Aus coUpgóv óvopa mag zuerst «cUpév cópa geworden sein und dann die weitere, durch Rücksicht auf das Metrum pangih Entstellung sich angeschlossen haben. Iph. A. 1222: oûac yapıras ¿Soxa wavredsfannv. | Der von einem einzigen Worte gebildete Tribrachys des zweiten Fusses würde vermieden sein, wenn man schriebe yaprras píhas. Eher aber möchte ich für das ursprüngliche halten: on ¿Soxa SE yao. Iph. T. 1286f.: xaAeic GvarTUËMVTES euyoppcus TUAAS ¿Eo pehaSgoy rue xc(paycy YSovos. In diesem Zusammenhang ist Ae oov rôvde unmóg- lich; es muss heissen 77,08& xatpavov yS5ovos nach dem Muster von Iph. T. 1080. Ale. 507. Med. 7 1. Herc. 138. fr. 1117, 61. OS y 95 Bulletin de l'Académie Impériale Ion 14: avc de mazpl, TO SEG yap i oc), actoos Brtweme öyxoy. Kreusa verheimlichte ihre Schwangerschaft vor ihrem Vater Erechtheus; folglich ist zu erwarten nicht ayvos de mato (unbekannt dem Vater), sondern 243pa Se TATPÓS — 100106; Seve x Ce, wie V.340: xa raid Y ÊTEXE TO Geo AaSon rage. Ion 260 f.: Koécuca Héi por xeovoy- , ex A "Eos yséoc RÉDUXA, ratQic VA 5 Adnvalov TOM. Die Stellung des dé entschuldigt Herwerden mit dem Umstand dass rateis y7 ein einziger Begriff sei. Aber va ist hier befremdlich um des nachfolgenden TOAS willen. Sollte nicht der Dichter zaxeis 9 ¿or Amy- valo» oz geschrieben haben? Med. 235 — 237: zou Tod ao» páyiotos, n xaxov habei 7 Xxenocóv ov yag sies amoo deg, oU cic» T AwNVACIA: room. ` Die Heldin des Stückes beklagt die unglückliche Lage der Frauen, die für vieles Geld sich einen Gatten und Gebieter erkaufen, an den sie gekettet sind, mag er mm gut oder schlecht sein. Hier scheint euxdseis NV. 296 zu schwach: nicht sowohl wenig ehrenvoll ist es für die Frau sich von ihrem Manne zu trennen, als vielmehr äusserst schwierig: où yap £9 yeoetc arahia- yal yuvargiv, dies ist der hier zu erwartende Begriff. Or. 875f.: LOY tt TroAeploy Tapa. eye overtépoxe Aavaidoy TONY; Statt roro mapa (ab hostibus) ist vielmehr roXsplov rép: (de hostibus) zu schreiben. . Or. 896 f. heisst es von den Herolden: cds à atoi pics, : Og On dy Ta: XOAsOg dy T dpyator À. Der Genitivus zoheos kann unmöglieh mit Matthiae von Borsa: abhängig gemacht werden, und rokcos ¿v T apyalor statt dy te móAsog doynict» zu sagen hat sich, wie Porson sehr richtig bemerkt, kein Schriftsteller der classischen Zeit gestattet. Aber gesetzt auch dies von Hermann in Schutz genommene Hyperbaton wäre zu entschuldigen, so würden doch die Worte òc av 3u- vta: ohne eine nähere Bestimmung unverständlich | bleiben. Der Fehler liegt in dywnrar, wofür Euripides vermuthlich schrieb Suvacrns. | zen, um den Untergang der Stadt Troja nicht zu überleben: pép eis TUPAY dao ue», Oz MALTE Vot od Tide rarpldı xatiavely TUpoOUEvy. Offenbar konnte nur gesagt werden cov mato cq. Die jetzige Lesart ist eine falsche Correctur des zu- erst gemachten Fehlers cov they TATH, Soph. fr. 146 bei Stob. Flor. 26, 1: aSa Deo» OTUYEOR xal AYAPATOS OSUYATELE Ka, EUTOTILOTETE pehéov avéyouca Biou Boayuv taSucv. An der Heilung dieser übel zugerichteten Stelle hat sich neuerdings Herwerden Mnem. nov. ser. 1 p. 312 nicht ohne Er- - folg versucht; ich beschránke mich auf einen kleinen das letzte Wort betreffenden Nachtrag. Statt Biou Boa- yy odpov dürfte zu schreiben sein Biv gpayv oty.ov. : Soph. fr: 287 bei Stob. Flor. 30, 6: türter yao 0982 ¿o Sho sx ata oyo. Dem Ausdruck etxata oo, temerarium otium, vermag ich keinen vernünftigen Sinn abzugewinnen, glaube vielmehr dass die ursprüngliche Lesart war y Alav oyoAn, wie sich sonst findet y Atav corparía, n May coup u. à. | Pseudo-Eurip. fr. 1117, 15 heisst es von der Danae: UTOTETOOY Adoyra Tegera Tarot. Das handschriftliche úxóxetoo hat Bentley richtig in drörtepov geändert, der vmómtepos Aéov ist Perseus. Zur Bestätigung dieser Emendation kann dienen eine fehlerhaft überlieferte Stelle‘ des Aristides vol. 1 p. 25: Ilepoéa dE adtonrepoy eis lop[óvov yopous ko dv, wo Unortepov zu schreiben ist. der angeführten Stelle des Aristides haben unsere Wörterbücher das Adi. adtórrtepos entnommen. —— Im dritten Bande des Teubnerschen Euripidesp. XXI habe ich unter den Nachträgen zu meiner Sammlung Nur aus, der Trag. Gr. fr. eine von Haupt im Hermes 3 p. 343 nachgewiesene Stelle des Ambrosius aufgenommen, welche die Griechischen Worte Bacthéwy tas mohv- yo»couc tuyas enthält. Dieselben Worte finden sich in theilweise correcterer Gestalt bei Philo Iud. vol. 1 p. 548: xai day Bacırdov TOLUIPUGOY TULA ÚTEP- Barıwar. Ar. Nub. 102 f. charakterisirt Phidippides die Ati hänger des Sokrates: tods aAatóvac, zous WYPIOVTAS, TOUS avuroðytovg Adyeıc. Statt tous oyotovras, die Bleichen, hat Aristophanes | vermuthlich einen gleichbedeutenden, aber gewählte- Tro. 1282 f. will Hecuba sich in die Flammen stür- | ren Ausdruck gebraucht, nämlich «69g Zvepoypuraz, 97 des Sciences de Saint- Pétersbourg. die Todtenfarbigen. Dafür scheint zu sprechen Alciphr. 5-42: Nxevon évos xÓv èv Ty Toxin darpıßovrov dro o? xai ¿vepoypoto», wie Etym. M. p. 340, 10: évepóypoceg" VEXPOJPOTES, vexooü yootx» Éyovtec. Sicherer ist es dass wir évepcypotes herzustellen haben bei Agathias Hist. 2, 23 p. 114, 22 Nieb.: rokhol yap non avappwasevres anevcormoav ds ta olxsio, xas- geg Ev omg xal toayodía Ex TOY «cxótou TUAOY» (Eur. Hec. 1) dprypévot, Cox vol rues xal ETEPOXPOTES xal olor Sedétreo dou tods Evruygavovras. Men. Com. 4 p. 210: où xg yap alto» oudë horas altoup.evos. Auf diesen zur Erläuterung des Unter- schiedes von aitte und atzeioser öfters angeführten Vers bezieht sich Tzetzes Chil. 12, 305: où 0p aitö yap Aeyopev oust Moana 9' altoüpat, WO 0985 horda al- toupa zu schreiben ist %). Men. mon. 385: auf nv avanaueı, npépa à Epyov ost Gegen Meinekes Vorschlag vdË ovadver pév sprechen mehrere Gründe; offenbar muss es heissen: auf piv avanaucıy, Hepa A Zero motel, oder besser ¿pyov péper (wie bei Soph. Ai. 866: novog "oun rovov pépet). Men. mon. 666: Co aloypov ois Env Zoäougoen y tuyn. Der zum Leben nothwendigen Mittel ermangeln ist nicht schimpflich, sondern hart. Statt atoypow ist somit vielmehr dsıvov erforderlich. Die Verwechslung dieser Wörter ist keineswegs unerhört. Vgl. Eur. fr. 757, 9. Trag. adesp. fr. 61. Eben dahinsdúrfte ge- hóren Men. Com. 4 p. 183 bei Stob. Flor. 96, 21: aloypov vevéoSat TTOYOY LOTE S. dpa. Protagoras bei Plut. Mor. p. 118 F: ras yap rte py ópéoy cà Eaurou TÉVICA dopo évoc qéoovca, peya- hóppova te xal avdpnov Eddxee civar. Statt £opogévoc ist zu bessern evsxnpovos. Dieselbe Verschreibung habe ich früher nachgewiesen in Men. mon. 151: dveyxe Aur xai Qnm» Eppopevos, wofür die ursprüngliche Lesart gewahrt ist in Men. Com 4. p. 242: éveyx aruylav xal Bhafnv evoympovag. Vgl. Aristot. Eth. Nic. 1, 11 p. 1101 a 1: taç tuyas eücymuóvoc pepew. Iulian. p. 256 B: el pèv evoynuc- 35) Derartige Parallelstellen werden in Meinekes Fragm. Com. ófters vermisst, was im Detail nachzuweisen sich kaum lohnt. Wich- tig jedoch für das Verstándniss des Textes scheint mir was bei Plato 2: apkomar ix BoAßoto, tedeurnow à ¿mi SUvvov, bisher meines Wissens übersehen worden ist, dass in diesem Verse ein von Libanius Epist. 65 erhaltenes Sprichwort parodirt wird, apkomar EE ayadoio, reheurnow ð’ Ze xpetvoy. Tome XXII. vos ¿pepov, Gonep ovv Adysrar, TRY im, p. 257 A: taç do Drop BOTAS maSanso TVEÑILATOS uerg eüc ympóvos pépew. Porphyr. ad Marc. c. 3: ¿factaca de Tas érifouAdc eueyvpcvoc. Flor. Monac. 36 bei Meineke Stob. Flor. 4 p. 269, 26: vouo dAnSéotator ol Stxoraro. Sehr richtig wird p. XL VII anSeorarcı als corruptum bezeichnet. Es sollte heissen vóp.ot dopadéctaro:. Flor. Mon. 184 p. 281, 19: 6 aurog (Demosthenes) Qv» aSAntnv xaxöç Adnvaloug lampeuovra eren eupez 686» AC ne rohhoùds xaraßadeis. Nothwendig ist es hier xaxov zu schreiben: seine Gegner niederzuwerfen war dem Athleten früher nicht gelungen, weil er eben ein schlechter Athlet war; ein sichereres Mittel zur Erreichung des gleichen Zweckes bot ihm der neue Beruf. Zweifeln kann man ob AS«vaíouc in nino ir zu ándern sei. Flor. Mon. 262 p. 289, 9: Xovarrneç DESEN «Sa TÍ AMTOG et Eyov ypnpara roda;» exe «tò péh- hoy oùx eldos, va day o yémta, pg Gevitop at.» Diese Anekdote leidet an zwei unpassenden Ausdriicken; in der Frage ist zu schreiben Aa ti yAloypos el, in der Antwort iva — pg davettopat. Aelian V. H. 12, 33. Kineas, Leibarzt des Pyrrhus, macht den Rómern das Anerbieten für eine Geldsumme ihren Feind durch Gift umzubringen; die Rómer aber weisen diese Infamie mit Entrüstung zurück: A ape- ris yap icacı "Popaicı [dyasol cewa], où phy ta té- mme xai navoupylas xoà érBouAns xarayovícac3a: toùs éySocuc. Es bedarf keines Nachweises dass die in der jetzigen Verbindung höchst unpassenden Worte æyaSoi elvat von einem Interpolator herrühren. Aleiphr. I, 6, 4: Y témavoo tij; ayepuylas xal tou Ange sõ xal Sopas [aróoyov], Ñ ez pe mapa oy natépa oiynoouévnv. Sollte nicht dooten ein spä- terer Zusatz sein? Entbehrlich ist sicherlich dies Ver- bum und, wie mir scheint, nicht einmal passend. Ei- nem ähnlichen, aber bei weitem störenderen Zusatz begegnen wir III, 39, 3: xahèv Ara avspwrerg dvu- rootohkos ópudeiv, ug nxora òè [dvayxatoy] To Tpos ie olesious aXneoSou. Der Begriff dvayxaiow ist hier unmóglich; tilgen wir dieses Emblem, so bekom- men wir den erforderlichen Sinn, x4Auctoy è To pos TOUS otxetous Oasen, 1,7: 6 yap rooysipos xal Sappada E sine Ge Zewen xotyd. [rpèç tods pious xai] Ta tv poy 7 Bulletin de l'Académie Impériale [£yetv] iyouevos. Erst durch Ausscheidung der einge- klammerten Worte kommt Sinn in die Stelle: «wer zuversichtlich seine Freunde bittet, zeigt dass er zu dem Spruch xowa t tõv pwy sich bekennt, d. h. auch seinerseits zum Geben geneigt ist». I, 10 ist überschrieben KégeAoc Hovrio. Da der Brief vom stürmischen Meer und den Gefahren des- selben handelt, so dürfen wir vielleicht "Epados Iov- tí vermuthen. I, 29, 2: oc yap tr oócaw muiv Erarpiav TEÒ adas. Die richtige Form étarpsia» ist hier in & wie II, 2, 7 in allen Handschriften erhalten. IL, 2, 4: Tipapyov zéi xaA6v otoda toy Knot sev. eu, dea) TOÔS TOY veaviaxov. OXELOG Eye dx 0A 00 ‚ (Tpos o£ pot TAANST Min eixóc, Aayœ), xa TN ToO- Tnv appositny ¿pa oy mag autod cysBow ovTog yap pe adiemapSévevasy Ex yertóvov olxovcav. Hercher sagt p. XVI: «Delenda verba xal mv ër appoodérny dozou rap gien aut transponenda post olxoucay.» Hier kann ich nicht umhin ein Versehen vorauszu- setzen. Es scheint mir unzweifelhaft dass in den Wor- ten cücog yde pe derapSévevcsy eine plumpe Umschrei- bung enthalten ist für die gewähltere Wendung mv Tour» appodityy časov rap astov. Deshalb und aus anderen Gründen bleibe ich bei meinem von Hercher stillschweigend verworfenen Vorschlage, xai nv Too- m» appoöitmy ¿paso rap autoú, cysBO» Ex yertovoy otxovoa. Nur würde ich statt ¿uaSov vorziehen ¿p uý- Syy nach Stellen wie Heliod. 1, 7 p. 22, 25: EouSprav yap Zen To peipaxıov doct TOY Appoditng puoupevoy. Achilles Tat. 5, 15, 6: pun3op.ev cov ta Tis Aopodérns puornpta. Plat. Symp. 209f.: taŭta py oùv a ggo- mxa coc, © Zoxpares, xav où punSeóns. Vgl. Lobeck Agl. p. 651. III, 66, 3 erzühlt der Briefsteller, ein theils bos- hafter theils ungeschickter Barbier habe ihm den Bart nur stellenweise rasirt: oec ya oAergSTya por TOAAA- 10% pi» Saceiay moda god di Aslav tiy aımyova. Bes- ser 1AAa 09 pèv Sacctay d\Xayoù 35 Aslav. Procopius Gaz. Epist. 139 p. 588 Herch.: éogrn dé cou Aaron. KENG mou xal Badıop.a cofagoy xai Puppe Tide xaxeice YEopEvov, xal mayo got Ta dra, xa seo o Midas, el roi xt oSéEnuo maen mv on oxnvnv Exrintrönevev. Das Wort og wird in der Lateinischen Uebersetzung durch «habitus scenicus» wiedergegeben, und allerdings ist der Begriff habitus nach dem Zusammenhang zu erwarten, d. h. mv om oxnvyv ist aus ty» on» axeunv entstanden. Clem. Alex. Protr. p. 12 Pott.: où yap pe ó Kurgtog 6 vnotoras Kıyupas rapaneloaı TOT Av, TA rep vi Apoodirny paxhovra Zeng dx vuxtòs (pg. napaðoğvar rohunous, Piorıpoupsvog "Zetgegt Topy Tohitida. So las bereits Eusebius PE. II p. 63 A. Gleichwohl halte ich zé rokMnida für fehlerhaft und schreibe dafür ropvnv terodítida, Das Wort proöitız wird ei- gentlich von der auf Dreiwegen verehrten Hekate ge- braucht, dann übertragen auf gemeine Dirnen, vgl. Bulletin XVII p. 228 oder Mélanges Gréco- Rom. III p. 276 f. Dass HOAITIAA aus TPIOAITIAA leicht entstehen konnte, ist klar. Clem. Alex. Protr. p. 24: rócot di xai og Archdo- vec; avapiäpımror Svnrol xal ¿mixovpol tives AvIporol eto ci Taparincios Tols Tpostonp.évo:s Exetvotc XEXAN- évo. «Sterbliche Menschen sind von den alten Grie- chen vergóttert worden», dies ist der hier ausgespro- chene Grundgedanke einer umständlichen und detail- lirten Erórterung, in welcher Clemens über die heid- nischen Götter handelt. Als ungehórig erscheint èri- , xovar, zu emendiren aus p. 26: avipono TYÈ Toute TO At0xo0o0 Emi noo Eyeweosyv. Tzetzes Exeg. Il. p. 128, 5 (Schol. Lips. in Il. ed. Bachm. p. 827, 3): tadra To. «00 avöpos xop.ropa- xeAcgptip.ovg An axouécocay (so ist das überlie- ferte axou...cav zu ergänzen) Goo tO» Suoceßov xal TO Mons TO PENTI xal TTEPO xal xAdÉGEL ÒM- xTUAOY dl TOY papuyya RE epouvtoy. YO de où Bouho- pat caca, geeiert: od yap old Eros eege equ. Statt Goo zu 9uccsQóv fordert der Zusammenhang Cou toy dvusepoy. Auf der gangbaren Verwechslung von 8 und v. beruht vielleicht auch der bei Iohannes Sicel. Rhet. VI p. 229, 23 vorliegende Fehler: Adttavov tivos Ev t$ Tepl Bom fu Tepovoías youpovros dal ti dAndeinc guer? xal Zpuevatos HoAég.ovoc, ol BaSrateiaac roheıs Aéqouct auyyopsusw tais povoar. Ein ovyxo- pevety tais poucas konnte beigelegt werden den für Bildung sich interessirenden Städten, die Iohannes Si- cel. ua S 7106006 roe; genannt zu haben scheint. Der Hauptzweck der vorstehenden Bemerkungen, die ieh hiermit nicht sowohl schliesse als abbreche, war dieser, die Berechtigung und Nothwendigkeit phi- lologischer Kritik darzuthun, d. h. zu zeigen dass wir weder den alten Grammatikern noch den Schreibern EN 101 des Sciences de Saint- Pétersbourg. der auf uns gekommenen Codices absonderliche Ver- ehrung schuldig sind. Für diesen Zweck dürfte es nicht überflüssig sein noch einige Worte beizufügen. Ein bekannter iambischer Trimeter lautet bei Stob. Flor. 5, H: 7 X>ev dot AYÍpOTOS av AYÍPOTOS Y. Derselbe Vers kehrt auch sonst wieder, zum Theil in wunderbaren Entstellungen. Adennüder Rhet. VIII p. 480, 3 (Speng.. vol. 3 p. 37, 18): xapıdv dor’ àv3oo- os Oct dySooToc d. Phoeben. Rhet. VIII p. 517, 3 (Speng. 3 p. 56, 11): xaotév dct» duëourgee ¿ray dy- SpoTog 1. „Aeneas Gaz. p. 26: yapev aySporos Era» ES 1. Clemens Alex. Strom. VII p. 916: óc xapgóns Eoriv AVSQOTOS, ¿OT ay avSgures N. Men. mon. 562: de yaptaıg doriv aySpwrog, otav vlog À 7. Galen. vol. IX p. 815 (nachgewiesen von Cobet im Aöyıos ‘Epps Ip. 456): xal oravov ¿or avSporos Zei dich Toç. Choerob. Epim. in Psalm. p. 43, 6: de xaptev T av3poros ay3pórorot. Gramm. Herm. p. 465: ôç ya- Gi To dySpomtyov aySoorototy. Etym. M. p. 824, 41: de yapícorr (Yo. xov V) dySporos avipancıer. Da- nach wolle man den Werth unserer Griechischen Hand- schriften beurtheilen, an deren Strichen und Pünktchen vorzugsweise diejenigen sklavisch hüngen welche nie eine Griechische Handschrift gemauer kennen gelernt haben. Aber auch die Grammatiker sind äusserst unzuver- lässige Gewährsmänner, denen man nicht blindlings glauben darf. Zur Erläuterung diene das Lexikon des Suidas, der zwar einer sehr späten Zeit angehört, aber das Richtige wie das Falsche das er bietet, fast durch- gängig älteren Quellen verdankt, den daher für die meisten bei ihm auftretenden Irrthümer eine Verant- wortliehkeit nur insofern trifft, als er mit unverant- wortlicher Kritiklosigkeit die ihm vorliegenden Quel- len mechanisch ausgeschrieben hat. In seine Kenntniss der Verbalformen gewinnnen wir einen Einblick aus folgenden Proben. «zt amnoyeto, aveyopet. elw to , r , y I, M - Topevopat, duce: diw, Mov LES, Nixa NUL niew, xat Ev cuySéce, dmwmfet», xal dv cuvarpécsl geng, — Tito üraoyéco' «Tyco "| ðóķa xuplou eis touc alovag». TalTov TPOTOTÓY égtt TOOUTAKTIHOV, ATÒ Tod e(l TO TAPLO Y petoxm elg dvtos, TO npootaxtınov ¿di Erw, ÈTEXTACEL TO, xal engen tod Y éco. y ATÒ x00 £o To degen deu Yes Te, xal TO npooraxtınay če déco, xal xpaosı TOY duo E eis H fco. — |o c1» éxadétovro, duixos' Aptoro- pavas Opvo: a 9) «TO à oux de Zecgun, me A8 da tool! ion, ayı zoo Yöscav, cudlv dado idegay À ? òa- XVELY. — Gud TO WEG. — ATÉCOUTO ENTE. TEUVO TÒ Geng, xal ouw, AG où TÒ güm, Aen tò Zoouro. — Für die Kenntniss der Pronomina ist belehrend: TARA copo: Top aurais. mapa color à Sa toù I nao autos. — Vielfach werden fehlerhafte Glossen regi- strirt. atatoí (vgl. Aristoph. Byz. p. 137) et ovyyap- Boo. also yos (statt alcaxos) à Tis Sans xa dos, vapBopos © KT (nach Eur. Hec. 421: nues 3% TEVINKOVTO, Y Guukopot Kegel debynoas (statt Ae: eAınoas Od. e 599) OELANS TOUTO TOLNOAS. eynyaptos (ertyapros?) ó Enıyapns. Écxatey (statt Eouxatev, vgl. Hercher Berl. Monatsb. 1875 p. 8) &vedotaev, aupé- BaAAew. xépxoupos — xal Tapouyuia eg Age (viel- mehr xopxopos) Ev Aayavog». TALOAN (statt Arm) — Tapa To amaroheiv. méos (statt améoz) tè Orga, — Besonders aber bezeichnend für Kritik und Erklürung sind als Seitenstücke zu der oben Anm. 24 besproche- nen Glosse yupins folgende Stellen. xaratrouon: xa- Tapuyn. «AAR Zeg où vào fr xararpupnv», avt! toù anoquynv Too ji sérei (vgl. Soph. Oed. C. 218). 2úya Gxocetyd ` «epav yap ol exa, lord Tapa xooxatot de Avya rupoç» (Anth. Pal. 6, 266. wo Ruhnken de adya Tupos hergestellt hat). ünalpaxe BtpSetoev «od oe xuvôv yévos etA, Evprridn, MR Aldng xol yipas ral- paxev» (vgl. Anth. Pal. 7, 51: aM Alys xal gege úral Maxéry à Apesovoy xeiow). Diese Blüthenlese kann mit Leichtigkeit erheblich vermehrt werden. Wir aber entnehmen aus der Betrachtung derartiger Irr- thümer, wie sie auch bei den namhaftesten Gramma- tikern vorkommen, eine Warnung vor dem trügen Autoritätsglauben. Es ist ein altes Wort und kann doch kaum oft genug gesagt werden: sapere aude. Ueber die Absorption der Kohlensáure durch Schwe- felsáure und deren Gemische mit Wasser. Von J. Setschenow. (Lu le 24 février 1876.) In meiner Abhandlung über die Absorption der Kohlensiure durch Salzlósungen habe ich zu zeigen gesucht, dass die Absorptionsgróssen dieses Gases von der Dissociirbarkeit der Salze, so wie von dem gege- benen Grade ihrer Dissociation, direct abhüngig sind. Nun bin ich in Besitz solcher Thatsachen gekommen, welche diesen Gedanken nicht nur weiter zu bekräf- T7* Bulletin de l'Académie Impériale ) 104 tigen, sondern auch einiges Licht auf den Vorgang der Kohlensiureabsorption zu werfen im Stande sind. Es sind nämlich absorptiometrische Versuche mit SH,O, und deren Gemischen mit Wasser. Solange man mit Salzlósungen zu thun hat, gilt jedes Zusetzen von Wasser zu einer gegebenen Flüssigkeit nur als weiteres Dissociiren der Substanz, und insofern findet man bei Versuchen mit Salzen gar keine Ge- legenheit, denjenigen Fall absorptiometrisch zu prüfen, wo das Zusetzen des Wassers einer Hydratation der Flüssigkeit entspricht. Einen solchen Fall bietet da- gegen bekanntlich SH;O,, und zwar vorzugsweise bei ihrem Übergange in das zweite Hydrat (SH,0,+H,0). Aber auch das weitere Verdünnen der Säure ist inso- fern interessant, als man an der nämlichen Substanz den entgegengesetzten Einfluss einer fortschreitenden Dissociation zu sehen bekommt. | Der Absorptiometer erlitt für diese Versuche klein Umänderungen nur in zwei Punkten: das Saugrohr zum Einführen der Flüssigkeit in den Recipienten be- stand durchweg aus Glas; der Stahleylinder im Holze des Recipienten wurde gegen die Einwirkung der Schwefelsäure durch eine Schicht Paraffin geschützt. Die Füllung des Apparates geschah natürlich stets mit vollkommen trockener CO;. Bezüglich des Ent- gasens der Schwefelsäure habe ich folgende wichtige Bemerkung zu machen: im unverdünnten Zustande so wie in concentrirteren Gemischen mit Wasser ent- lüsst die Flüssigkeit die darin aufgelóste Luft so schwer, dass man sie unbedingt bei 100°C. und unter star- kem Schütteln auspumpen muss, sonst bekommt man die Gase nie vollkommen weg. Was endlich die Proportionen der Mischungen anbelangt, so entsprechen sie den in der Tabelle angegebenen Formeln und Zahlen natürlich nur annähernd, da man durch die Natur der Versuche selbst gezwungen ist, manche Operationen mit SH,O,, dieser in so hohem Grade hygroscopischen Flüssigkeit, an der freien Luft auszuführen. In der nun folgenden Tabelle bezeichnet V Volumina der Flüssigkeit, A die totalen Absorptionsgróssen; die vorletzte Spalte dient zur Verification, ob die Absorp- tion nach dem Dalton'schen Gesetze geschehen ist; endlich unter a sind die Lósungscoefficienten im Bun- | sen'schen Sinne angegeben. Ne Concentr. NV $ 1 SH,O, 358,25 | 17? 2 22 23 29 92 gr. SH,O, 3 qe | 33 ?3 3 gr. H,O 92 gr. SH,O, 4 | - 22 29 8 gr. H,O SHO, : 5 : Se ” » 1 (H,0) | SH,0, | | 6 + KE | $ | 2 (H,0) | | SH,0, | 7 | - » » | 58 (H,0) | ASE, | | sl Au, Ba Dr. | A B | a 656,39 | 219,25 0,932 . 774,56 | 258,60 | 258,72 | 0,932 644,20 | 214,38 0,929 797,77 | 267,67 | 265,49 | 0,936 658,51 |. 200,97 ` 0,851. 708,26 | 216,42 | 216,15 | 0,852 917,47 | 280,61 | 280,35 |. 0,852 | | = 680,67 | 175,56 | 0,719 862,15 | 221,82 | 222,36 | 0,718 | 699,33 | 166,56 0,665 752,67 | 179,75 | 179,27 | 0,666 971,05 | 232,30 | 231,28 | 0,667 686,46 | 173,63 | | 0,706 750,77 | 189,15 | 189,89 | 0,703 953,59 | 241,06 | 241,20 | 0,705 670,76 | 206,00 | 0,857 815,35 | 250,73 | 250,30 | 0,857 105 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 106 Die erste durch die Zahlen der Tabelle angegebene ' Thatsache bezieht sich auf die Lósungscoefficienten der unverdünnten SH,0, (in Vers. 1 und 2). Sie liegen der entsprechenden Grósse für's Wasser so nahe, (nach Bunsen beträgt dieselbe für 17°C. 0,9519), dass an ihrer Gleichheit kaum zu zweifeln ist, besonders in Anbetracht des zweiten Ergebnisses dieser Tabelle, námlich des Sinkens der Absorptionsgróssen, in Folge der Verdünnung von SH,O, mit Wasser. Diese als allgemeiner Erfolg der Verdünnung sich ergebende Abnahme der Lósungsgróssen geht jedoch nicht regel- mássig von Statten, indem die Absorptionscoefficienten anfangs sehr rasch an Grósse abnehmen, bei der Con- centration des Gemisches SH,O, + H,O ihren niedrig- sten Werth erreichen, um von hier an ganz langsam in die Hóhe zu steigen. Der beschriebene Gang der Erscheinung lässt sich durch die beigegebene Absorptionscurve ABC ver- sinnlichen, in welcher die Ordinaten den Lósungscoef- fieienten verschiedener Gemische entsprechen. B | SHl; re SHO>H,0 SADA I0 Die Frage über die höchst wahrscheinliche Gleich- heit der Lösungscoefficienten von CO, in H,O und SH,0, kann einstweilen nicht discutirt werden, weil diese Thatsache bis jetzt nur für eine einzige Tempe- ratur gefunden worden ist; das Abnehmen der Lösungs- grössen in Folge der Verdünnung von SH,0, mit HA lässt sich dagegen theoretisch deuten, und zwar folgen- dermassen : Der Gang der Absorptionscurve ABC würde denbekannten calorisehen Erscheinungen beim Mischen von SH,0, mit H,O ganz genau ent- sprechen, hátte man die Einwirkung des letz- teren auf SH,O, als in einer Hydratation und Dissociation (zu gleicher Zeit) bestehend auf- fassen und den beiden Vorgüngen einen ent- gegengesetzten Einfluss auf die Absorptions- srössen der Kohlensäure zuschreiben können. SH,0, bei 17° unterliegt kaum einem Zweifel, Dann würde sich in der That sowohl der stetige steile Abfall des Curvenstückes AB (und zwar durch das Anwachsen der in SH,0,+ H,O sich umwan- delnden Menge von SH,0,), als das Zusammenfallen der Maxima für Würmeentwickelung und das Sinken der Absorptionsgróssen in B, so wie endlich das nach- herige langsame Anwachsen der Absorptionsgróssen, erklüren lassen. Somit hat man nur nóthig zuzusehen, ob der oben ausgesprochene Satz etwas Unbewiesenes enthült und dieses dann zu beweisen. > Die doppelsinnige Einwirkung des Wassers auf da SH,O, + H,O bei dieser Temperatur als eine in ihrem Krystallwasser geschmolzene Substanz betrachtet wer- den muss; andererseits ist das Anwachsen der Ab- sorptionsgróssen in Folge einer fortschreitenden Dis- sociation von mir schon früher bewiesen worden. Hier- mit bleibt als unerwiesen nur die Annahme zurück, dass dem Vorgange der Hydratation von SH,O, eine Abnahme ihrer Lósungsfihigkeit für CO, entsprechen muss. Dieses lisst sich glücklicherweise sehr leicht be- weisen, und zwar für den am meisten charakteristi- schen Fall der Umwandlung des ersten Schwefelsüure- hydrat in das zweite. Die Abnahme der Absorptionsgrósse kann in diesem Falle a priori auf zweifache Weise erklürt werden: entweder dadurch, dass das Wasser nur volumündernd wirkt, ohne sich selbst an der Absorption zu betheili- gen (indem es in die Bildung eines neuen Kórpers ein- geht) und ohne die Absorptionsfühigkeit der Schwefel- säure für CO, zu ändern; oder dass es nicht bloss volumándernd wirkt, sondern auch die Absorptions- fühigkeit afficirt. Zur Entscheidung zwischen diesen zwei Möglichkeiten braucht man nur den Lósungs- coefficienten der unveründerten SH,O, so wie die Vo- lumánderung beim Mischen derselben im Verhältnisse von 1(H,0) auf SH,O, bei 17” zu kennen. — Die erste Grüsse betrügt nach meinen Versuchen 0,932; das resultirende Volumen beim Mischen ton 49 gr. SH,0,, oder 26,6 Cem., mit 9 Cem. Wasser beträgt bei 17° 33,3 Ccm. Wäre demnach die erste von un- seren Vor&ussetvdngen die richtige gewesen, so müssten 33,3 Cem. SH,O, + H,O ebensoviel CO, absorbiren, wie die in dieser Mischung enthaltenen 26,6 Cem. SH,0,, oder 26,6 X 0,932 — 24,7912 Cem. CO,. 107 Bulletin de l'Académie Impériale Hieraus würde sich im Versuche 5 als Lósungscoeffi- cient die Zahl HF Ze ee = 0,744 ergeben; wir bekamen aber eine viel arigera Zahl 0,666. Somit entspricht der Hydratation der Schwefelsäure in der That eine Erniedrigung, deren Lösungsfähigkeit für CO,, woraus zu schliessen ist, dass die Vorgánge der Hydratation und der CO,- Absorption einander gleichwerthig sind. Odessa, den 15. (27.) Februar 1876. Parerga archaeologica. Von Ludolf Stephani. (Lu le 27 avril 1876.) XXIX. Ein von mir besonders hoch geachteter Gelehrter hat es mir als zweckmässig bezeichnet, dass ich mich über zwei einzelne Fragen meiner Untersuchung über den Westgiebel des Parthenon!) um der Schwachen willen noch etwas ausführlicher ausspreche: über die von Pheidias in seiner Composition zugelassene Ver- einigung von zwei ein wenig aus einander liegenden Zeit-Momenten?) und über die Berechtigung der Les- art «ferum» bei Ovid”), soweit sich dieselbe schon vom rein-philologischen Standpunkt aus ohne Berücksich- tigung der in den Kunstwerken liegenden Beweise er- giebt. Zwar habe ich bei der Ausführung dieser Unter- suchung, wie auch sonst, vorzugsweise eine aufgeklär- tere Zukunft im Auge gehabt‘), für welche natürlich Elementar-Begriffe der philologisch-archaeologischen Wissenschaft, wie die, um welche es sich bei den beiden genannten Fragen handelt, nicht erst einer ausführli- cheren Besprechung bedürfen werden. Doch entspreche ich gern auch jener Aufforderung, zumal da ich be- fúrchte, dass die erhoffte Aufklárung nicht eher wird eintreten können, als nachdem die von Welcker und . Jahn in rohester Gestalt in Umlauf gesetzten Schlag- würter vóllig abgenutzt sein werden und die Wissen- schaft dadurch wieder in den Stand gesetzt sein wird, zu x 1) Compté-senda de la comm. arch. pour l'ann. 1872. p. 5—142. 221—224. 1873. p. 242—244. 2) Compte-rendu de la comm. arch. pour Pann. PUN p. 116. 3) Metam. VI, 76. e vulnere s 4) Compte-rendu de la comm, arch. pour l'ann. 1872. p. 64. wirklich freier und selbststándiger Forschung zurück- zukehren. Bis dahin wird sich meines Erachtens der gegenwärtige Zustand nicht wesentlich ändern können, ein Zustand, dessen Entstehung sich leicht dadurch erklärt, dass die beiden genannten Gelehrten den ihnen eigenthümlichen, allbekannten Mangel an Logik und Schärfe des Gedankens so wie an Einsicht in das Wesen der Kunst und des künstlerischen Gedanken-Processes natürlich auf andere Weise, Jahn namentlich durch pikante Eleganz der Darstellung, in der er in der That Meister war, zu ersetzen suchten, während so viele Andere es passender fanden, unter der Aegide dieser beiden Gelehrten das von ihnen Überlieferte zu wiederholen und weiter auszuführen, als auf eigene Gefahr und mit eigener Kraft wirklich neue und rich- tigere Anschauungen aufzusuchen und mit methodi- scher Strenge zu begründen. Um so mehr habe ich es für meine Pflicht gehalten, bei Gelegenheit meiner Behandlung der ehemals im Westgiebel des Parthenon vorhandenen Sculpturen in eben so maasvollen als freimüthigen Ausdrücken an einem so schlagenden Beispiel zu zeigen, wie wenig jene gegenwärtig weit überwiegende Art, die Archaeo- logie zu betreiben, selbst da, wo schon seit langer Zeit alle nöthigen Hülfsmittel in reichstem Maase zu Ge- bote stehen, geeignet ist, die Erkenntniss des Wahren zu vermitteln, und ich freue mich um so lebhafter, dies gethan zu haben, da mir unmittelbar darauf von einer . nicht geringen Zahl der urtheilfähigsten und ausge- zeichnetsten Männer, welche natürlich dem gegenwär- tig an so vielen Orten fast alle Lebensverhältnisse ver- giftenden Parteitreiben vollkommen fremd sind, nicht nur die vollständigste Zustimmung zu meinem wissen- schaftlichen Resultat, sondern namentlich auch die Überzeugung ausgesprochen wurde, dass eben jener Nachweis, wenn auch erst nach langer Zeit, doch nicht ohne Nutzen für die Wissenschaft bleiben werde). So naiv aber war ich natürlich nicht, dass ich nicht vorausgesehen hätte, dass ich mir den Zorn und Hass . aller Derjenigen, deren Interessen dadurch verletzt wurden, in um so hóherem Grade zuziehen würde, je zwingender meine Deductionen waren; allein ich konnte keinen Augenblick daran zweifeln, dass ich mich zum 5) Mit Vergnügen verweise ich in ersterer Beziehung auch auf die mir so eben zugehende Abhandlung von De Witte: Mon. Gr. publ. par l'ass. pour l'encour. des ét. gr. Nr. 4. 1875. p. 13 — 22. des Sciences de Saint - Pétersbourg. Besten der Wissenschaft dieser Unannehmlichkeit zu unterziehen hatte. Ich habe daher auch gegen einen vor Kurzem erfolgten Angriff, welcher Sachkenntniss und logische Kraft der Gedanken durch Redewendun- gen ersetzen zu kónnen hofft, welche gebildeten Krei- sen unbekannt sind, Nichts zu erinnern, sondern kann nur meine volle Befriedigung darüber aussprechen, dass ein solcher Versuch, den durch meine Untersu- chung der Wissenschaft geleisteten Dienst herabzu- setzen, genóthigt war, sich auf die Anwendung von Waffen der eben genannten Art zu beschránken. Um so leichter wird einer spáteren Generation das Urtheil werden. Nur das befürchte ich, dass ich dem Un- ternehmen doch noch eine zu grosse Aufmerksamkeit erweise, wenn ich hier wenigstens zu allgemeiner Cha- rakteristik eine der besonders bezeichnenden Stellen hervorhebe. ; | Unter Anderem nümlich habe ich in jener Unter- suchung?) darauf hingewiesen, dass der Ausdruck «scopulus Mavorlis» bei Ovid’), da es natürlich Nie- mandem einfallen kann, den Areopag genannten Hügel auf die Akropolis gestellt zu denken, gar Nichts mit jenem Hügel zu thun haben kann, sondern offenbar ausschliesslich «den Verein der Zwölfgötter selbst in «seiner Eigenschaft als Gericht» bezeichnet. Da ich jedoch nicht für Gymnasien zu schreiben pflege , so habe ich es natürlich als ganz überflüssig angesehen, auch noch die sich aus dieser Erklärung und den bei- gefügten Belegstellen ganz von selbst ergebende Über- setzung hinzuzufügen, welche demnach lauten würde: «Stein des Anstosses für Mars» oder «Klippe für «Mars», wobei der Dichter natürlich im Sinne hatte, dass Mars ein Mal vor dem als Gericht versammelten Verein der Zwölfgötter als Angeklagter hatte erschei- nen müssen und dass demnach eben dieser Götterver- ein für ihn zu jener Zeit ganz ebenso ein «scopulus» d. h. ein Stein des Anstosses, eine gefährliche Klippe gewesen war, wie L. Cassius für alle vor seinem Tri- bunal verhandelnden Parteien ein «scopulus» zu sein pflegte. Hingegen unterliess ich nicht, in einer für Jeden, der überhaupt ein Recht hat, über,Dinge dieser Art 6) Compte-rendu de la comm. arch. pour lann. 1872. p. 78. : 7) Metam. VI, 70 Cecropia Pallas scopulum Mavortis in arce Pingit et antiquam de terrae nomine litem. mitzusprechen, vollkommen genügenden Weise drei Stellen nachzuweisen; welche uns deutlich erken- nen lassen, wie gewóhnlich die Anwendung des Wor- tes «scopulus» in eben diesem Sinne war: zunächst die Worte des Valerius Maximus"), welche uns aus- drücklich berichten, dass man das Tribunal des L. Cas- sius allgemein als «scopulus reorum» d.h. als «Stein «des Anstosses für die vor demselben verhandelnden Par- «teien» zu bezeichnen pflegte’). Da jedoch hier nicht, wie bei Ovid, direct die richtende Person selbst, son- dern in etwas erweiterter Fassung des Gedankens das Tribunal derselben «scopulus» genannt ist, so fügte ich auch noch zwei andere Stellen hinzu, in denen die betreffenden Personen selbst, wenn auch nicht gerade als Richter, jedoch in wesentlich gleichem Sinn «scopuli» genannt sind, nämlich eine Stelle des Petronius), in welcher Pompejus mit Rücksicht auf die Rolle, welche er im Seeräuber-Krieg spielte, «scopulus pira- «tarum» d. h. «Stein des Anstosses für die Seerüuber» genannt ist, und die Worte des Florus"): «nondum «tamen ad. pacis stabilitatem profecerat Caesar, quum «scopulus et nodus et mora publicae securitatis superes- «set Antonius», welche den Antonius als Stein des An- stosses, als Schlinge und als Hinderniss für die öffent- liche Sicherheit bezeichnen ?). In Bezug hierauf also liest man in dem erwähnten Schriftstück: «Stephani fasst Mavortis scopulum nicht «etwa als Übersetzung von ‘Aperos Tayos, so dass es die «Gerichtsstätte mit Richtern, Streitenden u. s. w. be- 8) Exempl. III, 7, 9. «apud L. Cassium Praetorem , cujus tri- «bunal propter nimiam severitatem scopulus reorum dicebatur.» 9) Reus heisst bekanntlich Jeder, dessen Sache vor Gericht ver- handelt wird, sowohl der Klàger als auch der Angeklagte, mag er schliesslich verurtheilt, oder, wie Mars, freigesprochen werden. Cic.: De orat. II, 43, 183. „Reos autem appello non eos modo, qui arguuntur, «sed omnes, quorum de re disceptatur.» Festus: De verb. sign. p. 3. «ed. Müll. „Reus est, qui cum altero litem contestatam habet, sive is «egit, sive cum eo actum est.» Das Tribunal des L. Cassius war also für Alle, welche davor zu erscheinen hatten, ein Stein des Anstos- ses, oder eine gefährliche Klippe, konnte aber natürlich, wie jede Klippe des Meeres und wie namentlich auch eben das von Valerius Maximus ausführlich erzählte Beispiel beweist, von den Einen glücklich umschifft werden, während Andere daran scheiterten. 10) Poet. sat. 123, 240. : Pompejus) gemino cum consule Magnus Ille tremor Ponti, saevique repressor Hydaspis Et piratarum scopulus. 11) Epit. VI, 9. Pa 12) Ich trage hier noch die Worte nach, welche Cicero: Or. in Pis. 18, 41. in Bezug auf Piso und Gabinius gebraucht: 0 dii im- «mortales! tune etiam, atque adeo vos, geminae voragines scopurque «reipublicae, vos meam fortunam deprimitis? » d. h. Strudel und Steine des Anstosses oder Klippen für die Republik. Bulletin de l’Académie Impériale «deutete, was noch angehen könnte, sondern als Über- «setzung von 1, dy Apelo rayo BouAn, also eine doppelte «Metapher , erst den Ort für die Menschen , zweitens «die Menschen für ein Góttergericht. Gedankenlos «setzt er drei Belegstellen hinzu, in denen scopulus in «von unserer Stelle völlig verschiedener Verbindung und «Bedeutung vorkommt, nämlich Val. Max. III, 7, 9. sc. «reorum und Petron. 123, 240. sc. piratarum ist sc. «der Fels, an dem Schuldige und Räuber zerschellen, «Florus cp. 4, 9. sc. reipublicae der felsenfeste «Grund des Staates. Was von beidem soll der «scopulus wohl für Mavors sein?» Jedoch ich komme zu der von Pheidias in der Com- position, mit weleher er den Westgiebel des Parthenon schmückte, angewendeten Zusammenziehung von zwei nicht genau zusammen fallenden Zeit-Momenten, wenn- gleich hier natürlich nicht im Entferntesten davon die Rede sein kann, diese in den alten Kunstwerken in weitestem Umfang hervortretende Eigenthümlichkeit in irgendwie erschöpfender Weise zu besprechen, da die Lösung dieser Aufgabe wohl allein ein Gelehrten- Leben ziemlich auszufüllen geeignet sein dürfte. Denn es ist eben eine der überaus zahlreichen Formen, in denen die zwar als Phrase unzählige Male angerufene, in Wirklichkeit jedoch noch gar nicht verstandene «ideale Richtung» der alten Kunst zur Erscheinung gelangt und in scharf markirten Gegensatz zu der von der realistischen Richtung beherrschten moder- nen Kunst tritt, dass die zuerst genannte Kunst es auch in so fern verschmäht, die Wirklichkeit zum Muster zu nehmen, als sie sich ganz gewöhnlich er- laubt, mehr oder weniger weit aus einander liegende Zeit-Momente und, wenn auch wesentlich seltener, selbst aus einander liegende Orte in Eins zusammenzuziehen. Man begreift daher leicht, dass in der, wie wir doch hoffen dürfen, einst zu erwartenden wissenschaft- lichen Archaeologie, die natürlich ein vollstándiges Verstándniss der alten Kunstwerke, so lange nicht wenigstens die wichtigsten von der alten Kunst aner- kannten Gesetze der Formenlehre und der Syntax methodisch untersucht und festgestellt sein werden, für eben so unmöglich halten wird, wie die Philologie das Verstündniss der alten Dichter ohne eine durch- gebildete sprachliche Formenlehre und Syntax ©), die 13) Vergleiche Compte-rendu de la commiss. arch. pour l'ann. 1863. p. 15 Lehre von dem Zusammenziehen aus einander liegen- der Zeiten und Orte eine hervorragende Stelle ein- nehmen wird. Gegenwártig kann ich nur auf einen kleinen Anfang zur Behandlung dieser überaus um- fassenden Frage verweisen, den ich vor Kurzem ge- macht habe, indem ich eine einzelne Classe der Bild- werke, in denen Nike in proleptischem Sinn auftritt'^), so wie einige andere näher erörtert habe, in denen nicht nur aus einander liegende Zeiten, sondern auch Orte in ein Bild zusammengefasst sind ©). Auch wird die Verwendung der Sieges- Taenie in proleptischem ` Sinn, welcher sich zuweilen geradezu zu einem pro- phetischen verstürkt, in einem neuen Compte - rendu, welcher seiner Vollendung nahe ist, bald zu náherer Erörterung gelangen. Hier muss ich mich begnügen, vorlàufig nur einige Kunstwerke in Erinnerung zu bringen, welche der einst im Westgiebel des Parthenon vorhandenen Composition in Bezug auf den Inhalt der Handlung, deren aus einander liegende Zeit-Momente in einen zusammengezogen sind, besonders nahe stehen. Vor Allem erinnere ich also, wie schon Schulze'”) gethan hat, an die allbekannte Selinuntische Metope, welche den Moment darstellt, in dem Perseus das Schwert eben erst an die Kehle der Meduse setzt. Dennoch sieht man den kleinen Pegasos, welcher der Sage gemáss erst, nachdem der Kopf der Meduse vom Rumpfe getrennt war, aus dem letzteren hervorge- sprungen sein sollte, nicht nur bereits in voller Ge- stalt gegenwürtig, sondern sogar mit den Hinterbeinen neben seiner Mutter auf dem Erdboden stehend, wäh- rend diese seinen Vordertheil mit den Armen um- schlingt, so dass zugleich der pragmatische Zusam- menhang der einzelnen Elemente der Composition we- sentlich verdunkelt ist. Noch näher steht der Composition des Pheidias ein Vasengemülde mit rothen Figuren, welches uns Aeas in dem Moment vorführt, in welchem er seinem Leben durch Selbstmord ein Ende zu machen beschlossen hat"). Noch steht er, das Haupt schwermüthig sen- 14) Compte-rendu de la comm. arch. pour l'ann. 1873. p. 188— 227. 251. So eben hat auch G. Kieseritzky in seiner zu den besten Hoffnungen berechtigenden Promotions-Schrift: Nike in der Vasen- malerei, 1876. die proleptische Bedeutung der Nike in einer Reihe ` von Vasengemälden richtig erkannt. 15) Compte-rendu de la comm. arch. pour l'ann. 1873. p. 119. 136. Vergleighe auch meine Abhandlung: Der ausruhende Herakles p. 24. 16) Russische Revue Th. VI. 1875. p. 504. 17) Compte-rendu de la comm. arch. pour l'ann. 1861. p. 139. rM des Sciences de Saint- Pétersbourg. 114 kend, in ruhiger Haltung und hált in der einen Hand eine Lanze, in der anderen das zwar aus der Scheide gezogene, jedoch noch gar nicht zur Anwendung ge- brachte Schwert, wihrend Tekmessa noch bemüht ist, ihn durch Mun dichos Zureden von seinem Entschluss abzubringen. Dennoch. ist die Blume, welche erst nach seinem Tode aus seinem Blute entspriessen soll, bereits neben ihm vorhanden und sogar schon mit der Inschrift seines Namens ausgestattet. Sehr ähnlich verhält es sich mit der an einem schö- nen Silbergefáss der kaiserlichen Ermitage!5) ange- brachten Darstellung der Daphne - Sage, welche wir sonst von der Kunst in der Regel ebenso, wie die Aktaeon- und die Kyparissos-Sage, die Sagen von der Verwandlung der Gefáhrten des Odysseus, sowie der Seeráuber u.s. w., mit Beobachtung der Einheit der Zeit behandelt finden, indem Momente zur Darstellung gewählt sind, in welchen die Verwandlung des mensch- lichen Kórpers in andere Formen eben vor sich geht, so dass Theile von beiden Formen zu sehen sind. Jenes Silbergefáss jedoch zeigt uns Daphne vielmehr noch in vollstándig menschlicher Gestalt und deutet die be- vorstehende Verwandlung nur dadurch an, dass sowohl Apollon als auch die der Scene beiwohnende Quell- Nymphe grosse Zweige des Lorbeerbaums in den Hánden halten; weleher erst durch Verwandlung der Daphne entstehen soll 171. Amwichtigsten und merkwürdigsten aber sind die uns in so überaus grosser Zahl erhaltenen Darstellungen der Sage von dem Ringkampf des Peleus und der Thetis ??), von denen nicht wenige aus der Zeit der höchsten Blüthe der alten Kunst stammen und mit vollendeter Meister- schaft ausgeführt sind. Denn bekanntlich sollte sich 18) Ant. du Bosphore Cimm. Pl. 39. 19) Genau dasselbe findet in einem etwas verwischten Wandge- málde Statt, welches die Kyparissos-Sage darstellt (Helbig: Wand- gem. No. 219.), wenn da Kyparissos, wie es sehr wahrscheinlich ist ursprünglich einen Cypressen-Zweig in der Hand hielt. Hingegen kann in drei Wandgemálden, welche die Daphne-Sage darstellen (Helbig: Wandgemálde No. 206. 208. 209.), der beigegebene voll- stándige und áusserlich in keine Beziehung zu Daphne gesetzte dem Apoll überhaupt pp > «LR RE zwei entschieden getrennte Momente zur Anschauung, indem da die Füsse der Daphne sich eben in den allerdings bereits vollständig vorhandenen Lorbeerbaum pme 20) Compte-rendu de la c arch. pour l’ann. 1867. p. 8. 25. 29. 209. 1869. p. 181. Mit der nue noch anderer, inzwischen bekannt gewordener Bilder derselben Art will ich mich hier nicht aufhalten. Tome XXII. Thetis bei dieser Gelegenheit in verschiedene gewalt- thätige Thiere so wie in Feuer und Wasser verwandelt haben, und wenn auch der kurze dichterische Ausdruck ein paar Mal die Entstehung dieser Thiere durch Ver- wandlung nicht besonders betont, so ist doch dieser Glaube übrigens so vielfach und in so nachdrücklicher Weise bezeugt, dass man allgemein und mit vollstem Recht auch jene abgekürzten dichterischen Erwähnun- gen, so wie alle Kunstdarstellungen in eben diesem Sinn aufgefasst hat. Hieraus aber ergiebt sich auf den ersten Blick, dass von denjenigen der erwähnten Bil- der, welche die Verwandlungen überhaupt mit berück- sichtigen, nur einige wenige der ältesten Vasengemälde mit schwarzen Figuren”) die Einheit der Zeit fest- halten, indem sie den Moment des Übergangs des menschlichen Körpers der Thetis in den eines Löwen dadurch darstellen, dass man einen Löwenkopf aus einer ihrer Schultern hervorwachsen sieht. Alle übri- gen in so ausserordentlich grosser Zahl vorhandenen Bilder der in Rede stehenden Art hingegen ziehen zwei, drei und selbst noch mehrere vollkommen scharf von einander getrennte Zeit-Momente in einen zusam- men, indem sie neben dem vollständig menschlichen Körper der Thetis vollständige Löwen oder Panther, vollständige Schlangen oder Drachen und selbst beide Arten von Thieren gleichzeitig, als ob es ganz selbst- ständige und von einander völlig unabhändige Wesen wären, dem Beschauer in eine Scene zusammengefasst vorführen, obgleich diese verschiedenen Wesen in die- ser Vollständigkeit doch nur in mehreren auf einander folgenden und scharf von einander getrennten Zeit- Momenten sichtbar sein können, nachdem der Körper der Thetis eben eine dieser Formen angenommen hat. Ich denke, dies wird vorläufig zur Rechtfertigung des Pheidias genügen, wenngleich es sich von selbst versteht, dass das hier Bemerkte eben nur als ein kleiner Anfang zur Würdigung dieser besonderen Art von Prolepsis angesehen werden darf. . Ich wende mich also der Rechtfertigung der Lesart «ferum» in der berühmten Stelle Ovid's”) zu, indem 21) Siehe Hawkins: Vases gr. of the brit. Mus. Nr. 509.; Roulez: Choix de peint. de vas. Pl. 12.; Catal. del Mus. Cam- pana IV, 326 22) Metam. VI, 75. Stare deum pelagi longoque ferire tridente Aspera saxa facit medioque e vulnere saxi Exiluisse ferum. ; 115 Bulletin de l'Académie Impériale 116 ich jedoch die sich aus der Vergleichung der Kunst- werke ergebenden Beweise hier ganz unberücksichtigt lasse, und verweise vor Allem in Betreff der diploma- tischen Beglaubigung auf die verdienstvolle und allge- mein anerkannte Ausgabe von Merkel, die nicht nur die einzige ist, welche in Übereinstimmung mit den gegenwürtig von Niemandem mehr bestrittenen Ge- setzen der Kritik bearbeitet ist, sondern auch genaue Auskunft über den Werth der überhaupt zur Kritik verwendbaren Handschriften der Metamorphosen giebt. Denn eben auf dieser Grundlage hat diegenannte Aus- gabe endlich das lange Zeit hindurch von anderen unkri- tischen Ausgaben verschmähte «ferum» wieder in sein Recht eingesetzt und in den Text aufgenommen, da es nur in wenigen der spátesten und werthlosesten Hand- schriften durch eine sinnlose Conjectur ersetzt ist. Dazu kommt jedoch noch, dass wir die Lesart «ferum» mit vollkommener Sicherheit bis in das vierte Jahrhun- dert n. Chr. zurück als in den Handschriften der Me- tamorphosen vorhanden nachweisen können, da Ser- vius”), der sogenannte Lactantius?) und die Vati- eanisehen Mythographen”) nicht nur überhaupt noto- risch ihr meistes mythologisches Wissen aus Ovid ge- schópft haben, sondern namentlich auch von diesem Pferd auf gar keinem anderen Wege, als aus der in Rede stehenden Stelle Ovid's, Kenntniss erlangt ha- ben konnten. Wenn daher Probus*), obgleich er übrigens ebenfalls aus Ovid schópfte, doch das Pferd durch die allgemein bekannte Salzquelle der Volkssage ersetzt hat, so folgt natürlich für Jeden, dessen Lo- gik noch nicht vóllig Schiffbruch gelitten hat, daraus nicht im Entferntesten, dass in der von diesem Gram- matiker benutzten Handschrift statt «ferwm» ein an- deres Wort gestanden habe, sondern nur, dass er in diesem Wort einen Irrthum O vid's sah, den er, da es ihm ja gar nicht darauf ankam, anzugeben, was dieser Dichter gesagt habe, durch die ihm auf hundert an- deren Wegen zugängliche Überlieferung der Volkssage verbessern zu müssen glaubte. Man kann also nur fragen, ob etwa der nach den x 23) Congue -rendu de la comm. arch. pour l'ann. 1872. p. 72. o. 57 — 24) Compte- -rendu de la comm. arch. pour Pann. 1872. p. 72. No. 52. 25) Compte-rendu de la.comm. arch. pour lann. 1872. p. 73. No. 62 26) Compte-rendu de la comm, arch. pour Tam, 1872. p. 73. | No. 61. Gesetzen der diplomatischen Kritik allein zulässigen Lesart «ferum», nachdem von mir das ihr entgegen- stehende mythologische Bedenken, welches allein im späten Mittelalter die Conjeetur «fretum» veranlasst hat, vollständig beseitigt worden ist, doch ausserdem noch ein sprachliches Bedenken im Wege stehe, und ob, wenn dies wirklich der Fall sein sollte, es über- haupt für möglich gehalten werden könnte, dass jene Conjectur der spätesten Abschreiber das treffe, was Ovid geschrieben hatte. Zur Beantwortung der ersteren Frage würde es viel- leicht ausreichen, daraufhi eisen, dass bisher über- haupt Niemand ein sprachliches Bedenken gegen «ferum» gehabt hatte, und dass wir sogar die Äusse- rung Bentley's”), jenes Heros philologischer Kritik, von dem man zu behaupten pflegt, dass er einige Kenntniss vom Sprachgebrauch der römischen Dichter gehabt habe, besitzen: «Quippe alia plane fabulae «hujus RER apud Romanos praesertim, invaluit, «non fontem scilicet, sed equum prosiluisse, cum Nep- «tunus terram percuteret; unde Ovidius: Met. VI, 75. « Stare deum pelagi longoque ferire tridente «Aspera saxa facit medioque e vulnere saxi « Exsiluisse ferum». Denn in der That entsteht schon hierdurch der Ver- dacht, dass das erst jetzt so plótzlich aufgetauchte sprachliche Bedenken nur zu dem Zweck erfunden worden sei, um die von der Scholastik erlittene Nie- derlage in ein etwas milderes Licht zu versetzen. Al- lein ich will um der guten Sache willen selbst hier ein Übriges thun und erinnere daher zunüchst daran, dass Cicero?) däs Pferd im Allgemeinen, nicht etwa nur das im strengsten Sinn wilde, zum Verkehr mit dem Menschen gar nicht geeignete Pferd”), zu den «ferae» rechnet, und dass Horaz?) und Prudentius?) dem 27) Horat.: Od. I, 7 28) De offic. I, 16, 50. pose ulla re longius absumus a natura « ferarum, in quibus inesse fortitudinem saepe dicimus, ut in equis, «in leonibus ; justitiam, —€ bonitatem non dicimus; sunt enim «rationis et orationis expertes.) 29) Plin.: Hist. nat. XXVII, 159. «De equiferis non scripserunt « Graeci, quoniam terrae illae «nia eadem quam in equis intellegi debent.» Plin.: Hist. nat. VIII, 39. « panis fert et equorum greges ferorum, sicut asinorum Asia « Africa.» 30) Sat. I, 5, ss Ab his majoribus ort m venere; Austen ënger: equi te Ess qe Pen 31) Peristeph. XI, 87. P d Se, n7 des Sciences de Saint - Pétersbourg. us Pferd in demselben Sinn das Beiwort: «ferus» geben. | Ferner ist in Erinnerung zu bringen, dass die rú- mischen Dichter gewisse Thiere, denen sie einen grós- seren oder geringeren Grad von «feritas» zuschreiben wollten und bei deren Nennung man in überwiegender Weise das männliche Geschlecht zu berücksichtigen pflegte, auch substantivisch «feri» nannten, z. B. den | Löwen ?), den Eber ®), die Schlange**), den Hirsch *), ja Ovid?) selbst die Rinderherde des Geryon, und dass zu diesen Thieren vor allen anderen das Pferd gehórte, wie uns ausser Ovid auch Virgil”), Petro- nius *), Ausonius *), Prudentius #) und Arno- bius) lehren. Ergo sit Hippolytus , quatiat turbetque jugales Intereatque ye dilaceratus equis. 32) Phaedrus: Fab. I std ut vidit ferum - Impune laedi, pe frontem extudit. 33) Phaedrus: Fab. IV, 4 Hinc orta lis est. Sonipes iratus fero Ait petiit e quem dorso levans ad hostem. ien VI, 267. mitata cohors certatim spicula dex dex peperit alternasque ferum diducit in > Donec murali ballista coercuit ictu. 35) Virg.: Aen, VII, 487. suetum imperiis soror omni ege cura Molins intexens ornabat corn atque Pia puroque in Fonte lavabat. Tab L1 Redit 34) Sil. doch? Pecte Phaedrus: ug tum excepit adag In qua retentis inpeditus corn Lacerari coepit morsibus saevis canum. 36) Fast. I, 550. Traxerat aversos Cacus in antra feros. ` Tine Preller: Griech. Myth. Th. II. p. 202— -216. 37) , 50 Sic fatus, validis ingentem vi viribus hasta In latus, inque feri curvam conpagibus shop Contorsit. Aen. V, 817. Jungit equos auro genitor spumantiaque addit Frena feris manibusque omnis effundit habenas. Aen. XI, 571. Armentalis equae mammis et lacte ferino utribat. Ovid: Fast. III, 53. nennt 2e Milch der Wólfin «lac ferinum ». 38) Satyr. 89, 12. hoc titulus fer Intus, haec ad fata compositus Sinon Firmabat et mendacium in damnum potens. 39) Epist. ter 16. Hoc tam mite jugum docili cervice subirent posue equi stabuloque feri Diomedis abacti, Et qui mutatis ignoti Solis habenis a Pado mersere jugales. Th. IL p Weiteres über diese Rosse siehe bei Preller: Griech. Myth. | . 2 Endlich wird es nicht überflüssig sein, darauf hin- zuweisen, dass die lateinischen Dichter ganz gewóhn- lich nicht nur andere Halbthiere, sondern namentlich auch Cheiron *) und die übrigen Kentauren *) bald in substantivischer bald in adjectivischer Bedeutung «se- «miferi» zu nennen pflegten. ` Natürlich kann die Berechtigung der an den einzel- nen eben angeführten Stellen in den Text der aner- kannt besten Ausgaben aufgenommenen Lesarten hier nicht nüher beleuchtet werden und dies würde auch um so überflüssiger sein, da auf jeden Fall so viel ausser Zweifel steht, dass dabei nicht etwa eine Vor- liebe für meineWiederherstellung der Parthenon-Sculp- turen mit im Spiel gewesen sein kann. Worin aber soll nun wohl diesen Zeugnissen gegenüber das sprach- liche Bedenken bestehen, welches der Lesart «ferum» an der in Rede stehenden Stelle Ovid's im Wege stehen kónnte? Doch nicht etwa darin, dass der rein substantivische Gebrauch des Wortes «ferus» in Be- zug auf verschiedene Thiere und namentlich auch auf das Pferd nicht hinreichend bezeugt sei? In der Stelle des Arnobius ist ganz eben so, wie bei Ovid, vorher E AS — satis instruxere paratu Martyri paenam age vincla, feros, en subitis clamoribus at Iliaque infestis perfodiunt sinl, 41) Adv. gent. TY, 26. «Numquid senex Saturnus jam dudum «obsitus canis atque annorum vetustate jam frigidus nostris carmi- «nibus indicatur ab uzxore in adulterio comprehensus induisse «feri et sub pecoris specie hinnitibus evolavisse jactatis?» Auch mé "wird der fragliche Ausdruck wohl aus den Gedichten entlehnt se deren Arnobius gedenkt, Über das hier in Rede stehende Pferd siehe Apoll. Rhod.: Argon. II, 1231—1241. nebst dem Schol., Hygin: Fab. 138. und Phylarg. ad Virg.: Georg. III, 93. 42) Ovid: Metam. II, 633. Semifer interea, divinae stirpis alumno aetus mixtoque oneri gaudebat honore. Claudian: De III. consul. imc 60. non ocius hausit Achilles Semiferi praecepta senis seu cuspidis artes. 43) Ovid: Metam. XII, 405 Abstulit Hylonome, qua nulla decentior inter Semiferos ut E femina siwis Seneca: poc Oet. 9 ö Nesse filas atque semiferi doli! Seneca: tiet Oet. 1 Cruore te pe palla semiferi, ee Ne u. nunc has exigit poenas sibi Stat.: Theb. IX, 22 Semifer aeria p Centaurus ab Ossa Desilit in valles, ipsum nemora alta tremiscunt, Campus equum. ; ; Lucan: Pharsal. VI, 3 Illic semi 01. 40) Peristoph. XI, 105. ifero os Ixionidas Centa Foeta Pethroniis nubes qi à in Réide 8* 119 : Bulletin de l'Académie Empériale mit keiner Sylbe von einem Pferd, auf welches «ferus» als Adjectiv zurückbezogen werden kónnte, die Rede gewesen. In der Stelle der Ausonius, welche von den Pferden des Diomedes spricht, so wie in den Wor- ten Ovid's, welche sich auf die Rinder des Geryon be- ziehen, ist die rein substantivische Bedeutung von « fe- «rus» dadurch vollkommen sicher gestellt, dass ihm je ein Participium subordinirt ist; in der einen Stelle des Prudentius dadurch, dass «ferus» anderen, aus- schliesslich substantivisch gebrauchten Worten coor- dinirt ist; in den meisten der angeführten Stellen endlich auch dadurch, dass die vorhergehende nähere Bezeich- nung des Thieres, von welchem die Rede ist, durch so viele andere Substantiva und selbst ganze Sátze von dem Wort «ferus» getrennt ist, dass eine grammatische Beziehung desselben als Adjectiv zu jenem Substantiv . gar nicht müglich ist. Oder soll etwa die Schwierigkeit darin liegen, dass, da das Substantiv «ferus» nicht nur zur Bezeichnung des Pferds, sondern auch vieler anderen Thiere ge- braucht wurde, Ovid dem Leser nicht deutlich genug ausgesprochen habe, was er gerade hier zu denken habe? Kennt denn nicht jeder Schulknabe, um von der Stelle des Arnobius zu schweigen, Dutzende von vollkom- men entsprechenden Redewendungen der Dichter und namentlich auch die Worte, mit denen O vid selbst die dritte Elegie des vierten Buchs der Tristien beginnt: Magna minorque ferae, quarum regis altera Grajas, Altera Sidonias, utraque sicca, rates! ohne den Leser auch nur nachtrüglich irgendwie dar- über aufzukláren, dass die «ferae», von denen er spricht, gerade dem Bärengeschlecht angehören? Ja, hier mu- thet der Dichter dem Leser sogar noch mehr zu, als an der in Rede stehenden Stelle durch das einfache «ferum». Denn wenn er auch da die Form «ferae», nicht «feri», nicht nur des Metrum's wegen, sondern auch darum angewendet haben mag, weil es sich um weibliche Báren handelt, so kann doch der Leser dies aus seinem Ausdruck nicht ersehen, da auch jedes männliche Wild «fera» genannt wurde. Ausserdem aber verlieh die alte Astronomie bekanntlich dem Himmels- gewülbe ausser der grossen und der kleinen Bárin auch ein grosses und ein kleines Pferd, so wie einen gros- sen und einen kleinen Hund, während die alte Mytho- logie ausser dem Pferd kein zweites Thier kannte, | druck xõpa Ness in den a welches Poseidon durch einen Schlag seines Dreizacks einem Felsen entlockt haben sollte. Übrigens verhàlt es sich mit hundert anderen Ad- jectiven ganz eben so, wie mit «ferus», ohne dass ir- gend Jemand den geringsten Anstoss daran genommen hätte. Allein eben darin besteht einer der Grundfehler der W elcker-Jahn'schen Methode, dass sie nie wirklich objectiv, sondern stets mehr oder weniger tendenziós zu Werke geht, indem sie sich, von Rücksichten verschie- dener Art geleitet, im Voraus ein Ziel festsetzt, wel- ches sie selbst dadurch zu erreichen sucht, dass sie dieselben Gesetze, die sie selbst sonst als vollgültig anzuerkennen pflegt, je nach Bedürfniss auch wieder als ungültig oder doch unsicher darzustellen sich be- üht. Somit bleibt nur noch übrig, auch zu zeigen, dass, selbst wenn gegen «ferum» an der in Rede stehenden Stelle Ovid's irgend ein Bedenken erhoben werden kónnte, wenigstens die mittelalterliche Conjectur « fre- «tum» völlig sinnlos sein würde und niemals das treffen kónnte, was Ovid geschrieben hatte. Hierbei aber muss ich vor Allem mein lebhaftes Bedauern darüber aussprechen, dass selbst mein verehrter Lehrer M. Haupt sich zu dem Glauben hat verleiten lassen, jene Conjectur in seiner Schulausgabe der Meta- morphosen dadurch rechtfertigen zu kónnen, dass die Griechen die Salzquelle auf der Akropolis in Athen auch SaAacca zu nennen pflegten ^). Denn diese Be- E | nennung war doch, wie auch schon von Ross 55) ganz richtig hervorgehoben worden ist, nur dadurch móg- lich, dass SaXacca nicht nur das Meer, sondern ganz gewühnlich auch das Meerwasser oder Salzwasser be- deutete “). 44) Siehe Compte-rendu de la comm. arch. pour l'ann. 1872. p. 64. No. 1. p. 65. No. 7. p. 67. No. 25. Der Ausdruck 08«p Jalas- otov bezeichnet die Quelle in der im Compte - rendu de la comm. arch. pour l'ann. 1872. p. 66. ld 12. d Stelle; der Aus- 4. No. 4. und p. 66. 6. No. 14. nachgewiesenen Stellen, und das coito Wort s geg in den Erwáh- nungen der Alten, welche a. a. O. p. 67. No. 18. 19. 20. 23. 24. und p. 131. Note 1. zusammengestellt sind. 45) Archaeol. Aufs. Th. 46) Eurip.: Iphig. Te) 1191. I. &yvotc xadapyots para yty "ider KOR e. Aya VO Ty 7 Jahacota 8pó09; I. $4Aa0ca xAofet tavta DEEN XARA. mern Tzetzes ad Lycophr. 135. Polyb.: Hist. XVI, 5, 4. &v $ xata Ocopthioxo:, Bonsnoas pera MID ho Head T^» pé» vady oO Adv osoa, OL To ninoy Ja- MATTNG eiva des Sciences de Saint - Pétersbourg. In derselben Bedeutung gebrauchten bekanntlich die Römer das Wort «mare» *'), niemals aber, so weit wir sehen kónnen, das Wort «fretum» oder «fretus». Ja esist geradezu unglaublich, dass auch dieses Wort jemals jene Bedeutung habe annehmen können. Denn seine Grundbedeutung ist bekanntlich die «der Meerenge», die sich dann auch in die «des Meeres» erweiterte, und allen metaphorischen Anwendungen von «frétum» oder «fretus» liegt entweder der eine oder der andere Begriff zu Grunde, indem man dabei entweder von der weiten Ausdehnung des Meeres*), oder von der Vorstellung des durch eine Meerenge vermittelten Übergangs aus einem Meer in das andere ausging und das Wort auf den Übergang aus einem Lebensalter, aus einer Zeit, aus einem Zustand in den anderen übertrug “). Wenn aber die Griechen die Quelle der Akropolis zuweilen auch als x3p« bezeichneten, so betonten sie dadureh nur die Bewegung, das Fliessen ihres Was- The : De caus. plant. VI, 7, 6. xa droxaSioracÿat Ta: abe ib sde: oravias di sal polos Stay 7 SaAattoS 1, 7 émi tfj; rou d oTQoU EAM TAPAXYNON. Theophr, Fragm. 17 1. ed. Wimm. SECH OOE 6 ëeioe xal ‚Erep para, púas: p. Dën SCH are xà xal ën. Sahara | SExopEva xat avapvoðvta mpóg THY 1pelon, gu AUPITEP& Too Try TOU KA QUE Hen, Athen. I, 31, F. mept ds KA 109 dySocuíou otvou oxevacías Da- vías O "Epéctóc pot rade: ena rapayeirar émi LOS TEVTNXOVTE eig Sahacons, xat yivetar aySocu At . I, 32, D. ot 9” EH ‘reSahatrwuévor olvor axpaire- Aot té elot xal xo Auouatv. n. I, 82, E. Denge de xai ô Kog (oívos) tedaAdrrurat. xo o “Podros ai Udtrovos pes XEXOLVOVNXE Salaconc, ó ó de aide auto aypeios dor: : Athen. 1,121, D. 59 pos yivetat. Hesych.: Alyatoıs 3aAaccóv meprayvifouarv ER xa dato). ex. Bee ENópLEv e Tapıyog YAUXUTE- Plin.: n aliis autem gentibus simili modo «factum» (vinum) « rel vocant, thalasiten autem vasis «musti dejectis in mare» r.: Sat. II, 8,1 a vina A Alcon Chium maris Art Dazu bemerkt der Scholiast: «id est sine aqua m Plin.: Hist. nat. XIV, 73. «Nune gratia nio omnia est Clazo- «mento, postquam din mari condiunt. Lesbium sponte naturae «suae mare sapit. » Plin.: Hist. nat. XIV, 75. «nam Mesogiten capitis dolores ps «conpertum est nec Ephesium salubre esse, quoniam mari et defrut «condiatur ». Plin.: Hist. nat. XIV, 120. cederet argilla aut marmore aut «sole aut mari lenitatem » (vini) « ex Hist. t XXXI, 68. (enen et en vocant thalas- «someli aequis port p Ennius bei "Non. 205, 29. 49) Cic.: Verr. II, 5, 66, 169. Lucret.: De e IV, 1027. VI, 364. Florus: Epit. T, 26. Gellius: Noct. Att. X, 3 sers, was wiederum im Lateinischen nicht durch «fre- ` «tum», sondern nur durch «unda» hätte wiedergegeben werden können. Hätte also Ovid wirklich «fretum» ge- schrieben, so würde er damit nur haben sagen kón- nen, dass Athena in ihrem Gewebe Poseidon dar- gestellt hatte, wie er durch einen Schlag seines Drei- zacks bewirkte, dass eine Meerenge oder ein Meer aus einer Felsspalte hervorsprang, was doch wohl nicht ganz wahrscheinlich sein dürfte. Die Lesart «ferum» also hat an der in Rede ste- henden Stelle Ovid’s die vollständigste Gewissheit für sich, welche überhaupt einem Wort eines alten Schrift- stellers zukommen kann, und dieselbe unbedingte Ge- wissheit wird durch das Zusammentreffen dieser Lesart mit dem, was uns die erhaltenen Fragmente von den Sculpturen des Westgiebels des Parthenon, die Zeich- nungen Carrey's und das von mir veróffentlichte Va- sengemälde lehren, auch dem in diesem Giebel ehe- mals dem Poseidon beigegebenen Pferde zu Theil. Dem Sturmlaufe der aus süsser Selbstzufriedenheit aufgestórten Gegner aber wird auch dieses Pferd den- selben ruhigen Widerstand entgegenzusetzen wissen, durch welchen der von mir vor 34 Jahren entdeckte Ölbaum den Bannstrahl Herrn Welcker's bereits überwunden hat. Es wird sich ja Niemand darüber wundern, dass sich die, welche sich seit so langen Jahren vergeblich um die Lósung einer Frage ersten Rangs bemüht ha- ben, wenn ihnen gezeigt wird, dass alle dazu nóthigen Hülfsmittel fast seit einem Jahrhundert vorhanden waren und dass nur ihre eigene, von ihnen selbst so oft und so laut als Stein der Weisen angepriesene Me- thode die Lósung verhindert hat, nicht besonders hier- über freuen. Allein anderer Seits scheint mir doch auch, dass sie, wenn sie der nun gewonnenen Lósung gar noch künstliche, in Wirklichkeit gar nicht vorhan- dene Schwierigkeiten in den Weg zu legen suchen, dadurch ihre Stellung in den Augen der unparteiischen Nachwelt nicht eben verbessern werden. In dieser Weise aufgewirbelter Staub pflegt keine dauerhafte ? | Deckung zu gewähren. Bisher hat noch immer schliess- lich die Wahrheit den Sieg davon getragen. | Bulletin de l'Académie Imperiale 124 Indische Erzáhlungen. Von A. Schiefner. (Lu le 27 avril 1876.) IV Der stumme Krippel. Benfey hat in seiner leider ohne Fortsetzung blei- benden Zeitschrift Orient und Occident, imdritten Jahr- gang auf Seite177, als nächste Grundlage der «sieben weisen Meister» die zuerst von Burnouf, Introduc- tion à l'histoire du Buddhisme indien S. 406 aus dem Avadána-cataka mitgetheilte Erzáhlung vom Prinzen Kunála angesehen und besonderes Gewicht darauf ge- legt, dass die Stiefmutter Tishjarakshità sich die Gunst auserbeten hatte, sieben Tage lang die Herrschaft ausüben zu dürfen. Es dürfte jedoch von Interesse sein, ebenfalls aus buddhistischer Quelle, aus dem sechsten Bande des Kandjur Blatt 89— 99, eine Er- zühlung zu vergleichen, die zwar nichts von den sie- ben Tagen und den sieben weisen Meistern darbietet, allein auf eine weit einfachere Weise das Schweigen des Prinzen motivirt. _ In längst vergangener Zeit lebte in der Stadt Várá- nasi der Kónig Brahmadatta. Seine Gattin hiess Brah- mavati und denselben Namen trug auch ein Teich. Der Kónig war aber kinderlos und sehnte sich nach einem Sohne. Deshalb flehte er zu den Góttern der verschiedensten Art. Endlich wird sein Flehen erhört und es bezieht aus der Hólle ausscheidend ein Wesen von festem Entschlusse den Mutterleib der Kónigin. Auf ihren Wunsch lüsst der Kónig an allen Thoren der Stadt Gaben spenden; ferner musste er mit ihr in den Büsserwald ziehen, drittens mit ihr ein Schiff be- steigen, das in dem obengenannten Teiche auf ihren Wunsch erbaut war. Dort gebarsie einen schónen Kna- ben, der mit Erinnerung an seine früheren Existenzen begabt war. Weil er auf dem Wasser geboren war, wurde ihm der Name Dshaladsha D (Wassergeboren) gegeben. Als er unter der Pflege der Ammen und Wärterinnen - schnell heranwuchs, [9 bedachte er, dass, wenn er in die Herrschaft eingesetzt würde, dies nicht gutwáre, weil er durch eine sechszigjährige Herrschaft, welche er frü- her ausgeübt hatte, in der Hólle wiedergeboren war und nun Gefahr laufe, wiederum in die Hölle zu gera- then. Er beschloss also sich durch eine List der Herr- 1) E schaft zu entziehen, und stellte sich als Krüppel. Als die mit ihm gleichzeitig geborenen 500 Ministersóhne, die seine Gespielen waren, Sprung- und Laufübungen vornahmen, bedachte Kónig Brahmadatta, dass sein Sohn, wenn er kein Krüppel wáre, an denselben Theil nehmen kónnte. Dennoch beschloss er, obwohl er ein Krüppel war, ihn in die Herrschaft einzusetzen. Als der Prinz Dshaladsha dies hórte, fand er es von sei- nem Vater sehr unfreundlich, dass er ihn so schádige [91*] und beschloss sich stumm zu stellen. Da wurde er allgemein der stumme Krüppel genannt. Der Vater gerieth, als er die 500 Ministersöhne sprechen hörte, sein Sohn aber stumm blieb, in grosse Sorge. Als die Minister ihn so in Sorgen sahen, erklärte er ihnen, dass es die Stummheit seines Sohnes sei, die ihn be- unruhige. Die Minister befragten den Arzt und dieser erklärte, dass der Prinz völlig gesund sei und durch- aus kein Leiden habe, dass man durch Drohung auf ihn wirken müsse. Der König Brahmadatta liess die Henker herbeirufen und gab ihnen im Geheimen die Weisung, den Prinzen, obwohl er ihnen denselben in Gegenwart einer grossen Menschenmenge überliefern würde, dennoch nicht zu tödten. Dem Befehl des Kö- nies gemäss setzten die Henker den Prinzen auf den Wagen und führten ihn zur Stadt hinaus. Als der. Prinz [92] den Reichthum und die Ausdehnung Várá- nasi’s gesehen hatte, fragte er: «Ist diese Stadt Várá- nasi leer oder ist. sie bewohnt?» Die Henker führten den Prinzen zum Vater zurück und meldeten ihm die von ihm ausgesprochenen Worte. Kónig Brahmadatta schloss den Sohn in seine Arme und fragte ihn: «O Jüngling, wen soll man tódten? Wen soll man tódten lassen? Wem soll das Leben genommen werden? Wem soll man eine Gabe und welche verleihen?» Auf diese Fragen gab der Sohn keine Antwort und verharrte in der Stummheit. Der König Brahmadatta sprach wie- derum zu den Henkern: «Ich überliefere euch diesen . Prinzen, ihr aber führet ihn fort!» Die Henker setzten ihn, dem Befehl des Kónigs gemáss, wiederum auf den Wagen und führten ihn zur Stadt hinaus. Der Prinz sah vier Männer einen Leichnam tragen und fragte: «Ist dieser Leichnam der Leichnam eines Todten oder eines Lebenden?» Wiederum führten die Henker den Prinzen zum Vater zurück und meldeten die von ihm gesprochenen Worte. Der Kónig Brahmadatta schloss den Sohn in seine Arme und fragte wie früher, allein 125 des Sciences de Saint-Pétersbourg. wiederum antwortete der Sohn nicht und verharrte bei seinem Schweigen. Abermals hiess der Kónig die Henker den Prinzen abführen. Als sie ihn auf den Wa- gen gesetzt und ihn zur Stadt hinausgeführt hatten, erblickte der Prinz einen grossen Getreidehaufen, und sagte: «Würde dieser Getreidehaufen nicht von Anfang an in seiner Grundlage verzehrt werden, so würde er gross werden.» Abermals führten die Henker den Prin- zen zum Kónige zurück und meldeten die von ihm ge- sprochenen Worte. [92*] Der König wiederholte noch- mals die früheren Fragen, welche der Sohn jedoch un- beantwortet liess. Da sprach der Kónig Brahmadatta zu den Henkern: «Ich überliefere euch den Prinzen; gehet, stecket ihn im Walde in eine Grube.» Dem Befehle des Königs gemäss, setzten die Henker den Prinzen auf den Wagen, führten ihn in den Wald und machten sich daran eine Grube zu graben. Da sprach der Prinz folgenden Cloka: «Weshalb, Wagenführer du, gräbst mit Vorbedacht die Grube? Weshalb grabt die Grube ihr? Gebt Antwort auf die Frage, rasch!» Der Wagenführer antwortete: «Weil des Königs Sohn nicht spricht, stumm und krüppelhaft geboren, soll derselbe rasch im Walde in die Grube, auf Befehl!» Da erschrack der Prinz bei dem Gedanken, dass die grausamen, rothhändigen, an’s Schlagen und Todt- schlagen gewöhnten, Leben vernichtenden Henker, welehe durch die Hinrichtungen Schrecken zufügen, nun auch an seine Tödtung gehen würden und sagte: «Wenn der König mir Gewährung eines Wunsches zu- sagt, werde ich sowohl zu Fuss in die Stadt gehen, als auch sprechen.» Die Henker begaben sich zum König . und meldeten alles ausführlich. Der Kónig sprach: «Wenn der Prinz die Herrschaft will, werde ich ihm auch diese abtreten.» Erfreut befahl er den Ministern die Stadt schleunigst von den Steinen zu reinigen und Räucherwerk, [93] duftende Pulver, Fahnen, Standar- ten und Blumen verschiedener Art herbeizuschaffen. Die Minister vollführten den Befehl des Kónigs und viele hunderttausende von Menschen strómten zusam- men um den Einzug des Prinzen zu sehen und ihn sprechen zu hóren. Der Prinz ging zu Fuss in die Stadt und als er zum Kónig gelangt war, bezeigte er ihm seine Verehrung und sprach in Qloka’s: Nicht bin ich stumm, nicht Krüppel, nicht bin ich dumm, nicht sinnlos, vermag’s mit klaren Worten wohl zu sprechen, Männerfürst. Nicht bin ich stumm, nicht Krüppel, nicht bin ich dumm, nicht sinnlos, unversehrt ist mir der Sinn, klar und hell, o Männerfürst.» Auf die Frage des Königs, weshalb er nicht gesprochen und weshalb er nicht gegangen sei, antwortete er: «O König, höre mich an. In einem früherem Leben habe ich 60 Jahre als König geherrscht und dann 60 tau- send Jahre in der Hölle unendliche Qualen gelitten; dieser schrecklichen Qualen eingedenk, wünsche ich nicht wiederum zu herrschen und deshalb bitte ich, o Vater, mir zu gestatten, dass ich der Welt entsage!» Der Vater entgegnete: «O Sohn, es ist doch der Herr- schaft wegen, dass die Rshis sich Büssungen unter- werfen und Opfer darbringen. Weshalb willst du, o Sohn, dasjenige, was du in der Hand hast, aufgeben und der Welt entsagen?» Der Prinz entgegnete, dass er nicht in der Lust, die Kampf und Zwietracht her- vorrufe, leben wolle und das Büsserleben vorziehe; je- nes ähnele der Kimpáka- Frucht, dieses habe den Amrta-Geschmack. Der König bemerkte, dass das Kö- nigthum den Genuss jeglichen Gutes gewähre und fragte ihn, weshalb er, die Herrschaft aufgebend, das Büsser- leben ergreifen wolle. Der Sohn entgegnete, man müsse das für wahre Lust erachten, woraus Schmerz hervorgehe und ebenso den Schmerz, aus dem Lust hervorgehe. Der Vater solle ihm gestatten in den Büs- serwald zu ziehen. Der König führte ihm sämmtliche Bequemlichkeiten des Lebens im Palaste mit dem Räucherwerke, denduftenden Pulvern und Blumen, dem Ruhen auf weichem Lager, ohne alle Gefahren, das Erwachen unter den Tönen der Musik, die geschmeidige Kleidung, die wohlschmeckenden Speisen und Getränke vor und dagegen das Büsserleben im Walde, das Ru* hen unter einem Baume auf ausgebreitetem Laub mit allen Gefahren sammt den wilden Gazellen und das Er- wachen bei dem Geheul des Schakals, die Kleidung mit Baumrinde, die Ernährung mit Wurzeln und Früch- ten und das warme, getrübte Wasser. Der Sohn ent- gegnete: Im Walde mit der Kleidung aus Baumrinde, mit der Nahrung von Wurzeln und Früchten, mit dem Zusammenwohnen mit wilden Gazellen zu leben, sei besser; der Weise ziehe dies der mit Gefahr für das jenseitige Leben verbundenen Herrschaft vor, welcher Tödten, Binden und Schlagen eigenthümlich sei; des- halb solle der Vater es ihm gestatten, in den Büsser- wald zu ziehen. Der König sagte: «O Sohn, löse mir noch diese drei Zweifel; dann magst du der Welt ent- 127 Bulletin de l'Académie Impériale sagen. Als du den Reichthum und die Ausdehnung. der Stadt Váránasi sahst, fragtest du: Ist Váránasi leer oder ist die Stadt bewohnt? Aus welchem Grunde hast du diesgesagt?»— Höre, o König, weshalb? Des- halb habeich es gesagt, weil, als du mich ohne Ursache | zum Tode verurtheilt hattest, keiner es gewagt hat die gerechte Frage zu thun, weshalb dies geschehe.— «O Sohn, du hattest nicht Unrecht. Als du einen Leich- nam tragen sahst, fragtest du, ob es der Leichnam eines Todten oder eines Lebenden sei. Aus welchem Grunde hast du dies gesagt?» — Hóre, o Kónig, wes- halb: Ich habe es deshalb gesagt, weil der Leichnam dessen, der eine Missethat begangen hat, der Leich- nam eines Todten ist, der Leichnam aber dessen, der eine gute That vollführt hat, der Leichnam eines Le- benden. — «O Sohn, du hattest nicht unrecht. Als du den Getreidehaufen erblicktest, sagtest du: Wenn die- ser Getreidehaufen nicht von Anfang an von der Grund- lage verzehrt würde, würde er gross werden; weshalb hast du dies gesagt?»— Hóre, o Kónig, weshalb! Des- halb habe ich es gesagt, weil die Ackerleute, nachdem sie Getreide geliehen, und dasselbe verzehrt haben, nach der Feldarbeit, [24] sobald das Getreide gereift ist, einen grossen Getreidehaufen den Gláubigern ge- ben müssen, deshalb verzehren sie ihn von der Grund- lage aus. Ebenso wenn der Mensch auf den Weg der zehn Tugendwerke gelangt ist, denselben nicht weiter betritt, wird die Wurzel seiner früheren Tugend zer- schnitten und ist diese zerschnitten, so gerüth er von dem Pfade der Seligkeit in's Verderben. Aus diesem Grunde habe ich so gesprochen. Als der Kónig diese “Worte seines Sohnes vernommen hatte, erfasste er mit thränenden Augen seinen Sohn, hiess ihn nicht allein seinem Wunsche gemäss handeln, sondern veranlasste auch seine Altersgenossen mit ihm in den Wald zu ziehen. Dort erhielt er, den man bisher den stummen Krüppel genannt hatte, den Namen des stummen Leh- rers. Als der Rshi, bei dem er sein Gelübde abgelegt hatte, gestorben war, tritt er in seine Rechte ein und versteht es so einzurichten, dass seine Schüler, welche eine zugrosse Anzahl von Matten, Gewändern und Ge- räthschaften haben, endlich seinem Beispiele folgend, es sich an dem Nothwendigsten genügen lassen. E Der Schakal als Verláumder. Benfey hat in den Nachtrágen zum ersten Theil deiner Pantschatantra-Übersetzung S. 528 fol. bereits auf die im Siddhi-kür befindliche Erzáhlung von dem Schakal, der den Lówen und den Stier entzweit und beide in's Verderben stürzt, aufmerksam gemacht. Es liegt diese Erzühlung jetzt in B. Jülg's Mongoli- scher Márchen-Sammlung. Jnnsbruck 1868 S. 171— 176 als 20ste Erzáhlung vor. Um so interessanter dürfte es nun auch sein, die in Kandjur B. VI Blatt 239 — 241 befindliche tibetische Übersetzung, die offenbar eine áltere Recension darbietet, zu vergleichen. Eben- daselbst B. VI, Blatt 241—243 befindet sich auch die von Benfey a. a. O. 8. 529 aus dem Werke von Stanislas Julien Les Avadánas T. I, p. 109—114 angeführte Nebenform, die ich ebenfalls hier mit- theile. 4 In längstvergangener Zeit lebte in einem Walde eine trächtige Löwin. [82%] Nun ist es die Art der Löwinnen, dass sie zu der Zeit, wo sie werfen sollen, . Fleischvorráthe ansammeln. Die Lówin, welche einer Rinderheerde folgte, traf eine Kuh, welche gekalbt hatte und ihr Kalb hütend der Heerde nachging. Sie tódtete die Kuh und schleppte dieselbe auf ihr Lager. Das Kalb, welches an der Mutterbrust saugen wollte, folgte ihr nach. Die Lówin wollte anfangs auch das Kalb tódten , bedachte sich aber, da das Kalb ihrem Jungen, sobald sie es geworfen haben würde, ein Ge- spiele sein werde. Sie warf ein mánnliches Junge und sáugte dieses sammt dem Kalbe. Als beide herange- wachsen waren, erkrankte die Lówin und sprach vor ihrem Tode also: «O Kinder, da ihr beide dieselbe Brust gesogen habet, seid ihr Brüder; die Welt ist voll von bösen Verläumdern; hütet euch, wenn ich gestorben sein werde, solchen euer Ohr zu leihen.» Der Lówe, der sich an dem trefflichen Fleisch der Gazellen, die er erlegte, nührte und ihr Blut in Fülle trank, wurde gross und ebenso der Stier, welcher das treffliche, vom Lówen geschützte Gras frass und das. reine Wasser genoss. [240] Dem Löwen, als Könige der Thiere, folgte ein alter, sehr gieriger, die Ueberbleib- sel verzehrender Schakal nach. Wenn der Lówe treff- liche Gazellen getódtet, ihr treffliches Fleisch verzehrt ee | 130 und ihr treffliches Blut geschlürft haste und furchtlos hin ist mein Gras- Löwe gegangen! da seine Mutter dasass, wagte es keines der andern kleineren Thiere | meine Mutter getódtet hat, werde ich seinen Bauch auf- ihm zu nahen; nur der alte Schakal kam dann heran, ` schlitzen.»» Der Lówe sagte: «O Oheim, zu uns beiden um die Überbleibsel des trefflichen Fleisches und | hat die Mutter, ehe sie starb, also gesprochen: ««Da Bluts zu geniessen, wodurch sein Fell, sein Fleisch | ihr beide dieselbe Brust gesogen habet, seid ihr Brü- des Sciences de Saint- Pétersbourg. und sein Blut gediehen. Als der Löwe ein anderes Mal das treffliche Fleisch der Gazellen verzehrt und | das treffliche Blut geschlürft hatte, begab er sich eiligst nach seinem Lager, woselbst er mit dem Stiere spielte; unterdessen aber verzehrten die kleineren Thiere die Überbleibsel. Der Schakal dachte: Ich will zuerst nachsehen, wohin der Lówe gegangen ist. Als er ihm nachgegangen war, sah er, wie er mit dem Stier spielte und meinte, dass dieser Stier der Wider- sacher seines Magens sei und er deshalb jene beide entzweien müsse. Mit hängenden Ohren trat er vor den Stier. Der Stier fragte: «Oheim, hat sich etwa heisser Wind erhoben?» — Der Schakal entgeg- nete: «O Neffe, ein sehr glühender Wind hat sich erhoben.» — Was ist denn geschehen? — «Der Lówe hat gefragt: ««Wohin ist denn der zu meinem Fleischvorrath gehórige Stier hingegangen? ` Wenn ich kein anderes Fleisch finde, dann werde ich diesen Stier verzehren.»» — Der Stier entgegnete: «O Oheim, uns beiden hat die Mutter, als sie starb, ge- sagt: ««O Kinder, da ihr beide dieselbe Brust gesogen habet, seid ihr Brüder; die Welt ist voll von bösen Verliumdern, hütet euch nach meinem Tode einem derselben euer Ohr zu leihen.»» Da. sie ein solches Vermichtniss hinterlassen hat, so sprich du nicht also!» — Der Schakal sagte: «O Neffe, da du nun meine wohlgemeinten Worte nicht hórest, wirst du in's Ver- derben rennen,» [24%] Der Stier fragte: «O Oheim, wie wird denn der Verlauf sein?» Der Schakal ent- gegnete: «O Neffe, der Lówe wird aus seinem Lager hervorkommen, sich ausrecken und nachdem er sich ausgereckt, wird er gáhnen und nachdem er gegähnt hat, nach allen vier Seiten blicken und, nachdem er nach allen vier Seiten geblickt hat, dreimal brüllen und, nachdem er vor dich getreten ist, denken: Dieser wird mich tödten; wisse dies.» Darauf begab sich der Schakal mit herabhängenden Ohren zum Löwen. Der Löwe fragte: «Oheim, hat sich etwa heisser Wind er- hoben?» Der Schakal entgegnete: «O Neffe, es hat sich ein sehr glühender Wind erhoben!» — Was ist denn geschehen?» — «Dieser Stier hat gesagt: ««Wo- Tome XXII. der; die Welt ist voll von bösen Verläumdern, hütet euch nach meinem Tode einem derselben euer Ohr zu leihen.»» Da sie ein solches Vermächtniss hinter- lassen hat, so sprich du nicht also.» Der Fuchs ent- gegnete: «O Neffe, wenn du jetzt meine wohlgemein- ten Worte nicht hórst, wirst du in's Verderben ren- nen.» — Der Löwe fragte: «O Oheim, wie wird der Verlauf sein?» — Der Schakal antwortste: «O Neffe, der Stier wird aus der Hürde hervorkommen und wird sich recken; nachdem er sich gereckt hat, wird er brüllen, nachdem er gebrüllt hat, die Erde aufwühlen und nachdem er die Erde aufgewühlt hat, schnaufend vor dich treten und denken: Dieser wird mich tödten; wisse dies.» — Obwohl beide bestándig nach ihrer Natur dies zu thun pflegten, hatten sie dies nie be- achtet. Als darauf ein anderes Mal der Lówe, der Kónig der Thiere, aus seinem Lager hervorgekommen, sich gereckt, gegähnt, nach allen vier Seiten geblickt und dreimal gebrüllt hatte, trat er vor den Stier. Auch der Stier kam aus der Hürde hervor, reckte sich, brüllte, [241] wühlte die Erde auf und nachdem er geschnauft hatte, trat er vor den Lówen. Obwohl beide nach ihrer Natur solches stets zu thun gewohnt waren, hatten sie es nie beachtet; als aber der Same der Zwietracht gestreut war, beachteten sie es. Der Stier dachte: Dieser will mich tódten, und der Lówe dachte dasselbe. Der Lówe packte die Brust des Stiers mit seinen Klauen, der Stier schlitzte mit sei- nen Hórnern den Bauch des Lówen auf, so dass beide umkamen. Eine Gottheit sprach folgenden Vers: «Menschen; welche auf das Gute Rücksicht nehmen, sollen nicht mit schlechten Menschen verkehren; sehet, wie der Schakal den Löwen und Stier, die Freunde waren, entzweit hat.» B. In längstvergangener Zeit lebte in einem Walde eine Löwin mit ihrem Jungen und eine Tigerin mit ihrem Jungen. Als die Löwin fortgegangen und ihr Junges umherschweifend in die Nähe der Tigerin ge- langt war, wollte die Tigerin dasselbe, als sie es er- 9 Bulletin de l'Académie Impériale 132 blickt hatte, tódten, bedachte sich aber eines besseren, da der junge Lówe Gespiele ihres Jungen werden kónnte, und fing an dasselbe zu süugen. Als die Lówin von ihrem Ausgang zurückgekehrt war und ihr Jun- ges nichs vorfand. fing sie an dasselbe zu suchen und sah, wie die Tigerin ihr Junges sáugte. Als die Tige- rin die Lówin erblickte, ersehrak sie und fing an davon zu laufen. Die Lówin sprach zur Tigerin: «O Schwester?), laufe nicht davon, lass uns zusammen wohnen, auf dass, wenn ich fortgehe, du für méin Junges [241] sorgest, wenn du aber fortgehst, ich für dein Junges Sorge trage.» Als beide nun zusammen zu wohnen anfingen, nannten beide das Lówen - Junge Sudamshthra?), das Tiger-Junge Subáhu*). Diese bei- den wuchsen heran. Zu einer andern Zeit erkrankten die Lówin und die Tigerin und sprachen zur Zeit ihres Hinscheidens also zu den beiden Jungen: «O Kinder, da ihr beide an derselben Brust gesogen habet, seid ihr Brüder. Die Welt ist voll von bósen Verlüumdern; hütet euch nach unserem Tode einem derselben euer Ohr zu leihen.» Der Lówe pflegte treffliche Gazellen zu tódten, ihr treffliches Fleisch zu verzehren und ihr treffliches Blut zu schlürfen, und, nachdem er solches gethan hatte, sich eiligst nach seinem Lager zu be- geben. Der Tiger aber, wenn er ausging, tódtete mit grosser Mühe Gazellen, verzehrte ihr Fleisch, schlürfte ihr Blut und kehrte erst nach langer Zeit zurück. Ein anderes Mal verzehrte der Tiger Überbleibsel, die er verborgen hatte, und kehrte rasch nach Hause zu- rück. Da fragte der Löwe: «Wie kommt es, dass du, der du früher immer nach langer Weile zurückgekehrt bist, heute so bald zurückgekommen bist?» Der Tiger ant- wortete: «Ich habe die Vorräthe, welche ich verbor- gen hatte, verzehrt.» Der Löwe fragte: «Hast du Vor- räthe aufbewahrt?» Der Tiger bejahte es. Der Löwe sagte: «Ich pflege, wenn ich die trefflichen Gazellen getódtet, ihr treffliches Fleisch verzehrt und ihr treff- liches Blut geschlürft habe, ohne Sorge fortzugehen.» Der Tiger entgegnete: «Du bist stark, ich (242] kann es nicht also thun.» Der Lówe sagte: «Wollen wir zusammen gehen!» Es fingen beide an zusammen aus- 2) Im Tib. D jüngere Schwester. 3) ABER 4) ATIS RS zugehen. Diesen Löwen, dem Könige der Thiere, pflegte ein alter, sehr böser, Überbleibsel verzehrender Schakal nachzufolgen. Dieser meinte, dass der Tiger der Widersacher seines Magens sei und er deshalb beide entzweien müsse. Er trat vor den Löwen mit herabhängenden Ohren. Der Löwe fragte: «O Oheim, hat sich etwa heisser Wind erhoben?» Der Schakal antwortete: «O Neffe, es hat sich ein sehr glühender Wind erhoben.» — «Was ist denn geschehen?» — «Der Tiger hier hat gesagt: ««Wohin ist mein Gras- Löwe gegangen? Da er mich Überbleibsel verzehren lässt, werde ich ihn sicherlich tödten.»» Der Löwe entgegnete: «O Oheim, uns beiden haben unsere beiden Mütter vor ihrem Tode gesagt: ««O Kin- der, da ihr beide dieselbe Brust gesogen habet, seid ihr Brüder; die Welt ist voll von bösen Verláumdern, hütet euch, wenn wir beide gestorben sein werden, irgend einem derselben euer Ohr zu leihen.»» Da sie ein solches Vermächtniss hinterlassen haben, so sprich nieht also.» Der Schakal sagte: «Da du jetzt meine wohlgemeinten Worte nicht hóren willst, wirst du in's Verderben rennen.» Der Lówe fragte: «O Oheim, wie wird der Verlauf sein?» Der Schakal entgegnete: «O Neffe, der Tiger wird aus seinem Lager hervorkommen und sich recken, nach- dem er sich gereckt hat, wird er gáhnen, nachdem er gegähnt hat, wird er nach allen vier Seiten blicken, nachdem er nach allen vier Seiten geblickt hat, wird er dreimal brüllend vor dich treten und denken: Die- ser wird mich tódten. Wisse dies.» Darauf trat er mit herabhüngenden Ohren vor den Tiger. Der Tiger fragte: «O Oheim, hat sich etwa ein heisser Wind er- hoben?» Der Schakal entgegnete: «O Neffe, es hat sich ein sehr glühender Wind erhoben.» — «Was ist denn geschehen?» — «Dieser Lówe hier hat gesagt: ««Wohin ist mein Gras- Tiger gegangen? Ich werde ih sicherlich tódten.» Der Tiger sagte: «O Oheim, zu uns beiden haben unsere beiden Mütter vor ihrem Hinscheiden also gesprochen: ««O Kinder, da ihr beide dieselbe Brust gesogen [242*] habet, so seid ihr Brüder. Die Welt ist voll von bósen Verlüumdern; hütet euch einem derselben euer Ohr zu leihen.»» Da sie uns dieses Vermächtniss hinterlassen haben, so sprich nicht also!» Der Schakal entgegnete: «O Neffe, da du jetzt meine wohlgemeinten Worte nicht hóren willst, wirst du in's Verderben rennen.» — «O Oheim, 133 des Sciences de Saint- Pétersbourg. wie wird denn der Verlauf sein?» — Der Schakal ent- gegnete: «O Neffe, dieser Lówe wird aus seinem Lager hervorkommen, wird sich recken, nachdem er sich ge- reckt, wird er gähnen, nachdem er gegähnt hat, wird er nach allen vier Seiten blicken, nachdem er nach allen vier Seiten geblickt haben wird, wird er dreimal brüllend vor dich treten uud denken: dieser wird mich tódten. Wisse dies.» Obwohl beide ihrer Natur ge- mäss dies beständig zu thun pflegten, hatten sie es nie be- achtet. Zueinerandern Zeit kam der Kónig der Thiere, der Lówe, aus seinem Lager hervor, reckte sich, gähnte, blickte nach allen vier Seiten, und nachdem er dreimal gebrüllt hatte, trat er vor den Tiger. Auch der Tiger kam aus seinem Lager hervor, reckte sich, gühnte, blickte nach allen vier Seiten, brüllte dreimal und trat vor den Lówen. Obwohl beide es stets so zu thun gewohnt waren, hatten sie es nie beachtet, als aber der Same der Zwietracht gesäet war, beachteten sie es; sowohl der Lówe dachte, dass der Tiger ihn tódten wolle, als auch der Tiger, dass der Lówe ihn tödten wolle. Dann aber bedachte der Löwe dies: Ich bin stark, der Tiger ist es nicht, da er nun meiner nicht Herr werden kann, will ich früher nachforschen. Es sprach diesen Cloka: «Mit dem vollendete Treff- lichkeit, Gewandtheit und Kraft besitzenden Sudamsh- thra zu streiten, o Subáhu, ist nicht recht.» Der Tiger antwortete ebenfalls mit einem Cloka: «Mit dem vol- lendete Trefflichkeit, Gewandheit und Kraft besitzen- den Subáhu zu streiten, o Sudamshthra, ist nicht retht.» Der Löwe fragte: [245] «Wer hat es dir gesagt?» Der Tiger antwortete: «Dieser Schakal.» Der Tiger fragte: «Wer hat es dir gesagt?» Der Löwe antwortete: «Dieser Schakal.» Der Lówe dachte: Dieser wollte uns beide entzweien, und schlug den Schakal durch eine Maulschelle todt. Eine Gottheit sprach diese Cloka's: «Man soll auf das Wort anderer hin Freunde nieht aufgeben, sondern die Worte anderer prüfen; man soll Verliumdern, welche Gelegenheit zur Ent- zweiung suchen, nicht Glauben schenken; sehet, wie der Sohn des Schakals, der durch Lügen Freunde zu entzweien suchte, als Verliumder getódtet wurde, die Freunde aber durch die Lust erfreut wurden.» VI. Ochsen als Zeugen. (Kandjur VI, Blatt 228 — 231.) [228*] In einer Gebirgsgegend lebte ein Hausbesitzer, dem, als er geheirathet hatte, eine Tochter geboren wurde. Da er Ackerbauer war, pflügte er selbst seine Felder. Als der elternlose Sohn eines Hausbesitzers an einem Tage mit einer Tracht Holz aus dem Walde in die Nähe jenes Feldes gelangt war, legte [229 er das Holz ab, erholte sich ein wenig und fragte: «O Oheim, weshalb ackerst du selbst? es ist doch sicher, dass du im Dorfe Dorfangelegenheiten zu besorgen hast; weshalb treibst du im Walde Sachen des Waldes?» — «O Neffe, ich habe weder Sóhne noch Brüder.» — «O Oheim, gieb mir den Pflug, ich werde für dich ackern, du aber ruhe!» Mit diesen Worten fing er an zu pflügen. Der Hausbesitzer kam mit Reisbrei herbei und forderte ihn auf zu essen. Nachdem beide das Mahl beendigt hatten, sagte der Hausbesitzerssohn: «O Oheim, ich kenne dein Haus nicht, geh du nun, ich werde pflügen; am Abend aber komm mir ent- gegen.» Der Hausbesitzer ging, der Hausbesitzers- sohn pflügte eine Weile und liess dann die beiden Ochsen neben dem Felde weiden. Am Abende nahm er eine Tracht Gras und machte sich auf um nach dem Gebirgsdörf zu gehen. Der Hausbesitzer kam ihm entgegen und führte ihn in sein Haus. Der Hausbe- sitzerssohn führte die Ochsen in den Stall, breitete Streu aus, räucherte und setzte ihnen Gras vor. Der Hausbesitzer bedachte, dass der Jüngling ihm Gutes thue und er ihm seine Tochter zur Frau geben wolle. Er sagte ihm: «O Neffe, thu’ Alles zur Zufriedenheit und ich werde dir meine Tochter zur Frau geben.» Er fing dort an ein Haus zu bauen und als ein Ochse ihm auf das Reisfeld lief und er ihn®nicht von dort fortscheuchen konnte, schalt er ihn, warf ein Holz- scheit nach ihm, wodurch ein Horn abbrach, weshalb der Ochse Hornbruch*) genannt wurde. Als ein an- deres Mal der Ochse wiederum aufs Feld gelau- fen war und erihn nicht zurückscheuchen konnte, schalt er ihn, warf eine Sichel nach ihm, wodurch ihm der Schwanz abgeschnitten wurde, weshalb er den 5) YET Bulletin de l'Académie Imperiale Namen «Stumpfschwanz»*) erhielt. Beide Namen ver- kürzte man dann zu «Bruchstumpf»?) Zu einer an- dern Zeit sagte der Jüngling zum Hausbesitzer: «O Oheim, erfülle das, was du versprochen hast.» Der Hausbesitzer sagte zu seiner Frau: «O Gute, bereite [229*] alles zur Hochzeit; ich will die Tochter verhei- rathen.» Die Frau sagte: «O Herr, da die Tochter keinem versprochen ist, wie soll sie verheirathet wer- den?» Er antwortete: «Ich werde sie verheirathen.» — An wen? — «An diesen Hausbesitzerssohn.» Die Frau sagte: «Soll ich etwa die Tochter diesem Unbe- mittelten, der wie weisser Pfeffer gewachsen ist, zur Frau geben? Ich werde sie dahin verheirathen, wo ich Kleidung und Nahrung finde.» Der Mann entgeg- nete: «O Gute, da mir der Jüngling Gutes erweist, werde ich, wenn er fortgeht, selbst das Feld pflügen müssen.» Die Frau antwortete: «Ich kann diesem armen Schlucker meine Tochter nicht geben.» Da dachte der Hausbesitzer: Wenn ich dem Jüngling sage, dass ich ihm die Tochter nicht gebe, wird er bereits . heute fortgehen und ich werde in Noth gerathen. Er wollte ihn also hinhalten. Der Jüngling forderte ihn nochmals auf, sein Versprechen zu erfüllen. Er ent- gegnete: «O Neffe, da ich für einen grossen Kreis von Verwandten Reisbrei bereiten muss, so bringe zuvor die Reisernte zu Stande. Er that dies und forderte ihn dann auf die Hochzeit zu feiern. Der Hausbesitzer antwortete: «O Neffe, da Zuckerrohr nothwendig ist, so bringe zuvor die Zuckerrohrernte zu Stande.» Der Jüngling that dies und erneuerte seine Forderung. Der Hausbesitzer sagte: «O Neffe, da Brote nothwen- dig sind, so bringe zuvor: die Weizenernte zu Stande.» Der Jüngling that dies und verlangte Erfüllung des Versprechens. Der Hausbesitzer sagte: «Da der frü- here Reis zu Ende ist, so veranstalte noch eine Ernte.» Der Jüngling dachte: Da diese Dinge sich nicht zu derselben Zeit machen lassen, er mich aber hinhilt, will ich in eine grosse Versammlung von Menschen treten und ihn zur Antwort nóthigen; giebt er mir die Tochter nicht, so werde ich es veranstalten, dass sie mir aus dem Palast des Kónigs in Güte gegeben werde. Er trat in eine grosse Versammlung von Menschen 6) AZTEA 7) STZA und sprach: «O Oheim, veranstalte die Hochzeit.» Der Hausbesitzer schalt ihn [280] und sprach: O Freunde, diesem Manne, der bei mir als Tagelöhner arbeitet, werde ich doch meine Tochter nicht geben!» Der Jüngling dachte: «Da ich weder Geld noch die Toch- ter von ihm erhalten habe, werde ich ihm einen klei- nen Schaden zufügen und fortgehen.» Nachdem er den Tag über mit den Ochsen geackert hatte, schlug er sie mit der Gerte, band sie in der Sonne an einen dürren Baum und ging davon. Durch die Natur der Dinge konnten nicht lange nach Erschaffung der Welt auch die Thiere sprechen und so sprachen die beiden Ochsen zu ihm: «O Mann, du bist fortwährend gegen uns wie Vater und Mutter gewesen, hast uns bestän- dig mit Güte behandelt; weshalb hast du jetzt , nach- dem du den Tag über gepflügt, uns mit der Gerte ge- schlagen und gehst du fort, nachdem du uns in der Sonne an einen dürren Baum gebunden? O Mann, haben wir dir irgend ein Unrecht gethan?» — «Ihr habet mir nicht das geringste Unrecht gethan, euer Herr aber hat mir Unrecht gethan.» — «Auf welche Weise?» — «Er hatte mir seine Tochter versprochen, sie aber mir nicht gegeben.» — «Weshalb gehst du nicht in den Palast des Kónigs?» — «Ich habe keine Zeugen.» — «Geh nur, wir werden Zeugen sein.» — «Werdet ihr mit menschlicher Sprache reden?» — «Nein, du sollst aber deine Betheuerung also einrich- ten: Uns musst du sieben Tage lang im Stall anbinden, uns weder Gras noch Wasser geben, am siebenten Tage an einer Stelle loslassen, wo Gras und Wasser in Fülle vorhanden sind, dann tritt vor den Kónig und und sage ihm: Wenn ich die Wahrheit rede, sollen diese Ochsen weder das Gras fressen noch das Wasser trinken.» Der Hausbesitzerssohn ging in den Palast des Königs und sprach: «O König, jener Hausbesitzer hat mir seine Tochter versprochen, sie mir aber den- noch nicht zur Frau gegeben.» Der König fragte: «Hast du irgend welche Zeugen?» — «Ja, o König!» — «Sind es Menschen oder nicht?» — «Nein, es sind keine Menschen, sondern Ochsen.» — «Können sie menschliche Sprache 23%] reden?» — «Nein, allein meine Worte werden also als wahr befunden werden: ich werde diese Ochsen sieben Tage lang im Stall an- binden, ohne Gras und ohne Wasser lassen, am sie- benten Tage aber sie an einer Stelle loslassen, wo Gras ‘und Wasser in Fülle vorhanden sind. Dann werden des Sciences de Saint- Pétersbourg. 138 die Ochsen, um die Wahrheit meiner Worte darzu- thun, so lange als der Kónig mir nicht Glauben schenkt, weder das Gras verzehren noch Wasser trinken.» Der König sprach zu den Ministern: «Verehrte, richtet die Sache so ein.» Die Minister liessen die Ochsen im Stall anbinden. Bruchstumpf fragte: «Geht die Sonne im Westen auf? weshalb lásst man uns nicht los?» Die Andern sagten: «Wir haben es dem Sohn des Haus- besitzers versprochen, dass, wenn er uns sieben Tage im Stall angebunden ohne uns Gras und Wasser zu geben und uns am siebenten Tag an einer gras- und wasserreichen Stelle loslásst und er vor dem Könige betheuert, dass wenn er die Wahrheit spricht, diese Ochsen weder Gras fressen, noch Wasser trinken wer- den, wir, so lange der Kónig es nicht glaubt, weder Gras fressen, noch Wasser trinken werden.» Bruch- stumpf sagte: «Wenn man mich freilässt, esse ich auch Steine, von Gras schon gar nicht zu reden.» — Die Ochsensagten: «Der Hausbesitzerssohn hat sich gegen uns fortwährend wie ein Vater und eine Mutter be- nommen; also handle nicht also.» Bruchstumpf sagte: Freilich ist es wahr, dass er uns wie ein Vater und eine Mutter behandelt hat, allein da er mich Bruch- stumpf genannt hat, will ich es nicht thun, sondern wünsche vielmehr, dass sein Bauch platze.» [231] Der Hausbesitzerssohn ging von Zeit zu Zeit zu den Och- sen und fragte: «O. Ochsen, wie geht es euch?» Sie antworteten: «Uns geht es gut, dir aber nicht.» — «Weshalb?» — «Bruchstumpf hier hat gesagt, dass er, wenn man ihn freiliesse, sogar Steine verzehren würde, von Gras gar nicht zu reden.» — «Soll ich also entweichen?» — Thu’ das nicht, sondern durch- lóchere die Nase von Bruchstumpf; wenn er Gras fres- sen oder Wasser trinken wollen wird, werden wir mit . den Hórnern seine Nase packen und in die Hóhe heben. Zu dieser Zeit musst du sagen: Diese weisen auf die Sonne, weil sie andeuten wollen, dass die Sonne als fünfter Welthüter Zeuge sei» Der Jüngling fing an ihm die-Nase zu durchbohren. Der Ochse sagte: «Verehrte, schauet her, wie er mich verunglimpft.» Sie antworteten: «Schweig still, er will dich ausschmük- ken.» Am siebenten Tage liess der König, nachdem er seine Minister versammelt hatte, diese Ochsen auf eine gras- und wasserreiche Stelle führen und Bruch- stumpf war im Begriff ein Mundvoll Gras zu nehmen. Die andern Ochsen aber packten ihn mit den Hörnern an der Nase und schauten zur Sonne. Der König fragte die Minister: «O Verehrte, weshalb schauen diese Ochsen gegen die Sonne?» Da sprach ein Mi- nister: «Es geschieht deshalb, weil sie andeuten wol- len, dass nicht sie allein Zeugen sind, sondern auch der fünfte Welthüter, die Sonne, ebenfalls Zeuge ist.» Der König staunte und sprach zu den Ministern: «O Verehrte, da die Thiere sogar Zeugniss abgelegt haben, so sorget dafür, dass der Hausbesitzer diesem Jünglinge die Tochter gebe.» Der Hausbesitzer gab, vom Hausbesitzerssohn besiegt, letzterem die Tochter. Sur l'acide tartronamique. Par N. Menschutkin. (Lu le 24 février 1876.) L'acide tartronamique est un des produits de la dé- composition du dialurate de sodium sous l'influence de l'eau. On fait bouillir avec Peau le dialurate de sodium fraichement préparé et non desséché; on prend approxi- mativement pour 30 grammes de sel (compté comme sel sec) 500 grammes d'eau. L'opération se fait dans une fiole, munie d'un réfrigérant, pour que l'eau con- densée retombe dans la fiole. De temps à autre on prend quelques gouttes de la liqueur et on l'essaie par le nitrate d'argent: la présence du dialurate se trahit par la réduction d'argent à froid; quand cette réaction n'a plus lieu, l'opération est terminée. Pour les quantités précitées, il n'en faut pas moins de 20 heures, soit 2 journées de travail. La décomposition du dialurate par l'eau est accompagnée par le déga- gement de l'acide carbonique et de l'ammoniaque, le tube du réfrigérant se trouve tapissé par des cristaux de carbonate d'ammoniaque. Pour amortir les chocs, qui accompagnent l'ébullition du liquide, le dialurate n'étant pas soluble dans la quantité d'eau, prise pour la réaction, on chauffe la fiole dans un bain d'asbeste. La décomposition du dialurate de soude étant effec- tuée, on évapore le liquide sans retard, jusqu'au poids de 125 grammes à peu prés, et ayant pris quelques grammes, on détermine la quantité de sodium contenu dans le liquide, pour le neutraliser complètement par l'acide sulfurique et ne pas introduire d’excès de ce dernier acide. Ayant ajouté au liquide refroidi la quantité voulue d'acide sulfurique monohydraté, on Bulletin de l'Académie Empériale 140 l'abandonne à la cristallisation. Il se forme des aiguilles ou des cristaux prismatiques de l'acide tartronamique. Les 30 grammes du dialurate de sodium donnent à peu prés 10 grammes de cet acide. Le dernier est ordi- nairement un peu jaunátre, mais se laisse aisément pu- rifier par des cristallisations de l'eau. Les gros cris- taux contiennent ordinairement de l'eau mére, par conséquent on a fait l'analyse avec un échantillon cris- talisé un peu vite et offrant de petites aiguilles: on Pa séché sous une cloche sur de l'acide sulfurique. La composition des cristaux correspond à la formule C, H; NO, | 0,3345 gr. ont donné 0,1295 gr. H,O et 0,372 gr. CO, 0,327gr. » » 34cc.d'azote a 21; 5 et 744mm. Théorie: Expérience: C, 36 30,95 30,33 H, 5 04,90 4,30 N 14 11,76 11,54 O, 64 53,79 Ges 119 100,00. Obtenu par la cristallisation d'une dissolution faite à chaud, l'acide tartronamique se présente sous la forme de grands cristaux mats, irrégulièrement formés, comme de grosses aiguilles ou prismes. C'est un corps cristallisant bien facilement, et avec des dissolutions ne contenant que quelques grammes, on obtient des cristaux d'une longueur de deux centimétres. Une fois, l'acide tartronamique était obtenu sous la forme de gros prismes transparents et formés trés régulière- ment, mais les conditions de leur formation ne purent être retrouvées, la cristallisation d'une faible disso- lution de l'acide tartronamique donne de petits eris- taux prismatiques. L'acide se dissout dans l'eau un peu difficilement à la température ordinaire, à la tem- pérature de l'ébullition l'eau le dissout aisément. Pen- dant le refroidissement, à peu près les Y, de l'acide se déposent sous la forme de cristaux, c'est à peine si ^, d'acide reste dissout à la température ordinaire. L'acide tartronamique se dissout dans l'aleool et dans l'éther, dans le dernier fort difficilement. La tempé- rature de fusion est en méme temps la température de la décomposition de ce corps, ce qui a lieu environ à 160°. Ayant désigné le nouveau acide comme acide tar- tronamique, il faut prouver que sa nature correspond à ce nom. Or, pour la formule C,H,NO,, déduite de l'analyse, il y a deux cas d'isomérie. Le composé pour-. rait étre l'acide amidomalonique, CH (NH,) (CO,H),, que M. A. Baeyer”) obtint par la réduction de l'acide nitrosomalonique — ou bien l'acide tartronamique, CH (HO) wes tede acide qui a été inconnu jusqu'à à présent, et dont la formation, à partir de l'acide tar- tronique, présente des obstacles presque insurmontables. Lequel de ces deux acides, différents de basicité, on a obtenu du dialurate de sodium, pourrait étre dé- montré par l'étude des sels. C'est pour la monobasicité de l'acide, donc pour l'acide tartronamique, que la question se résout. L'étude des sels est facilitée, par leur grande aptitude de cristalliser. Commencons par les sels les plus caractéristiques. Tartronamate d'argent C,H,Ag NO,. En précipitant uné forte dissolution d'un tartronamate alcalin par le nitrate d'argent, on obtient un précipité blanc, deve- nant bientöt eristallin. Le tartronamate d'argent étant soluble dans l'eau, il faut le préparer par l'action de l'oxyde d'argent sur une dissolution tiéde de l'acide tartronamique. La premiére cristallisation donne le sel parfaitement pur. L'analyse est faite avec un sel séché sous une cloche sur de l'acide sulfurique. 0,347 gr. ont donné 0,057 gr. H,O et 0,202 gr. CO, 0,234gr. » » 0,112 gr. d'argent. Theorie: Expérience: €, 36 15,92 15,87 IE Ur DT 1,82 Ag 108 47,78 47,86 N CM 818 = 0, 64 28,34 — 226 100,00. Le tartronamate d'argent se présente sous la forme de petits prismes, formés trés réguliérement: avec une loupe on distingue aisément leur forme. Une cristalli- sation précipitée donne des aiguilles entrelacées. C'est sous cette forme qu'on obtient parfois le sel en ajou- tant du nitrate d'argent aux dissolutions des tartrona- mates, si ces dernières ne sont pas assez concentrées. Le sel d'argent est difficilement soluble à la tempéra- ture ordinaire: l'eau chaude le dissout aisément. 1) A. Baeyer. Ann. Chem. Pharm. T. 131 p. 295. 141 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 142 Tartronamate de plomb, (C¿H,NO,),Pb + 1 H,O. C'est le plus caractéristique des sels de l'acide tartro- namique. Le meilleur procédé pour l'obtenir c'est de neutraliser l'acide par l'oxyde de plomb; ce dernier se dissout aisément au commencement, mais bientót tout le liquide se remplit des cristaux du sel plom- bique. On l'obtient pur du premier coup. Il fut des- séché pour l'analyse sous une cloche au- dessus de l'a- cide sulfurique. 0,5065 gr. ont donné 0,3385 gr. Pb SO, 0,347 gr. » .» 0,23225 gr. PbSO,. Theorie: Expérience: . 1: 20,H,NO,+1H,0 245 54,13 — Bi Pb 207 45,87 45,65 45,72 452 100,00 Le tartronamate de plomb cristallise en belles aiguilles d’un grand éclat. Le sel est facilement soluble dans l'eau bouillante, et se dépose en plus grande partie par le refroidissement. La formation de ce sel peut servir comme réaction qualitative de l'acide tartro- namique: dans ce but, on fait l'expérience comme il a été décrit plus haut, ou bien on ajoute du ni- trate de plomb au tartronamate alcolin., Les aiguilles du sel plombique se forment bientót. — Il est impos- sible de déterminer l'eau de cristallisation. A 100° le sel plombique n'est pas modifié: à 120^ on a observé une perte, qui correspondait au poids de l'eau de cris- . tallisation, mais comme la température indiquée est bien proche de la température de décomposition du sel, je ne sais si l'essai de détermination de l'eau de |: cristallisation peut étre probant. De 125? — 130° le sel se décompose complétement. Tartronamate de baryum, (C,H, NO,), Ba + H, O. Obtenu par neutralisation de l'acide soit par le Sache nate de baryum, soit par la baryte, ce sel doit étre évaporé à la température ambiante, car en chauffant la dissolution de ce sel, le dernier se décompose. Le sel sec est stable à la température de 1005 à laquelle s'effectue la perte de l'eau. 0, geg se ont donné 0,01875 gr. H,O. Expérience: (C,H, NO) Ba. 373 95,40 — oo H,O. 18. 4,60 4,50 391 100,00. | On a analysé les deux échantillons dont la préparation était citée plus haut. 1) 0,34675 gr. ont donné 0,2165 gr. Ba SO, °) 2) 0,31025 gr. » » 0,19275 gr. Ba S0, Théorie: Expérience: 20,H,NO, 236 63,26 Se E- Ba 137 36,74 36,69 36,66 373 100,00 Le sel de baryum est soluble dans l'eau, la dissolution fournit des cristaux prismatiques, dont la forme n'est pas bien nette. Tartronamate de potassium, C,H,KNO, + H,O. Ce sel cristallise en prismes striés trés caractéristiques. 0,37425 gr. ont donné 0,2065 gr. K,SO, Théorie: Expérience: | \, H, NO, HA 136 77,67 E 391 22,33 22,09 175,1 100,00 Le dosage direct de l'eau n'a pas réussi, comme c'était le cas pour le sel de plomb. Le tartronamate de po- tasse chauffé méme jusqu'a 150° n'éprouve aucune perte, chauffé plus haut, il se décompose. Ayant pensé, que ce fait pourrait avoir une analogie, par exemple, avec les glyoxylates, lesquels sont presque tous hy- dratés, j'ai fait quelques essais: avec le tartromate de potasse, les sels de plomb et d'argent, formés par double décomposition, sont identiques à ceux décrits plus haut. | L'étude des sels démontre la monobasicité de l'a- cide tartronamique, mais ce fait ne peut pas établir définitivement la différence de cet acide et de l'acide amidomalonique de M. A. Baeyer, car, à en juger par les recherches fort incomplétes, le dernier serait aussi monobasique par rapport à la formation des sels et présenterait beaucoup de ressemblances avec l'acide en Les deux acides donnent des cristaux - tiques, tous les deux sont d'un goüt agréable- iem ie, tous les deux se décomposent soit en chauffant les acides secs, soit leurs dissolutions aqueuses. L'acide tartronamique caiff avec de Peau à 100° se 2) Le dosage de baryum était effectué par la précipitütion d de la dissolution avec de l'acide sulfurique, le sel sec se boursoufflant trop fortement à la calcination. 143 Bulletin de l'Académie Empériale 144 décompose avec production d'acide carbonique. Plus loin les analogies cessent, l'acide tartronamique donne de l'acide glycollique, tandis que l'acide amidomalo- nique donne le glycocolle. Game" mu - CH,(HO)CO,H + NH,+ C0, acide tartronamique. acide glycolique. CH (NH, ) (C0,H), = CH, (N H,). C0,H + CO, acide amidomalonique. glycocolle. Dailleurs, d'aprés les recherches de M. Baeyer l'a- cide amidomalonique donne de l'acide mesoxalique par l'action de Piode: acide mesoxalique. tandis que la dissolution de l’iode dans Piodure de po- tassium ne réagit pas sur l'acide tartronamique. Les différences mentionnés sont suffisantes pour. conclure la non-identité des deux acides; il s'agit main- tenant de démontrer que l'acide nommé tartronamique appartient à l'acide tartronique et en est l'acide amidé. H n'est pas bien facile d'obtenir directement des dérivés de l'acide tartronique, mais on obtient ses pro- duits de décomposition, les mémes que ceux décrits par M. Dessaignes?). Ce En agissant sur l'acide tartronamique par l'acide azoteux dans les conditions indiquées par M. Piria (en présence de l'acide azotique), il s'établit une vive réaction. Le liquide s'échauffe, l'acide carbonique et - l'azote se dégagent. La réaction étant finie, on a neutra- lisé l'acide, et ajouté du nitrate d'argent. Il se forma bientót un précipité d'un beau sel d'argent, formé par des paillettes offrant sous le microscope l'aspect des lamelles réctangulaires. C'est le glycollate d'argent. 0,2075 gr. ont donné 0,122 gr. d'argent 0,344gr. » » 0,053 gr. H,O et 0,1625 gr. CO, Théorie: Expérience: C, 24 13,31 12,88 H, 3 1,63 UN. Ag 108 59,01 58,79 O, ^48. 3525 i 183 100,00 3) Dessaignes. Ann. Chem. Pharm. T. 89 p. 339. L'acide glycollique était la seule substance formée par la réaction, qui est trés nette. 1 gr. d'acide tartrona- mique traité de la manière décrite a fourni 0,6 gr. du glycollate d'argent, quantité qui était suffisante pour l'analyse complete ci-dessus mentionnée. La réaction de l'acide nitreux consiste non -seulement dans la transformation de celui-ci en acide tartronique, mais est aecompagnée par la décomposition de ce dernier en acide glycollique et en acide carbonique. CH (HO)(CO,H), = CH, (HO). CO,H + CO, M. Dessaignes a décrit une réaction pareille pour | Pacide tartronique ainsi que pour le tartronate d’am- CH (NH) (COH), + H,0--J, —CO (CO,H),+HJ--NH,J | moniaque. La transformation de l'acide tartronamique en acide tartronique sous l'influence de bases est accompagnée aussi de la formation de l'acide glycollique. Une so- lution de baryte, à la température ambiante, ne forme que le sel barytique, mais n'opére pas la production de l'acide tartronique. Si l'on chauffe le liquide, il y a non-seulement émission de gaz ammoniaque, mais il se forme un précipité de carbonate de baryum, formé par l'acide carbonique provenant de la transformation de l'acide tartronique en acide glycollique. Pour ne pas décomposer toute la quantité de l'acide tartronique formé on a mis fin à la réaction avant que le dégage- ment d'ammoniaque ait cessé. Ayant pris 2 grammes de l'aeide tartronamique, on a continué la réaction pendant une heure et demie. L'excés de baryte fut sé- paré par l'acide carbonique, la liqueur évaporée jus- qu'à consistance siropeuse est dissoute de nouveau dans un peú d'eau. Traitée par le nitrate d'argent il se forma un précipité blanc d'un sel d'argent, qui devint bientót cristallin. Ce précipité fut vite filtré, la liqueur obtenue quelques heures aprés déposa de beaux cristaux prismatiques d'un autre sel d'argent. Le premier sel fut obtenu relativement en petite quantité, il avait les caracteres du tartronate d'argent, mais le dosage d'argent a donné 2%, de plus qu'il ne fallait pour la formule du tartronate. La petite quantité n'a pas per- mis d'appliquer les procédés de purification. Le deuxième sel est du glycollate d'argent. Il est à remarquer, qu'il fut obtenu un.sel différent du gly- collate d'argent décrit plus haut, celui-ci contracte par la teneur d'une demi-molécule d'eau de cristalli- sation. C'est le sel C,H,AgO, + ! H,O obtenu aussi 145 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 146 par M. Dessaignes de l'acide tartronique, en passant par le glycollide. 0,150 gr. ont donné 0,08375 gr. d'argent 0,222 gr., chauffés à 1005 ont donné 0,011 gr. H,O Théorie: Expérience: 040,75 54007 - Ag 108 - 56,25 55,83 1H,0 9 4,68 4,95 192 1000,00 L’action de la baryte sur l'acide tartronamique est trés nette, je le conclus de ce que les recherches in- diquées ont été faites avec 2 grammes d'acide tartro- namique et on a obtenu presque 1 gramme de sels d'argent. Ainsi la constitution de l'acide tartronamique est établie. La stabilité relative de ses sels explique sa formation par l'action de l'eau sur les dialurates. C'est pour la premiére fois que ces derniers donnent un dérivé de l'acide tartronique, fait d'une grande impor- tance pour juger de la constitution de la série dialurique. Sur l'éthyl- et le méthylsuccinimide. Par M. N. Men- schutkin. (Lu le 24 février 1876.) L'élhyisuccmade se forme par la distillation du É ine,ou bien, plussimplement, d'une solution de l'acide succinique dans l'eau, à demi saturée par Péthylanime. L'éthylsuccinimide passe dans les parties bouillant vers 220? — 240°; en frac- tionnant on obtient le corps qui bout à 234^. 0,456 gr. ont donné 0,954 gr. CO, et 0,29 gr. H,O 0,712 gr. décomposés par la potasse dans un ap- pareil distillatoire etc. ont donné 1,343 gr. 2 [(C,H,) H,N. HC1] DO, La pureté de chloroplatinate d'éthylamine est démon- trée par l'analyse suivante: 0,35 gr. ont donné 0,139gr. de platine, soit 39,7 Pt, tandis que la formule indique 39,5 (dosage de M. Popoff). Théorie: ' Expérience: C, 72 56,70 57,12 H 9. 7,09 7,06 N 14 11,02 10,55 O, 32 25,19 — 127 100,00 Tome XXII. L'éthylsuccinimide fond à 26 ° ') et montre le phéno- mène de la surfusion; il reste parfois des semaines à l’état liquide. Le refroidissement suivi de secousses ou bien un petit cristal du même composé mis en con- tact avec le liquide, font cristalliser la masse entière. Le point d'ébullition est à 234° (le thermomètre depuis 150° hors de l'appareil distillatoire), de sorte que la différence entre le point du succinimide (p. d'ébul. à 287^) montre une différence de 54° en moins. L'éthyl succinimide est aisément soluble dans l'eau, l'alcool et léther. Ses métamorphoses sont analogues à celles du succinimide. La potasse le dédouble en éthylamine et en acide succinique. L'eau de baryte le transforme aisément en éthylsuccinamate de baryte, [C,H,0, (C,H; . HN) 0],Ba, aisément soluble dans l'eau et cristallisant sous la cloche de la machine pneumatique. Le dosage de baryum répond à la formule donnée. 0,306 gr. ont donné 0,172 gr. Ba SO,. Théorie: Expérience: 2(0,H,NO,) 288 67,77 nd Ba 137 32,23 33,04 495 100,00 La formule moléculaire des imides n'était pas, jusqu'à présent, controlée par la densité de vapeur de ces corps. L'éthylsuccinimide, présentant une sub- stance maniable, j'ai prié MT O. Roukavischnikoff d'en faire la détermination de la densité de vapeur. Voici les données de cette expérience: Poids du ballon ges 18,2653 gr. Ballon avec la vapeur — 18,5288 Température = 266° Capacité du ballon +147, 0rL, Température de la balance — 1554 Barométre = 755 m: m. (à 05. On déduit de ces données pour la densité de l’éthyl- succinimide le chiffre 4,61: or la densité théorique pour la formule C,H,O, (C,H;) N est 4,41. Méthylsuccinimide. Ce composé s'obtient comme le précédent en distillant une solution aqueuse de l'acide succinique à demi saturée par le méthylamine. En 1) Température de solidification d'une assez grande quantité d'éthylsuccinimide fondu. 10 147 Bulletin de l’Académie Impériale 148 fractionnant le produit, on obtient la méthylsuccini- mide bouillant à 234°. 0,271 gr. ont donné 0,5258 gr. CO, et 0,1621 gr. H,O. Théorie: Expérience: C, 60 53,09 52,91 H 7: 6,10 6,64 N 14 12,39 + O, 32 28,42 113 100,00 Le méthylsuccinimide bout à 234; il fond à 667,5 (le point de fusion était déterminé comme il a été dit pour l’éthylsuccinimide). Le corps fondu se concrète en de belles lamelles; il est très soluble dans l'eau et dans l'aleool. D'une solution alcoolique il cristallise en lamelles. Les imides substitués, dont la description vient d'étre faite, étaient préparés pour essayer l'action des éthers isocyaniques?). Il n'y a pas d'action entre ces composés. Je profite de l'occasion pour décrire un composé appartenant à la série du succinimide — le sel double du succinimide mercurique avec le cyanure de mercure, . (€,H,0,N) Hg. Hg. (CN). Ce composé est analo- gue au sel double du dérivé mercurique avec le chlo- rure de mercure, que j'ai décrit ailleurs, et se forme dans les mémes circonstances, en ajoutant le cyanure de mercure au succinimide, les deux composés étant en solution assez concentrée. L'analyse confirme la for- mule donnée plus haut. 0.3353 gr. ont donné 0,2246 gr. CO, et 0,0437 H,O 0,2796 gr. ,, „ 20,5 c.c. d'azote à 10° et 758,94 m. m. 0,4827 gr. „ on 30,8435 Hg S y Théorie: Expérience: C, 120 18,52 18,27 3H, B 1,223 1,44 N 56 8,64 ‚8,75 Hg, 400 61,72 61,34 O 64 9,99 — 648 100,00 Le sel cristallise en paillettes, présentant sous le microscope des rhombes et des parallelogrammes. T est difficilement soluble dans l'eau froide, ainsi que dansl'aleool bouillant. Les essais pour obtenir le cyan- succinimide étaient restés sans résultat. 2) Bull. T. IX p. 309. Über das geologische Alter der nordkaukasischen Jura-Kohlensandsteine und über in denselben vor- kommenden natürlichen Salpeter im Kubanthale. Von H. Abich. (Lu le 23 mars 1876.) Schon lange bevor die Unterwerfung der Bergvólker im nordwestlichen Kaukasus Thatsache geworden, hatte der Ruf in dem breiten Raume der sich zwischen der hohen, vielfach von Querthälern unterbrochenen jurasischen Vorkette und dem centralen krystal- linischen Gebirge ausdehnt, Örtlichkeiten hin verlegt, woselbst von den feindlichen Bewohnern der höheren Thäler eine, natürlichen Salpeter einschliessende Erde gegraben wird. Eine dieser Örtlichkeiten, die sich im Kubanthale befindet, ist in neuester Zeit Gegenstand aufmerksamer Beachtung und Untersuchung geworden, welche in Bezug auf technische Verwerthung dieses Naturproduktes zu aufmunternden Resultaten geführt | haben. Ein lange von mir beabsichtigter Besuch dieser Ortlichkeit mit dem Zwecke, ein auf eigene Anschau- ung gestütztes Urtheil über ihren Werth zu gewinnen, kam während meines Kuraufenthaltes in Kislovodsk 1874 bei Gelegenheit einer Reise durch das Kuban- thal aufwürts nach Karatschai und der Gletscherregion des Elburuz zur Ausführung und verschaffte mir die - Wahrnehmungen und Anschauungen, deren Darlegung der Gegenstand der folgenden Mittheilung ist. In meinen Bemerkungen über die nordkaukasische Steinkohlenformation, die den Mittheilungen «Geo- gnostische Beobachtungen auf Reisen im Kaukasus im Jahre 1873*)» angehóren, habe ich auf die bedeuten- den Niveauverschiedenheiten hingewiesen, welchen das Zutagetreten der Steinkohlen einschliessenden Sand- steinbänke des unteren braunen Jura, in ihrer Er- streckung von OSO nach WNW, zwischen den Meri- dianen des Conguti Choch (Adai-Choch) und des Elburuz unterliegt. — In allgemeiner Abhüngigkeit von der Reliefgestaltung der krystallinischen Central- systeme, die sich zwischen den Quellengebieten des Terek und Kuban in der mittleren Riehtung der kau- kasischen Gebirgsachse an einander reihen, steigen Kohlenspuren einschliessende Sandsteine der Dogger- formation zu absoluten Höhen von 8623 bis 10,520 Fuss am Gebirge empor. Zusammenhängende Stein- 1) Bulletin de la Société Impériale des Naturalistes de Moscou année 1874 N 2 pg. 304. 149 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 5 > 1 ` D kohlenschichten von einigermassen bauwiirdiger Mách- tigkeit sind erst in tieferen Niveaus von 6074 bis 5830' Meereshóhe erkannt worden. In ihrer schwachen Neigung gegen Norden gehóren die Schichten dieser siimmtlichen Fundstellen dem geognostischen Bildungs- ganzen jener flachen Gewülbform an, in welcher der nordwestliche Abhang des Kaukasusgebirges sich im Norden des Elburuz und zwar in entschiedener Ab- hüngigkeit von einer meridianen Längenerhebung ausprügt, deren Scheitellinie, vom Gipfel jenes er- loschenen Vulkans beginnend, sich als Wassertheiler noch weit über das Stavropolsche Hochland forter- streckt?). Die gesammte Westseite dieser meridianen Erhebung aus junger geologischer Zeit zeigt eine, von ihrer Ostseite physikalisch - geographisch sehr ab- weichende Gestaltung. In Folge einer ursprünglichen stärkeren Neigung des westlichen Abhanges und einer wahrscheinlich damit in Verbindung getretenen allge- meinen Bodensenküng gegen Nordwest, erhielt der Kuban seinen anfünglich nórdlichen Lauf, zugleich mit der grösseren Höhe und Steilheit seiner rechten Ufer- seite, die in 160 Werst nördlicher Entfernung von der Centralkette, im Plateau von Temnolesk, noch zu 2400 F. absoluter Höhe aufsteigt. Ein anderer, diesen Grundverhältnissen sich anschliessender wichtiger Zug der orographischen Ausbildung der Westseite der flachen Längenwölbung ist die, vom Meridian des El- buruz an, immer stärker hervortretende Umbiegung des Südrandes des plateauförmigen Gebirgsabhanges nach Nordwest, der von Kislovodsk ab, glacisartig mit dem schwachen Neigungswinkel von 4 Grad zu der cul- minirenden Höhe des Contreforts von Bermamut an- steigt. Durch die Divergenz dieser, die Grenze zwischen weissem und braunem Jura bezeichnenden Kammlinie, mit der ihre westn heRichtung beibehaltenden krystallinischen Centralkette, gewinnt die Zone der kohlenführenden Sandsteine der Doggerformation eine solche Breite, dass sie mit einer Spannung von zwanzig Werst, das sanft gegen den Elburuz anstei- gende Hochland von Betschassin bildend, sich von dort aus absoluter Höhe von 7700 F. zu dem mehr als 4000 F. tieferen Niveau der Kuban-Thalsohle hinab- senkt. Diesen Verhältnissen und vorzüglich der Gleich- 2) Prodromus einer Geologie der Kaukasus- Länder v. H. Abich Mémoires de l'Acad. Imp. des sciences, Série VI, Tome VH. förmigkeit zu Folge, womit die Doggersandsteine durch ihr geringes nordwestliches Einfallen begünstigt, mit den concordant ihnen aufgelagerten Kalken und ca- vernösen Dolomiten der Malmformation thalabwärts noch lange sichtbar bleiben, werden dieselben Stein- kohlenlager, deren Ausgehendes zuerst in den Thal- einschnitten des Hochlandes Betschassin erkannt wor- den ist, auf der Thalebene des Kuban und in ih- ren Nebenschluchten in sehr geringer Tiefe unter Tage angetroffen. Das Constantbleiben der wenig ge- stórten, beinahe sóhligen Lagerung, die dem Abbau der Kohle förderlich ist, so wie die absolute Grösse der im Kuban-Gebiet zu Tage tretenden Areale der kohlenführenden Doggersandsteine, sind geognostische Umstände, die mit Rücksicht auf das gegenwärtige Kohlenbedürfniss der Eisenbahnen im Norden des Gebirges wohl dazu rathen dürften, das gesammte Steinkohlen-Revier am Kuban, dessen Ausdehnung mindestens bis zur Laba vorauszusetzen ist, in Bezug auf seinen technischen Werth einer genaueren Unter- suchung mit Anwendung des Bohrers zu unterwerfen. Die Steinkohlensandsteine befinden sich am nordwest- lichen Abhange des oft genannten Hochlandes von Betschassin in ihrem Übergange zu den ebenen Stufen ‚des Kubanthales in folgereich logischer Abhángig- keit von einer sehr mächtigen, das Thal quer durch- setzenden Zone von melaphyrartigem Hornblende-An- desit. Die in colossalen Dimensionen entwickelten Massen dieser plutonischen Gesteine trennen auf der oberen Thalstufe des Eschkakon den ursprünglichen Zusammenhang der durch den oberen Malm gebildeten Seheitelhöhe des Südrandes des vorher näher bezeich- neten nördlichen Gebirgsabhanges; in anhaltender Richtung von SO nach NW wirken sie, die orographische bildung des ganzen Gebiet wesentlich beeinflussend, abwärts und erreichen innerhalb der Vereinigungs- region des Kuban und Teberdathales ein ausser- ordentliches Maas ihres eruptiven Verhaltens. Der terrassenfórmige Bau der beinahe wagerecht geschichteten Sandsteine ist hier von stehenden und liegenden Gängen des Eruptivgesteins von den grösse- sten bis zu den kleinsten Dimensionen, auf sehr weite Entfernungen hin durchsetzt. Die baldige Nähe der Steinkohle unter Tage verräth sich durch das saal- bandartige Erscheinen anthrazitartiger Kohlensubstanz auf den geschwärzten, durch starke Friktionswirkung o o 43° ab = A T 151 Bulletin de l'Académie Impériale 152 eigenthümlich bezeichneten Contaktszonen häufiger Gänge des Melaphyr mit dem Sandsteine. In etwa drei Werst nördlicher Entfernung von der Brücke, welche bei dem Festungsthurme in 2960 F. Meeres- höhe die ersten Catarakte des Kuban überschreitet, die ein mehrere Faden breiter, quer durch den Fluss setzender Melaphyrgang veranlasst, sieht man am steil abfallenden Flussufer ein oberstes Kohlenflötz streckenweis im Niveau der Wasserlinie fortlaufen. Der Abbau dieses Kohlenflótzes von ?/, Arschin Mäch- tigkeit, durch das Verhältniss einer nahe dieselbe bleibenden Tiefe unter Tage begünstigt, fand längere Zeit auf der rechten Kubanseite, am Ausgange der östlich in das Hauptthal einmündenden Querschluchten statt. Im Jahre 1860 wurde der Abbau desselben Flötzes in weiterer Entfernung, 8 Werst von der Kumara- Brücke, thalabwürts auf die linke Kuban- Seite in das kleine Seitenthal von Arakent verlegt. In 4 Werst Entfernung vom Kuban, etwa 150 F. über dem Spiegel desselben tritt hier, unter dem Einflusse schwacher von Süd nach Nord gerichieler Verwerfun- gen, eine Steinkohlenschicht von 12 Werschock Mäch- tigkeit zu Tage, die zweifelsohne dem Lagerungs- ganzen des früher im Grunde des Hauptthales abge- bauten Kohlenflötzes angehört. Das Einfallen der Sandsteine nach NNO. von 3° bis 5° folgt dem Streichen der Schichten von OSO.—WNW. In Über- einstimmung mit den Voraussetzungen, welche die Erwägung der geognostischen Grundverhältnisse der entsprechenden Thalstufe des Kuban an die Hand geben, hat der seit nunmehr 15 Jahren im Betriebe gewesene Kohlenbergbau von Arakent gezeigt, dass die Lagerungsverhältnisse der Steinkohle, mit nörd- licher Entfernung von der Zone der Melaphyr-Durch- brüche immer günstiger werden, indem die selten, mehr als ein bis anderthalb Faden betragenden Ver- werfungen und sonstigen Anomalien des stratigraphi- schen Verhaltens allmählich verschwinden. Allen that- sächlich gebotenen Schlussfolgerungen gemäss, sind Bohrungsversuche auf das Auffinden eines Steinkohlen- lagers von möglicher Weise grösserer Mächtigkeit als 12 Werschock, bisnach der Nikolajevskschen Stanitza, mit Aussicht auf Erfolg und zwar ausdrücklich mit der Zugabe, das Liegende der Doggersandsteine zu erreichen, sehr anzuempfehlen. Neben ihrem zunächst liegenden praktischen Werthe für die Zukunft der kubanischen Steinkohle, hat eine derartige Unter- suchung noch eine andere wissenschaftliche Bedeutung, die mit gewissen geognostischen Wahrnehmungen in Verbindung steht, von denen später die Rede sein wird. In meinen Bemerkungen über die nordkaukasische Jura - Steinkohlenformation und ihre Verbreitung, welche in den bereits eitirten «Beobachtungen auf Reisen im Kaukasus im Jahre 1873», den zweiten Ab- schnitt von Seite 27—65 des Separatabdrucks ein- nehmen, habe ich mich auf den Nachweis beschränkt, dass die Steinkohle des nordwestlichen Kaukasus- Ab- hanges in die Bildungsperiode der untersten Schichten des Dogger zu verlegen ist, und dass ihre Bildungs- zeit sich unmittelbar an diejenige einer Conglomerat- ablagerung anschliesst, die aus eckigen und abgerun- deten Fragmenten polygener, krystallinischer, vorwal- tend geschichteter Gesteine besteht, deren Lagerungs- Complex das Liegende der Kohlen-Sandsteine bildet. Von den deutlichsten Belegen hierzu in den Thálern des Tissilssu und des Uruch, habe ich pg. 53 und 64 l. c. Andeutungen gegeben. Das mir nur an wenigen Stellen des Kaukasus be- kannt gewordene Vorkommen von thierischen Lias- fossilien, wovon dasjenige im oberen Niveau jener Conglomerate in den Thälern von Balkarien das ent- scheidenste ist, hat mich zu der Ansicht geführt, dass die Liasformation auch in diesen Kaukasustheilen über- haupt nicht zu einer normalen E twickelung gelangt ist. Eine wesentliche Erweiterung meiner Anschauungen in dieser wichtigen Beziehung verdanke ich der kürz- lich gewonnenen näheren Einsicht in das Verhalten der fossilen Pflanzenreste der die Steinkohlen ein- schliessenden Schichten an dem jetzigen Fórderungs- orte von Arakent, den ich erst 1874 zum ersten Male besuchte. Etwas abweichend von der Facies der jurassischen Steinkohlenformation und ihrer Pflanzen auf der kau- kasischen Südseite, hat sich diejenige der Kuban- Region, soweit sie aus den bisherigen spárlichen . Fun- den und deren Bekanntwerden zu beurtheilen war, als nüher verwandt mit der dagestanischen erwiesen, die nach dem Urtheile des verehrten Collegen Goeppert über die, von mir vor Jahren ihm zugesendeten Ab- drücke, den Lias-Charakter kund giebt. Durch Man- gel an Schichtung und Fehlen der sogenannten mine- 153 des Sciences de Saint-Pétersbourg. - 154 ralischen Holz- oder Faserkohle ist diese Liaskohle von der alten Steinkohle wesentlich unterschieden. Taeniopteris vittata . T. crassipes; Aethiopteres Whit- biensis; Equisetes columnaris; Cycadeen aus der Gat- tung Nilsonia, Paenopteris, und Friichte aus dem gros- sen Geschlechte Carpolites sind die wesentlichsten von Goeppert erkannten Pflanzenabdrücke aus der Stein- kohlenformation von Dagestan. Die Wiederaufnahme meiner frühern Nachforschüngen in Betreff der fossi- len Pflanzenreste der Kuban-Steinkohlenformation an dem Orte der Gruben von Arakent, bestätigte im All- gemeinen die Kürglichkeit, womit die Arten einiger we- nigen daselbst vorkommenden Pflanzengattungen ver- treten sind und befestigte mich in der Ansicht, dass Equiseten neben schmalblüttrigen Pterophyllen und, als wahrscheinlich den Coniferen zuzuzühlende undeut- liche Pflanzenreste den typischen Charakter der fossi- len Flora der kubanischen Steinkohle bilden. Diese . Equiseten, anscheinend ein und derselben zweifel- haften Species angehórig, finden sich in grossen Mengen nur im Liegenden der Steinkohlenschicht in einem dunklen, grauen kalkig thonigen Schiefermergel, in platt gedrückten, über einander gehäuften Stengeln von 4—6 Millimeter im Durchmesser, spärlich ge- mengt mit mehr oder minder in der angedeuteten Beziehung deutungsfähigen lanzetfórmigen Blättern und vorerst noch zweifelhaft gebliebenen Frucht- organen. An der Identitüt dieser Equisetes mit E. columnaris zweifelnd, zog ich es bei dem Mangel nóthiger Bestimmungsmittel und mit Rücksicht auf die Wichtigkeit des Gegenstandes vor, gute Photo- eraphien gewáhlter Handstücke mit wohl erhaltenen Pflanzenformen anfertigen zu lassen und erbat mir das Urtheil Goeppert's über dieselben. Um das mit der gewohnten liberalen Bereitwilligkeit abgege- bene Urtheil des Genannten nicht etwa durch Ab- kürzung zu beeintrüchtigen, gebe ich dasselbe verbo tenus wieder. «Die Calamiten nach den beiden Photographien sind sehr schwer zu bestimmen. Ob bilaterale lässt sieh nicht entscheiden, da die strahlig sternfórmigen Narben der abgefallenen Zapfen fehlen und auch nur an ein paar Stellen die ungewöhnlich langen Glieder oder richtiger die Grenzen derselben zum Vorschein kom- men. In diesem Zustande gleicht derselbe auf ein Haar dem Calamites Gümbeli Schek: der rüthisehen For- mation (dessen Flora der Grenzscheide des Keupers und des Lias Frankens. Wiesbaden 1867. Tab. 1. Fig. 8), welcher zugleich mit den Equisetes Münsteri vorkommt in den Lettenschichten der rüthischen For- mation, und wieder einem von mir im schlesischen Keuper gefundenen, Calamites Lehmannus genann- ten, sehr nahe steht. Inzwischen bemerkte ich in der mir zuletzt geschickten Photographie und zwar am oberen Rande derselben, wenn ich nicht irre, eine Fruchtühre, welche, wenn es sich so verhielte, der von E. Münsteri sehr nahe steht, und dann als sehr interessant zu betrachten würe. Es würde dieses Vor- kommen nur als ein neuer Beweis von der grossen Verwandtschaft der Lias-, Oolith- und der Wealden- Flora mit der der rüthischen Formation sein, wie sich dies auch aus dem Folgenden noch weiter ergiebt.» Durch diese neue, auf das schon oft vermuthete Vorhandensein des Infralias oder der rüthischen Stufe auf der kaukasischen Nordseite deutende Thatsache, so wie durch die jetzt gewonnene Erfahrung, dass die Equiseten führenden Steinkohlensandsteine mit ihren unteren Conglomeraten auf der Thalstufe der steinernen Brücke von Kumara, nur durch die geringe Tiefe von 3 — 4 Faden von den krystallinischen Schiefer- und: granitischen Massengesteinen getrennt sind, wird zu- nächst die pg. 35 l. c. von mir vertretene Ansicht von der Wahrscheinlichkeit einer oberen und einer unteren Abtheilung der nordkaukasichen Steinkohlenformation berichtigt. Insbesondere aber wird die versuchte Paral- lelisirung des am Kuban jetzt im Abbau befindlichen Steinkohlenflötzes mit den Verhältnissen von Yorkshire und Bora abgewiesen. Diese Parallele hatte in dem, als ein sehr interessantes geologisches Problem fort- bestehenden Auflagerungs - Verhültnisse der vielfach zerrütteten Malmformation auf die, Steinkohlenlager einschliessenden hellen Sandsteine im Kubanniveau, zwischen der Kumara - Brücke und der Stanitza Ni- kolajef, ihre Hauptstütze gefunden. Dagegen schliesst sich die neue Wahrnehmung von Equiseten der räthi- schen Stufe mit endgültiger Beweiskraft den Schluss- folgerungen an, die aus den petrographischen und stratigraphischen Verhältnissen des Kubanthales, von dem Vereinigungspunkte mit der Teberda aufwärts aus- gehend, unter vergleichender Miterwägung der ent- sprechenden Umstünde in andern Thülern der Nord- seite des Gebirges, zu Gunsten eines jedenfalls höheren Bulletin de l'Académie Impériale 156 155 z. Th. paläozoischen Alters der sogenannten meta- morphischen Schiefer des Kaukasus von mir seit lan- gem gezogen worden sind. Dieselben blieben bisher deshalb unausgesprochen, weil alle wiederholten Be- mühungen, paläontologische Beweise für diesen Satz aufzufinden, erfolglos blieben, so wenig ich auch das Gewicht der Gründe verkannte, die den verewigten Murehison veranlasst hatten, jene Ansicht carto- graphisch zu vertreten. - Meine erste Bekanntschaft mit den erwühnten geo- logischen Verhältnissen beginnt im Jahre 1849; sie knüpft sich an eine militürische Expedition, welche unter Führung des Fürsten Eristaf die Beantwortung der Frage bezweckte, ob es unverbürgten Gerüchten zu Folge móglich sei, eine fahrbare Strasse durch das Kubanthal aufwärts über die kaukasische Pass- hóhe am Nachor-Kamme nach der Zebelda und ab- würts nach Suchum Kalé herzustellen. Auf dieser Expedition, welche auf der pontischen Seite nur bis zur unteren Stufe des Gletscherthal-Cireus Tourlar Kourgan in absoluter Hóhe von 7045 F. vordringen "konnte und den Rückweg über den weiter westlich ` gelegenen Pass Kluchorsky von 9617 F. Meereshöhe, "bei dem Gletschersee der Teberda vorüber durch das Thal dieses Namens abwärts nahm, war die Möglich- keit eingehende geologische Beobachtungen anzustellen, für mich eine sehr beschrünkte. Aus den Notirumgen meines Journals aus jener Zeit entnehme ich hier nur einige Bemerkungen, die das geologische Verhalten bis zur Teberda-Mündung ganz im Allgemeinen an- deuten sollen. Von der Kammregion beginnend, betonen diesel- ben den daselbst in zackig emporstrebenden Fels- kämmen entwickelten Alpengranit mit zollgrossen dem Adular ähnlichen Feldspathkrystallen, neben vorherr- schenden protogynartigen Granit, der gelben und grünlichen talkig chloritischen Glimmer und mitunter unvollkommen krystallinischen Grossular einschliesst. Andere Granite sind durch ein inniges kleinkórniges Gemenge von Orthoklas und Oligoklas und wieder andere durch Fett- und Milchquarz mit chloritischem Glimmer ausgezeichnet, neben solchen die als Schrift- granite zu bezeichnen wären. Der petrographische Charakter in dem Hochthale Tourlar-Kourgan auf der zebeldinischen Seite, aus dem der Klitsehfluss sein Wasser dem 15 Werst entfernten Kodjori zuführt, kommen in der Zone des Übergangs aus granitischen Massengesteinen in die Schieferzone, bald gneissartige, bald Talk und Glimmerschiefer darstellende Gesteins- modificationen zum Ausdruck, in welchen als Ein- schlüsse Smaragdit, grünlicher edler Serpentin mit silberweissem Glimmer und derber Corund vorkom- men. Auf der Nordseite der Kammregion, innerhalb welcher dunkler porphyrischer Diorit, mit grossen weissen, für Labrador genommenen Feldspäthen, gang- fórmig alle genannten Gesteine in SO. nach NW. durch- bricht, ist die Grenze, wo die massig krystallinischen Gesteine der Granitfamilie aufhóren und die umfang- reiche Zone der metamorphischen Schiefer beginnt, orographisch durch den Eintritt weniger schroffer, mitunter flach abgerundeter Bergrücken bezeichnet. Meine Notirungen ‚geben hier einen dunkelgrauen, von Kalkspathadern durchzogenen, anscheinend ver- steinerungsleeren nieht bituminósen Kalk an, der mit schiefrigen Felsarten mannigfaltiger Art wechsella- gert. Bald auf diesen Kalk folgt eine äusserst mächtige ` nach Norden geneigte flótzartige Ablagerung von pud- dingsteinartigen Conglomeraten, an deren Zusammen- setzung Rollstücke aller Gróssen von Milchquarz vor- herrschenden Antheil neben Bruchstücken von dunk- len aphanitühnlichen harten, dem Kiéselschiefer nahe stehenden Gesteinen nehmen. Mein Tagebuch legt einen Nachdruck auf die Wahrnehmung, dass diese in einen üusserst festen conglomeratartigen Sandstein übergehende klastische Bildung das Fundament der ` grossen kohlgnführenden Sandsteinformation darstellt, die sich nunmehr mit róthlich braunen, sehr mäch- tigen, vielfach dislocirten Schichtenbauen thalabwárts ` entwickelt und deren Anfang von dem höchsten im ` 'Thale vorkommen Aul, in einer Meereshóhe von etwa 5600 F., angenommen werden kann. Den vorstehenden Andeutungen von dem geologi- schen Baue jener weiten Gebirgsregion entsprechend, welehe zwischen den Flussthälern des Kuban und der Teberda grade ein Gebiet umfasst, dessen tiefe, fast rechtwinklich auf das Streichen der gesehiehteten Formation gerichteten Thaleinsehnitte den vollstän- digsten Einblick in die, einer- früheren Bildungszeit als die des Jura angehörigen Gebirgstheile gestatten, ` war die rothbraune, schon damals durch ihr strati- eraphisches Verhalten mir sehr auffällige Formation, - D 157 des Sciences de Saint -Pétersbourg. r 158 der Hauptgegenstand meiner Beachtung, zumal in den weitgeöffneten Karatschai - Thálern von Karajourt, Churdzuk und Ütschkulan. Das Vorherrschen klasti- scher, durch thonig-eisenreiches Bindemittel verkitte- ter Felsarten, in unverkennbarer genetischer Abhängig- keit von quarzreichen porphyrischen Ganggesteinen, massigen Quarziten und krystallinischen Schiefern, verleiht der geognostischen Massenentwickelung die- ser ganzen Region ein au specifisches, an die Bil- dungen aus den Zeiten der Dyas oder der Trias, d.h. des alten Rothensandsteins oder des Buntensandsteins in den Ostalpen erinnerndes Gepráge, dass ich nur aus Mangel an fossilen, in diesem róthlich-braunen, thonigen Schichtencomplexe aufzufindenden organischen Resten Anstand nahm, dieselben einer jener Bildungszeiten unterzuordnen. | | Fast unabweisbar steigert sich die Vorstellung von vormesozoischen Bildungen, wenn man von der Ku- mara-Brücke an, das Kubanthal aufwirts. nach Kara- jourt und Ütschkulan durehwandernd, jenseits der Region, welche die grossartigen orographisch domi- nirenden Durchbruchsphaenomene der hornblende- reichen Melaphyre des Gók-Tau durch die Kohlen- sandsteine vorführt die Thalenge betritt, welche die breite Zone der álteren metamorphischen Schiefer mit dem ganzen Anschluss solcher Gesteine in bogenfórmig nach Ost gerichteter Krümmung durchsetzt, die seitens ihres abnormen histologischen und stratigraphischen Verhaltens, befriedigend nur als klastisch eruptiv zu deuten sind. In denselben realisirt sich der Inbe- griff fast sämmtlicher, theils schiefriger, theils massig krystallinischer Steinarten, welche geognostisch die Gruppe des Verrucano darstellen, wie sie in den piemontesischen, den Sehweizer- und den Ost-Alpen verstanden wird. Mit stratigraphischer Beziehung auf eine durch- -gángig hervortretende, von OSO. nach WNW. gerich- tete mediane Dislocationsachse dieser Verrucano- Zone herrschen in ihr thalaufwárts, zunächst unvoll- kommen krystallinische Gesteine in wilden und ver- worrenen Lagerungsformen vor, in welchen eine ` zwischen Chlorit und Talkschiefer schwankende Grund- masse fleischrothen Feldspath nach Art stehender und liegender Gänge neben derben Quarzschnüren ein- schliesst. Mitunter erscheint der Quarz dergestalt mit dem Feldspath gemengt, dass nur der Hinzutritt des dritten Elements fehlt, um Granit darzustellen. Talkgneis und talkige Quarzite, im Verein mit kiesel- schieferähnlichen, von Quarz- und Feldspath-Adern netzfórmig durchwebten Massen, denen wirkliche Talkschiefer mit grünen Talkausscheidungen sich. an- schliessen, vermitteln einen Übergang in ausgezeich- net schóne smaragdgrüne, mit silberhellem Glimmer und rothem Granat erfüllte Talkschiefer, deren colos- sale plattenförmige Absonderungen mit 45—50° Neigung ein westnordwestliches Streichen besitzen. In der Mitte des immer enger werdenden Defilös, wo mehrfache Stromschnellen des Kuban eintreten, be- ginnen, von grünen jaspisgleichenden Kieselschiefern begleitet, rothe Porphyr-Conglomerate in eruptiven Formen hervorzudringen, die mit Zwischenbildungen von Quarzporphyr und Gabbro wohl mehr als andert- halb Werst anhaltend an Conglomeraten von enormer Mächtigkeit absetzen, in denen sich auf das vollstän- digste der lithologische Charakter der Puddinge von Valorsine und des Verrucano von Glarus und Wallen- see ausdrückt. Weiter hinauf machen diese pracht- vollen Gesteine wieder mannigfach modificirten grün- lich grauen Schiefern Platz. Sie werden durchfahren von massig auftretenden dunkelgrauen Quarzpor- phyren, quarzführenden felsitischen Breccien und polygenen Conglomeraten, in welchen Trümmer von silieiösen jaspisartigen Schiefern, Quarzmandeln führen- den Amygdaloiden, dichten grobsplittrigen lichtgrauen Kalkstein, kiesligen Serpentin und Diorit, durch ein thonig-kiesliges Caement zu einer Felsart von ausser- ordentlicher Zähigkeit verbunden sind. An diese klastischen Gebilde von grobem Korn schliessen sich dergleichen feinkórnige Quarzitsandsteine im zahl- reichen Wechsel mit schwürzlichbraunen halberdigen Schiefern, die in stänglich polyedrische Bruchstücke zerfallen. Zwei Werst nördlich von Karajourt sieht man die normalen gelblichen Kohlensandsteine von Betschassin in übergreifender Lagerung auf den zu- vor geschilderten Formationsgruppen, von den öst- lichen Höhen der rechten Kuban-Thalseite, noch ein- mal sich bis zur Sohle des Thales hinabsenken. — —— In dem petrographischen Uberblick der angegebenen Gesteinsfolgen im Kubanthale, von der Kumara-Brücke bis Ütschkulan im Innern von Karatschai an, sind fast alle Gesteine der metamorphischen Schieferzone ver- treten, welche im engsten petrographischen Anschlusse * 159 Rulletin de l'Académie Impériale an die wirklichen Granite, Granitgneisse, Protogyn- granite und Diorite der Centralkette mit ihren krystal- linischen Centralmassen nórdlich vorliegt. In dieser, an Gesteinswechsel so überaus reichen Zone kommen Äquivalente der grauen und grünen Schiefer der Alpengeologie, überhaupt solche dem In- begriffe dieser Gruppe entsprechende Felsarten zur selbständigen Lokalausbildung, die als Grünsteine (pie- tre verde der italienischen Geologen), als Diorite, Serpentine, Gabbro und Euphotide in den Alpenge- birgen eine so wichtige Rolle spielen und welche in be- zug auf ihre wahre Stellung zu der chronologischen Reihenfolge der Formationen daselbst, meist so schwie- rig zu deuten sind. Im Allgemeinen ist der krystallinische Gesteins- charakter in dieser metamorphischen Schieferzone vom Kubanthale an, in óstlicher Richtung, nur bis dahin ein dauernder, wo die Gesteine der Granitfamilie auf- hóren, an dem Aufbaue der Centralkette überhaupt Theil zu nehmen; denn schon óstlich von dem Systeme der Terekquellen und dem der Assa, findet ein voll- ständiges Aufgehen der krystallinischen Gesteine des Hauptkammes und derer der metamorphischen Schie- ferzone des nórdlichen Nebenkammes in die eigentli- chen álteren kaukasischen Thonschiefer statt, wie sie in ihrer reinsten und typischen Entwickelung, insbeson- dere im dagestanischen Centralgebirge zu Tage treten. Es ist bemerkenswerth, dass solche krystallinische Reprüsentanten der. metamorphischen Zone, deren in- nere Ausbildungsweisen und lokale Lagerungsformen ihre eruptive Natur ausser Zweifel stellen, vom Meridian des Kasbek ausgehend, in nordwestlicher Richtung zunehmen und mit Annáherung an die Centralerhebung des Elburuz das Maximum ihrer Entwickelung zeigen. Am vollendesten ist dieser eruptive Charakter mor- phologisch in den rostbraunen und schwarzgrünen kiesel- und mandelsteinreichen felsitischen Felsarten ausgeprügt, welche die dunkle, zackig emporstarrende Kette des Taschly-Syrt bilden, die in südlicher Begren- zung des Hochgebietes von Betschassin, normal- grani- tischen Gesteinen angelagert und gleichsam mit ihnen verschmolzen, dicht am Nordfusse des Elburuz vorüber- zieht und mit den südlichen Ausláufern ihrer, im Tschütschgur- Arschat mit 11,380 F. culminirenden Centralpartie die Eisbedeckung des letzteren theilt. Grade solche Felsarten sind es aber, die in der anti- klinalen Achsenregion der, in der nahen Kuban-Enge 8000 F. tiefer aufgeschlossenen Schieferzone zum Überblick kommen. In weiterer nordwestlicher Rich- tung jenseits des Kuban fortsetzend, tritt die gross- artigste Bedeutung der krystallinischen Schieferzone fiir die Orographie und Geologie des Kaukasus erst in den umfangreichen Gebirgssysteme des Tschyluk und Nakur hervor, welches jenseits der Querthäler des Aksau und Maruch in 100 Werst nordwestlicher Entfernung von Elburuz, und wie dieser durch ein 18 Werst langes Querjoch mit dem Hauptkamme an der Schachmaruka orographisch verbunden, von den hóchsten Quellenarmen des Selendschuk und der Laba umfasst wird ?). Die Frage über die wahre Altersstellung der stein- kohlenführenden Sandsteine kritisch weiter verfolgend, kónnte man geneigt sein, aus dem bisher Vorgetrage- nen die wissenschaftliche Berechtigung für die Schlussfolge abzuleiten, dass das paläozoische Alter der, mit dem Verrucano verbundenen metamorphischen Schiefer, hier so gut wie bewiesen zu betrachten sei. Wenn man indessen der eigenthümlichen Verháltnisse des Verrucano in den Glarner Gebirgen, sowie der spár- lichen Theilnahme paläozoischer versteinerungs- führender Schichten an der Zusammensetzung des Alpengebirges überhaupt gedenkt und erwágt, dass im Kaukasus, soweit derselbe bis jetzt erforscht ist, die Betheiligung solcher alten, biologisch als Silur, Devon oder Bergkalk gekennzeichneten Ablagerungen, an dem Baue des Gebirges noch nicht nachgewiesen worden sind, wenn man ferner sich daran erinnert, dass, lithologisch mit dem als wirklich paläozoisch er- kannten Verrucano vóllig übereinstimmende erup- tive Conglomerate háufig in den West- und Ostalpen 3) Während meines Aufenthaltes in Kislovodsk im Sommer 1874 wurde mir von einem jungenMilitair, Felizin, der sich die Aufgabe ge- stellt und glücklich gelöst hatte,dengrösseren Theil der vorgenannten Thäler bis zu ihren höheren Stufen aus geographischem Interesse zu durchwandern, deren Unsicherheit ihren Besuch noch immer sehr erschwert, eine Sammlung von Gesteinfragmenten übergeben, die von ihm mit der Absicht für eine spätere Bestimmung aufgelesen worden waren. Meine gespannte Erwartung vielleicht Felsarten pa- läozoischen Alters, durch fossile er angedeutet zu finden, erfüllte sich nicht. Dagegen fand ich die Sammlung, mit Ausnahme einer Anzahl von belanglosen ein mesozoisches Alter verrathenden Kalk-, Dolomit- und Sandsteinschieferfragmenten, aus Repräsentanten der metamorphischen Schieferzone bestehend, die eben so gut auch in den Karatschai-Thälern hätten gesammelt sein können, mithin für eine Fortsetzung der dortigen geognostischen Verhältnisse nach NW. sprachen. 160 ` Bd x Ee (094 PMA 161 des Sciences de Saint- Pétersbourg. vorkommen, die bei näherer Prüfung fast durchgängig als Glieder des bunten Sandsteins erkannt und somit der mesozoischen Formation als älteste Glieder ange- reiht worden sind, so erscheint es jedenfalls gerathener, aus den im Kubanthale zu beobachtenden geognosti- schen Thatsachen vorerst nur die Gegenwart der Trias zu deduciren. Es würde dann der Verrucano der Kuban-Enge, nebst einem Theile seiner ihn begleiten- den den Urthonschieferbildungen zum Verwechseln ähnlichen Gesteinen, als unteres Glied des Bunten- sandsteins, die höher vorkommenden, Kohlenspuren enthaltenden Conglomerate und die ihnen unmittelbar auflagernden, Steinkohlenlager einschliessenden Sand- steine von Kumara aber, als Infralias oder Räth auf- zufassen sein. Der Nachweis einer Equiseten-Species, welche für die Räthische Formation charakteristisch, nur im Liegenden der Kubankohle vorkommt, ist dieser Vorstellung entschieden günstig; noch mehr wird sie durch das Vorkommen einer Vielzahl von Muscheln kleiner Zweischaler unterstützt, die ich im Herbst 1874 in dunkelbraunen, thonig-schiefrigen Sandsteinen gefunden habe, welche dem Tiefsten der Doggerbil- dungen von Betschassin im oberen Tissilsuthale ange- hören. Wenn ich auch die für den oberen Keuper so bezeichnende Avicula contorta darunter nicht erkennen konnte, so hindert mich nur der Mangel an ausrei- chenden literarischen und direkt vergleichungsfähigen Objekten an der definitiven Bestätigung meiner Ver- muthung, dass in kleinen runden glatten Pecten nebst schaarenweis auf den Absonderungsflächen der schief- rigen Sandsteine hervortretenden, Posidonia, Avicula, Mytilus etc. angehörigen Arten, solche, dem alpinen Räth zukommende vorliegen. In befriedigender Weise eg für die Zulässig- keit dieser, auf das Vorhandensein der Trias gerich- teten Schlussfolgen noch andere geologische That- sachen, die der Doggerformation, so weit sie in dem Raume zwischen der metamorphischen Schieferkette und der oberjurassischen Vorkette im Norden des Elburuz, vom Baksan bis zum Kuban mit zunehmender Breite sich entwickelt, schr eigenthümliche und be- langreiche Züge verleihen. Es ist hiermit auf zahl- reiche kalte salinische Sauerwasser von complicirter Zusammensetzung, aber einheitlichen chemischen Cha- rakter hingewiesen, die sich über den angedeuteten Tome XXII. Raum, theils aus dem Doggersandstein, theils aus tieferen quarzreichen Conglomeraten hervortretend, zerstreut finden. Die enge geognostische Beziehung, in der sich grade die stürksten und copiósesten dieser, Chlornatrium in un- gleichen Mengen enthaltenden Quellen, welche auf dem rechten Kubanufer, wenige Fuss über dem Fluss- niveau, aus eisenschüssigen Sandstein aufsteigen, einige Werst unterhalb der Stanitza Nikolajevska, mit alabasterartigen Gyps, Dolomit und Rauchwacke ver- bunden finden, führt den Versuch einer genetischen Deutung dieser Mineralquellen fast unabweisbar der- selben Schlussfolge zu, die aus den zuvor geschilder- ten stratigraphischen und lithologischen Gründen zur fast unbedingten Annahme der Trias, in diesem Theile des Kaukasus-Gebirges nóthigt. Mit der Absicht, auf diesen wichtigen Gegenstand mit seiner praktischen Nutzanwendung, gestützt auf die Resultate vergleichender Analysen der von mir mitgebrachten Mineralwasser - Proben, durch welche Professor C. Schmidt in Dorpat der Wissenschaft einen überaus dankenswerthen Dienst geleistet hat, bald umstándlich zurückzukommen, beschránke ich mich für jetzt nur auf die Andeutung obiger That- sachen. Aus gleichem Grunde entsage ich einer náhe- ren Erörterung über Wesen ‘und chemische Natur eines, hauptsüchlich aus schwefelsauren alkalischen und erdigen Verbindungen bestehenden Salzgemenges, welches in sehr verbreiteter Weise auf Klüften und Höhlungen wie auf Gesteinsflüchen, die von den at- mosphürischen Niederschlágen nicht erreicht werden, sowohl in der Doggersandsteinformation und deren Conglomeraten, sowie ganz besonders in den einem ülteren Niveau angehórigen Talk- und Glimmerschie- fern, in sehr bedeutenden Mengen auswitternd gefun- den wird. Dagegen wende ich mich noch zu dem Vorkommen natürlichen Salpeters in dem Doggersandsteine des Kubanthales, als dem Gegenstande, dessen Erórterung ich als einen der Zwecke dieser Mittheilungen am Eingange derselben bezeichnet habe. Die Örtlichkeit, wo die salpeterhaltende Erde ge- funden wird, liegt in 6 Werst nórdlicher Entfernung von der Steinkohlengrube im Thale von Arakent, in einem kleinen, mit dem letzteren gleiche Richtung 11 LA 163 Bulletin de l'Académie Imperiale D ech WSW. befolgenden Seitenthale des Kuban. | angegeben, dass in der vorgenannten Hóhlung in der Mein Begleiter dorthin war der Dirigent der Stein- kohlenfórderung, Herr Outjakof, dessen umsichtiger Thätigkeit das nähere Bekanntwerden des Salpeter- vorkommens im Kubanthale zu danken ist. Alle nach- folgenden Angaben, soweit sie nicht das Resultat mei- ner eigenen Wahrnehmungen sind, finden in dem Ge- nannten ihren, wie ich vollen Grund vorauszusetzen habe, sicheren Gewährsmann. Das zuvor angedeutete kleine Thalist, wie das ihm . südlich benachbarte von Arakent, ein Erosionsthal von mássiger, nach seinem, vom Kubanthale etwa 10 Werst entfernten Ende zu, allmáhlich abnehmender Breite und Tiefe. Es wird zu beiden Seiten. von nahe horizontal gelagerten starken Sandsteinbünken von 1—2 Faden Mächtigkeit eingeschlossen, die thalein- würts meistens steil abfallen und in ihrer Überlage- rung mitunter ein stufenfórmiges Hervorrücken der untersten Bänke zeigen. Dieselben reichen aber nicht bis zum Niveau des Thalweges hinab, sondern bleiben durch Schutthalden von wechselnder Breite und Hóhe von demselben getrennt. Das ganze Thal zeichnet sich. durch seltene Üppigkeit seiner aus Gramineen und einjährigen Staudenpflanzen bestehenden Vegetation “aus, von welcher das Hauptthal des Kuban in seiner | ganzen Ausdehnung in dieser Weise kaum eine Wieder- holung zeigt. Nur die Tüchtigkeit der Pferde ermög- lichte in dem Dickicht mannshoher Vegetation das einigermassen rasche Fortkommen mit der gewöhn- liehen Pavoske. In 6 Werst Entfernung vom Kuban tritt eine Gabelung des Thales ein, und schon aus der Ferne sieht man in der Mitte der Doppelthalweitung die von zwei Seiten isolirten Sandsteinbänke zu einer bastionartig steil abgestuften Höhe emporragen, die vom Thalgrunde ab etwa 80—90 F. betragen mag. Über einer mit Sandsteinblöcken bedeckten Trümmer- halde von 50—60 F. Höhe erhebt sich eine minde- . stens 2 Faden mächtige Sandsteinbank als steile Wand, die sich durch corrodirte und stark cavernóse Oberfläche, wie durch eine flache nischenförmige Aus- weitung in der Höhe auszeichnet; Umstände, welche sich mit Rücksicht auf die Exposition der Wand nach der Wetterseite, als Wirkungen der atmosphärischen Angriffe wohl erklären liessen, so wenig auch der- gleichen Erscheinungen an andern, ähnlich disponirten Wänden dieses Sandsteingebiets häufig sind. Es wurde Höhe, die übrigens tief genug ist um in der oberen Hälfte von dem anschlagenden Regen kaum erreicht zu werden, der abwitternde Sand Salpeter enthalte und mitunter ein zarter Anflug von weissem Salze an den Wänden zu bemerken sei. Vielleicht war es eine Folge der äusserst regnerisch gewesenen vorangegan- genen Wochen, dass es mir nicht gelang, mich an Ort und Stelle von der Richtigkeit dieser Aussagen zu überzeugen. Der Sandstein der Höhlenoberfläche zeigte sich vollkommen normal, als eine Varietät, welche in einer mässig festen, bräunlich-gelben Grundmasse, die aus einem innigen Gemenge von feinem Quarzsand, Feld- spathpartikeln und thonigem Bindemittel besteht, viele rinden- und geodenförmige Concretionen von Braun- eisenstein einschliesst, die keinerlei Zusammenhang un- ter sich haben und regellos in der Massse vertheilt sind. Die Oberfläche der höhlenartigen Ausweitung war fest, und in dem schwer abzuschabenden Sande hätte vielleicht die chemische Untersuchung Spuren von Salpeter nachweisen können, die dem Geschmacke nicht erkennbar waren. Nachdem die, der Aussage Outjakof's zu Folge, als salpeterführender Sandstein in Anspruch zu nehmende Felspartie äusserlich noch an einigen wenigen zugänglichen Stellen untersucht wor- den, ohne ein befriedigendes Resultat gegeben zu haben, wurde der etwas schwierige Besuch einer, mit vertikalen Spaltungen communicirenden Hóblung aus- geführt, die sich auf der Westseite, dem Hauptthale zu- gewendet findet und allgemein als die hauptsüchliche Fundortsstelle der reichhaltigen Salpetererde be- trachtet wird. Ich muss gestehen, dass ich mit dem nahe liegen- den Vorurtheile zu dem Besuche des Salpetererde- Fundortes geschritten war, es werde sich daselbst nur um einen der von mir im Kaukasus schon mehrfach beobachteten Fälle handeln, wo die Salpeterbildung als eine sekundäre, in Folge der Beschäftigungsart und der Gewohnheiten, nomadisirend mit ihren Schaf- und Ziegenheerden umherziehenden und jede nur irgend zugängliche Höhle zur Bergung des Viehs be- nutzenden Gebirgsbewohner, sich herausstellen. In- ` dessen gelangte ich durch den Besuch des bezeich- neten, mir neue Thatsachen vorführenden Felsinneren zu einer abweichenden Vorstellung. des Sciences de Saint- Pétersbourg. Nach mühsamem Hindurchwinden auf engen Ab- sonderungsklüften durch Absinken getrennter Partien derSandsteinbünke, wurde in rutschender und kriechen- der Lage eine niedrige hóhlenartige Weitung erreicht, deren ráumliche Verháltnisse sich am besten mit denen vergleichen lassen, wie sie etwa die kurze abgebaute Strecke eines Kohlenflótzes von einem Meter Mäch- tigkeit darbieten würde. Die, nur eine stark gebückte Stellung zulassende Weitung mochte anderthalb Faden in der Lánge und die Breite einen Faden betragen. Im Dache war der Raum'durch eine ebene, der Sandsteinschichtung entsprechende Fläche abgeschlos- sen. Die Sohle des Liegenden ging auf der einen Seite mit unregelmássig steigenden Abstufungen in das stark zerklüftete Wandgestein über; auf der anderen Seite war das Absetzen des Sohlgesteins an der glatten Flüche der festen, nicht zerklüfteten Sandsteinbank durch Anlagerung eines sandigen Terrains verhüllt, welches den Bodenraum der ganzen' Hóhle einige Zoll hoch bedeckte. Bei dem Scheine der angezündeten Lichter war nun zu erkennen, dass der am Boden lie- gende Sand durch Zerfallen des Sandsteins der Decke wie der glatten Seitenwand herbeigeführt wird, denn es waren mit der Hammerschürfe sandige Theile so- wohl im Dache wie seitlich leicht abzulösen. Diese, sowie der den Boden bedeckende Sand liessen durch den Geschmäck sogleich eine starke Beimengung von Salpeter erkennen, worauf spáter zurückzukommen sein wird. : Von besonderem Interesse war aber die, für gene- tische Deutung des Salpeters in diesem Sandsteine entscheidende Wahrnehmung; dass ein weisslicher, auf den sandigen Ablósungsstellen der Decke und Wünde der Hóhlung zu bemerkender Schimmer sich auf der glatten Fläche der seitlichen, dem Thale zugewende- ten Hóhlenwand in verstárkter Weise auf einer deut- lich hervortretenden etwa einen Fuss breiten Lüngen- zone concentrirte, die den Schichtungsflächen des Sand- steins conform, in der Mitte der Wand aufsetzt. Dieser Wahrnehmung entsprechend, war die Abwitterung der Gesteinsoberfläche auf dieser Zone am stärksten. Fast unabweisbar führte dies zu der Vorstellung, es sei der Salpeter hier als eine mit der Entstehung des Sandsteins gleichzeitige, mithin ursprüngliche Bil- dung zu betrachten, die sich in einer, die Sandsteinbank horizontal durchsetzenden Zone gewissermassen lokal concentrirt befinde. Das Befremdende der Erscheinung forderte zu einer besonders aufmerksamen Forschung nach solchen physikalischen, im Innern der Hóhle etwa vorhandenen Umstünden auf, die der aprioristischen Ansicht von der Salpeterbildung in ähnlichen Höhlen, durch das sekundäre oder künstliche Hinzutreten stickstoffhaltiger Verbindungen vielleicht günstig sein könnten. Indessen konnte ich, ohnerachtet noch immer schwer zu unterdrückenden Unglaubens an eine pri- märe Salpeterentstehung, keinen, auf einen solchen, früher oder später stattgehabten Einfluss mit nur eini- ger Wahrscheinlichkeit deutenden Umstand, inner- - oder ausserhalb der Höhle ausfindig machen. Die ge- ringen Dimensionen der Höhle, wie ihre schwierige Zugänglichkeit; das absolute Fehlen jedes Zeichens einer früheren Benutzung derselben für Hirtenzwecke; die Abwesenheit aller Spuren etwaniger Bewohnung derselben durch Nachtvögel, Fledermäuse oder andere Thiere, sowie auch die, aus dem stratigraphischen und geotektonischen Verhalten der vorgebirgsartigen Felspartie resultirende Unzulässigkeit der Annahme, auf möglichem Infiltrationswege, etwa von oben her- beigeführter stickstoffhaltiger Verbindungen, sind Umstände, die schon allein den Werth peremptorisch abweisender Gründe gegen die Annahme thierischer -Mitwirkung an dem Salpetererzeugungs - Process an diesem Orte haben. Die ganze physikalische Beschaffen- heit des Inneren, wie die versteckte Lage der Höhle machen es sehr wahrscheinlich, dass sie durch Ver- mittelung der Gebirgsbewohner die den Salpeter auf- suchten, wenn nicht etwa entstanden, aber doch zu ihren jetzigen Dimensionen erweitert worden ist. Die Art, wie sich innerhalb der zuvor geschilderten band- artigen Auswitterungszone der Ablagerungs-Process ` der Sandsteinbildung deutlich in den horizontalen Linien reflectirt, denen die Efflorescenzen zu folgen scheinen, spricht fir die Vorstellung, dass der Sal- peter wirklich fertig gebildet in dem Sandstein vor- ` handen und somit als ein natürliches Mineralprodukt in demselben zu betrachten sei. Von dieser Folgerung ausgehend hat Herr Outjakof, dem Gegenstande ein verdientes praktisches Interesse schon seit lingerer Zeit zuwendend, Auslaugungsversuche des Salpeter haltenden Sandsteins im Grossen mit Quantitüten von 10—12 Pud angestellt, die theils aus dem Innern der Hóhle, theils in seitlicher Nühe und zwar in demselben 11* ER e Bulletin de l'Académie Imperiale Niveau der vorbemerkten Zone von ihm gebrochen wur- den. Der durch diese Versuche herausgestellte Salpeter- gehalt des Sandsteins hat sich der Aussage des Ge- nannten zu Folge als genügend erwiesen, um eine Salpetergewinnung auf dieses lokale Vorkommen basiren zu kónnen. Ich beschrünke mich auf die gegebenen Mittheilungen meiner eignen Wahrnehmungen, mit Übergehung weite- ren spekulirenden Eingehens auf die interessante Frage über die Entstehung des hier als fossil vorauszu- setzenden Salpeters in dem Doggersandsteine des Kubanthales und wende mich nunmehr zu einer Dar- legung der analytischen Resultate, welche die Unter- suchung ergeben hat, die Herr Professor Carl Sehmidt in Dorpat mit der von mir ihm zugesendeten Salpeter- erde anzustellen die Freundlichkeit gehabt hat. Ich führe diese Resultate vollständig in der Anord- nung an, wie sie von ihrem Urheber mir mitgetheilt worden sind. Zerlegung der Salpetererde aus dem Kubanthale. 50 grm lufttrockene Erde mit Wasser ausgelaugt und gekocht. Aus der Wasserlósung durch Silber- nitrat erhalten: 0,3812 grm. Ag. Cl.—0,1885"/ Chlor. Durch Baryumhyd. = 2,7631 BaSO, = 1,8973 » SO, 0,3890Ca0 =0,7780 » CaO 0,4393Mg50,=0,2929 » MgO 2,3716 KCl + 2 Rb Cl, woraus: 4,5190 AgCl = 0,0779 Rubidium. ' = 2,4305 Kalium. 0,1138 NaCl = 0,0897 Y, Natrium. In 100 Theilen lufttrockener Salpetererde: A. In Wasser lósliche Salze. VEO NONEM Cl 0,1885 2,003 ele ER ond SO, 1,8973 20,165 Be eure RR N,0, 3,0558 32,478 auerstoffaequivalente der SO, und N, 0, do Ut 8846 Habia. "m 0,0779 0,828 KERUM enee K 2,4305 25,832 NEU A Na 0,0897 0,953 Cálciuig REA Ca 0,5557 5,906 Magnesium ........ Mg 0,1757 1,867 In Wasser lósliche Salze 9,3034 98,878 Hydratwasser....... H,O 0,1056 1,122 Bei 100° Trockne, in Wasser lösliche Salze 9,4090 100,000 Gruppirung der Elemente im löslichen Salz- gemenge 4. . 0,0779 Rb 0,0073 O = 0,1345 Rubidiumnitrat RbN,O, 0,0493 N,0, | 2,1790K y 0,4493 0 !— 5,5310 Kaliumnitrat KN,O, 3.0065 N,0,J MEME du o | — 0,1062 Ohlorkalium KCl dem P | = 0,2277 Chlornatrium Na Cl 0,1958 K . | 0,0400 0 t — 0,4359 Kaliumsulfat Ka,SO, 0,200180, f 0,5557 Ca 0,2223 0 = 1,8894 Calciumsulfat Ca SO, 1,1114 SO, P 0,1757 Mg | 0,1172 O = 0, 8787 Magnesiumsulfat Mg SO, 0,5858 SO, f Wasserfreie Salze = 9,3034 Hydratwasser = 0,1056 Bei 100? Trockne, in Wasser lósliche Salze 9,4090, wobei enthalten sind: Salpeter 5,6310% B. DerSilicatrückstand in 100 Th. lufttrockner Salpetererde enthält bei 100° getrocknet: Sauerstoffverhältniss. Kieselsáure.... SiO, 41,416 22,088 Thonerde ..... ALO, 10,232 4,768 Eisenoxyd Fe,0; 2,120 0,636 Magnesia ..... Mg0 0,779 0,312 Kalb CaO 0,212 0,061 Natro EN Na,0 1,563 0,404 EST run 0) 1,744 0,296 Rubidium .... Rb,0 0,022 0,002 Wasserfreie Silicate 58,088 Bei 100° nicht entweichendes Hydratwasser der Silicate 2,718 Quarzsand in FH unlóslich.. 28.360 In Wasser unlóslicher bei } 100? trockner Quarz- u. ! 89,166 Silicat-Rückstand ..... f Hygrosiopisches Wasser . 1,425 bei 100° trockne lösliche Salze 9,409 Salpetererde luftrockne 100,000 des Sciences de Saint. Pétersbourg. 170 Sauerstoffverhültniss von B. RO BO SiO, 1,075 5,404 22,088 0,597 3 12,262 Analytische Daten zum Silikat-Rückstand B. 8,9166 grm. bei 100° Trockne geglüht — 8,6448 in Wasser unlósliches Silicat + Quarzsand-Rückstand B, mit Fluorwasserstoffsáure aufgeschlossen, gaben: 2,836 grm. in FH unlóslichen weissen Rückstand. Die Fluorwasserstoff-Lósung gab: 1,0232 grm. Thonerde. 0,2120 » Eisenoxyd. 0,0212 » Kalk durch Weissglühen des Oxalats. 0,2336 » MgSO, = 0,0779 MgO. 0,2788 » RbCI + KaCl, woraus durch Silbernitrat: 0,5339 » Chlorsilber E Nero: Er E 0,0220 Rb,0 1,7438 K, 0 0,2946 » Chlornatrium = 1,5634 Y, Na,0. Es ist unverkennbar, dass die Resultate der vor- stehenden Analyse zu Schlüssen führen, die der Ansicht von einem ursprünglichen Zusammenhange der Sal- petererzeugung mit der chemischen Constitution des Sandsteins vom Kuban insofern günstig sind, als der Silicatrückstand des ausgelaugten Sandsteins ein - inniges Gemenge von 28,7 Quarzsand mit thoniger Substanz darstellt, in welcher eine für die Salpeter- bildung von 5,6%, hinreichende Menge von 1,77%, Kali vorhanden ist. Unter den überhaupt nur seltenen Salpetervorkommnissen ähnlicher Art, bietet das auf der Insel Ceylon den nächsten Vergleich mit dem am Kuban dar“). Der Salpeter kommt daselbst in Höhlen eines feuchten porósen Gesteins von 25% kohlen- sauren Kalk und 60,77, Feldspath vor. John Davy, der keine thierische stickstoffhaltige Substanz in dem Gesteine nachweisen konnte, fand darin 2,4%, Salpeter und war geneigt, die Bildung der Salpetersäure in diesem Gesteine vorzugsweise auf Kosten des atmosphä- rischen Stickstoffes und. Sauerstolles anzunehmen. In einem anderen sal bilde aus Bengalen, ANA UYU 4) Lehrbuch der chemischen und physikalischeu Geologie von G. Bischof, Theil L pg. 632. worin er nur eine Spur von thierischer Materie nach- weisen konnte, fand Davy dagegen 8,3%, Salpeter. Nach Bischof's Annahme war in diesem Falle die ursprüng- lich. vorhandene thierische Materie schon gróssten- theils zur Salpeterbildung verbraucht worden. Insofern nun die Auswitterung des Salpeters als eine gleich- ` zeitige Funktion der Capillaritit und der chemischen Afünitàt zu betrachten ist, die unter dem Einflusse der atmosphirischen Luft und ihrer Feuchtigkeit successiv in Wirksamkeit tritt, stellt sich das aller- dings bis jetzt nur durch die Angabe Outjakof's verbürgte Durchdrungensein des Sandsteins inner- halb einer im festen Gesteine horizontal verbreite- ten Zone als ein vorerst noch ungelóstes Problem dar. Der nächste Schritt, seiner Ermittelung näher zu treten, wáre natürlich eine genaue chemische Unter- suchung des Sandsteins der Salpeter erzeugenden Ört- lichkeit selbst und zwar aus verschiedenen Niveaus der denselben auswitternden Bank. Lokal verstürkte Ansammlung und Absonderung zersetzter thierischer Materie, aus der Niederschlagsperiode des Gesteins undein davon abhángender grósserer Ammoniakgehalt in demselben als er sonst wohl in Sedimentgesteinen vorzukommen pflegt, sind Umstünde, deren Annahme erlaubt wáre, aber sie müssen nachgewiesen werden. Sur l'acide diéthyl - méthylacétique, nouvelle variété isomérique de l'acide oenanthylique. Par M. E. Jdanow. (Lu le 20 avril 1876.) On a connu jusqu'à présent deux acides renfermant un radical alcoolique tertiaire, l'acide triméthylacéti- que de M. Boutlerow C,H,,0, et l'acide diméthyl- acétique de M. Wischnegradsky C¿H,¿0,. Je viens de préparer un troisième acide analogue C,H,,0,. Cette préparation a été effectuée d'aprés le procédé de M. Boutlerow, en partant du diéthyl-méthylcarbinol ob- tenu par l'action de chlorure d'acéthyle sur le zinc- éthyle. On a fait agir l'iodure de cet alcool tertiaire sur le sel double Hg (CN),, 2 KCN; le cyanure brut obtenu ainsi a été traité avec de l'acide chlorhydri- que fumant, en chauffant à 120°— 140? le mélange de ces deux corps dans des tubes scellés pendamt 6 à 8 jours. Aprés avoir distillé le produit de ce traite- ment, on l'a agité avec de la lessive caustique de po- < Bulletin de l’Académie Impériale 172 tasse pour extraire l’acide formé. La solution alcaline aqueuse a été évaporée à siccité et le résidu traité avec de l'aleool qui dissout le sel organique. Le sel, obtenu par l'évaparation de la solution alcoolique, a été décomposé par l’acide sulfurique dilué d’une cer- taine quantité d'eau. On a obtenu ainsi un acide hui- leux, coloré par des traces d' iode, qu'on a éloigné par l'agitation avec de l'argent moléculaire. L’acide étant desséché d'abord par du sulfate de sodium an- hydre et ensuite par de l'anhydride phosphorique a été soumis à la distillation. Toute la quantité du produit a passé à la température de 207?— 208°. Les ana- lyses des sels d'argent et de baryte décrites plus bas assignent à l'acide que j'ai préparé la formule C;H,,O, et son mode de formation lui fait attribuer la formule rationelle C,H, C ^ OH; a TCB; CO,HO et le nom d'acide diéthyl-méthylacétique. L'acide diéthyl-méthylacétique est un liquide hui- leux incolore presque insoluble dans l'eau; son odeur faible n'est pas désagréable; il ne se solidifie pas à — 20°. Son point d'ébullition est moins élevé que celui des deux autres variétés isomériques connues: l'acide diéthyl- méthylacétique bout à 207°— 208° sous la pression de 753 m. m., tandis que le point d'ébul- lition de l'acide oenanthylique est situé à 223? — 224°, et celui de l'acide isoenanthylique — à 210°— 213°. Parmi les sels de l'acide diéthyl-méthylacétique on a préparé ceux de potassium, d'argent, de zinc et de barium. En ajoutant peu à peu une solution de carbonate de potasse à l'acide nouveau on n'observe le dégage- ment de l'acide carbonique que lorsqu'on chauffe le mélange et il arrive un moment oü le liquide, étant refroidi, se prend en une masse de fines aiguilles groupées en étoiles du composé salin acide. La solution a la capacité de se troubler par l'additíon de l'eau. Le sel neutre de potasse est trés soluble et n'a pas été obtenu à l'état cristallisé. Le sel d'argent a été préparé en mélangeant les solutions du nitrate d'argent et du sel potassique neutré. C'est un précipité blanc volumineux, soluble à un certain degré dans l'eau bouillante. Par le re- froidissement de cette dissolution le sel se dépose sous la forme de petites aiguilles réunies en faisceaux. Le sel cristallisé ne contient pas d'eau et brunit assez vite à la lumière. 0,1560 gr. du sel argentique cristallisé desséché à la température ordinaire au-dessus de l’acide sulfuri- que, ont fourni à la combustion 0,2015 d'acide car- bonique et 0,0760 gr. d’eau, en laissant 0,0710 gr. d'argent métallique. Ceci donne en centiémes: Expérience: Théorie pour: m C,H ,AgO, C = 35,26 35,44 H — 5,38 5,49 Ag — 45,51 45,57 Le sel de zinc s'obtient par double décomposition comme un précipité blanc. Il est peu soluble dans l'eau; sa solution préparée à froid se trouble cepen- dant un peu, lorsqu'on la chauffe. Le sel de barium (C;H,,0,), Ba+ 5 H,0 a été pré- paré en saturant l'acide par de l'eau de baryte, et en éloignant l'excés de l'aleali par un courant d'acide carbonique. Ce sel se dissout aisément dans l'eau, mais ne se mouille que difficilement ; il est trés apte à for- mer des solutions sursaturées. Étant chauffée la so- lution se décompose un peu et se trouble par la for- mation du carbonate de baryte. Une solution concentrée et chaude se prend, lorsqu'on la refroidit rapidement, en une masse d'aiguilles aplaties, groupées en étoiles. En laissant cristalliser lentement une solution moins concentrée, on obtient des primes plats. Les cristaux s'effleurissent facilement à l'air, et perdent comple- tement leur eau de cristallisation, lorsqu'on les laisse sé- journer sous une cloche au-dessus de l'acide sulfurique. I. 0,1310 gr. de sel récemment cristallisé et ex- primé entre des doubles de papier buvard ont perdu à la dessiccation 0,0245 de leur poids. II. 0,1045 gr. ont perdu 0,0195 gr. d’eau. IIT. 0,1210 gr. de sel anhydre ne perdant plus de son poids au-dessus de l'acide sulfurique ont Qu" 0,0705 gr. de sulfate de barium. En centiémes: Expériences: Théorie: I. H. HL pour(C;H,,0,,Ba-4-5 HO H,O = 18,70 18,66 — 18,55 pour (C,H ,0,),Ba Ba = '— — 34,30 34,68 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 174 * Le cyanure brut, dont il a été question plus haut, parait renfermer une certaine quantité de carbylamine correspondante; son traitement par l'acide chlorhydri- que conduit toujours à la formation d'une certaine quantité d'un aleali huileux volatil qui n'est certaine- ment autre chose que l'hexylamine renfermant le ra- dical du diéthyl-méthylearbinol. Le point d'ébulli- tion de cet alcali est situé vers 108^ —110*. Ce travail a été exécuté au laboratoire de M. le prof. A. Boutlerow. St-.Pétersbourg, le 2 (14) avril 1876. L'Institut de droit international de 1873 à 1876. Par M. WI, Besobrasof. (Lu le 25 mai 1876.) L'année dernière j'eus l'honneur d'annoncer à PA- cadémie mon projet de me rendre à La Haye pour y assister à la session annuelle de l'Institut de Droit In- ternational. Les travaux de l’Institut pendant cette session n'ayant été publiés que tout récemment, je n'ai pu en rendre compte plus tót. Trois années se sont écoulées depuis la fondation de l'Institut; cette. période suffit pour pouvoir juger de la portée et de la vitalité de cette institution, dont les débuts donnèrent lieu à toute sorte de doutes et d'appréhensions. Il est donc utile de faire main- tenant une esquisse générale de l'activité déployée par l'Institut dans cette période triennale; ce dernier s’est déjà acquis une place importante dans la littéra- ture du droit des gens, et a pris part au mouvement de quelques questions pratiques qui préoccupent le monde politique contemporain. | Le but que se sont posé les fondateurs de l'Institut, est suffisamment connu aujourd'hui, ayant été beau- coup discuté et méme contesté dans le monde savant à cause de sa nouveauté ?). 1) V. notre article «L'Institut de droit international, St.-Pétersb. 1874». Cet article, inséré dans la Revue du ministere de l'instruction publique, contient une esquisse historique de la fondation de l'In- stitut, et une explication des objets qu'il a en vue, ainsi que de son organisation, et de toutes les questions écloses à sa fondation. Les statuts et le programme de l'Institut y sont joints. V. aussi le rap- . Lucas, membre de l'Institut des sciences morales et politiques en France «Quelques mots sur le concours de l'action L'objet essentiel qu'on eut en vue à la fondation de l'Institut, consista à faire entrer dans le dévelop- pement du droit des gens un nouvel élément, inconnu jusque là, l'action scientifique collective d'une corpo- ration de savants °). Cette force doit accélerer le progrés dans ce domaine important du droit, qui ne s'est développé jusqu'ici que sous l'influence exclu- sive de deux éléments, — de la diplomatie pratique et des travaux individuels des savants. Une telle activité collective ou corporative de la part des représentants actuels du droit des gens dans le monde civilisé, qui viendrait s'ajouter aux efforts personnels d'hommes d'État éclairés et de savants, pourrait accroitre con- sidérablement les moyens d'action des uns et des autres en vue d'améliorer la vie internationale des États et de la mettre en accord avec les exigences du droit, de l'humanité et de la civilisation. Une cor- poration pareille, dont les membres appartiennent par leur nationalité à tous les pays civilisés, qui est neutralisée relativement à chaque nation par son or- ganisation internationale et qui est en méme temps completement indépendante des gouvernements par son caractère privé, pourrait devenir l'organe de la conscience juridique du monde civilisé ?). La voix : de cette conscience dans laquelle le sentiment in- stinetif de l'équité et de l'humanité est éclairé par l'analyse raisonnée de la science, se fait déjà écouter par tous les gouvernements, cherchant à établir leurs relations internationales, ou à résoudre leurs différents et leurs malentendus mutuels. C'est dans cet ordre d'idées que fut fondé l'Institut. Pour réaliser ces idées il fallut vaincre les difficultés qui se trouvaient dans l'essence méme de la tàche qu'on s'était posée et qui soulevaient les plus graves. objections. C'était justement la collectivité du travail scientifique qui semblait la plus difficile à réaliser et que beaucoup de voix rejetaient absolument comme contraire à la science. Ensuite, une institution, de- mandant une communion incessante entre des per- sonnes, séparées par d'énormes distances et parsemées sur toute la surface de deux parties du monde (de collective de la science pour le progrés du droit des gens et de l'arbitrage international; Paris, 1873». i 2) V. la préface ou le programme de l'Institut, joints à ses statuts. ' 3) V. le $ I des statuts de l'Institut. 175 Bulletin de l'Académie Impériale l'Europe et de l'Amérique), réunissant périodiquement ses membres à des époques fixes et leur imposant, en dépit de son caractère privé, le devoir de travailler en sa faveur, et agissant comme un organe régulier, — une institution pareille paraissait bien difficile à fonder, surtout parce que la plus grande partie de ses membres, étant surchargés de travail et ne disposant pas de grands moyens pécuniaires, n'ont que peu de loisir à consacrer à des voyages. - Le poids de toutes ces sérieuses difficultés ne man- qua pas de peser sur l'Institut, mais son activité trien- nale démontra qu'elles n'ont pas été msurmontables. La táche qu'il s'est posée s’accomplit petit à petit, si ce n'est avec rapidité et dans les proportions qu'on eut pu souhaiter. Il faut observer toutefois, que la quantité des travaux exécutés par l'Institut, ainsi que des services déjà rendus par lui, surpasse de beaucoup ce qu'en sait la masse du publie européen; son carac- tere sévere et l'appareil modeste de ses travaux sous- traits à la bruyante publicité entourant les congrés internationaux de nos jours, sa spécialité et le peu de durée de son existence, ont été cause de ce que cette institution est encore si peu connue jusqu'à présent. Le personnel de l'Institut se compose des repré- sentants les plus célébres de droit international (en partie aussi de ceux du droit public et des sciences politiques en général) en Europe et en Amérique 5); toutes les nations civilisées formant des Minis séparés, y ont leurs représentants *). 4) Le maximum ES membres de l'Institut, marqué dans ses statuts au chiffre 50, a été cause de ce que des savants, dont le mérite est universellement reconnu, n bet. pu étre admis à titre de membres e 5) Le gege de ien ied par États, dont les membres sont sujets, se présente ainsi Aut : membres effectifs MM. Neumann et Stein. La république Argentine: membre "presb M. Carlos Calvo. ' Belgique: membres effectifs: MM. veleye, Laurent et Rolin- ense yns; associés: MM. Rivier et Rolin ande Bretagne: membres effectifs: MM. Mounta ague Ber- nard, Westlake, era et Travers Twiss; associés: Hall et Holland. lema, membres effectifs: MM. von Bar, Bluntschli, ESTO Goldschmidt, ng Marquardsen; asso- ci essnér, Loening et Meye Hollande: membre effectif: M. Pies associé: Den Beer Por- tugael. Danemark: associé: M. Petersen. Espagne: membre effectif: M. Landa. Italie: membres effectifs: MM. Vidari, Esperson, Fiore, Mancini, Mamiani, Pierantoni, Comte Sclopis; associé: Norsa. ` Un personnel pareil donne à l'Institut l'autorité scientifique nécessaire à cette institution, qui ne peut manquer d'étre universellement reconnue tant dans les sphéres scientifiques que gouvernementales. Il unit à ce personnel, qui représente le monde civi- lisé en entier. un caractere completement interna- tional, sans lequel l'autorité scientifique de ses mem- bres eut été insuffisante à inspirer à l'opinion publique de la confiance en son impartialité. Le chiffre re- latif des sujets de chaque État qui sont membres de l’Institut est en rapport naturel avec celui des représentants actuels du droit des gens dans chaque pays, et de la somme générale des forces scientifiques de chacun d'eux*). D'aprés le nombre de ses mem- bres, aucune nation ne domine sur les autres, et ne peut faire notablement pencher la balance en sa faveur. L'Italie y a aujourd'hui le plus de représentants ;. cette nation, la plus faible parmi les grandes puis- sances de l'Europe, s'est toujours distinguée par lé- laboration de la théorie du droit des gens. Tous les membres de l'Institut sont loin de toujours assister à ses sessions, mais à chacune des trois sessions ayant eu lieu jusqu'ici, les grandes nations ont eu leurs re- présentants. Il n'est pas arrivé encore, qu'aucune de ces nations ait imprimé sa couleur particulière aux séances de l'Institut, tant par la force quantitative que qualificative de ses représentants, et ait altéré son caractère international et neutre en faveur de quelque nationalité que ce füt. La force de l'autorité et des Russie: membres effectifs: Ac? W. Besobrasof, Bulmering, A. Martens; associé: C. Komer États Unis: up effectifs: SE Wharton, Wool- sey, Dudley Field, Lawrence. France: membres effectifs: MM. Drouyn de Ee pee Esquirou de Parieu; associés: Clunel, Le Touzé, Montlu uede ` membres effet MM, Aschehoug, Kaumaon, Oli- vecrona. Suisse: membres effectifs: MM. Brocher et Moynier; asso- $ im membres, sujets d'un méme État; leur chiffre ne doit point excéder un cinquième de GUI des membres. Cette limite est loin d'étre atteinte encore par aucune nation. Le nombre le plus considérable de représentants est acquis aux États suivants: l'Italie en a 7, PAllemagne — 6, a France — 5, Les États Unis — 5, la Grande Bretagne — 4, Ge Russie Bn la Suéde — 3 et la Belgique — 3. le plus considérable de membres effectifs et d'associés, (ayant seule- aprés viennent l'Italie, la Grande gique et la Russie (le nombre des ODE russes s'acroitra cette année ‘ mières années: M. Mac 177 des Sciences de Saint- Pétersbourg. arguments scientifiques dans chaque question débattue, étouffait toute espece de considérations étroites et na- tionales, et éloignait les froissements de l'amour pro- pre et de l'antagonisme national, si aptes à se pro- duire dans les affaires internationales, méme dans les milieux les plus éclairés. Le développement de cet esprit de la science et d'équité dans la vie de l’Institut”), exemple de tous pré- jugés nationaux et de penchants de race, a été ex- cessivement favorisé par le personnel. de son bureau > ses membres qui sont avant tout les premiéres auto- rités de la science moderne, appartiennent en méme. temps aux nationalités les plus diverses, y compris à celles qui étaient dans ces dernières années le plus désunies et aigries mutuellement sur le terrain po- litique; d'un autre cóté, le bureau compte aussi dans son sein les sujets des petites puissances, neutra- lisées dans le systéme politique del’Europe, et cette circonstance accroît encore le caractère d'impar- tialité nationale, dont l’Institut est revêtu. En raison des conditions particulières dans lesquelles il est placé par les distances qui séparent ses membres, le bureau de l’Institut joue un rôle exceptionnel; ses pleins-pouvoirs sont très larges, en vue de parer à l'in- convénient mentionné plus haut; c'est son activité qui entretient la vie de l'Institut dans les intervalles entre les sessions annuelles, à titre d'organe perma- nent et régulier. L'action du buréau est facilitée en ce sens par la position centrale des pays, auxquels ap- partiennent ses membres et de leur voisinage relatif, qui admet, en cas extrémes, des dispositions assez ra- pides ét énergiques, prises d'accord, ainsi que cela s'est déjà vu. Enfin, toute l'activité de l'Institut est personnifiée et concentrée dans son Secrétaire général, élu pour six ans et habitant le point le plus central (Gand). La fixité du secrétariat, pouvant satisfaire à toutes les exigences courantes et prendre des mesures extraordinires en cas d'urgence, compléte son carac- tére d'institution scientifique permanente et réguliere, 7) Une preuve éclatante de cet esprit est fournie par les déci- sions de l'Institut relatives à la conférence de Bruxelles sur lés règles et coutumes de la guerre (v. plus loin). 8) Le Président, élu annuellement, a été pendant les deux pre- cini (Italien) ; les Vice-Présidents. MM. tschli, et les Vice - . dents: MM. Esquirou de Parieu et Asser (Hollandais); le Secré- taire général, élu pour six ans: M. Rolin Jaequemyns (Belge). Tome XXII. et détruit jusqu'à l'ombre de la vie nomade que lui prétent ses sessions annuelles, lesquelles en vue de faciliter et d'égaliser les voyages des membres, se transportant dans différents lieux, choisis principale- ment parmi les points centraux et les pays neutres. 11 faut croire que le zéle et l'activité des membres du bureau, qui comptent tous parmi les fondateurs de l'Institut et y ont attaché l'honneur de leur nom, sau- ront surmonter les difficultés créées par les particula- rités de son organisation. Un des côtés les plus faibles de l’Institut ce sont ses moyens pécuniaires, qui ne se composent que des cotisations de ses membres effectifs, appelés en outre à lui consacrer leurs travaux, et auxquels on ne peut demander davantage en toute justice (vu surtout la fortune restreinte de la plupart d'eux). Les moyens à employer pour donner plus de solidité à la partie financière ont été discutés plus d'une fois au sein de l'Institut. La question de l'opportunité de de- mander des secours matériels aux États, comme di- rectement intéressés à J’avenir de l’Institut, reste ouverte, et attend sa solution dans les sessions sui- vantes. En méme tems, c'est de Paccroissement de ses ressources financiéres que dépendra le plus le de- véloppement de ses moyens d'action °). En ce qui concerne le premier et le plus sé- rieux obstacle au succes des travaux de l'Institut, c’est-à-dire la difficulté du travail scientifique collectif, il a été complétement surmonté au moyen d'une orga- nisation, où le travail individuel est combiné avec le travail collectif et corporatif. C'est dans ce but que l'Institut a adopté l'ordre suivant pour ses travaux: les questions mises à l'étude et devant étre débattues sont fixées un an d'avance dans ses assemblées plé- nières, et chacune de ces questions est confiée aux soins d'une commission spéciale, composée des membres, de la spécialité desquels elle se rapproche le plus. La commission choisit dans son sein un, ou méme plu- sieurs rapporteurs, qui étudient la question tout-à-fait librement et en proposent ensuite la solution. Ces so- lutions sont débattues dans les commissions ou bien verbalement avant chaque session, ou par correspon- ek ve rang de gd; — est conféré a chaque donateur, qui verse 3000 fr., mais cette source de revenus n'a pas été abon- dan ie jme ici ; l'Institat ne dije encore qu un seul membre honora 12 ” —— Bulletin de l'Académie Impériale ‚180 dance entre leurs membres dans le courant de l'année. Aprés quoi, les décisions adoptées par les commissions, de méme que les motions personnelles de ses membres sont discutées dans les assemblées pléniéres de l'In- stitut. Outre les travaux des rapporteurs, ayant le caractére d'investigations scientifiques et d'opinions personelles, d'autres recherches et d'autres motions sont présentées, tant par les membres des commissions, que pas ceux qui n'en font pas partie. L'Institut, les publie et táche de les distribuer aux membres avant le commencement de chaque session, durant laquelle lassemblée générale les débat, et les vote définiti- vement àla majorité des voix. Il ne faut pas oublier, que la plupart de ces questions, conformément à Pes- sence du droit des gens, sont des questions pratiques, oü il s'agit d'appliquer les principes généraux du droit à tels ou tels autres rapports de la vie internationale moderne. L'Institut ne choisit que les questions in- diquées naturellement par le mouvement et les inté- réts de cette vie, et attendant leur solution de la part des gouvernements; il écarte tous les objets n'ayant pour le moment qu'un intérêt purement abstrait. Les questions pratiques peuvent étre débattues dans des assemblées; les conclusions adoptées par l'Institut, si elles ne sont pas infaillibles, expriment ehaque fois les vues de la majorité donnée des specialistes et des savants contemporains, basées sur une étude ap- profondie du sujet en litige. Cet ordre a déjà été adopté pour plusieurs questions débattues par l'Institut dans le courant de deux années et renvoyées d'une session à l'autre, en vue d'une étude plus approfondie. La solution de ces questions, qui préoccupent sérieu- - sement les gouvernements et se décident fréquemment dans leur sein par des personnes bien moins compé- tentes, et avec une hâte menant à des erreurs, ne peut qu'étre prise en considération par les États, comme leur apportant un secours notable, dans leur action. La voix d'une corporation savante, telle que l'Institut, ne manquera pas de se faire entendre tót ou tard dans les sphéres officielles, quelle que soit leur indifférence envers la science. C'est ainsi qu'à l'aide de cette organisation le tra- vail personnel et le travail collectif gardent chacun la place qui leur est due et les moyens d'action qui leur sont propres. L'activité collective de l'Institut fait nai- tre les recherches personnelles et l'étude des ques- tions pratiques de droit international, et c'est en se ba- sant sur ses recherches, que l'Institut formule ses dé- cisions. Tous ces travaux, ainsi que les motions diverses présentées par les hommes les plus compétents sur chaque question débattue, ont considérablement en- richi la littérature de ce domaine. Quelques-uns de ces travaux forment des monographies remarquables, qui resteront dans l'histoire de la science et serviront de guide précieux dans la solution future de ces pro- blémes. | : L'énumération des questions posées par l’Institut dans la période triennale de son existence, et des tra- Vaux les plus importants de ses membres, confirmera ce que nous avons énoncé à propos de son activité. La premiére question, débattue en 1874 à la ses- sion de Genéve, concernait un Projet de reglement pour les arbitrages internationaux. - L'Institut a eu pleinement raison en mettant sur le premier plan cette question, dont l'importance était ` démontrée par les besoins les plus urgents de notre temps et les aspirations des hommes d'État et des pen- seurs les plus éclairés, surtout aprés l'arbitrage de Genéve de 1871, concernant l'affaire Alabama. Ici encore, il resta fidéle à la tendance adoptée et ne se laissa pas entrainer par des espérances exagérées et utopiques, auxquelles cette question est si apte à don- ner lieu. Dés sa fondation, l'Institut élimina de son pro- gramme toute discussion sur la paix éternelle et la possibilité d'abolir la guerre dans l'état actuel des rapports internationaux. Les réveries et les conseils de ce genre qué les philanthropes adresserent maintes fois aux gouvernements, ne servirent qu'à embarrasser les tentatives humanitaires ayant pour objet l'amélio- ration de la vie internationale, en inspirant de la mé- fiance aux hommes d'État pratiques. C'est pourquoi l'Institut envisagea l'arbitrage international sans opti- misme exagéré et sans se créer l'ilusion, qu'il püt dés aujourd'hui remplacer la solution armée de toutes les questions en litige entre les Etats; en même temps, il considéra comme inopportun d'imposer aux gouver- nements des conseils infructueux à ce sujet. Toutefois, il se peut que la coutume de recourir à l'arbitrage dans les contestations internationales se développe gra- duellement et parvienne à s'affermir, en remplacant peu à peu la force brutale, ainsi que l'expérience des derniéres années l'a prouvé. Cette institution est en- des Sciences de Saint- Pétersbourg. Se core de date si récente que les formes de la juridic- tion internationale ne sont encore établies ni par la science, ni par la pratique; ce manque de fixité qui donne lieu à bien des incertitudes, peut empécher les gouvernements de recourir à l'arbitrage et se montrer défavorable aux moyens d'action et aux décisions de ces tribunaux. En vue de toutes ces considérations on s'arréta, comme à la mesure la plus pratique, à la formation de régles modéles, basées sur la théorie et la pratique, pouvant servir de guide aux tribunaux .d'arbitrage dans l'avenir. Ce travail fut confié à une commission composée de: MM. Dudley Field, Goldschmidt, de Laveleye et Pierantoni. Le rapporteur, M. Goldschmidt, jurisconsulte allemand trés connu, membre de la cour supréme de commerce à Leipzig, fit à ce sujet un grand travail*), où il examina soigneu- sement toutes les questions de droit, se rapportant à l'arbitrage international et fit l'énumération de toutes les sources pratiques et littéraires de l'arbitrage, tant dans le domaine du droit civil privé, que du droit des gens. Le travail de M. Goldschmidt, qui peut étre considéré comme ayant épuisé ce sujet, a servi de base à ce projet du réglement pour l'arbitrage in- ternational. Ce projet embrasse tous les cótés et tous les éléments de l’arbitrage international: la conclu- sion des compromis, la formation du tribunal arbi- tral, la procédure devant ce tribunal; la sentence arbitrale; le recours contre la sentence. Ce projet a été examiné deux fois par l'assemblée pléniére de l'Institut, dans sa session de Genéve en 1874 et dans celle de la Haye en 1875. Chaque paragraphe en a été rigoureusement débattu en présence du rappor- teur, qui offrit des explications sur chaque point et conformément aux observations de l’Institut, il fut révisé encore une fois par le rapporteur et la com- mission, aprés quoi il recut la sanction de l'Institut sous la forme définitive de 27 paragraphes. On peut étre sür, que ce projet, qui forme le produit le plus már de la science et de l'expérience dans le domaine de l'arbitrage international, servira de guide aux tribu- 10) Ce travail est fait sous forme de nofes, jointes au projet de règlement de l'arbitrage international, composé par l'auteur. V. les Communications relatives à l'Institut de droit international, IV Fascicule, Gand, 1874 (les travaux préliminaires de la session de Genéve). 2 naux arbitraux qui auraient à siéger dans un avenir prochain. Les gouvernements sont maintenant en pos- session d'un code complet sur ce sujet, code qui peut étre appliqué dans son entier ou en partie; chaque article en est soigneusement motivé dans le travail de M. Goldschmidt et dans les discussions de l'Institut. Si quelque article de ce réglement était reconnu comme ne pouvant pas étre appliqué dans un cas donné, les gouvernements et les membres du tribunal trouveraient dans les commentaires joints au projet et dans les jugements énoncés par les membres de l'Institut, toutes les indications nécessaires concernant la question en litige. Les matériaux si riches, rassem- blés par l'Institut dans toutes les branches de l'arbi- trage international, faciliteraient beaucoup l'amende- ment des articles du projet, en cas que cet amende- ment fut jugé nécessaire. On peut affirmer sans exa- gération, que le travail de l'Institut a fourni une base solide à l'arbitrage international, qui en manquait jus- qu'ici. On s'en convaincra incontestabl t au premier cas d'arbitrage qui se présentera. Les rögles fixées par l’Institut sont précédées par les paroles suivantes : «L'Institut désirant que le recours à l'arbitrage, pour la solution des conflits internationaux soit de plus en plus pratiqué par les peuples civilisés, espère con- courir utilement à la réalisation de ce progrés, en proposant pour le fonctionnement des tribunaux arbi- traux, le réglement éventuel suivant». Une autre táche des plus graves proposée à la ses- sion de Genéve et accomplie seulement l'année der- niére à celle de la Haye, fut l'examen des trois rögles du traité de Washington, conclu le 8 mai 1871 entre la Grande-Bretagne et les États-Unis, concernant l'affaire Alabama. Ces trois régles servirent de base à la sentence prononcée par le tribunal d'arbitrage de Genéve au sujet de ce conflit, et elles ont une signifi- cation importante dans l'histoire du droit interna- tional, en qualité de formule moderne des droits et des devoirs des neutres dans les guerres maritimes. . En méme temps ces rögles donnérent lieu à des inter- prétations fort diverses dans le monde politique et savant, et la sentence du tribunal de Genéve mécon- tenta également la Grande-Bretagne et les États- Unis. L'étude de cette question fut confiée à une com- mission, composée de: MM. Asser, Bluntschli (rap- 12* Bulletin de PAcadémie Impériale 184 porteur), Westlake, Calvo, Mancini, Neumann, Hautefeuille et Rolin-Jaequemyns; en qualité de membres consultants y furent adjoints: M. Lorimer (pour la Grande-Bretagne) et M. Woolsey (pour les États-Unis "). : Le traité de Washington avec les questions de droit maritime qu'il souleva, furent soigneusement exami- nés par l'Institut. Toute une série de travaux, con- sacrés à l'élaboration de ces sujets fut publiée. Tel est le vaste mémoire de M. Calvo, renfermant l’his- toire et la littérature compléte du sujet, de méme que l'analyse de toutes les opinions émises. Tels sont aussi les notices et les comptes-rendus présentés par MM. Lorimer, Woolsey, Rolin-Jaequemyns, Beech Làwrence, Montague Bernard, Neumann et Westlake. La multiplicité de ces opinions diverses sur les questions soulevées par le traité de Washington a été d'une grande utilité, ces questions étant fort contestées, et considérées diversement par les gouver- nements. Apres une double discussion de ces travaux dans deux sessions consécutives, l'Institut adopta en 1875 à la Haye la rédaction définitive des trois régles du traité de Washington, qu'il proposa d'admettre dans le droit international en vigueur, comme étant le plus en accord avec les exigences de notre temps et prétant le moins à l'incertitude, dans tout ce qui concerne les droits et les devoirs des neutres pendant la guerre maritime. La troisième question qui arréta spécialement Vat- „tention de l'Institut, est l'utilité de rendre obliga- toire pour tous les États, sous la forme d'un ou de plusieurs traités internationaux, un certain nombre de régles générales du droit international privé, pour assurér la décision uniforme des conflits entre les différentes legislations civiles et criminelles. Le dé- veloppement que prennent journellement les rapports civils et économiques entre les sujets de tous les États civilisés, l'accroissement rapide du chiffre des voyageurs * et des étrangers ayant élu domicile dans chaque pays, les particularités de la direction que suit actuelle- ment la vie des peuples historiques, oü les rapports internationaux gagnent constamment du terrain, toutes ces conditions réunies donnent une grande importance à la question citée plus haut. Le pouvoir judiciaire dans toute l'Europe rencontre des embarras sérieux, lorsqu'il s'agit de sentences à prononcer dans des af- faires où sont mélés les sujets d'autres États, ne sa- chant sur quel code les baser. L'étude de cette question aussi vaste que compli- quée fut entreprise par une commission composée de: MM. Asser et Mancini, rapporteurs, Bar, Beech Lawrence, Brocher, Massé, Westlake, Esper- son, Fiore, e£ Laurent. MM. Asser et Mancini présentèrent chacun un mémoire séparé à ce sujet à la session de Genève; pendant cette session, les prin- - cipes généraux du droit international privé furent adoptés conformément aux propositions des rappor- teurs, de méme que le programme, d'aprés lequel cet objet devait étre étudié ultérieurement dans ses dé- tails (dans ses quatre branches principales: le droit et la juridiction civils, le droit et la juridiction crimi- nels et le droit commercial). A la session dernière, à la Haye, l'Institut adopta plusieurs points des propositions de M. Asser, con- cernant la compétence des tribunaux et décida de poursuivre l'élaboration de cette question. M. Asser continue à y travailler avec zéle, il rassemble et pu- blie, dans les matériaux de l’Institut, des données comparatives fort intéressantes sur la législation en. vigueur dans les États européens, concernant les branches les plus importantes du droit civil privé. Tel est son mémoire présenté à la session derniére et récemment publté, sur la procédure civile ?). En con- sidération du vaste domaine à explorer, on décida à la session derniére, que la commission poursuivrait ses travaux, élaborerait consécutivement une branche du droit international privé aprés l'autre et présente- rait ses conclusions à l'Institut. Outre la continuation et l'achévement des travaux ` mentionnés, l'Institut discuta quelques nouvelles ques- tions à sa derniére session de la Haye. Pendant la discussion du traité de. Washington en 1874, on reconnut déjà l'utilité d'étudier spéciale- ment le principe de l'inviolabilité de la propriété privée dans la guerre maritime; cette question ne peut “plus étre envisagée sous le point de vue d'autrefois, com- 12) V. Bulletin de l'Institut de droit international, Session de la Haye, 1875. Gand 1876. . 185 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 196 plétement en désaccord, tant avec les idées actuelles sur la guerre qu'avec les conditions du commerce in- ternational, et cependant, elle est. encore à attendre sa solution, malgré toutes les: négociations des gou- vernements sur la matiére. Dans ce but, il se forma une commission composée de: MM. Bulmerincq, Calvo, Cauchy, Hautefeuille, C. Sclopis, Vidari, West- lake, Woolsey et des rapporteurs de Laveleye, Pierantoni et A. Rolin. La commission traca un programme pour ses travaux qui embrasse toutes les branches: la propriété privée de l'ennemi, la propriété ` privée neutre, la contrebande militaire, le blocus, la course maritime, le dfoit de visite et les tribunaux de prise. Un questionnaire détaillé fut joint à ce pro- gramme, en réponse auquel chaque membre de la com- mission présenta ses observations et son opinion, fondues toutes dans un rapport présenté à l'Institut par M. Alberie Rolin?). La haute autorité scientifique des membres mentionnés de la commission ne peut man- quer de préter un grand intérét à cet ensemble de leurs opinions. En outre M. de Laveleye présenta un tra- vail”), où la situation des questions relatives à la pro- priété privée en temps de guerre maritime, ainsi que toute la littérature de cette branche sont passées en revue. Un travail de méme genre, où prédomine l'étude de la littérature italienne, a été fait par le troisième rapporteur, M. Pierantoni "). Sur tous ces travaux, l'Institut formula l'année dernière quelques conclusions générales devant exprimer la norme du droit interifa- tional concernant la propriété privée sur mer. Ces con- clusions, adoptées presque à l'unanimité '^), sont si im- portantes au point de vue pratique, que nous ne pou- vons les omettre ici: I. Le principe de l'inviolabilité de la propriété privée ennemie, naviguant sous pavillon neutre, doit étre considéré dés à présent comme entré dans le domaine du droit des gens positif. II. Il est à désirer, que le principe de l'inviolabilité de la pro- priété privée ennemie, naviguant sous pavillon ennemi soit universellement accepté dans les termes suivants, 13) V. Bulletin de l’Institut de droit international, Session de La Haye, Gand. 1876 ) V. idem. 15) V. idem 16) Les quatre ces appartenant à la ed Bretagne qui assistérent à la session de la Haye, MM.Bernrd, Lorimer, Travers Twiss e “Westlake, présentèrent des es re par rapport au second point de ces résolutions. empruntés aux déclarations de la Prusse, de l'Au- triche et de l'Italie en 1866, et sous la réserve ci- aprés, sub III: «Les navires marchands tt leurs car- gaisons ne pourront étre capturés que s'ils portent de la contrebande de guerre, ou s'ils essaient de violer un blocus effectif et déclaré». III. Il est entendu que conformément aux principes généraux qui doivent ré- gler la guerre sur mer aussi bien que sur terre, la disposition précédente n'est pas applicable aux navires marchands qui, directement ou indirectement, prennent part ou sont destinés à prendre part aux hostilités. Les travaux de cette commission ont été continués durant l'année courante et l'examen de la question suivante lui est spécialement confié: «Quelles seraient, eu égard aux nécessités de la guerre maritime, les restrictions à apporter au principe de l'inviolabilité de la propriété privée ennemie, en concordance avec ce que s'est fait, sous ce rapport, dans la guerre sur terre, pour les chemins de fer et autres moyens de transport militaire?» La dernière session débattit encore la question de l'applieabilité du droit des gens européen aux nations orientales, question dont les événements récents re- haussent encore la signification. C'est dans ce but que fut nommé à Genéve, dés 1875, une commission compo- sée de: MM. Asser, Dudley Field, Holtzendorff, Lorimer, Martens, Rivier et Travers Twiss (rapporteur) La commission ne termina pas son tra- vail pour la session passée, pendant laquelle elle fixa le programme des questions, à propos desquels elle demanda des renseignements aux personnes résidant dans les États orientaux. Ces matériaux serviront de base au travail de la commission, dont le mandat a ` été continué pour cette année encore. En outre, il a été présenté à l'Institut par M. Dudley Field un mémoire sur «La possibilité d'appliquer le droit in- ternational européen aux nations orientales.» L'intérêt principal de la dernière session de lIn- stitut s'est concentré sur le projet de la Conférence de Bruxelles, concernant les lois et coutumes de la guerre. Ce sujet est d'autant plus intéressant pour la Russie, que c'est par son initiative que s'assembla la Conférence de Bruxelles, et que le gouvernement russe se préoccupe toujours de cette affaire, malgré les obstacles qu'il a rencontrés dans le monde poli- tique de l’Europe. Bulletin de l'Académie Impériale A la session de Genéve en 1874, les membres de l'Institut, MM. Bluntschli et Martens, qui étaient en méme temps membres de la Conférence de Bruxelles, communiquerent à l'Institut le résultat des travaux de cette Conférence. L'Institut choisit une commission pour l'étude du projet de Bruxelles. Ce travail pro- mettait d’être particulièrement utile, vu que le projet de la Conférence de Bruxelles, tout humanitaire qu'il füt, avait été élaboré exclusivement dans la sphére bureaucratique; la science n'y avait eu que peu de représentants, malgré le caractére abstrait de bien des questions qui y furent discutées, et qui exigeaient une élaboration scientifique "). Cette lacune dans les travaux de la Conférence qui dut y mettre beaucoup de háte fut comblée avec succés par ceux de l'Institut. Dans ce but fut instituée une commission de: MM. Bluntschli, Bernard, Besobrasof, Dudley Field, Martens, Moynier, Neumann, de Parieu, Rolin- Jaequemyns, Den Beer Portugael, Travers Twiss et Holland. En méme temps, l'Institut composa un programme détaillé des six questions générales et des trente-huit questions spéciales de droit international, que le projet de Bruxelles avait soulevées, et il en exigea la réponse de chacun de ses membres. Des mémoires plus ou moins détaillés furent présentés en conséquence, et publiés par l'Institut, venant de: MM. Moynier, Esquirou de Parieu, M. Bernard, Beech Lawrence et Besobrasof'®). Les jugements émis par plusieurs membres sur la Conférence de Bruxelles parurent en outre dans d'autres publica- tions. Toutes ces opinions diverses, venant de repré- sentants de toutes les natioris civilisées sans exception, furent réunies par le secrétaire général de l'Institut . Sous forme de rapport présenté à la session de 1875. Ce travail de M. Rolin-Jaequemyns est d’un haut intérêt; on peut dire que toutes les opinions existantes dans le monde civilisé sur la Conférence de Bruxelles y sont exposées, le travail acquiert d'autant plus d'im- portance, que le projet de la Conférence n'a pas ob- tenu l'unanimité méme dans les spheres politiques de l'Europe (les obstacles venant surtout de l’ Angleterre). 17) V. M. W. Besobrasof, «La Conférence de Bruxelles» (ce mémoire a été publié en langue francaise dans le Bulletin de l'In- stitut de la langue russe dans le II T. du Recueil sciences poli- tiques). 18) V. Bulletin de l'institut de droit international, Session de la Haye. Aprés une étude consciencieuse, l'Institut dans son assemblée plénière du 30 août 1875, adopta presque à l'unanimité les résolutions suivantes °): 20) «T, — Il est désirable que les lois et coutumes de la guerre soient réglementées par voie de convention, de déclaration ou d'accord quelconque entre les dif- férents États civilisés. II. — Une semblable réglementation ne saurait sans doute avoir pour effet la suppression compléte des maux et des dangers que la guerre entraíne, mais elle peut les atténuer dans une mesure considérable, soit en déterminant les limites que la conscience juridique des peuples civilisés impose à l'emploi de la force, soit en mettant le faible sous la protection d'un droit positif. NP III. — Le projet de déclaration arrêté à Bruxelles, sur l'initiative généreuse de S. M. l'Empereur de Rus- sie, tout en ayant beaucoup d'analogie avec les instruc- tions américaines du président Lincoln, a sur elles le double avantage d'étendre aux relations internatio- nales un réglement fait pour un seul État, et de con- tenir des prescriptions nouvelles, conçues dans un es- prit à la fois pratique, humain et progressif. IV. — Mis en regard du droit de la guerre, tel qu'on le trouve exposé dans les ouvrages les plus ré- cents, le projet de Bruxelles est, pour toutes les ma- tiéres qu'il embrasse et quant au fond, à la hauteur de la science actuelle. — Sans doute l’élasticité ou le'vague de certaines expressions peut donner prise, au point de vue juridique, à une critique rigoureuse, mais cet inconvénient doit étre regardé comme une conséquence inévitable de la nécessité d'obtenir, avant tout, une entente entre les divers États, et d'assurer cette entente par des concessions mutuelles. Rien n'empéchera, d'ailleurs, de réviser la déclaration, lors- qu'on se trouvera d'accord sur des améliorations à $ introduire, lorsqu'une théorie et une pratique nou- velles auront dissipé les doutes, résolu les controverses, rendu possible le développement de principes dont un accord conclu aujourd'hui ne saurait contenir que le germe. 19) Deux membres seulement MM. Bernard et Twiss firent leurs réserves sur quelques points. 20) Ces conclusions n'ont pas été adoptées à l'unanimité. M. ountague Bernard et Sir Travers Twiss ont formulé leurs réserves sur certains points dans des notes qui sont reproduites en annexe au procès-verbal] de la séance du 30 août: 189 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 190 . V. — Si Pon examine la manière dont la guerre a été pratiquée jusqu'ici, le projet de déclaration ouvre la perspective de progrès importants, dont les résul- . tats semblent devoir étre d'autant plus durables que l'on s'abstiendra davantage de formuler des vœux uto- piques, et d'imposer aux armées, au nom d'une phi- lanthropie mal entendue, des exigences incompatibles avec leur sécurité et avec la poursuite des opérations militaires. VI. — Les dispositions du projet de déclaration re- latives à l'occupation du territoire ennemi sont l'ap- plication de ce principe vrai: que le fait seul de Poe- cupation ne confere aucun droit de souveraineté, mais que la cessation de la résistance locale et la retraite du gouvernement national, d'une part, la présence de l'armée envahissante, de l'autre, créent pour celle-ci et pour le gouvernement qu'elle représente un en- semble d'obligations et de droits essentiellement pro- visoires. Le projet tend surtout, dans cet ordre d'i- dées, à tracer les limites de ces droits et à détermi- ner ces obligations, dictées par la nécessité de main- tenir l'ordre social et de protéger la sécurité indivi- duelle et la propriété privée, en l'absenee momentanée de tout gouvernement régulier. Les régles tracées à cet égard sont sans doute susceptibles d'améliorations de détail, mais dés à présent elles sont au fond plus favorables aux citoyens paisibles et aux propriétés publiques et privées du pays occupé, que la pratique suivie jusqu'ici et que la doctrine de la plupart des auteurs. VII — Le projet de déclaration implique une dis- tinction fondée entre trois catégories de personnes, savoir: les combattans réguliers, qu'il faut traiter comme tels, — les habitants paisibles, qu'il faut pro- téger dans leurs personnes et dans leurs propriétés, — et les combattants irréguliers qui, méconnaissant les lois de la guerre, ne méritent point d'etre traités comme des ennemis loyaux. Cette distinction est fon- dée sur la maniére actuelle d'envisager la guerre, qui se fait entre les États et non entre les particuliers. Elle n'entrave en rien la défense nationale la plus énergique par la masse de la population armée. Elle ajoute méme à l'efficacité éventuelle de cette défense, en la soumettant à des conditions d'ordre et d'orga- nisation, seules compatibles avec la conduite d'une guerre réguliére entre nations civilisées. — Il est né- cessaire, dans ce but, d'exiger pour les combattants réguliers, sauf l'exception prévue par l'art. 10, un signe distinctif, fixe, reconnaissable à distance et d'ail- leurs aisé à se procurer, afin que les armées en marche puissent reconnaitre, si elles ont devant elles des ha- bitans paisibles qu'il faut protéger, ou des ennemis qu'il faut combattre. — VIII. — Les dispositions eoncernant les contribu- | tions et réquisitions sont également en progrés sur la pratique généralement admise dans les guerres anté- rieures. L'art. 42 en partieulier, en exigeant que, pour toute réquisition, il soit accordé une indemnité ou délivré un recu, formule un prineipe dont l'avenir et une expérience plus humaiue développeront les conséquences. ; IX. — Les représailles sont une exception doulou- reuse, mais inévitable dans certains cas, au principe général d'équité d'aprés lequel un innocent ne doit pas souffrir pour un coupable. Du moment oú l'on ne peut les prohiber complètement, il serait à désirer que, conformément au projet russe primitif, on le com- prit dans la déclaration, pour avoir l'oecasion de les limiter d'aprés les principes suivants: 1”. leur mode d'exercice et leur étendue ne de- vraient pas dépasser le degré de l'infraction commise par l'ennemi; 2". elles seraient formellement interdites dans le cas où l'infraetion dont on a lieu de se plaindre aurait été réparée; 3°. elles ne pourraient s'exereer qu'avec l'autori- sation du commandant en chef; 4”. elles respecteraient dans tous les cas les lois de l'humanité et de la morale. : X. — L’institut, sans vouloir entrer dans l'examen détaillé de tous les articles de la déclaration, croit pouvoir recommander à l'attention des gouvernements et de leurs délégués, appelés à réviser et à compléter l'euvre de la Conférence de Bruxelles, les observations et propositions présentées individuellement par divers membres de la commission, entre autres: a. les divers projets de définition de l'occupation guerriére, notamment la définition suivante: «un ter- «ritoire est considéré comme occupé du moment, aussi «longtemps, et aussi complètement que l'État dont il «reléve est empéché, par la cessation de la résistance 191 Bulletin de l'Académie Imperiale «locale, d'y exercer publiquement son autorité sou- ` «veraine ;» b. la proposition de dire qu'il est du devoir de Pau- torité militaire de notifier le plus tót possible, aux ha- bitants d'un territoire occupé, que l'occupation est établie; c. la proposition d'appliquer le principe général de la restitution ou des indemnités aux dépóts d'armes et de munitions appartenant à des particuliers du pays occupé, comme à toute autre propriété privée ennemie; d. la proposition d'ajouter à l'énumération des moyens de guerre interdits, la destruction ou le ra- vage, par voie d'inondation, d'incendie, etc., dans un but momentané de guerre, d'une partie considérable du territoire ou des produits durables du sol ennemi; e. la proposition de prendre des mesures pour as- surer le caractère sérieux et régulier de quittances ou reçus délivrés aux habitants du pays occupé, dont on exige des prestations ou services, des contributions ou des réquisitions; f. le vœu que les différentes Puissances fassent en- trer les règles du droit international dans l'instruction de leurs armées.» Les derniers événements politiques ont fait oublier pour le moment la Conférénce de Bruxelles. Sans ces événements notre gouvernement eut sans aucun doute continué son entreprise avec le même zèle. La démon- stration de l’Institut de droit international, en faveur de cette entreprise qui fit naitre tant de malentendus sur le terrain diplomatique et dans la presse, est d’un secours important pour son succès et pour sa popula- rité dans le public et dans le monde officiel. La sym- pathie unanime témoignée par l'Institut à l'idée gé- néreuse de notre Empereur comptera comme un fait notable dans l'histoire de la réalisation de cette idée, car la voix de l'Institut est celle des représentants éclairés de toutes les nations civilisées et des repré- sentants autorisés de la science. Leur opinion ne peut manquer de préparer le sol pour la croissance future de cette idée, qui marquera un progrés dans l'histoire des guerres et de la civilisation européenne. Dans ce moment, les commissions suivantes sont occupées de travaux qu'elles doivent présenter à l'In- stitut à la session prochaine, qui aura probablement lieu à Zurich au mois de septembre: I. — Le droit international privé, les membres en per MM. Asser, Bluntschli, Brocher, Clunet, de Montluc, d'Olivécrona, Esperson, Pasquale | Fiore, Goldschmidt, Erskine Holland, Koenig, | Beech Lawrence, Laurent, Mancini, Masse, | Neumann, Norsa, Bar, Westlake et Wharton. | Les rapporteurs: pour le droit civil — M. Mancini; | pour la procédure civile, — M. Asser; pour le droit commercial — M. Goldschmidt; pour le droit pénal — M. Brocher. i II. — Le traitement de la propriété privée dans ' les guerres maritimes. Membres: MM. Besobrasof, Bulmerineq, Calvo, Cauchy, de Laveleye, Ges- sner, Martens, Marquardsen, Meyer, Pieran- toni, A. Rolin, C. Sclopis, Vidari, Westlake et Woolsey. Rapporteur: M. de Laveleye. IIT. — L'organisation d'un tribunal international de prises maritimes. Membres: Mss. Asser, Moun- tague Bernard, Bulmerineq, Esperson, D. Field, Massé, Marquardsen et Westlake. Rapporteur: M. Westlake. E IV. — Applicabilité du droit des gens coutumier de l'Europe aux peuples orientaux. Membres: MM. Ashehoug, Asser, Dudley Field, de Holtzen- dorff, Lorimer, Martens, Neumann, Petersen, - Rivier, et Sir Travers Twiss. Travers Twiss. V. — (Éventuellement) Progrés de la réglemen- tation des lois et usages de la guerre. Membres: MM. Bluntschli, M. Bernard, Besobrasof, Den Beer Portugael, D. Field, Landa, Lucas, Mancini, Martens, Moynier, Neumann, de Parieu, Ro- lin-Jaequemyns. Le rapporteur sera désigné suivant les circonstances et le lieu, oü se produiront les faits qui nécessitéront un nouvel examen de la commission. Outre tous ces travaux, les membres de l'Institut font constamment des communications concernant le mouvement de la littérature du droit international et les questions soulevées dans ce domaine dans leurs pays respectifs. L'Institut publie ses travaux, ses ma- tériaux et ses protocoles dans un Recueil spécial (Bul- letin) paraissant à Gand sous la rédaction du secrétaire général. A l'aide de cette publication on peut suivre non-seulement tous les travaux de l'Institut, mais en- core le développement du droit international dans le monde civilisé. : Rapporteur: Sir Vm es o M E d Zu EE RE E ES E E, SE à Sa e à ER: des Sciences de Saint- Pétersbourg. 194 Il ressort clairement, à ce qu'il nous semble, de l'esquisse sommaire que nous venons de tracer de l'ac- tivité de l'Institut de Droit International, qu'il est déjà d'une grande utilité tant pour la vie politique de l'Europe, que pour les progrès de la science.. Dans les travaux déjà accomplis se voit le germe de son développement futur, si le méme esprit élevé de la science et des idées humanitaires, dont ila fait preuve des sa fondation, continue à y régner dans l'ave- nir. Comme on à pu s'en apercevoir, l'Institut res- treint le plus possible sa táche pour apporter le plus de forces à son élaboration et atteindre la perfection, dans les limites du possible et en accord avec la situa- tion actuelle de la science. Tous les membres de 1'In- stitut sans exception envisagent son activité et les mandats qui leur sont confiés: avec le sérieux et la conscience striete du devoir, que le public n'est habi- tué à voir que dans les travaux des hommes d'État. Un trait des plus importants de la vie de l'Institut est sürement l'absence totale de tout antagonisme natio- nal dans son sein, condition nécessaire de son activité. Rien de pareil à cet antagonisme ne s'est fait sentir jusqu'à présent au milieu des discussions les plus vives et des opinions les plus tranchées, rien qui appro- chat du groupement par nationalités ou de la formation de partis nationaux, incompatibles avec l'esprit de cette institution. Malgré le patriotisme avéré de tous les membres, répudiant les idées de cosmopolitisme et d'indifférentisme national, ils s'efforcent tous de dis- cuter les questions internationales du point de vue élevé de l'équité générale et de l'impartialité scien- tifique. L'Institut présente un exemple rare et presque unique d'une institution scientifique de ce genre; quoique sa sphére d'action soit encore assez bornée, il fonctionne cependant à titre d'organe fixe et per- manent dans la vie internationale des nations civilisées, et ne peut manquer d'exercer de l'influence sur le mou- vement de la théorie et des questions pratiques. Et ce- pendant cette institution a été fondée par des hommes privés, pour la plupart par de simples adeptes de la science, et elle est maintenue exclusivement par leurs efforts et leurs BE Se Tome XXII. Hofmeister. Über Knospenbildung bei Equiseten. Von Prof, A. Fa- mintzin. (Lu le 20 avril 1876.) (Avec une planche.) Alle Forscher, welche sich mit der Knospenbildung der Equiseten beschäftigt haben, stimmen darin über- ein, dass, die Gipfelknospe ausgenommen, alle übri igen endogenen Ursprungs sind, indem sie sich aus den Zellen des Innengewebes entwickeln sollen. Von den neuern Beobachtern erwähnt ihrer Bildung zuerst Auf Seite 94 seiner «Vergleichenden Untersuchungen» giebt er über die Knospenbildung der Equiseten Folgendes an: «Niemals verzweigt sich die Endknospe des Schafthalmstengels. Es dürfte kaum eine andere Pflanzengruppe mit so ausschliess- lichem, scharf ausgeprägtem Spitzenwachsthum geben. Die Verästelung erfolgt ausschliesslich durch Ad- ventivknospen. Diese entstehen an bestimmt vor- gezeichneten Stellen: in der ringförmigen Insertion des scheidigen Blatts, je eine Adventivknospe mit seltenen Ausnahmen genau unter dem Winkel zwischen je zwei Blattzipfeln. Die Anlage zur Adventivknospe erfolgt in der Regel schon sehr lange vor der zu den Gefässbündeln des We enden Stengelglieds. Eine Zelle der bezeicl ber Blattbasis aus der zwei- ten oder dritten Schicht unter der Blattoberfläche, an den im Herbst sich bildenden, zur Entfaltung im Früh- jahr bestimmten Sprossen des Equisetum pratense, oft schon im dritt- bis viertjüngsten Blatte zeichnet sich durch Grössenzunahme, noch mehr durch farblosen dickschleimigen Inhalt vor den jetzt oft schon Chlo- rophyll führenden Nachbarzellen aus, hinter denen sie bald in der Längsdehnung zurückbleibt, wobei sie aus dem Zusammenhang mit den seitlich und von oben sie umgebenden Zellen tritt. Bald beginnt in ihr eine in rascher Folge in der Endzelle sich wiederholende Theilung durch wechselnd der Achse des Stengels zu- und abgeneigte Wände, womit eine Zellenvermehrung. eingeleitet wird, die in allen Stücken der in der Schei- telzelle der Terminalknospe vor sich gehenden ent- spricht. Die Stellung der in der Scheitelzelle der Adventivknospe entstehenden Wände ist fast aus- nahmslos senkrecht zu einer durch die Achse des Hauptsprosses gelegten Ebene. Bald wird das Da- sein der Adventivknospe durch eine Auftreibung der , Aussenflüche des Stengels dicht unter der Ansatz- 13 | 395 Bulletin de l'Académie Imperiale stelle des Blatts merklich. Endlich, bei weiterem Längenwachsthum , bricht sie aus der Unterseite des scheidenfórmigen Blatts hervor.» | Eine dieser ganz entsprechende Schilderung der Entwickelung der Knospen der Equiseten finden wir bei Duval Joure in seinem Werke: Histoire na- turelle des Equisetum de France. «La tige des Equi- setum», schreibt er Seite 13, «est rigoureusement simple et ne se bifurque nine se divise jamais (sauf les cas de mutilation) en axes secondaires; mais dans la plupart des espéces elle est pourvue de rameaux la- téraux disposés en verticilles. Ces rameaux naissent de bourgeons adventifs situés à la base des gaines, entre les cótes, dans la prolongation du sillon com- missural des lobes; de sorte qu'ils alternent avec les divisions des gaines.» «En rompant ou en tor- dant la tige d'un Equisetum adulte, surtout vers larriére-saison, on remarque, qu’elle se sépare, . comme les rhizomes, en déux cylindres, l'un externe ou cortical, l'autre interne.» «Le cylindre interne est composé de tissu cellulaire incolore et de faisceaux fibro-vasculaires; il présente constamment la grande cavité centrale qui parcourt toute l'étendue de l'entre- noeud, et autour d'elle la série circulaire des lacunes essentielles. Le cylindre cortical, entièrement depourvu de faisceaux fibro-vasculaires, présente, vers l'intérieur, du tissu cellulaire incolore, dans lequel sont creusées les grandes lacunes extérieures en alternance avec les . lacunes essentielles.» «Les verticilles (p. 65) des bour- geons à rameaux sont situés un peu en dessous du diaphragme. Ces bourgeons prennent naissance à la surface du cylindre interne, vis-à-vis d'un sillon, c'est- à-dire entre deux divisions de la gaine et dans un plan vertical, qui passerait par le milieu des grandes lacunes eorticales. Mais ils se montrent bien avant l'apparition des lacunes, et quand plus tard ils s'avan- cent vers l'extérieur, il reste entre eux et la lacune une couche de deux ou trois rangs de cellules qu'ils repoussent en saillie rentrante au sommet et sur la ligne médiane de la lacune.» «L'apparition du rudi- ment d'un bourgeon a lieu de trés bonne heure; elle est à peu prés contemporaine de celle des vaisseaux dans la jeune tige. M. Hofmeister la dit méme de beaucoup antérieure; je n'ai pu constater cette grande différence sur les espéces oü j'ai suivi cette apparition. Au point désigné plus haut, sur la ligne de division de deux lobes ou un peu au-dessous de leur base, dans la couche la plus externe des cellules devant con- stituer le cylindre interne, une cellule se distingue des autres par son contenu incolore et plus mucilagineux, et surtout par ses plus grandes dimensions, sa forme ovoide transversale et non allongée de bas en haut. Au lieu de suivre les autres dans leur extension longi- tudinale, cette cellule s'accroit en rayonnant vers Pex- térieur et fait saillie en dehors d'elles. Elle ne tarde pas à se dédoubler par une cloison perpendiculaire à son axe de production. Des deux cellules; qui résul- tent de cette division, la cellule non terminale se mul- tiplie en deux cellules latérales au moyen d'une divi- sion médiane verticale; bientót aprés, sinon simulta- nément, une multiplication par division horizontale double ces deux cellules, et en fait un petit verticille de quatre cellules rectangulaires à leur ligne com- mune de contact. Par suite d’une nouvelle division qui, presque paralléle à la surface extérieure de ce bourgeon naissant, s'opére dans chacune de ces cellu- les, leur nombre est doublé, les nouvelles cellules in- térieures sont les cellules génératrices du tissu médul- laire du rameau; les plus extérieures donneront nais- sance aux gaines et aux tissus interne et cortical. Enfin il s’opere dans ces dernières d'abord une divi- sion longitudinale et rayonnante, puis une division transversale paralléle à la division initiale. C'est à ce degré, ou au degré précédent, que le bourgeon s'arréte et demeure à l'état expectant sous les cellules corti- cales des tiges spicefères des E. maximum et arvense.» Endlich sind nach Sachs*) die Equiseten die einzige Pflanzenklasse, deren Verzweigung ausschliesslich auf der Bildung endogener Seitenknospen beruht. Sie entstehen im Gewebe der jüngsten Blattwülste, schon lange vor der Differenzirung der Fibrovasal- stránge an den Stellen, welche senkrecht unter dem Winkel zwischen je zwei Scheidenzähnen liegen, mit diesen also alternirend. Der morphologische Ort ihrer Entstehung ist noch nicht genau präcisirt: wahr- - scheinlich ist es eine Zelle derjenigen Schicht, welche auch den Fibrovasalsträngen ihren Ur- sprung giebt, aus welcher sich eine Knospe entwickelt. . Hofmeister zeigte zuerst, dass jede Knospe aus einer Zelle des inneren Gewebes hervor- *) Lehrbuch der Botanik. Aufl. 4. S. 396. ~ H 192 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 198 geht, und wenn ich selbst auch keine einzelligen Zu- stánde gesehen habe, so fand ich doch Zweiganlagen, die erst aus zwei bis vier Zellen bestanden; sie zeigten, dass schon die ersten drei Theilungen der Zweigmutter- zelle nach drei Richtungen so geneigt sind, dass da- durch sofort eine dreiseitig pyramidale Scheitelzelle zu Stande kommt; die ersten drei Theilungen bilden also die ersten drei Segmente.» Ein Equisetenspross mit den sich entwickelnden Seitenknospen ist von Sachs auf der Seite 397 des Lehrbuchs abgebildet. Obgleich die hier angeführten Forscher in der Schilderung der Entwickelung der Equiseten - Seiten- knospen in mehreren wesentlichen Punkten auseinan- dergehen, so stimmen sie doch alle darin überein, dass letztere endogenen Ursprungs sind und darin von den Zweigknospen aller übrigen Pflanzenformen eine Ausnahme bilden. Dieser einstimmigen Angabe aber ungeachtet will ich hier doch zu beweisen versuchen, dass sie unrichtig ist und dass die Seitenknospen der Equiseten keine Adventivknospen, sondern echte Zweigknospen, allen übrigen vollkommen analoge, exo- gene Bildungen sind. Es ist mir gelungen, auf Lüngs- schnitten von Equisetum arvense ihre Bildung Schritt für Schritt zu verfolgen und bestimmt nachzuweisen, dass die Scheitelzelle der Seitenknospe bei Equiseten einer der oberflüchlichen Zellen des Stengels ihren Ursprung verdankt. Wenn ein Längsschnitt zufälliger Weise eine eben angelegte Seitenknospe trifft, so lässt sich sehr deut- lich beobachten, dass die junge Zelle, welche später- hin zu ihrer Scheitelzelle wird, dicht über der ring- förmigen Blattanlage gelegen erscheint (Fig. 1 a). Sie wird mit der Zeit durch eine Längswand halbirt; die obere dieser Zellen verändert wenig ihre frühern Dimensionen; die untere der neu entstandenen Zellen dagegen schwillt mächtig an, indem sie auf ihrer Unterseite bauchartig aufgetrieben wird. (Fig. La, Fig. 3, 4a.) Bald darauf erscheinen in letzterer zu einander geneigte Wände, welche vollkommen denen der dreiseitigen Scheitelzelle der Gipfelknospe ihrer Lage nach entsprechen (Fig. 2a.), wie es schon Hof- meister und Sachs ganz richtig angegeben haben. Die neu gebildete Scheitelzelle der Seitenknospe er- scheint horizontal gelegen und ist mit ihrer freien Oberfläche der Blattscheide zugekehrt. In diesem Stadium ist: es ausserordentlich leicht, durch den Längsschnitt, den zur Scheitelzelle der Seitenknospe führenden Kanal (Fig. 2b, 3b, 4b.), welcher zwischen dem Stengel und der KSC Blattscheide vor- handen ist, bloszulegen und. von der exogenen Lage der Seitenknospe sich zu überzeugen (Fig. 2, 3, 4.). Die anschwellende Seitenknospe drückt immer stürker gegen das Gewebe der Blattscheide, stülpt es mit der Zeit ein, reisst es endlich allmáhlich auf und wüchst in das Innere der Blattscheide hinein. Je weiter eine Seitenknospe in ihrer Entwickelung fortgeschritten ist, desto schwerer wird es, den zu ihr führenden Kanal zu entdecken; demungeachtet bin ich doch im Stande ge- wesen, auch bei ziemlich entwickelten Seitenknospen ihn nachzuweisen. Das erste Entwickelungsstadium der Seitenknospe von Equisetum, welches meiner Fig. 3 vollkommen entspricht, ist für Equisetum limosum von Hofmeister auf Taf. XIX Fig. 1 seiner vergleichen- den Untersuchungen ganz getreu abgebildet, von ihm aber falsch gedeutet. Er hált diese Zellen für ge- wóhnliche Epidermiszellen, die nach ihm in keiner Be- ziehung zur Seitenknospenbildung stehen. — Die hier angeführten Beobachtungen sind aber, wie ich hoffe, im Stande die endogene Natur der Seitenknospen von Equiseten zu widerlegen und die Verzweigung der Equiseten als eine allen übrigen Pflanzenklassen ganz gleiche erkennen zu lassen. Erklärung der Abbildungen. Equisetum arvense. . Fig. 1, Lángsschnitt durch die Gipfelknospe. a, die zur Seitenknospe sich umbildende Zelle; a', dieselbe durch eine Lángswand getheilt. Fig. 2, 3, 4, Làngsschnitte durch in Entwickelung begriffene Seitenknospen a. — 5, der zu einer Seiten- knospe führende Kanal der durch den Stengel und die Blattscheide gebildete Zwischenraum. Observations faites à l'Observatoire astronomique de l'Académie des sciences à St.-Pétersbourg. Par A. Sawitch, (Lu le 20 avril 1876.) Le temps a été défavorable aux observations pen- dant l'automne de l'an 1875 et l'hiver suivant. Sou- ` vent le ciel était serein au soir et se couvrait de nuages vers le minuit, quand il fallait observer les planétes aux époques de leurs oppositions. 13* Bulletin de l'Académie Impériale Les données suivantes sont relatives aux temps des passages des planètes par le méridien de St. - Péters- bourg; elles sont corrigées de la réfraction et de la parallaxe. L'azimut de la lunette a été chaque soir vérifié par l'observation du passage de l'étoile a ou ^Ursae minoris. Sous le titre «Corr.» sont donnés les nombres de secondes qu'il faut appliquer aux positions des planétes, telles que l'on trouve dans le Nautical Almanae anglais pour avoir les positions conformes à nos observations. Opposition de la planéte Neptune en 1875. Les étoiles de comparaison étaient: e, y et y Piscium; E Ceti d’après le Nautical Almanac pour l'an 1875. Date. Asc. droite RE ^ bs — CaL 1875. app. Obs. — Call Deel app. Oct. 2 | 2% 2”49563 | —os39 |+10°33/422 | +03 18 1 11,97 | — 0,40 24892 | --11 20 | 2, 0 59,39 0,26 : — Li Nov. 1 | 1'59"42576 | —ohi I XN I 50 Moyenne...... — 0529 Moyenne... — 1/25 Opposition d'Uranus en 1876, Étoiles de comparaison: y, x et 83 Cancri d'aprés le Nautical Almanac pour l'an 1876. Asc. droite Déclinaison 1876. app. observée. Corr app. observée. Corr Févr. 9 9/29" 9570 | — 9:68 |+16°12 6/2 | + 312 10 21 52,81 | — 9,69 12 55,6 | + 392,4 14 21 11,11 | — 9,59 16 60 | = 30,8 16 | 21 0,70 | — 9,74 16 57,7. 35,0 16 | 9 20 50,41 | — 9,81 |+16 17 9,9 | +301 Moyenne. ..... — 9,702 Moyenne. .... + 31/9 Opposition de la planète Vesta en 1876, Étoiles de comparaison: B Leonis, y Virginis d’après le Nautical Almanac pour Van 187 6; 20 Virginis d'aprés le «Greenwich Catalogue of 2670 Stars for 1864,0.» Date. 1876. € Tn Obs, — ca Décl. app. s. — Cal. Mars 26 | 19"53"56:94 | ossi |... eg 688 | ap 28 | ,52, 8,91 | +0,82 | + 8 13 297 79 Avr. 7 ‚1243 0,60 | +0,41 | + 9°11 154 | +0,4 A AS O Moyenne...... + 0568 Moyemne....—477, ie BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. L'Académie a recu dans ses derniéres séances les ouvrages dont voici les titres: The transactions of the Linnean society of London. Vol. XXIX part. III. Vol. XXX part. II — III. London : 1874—75. 4. Second series. Botany. Vol. 1. p. 1. Zoology. Vol.I. p.1. London 1875. 8. ; The Journal of the Linnean Society. Botany. Vol. XIV. N 77—80. Zoology. Vol. XII. X 58—59. London 1874—75. 8. Linnean society. Proceedings of the session 1873—74 and obituary notices. London 1874. 8. ; Additions to the library of the Linnean society. Revised from June 20. 1873 to June 19. 1874. 8. Jahrbuch des ungarischen Karpathen-Vereines. I—II Jahr- gang 1874—75. Kassa (Késmark) 1874—75. 8. Notiser ur sällskapets pro Fauna et Flora Fennica fór- handlingar. Fjortonde Häftet. Ny serie. Elfte Hat tet. Helsingfors 1875. 8, Bulletin de la société Impériale des naturalistes de Mos- cou. Année 1875. JV 3. Moscou 1875. 8. Proceedings of the Academy of Natural Sciences of Phi- ladelphia. Part. I—III. Philadelphia 1874— 75. 8. Bulletin of the Buffalo society of natural sciences. Buffalo 75. 8 La naturaleza. Periodico cientifico de la Sociedad mexican de historia natural. T. IL MN 6, 9-—15. Mexico 1874 — 75. 4. i Informe rendido por el primer secretario de la sociedad mexicana de historia natural en la junta general del dia 18 de Enero de 1875. Mexico 1875. 4. Anales del museo público de Buenos Aires. Entrega duo- decima. Buenos Aires 1870—74. 4. Buletin de la Academia nacional de ciencias exactas exi- stente en la universidad de Cordova. Buenos Aires 1874—75. 8. Nature. A weekly illustrated journal of sciences. € 315— 327. 329—332. London. 4. Die Fortschritte der Physik im Jahre 1870. Dargestellt ` von der physikal. Gesellschaft zu Berlin. XX VI Jahr- gang. Red. von Prof Dr. B. Schwalbe. Abth. BEDS Berlin 1875. 8 — — — — im Jahre 1871. XXVII Jahrgang. Abtheil. 1. Berlin 1875. 8. | Chevreul, E. Explication de nombreux phénomènes qui sont une conséquence dela vieillesse. Troisième mé- moire. (Extrait du T. XXXIX de l'Acad. des scien- ces. 12”” partie.) Paris 1875. 4. — VEnseignement devant l'étude de la vision, la loi du contraste simultané des couleurs. Deuxiéme mémoire. "E E E e D Le A ae EE SÉ ro ng 3 RN eM momo VEN TOR x des Sciences de Saint - Pétersbourg. (Extrait du t. XXXIX de l'Acad. des sciences. II. par- tie) Paris 1875. 4. Chevreul, E. Études des procédés de l'esprit humain dans la recherche de l'inconnu à l'aide de l'observation et de l'expérience et du moyen de savoir s'ila trouvé l'erreur ou la vérité. (Extrait du T. XXXIX de l'Acad. des sciences. II partie.) Paris 1874. 4. ~ — D'une erreur de raisonnement très-fréquente dans les sciences du ressort de la philosophie naturelle qui concernent le coneret expliquée par les derniers écrits. Extrait du T. XXXIX 11^ partie de l'Académie des Sciences. Paris 1871. 4. 2 Vinchon-Thiesset, Artus. La cause des effets. Saint- Quentin 1875. 4. Weinberg, J. Anwendung des mechanischen Wärme- áquivalents auf Molecularkräfte, Moleculargrösse und Moleculardistanz. (Zweiter Theil.) Separatabdruck aus den Annalen der Physik u. Chemie. Herausgege- |. ' ben von J. C. Poggendorff. Leipzig. 8. Lavagna, G. Aeronautica, nuovo artificio onde accrescere o scemare la forza attollente di un globo aerostatico. 8. Antoine, Charles. De quelques propriétés mécaniques de différentes vapeurs. (Lithogr.) Brest 1875. 8. Schónfeld, J. E. Über die magnetischen Krifte der Materie, nebst einigen eigenen Versuchen. Moskau 1875. 8. Berichte der deutschen chemischen Gesellschaft zu Berlin. Achter Jahrg. 1874 N: 1—19. Neunter Jahrg. N 1, 2. Berlin 1876. 8. The American Chemist. Vol. VI. N: 3, 4, 5. Whole 63— 66. New-York 1875. Krafft, Friedr. Über die Entwickelung der theoreti- schen Chemie. Basel 1875. 8. Lender, Dr. Die oxydirende Kraft der Natur. Berlin 1876. 8. Anales del instituto y observatorio de marina de San Fer- nando. Publicados de orden de la superioridad por el director Dr. Cecilio Pujazon, capitan de navio. Sec- cion 2. Observaciones meteorologicas año 1874. San Fernando 1875. 4. Bolletino meteorologico ed astronomico del regio osserva- torio della Regia università di Torino anno VII. (1873.) Torino 1875. 8. , Meteorologiska Iakttagelser i Sverige utgifna af kongl. Svenska Vetenskaps Akademien, anstüllda och bear- betade under inseende of E. Edlund. XII, XIII, XIV Bandet 1866—72. Stockholm 1872—74. 8. Bulletin météorologique mensuel de l'observatoire de Puni- versité d'Upsal. Upsal 1874—75. 4. Daily Bulletin of weather-reports, signal-service United States army, taken at 7. 35 A. M. 4. 35 P. M. and 11 P. M. Washington mean time, with the synopses, probabilities, and facts, for the month of February, 1873. Washington 1875, 4. Anuario de la officina central meteorológica de Santiago de Chile. Años tercero i cuarto. Santiago 1873. 8. Bulletin de la société géologique de France. 3"* série, ` tome 2™° feuilles 40—46. T. 3"* feuilles 27—36. 1875. Ne 7, 8. Paris 1873 à 1875. 8. Jahrbuch der kaiserl. kónigl. geologischen Reichsanstalt. Jahrgang 1875. XXV Band. X 2. 3. Wien. 8 + Verhandlungen der kaiserl. königl. geologischen Reichsan- stalt 1875. € 6—13. Wien. 8. Mojsisovics v. Mojsvár, Edmund. Das Gebirge um Hallstatt. I Theil. Die Mollusken-Fauna der Zlambach- und Hallstätter Schichten. 2. Heft. (Abhandlungen der k. k. geologischen Reichsanstalt. VI Band. 2 Heft. Wien 1875. 4.) Neumayr, M. und Paul, C. M. Die Congerien- und Pa- ludinenschichten Slavoniens und deren Faunen. (Ab- handlungen der k. k. geolog. Reichsanstalt. B. VII. H. 3.) Wien 1875. 4. Zeitschrift der deutschen geologischen Gesellschaft. XXVII Band. 2. Heft. April—Juni. 1875. 3. Heft. Juli bis Sept. Berlin 1875. The quarterly Journal of the geological society. Vol. XXXI, part. 3. Nè 123. August 1875. London 1975. — — — — Vol. XXXI. p.4. 124. Nov. 1, 1875. London 1875. 8. List of the geological society of London. Nov. 1 p. 1. 1875. 8. Transactions of the Manchester geological society. Vol. XIV. part. 1. London 1875. 8. Journal of the royal geological society of Ireland. Vol. XIV. part 2. Vol. IV part 2 (New series). London. Dublin 1875. 8. Delaire, Alexis. Le fond des mers. Études lithologo- giques. (Extrait des Annales du conservatoire.) 8. Domeyko, Ignacio. Cuarto apendice al reino mineral de Chile i de las repüblicas vecinas publicado en la segunda edicion de la mineralogia de Don Ignacio Domeyko. Santiago de Chile 1874. 8. Perrey, Al. Sur la fréquence des tremblements de terre relativement à l’äge de la Lune. Paris. 4. Dulletin of the United States geological and geographical survey of the territories. Bulletin N: 2, 3, 5, 6. Se- : cond series. Washington 1875. 8. š Departement of the interior. United States geological sur- vey of the territories. F. V. Hayden, U. $. Geologist in charge. Miscellaneous Publications. V 5. Descrip- tive catalogue of the photographs of the United Sta- tes geological survey of territories, for the years 1869 to 1875, inclusive. Second edition. W. N. Jack- son, Photographer. Washington 1875. 8. ` Hayden, F. V. Catalogue of the publications of the Uni- ted States geological survey of the territories. Wa- shington 1874. 8. Bulletin de l’Académie Impériale 204 Hutton, F. W. and Ulrich, G. N. F. Report on the ge- ology and goldfields of Otago. Dunedin 187 5.8. Bulletin de la société botanique de France. T. XXII. 1875 Janvier (Séances) feuilles 1 — 5. Revue bibliogra- phique. C. D. Nederlandsch kruidkundig archief. Tweede serie. 2° deel. 1* stuk. Nijmegen 1875. 8. ij Treub, Dr. M. Driemaandelijksch botanisch Literatuur- t overzicht. N: 1, 2. Juli — December 1874. Hortus botanicus Panormitanus sive Plantae novae vel criticæ quae in horto botanico Panormitano coluntur descripte et iconibus illustratæ auctore Augustino To- daro. Panormi 1875. 8. Fries, E. Icones selecti Hymenomycetum nondum de- lineatorum VII—X. 8. — Icones select: Hymenomycetum Hungariæ II. III. Fol. Flora oder allgemeine botanische Zeitung. Herausgegeben von der kónigl. bayerisch. botan. Gesellschaft in Re- gensburg, redigirt von Dr. J. Singer. Neue Reihe 33. Jahrgang oder der ganzen Reihe 58. Jahrgang. 1875. Regensburg. 8. Transactions of the zoological soci p. 4. London 1875. 4. | Proceedings of the scientific meetings of the zoological society of London for the year 1875 part II. IH. Mart, April, May and June. London. 8. Revised list of the vertebrated animals now or lately li- ving in the gardens of the zoological society of Lon- don. Supplement, containing additions received in 1872, — . 1873 and 1874. Snellen van Vollenhoven, S. C. Pinacographia. Part. . . 9, Afl. 2. 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Memoria que el ministro de estado en el departamento de guerra presenta al geschen national de 1874. San- tiago de Chile 1874. Memoria que el ministro de ez en el departamento de Marina presenta al congreso national de 1874. Val- paraiso 1874. 8. : Sesiones de la camara de senadores en 1873. 4. Sesiones estraordinarias de la camara de senadores en 1873. 4, Sesiones de la cámara de diputados en 1873. 4. Sesiones estraordinarias de la cámara de diputados en 873. 4. Cuenta jeneral de las entradas y gastos fiscales de la re- pública de Chile en 1873. Santiago de Chile 1874. 4. Estadística comercial de la república de Chile corr espon- diente al año de 1873. Valparaiso 1874. 4. SE estadistico de la república de KE? T. XIV. 1872 873. Santiago de Chile 1874. uia. de código de mineria. nte de Chile 1874. 8. Proyecto de lei de organizacion i atribuciones de los tri- bunales. Santiago 1874. 8. Rosenberg, C. B. H. von. Reistochten naar de Geel- vinkbai op poi in de Jaren 1869 en 1870. 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Abhandlungen für die Kunde. des Morgenlandes heraus- gegeben von der Deutschen Morgenlündischen Gesell- schaft. VI. Bd. N 1. Chronique de Josué le Stylite, écrite vers l'an 515, texte et traduction par M. l'abbé Paulin Martin. Leipzig 1876. 8. The Journal of the Bombay branch of the royal asiatic society 1875. N: XXXI Vol. XI. Bombay 1875. 8. Catalogue of Sanskrit Mss. existing in Oudh. Edited by Rajendralála Mitra. Fasciculus VI. VII. Calcutta 1875. 8. A Catalogue of Sanscrit Mss. existing in Oudh, discovered from the 1** October 1874 to 31° December 1874. 8. — — — — discovered from the 1% April to 30t* June 1875. 8. Bombay Sanskrit Series € XIV. Vikramänkadevacharita, edited with an introduction by Georg Bühler. Bom- bay 1875. 8. Nyäyakosa or Dictionary of the technical terms of the Nyàya Philosophy by Bhimárya Ihalakikar. Bombay 1875. 8. Paru le 10 juillet 1876. \ Lith.v.Ivanson St Petersburg - i E. e, A y 2 GER F Oh A dh e 28 a 272 — PA 7 — - AAA wg de | V ge A Po ER A ZA AER SSA aw tnm vw A A AN AD A EI AA ÓN m PT Ms P m PRA AA ka A CA EV Le s 28 Ak vet x MR ib qu Vi $ A SÉ T E WS e Lë 5 e DI EEE REN M À e A CA Y ` KA e à B d KA G 3 4 Y ha ) 1 a A = 4 fae ` b ` 1 a ` de dE S SECH T. XXII, N° 2. 3 ù E = BULLETIN DR L'ACADÈMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST-PÉTERSROURE. de p E VERS Ey ? SE TOME XXII. E | (Feuilles 14—20.) 3 D EC | CONTENT. P age. 3 Us €. J. Maximowiez, Diagnoses plantarum novarum Japoniae et Mandshuriae. Decas XX a cereo E 209—264 M. Brosset, Rapport sur Porge manuscrit de M. Bakradzé contenant l'exposé des recherches archéologiques faites dans l'Adchara et dans le Gouria par ordre de Cul. Som a RUIT a Ur c MONI a ia a cut 264—277 J. Sehmalhausen, Les plantes de l'étage oursien, trouvées dans les galets du fleuve Ogour, Sibérie orientale (avec 4 planches). ................................ 277—991 2 Examen microscopique des restes de E du eege antiquitatis £ i seu tichorhinus de la Sibérie. Communication, EE E isa 291—295 pe 9. Struve, Sur le satellite supposé du Procyon................. Re Ud ... 295—303 E M. Brosset, Revue de la littérature historique de B 07 nr 303—312 | 0. Bóhtlingk, Quelques observations concernant les racines de EE slavon avec les r et 1 formant des syllabes ............. ESS de XR E Nai ME Tut e Kee Ce D Bulletin a a A E rere N PS 315—320 Ci-joints 2 planches destinées à accompagner la notice de M. Cienkowski sur la morphologie des Ulotrichées, insérée dans le tome XXI, pag. 529 du Bulletin de l'Académie. S'abonne: chez MM. eise. & Ci°, J. Issakof et J. Glasounof, irait à St.-Pétersbourg; au Comité Ad- ministratif de l’Académie ange IIpaszegis Hwneparopckoii Araxemin m N. Kymmel, libraire à Riga, chez M. Léopold Voss, libraire à Leipzig Le prix ee par volume composé de 36 feuilles, est de 3 rbl. arg. pour la Russie, marks Allemands pour l'étranger. Imprimé par ordre de l'Académie Impériale des Sciences 7 C. Vessélof ski, Sectbtaise €— Imprimerie de l'Académie A des sciences. (Vass.-Ostr., 9° ligne, X 12.) Septembre 1876. BULLETIN DE L'ACADÉMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG. Diagnoses plantarum novarum Japoniae et Mandshu- riae, Scripsit C. J. Maximowicz. (Lu le 20 avril 1 876.) DECAS VIGESIMA. (Cum tabula aeri incisa.) Clematis L. Species Asiae orientalis. ct. 1. Flammula. Sepala praefloratione valvata basi ac medio geet ee Caudae carpellorum elongatae patentim plumosae. Flores nno- dirus elongatis, unde florescentia non vernalis, sed aora 1. Pedunculi axillares 1-flori nudi vel bracteati et tunc ex res axillis passim floriferi 3-flori; infimi ramiformes quidem passim pluriflori (ex trichotomia iterata), sed tunc flores minime subcoötanei. Pedunculi nunquam apice ramorum in paniculam ap- proximati. Frutices erecti ramosi ramis strictis, petiolis brevissimis non tor- 2. tis. Sepala patentia. - Frutices scandentes vel wget 3. è esa linearia, rami basi dilatata, rid breves......... 8. geg conniventia. 4. Sepala patentia (in Cl. caesariata ignota). 6. Cl. songorica. Cl. fruticosa. Ate t2 4. Folia bis vel ter composita, segmenta pinnat fida laciniis isses t] Frutex flore favido. . Cl. aethusaefolia. Folia semel vel bis pinnata, segmenta indivisa ` 1 ata m margine serrato vel integro. Flores non flavi. 5. 5. Sepala brunneo-tomentosa, Segmenta margine integro...... eee eene on . Jusca. Sepala alba glabrinsenla. Segmentä serrata... Cl, lasiandra. 6. sperren, foliorum integra. » serrata vel in isa. 8. 7. Folia bis trisecta, segmenta acuminata, fila- menta antheris longiora................. Cl. parviloba !). Folia bis pinnatisecta, en apiculata. An- therae filamentis ongio EEN Cl. Kirilowi. 8. Pedicelli dE apice garg, folia trisecta, : planta hirta ...........,.............,.. . caesariata. Pedicelli immutati, folia cd Ae plantae arc rulae vel glabra 9. ae KN sepala meng acuminata pa- SE E Cl. orientalis. ? See glabra, sepala lanceolata reflexa... Cl. Pieroti 1. Ke patentia a. Frutices erecti dumosi. 1. Cl. fruticosa Turcz. in Bull. Mosc. V. 181. — Maxim. Ind. Mongol. in Fl. Amur. suppl. 479. 1) Species a me non visa forsan ad sequentem divisionem per- tinens, ubi quaerenda, hic tamen quoque ob «paniculam foliosam paucifloram » insert XXII. Hab. in Mongolia australiore: secus viam. mercato- riam sibiricam (Kirilow!) circa lacum salsum Kobur in arenosis, init. Augusti fl. (Bunge!, Ladyshinski!) et prope Mogoitu (Bunge, fine Aug.), in terra Ordos, valle fl. Hoangho in arenosis rara, med. Aug. fl. (Przewalski!). 2. Cl. songorica Bge. — Ledeb. Fl. Ross. I. 2. Var. integrifolia Trtv. Enum. pl. Schrenk. in Bull. Mosc. 1866. X 2. p. 55. Hab. in Mongoliae borealis regione Urot et Chalcha, desertis arenoso-lapidosis, med. Aug. fl. frf. (Prze- walski!). b. Frutices scandentes. 3. Cl. Kirilowi. Scandens glauca parce pilosius- cula, caule sulcato; foliis coriaceis pinnatisectis: seg- mentis 5 trisectis, segmentulis breve petiolulatis ova- libus v. oblongis obtusis cum mucrone integris basi trinerviis utrinque elevato-reticulatis; pedunculis axil- laribus folio brevioribus rigidis 1—5 -floris; flore erecto; sepalis 4 (5, 6) patentibus oblongis truncato- emarginatis praeter marginem latum glabriusculis ge- nitalia vix duplo superantibus; filamentis glabris an- therà brevioribus et crassioribus linearibus stylos 5—8 adaequantibus; carpellis. . .. — C. Massoniana? Ma- xim. Ind. Pekin. l. c. 468. | Hab. in viciniis Pekini Chinae borealis, unde specc. 2 fl. olim attulit Kirilow. Cl. glaucae W. similis, sed optime videtur diversa sepalis truncato-emarginatis in sieco violaceis, stamini- bus glabris, filamento brevi. Segmenta foliorum pri- maria brevius petiolata, in omnibus foliis visis unicum basi hine dente auctum, cetera integerrima. Petiolus communis 11 cent., petioluli laterales 1 cent., ultimi 1— 4 mill. longi, segmenta 1: 3 cent. circiter magna. Bracteae petiolulatae ovales pedicello multo breviores. Alabastra globoso-ovoidea acutiuscula incano-tomentosa. Flos diametro 18 mill. sepalis pa- tentissimis. 4. Cl. orientalis L. (sensu Hooker et Thoms. Fl. Ind.) | 14 211 Bulletin de l'Académie _Empériale 212 Var. intricata (Bge. Enum. Chin. n. 3. sp. pr.).— Cl. intricaía et Cl. glauca, Maxim. Ind. Pekin. l. c. — Cl. glauca var. Turcz. Anim. herb. in Bull. -Mosc. XXVII. X 2. p. 272. — Maxim. Ind. Mongol. l. c. — Cl. glauca 8. angustifolia Ledeb. 1. c. 3. (quoad specc. microphylla). — Cl. orientalis var. acu- . lifolia T rtv. l. c. (similia specc.). Hab. ad sepes et vias fere totius Chinae borealis (Bunge!): Pekino (Skatschkow!, Ladyshinski!), montibus boream versus in coemeteriis (Tatarinow!); in Mongolia australi: locis subarenosis (Kirilow!, Turez.!), terra Ordos in valle fl. Hoangho , frequens, et in deserto a jugo Alaschan boream versus extenso sterilissimo, terrae adpressa et rara, init. Augusti flo- rens (Przewalski!), nec non in Songoria. Segmentis angustioribus et minoribus vulgo magis acuminatis, pedunculis 1 — 3-floris saepissime longio- ribus a var. acutifolia Hook. et Thoms. distinguenda. Var.? Wilfordi. Folia bis trisecta, segmenta breve. petiolulata petiolis. non tortis ovato -lanceolata acu- minata parce serrata profundeque incisa; pedunculi axillares 1-flori versus basin foliaceo-bracteati, se- pala intus araneoso - villosula elliptica ainni 8-linealia, filamenta basi vix dilatata, solito rigidius et longius ciliata. Hab. in litore orientali Mandshuriae inter 44 et 45? (Wilford! fl. defi. s. nom. CZ. orient. var. acu- tifoliae). Specimen unicum, a var. acutifolia Hook. f. et Thoms. signis datis nimis, forsan specie, diversum. Planta intense viridis fere glabra. Var.? serrata. Ut praecedens, sed segmenta prima- ria longe (terminale laminá longius), secundaria bre- viuscule petiolulata, subinaequaliter argute serrata, petiolo petiolulisque volubilibus, sepala pollicaria ovato- oblonga in mucronem acuminata. Hab. in Mandshuria rossica australi, ad fl. Sedemi prope pagum koreanum Pozilowka, fina Augusti sub- defl. (Goldenstädt!). Specimen unicum, quoad frondem CI. lasiandrae si- millimum, sed flore valde diversum. Planta adpresse pilosa, herbaceo-viridis, pedunculis 3-pollicaribus. 5. CI. Pieroti Miq. Prol. 189. — Franch. et Sa- vat. Enum. 1. p. 2. Hab. in Japonia (Siebold!): Kiusiw, circa Na- gasaki (Oldham! X 5 frf.) locis graminosis silvae opacae declivitatis borealis m. Yuwaya sat frequens, init. Sep- tembris fl., init. Novembris frf., nec non in collibus circa Inassa in silvis rarius; Tara-take, fine Aug. flor.; prov. Bungo prope Taga-sake, in pratis maritimis, non fre- quens, fine Octob. frf. Nippon: jugo Hakone, medio Octobri frf. In mentem vocat Cl. orientalem L., sed haec statim differt foliis pinnatim nec ternatim bis sectis, sepalis patentibus ovatis nec reflexis oblongis, staminibus quam styli subbrevioribus nec distinctissime longioribus, filamentis linearilanceolatis nec linearibus, ciliatis ne- que glabris, antheris respectu filamenti majoribus, nec illo decies saltem brevioribus. — Pedunculi in nostra graciliores ad summum triflori, sepala et antherae virgineae in vivo lacteae, hae apertae cinereae. Folia quoad formam variabilia, interdum illis CZ. parvifoliae Edgew. speciminis macrophylli persimilia. Haec species, in coll. Oldhàm. cum dubio pro CZ. biternata D C. Syst. I. 149. habita et a me ipso pri- mum pro hac sumpta, a planta Candollei et Decais- ` nei (hb. Timor! in Nouv. Ann. Mus. III. 421.) certo differt, praesertim floribus. De CZ. biternata D C. confer infra in observatione ad calcem CI. brevicaudatae. 6. CI. caesariata, Hance in Seem. Journ. of bot. VIII. 71. Hab. in Chinae prov. Fokien (de Grijs! in hb. Hancei X 6700). Fructifera tantum nota, quoad locum igitur dubia. 2. Sepala conniventia. 7. Cl. aethusaefolia Turcz. in Bull. Mose. V. 181. — Maxim. Ind. Pekin. 468. Ind. Mongol. 479. Hab. in China boreali, circa Pekin (Kirilow! Ta- tarinow!), prov. Kansu silvis alpinis rara (Przewals- ki!); Mongolia australi (Kirilow!): in apricis jugi In-schan (vel Muni-ula) rara, in jugo Alaschan, in vallibus et ad pedem in ipso deserto rarius Dire: walski!). Specimina e Kansu, foliis ramorum florentium tenui- ` ter, caulinis illos fulcientibus grossius minusque dis- sectis transitum efficiunt ad Var. latisectam Maxim. Fl. Amur. 12. — Rgl. Gartenfl. 1861. tab. 342. (mala quoad sepala erecta), ibid. 1863. pag. 349. (sepala recte apice revoluta corriguntur.) Hab. in Mind secus Amur australem et Usuri E e, LEA aT ATA e es ENG — LS A Rar. + ba S x à i CA, K e 1 des Sciences de Saint- Pétersbourg. inferiorem, sat frequens. Petropoli quotannis uberrime floret e seminibus a d. Maack introductis. 8. QLlasiandra. — Scandens viridis praeter folia adpresse pilosula glabra; foliis bis (superioribus semel) trisectis, segmentis petiolulatis ovatis v. ovato-lanceo- latis acuminatis inaequaliter argute serratis; pedun- culis axillaribus folio brevioribus versus basin bractea- tis et hinc 1—3-floris; pedicellis gracilibus flore 7 MF M longioribus; flore nutante; sepalis conniven- tibus apice revolutis oblongis v. ovato-oblongis acu- tis v. breve acuminatis margine tomentosis genitalia erecta parum superantibus; filamentis planis lineari- bus dorso longe denseque sericeo-pilosis pilis anthe- ram 4'” breviorem velantibus; ; stylis co stamina aequan- tibus; capitulo fructifero erecto carpellis co ovato- lanceolatis acuminatis compressis vix marginatis dense sericeis longe plumoso-caudatis. Hab. in Kiusiu: Naga-yama, in valle profunda ad pedem, silvis vetustis, init. Octobris fl. et frf. Species peeuliaris, prope Cl. fuscam Turez. po- nenda, sed toto coelo diversa. Quoad folia simillima Cl. orientali var. serratae supra descriptae. Herbacea dicitur. Segmenta foliorum 8:20 usque 30:65 mill. magna. Flos 15 mill. longus, albus, extus versus basin cinnamomeo suffusus, glabriusculus (mar- gine sepalorum excepto). Antherae lineares pilis fila- menti cireumdatae, ipsae glabrae. 9. Cl. fusca Turcz. in Bull. Mosc. 1840. 60. — Maxim. Fl. Amur. 10. — Rgl. Fl. Ussur. tab. II. fig. 1. — C. kamtschatica Bong. in Bull. scientif. VIII. 1841. 339. Hab. in Mandshuria: secus fl. Amur ab ostio fl. Komar usque ad sinum Tataricum, ad Burejam infe- riorem (F. Schmidt), ad undam usque ad Indamo, ad totum Usuri fl., circa sinum St. Olgae, in jugo li- torali Sihota , Es sinum Victoriae (Wladiwostok, Possjet etc.) nec non ad fl. Suifun, in pratis, fruticetis, lucis frequens et luxurians. In Sibiria mazime orien- tali: Ajan (Tiling), Kamischatka et Kurilis boreali- bus, erecta 1— 3-flora, et talis etiam in Mandshuria boreali alpina, ad fl. Nemilen (Schmidt). Divi vis. 2. Pedunculi axillares bis saltem divisi, multiflori, minute bracteati, ad apices ramorum saepius in paniculam divitem appro- ximati Sepala patentia. 3. conniventia, folia ampla. 2. Herba erecta robusta. Flores polygami, ne culis pedicellisque strictis crassi Cl. tubulosa. So. ....... 214 Debilis tenera. Flores hermaphroditi, _pedun- culis pedicellisque gracilibus ............. Cl. Tatarinowi. 3. Sepala 5 — 6, he rba a rigida erecta, segmenta fo- liorum linearia............. EE S LC S Cl. angustifolia. Sepala 4. — 4. | 4. per: foliorum margine integra. b. » » inciso-serrata v.ser- ra. 11. 5, Folia omnia trisecta. 6. « bis tri- vel pinnat .q. 6. Anthera filamento. "org ek folii basi obtusa vel cordMa .......... 1242 09 6s . Meyeniana. —— filamento brevior. Segmenta basi cu- V oC DER o dO RUE CI. crassifolia. d Filamenta SE me breviora. Segmenta foliorum 5 acuminata........,..,,,...... Cl. uneinata. Filamenta antheris longior. 8. 8. Foliabi d i angusta acu . Cl. parviloba. Folia Ray pinnatisecta, segmenta petiolo pro ima passim trisecta, basi obtusa vel c ata. 9. Segmenta omnia simplicia, planta sicca nigres- EE O O EE a AE UE Cl. terniflora. Segmenta inferiora ge 2—9- loba v. 3-secta, planta sicca viri Drei 10, Herba petiolis ade ee Cl. recta var. mandshurica. tex magnus scandens dem . paniculata. AU iré dli A nada AT . à. apiifolia. » semel pinnatisecta. 12. » bis er glebriaséela, vd virge Cl. brevicaudata. INTACTOS glabreséülá. NT SE Ae Cl. pinnata. Frutex scandens, folia Subías a rente Cl. grata. 1. Sepala conniventia. 10. Cl. tubulosa Turez. in Bull. Mosc. 1837. X. Ñ 7. p. 148. — Maxim. Ind. Pekin. 1. c. — Hance, on N. China plants, in Journ. Linn. soc. XHI. 75. Hab. in China boreali: prope Pekin (Skatschkow!), in declivitatibus et faucibus m. In-schan, Junio florens (Tatarinow!), in montibus a Pekino occidentem ver- sus sitis (Williams, ex Hance), Ku-pei-kau, secus vias (idem). Culta olim in horto Petropolitano, nunc - in horto Parisiensi (s. n. CI. Davidianae). Planta valde variabilis, caule mox herbaceo graci- liore, mox basi lignoso suffruticoso in ramos plures erectos diviso. Flores mox in axillis foliorum fascicu- lati, sessiles, mox pedunculo communi fulti, alii ses- siles, alii pedicellati, mox flores sessiles cum pedicel- latis in axilla eadem intermixti, mox pedunculus elon- gatus ad intervalla fasciculis pluribus florum onus- tus. Flores occurrunt vel omnes masculi, vel omnes feminei, vel saepissime (in individuis robustioribus) monoici, hermaphroditi nempe cum paucis masculis mixti, variant etiam quoad magnitudinem ita, ut duplo 14* 215 Bulletin de l'Académie Impériale minores non rari sint. Planta certe demum suffruti- cosa, ut e speciminibus nostris numerosis et comple- tis clarum est, sed floret fortasse jam primo anno, unde Williams (apud Hance) ait: a coarse vigorous an- nual with rank smelling purple flowers. Cl. azurea hort. apud Turcz. Anim. herb. in Bull. Mosc. 1854. XXVII. X 2. p. 272., ex hortis Tauriae, etiam forsan non diversa. Specimina maxima rarissime ferunt folia infima 2-jugo-pinnatisecta (segmenta 5, loco trium ut solito occurrunt) cum pedunculis elongatis multifloris. An talis sistit Cl. heracleifoliam DC. Syst. I. 138. inter Pekin et Jehol a Staunton detectam, sed a nemine postea visam, descriptione non contradicente, praeter . caulem scandentem? Cl. stans S. Z. Fl. Jap. fam. nat. I. n. 302. — Miq. Prol. 190., quoad specimina hucusque e Japonia al- lata, a Cl. tubulosa bene diversa videbatur floribus par- vis, sepalis intus pallide coeruleis nec sordide viola- ceis, nunc tamen, ubi exempla numerosa e locis di- versissimis Japoniae attuli, nullas differentias inter utramque speciem invenire possum. Variat enim pl. ja- ponica plane eodem modo ac sinensis floribus parvis vel magnis, pallidis vel intensius coloratis , "sessilibus vel ` pedicellatis, et dantur specimina, quae nequaquam a chinensibus distinguenda sunt. Videntur tamen in japo- mica, planta frequentius quam in chinensi, praesertim in borealibus, occurrere individua fima male evo- lutis, solito duplo minoribus, vix apertis, nihilominus | fructus perfectos maturantibus.— Possideo e Japonia: e Hakodate sat frequentem, e Nippon principatu Nambu, Idzu, prope Kanasawam et Yokoskam nec non e mon- tibus Hakone, multis exemplis florentibus et fructiferis collectam. 11. Cl. Tatarinowii. — Viridis gracilis parce bre- vissime puberula, caule 6 -sulco debili; foliis bijugo- pinnatisectis amplis jugo petiolo proximo trisecto v. trifido ceteris trilobis, segmentis omnibus ovatis v. rhombeo-ovatis acutis parce mucronato-inciso-serra- tis; pedunculis axillaribus elongatis folio brevioribus gracilibus ter trichotomis, pedicellis filiformibus flore subnutante longioribus; sepalis 4 conniventibus apice revolutis extus puberulis margine tomentosis oblongis acutis genitalia duplo superantibus; filamentis glabris antheram superantibus; stylis quam stamina fere duplo brevioribus crassiusculis basi plumosis. Hab. in China boreali, non i procul a Pekino € tarinow! fl. defl.) Rami praesto sunt 3 herbacei recti et icon ad vi- vum colorata pulchra. Folia ad 22 cent. longa, secus nervos superne in sicco subcinerascentia, ceterum vi- ridia, membranacea, subpenninervia, fere glabra. Seg- mentum terminale ad 8: 10 cent. magnum, sequentia dimidio minora, infima triloba v. incisa v. trisectà aequimagna vel minora, omnia petiolulata. Flos 15 mill. longus, alabastro oblongo acuto, ochroleucus et coeruleo suffusus. Antherae lineares. 2. Sepala patentia. a. Segmenta foliorum inciso-serrata. pinnatisectis segmentis petiolulatis cordato-ovatis ova- tisve breve acuminatis inaequaliter inciso-serratis; pe- dunculis axillaribus strictis firmis folio brevioribus ter trichotomis superioribus in paniculam multifloram con- flatis, floribus subcymosis; pedicellis flore erecto bre- ` vioribus; alabastris oblongis acutis; sepalis 4 anguste - oblongis acutis patentissimis apice revolutis extus to- mentosis stamina paulo superantibus; filamentis li- nearibus glabris anthera triplo longioribus; stylis circa 15 quam stamina duplo brevioribus crassiusculis basi plumosis. — Cl. spec. Maxim. Ind. Pekin. 1. c. Hab. China boreali: in faucibus montium a Pekino occidentem versus sitorum, prope templum Schan-ar, trans flumen Chun-che, inter frutices, Augusto florens (Tatarinow!). Praecedentem non parum refert, sed folia peduncu- flores (ex sieco lactei) vero plane alieni. Folium totum 18 cent. longum, segmentum terminale 4 —6 : 6—10 cent. magnum, interdum leviter trilobum, lateralia — ` aequalia v. majora v. in foliis summis trisectis duplo minora et angustiora. Bracteae parvae oblongae. Flos diametro 35 mill. Sepala 17 mill. longa, 2 — "d b mill. lata. Antherae lineares. Ol. brevicaudatae proxima videtur, sed ne macrophylla et semel pinnatisecta, caule, ex specimi- nibus paucis at completis collectis, herbaceo. 13. 6. pinnata. — Herbacea? suberecta viridis. adpresse pilosula; caule 6-sulco debili; foliis 2 - jugo-- lique firmiora, segmenta scitis magis regulariter ` et argute serrata, pedicelli magis squarrosi breviores, 13. Cl. brevicaudata DC. Syst. I. 138. — Bge. É sk » S SUM x FA A s E ; EG. B % HE CE XS gm SUR es ME "e 217 y des Sciences de Saint - Pétersbourg. A Enum. chin. n. 2. — Maxim. Ind. Pekin. et Mongol. IL ce. — F. Schmidt, Fl. Amg. bur. p. 28. Hab. in China boreali, Mongolia australi, Mand- shuria: ad Burejam inferiorem (F. Schmidt), ad litus Mandshuriae inter 44 et 45° lat. (Wilford! s. n. «Ol, biternatae?»), circa sinum Guérin, in fruticetis se- cus rivulos frequens, fine Augusti fl. defl. (ipse). Planta a Wilford et a me lecta sistit lusum um- brosum: pedunculis folio triplo brevioribus pluri-nec multifloris apice ramorum in paniculam non appro- ximatis. Huic valde similis est Cl. biternata DC. Syst. I. 149 excl. syn. — Dne Herb. Timor., in Nouv. Ann. Mus. III. 421., ex insula Timor hucusque tantum nota, cujus specimen authenticum, a Riedlé collectum; a : Decaisneo datum, in herb. Acad. Petrop. examinare contigit. Flores iidem, folia in Cl. biternata autem ambitu deltoidea petiolis partialibus pollice breviori- bus (ex Decaisne pollicaribus) segmento terminali fere semper trisecto, lateralibus in superioribus trilo- bis, in inferioribus trisectis, ita ut folium rite bis tri- seetum sit. In Cl. brevicaudata vero folia inferiora ambitu oblonga, petiolo partiali centrali 2 — 3'” lon- giore quam laterales, segmenta cauli proxima trisecta, Sequentia simplicia (3-loba), terminale trisectum petio- lulo centrali lateralibus iterum multo longiore segmen- tulo terminali item trisecto, unde folium bis pinnati- sectum dici potest. — Heholiymich Thunbergii a De Candolle, nullo specimine authentico examinato, huc ductum, ad Cl. paniculatam pertinet, unde CZ. biter- nata D C. e flora japonica excludenda. Synonymon Lou- . reirii, ob eodem autore huc ductum, mihi ex descrip- tione florae cochinchinensis potius ad Cl. apiifoliam spectare videtur. 14. Cl. grata Wall. Pl. as. rar. I. t. 98. Hab. in China: Formosa (Oldham! n. 2.). India boreali. 11; CI. ? ? Int „a qua foliis subtus s villosis . nec glabriusculis jugo infimo passim tantum nec ple- rumque trisecto distincta, nec non Ol. javanae DC., si recte huc refero specc. plura javana a collectoribus Lobb. 226., Zollinger 2928. aliisque pro CZ. grata habita, sed foliis bis trisectis et segmentis majoribus obtusius pauciusque serratis et incisis instructa. Cl. ligusticifolia Nutt. e California, Novo Mexico et Oregon etiam valde similis est. 15. Cl. apiifolia D C. Syst. I. 149. — Sieb. Zuce.! Fl. Jap. fam. nat. I. 176. — Miq. Prol. 189. — Cl. virginica Lour. Fl. Cochinch. ed Willd. 422. (ex descr.) Hab. in China australi (Loureiro), prope Amoy (ex Benth. Fl. Hongk. 7.), boreali (Fortune! A. 86). Kiusiu: circa Nagasaki vulgaris, Augusto, Septembri fl., Novembri frf. (Oldh.!, ipse); Tara-Take (ipse). . Nippon media (Tschonoski!), jugo Hakone (ipse), Yokoska (Savatier!) A Cl. brevicaudatae ramis cum foliis trisectis tan- tum collectis caute distinguenda, etiam Cl. gratae si- millima. b. Segmenta foliorum integra. 16. Cl. angustifolia Jacq. Enum. 310.—Bge Enum. Chin. n. 1. — Ledeb. Fl. Ross. I. 2. — Maxim. Fl. Amur. 9, 468, 479. Hab. in Dahuria, Mandshuria occidentali et aus- trali, Mongolia et China boreali. Exemplaria europaea et altaica nondum vidi. ** Sepala 4. 17. Cl. recta L. var. mandshurica, Rupr. in Pl. Maack. in Bull. Petersb. XV. 514. (sp. propr.). — Maxim. 1. c. 10. — Caule herbaceo saepius decum- bente, petiolis tortis, segmentis foliorum plerumque ovatis basi cuneatis truncatis vel subcordatis, reticulo ` venarum subtus prominulo; paniculis axillaribus et terminalibus. Hab. in Mandshuria: pratis ad Amur meridionalem, Sungari, Usuri, Dsejam, Suifun fluvios, circa Ba lacum et usque ad Possjet prope fines Koreae exten- sis, floret ab initio Julii, fructus fert ab initio gece | bris. Occurrit rarius etiam caule erecto, foliorum seg- ` mentis ovato-lanceolatis vel TOP inflorescentia ` subterminali, et talis, ut etiam culta in horto Petro- ` politano, a Cl. recta europaea non distinguenda, prae- — - ter caudas carpellorum (an semper?) longiores, — dis- tributionis disjunctae exemplum mirabile! — Qualis autem in Mandshuria vulgatissime reperitur: latifolia caule decumbente inflorescentia laterali petiolis tortis, tam similis est CI. paniculatae Thbg., ut tantum caule herbaceo, juvenili subglabro apice tantum puberulo, distingui possit, quum CZ. paniculata frutex fit trunco pollicem crasso 2-orgyali, ramis innovantibus juveni- libus fere sericeo-pilosis. An in Japonia boreali Cl. " Bulletin de l'Académie Empériale 220 paniculata minor et forsan suffruticosa tantum occur- rat, eheu! quaerere praetermisi. Verosimiliter a Cl. chinensi Retz. Obs. II. 18 tab. 2. non differt, et eum hac ad Ol. minorem Lour. Fl. .18. Cl. paniculata Thbg. in Transact. Linn. soc. | Cochinch. ed. Willd. 423., ex descriptione, praeter H 337. — Miq. Prol. 189. — Cl. crispa et Cl. virgi- nica Thbg. Fl. Jap. 239. 240, haee ex synon. Sen- ninsó Kaempferi Amoen. 885., cujus figuram inedi- . tam in mus. britann. comparavi.—01.Vitalba e Japonia, Houtt. Syst., ed. germ. VII. tab. 55. fig. 2. sine de- script. — Caule fruticoso, petiolis tortis, segmentis fo- liorum ovatis cordatisve reticulo venarum indistincto; paniculis axillaribus multifloris. Cetera Cl. rectae L. Hab. per totam Japoniam vulgaris: Nagasaki in fruticetis cum Cl. apüfolia, Paederia, Cocculo Thun- bergii, Dioscoreis cet. valde intricata et vulgatissima. Simili modo crescit in Yokohama, Yokoska. Habeo e Nambu et frequentem collegi circa Hakodate, in pra- tis et fruticetis, medio Augusto florere incipientem, Oc- tobri fructiferam, multa magis igitur serotinam quam praecedens. Truncus et rami lignosi, adsunt tamen pennam anserinam crassi virides, sed per hiemem jam foliis or- bati. Innovationes longe tenuiter pilosae, mox gla- bratae, petiolis foliorum inferiorum basi dilatata con- fluentibus, ut in praecedente. In herb. Franchet vidi specimina pauca fructifera, a D-re Savatier semel prope Yokoska ins. Nippon ni fallor collecta, quae aut novam speciem aut varie- tatem insignem sistere videntur: gracilis, segmenta fo- liorum primaria usque 5, infima et terminale trisecta, jugi secundi saepius integra vel bis secta partitave, folium igitur fere bipinnatisectum, petioli valde volu- | biles, lamina segmentorum ovato-lanceolata integer- rima parva (1: 3 cent.), carpella ut in CZ. paniculata pauca, duplo minora. | 19. Cl. terniflora DC, Syst. I. 137. — Ql. tenuiflora DC. Prodr. I. 3. (sphalmate). — Hance in Trimen's Journ. of bot. 1874. 259. — C1. ternifolia (sphal- mate) Benth. Fl. Hongk. 7. — Cl. biternata Sieb. Zucc.! Fl. Jap. fam. nat. I. 176. — Miq! Prol. 189. — nec DC. — «Cl. Flammula?» Morr. Dne in Bull. Brux. III. 173. (ex descript.) Hab. in China: prov. Canton secus North river (Hance!), Amoy (Fortune! 94., De Grijs!), prov. Kiangsi prope Kiu-Kiang (Moellendorff ex Hance) et alibi in China boreali (Fortune! A. 89.). In Japonia loco non adnotato (Siebold! herb. et in hb. Lugd. bat.) flores minores, in hac ut in aliis hujus generis spe- ciebus magnitudine valde variabiles, non diversam, amandanda.— A CI. biternata DC., pro qua habuerunt Zuccarini et Miquel, jam segmentis trinerviis inte- gerrimis, praeter alias notas, differt. | 20. Cl. parviloba Gardn. et Champ. in Kew. Journ. bot. I. 241. — Benth. Fl. Hongk. 6. Hab. in insula Zongkong. — Non vidi. 21. Cl. uncinata Champ. in Kew. Journ. of bot. III. 255. — Benth. Le: | Hab. in insula Hongkong. — Non vidi. Specimina sterilia possideo japonica, a botanico in- digeno data, et cum illis e provincia Kü, a Keiske acceptis, pro Cl. longiloba DC. cum dubio declaratis a Miquel (Prol. 189.), convenientia, quae Cl, unci- natae affinia videntur, sed quum ab illa, tum a CZ. lon- - giloba diversa sunt jugo foliorum infimo saepe trisecto, - a priore praeterea segmentis majoribus (— 3%, poll., neque tantum 1/5 — 2-pollicaribus) Nihilominus ex pedunculis axillaribus in 1 specimine herbarii Lug- duno-batavi superstitibus et foliorum forma ad hane affinitatem pertinere videntur. Ceterum CZ. longiloba DC. species est valde dubia, quum tantum sterilis nota sit. * ; 22. Cl. crassifolia Benth. 1. c. 7. Hab. in insula Hongkong. — Mihi ignota. 23. Cl. Meyeniana Walp. in pl. Moyen. 297. — Benth. l. c. 6. à: Hab. in China australiore: Canton (Fortune! 51.), - Hongkong (Hance!, Wright!), prov. Kiangsi prope Kiu-Kiang (Shearer!), ins. Formosa, prope Tamsuy (Oldham!), nec non in Zutschu ins. Yakuno-sima, fine Aprilis flor. leg. Wright! Sect. 2. Viticella. Sepala basi attenuata, praefloratione margine involuta. Caudae carpellorum adpresse pubescentes vel plumosae. Pedunculi nudi 1-flori vel medio bracteati 1-vel (non in nostris) 3-flori. Innovationes floriferae ex ligno vetusto, breves, unde florescentia vernalis; raris- sime plantae herbaceae. TEN Are Cl. brachyura. .— 2, 2. Folia tri-v. pinnatisecta vel simplicia, sepala coe- rulea. 3. Folia biternata, sepala alba 221 e 3. Pedunculus flore brevior, folia subtus sericeo -in- m NM verentur tic. Cl. lanuginosa. flore longior, folia concolora gla- a Cl. patens. 24. Cl. brachyura. Herbacea subsimplex viridis parce pilosa demum glabrata, caule tereti debili gracili; fo- liis 2-jugo- v. superne 1-jugo-pinnatisectis petiolo vo- lubili, segmentis petiolulatis versus apicem petioli subminoribus ovatis basi cuneatis v. truncatis acutis utrinque prominenter reticulatis et 3-nerviis; pedun- culis axillaribus 1-floris folio brevioribus medio minute bracteatis; flore erecto; sepalis 4 oblongo-obovatis apiculatis patulis genitalia plus duplo superantibus; filamentis antherisque brevioribus glabris stylis aequi- longis; carpellis circiter 4 suborbicularibus planiuscu- lis in caudam subaequilongam arcuatam pubescentem subito desinentibus. — CI. paniculata forma? pauci- flora, Miq. Prol. 189. Hab. in arehipel. Koreano (Oldham! X 7, nume- rus a Miquel citatus, v. in hb. Petrop. et Lugd. - bat.) Cl. cadmiae Ham. subaffinis, sed haec nimis ab- horret caule scandente, foliis decompositis, bracteis amplis heteromorphis, capitulo fructifero amplo poly- carpo, carpellis maximis in caudam rectam acuminatis, — Cl. daurica Pers. Ench. II. 99., DC. Syst. I. 153., ad spec. dauricum a Patrin datum in herb. Jussieu descripta et nemini alio cognita, ex descriptione sat similis esset, si ponas ramum fuisse foliis trisectis tantum instructum, nisi ovaria villis longis albis vestita et caulis fruticosus (?) scandens dicerentur. Praeterea silent autores de reticulatione distinctissima foliorum et de magnitudine partium. Caulis 2— 3 pedalis. Segmenta foliorum integer- rima, ad 4 cent. longa, 2 cent. lata. Pedunculi infimi pauci, potius rami censendi, folia superant, medio ge- runt folia 2 simplicia v. trisecta minora et flores 3, pedunculi summi passim nudi. Sepala 8— 10 mill. longa, 3— 4 mill. lata, ex sicco albida, praeter margi- nem tomentosum glabra. Carpella 4 mill. , adpresse pilosa. 25. Cl. florida Thbg. Fl. Jap. 240.— Sieb. Zuce. Fl. Jap. fam. nat. I. 176. — A. Gray in Perry's Exped. 305. — Miq. Prol. 190. — Franch. Savat. Enum. I. 2. — Anemonoides e Japonia. Houtt. Pf. Syst. VIL. t. 55. Fig. 1. Hab. per totam Japoniam culta, initio Junii fl., sed à nemine hucusque Sponte crescens inventa. HA REC WES d WA 9 bre m 9X au ve à Po PU — des Sciences de Saint - Pétersbourg. > Marx > Sat Ki, Occurrit saepe staminibus exterioribus petaloideis (d. plenis. — Caudae a Sieb. Zucc. elongatae plu- mosae dicuntur, et ita ipse video in herb. Sieboldi, sed modus crescendi et sepalorum praefloratio Viticel- larum. x 26. Cl. patens Morr. Dne in Bull. Acad. Brux. 1836. III. 173. — Cl. coerulea Lindl. Bot. reg. t. 1955. Hab. in collibus Nippon mediae, forsan sponte (Tschonoski! fl), colitur Yokohama, medio Majo florens. Ludit ut praecedens staminibus extimis petaloideis, sed petala haec tunc sepalis aequilonga nec breviora, ut in praecedente, flores fere albi, in Japonia subtripol- licares, in Europam advecti culti ad 6-pollicares, quae Cl. Fortunei Moore in Gard. Chron. 1863. 676. c. fig. et V. Htte Fl. d. serr. XV. tab. 1553. Involu- crum sub flore e foliis approximatis occurrit et in ja- ponica, sed non semper. 27. Cl. lanuginosa Lindl. Paxt. Fl. Gard. 94. — V. Houtte Fl. d. serr. VIII. tab. 411. et XI. tab. 1176. Hab. in Chinae prov. Tsche -kiang, prope Ningpo, in declivitatibus lapidosis collium sponte (Fortune! n. 62.) Folia simplicia trisectis frequentiora dicuntur. Sect. 3. Cheiropsis. Pedunculi 1-flori cum foliis fasciculati, basi squamis obvallati, ex ligno vetusto prodeuntes, petiolis induratis anni praecedentis stipati; rarius cum fasciculis floriferis foliigeris obveniunt rami innovantes elongati basi ex axillis florentes. : Filamenta dense pubescentia, folia trisecta segmen- "PME LL CUI edu 2. Folia trisecta segmentis parce incisis. ........... Cl. Williamsi. » d » tripartitis inciso-serratisque Cl. eriopoda. 28. Cl. japonica Thbg Fl. Jap. 240.—Mig. Prol. 190. — Sieb. Zucc. Fl. jap. fam. nat. I. 176. O Gray in Perry Exp. 306. — Fr. et Savat. Enum. 2. Hab. in Japoniae ins. Kiusiu in subalpinis, v. gr. in ` ben jugo interiore Kundsho-san silvis vetustis, init. Junii florens, prope Ko-isi-wara, in alpe Higosan prov. Higo, et Nippon in montibus (Siebold!) partis mediae ` (Tschonoski!) prope Simoda (Yolkin!), Yokoska (Sa-- vatier!), Yokohama, fine Maji flor., fine Septembris - frf. (ipse). Petropoli culta in frigidario Junio floret. ` Sepala sordide purpurea conniventia apicibus re- flexis. | : Cl. japonica. et 223 Bulletin de l'Académie Empériale D R 4 x 1 y > à va i 224 4 NÉE D ag. Cl. Williamsi A. Gray in Perry Exped. 306.— Fr. et Savat. Enum. I. 2. Hab. rara in Nippon media: Simoda (Williams et Morrow, teste A. Gray), Yokoska in sepibus (Sa- vatier!).. 30. CL eriopoda, Adulta glabra, foliis breve petio- . latis trisectis segmentis ambitu ovatis tripartitis et in- ciso-serratis, lacinulis divisionum terminalibus lineari- bus lateralibus ovatis omnibus mucronato-acutis; pe- dunculis 1-floris sub apice bracteis 2 petiolatis ovato- lanceolatis serratis pilosulis fultis; pedicello quam flos erectus duplo breviore incrassato dense incano-tomen- toso; sepalis 4 patulis ellipticis obtusiusculis extus seri- ceo-villosis genitalia parum superantibus; filamentis subulatis glabriusculis antheras multiplo superantibus; stylis numerosis quam stamina brevioribus ultra stig- mata brevia nuda longe plumosis. Hab. in Japonia, unde specimen cultum attulit ex . itinere primo d. Siebold. - Species sui juris, Cl. balearicae Rich. subaffinis et quoad florem similis, foliorum indole O7. aethusaefoliam in mentem vocans. Specimen unicum visum sistit ramulum pedalem foliiferum, a ligno vetusto ita abscissum, ut basis squamata squamis persistentibus, folia et pedunculus e gemma hac simul cum illa innovatione elongata pro- deuntes in conspectum veniant. Innovationes juveniles pilosae, mox glabrae. Ramus tenuis, subsexsulcatus. Folia ambitu latissime deltoidea, in sicco nigrescentia, rigidula, 5 — 7 cent. longa et 6 — 7 cent. lata. Pe- tiolus communis 15 mill., partiales laterales 5 — 6 mill., centralis 10 mill. longi, segmenta 2—2", cent. longa, 1 — 2 cent. lata, terminale trisectum dicen- dum segmentulo terminali petiolulato (petiolulo 8 — 5 mill.) tripartito: lacinula terminali trifida vel subin- tegra, lateralibus hinc bifidis vel bipartitis et serra- turis 1 — 3 munitis; segmenta primaria lateralia al- titudine diversa tripartita et laciniae simili modo ter- minalis tri-, laterales bi-fidae et serratae. Pedun- culus usque ad involucrum fere 6 cent. longus, brac- teae 3'5 cent. (petiolo 1 cent.) longae, ultra 1 cent. latae, basi in petiolum sensim cuneatae, apice ovato integrae, reliquo margine utrinque serraturis 4 — 5 instructae. Pedicellus 6 mill. Sepala 20 mill. longa, 7 —8 mill. lata, ex sicco albida, angulo semirecto patula, plana, recta, trinervia et inter nervos luce translucente reticulato-venosa. Stamina subida conniventia. Anthera linearis. Folium pedunculum ipsum fulciens et ex eadem gemma egressum, illo duplo brevius, e segmento terminali tripartito et laterali minore (alio deperdito) constans. Expl. fig. tab. adjectae. 1. Cl. eriopoda spec. florens magn. nat. 2. Stamen et carpellum juvenile ex flore unico Saonah m. ausis Species exclusa. Cl. trifoliata Thbg. in Linn. Trans. IL. 337.—DC. Syst. I. 149. — Scandens foliis ternatis Thbg. Fl. Jap. 357. Pl. obscurae n. 43. — Ex icone Thunber- gii inedita in bibliotheca horti Petropolitani servata est Akebia lobata Dne. Atragene L. Petala stamina aequantia Se discoloribus vulgo duplo breviora obtusissima......... . alpina. Petala stamina superantia sepala concolora À saepius subaequantia acuminata.......... A. macropetala. 1. A. alpina L. Cod. 4025. — Maxim. Fl. Amur. 12. — Ledeb. Fl. Ross. I. 4, — F. Schmidt. Fl. Amg. bur. 28. Fl. Sachal. 101.— A. ochotensis Pall. Fl. Ross. II. 69. — A. platysepala 'T rtv. i. Fl. Ochot. 5. Floribus violaceis. Hab. in Sibiria, frequentius in parte orientali; ins. Sachalin; Mandshuria orientali subalpina ab ostio fl. Amur usque ad fl. Li-Fudin regionis usuriensis, ubi in silvis acerosis rarius collegi, medio Junio florentem; in ` Chinae borealis montibus Po-hua-shan, a Pekino occi- dentem versus ponia: in alpibus altissimis Fudziyama c. fructu, Nikko florentem legit T schonoski. Specimina chinensia sepala magis obtusa habet. Planta japonica ad var. ochotensem Bel, Til. Fl. Ajan. 20. n. 2. ducenda, sed flores occurrunt mox magni, mox parvi, et sepala saepius tantum acuta sunt. 3 Floribus albis. — A. sibirica L. Cod. 4027. Hab. in Davuria maxime orientali ad fl. Schilkam prope Schilkinskoi Sawod, in subalpinis frigidis; in Si- biria usque in Kamtschatkam, sed in oriente rarior, - praeterea in Rossia septentrionali, et, rarior quam var. fl. violaceis, in alpibus Europae mediae. | 2. A.macropetala Ledeb, Fl, Alt. II. 367. in nota. — Ledeb. Ic. fl. alt. tab. 11. — Ej. Fl. Ross. I. 4.— Maxim. Ind. Pekin. in Fl, Amur. 468. — ane: Pl, Radd. I. 10. (Kirilow!, Bretschneider! in Ja- des Sciences de Saint - Pétersbourg. ^ Floribus violaceis. | Hab. in Davuria versus fines chinenses (Turez!), ad fl. Schilkam prope Werchnie Kularki in declivitati- bus montium frequens, ultimo Junio fl.; in Mandshuria occidentali, ad fl. Amur supra urbem Blagowestschensk, silvis frondosis (ipse); in Mongolia australi (Kirilow!): jugo In-schan vel Muni-ula, fruticetis demissis, fine Junii fl. (Przewalski!); China boreali, non procul a Pekino (Kirilow! 1843) in montibus occidentalibus in monte Miao-ar, prope templum ejusdem nominis (Tatarinow! 1847.). Floribus albis. D rei LO | Hab. in Mongoliae australis montibus Alaschan, val- libus humidis frequens, init. Julii deflorescens (Prze- walski!). : Forma typica habet segmenta foliorum grosse in- ciso-serrata, petala acuminata sepalis distincte breviora, planta mongolica (Clematis rupestris Turez! in sche- dis) segmenta similia, sed duplo vel triplo minora, pe- tala numerosiora sepala fere aequantia, var. albiflora | flores ut in typo, sed albos vel rarius violaceo suffusos, segmenta foliorum lanceolata argutius serrata, magni- tudine ut in typo vel paulo longiora. Transitus ad praecedentem speciem hucusque non- . dum observati. — Anemone stolonifera, (Sect. Homalocarpus DC.) Sto- lonibus tenuibus apice radicantibus innovans, foliis radicalibus trisectis segmentis (terminali longius) pe- tiolulatis omnibus subrhombeis 2—-3-fidis ad medium inciso-serratis; involucralibus 3 longiuscule petiolatis consimilibus; pedicellis geminis elongatis; sepalis 5 ovalibus; carpellis pilosis stylo longiusculo.— A. spec, incerta legit Keiske, Miq. Cat. hb. Japon. 2. quoad fragm. tokiwa itschidshi japonice inscriptum. a 2) Cetera fragmenta herbarii Lugduno-Batavi, japonice setsubun só dicta, numerosiora, novam diversi generis speciem sistere viden- tur, quam ut collectores in mente habeant, sequentibus describam: Eranthis pinnatifida: glabra, segmentis foliorum radicalium et in- —volucralium pinnatifidis; flore pedunculato; sepalis ovatis albis; car- pellis subsessilibus 2— 3 demum patentibus, stylo rectiusculo brevi.— ine. Miq. 1. c. p. p. Adsunt in herb. japon. Lugd.-Bat. cauliculus defloratus cum car- pellis erectis 2, folia radicalia 3, cum icone rudi a botanico indigeno u Ü fere a basi in lacinias lineares secta, quarum basales in foliis radicalibus palmatisectis iterum par- titae sunt, species nova videtur, E. uncinatae Turez. (Setsubun só, Tome XXII. Hab. in Japonia (Itoo Keiske! ex Miquel): sil- vis alpinis prov. Nambu, in graminosis secus rivulos (Tschonoski! fl. frf.). | Ob caulem folia radicalia parvula duplosuperantem Ranunculo cuidam albifloro subsimilis, ex affinitate A. baicalensis Turez. et A. flaccidae F. Schmidt 3), ab utraque habitu illo ranunculino, stylo carpellorum dis- tincto nec stigmate subsessili , flore parvo et foliis in- volucralibus segmentisque radicalium petiolulatis ab- horrens. Ab A. baicalensi, quacum rhizomate stolonoso tenui convenit, praeterea foliis involucralibus 3 neque 2 diversa. Ab A. flaccida, quacum numero foliorum involucralium convenit, praeter signa data radice stolonifera neque rhizomate crasso aequali distineta. Adnot. De hujus generis speciebus orientali-asiati- cis notulas sequentes adducere fas sit: l. A. nikoönsis m. — Adde synonymon: A. um- brosa, Miq! Prol. 190, quoad specimen ex insula Nippon. 2. A. altaica Fisch. — A. umbrosa Miq! 1. c. quoad pl. e Fezo.— Circa Hakodate communis, occurrit in Nippon meridionalis monte Haksan, unde vidi in hb. Franchet. — Typica est planta, neque illa ad A. nemorosam vergens, quam in fl. amurensi olim de- scripsi quaeque per totam Mandshuriam sylvestrem sola et vulgatissima crescit, ab A. altaica sepalis tan- tum 6 — 8 latioribus et rhizomate aequali, ab A.ne- morosa sepalis numerosioribus angustioribus tantum diversa. 3. A. umbrosa C. A. Mey., rarissima species, huc- usque ex fl. altaiea tantum nota, in Mandshuria orien- tali australiore secus jugum Sihota-alin a me frequen- — ter lecta est, ita ad Usuri superiorem inde ab ostio ` Situcha fluvii, secus fluvios Li-Fudin et Wai-Fudin.— ` Carpella (nondum descripta) in capitulo 12— 15, bre- vissime stipitulata, subsessilia, ovoidea, pilis rectis ` erectis gilvo-sericea, stylo glabro rectiusculo brevi. ` m Soo bokf. X. fol. 35.) affinis, sed stylo etiam sub anthesi recto et - sa praesertim foliis diversa. xpl. figur. 3 — 8 tab. adjectae. Fig. 3. cauliculus defloratus cum carpellis 2 et stamine uno superstite agglutinato, quae in 4. seorsim et magn. aucta delineata. Fig. 5. 6. folia radicalia. Fig. 7. planta tota et 8. carpella dehissa cum seminibus. Omnes figg. ex herbario Lugduno-Batavo, 3—6 ad siccum, 7. et 8. ad adumbrationem rudem botanici indigeni transcriptae. 3) A. flaccidae synonyma: A. baicalensis S. Z.! et Miquel! Pro). p. 190. et A. parviflora? Miq! ibid. 369. (nec Michx.) 15 ~ 227 Bulletin de l'Académie Impériale 4. A. Raddeana Rgl. — A. altaica, Miq! Le nec aliorum, quam e Mandshuria circa sinum Possjet lec- `- tam possideo, circa Hakodate sat frequens, et imo ad Fudzi yama crescens, pulcherrima species est, Regelio imperfecte cognita, quae primo veré vel minuta seg- mentis foliorum involucralium subintegris vel vix in- cisis gaudet et a serius vel melius evoluta valde differt, in hac enim folia involucralia radicalia aemulantur. Folium radicale biternatisectum, segmentis late rhom- beis obtusiusculis 2 — 3-fidis antice inciso -serratis basi cuneatis, folia involucralia semel trisecta. 5. A. debilis Fisch. in litt. apud Turcz. Animadv. herb. in Bull. Mosc. XXVII. 1854. X 2. p. 274. — A. gracilis F. Schmidt Fl. Sachal. —, hucusque e Kamtschatka, Mandshuria boreali-orientali et Sacha- lino nota, occurrit in alpibus totius Japoniae, habeo saltem e montibus altis prov. Nambu Nippon borea- lis, et e cacumine vulcani Wunzen insulae Kiusiu. — Planta japonica tamen varietatem sistit boreali mino- rem, foliis involucralibus brevioribus (lanceolatis v. ellipticis) saepe argutius serratis. Thalictrum tuberiferum, ( Euthalictrum D C.) radicis fi- bris fasciculatis tuberoso-incrassatis stipitatis; folio ra- dicali quam caulis 2—3-love breviore 2— 3-ternato foliolis ovatis cordato-ovatis v. oblongis obtusis lobato- crenatis saepe trilobis; caule 2-pedali; foliis caulinis 2 oppositis subsessilibus ceterum similibus; corymbo fo- liato trifido, floribus paucis in pedicello solitariis pri- mum densis fructiferis dissitis staminibusque erectis; filamentis dilatatis anthera obtusa multo latioribus; carpellis 2—4 stipite paullo longioribus semiellipticis subteretibus costatis stylo brevissimo recto apiculatis. . Hab. in Mandshuria orientali: circa aestuarium St. Olgae ad declivia lapidosa, in silvis acerosis v. frondo- sis secus fl. Wai-Fudin et alibi, sat frequens, fine Ma- ji fl., fine Junii frf.; in pratis cirea sinum Possjet, Au- gusto c. fructib. serotinis. In Japoniae insula Nippon: in alpe Nikko, in silvis ad pedem secus rivulos in la- pidosis (Tschonoski! fl., Savatier! X 2274. fl. frf.) _ Primo aspectu Th. clavato D C. simile, sed jam sec- tione diversum. | Proxime affine Th. filamentosum m. differt radice sto- lonibus repente, caule humili, foliolis amplis cordatis, carpellis breve stipitatis, sed melius ad Euthalictra numerandum et descriptioni in fl. Amur. datae adden- dum: fibrae radicis paucae passim tuberoso-incrassatae e collo fasciculatae, cum stolonibus longissimis hori- zontalibus. — Stationibus Th. filamentosi adde: in sil- vis totius Mandshuriae orientalis, v. gr. secus Usuri superiorem et medium, ad fl. Li-Fudin et Wai-Fudin, aestuaria St. Olgae et Wladiwostok. Draba japonica. (Chrysodraba DC.) stolonifera cau- liculis numerosis intricatis adscendentibus tenuibus: foliisque pilis ramosis pubescentibus; foliis cauliculo- rum sterilium lanceolatis integris, florentium late lan- ceolatis utrinque 2—3-serratis-pectinatisve; racemo simplici; petalis obovatis profunde emarginatis luteis ca- lyce glabro 2", longioribus; siliculis breve racemosis pedicello brevioribus ellipticis utrinque acutis stylo brevi superatis oligospermis, valvulis planis 1-nerviis. Hab. in Nippon boreali prov. Nambu, (Tschonoski! fl. fr. immat.). Proxima subsequenti, a qua cauliculis subparallelis (nec diffusis) duplo tenuioribus, foliis angustioribus, petalis luteis statim distincta. D. aurea W ahlbg. sto- lonibus nullis, herba ob pubem copiosam subgrisea, racemo elongato saepe ramoso, petalis angustis leviter emarginatis certe differt. Praeter descriptam duae species Japoniae cives sunt: D. borealis DC. var. kurilensis F. Schmidt. Fl. Sachal. 113. n. 52.— Odontocyclus Kurilensis Turcz. in Bull. Mose. 1840. 65.—Ledeb. Fl. Ross. I. 756. Hab. in ins. Yezo circa Hakodate, in rupibus sat frequens, fine Aprilis flor. incipiens, med. Julio fruc- tib. maturis. Occurrit haec varietas praeterea in Sa- chalin australi: prope Tunai (F. Schmidt!) et circa sinum Aniwa (Mizul!). | Dissepimentum silieulae maturae interdum medio perforatum, saepissime tamen integrum. D. nemorosa L. — Miq! Prol. 6. — D. EE in alpibus L. Franch. et Savat. Enum. I. 36. — D. hirta Mig! . Prol. 369. nec L. — D. muralis Thbg! Fl. Jap. 259. Var. hebecarpa Ledeb. Fl. Ross. I. 154. — Miq. Prol. 6 Hab. in Yezo circa Hakodate (Albrecht!), Nippon prov. Nambu (Tschonoski!), circa Yokohama, medio Aprili fl. frf. (ipse), in monte Tatte yama (Savatier!) ` Var. leiocarpa Ledeb. 1. c., in tota Mandshuria frequens, in Japonia hucusque nondum detecta est. € des Sciences de Saint- Pétersbourg. Loranthus Yadoriki ) Siebold in Sieb. Zucc. F1. Jap. fam. nat. I. 193. n. 398. (nomen tantum). — (Sect. Scurrula D C.) ramosissimus 2—4-pedalis, ra- mis dichotomis alternis vel oppositis, cortice juniore foliis novellis utrinque adultis subtus pedunculis flori- busque cupreo-stellato-tomentosis; foliis oppositis petio- latis late ovatis basi rotundatis apice obtusis coriaceis penniveniis; pedunculis axillaribus et e nodis ligni ve- tusti 2—3-floris pedicello aequilongis petiolo triplo brevioribus; calyce extus bractea ovata parva suffulto truncato; corollae 4-merae alabastro curvato tenui limbo ovali sub anthesi hinc fisso lobis late linearibus apice sublatioribus reflexis tubo bis et semis breviori- bus; fructu pedicellum superante ovali lutescente to- mentoso. Hab. in insula Kiusiu, prov. Simabara (Siebold!) prope Oyo, in Quercu glauca non rarus, collectus fine Julii cum alabastris juvenilibus et fructu maturo, fine Septembris florens, medio Majo c. fructib. a. praeced.; in insula U-sima, umbrosis montium, in Quercubus, init. Maji c. fr. immat. (Wright! n. 260). Japonice audit Yado-riki (i. e. sagittae avium ar- bor) seu Tori-motsi kadsura (i. e. repens in Ilice) ex Siebold. Incolis loci: ki-no-doku i. e. arboris vene- num. Miquel hane speciem non vidit et pro synonymo V. Kaempferi habuit (Prol. 297). Proximus videtur Z. chinensi D C., a me non viso, sed tomento persistente, petiolis semipollicaribus v. longioribus, foliis basi ro- tundatis rite ovatis, floribus duplo majoribus satis dis- tinctus. Cortex vetustus sublaevis atro-cinereus, rami flori- feri ultra pedales a medio foliati, saepe a basi flori- geri. Innovationes pulcherrime aureo-cupreae. Tomen- tum densum e cellulis planiusculis cinnamomeis in pro- cessus subviginti cinereos expansis constans. Lamina foliorum 1'/,—3 poll.: 1— 2 poll. magna, supra lucida glabra, costis utrinque ad 5. Pedunculi pedicellique li- neales, ovario basi rotundato paulo longiores. Corolla ante expansionem 12 lin. longa, sub anthesi basi levi- ter inflata, extus cuprea, intus glabra, sicca atropur- purea, structura cetera ut in icone Candollei in Mem. Loranth. tab. 7. Fructus magnitudine baccae Vitis Idaeae. 4) Jodoniki ein error typographicus — citati, ut patet ex sche- dulis Sieboldian Observavi in hac specie dimorphiam florum sat ` memorabilem. In uno specimine enim adest eymula deflorata una corollis jam deciduis stylo 1 adhuc per- sistente normali, ceterae autem omnes flores habent so- lito duplo breviores (5-lineales) et valde alienos: ca- lyx a corolla non sejunctus, sed cum illa continuus, tubus aeque crassus ac in normali, pro ratione floris igitur multo crassior, triente tantum brevior quam limbus, cujus lobi erecto-patuli apice conniventes. Sta- mina et stylus primo aspectu normales, sed flores hi steriles manserunt. Ceterae species hujus generis in Asia boreali-orien- tali inventae sunt: 1. L. chinensis DC. Prodr. IV. 301. — Ej. Mem. Loranth. tab. 7. — Benth. Fl. Hongk. 141. — L. Scurrula L. DC. Prodr. 1. c. quoad pl. chinensem. (opinante Bentham). Hab. in China (Staunton ex De Candolle): Hong- kong (Champion fide Bentham). Non vidi. Descriptio Benthami ab illa Candollei ejusque icone non parum differt, et ipse Bentham, qui tan- tum specimina hongkongensia examinavit, de identitate plantae suae cum Candolleana non certus est. Planta Championi dicitur habere ramos tenues oppositos, Stauntoniana crassiusculos alternos, illa tomentum albidum vel rubens, haec ferrugineum, illa pedunculos ex nodis caulis vetusti neque axillares, ovarium mini- mum turbinatum nec rotundatum, corollam 8—9 neque 13 lineas longam, sub anthesi hinc haud fissam, in L. chinensi fissam. Quae omnia speciem a Candolleana diversam indigitare videntur, habitu magis ad L. Sampsoni Hce. accedentem, in quo enim re vera rà- - mos tenues oppositos observamus, qui autem aliis cha- racteribus diversissimis abhorret, v. gr. flore semipolli- cari, petalis liberis aliisque. 2. L. Kaempferi. (Scurrula DC.?) Glaber, ramis angulato-teretibus ; foliis alternis spathulatis obtusis in petiolum multo breviorem angustatis 1-nerviis cô- - riaceis; pedunculis axillaribus 1 —3-floris patulis pe- tioli cireiter longitudine; bractea orbiculata hinc fissa ` : sub ovario; calycis dentibus depresso-4-angulis trunca- tis; alabastro clavato-oblongo, corollae lobis lineari- - lanceolatis acutissimis reflexis; stylo e tubo exserto; bacca subglobosa rubra. — Viscum Kaempferi DC. Prodr. IV. 285. excl. syn. Thbg.—Mig.! Prol. 367. 15* , 231 Bulletin de l'Acadéiale Impériale 232 n. 520. — Franch. et Savat. Enum, 406. — Ksei vulgo Jodoriki. Kaempf. Amoen. 785. Hab. in Japoniae prov. Mikáwa inter pagos Goju et Akasakka, in lariceto unico, vulgo Gomi Maatz i. e. Viscum lariceum EC (Kaempfer). Sine loci indicatione legerunt Itó Keiske in Pino Massoni- ana (herb. Lugd. Bat.! et Siebold.! sterile), Tanaka (in herb. Franchet! frf.) et botan. japon. quidam in herb. Acad. Petrop. fructif. sub nom. Matsu-no-gomi (i. e. Elaeagnus Pini) v. Matsu-no-yadoriki (scil. Para- sita Pini). Ad Loranthwm ducenda species, fide figurae japo- nicae manupictae plantae florentis in collectione ico- num Sieboldiana (nunc Acad. Petrop.), sed an co- rolla latere fissa sit nec ne, ex icone pro certo non patet, sectio generis igitur dubia manet. Quantum ex planta fructifera et icone florentis judicare licet, pro- xime affinis L. cuneato Heyne!, Wight! Fl. Pen. Ind. or. I. 385., Hook. Compan. Bot. Mag. I. tab. 13., quitamen foliis cuneato-obovatis tenuioribus obsolete venosis, bractea sub ovario ovata acuta, corollae tubo gracili, ovario ovali, neque globoso bene differt. . De Candolle I. c. Viscum album Thbg. Fl. Jap. 63. synonymon V. Kaempferi declaravit ob spicas axillares diagnoseos Thunbergii, sed haec ad verbum transscripta est ex Linnaei Spec. plant. (Cod. Rich- ter. n. 7402. sub Visco albo L.), Kaempfer vero de | spicis nil dicit, sed pedunculos 1-3-floros describit. Quid planta Thunb ergii sit, «n herbario in urbe Nagasaki» visa, sed in ejus collectione Upsaliae servata desiderata, non eruendum, sed vix verosimile, Thun- bergium plantam nostram toto coelo diversam pro V. albo habuisse, ita ut magis probabile videatur, syn- onymon Thunbergii re vera ad V. album in Japonia commune pertinere. Siebold et Zuccarini Fl. Jap. fam. nat. n. 397. sub nomine V, Kaempferi D C. enu- merant V. album L. (v. spec.!). Planta Miqueli, a me in herbario Lugduno-Batavo visa, certe cum nostra identica, etsi foliá pollicaria errore quodam 3-4-linea- lia describuntur. ^ Fruticulus ex icone citata pedalis, ex specim. omni- bus nostris incompletis vix non duplo altior, Pino | cuidam insidens, cujus ramum digitum crassum radi- cibus suis pluribus locis amplectitur. Radices extracor- — tieales, paucae, elongatae, passim haustoriis crassis sese ramo affigentes*). Truncus beein in ramos paucos diffusos, in icone simplices spithamaeos, in spe- ciminibus ante oculos ultra pedales, ramulis oppositis munitos, divisus. Rami vetustiores crassitie pennae an- serinae, cortice lenticellis suberoso-incrassatis crebris exasperato, juniores pennam corvinam aemulantes, cor- tice laevi atropurpureo subnitente. Folia ramos fere a basi obsedentia, pulvinis incrassatis, 15—25 mill. longa, 3% — 8 mill. lata (petiolo 1 — 2 mill), nervo - medio subdistineto, venis invisibilibus, ex icone atro- viridia. Pedunculi ex axillis inferioribus, in specc. fructiferis aphyllis, pauci (in icone in ramo altero 3, altero 1, sanguinei), petiolum pedicellosque 1 — 3 aequantes vel superantes, in icone imo passim semi- pollicares. Flos fide figurae sanguineus, cum ovario fuscorubro 3 mill. longo 15 mill. longus, tubo 3 mill. crasso recto, sub anthesi medio subinflato. Limbi la- ciniae ex icone 6, tubo plus duplo breviores, stylus parte exserta filiformis laciniis aequilongus. Fructus in specc. siccis immaturus 3 mill., in delin. hb. Sie- bold. 5 mill. longus, subglobosus, glaber, bractea ful- tus parum conspicua, dentibus calycinis coronatus 3. L..Sampsoni Hance in Seem. Journ. of bot. IX 1871. 133. Hab. in Chinae prov. Canton, secus amnem Loting, in arboribus (Sampson! commun. Hance). Visci generis exregionibus nostris innotuere species res: 1. V. album L. — Miq. Prol. 297. — Maxim. Fl. Amur. 134. 472. — Oliv. in Journ. Linn. soc. IX. 166. — Thbg Fl. Jap. 63. verosimiliter, exel. syn. Kaempferi et statione, — V. Kaempferi S. Z. l. c.n. 397. excl. syn. Hab. per totam Japoniam: Yezo, circa Hakodate, Yuno-kawa, Nodafu cet. in Quercubus, Sorbo alnifolia aliisque arboribus minime rarum; Nippon, in alpibus Niko et Fudzi yama, nec non circa Yokohama sat fre- quens; Kiusiu, circa Nagasaki in Pino Massoniana, rarius, in alpibus interioribus Kundsho-san sat fre- quens. In Mandshuria secus Amur meridionalem et Usuri medium et inferiorem perfrequens, praesertim 5) Radices similes delineatae sunt in Ruiz et Pavon Fl. Peru ]V. tab. 274—279., dubitante De Candolle Prodr. IV. 277., ee mante Eichler in Mart. Fl. Brasil. V. 2. p. 6. aliisque locis. - 233 des Sciences de Saint- Pétersbourg. Populum tremulam ita infestans, ut in tota sylvula vix una arbor illo careat, sed frequenter observavi etiam ‘in Pyro baccata, Populo suaveolente, Ulmo campestri, Betula alba, rarius in Tilia cordata, semel in Salice quadam. In subalpinis rarius, sed usque ad fines Ko- reae visum. In China boreali. Japonice: Yado-riki i. e. sagittae avium arbor, jap. sinice: kisei. Fructus mucilaginosus saporis dulcis edulis dicitur, adhibetur ad collam praeparandam ad capiendas aves (Siebold). In Nagasaki vulgo: mats' yadoriki i. e. parasita Pini, in Kundshosan: tobi ts'ta. Omnino typicum europaeum, variat magis latifo- lium et angustifolium. Nervi foliorum 3—5 exsicca- tione bene distinguendi, contra Candolleum, qui fo- lia enervia dicit. Fructus plantae asiaticae, cujus flores d europaeis simillimi, 9 hucusque non collecti, maturi virenti-flavescentes in Japonia, lutescentes in Man- dshuria visi. 2. V. orientale L. — Benth. Fl. Hongk. 141. Hab. in China australi: Hongkong (Wright!, alii). Late diffusum per Indiam orientalem!, Australiam borealem! et fere ad mare Mediterraneum. 3. V. articulatum Burm. — Bth. 1. c. — Miq. 1. c. 297. — V. moniliforme Bl. DC. Prodr. IV. 284. — Wight Icon. 1018. 1019. — V. Opuntia Thbg. Fl. Jap. 64. — V. japonicum Thbg. Fl. Japon. nov. resp. Wallstróm. 5. et Icon. ined! Hab. in Kiusiu, circa Nagasaki (Thunberg!) fre- quens in Eurya japonica, Ligustro japonico, Symploco japonica, Ilicibus cet., articuli breves et angusti — V. moniliforme B1.; insula U-sima (W right!), archipel. Bonin (Small!) —cunm pl. japonica congruum. In China v. gr. Amoy (de Grijs! — articulis validis magnis), Hongkong (ex Bentham) et praeterea per archipel. Malayanum et Indiam! Japonice: Hizakaki yadoriki i. e. parasita Euryae. Polygonum suffultum, (Bistorta) Humile, rhizomate recto, caulibus pluribus simplicibus foliatis; ochreis modicis bilobis v. bifidis e basi foliigeris; foliis mar- gine cartilagineo-scaberulis infimis longe petiolatis, petiolo nudo, cordatis cordato-ovatisve, ceteris simili- bus vel eordato-oblongis, omnibus obtusis acutis vel longe acuminatis, summis lata basi amplexicaulibus; spicis terminalibus et axillaribus subsessilibus densis ovoideis vel oblongis; pedicellis bractea acuminata flo- reque brevioribus; staminibus exsertis. — Kurin yuki fude. Soo bokf. VII. fol. 56. Hab. in Nippon mediae jugi Hakone altissimis mon- tibus, fine Maji fl. c. fr. immat., alpe Nikko (Savatier! N 2919) — utrumque nanum; in Nippon borealis prov. Nambu, ad rivulos (Tschonoski! fl.) — elatius. Proximum P. Bistorta, et quidem var. minor M eisn!, differt ochreis prope apicem foliigeris, spicis longe exsertis, bracteis truncatis floreque pedicello brevio- ribus. Palmare vel pedale. Folia in planta e Nambu (ma- jore) omnia cordata et eximie acuminata, in planta hakonensi et nikkoönsi alpina infima obtusa passim truncata vel leviter cordata, cetera acuta vel breviter acuminata et spicae in apice interdum solitariae, ita ut utraque forma habitu valde diversa sit. Flores albi. Caryopsis triquetra, nitida, ovata, acutata, illi P. Bis- tortae similis, qualis prostat pallide brunnescens. Observ. P. paniculatum M eisn. in Miq. Ann. mus. Lugd. bat. II. 64., ex autopsia herbarii Lugduno-Ba- tavi eadem est planta ac P. Weyrichü Q8. alpinum Maxim. in Franchet et Savat. Enum. I. 402. n. 1441. et à planta Blumeana toto coelo diversa; a typico P. Weyrichii F. Schmidt, e Sachalino et Yezo differt caule tantum pedali, foliis densioribus, - minoribus, latioribus, subtus adpresse pilosis nec to- mentosis. P. Sieboldi Meisn. a P. sagittato fructu SE culato distinctum dicitur, occurrit tamen in Japonia mox puncticulato-impressus, mox tantum opacus laevis, mox imo nitidulus, nequaquam igitur a P. sagittato L. specie distinguendum. In Mandshuria finitima cum ` typico crescens collegi. Speciebus japonicis adde: 1. P. polymorphum L edeb. ` y. lapathifolium Ledeb., s. loco in herb. Siebold!, et var. japonicam m. : ramosum, foliis breve petiolatis ovatis ciliolatis, ceterum cauleque glabris, panicula fo- lia parum superante. — Varietas haec var. ajanensi Rgl. et Til. similis, sed folia ovata, crescit in alpe Fudzi yama, unde misit Tschonoski.— 2. P. lanige- rum R. Br. vidi e Japonia (jugo Hakone), et e China (Shanghai), utrumque in herb. Siebold! sterile, sed omnibus punctis in speciem hanc distinctisstmam qua- drans. Bulletin de l'Académie Imperiale 236 Urticaceae Asiae orientalis, Urtica L. S secuti Ee YE NE si U. urens. Perennes. 2 o A O E Ag U. cannabina. 3. Cystolithia foliorum punctiformia. 4. » » linearia, flores monoici, E A EP 5 ist . laetevirens. 4, Stipulae connatae in unam interpetiolarem. 5, » liberae. 6. 5.Spicae masculae inferiores, folia cordato- ovata simpliciter serrata................ U.dioica platyphylla, Spicae masculae superiores, folia profunde cordata, saepissime duplicato-serrata ..... U. Thunbergiana. 6.Spicae masculae petiolo aequilongae, folia argute multiserrata, planta ramosissima .. U. foliosa. Spicae masculae petiolum superantes, folia pauciserrata serraturis maximis, caulis sub- O AROS ATA E AO U. dioica angustifolia. 1. U. urens L. Cod. 7132. — Wedd. in DC. Prodr. XVI. 1. p. 40. — Ledeb. F1. Ross. III. 636.— Hab. rarius in Sibiria orientali et Davuria. 2. U. cannabina L. Cod. 7184. — Wedd. Le 49. — Ledeb. 1. e. 638. — Maxim. Ind. fl. Pekin. 477. et fl. Mongol. 485 in Fl. Amur. Hab. in Persia, Sibiria ab Altai! orientem versus, Davuria!: ad Schilkam fl. prope Stretensk, vulgaris, ... Songaria!, Alatau transiliensi!, Mongolia (Kirilow!): ad Gagza-chuduk secus tractum mercatorium peki- nensem (id.!), China circa Pekin! 3. U. dioica L: Cod. 7133. —— Wedd. Le 52. Var. angustifolia Ledeb. 1. e. 637. — Maxim. Fl. Amur. 246. 477.— U. angustifolia Fisch. Bl. Mus. Lugd. bat. II. 141. (var. setinervia). — Miq. Prol. 294. Hab. in Sibiria altaica! et orientali frequens: ad Je- misei prope Krasnojarsk, circa Irkutzk, in insulis fl. Kolyma et Anüi. Transbaicalia!, Davuria: Nertschin- skoi Sawod etc.; tota Mandshuria usque ad fines Ko- reae vulgaris; China boreali: Pekin (coll. ross!, Da- . vid ex Wedd.), in montibus Po-hua-shan (Bret- schneider!), Japoniae ins. Kiusiu: ad radices m. Aso (Blume! in hb. Lugd. bat.), circa Miadzi, ad rivulos, fine Maji fl.; insulis Kurilis! — Rarissime obviam facta est hic in Rossia europaea!, illic in Mexico! Planta japonica robustior et magis latifolia quam continentalis. Specc. juvenilia possideo, ad Usuri fl. circa Guissa, init. Maji a me collecta, insignia foliis infimis reniformicordatis, sequentibus orbiculatis, ce- terislate ovatis, omnibus pauci- et inciso-serratis (ser- raturis utrinque 6—9), quae ducenda sunt ad subva- rietatem Sibiriae maxime orientali propriam (v. gr. Transbaicaliae!, Ajan!, Stanowoi!), a planta magis oc- cidentali serraturis paucioribus diversam, sed adultam totam angustifoliam. Var. platyphylla Wedd. 1. c. 51. — U. platyphylla Wedd. Monogr. 86. in Arch. du Mus. IX dioica F. Schmidt, Fl. Sachal. 174. Hab. in Kamtschatka (Seemann ex Weddell; Sachalin circa Kussunai (Brylkin!), ins. Yezo: Ha- kodate (Albrecht! frf.). 4. U. foliosa Bl. 1. c. II. 142. — Miq. Prol. 294. — Wedd. in DC. Prodr. 1. c. 58. Hab. in Japonia (Herb. Lugd. bat.!). Specimina pauca mascula prostant speciei incom- plete notae, habitu U. hyperboreae Jacquem. subsi- milia, sed plerumque valde rámosa et magis steno- phylla. 5. U. Thunbergiana Sieb. Zucc. Fl. Jap. fam. nat. II. 214. — Monoica, laetevirens, spicis interrup- tis simplicibus, © superioribus, d inferioribus elonga- tis pendulis, caule adpresse reverso-foliisque subtus ad venas molliter pubescentibus; stipulis parvis conna- tis; foliis profunde cordatis ovatis cuspidato-acumina- tis inciso-serratis serraturis saepissime iterum serra- tis. — Bl. l. c. 144. — Miq. Prol. l. e. — Wedd. l. c. 55. — U. dioica Thbg. Fl. 69. — Hab. in Japonia australiore: Kiusiu, circa Nagasaki, a Martio (Siebold!) ad finem Novembris (ipse) fl. et fructif.; Nippon: ad Yokoska (Savatier! n. 1120), Yokohama, frequens (ipse), Yedo (Siebold!) | 6. U. laetevirens. — Perennis, monoica, laeteviridis; caule reverso-foliisque subtus adpresse molliter pubes- centibus; stipulis liberis lanceolato-linearibus; foliis in- ferioribus orbiculatis ceteris late ovatis v. deltoideis acutis v. rarius acuminatis basi truncatis subcordatis v. rarius breve cuneatis acute grandeque pauciserratis; floribus interrupte spicatis, masculis superioribus erec- tis folio, femineis inferioribus pendulis petiolo brevio- ribus pauciflorisque; perigonio fructifero hispidulo, ca- ryopsi scaberulo - punctata; cystolithiis breve linea- ribus. Hab. in Fezo, circa Hakodate, ad margines silva- rum, in fruticetis ruderatisque frequens, fine Augusti — . 237 des Sciences de Saint - Pétersbourg. florens c. fr. immat., medio Novembri fructifera col- lecta Facies, color frondis, textura et pubes foliorum U, Thunbergianae, cui affinis,- characteres diagnostici, praeter sexuum situm, fere U. dioicae, a qua tamen spicis simplicibus paucifloris, foliorum forma, pube haud aegre, ab omnibus autem, ni fallor, cystolithiis li- nearibus nec punctiformibus statim distinguenda. Mi- nus uret quam utraque. Laportea Gaudich. Inflorescentiae masculae apud Weddell Monogr. 121. et in Prodr. 77. perperam superiores dicuntur, nam ipse video in L. canadensi, oleracea , bulbifera aliisque a me observatis semper inferiores. Obser- vavi in speciebus a me examinatis (bulbifera, evitata, canadensi , photiniphylla) sub caryopsi maturescente torum distinctum concavum circa basin fructus atte- nuatam, de quo apud autores nulla mentio facta vide- tur. Semen in omnibus visis acutum funiculo gracili elongato, chalaza fusca valde (praesertim in ovulo) convexa et incrassata. Folia minute denticulata subtus tomentosa . Folia Se? serrata subtus viridia, axilla TE 1. L. pterostigma Wedd. in DC. Prodr. 1. c. 87. Hab. in Formosa austro-occidentali (Swinhoe ex Weddell). Stirps, arborea dicta, ex foliis inflorescentiisque singulis tantum incomplete nota, a me non visa. 2. L. bulbifera Wedd. 1. c. 82. — Urtica bulbifera Sieb. Zucc. l. c. 214. — Fleurya bulbifera Bl. in Miq. l. c. 296. Hab. in Japonia (Siebold!): Kiusiu prov. Simabara, in fruticetis vulcani Wunzen, fine Augusti flor.; prov. Higo monte Naga, in ounsortie Pileae peliouanis; initio Octobris frf.; Nagasaki, ubique sat frequens, init. Julii fl., Octobri fr; Nippon: Hakone, Yokohama, frequens, . alpe Nikko (Savatier); prov. Nambu (Tschonoski!); Yezo: cirea Hakodate ubique sat frequens, fine Au- gusti flor.; Mohidzi, in subalpinis, medio Octobri frf. Speciei indicae, L. evitatae W edd. 1. e. 79. (L.ter- minali Wight Icon. tab. 1972., Urticae evitatae Wall. Catal. n. 4588) persimilis et primo obtutu tan- tum axillis Tiers distinguenda, quum vero bulbi axillares aepe cadant neque semper evoluti ird pterostigma. videantur, planta japonica, a Weddell pro L. evitata declarata, priusquam viderat veram L. bulbiferam (cf. Monogr. 126) ad nostram, per totam Japoniam com- munem revocanda videtur. Inter differentias, a Wed- dell inter utramque speciem adductas, serraturae in pl. indica seta terminatae revera passim occurrunt et in japonica et inermes inveniuntur in indica, inflores- centia L. bulbiferae, subsolitaria terminalis dicta, sae- pius occurrit aeque dives ac in L. evitata, superest igitur tantum caryopsis prioris fusco-marmorata, in . evitata concolor, quam equidem in specimine indico cum fructu maturo etiam maculis nonnnihil elevatis fuscis marmoratam video. Nihilominus, praeter bulbos, differentias invenio: perigonium Z. evitatae stimulife- rum, L. bulbiferae glabrum, segmenta illius obovata neque late ovalia, stipes caryopseos prioris crassior, multo nec tantum triplo brevior quam pars seminifera, radicula embryonis L. evitatae subcylindrica duplo longior quam crasse conica L. bulbiferae, pedicellus dilatatus fructifer prioris stipitato-obcordatus, poste- rioris obovato-cordatus. Specimina robustiora bene evoluta L. bulbiferae monoica sunt, inflorescentiis masculis saepissime multo serioribus quam femineae, rarius subcoétaneis. Indi- vidua macra autem (saepe vix pedalia) frequenter dioica inveniuntur, femineis vulgatioribus. Sceptrocnide gen. nov. Urticaceae, Urereae. Flores monoici fasciculati, fasciculis in inflorescen- tias unisexuales axillares erectas longissimas digestis, masculis inferioribus longe praecocioribus, in racemos elongato-[ latos, femineis superioribus, ` in racemos interruptos secundos simplices strictos, fructiferos ultra pedales *) dispositis, pedicellis mascu- lis medio articulatis, femineis continuis. Masculis: perigonium 5-partitum segmentis aequalibus glabris ovalibus, alabastro medio depresso. Stamina 5, fila- menta perigonio ad medium adnata. Pistili rudimen- tum globosum. Femineis: perigonium 4-partitum, segmentis interioribus demum multo majoribus ovali- bus planis costatis glabris, exterioribus in fructu minu- tissimis deltoideis. Staminum vestigia nulla. Ovarium sub anthesi rectum basi in stipitem brevem angusta- 6) Unde nomen: urtica sceptrifera. € Bulletin de PAcadémie Impériale 240 tum. Ovulum funiculo brevi, chalaza nec convexa nec incrassata, fusca. Stigma sessile elongato-lineare, longe villosum, persistens. Caryopsis obliqua rotundata lenti- cularicompressa, faciebus scaberulo-puncticulatis, basi abruptissime elongato-attenuata et tori accreti lamini- formis emarginati angulo insidens et cum illo articu- lata, perigonii segmentis interioribus obtecta vel hinc, dum torus magis elongatur, ex illo oblique exserta, demum caduca perigonio persistente. Semen pericarpio consimile, acutum, funiculo brevi. Albumen oleoso-car- nosum sat copiosum periphericum. Embryo cotyledo- nibus convexis transverse ovalibus utrinque emargina- tis, radicula brevi cylindrica. — Herba Japonica, flo- rens bi-, fructifera ad 5-pedalis, perennis, erecta, subsimplex, stimulis validis adspersa. Folia alterna, penninervia, subcordato-elliptica acuminata, a basi grandidentata, dentibus apicem versus increscentibus, terminali lanceolato cuspidiformi, cystolithiis puncti- formibus minutis, subtus dense adpresse pubescentia. Stipulae liberae lateraliaxillares, caducae, parvae. Flores bracteis minutissimis fulti. Pedicelli fructiferi immutati. + Hab. in Japonia (Siebold! herb. ex itin. primo, fragmentum femineum florens minutum, a botanico in- digeno acceptum s. nom. generico ira-kusa, Urtica Thunbergiana var. ligulata signatum), Nippon: ex alpe Fudzi-yama florentem, nec non e provincia boreali Nambu fr. immaturo misit Tschonoski!; Yezo: ad margines silvarum subalpinarum vallis prope Mohidzi, frequens, med. Octobri fructifera (ipse). -Japonice in Yezo: ai. Libro tenacissimo lubenter utuntur feminae pro filis conficiendis. Planta sat vehe- menter urens. Caulis gracilis faretus. Folia eum petiolo 1—3 decim. longa, dente terminali ad 3 centim. longo, pe- tiolo inferiorum laminam superante, summorum multo breviore. Paniculae masculae fere spithamaeae cadu- - cae. Flores feminei sub anthesi masculorum subsessiles, minutissimi, in spicas 3 cent. longas aggregati, per- acta masculorum anthesi demum alii breviter, alii peri- gonio fructifero acereto aeque longe pedicellati. Peri- gonii feminei . juvenilis segmenta exteriora nonnihil majora, interiora arcte ovario sessili applicita, ovarium rectum ovale, stigma illo longius oblongum attenua- tum. Post fecundationem phylla perigonii interiora exte- rioribus multo majora fiunt, in fructu chartacea pallida 1 cum costa atroviridi crassiore, omnia extus minute pubera. Ovarium nunc breve sitio: stigmate li- neari A" longiore superatum. Tunc paullatim axis flo- ris lateraliter excrescit in laminam linguaeformem planam, mox fundo perigonii contiguam et inclusam, mox ex basi hujus lateraliter protrusam et caryopsin, quam angulo uno apicali fert, aequantem. Caryopsis matura 1'/ mill. longa, stipitulo suo lateraliter tori apici inserta et in illum recumbens, suborbicularis biconvexa, stigmate nunc lateraliter insidente reflexo aequilongo. Epicarpium coriaceum. A proxima Laportea (et ab omnibus aliis Urlicaceis) differt filamentis ad dimidium perigonium adnatis et toro fructifero in laminam e perigonio lateraliter pl. T. protrusam excrescente, nec non habitu: racemis fe- mineis strictis secundis simplicibus paniculisque mas- culis longissimis erectis, stipulis liberis: Accedit diffe- rentia ex fructu a toro soluto, perigonio persistente cum pedicello non articulato, pedicellis in fructu im- mutatis. Expl. figur. 9 — 16 tabulae adjectae. Sceptrocnide macrostachya. ig. 9. flos masculus. 10. alabastrum ejusdem cum pedicello, bractea et parte iens 11. flos femineus sessilis bractea fultús, fig. dex- tra: ov eo cum stigmate. 12. provectior vi C stamina Geer nulla. 13. Perigonium Panini agen reflexo segmento antico et caryopsi, n toro reri manifestus sit. 15. Perigon. frf. aliud Geier simili statu, to- rus e longioribus. 16. caryopsis longit. secta: semen acutum funiculo breviusculo, cum albumine et embryone. Omnes figg. magn. auet. Girardinia Gaudich. G. cuspidata Wedd. in DC. Prodr. XVI. 1. 103.— Hance in Journ. linn. soc. XIII. 86. — Urtica n. sp. Maxim. Ind. Pekin. Le 477. Hab. in China boreali: in montibus In-schan a Pe- kino septentrionem versus, locis siccis, Junio fructif. (Tatarinow! 1847.) et montibus occidentalibus, ad rivulos (David ex Weddell: «ad rivulos montis Occ» (sic!), et Hance). Planta non parum variabilis videtur. Hancei planta, ab eodem collectore accepta, non perfecte quadrat in descriptionem auctoris, nec mea melius congruit, nihi- lominus de identitate omnium vix dubia supersunt. — Folia superiora passim triloba, sinubus serraturarum nonnullis enim profundioribus. Stipulae integrae, cu- jusvis folii in unam axillarem connatae, nec, ut lapsu calami apud Weddell l. c. 100, in charact. generico: stipulae utriusque folii in unam axillarem connatae. des Sciences de Saint- Pétersbourg. Nanocnide Bl. gine nta fl. masculi sub apice crista trans- versa aucta, folia antice crenato-dentata . N. japonica. Segmenta fl. masculi Lé bor folia ES Bead, Cras perio A o el N. lobata. l. N. japonica Bl. Mus. Lugd. bat. II. 154. tab. 17. — Wedd. Leon — Miq. Prol. 294. Hab. in Japoniae (Siebold!) ins. Nippon, prope - Yokoska (Savatier!; Korea (Oldham n. 766 ex Weddell) circa Port Hamilton (Wilford!); archipe- lago Lutschu (Wright ex Wedd.); Formosa (Swin- hoe ex Wéddell) Glomeruli feminei, contra Weddell, saepe, mas- culis brevius tamen, pedunculati. 2. N. lobata Wedd. 1. c. Hab. in archipel. Lutschu (Wright ex Weddell) A praecedente differre diciturfoliis obtusissimis apice 3—5-lobis v. passim integris, perigonio utriusque sexus setuloso-hispido, masculo ecristato. Achudemia Bl. A. japonica, Glabra, foliis rhombeo-ovatis a medio pauci-grandiserratis, pedunculis simplicibus folia supe- rantibus. Hab. in Kiusiu prov. Higo monte Naga, silvis um- brosissimis udis, init. Octobris frf.; in Nippon mediae jugo Hakone, med. Octob. frf. . Primo aspectu non absimilis Nanocnidi japonicae. Achudemia javanica Bl., a me non visa, ex descrip- tione et iconibus differt serraturis foliorum numerosis parvis, lamina acuminato-ovata, pedunculis trifidis folio multo longioribus et conformatione florum. (Conf. Bl. Mus. Lugd. bat. II. 57. tab. XX. et Wedd. Monogr. tab. IX. A. p. 278. et DC. Prodr. 1. c. 163.) Palmaris v. fere pedalis, prior radice exili repente, cauliculo erecto, e basi ramis arcuatis paucis donato, posterior habet caules basi longe procumbentes et re- pentes, in ramos plures elongatos caulem aemulantes ascendentes iterum ramulosos divisos. Folia infima in- terdum integerrima, 15 mill. longa, 10 mill. lata, ce- tera caulina internodiis longis, tandem apice florigero iterum brevibus sejuncta, cujusvis paris parum inae- quimagna rarius alterno duplo minore, maximorum la- mina 30 mill. longa, 20 mill. lata, serraturis utrinque 1—4 obtusiusculis, terminali ovato-oblonga triplo ma- | jore. Petioli laminam aequantes v. breviores, Stipulae Tome XXII. axillares breve deltoideae, inferiores deciduae. Pedun- culi fructiferi in apice caulis et ramorum axillares, so- litarii vel cum adventitiis nanis 1—2 ex quadam axilla, summi approximati stipulis aphyllis fulti. Glomeruli in apice pedunculorum pluriflori, illi ex ramis serius orti toti feminei, caulinares robustiores et praecocio- res androgyni, floribus masculis v. potius pedicellis eo- rum (quum ipsi flores jam caduci) paucissimis, in quo- vis glomerulo 1— 2 (ut et a Weddell in pl. fructifera speciei javanicae observati sunt). E reliquis floribus ad- sunt 1— 2 pedicello aequilongo suffulti et paullo ma- jores et praecociores, magis aperti, tum ceteri 10—15 brevissime pedicellati vel subsessiles, fere clausi, utri- que fructiferi, sed structura paullo diversi. In flori- bus longius pedicellatis enim stamina sterilia ova- ' lia 1-nervia, perigonio duplo tantum breviora, distinc- tissima, cary opsis paullo major minute granulata, cin- namomea, semine totam cavitatem arcte explente. Em- bryo cotyledonibus suborbiculatis a radicula brevi crasse conica optime distinguendis. In floribus breve pedicellatis stamina sterilia minuta brevissima (vel in glomerulis serotinis ramorum subnulla), caryopsis paullo minor, laevis, pallide ochracea semine cinna- momeo triplo angustiore lanceolato laxe nidulante, co- tyledonibus ovalibus vix a radicula distinguendis multo minoribus. Verum est, fructus florum majorum jam perfecte maturos ideoque jam deciduos esse, ita ut flores eorum passim vacui offendantur, minorum autem fructus adhuc intra perigonia sua bene persistere; at embryones utriusque perfecti et aequefirmi, ita ut forma seminum demum certe non amplius mutetur. Praeter hane fructuum dimorphiam, in altera spe- cie generis (4. javanica) non observata (vel praeter- yisa?) etiam partes florales nonnihil diversae: segmenta perigonii feminei nempe non planiuscula apice ipso pau- cisetosa, sed concava, dorso percursa crista foliacea valida in acumen ultra phylli apicem producta ibique setis paucis instructa. Pilea Lindl. Folia rotundata obtusa, crenata v. integra. » elliptica v. ovata acuminata SSC 3, 2. ien canticis filiformibus, folia inte- a quam lata cystolithiis piliformi- ymulae sessiles monoicae... P. peploides. Caulis solitarius crassus, folia peltata crenata cystolithiis absconditis, aan er latae mónoieae 7 NN ur SES a. 16 Bulletin de l'Académie Imperiale ` 244 8. Caulis vitreus fragilis, inflorescentia monoica P. pumda. » S. 4. 4. Monoica, venae in medias serraturas TONO immarginatas tendentes Dioica, venae in sinus abeuntes ibique bifur- catae in ramos serraturas arcte marginan- P. petiolaris. .....<.«......«. e... ... P. angulata. 1. P. peploides Hook. Arn. Bot. Beech. 96. — Wedd. 1. c. 109. — Miq. Prol. 294. — Franch. et Savat. Enum. I. 438. Hab. in Japonia (Siebold! ex itin. primo, sub nom. Amarantaceae): Kiusiu, circa Nagasaki (Sie- bold! hb. itin. secundi); Nippon, in alpe Nikko, locis udis regionis mediae (Savatier!); archipel. Koreano (Oldham!); Mandshuria: fissuris rupium umbrosis humidis cirea sinum Possjet, sat frequens (ipse); in- sula Formosa (Ol dham!). Innotuit praeterea ex Java, archipel. Hawaii! et Gallopagos, nec non e regno Bir- 2. P. peltata Hance Advers. 43. in Ann. sc. nat. 5 sér. V. 1866. 202 sq. Hab. in China australi, prov. Canton, in cavernulis ad Kai-kun-shek, Julio frf. (Sampson! commun. - Hance). Folia sub lente valida subtus pulchre fovi in modum hexagono-reticulata, interstitiis concavis. Primo obtutu retieulum e cystolithiis compositum haberes, sed nil est nisi epidermis hyalina paginae inferioris e cellulis ` hexagonis composita, cystolithia linearia vero sine or- dine quodam parenchymati ita immersa sunt, ut extus non visibilia et tantum maceratione vel praeparatione diutina examinanda. — Flores masculi et feminei et fructus omnino generis, segmenta prioris 4 apice cu- cullato incrassata, posterioris 3 caryopsi multo bre- x uno multo majore. . P. pumila A. Gray Man. fl. N. U. $. ed. 5. E — Maxim. Fl. Amur. 246. — Hance in Journ. linn. soc. XIII. 86. — Wedd. 1. c. 159. et P. mon- golica N edd. ibid. 135. — Adike pumila Rafin., Rgl. - Kl Usur. n. 443. — P. petiolaris Franch. Savat. Enum. I. 438. — non Bl. Hab. per totam Japoniam: loco non adnotato (Sie- bold! hb. propr. et Buerger! in hb. Lugd. Bat. sub P. petiolari), Kiusiu prov. Simabara, fine Septembris fructif.; Nippon, circa Yokoska (Savatier! in hb. Franchet), Yedo (Siebold!), Yokohama (ipse); Yezo, circa Hakodate sat frequens, medio Septem- bri flor., med. Octobri frf., Todohiki (ipse). Mand- shuria: in silvis humidis nec non in salicetis densis insularum secus fl. Amur meridionalem a Dawunda infra Usuri ostium usque ad Korbekan non procul a Bureja influente, med. Julio flor., med. Septembri frf. ; secus Usuri fl. (ipse); ad fl. Suifun (Goldenstädt!), circa Wladiwostok, in rupibus humidis frequens (ipse). China boreali: circa She-che (Jehol) in humidis monta- nis (David ex Weddell et Hance). Praeterea in Ame- rica boreali-orientali! Planta chinensis, a W ed dell pro nova specie habita, procul dubio quia in divisionem suam neogaearum non inquirerat, ex ipsius autoris descriptione ne una qui- dem nota ab ejus descriptione P. pumilae distinguen- da, jam a Hanceo recte ad plantam hanc Americae et Asiae orientali communem, sed Weddellio ex 4sia ignotam, relata est. 4. P. angulata Bl. Mus. Lugd. bat. II. 55. — Wedd. 1 c. 131. — Urtica angulata Bl. Bijdr. 494. — P. stipulosa Miq. in Zoll. Verz. 102. — Urtica stipulosa Miq. in Pl. Jungh. 28. Hab. in archipelago Lutschu (Wright ex Dal ` praeterea in Himalaya!, Zeylona! ct Java. Plantam Wrighti non vidi, indica autem a sat si- mili P. pumila, quacum venulas in sinus serraturarum ` tendentes ibique bifurcas communes habet, facile dis- tinguenda caule firmo aequali, stipulis foliaceis, foliis late ovatis nec ellipticis, inflorescentiis laxioribus dioicis. 5. P. petiolaris Bl. 1. c. IT. 52. tab. 18. — Wedd. l. c. 131. — Miq.! Prol. 1. c. (excl. pl. Siebold. e Yedo, quae ad P. pumilam). — Urtica petiolaris Sieb. Zucc. 1. c. II. 214. — P. strangulata Fr. Savat. Enum. I. 438. Hab. in Japonia (Keiske!, Buerger! in hb. Lugd. bat.): Kiusiu prov. Higo monte Naga, in umbrosissi- mis ad rivulos, init. Octobris frf. In Nippon verosimi- liter detexit Tanaka! in hb. Franchet. Pellionia Gaudich. Folia D obovata crenata,......,,....,, P. brevifolia. minata v. acuta basi latiora serra- ta. 2. Cymae utriusque sexus laxae pedunculatae.. P. Grijsü. » masculae laxae pedunculatae, femindae sessiles densae. 8. 3. Suberecta ramosa basi lignosa, BEEN EE cor SERE Repens procumbens subsimplex, folia acuta . folia acu- . scabra. P. radicans. 245 des Sciences de Saint- Pétersbourg. i D DL Léi 1. P. brevifolia Bth. Fl. Hongk. 330. — Wedd. 1:6-.161. Hab. in China australi: Hongkong (Wilford). 2. P. Grijsi Hance in Seem. Journ. of bot. VI. 1868. 49. Hab. in Chinae prov. Fokien (de Grijs specimen unum collegit fide Hance). Affinis dicitur P. heterolobae W edd. et P. scabrae Benth., huic quoad folia simillima, sed facile inflores- centia utriusque sexus longe DA EE dichotome corymbosa dignoscenda. 3. P. scabra Benth. 1. c. — Wedd. L c. 166. Hab. in China australi: prov. Canton (Hance!), Formosa prope Tamsuy (Oldham! n. 518); Japoniae (Buerger! in hb. Lugd. Bat. sub Elatostemate japonico) ins. Kiusiu, prope Na- gasaki, ad rupes umbrosissimas inter Tomats et Zidsi- yama, rara, in consortio Pell. radicantis, init. Maji 9 - nond. florens. Planta japonica et formosana primo obtutu a sub- sequente differt caule basi lignescente erecto ramoso usque bipedali, Hanceana simplicior et debilior, hongkongensis denique a Bentham describitur ultra- pedalis basi indurata prostrata: Differentiae tales vero- similiter a statione pendent, in Japonia v. gr. inveni ad pedem rupium impendentium omnino absconditam, non turbatam et non trusam, omni alia vegetatione exclusa. : ; 4. P.radicans Wedd.1.c. 167. — Fr. Sav. Enum. I. 439. — Procris radicans Sieb. Zuce. 1. c. II. 218. n. 764. — Elatostema radicans Wedd. Monogr. 332. — Miq. Prol. 296. Hab. in Japoniae (Siebold ex Miq.!, J. Keiske! n. 145. in hb. Lugd. bat.) ins. Kiusiu, prov. Hiuga, lo- cis aquosis (Buerger! in hb. Lugd. bat.), Nagasaki (Oldham! sine |), ad viam Himi versus ducentem in declivio boreali silvarum solo lapidoso umbrosissimo, fine Februarii nond, fl., in m. Yuwaya, silvis humidis frequens, fine Aprilis © fl., inter Tomats et Zidsi-yama ad rupes umbrosas frequens, caespites magnos formans, init. Maji frf. (ipse). Nippon (Tanaka ex Franchet). Elatostema Forst. Species Rue a Pellioniis nostratibus caryopsi laevi facili negotio digno ae Folia Segen ad nervos Soe hispida E. densiflorum. ~» pluricostata caulisque glabra Hongkong (Bentham), . 2. Siecum olivaceum, involueri foliola distincta, ` fasciculi 9 minuti sessiles in axilla solitarii E. LEER Siccum laetevirens, involucri foliola connata, fasciculi 9 in axilla 1—3 saepe breve pe- dunculati, fructiferi piso majores......... 1. E. sessile Forst. €. cuspidatum Wedd. 1.c. 173. — E. cuspidatum Wight. Icon. 1983.et2091. fig. 1. Hab. in Kiusiu prov. Higo m. Naga, cum Pilea pe- tiolari, in silvis umbrosis, init. Octob. fructif., Fezo: in silvis subalpinis prope Mohidzi, medio Octobri frf. Distrib. lata per Indiam, Javam, Philippinas et Po- lynesiam. A planta himalaica differt quidem serraturis foliorum paulo minus numerosis stipulisque solito minoribus et statu fructifero fere omnibus deciduis, ceteris partibus autem omnino congruum. — Pedale, folia 1/,—15 cent. longa, 1—5 cent. lata, serraturis quovis latere 6— 8 sursum versis acütiusculis. Stipulae 3—4 mill. longae subulatae, plurimae delapsae. In descriptione floris feminei minutissimi apud au- tores irrepsisse videntur errores nonnulli. Sic Wight flores © steriles pro d habuit et 9 minus accurate de- lineavit, Weddell vero bracteolas pro perigonii segmentis sumpsisse videtur, cf. Monogr. tab. IX. D. fig. 9. Quam ob causam glomerulum fructiferum denuo describere liceat. Glomeruli plantae japonicae in eadem axilla 1—3, sessiles v. breve pedunculati, fructiferi pisi magnitu- dine, minoribus intermixtis. Flores feminei in glome- rulo numerosi, illi fructu maturo longius pedicellati, intermixti cum breve pedicellatis juvenilibus et non- nullis (non in quadam inflorescentia tamen) sterilibus, quarum pedicelli fertilium maturorum triplo longiores. Quisque flos ad basin pedicelli bractea instructus est late spathulata 1-nervia hyalina apicem versus longe ` ciliata, et bracteolis 2—3 pedicello pl. minus alte adnatis subulatis enerviis a medio longe ciliatis, lorem aequantibus. Pedicellus caryopsi aeque crassus. Pe- rigonium © saepissime ad annulum subobsoletum reductum. Rarissime observavi segmentum 1 evolutum obovatum obtusum erectum, stamini suo sterili fere ad medium adnatum. Vulgo autem perigonium simulant ` stamina sterilia tria, primo aspectu globosa, revera ` autem involuta ovalia obtusa glabra, caryopsin dimi- diam si involuta, totam si vi explicata, aequantia, vel in flore juvenili multo breviora. In floribus sterilibus, bracteam fere duplo neque paulo superantibus, peri- 16* 247 Bulletin de PAcadémie Impériale 248 gonium annuliforme, stamina sterilia solito saepe tri- plo ampliora, arcuato-conniventia, apicibus calyptra- tim cohaerentia, cum vestigio germinis minuto conico in centro floris. Pars inflorescentiae cum fl. 9 et ste- rili sat bene delineata est apud Wight l. c. 1983. c». 2. E. densiflorum Franch. et Savat. Enum. I. 439. (nomen). — ($ 2. A. Wedd. in DC. Prodr XVI. 1. 172.) palmare robustum ramosum, caule crasso re- trorsum hispido, stipulis nullis v. cito caducis; foliis in sicco atroviridibus superne cystolithiis crebris sub- tus ad venas hispidis, sessilibus, oblique ovatis acutis, latere majore acute 3—6— serratis, subtricostatis costa infima longiore; floribus masculis....; capitulis 9 globosis amplis sessilibus, bracteis bracteolisque flores superantibus apice setosis, floribus numerosis subses- silibus; perigonio annuliformi; staminibus sterilibus caryopsi ovoidea acuta duplo brevioribus. Hab. in Nippon, circa Yokohama (Savatier! n. 1124s. pl. 9). ; . Affine E. obtuso et E. glaucescenti Wedd. I. c. 187., . à priore foliis acutis, stipulis caducis v. nullis, floribus minutis, a secundo foliis item acutis stipulisque nullis capitulisque 2 magnis dignoscendum. Foliis in mentem vocat Pellioniam radicantem, caulis tamen haud repens, sed erectus. Bracteolae anguste spathulatae, flores Y triente superantes, apice setis duabus parum brevio- ribus rigidis munitae. 3. E. umbellatum B1. Mus. Lugd. bat. II. t. 19.— E. japonicum Wedd. Monogr. 315.— Miq. Prol. 296. excl. J. Keiske n. 145. — Procris umbellata Sieb. Zucc. l. c. II. 217. n. 768. — Siebold Toelicht. Vries, 164. n. 245. — Pellionia umbellata W edd. in DC. Prodr. 1. e. 167. Hab. in Japonia (Siebold!, J. Keiske! n. 144. spec. 9 in hb. Lugd. bat.) Kiusiu interioris alpibus Kundsho-san, ad rivulos silvarum in umbrosissimis , medio Junii fl. 2; ins. Tsusima (Wilford! planta d); Nippon: jugo Hakone (Savatier! n. 1124. d et 9 ju- venil., Tanaka et Yeutschima! d et Q juvenil); Yezo (ex Siebold). 8. majus: foliis majoribus oblique ovato-lanceolatis margine inferiore 5—9-serrato. — E. involucratum Franch. et Savat. Let 439. (v. s.). Hab. in Japonia (Itoo Keiske! in hb. Franchet): Hakone, ad rivulos (Tschonoski! pl. 3); Kamakura, in fossis umbrosis passim vulgare, fine Maji d et Q fl. Japonice, ex Itoo Keiske in hb. Lugd. bat., Uwa- bami só. Ab incolis pro obsonio comeditur. Est Elatostema, nec Pellionia, ob perigonii et invo- lucri 9 structuram. Glomeruli floresque 9 apud Blu- meum optime delineati, à W eddell videntur praeter- visi. Opinioni Blumeanae, a me in literis expressae, accesserunt autores enumerationis recentis a me lau- datae. : Var. 8., sensim in typum abiens, foliorum forma et magnitudine convenit.cum E. acuminato Wedd. (Thwaites! n. 3970), sed serraturae in nostro ma- 'jores acutiores et costae foliorum subaequales, nec infima elongata. .. Observ. Quid sit E. nova spec. affinis E. Hookeriano, e Chinae prov. Kiangsi, apud H ance in Seem. Journ. of bot. 1874. 261., nescio. ; Boehmeria J acq. Species hujus generis difficillime circumscribendae valdeque polymorphae, ab auctoribus saepissime in vivo non observatae, sed ad specimina sicca et incom- pleta descriptae, a Blumeo verosimiliter nimis multi- plicatae, a Weddell saepe contra naturam coacerva- tae, observationibus loco ipso adque vivum institutis quam: maxime egent. De vegetatione enim, an plantae perennes sint caulibus quotannis e radice v. rhizomate subterraneo innovatis simplicibus strictis elatis, an suffrutices caule uno vel pluribus, humilibus, crassis, . vulgo simplicibus densiusque foliatis, basi lignosa gem- mascentibus, an.denique frutices trunco crasso lignoso in ramos ramulosque patentes amplos numerososque diviso, ramulis e gemmis rite squamatis prodeuntibus, vulgo tenuibus et gracilibus, apud auctores vix mentio ulla invenienda, etsi vix crederes possibile, fruticem in herbam, v. imo hane, elatam et strictam, in suffru- ticem humilem et crassum transire. Invenimus quidem frequenter apud Blumeum in descriptionibus verba: herbacea vel suffruticosa, sed hisce verbis saepissime nil exprimitur, nisi quod exempla examinata caulem haud lignosum praebuerunt ideoque, radice non collec- ta, aut herbae aut suffrutices esse debent. Quomodo autem signum + apud Weddell intelligendum, docet v. gr. B. platyphylla var. holosericea, var. japonica et var. macrophylla ejus, omnes signo t, instructae, prior suffrutex 1'/ pedalis simplex robustus, seeunda fru- des Sciences de Saint- Pétersbourg. 250 - tex orgyalis intricato-ramosissimus trunco pollicari cor- tice lacero fusco lignoque duro, tertia herba perennis caulibus gracilibus 4—5—pedalibus strictis et vulgo simplicibus. Inter varietates exoticas Weddellii imo, mihi ex herbario tantum notas, invenies clidemioidem, spicis fructiferis erectis stigmate undique villoso, ma- crostachyam iisdem spicis pendulis stigmateque unila- teraliter villoso, loochooensem, potius ad B. densiflo- ram ducendam, quae omnes veri frutices gemmis squamatis instructi, cum aliis, v. gr. scabrella, potius ha- bitum herbaceum vel saltem omnino diversum ostenden- tibus. Equidem lubenter fateor, clavem diagnosticam specierum nostratium infra conatam nondum absolu- tam esse: nonnullas enim species vel formas enumera- tas ipse vivas non satis observavi vel mihi a collectori- bus meis japonicis allatas siccatas tantum vidi. Omnes igitur botanicis in Asia orientali degentibus quam ma- xime commendo. Herbae perennes v. suffrutices vix ramosi basi gemmipari. Frutices lignosi ramosissimi ms oppositis. 7. 2. Folia alterna » 3. dom argute multiserrata, 4. DSLR) pauci 1 ilis B. japonica. ` 4. Monoicae, folia rotundata pl. m. incano-pu- , cen Herba “sr dioica, folia ovato-lanceolata Ts E A , b. Suffrutices Anillos crassicaules vulgo ramis B. Sieboldiana. ullis Suffratex elatus caulibus ramisve elongatis .. B. platyphylla. 6. m indivi h raque apice acute biloba.......... $ Folia breve rhombeo-ovata pauci- et vet serrata cum cuspide terminali elongato .. - Folia lanceolata sensim acuminata argute cre- nata v. serrata *.222992599 925299 *2»9*99*9** 1. B. nivea H. A. Bot. Beech. 214. — Wedd. 1. c. 206. — Bl. l. c. 210. — Benth. Fl. Hongk. 331. — Miq. Prol. 295. — Urtica nivea L. Thbg. Fl. Jap. 71. — Sieb. Zucc. l. c. II. 214. n. 759. — B. te- . macissima Gaudich. Voy. Uran. 500. (foliis subcon- coloribus). — Sjiro-o00 Kaempf. Amoen. 891. d sp. mus. brit.) Hab. per Kiusiu et Nippon vulgaris, v. gr. circa Nagasaki (Oldham! n. 770), fine Augusti florens, Ta- ra-take, eod. temp. et statu; in principatu Hizen (Buerger); montibus Hakone (Tanaka!), Yokoska (Savatier); Yokohama, frequens, quum nivea tum con- color; Yedo (Siebold!). China (Bentham, Hébert!); praeterea per Indiam! et archipelagos Sunda, Philip- pinarum, cet. Japonice: mawo. 2. B. biloba Wedd. 1. c. 208. — Miq. Prol. 296. - B. bifida Bl. 1. c. 222. — Splitgerberia japonica Miq., Sieb. Zuce. 1. c. II. 213. n. 757. Hab. in Nippon (Miquel!): Simoda (Yolkin!), Yo- koska, in ruderatis (Savatier!), Yokohama, in mari- timis, fine Julii flor.; Yezo: circa Hakodate, in rupi- bus littoreis montibusque sterilibus passim frequens, a medio Augusto ad finem Octobris frf. Spithamaea usque bipedalis, basi ipsa, fere e rhizo- mate, pauciramosa vel saepius simplex, crassicaulis, Bed et dense foliata. Occurrunt specimina ple- rumque nana foliis vix non omnibus indivisis, talia a subsequente foliis non canescentibus , scabriuscúlis nec molle pubescentibus facile dignoscenda. 3. B. holosericea Bl. 1. c. 221. — Miq. Prol. 295. — B. platyphylla var. holosericea W edd. 1. c. 212. Hab. in Japonia (Buerger! in Herb. Lugd.-bat.): | Kawa-sima, non procul a Nomo-saki ad introitum aes- ` tuarii Nagasaki, medio Augusto fl. d et Y; Yokoska ins. Nippon, in cultis (Savatier!). Habitus B. bilobae, sed plerumque subcanescenti- tomentosa, statio maritima videtur ut in illa. Caules 1—2 pedales robusti, arcuati, basi gemmascentes, ob- ` tuse 4-anguli, simplices, stipulae crassiusculae ovatae 1-nerviae in superiore parte persistentes. Perigonium fructiferum, ex Blume, turbinatum, membranaceo- marginatum. Affinis B. uranthae Miq. e Java, file Blume, ex Weddell vero B. platyphyllae varietas, ut et ipsa B. urantha, quae Weddellio var. scabrella. Me judice valde, nimis forsan, propinqua B. bilobae, quantum e paucis speciminibus visis judicare licet. Confer etiam observ. sequentem. Observ. B. hispidula Bl. 1. c. 223., species siat- trana a me non visa, a Miquel 1. c. 295. e Japonia laudatur, sed unicam ramuli partem tantum foliis et inflorescentiis binis instructam vidit auctora Buerger lectam, B. holosericeae simillimam quoad folia, sed in- dumento potius B. bilobae. Tale autem specimen B. holosericeae, a Savatier collectum, ante oculos habeo, cum B. holosericea Blumeana herbarü Lugduno-ba- tavi ceteris partibus omnino identieam. B. hispidula Bl. igitur melius e flora japonica excludenda videtur. 251 Bulletin de l'Académie Impériale | 252 4. EAR. platyphylla Don. à. Pare? Wedd. Le 211 Hab. in Chinae prov. Canton (Sampson!), praete- rea vidi e Sikkim!, Khasia!, Assam! "A Don (Prodr. fl. Nepal. 59.) fruticosa dicitur, quamobrem B. japonicam ad hanc speciem ducere non audeo. Habeo tamen specimina hujus, prope Yo- kohama a me ipso, in prov. Nambu a Tschonoskio lecta, haee glabriora, quae huic varietati simillima, et tantum serraturis paucioribus et majoribus, multo quam in B. japonica tamen numerosioribus et mino- ribus, recedunt, ita pro forma intermedia haberem, sed radix nulla collecta est et igitur res adhuc dubia manet. 5. B. japonica Miq. Prol. 295. — Urtica japonica L. fil Suppl. 418. (fide Miquel). — Acalypha japo- nica Houtt. Hist. nat. II. 291. tab. 72. fig. 2. fide Miquel. — A. australis Houtt. Pfl. Syst. X. 226. tab. 72. fig. 2. — B. longispica Steud. Flora 1850. 260. 17. — Bl. 1. c. 221. — Fr. Savat. l.c. 440.— B. macrophylla Sieb. Zuce: l. c. II. 215. excl. syn. U. spicatae Bl., — non Don. — Urtica macrophylla Thbg. Fl. deos, 69. et icon ined.! — Boehmeria spicata var. a. Thbg. Icon. med Hab. per totam Japoniam vulgatissima, in fossis siccis, ruderatis, ad vias in ipsis ugbibus, ad sepes, in fruticetis, Julio, Augusto f., Septembri usque in No- vembrem fructif. Possideo e Nagasaki, Yokoska, Yo- kohama, Nambu, Hakodate. —— . Ultra Japoniam planta typica nondum inventa vi- detur, nam planta 4557 Griffith. e Himalaya, a Miquel huc ducta, evidenter fruticosa est et dentes obtusos maximos habet, cum indumento foliorum brun- nescente molliore et superne copiosiore. Japonice: yabu mawo vel yama mawo i. e. mawo (B. nivea) sylvestris. Variat quoad indumentum: fere tomentosa et sub- tus tantum ad reticulum hispida, quoad serraturas: in una eademque fossa collegi prope Yokohama specimina typica pauci- et magniserrata et multi-arguteserrata, jam ad pracedentem vergentia. Dens terminalis sem- per ceteris conspicue longior, si cuspidis brevioris for- mam assumit, habemus var. appendiculatam Bl. — Haec insensibiliter transit in Var. tricuspidem Hance in Seem. Journ. of bot. 1874. 261. — Folia basi rotundata v. breve cuneata ceterum grandi-serrata, a medio pl. m. in cuspides tres lanceolatos acuminatos v. longe caudatos itemque grandiserratos abeuntia, sinubus inter cuspides acutis, saepe ad costam ipsam usque protensis, statu sicco saepe laete viridia; pubes mox. ut in typo vel saepius folia subtus ad reticulum tantum scabro-pilosa et si- mul textura multo magis membranacea. Hab. in Japonia borealiore, quam praecedens magis sylvestris et subalpina, ad margines sylvarum et fru- ticetorum, inter gramina elata ad fossas cet., v. gr. Nippon media (Tschonoski!), Nambu (idem!), Ha- kodate (ipse). China boreali (Fortune! A. 85.), prov. Kiangsi (Hance). Varietas maxime singularis, foliorum forma in men- tem vocans Plectranthum excisum Maxim. In Japonia australiore forma typica gradatim abit in -— Var. platanifoliam (Franch. Savat. Enum. I, 440. spec. propr.). — Folia basi truncata subcordata - v. breve cuneata, latiora quam longa, apice pl. m. truncata tricuspidata, cuspide terminali non longiore, omnibus ovatis grandiserratis in serraturas maximas limbi abeuntibus; pubes typi vel saepius mollior et praesertim pagina superiore copiosior; folia siccata ni- grescentia ut in typo. Hab. in Japonia australiore cum var. £ypica rarius: locis umbrosis montis Yuwaya prope Nagasaki; jugo , Hakone (Savatier! in herb. Franchet), loco incerto a Siebold s. n. yama mawo lecta admixta prostat B. japonicae in herb. Lugd.-batavo. In Chinae prov. Kiu kiang (Shearer!), _ Quae suppetunt omnium a exempla cum radice lecta semper plantam perennem indigitant, basi caulis quidem saepe lignescentem, non tamen gemmas- centem. Omnia praeterea specimina collecta (ultra 80) ramis carent, ita ut caulis, semper strictus, gracilis et elatus, vix non semper simplex videatur. Qua nota, donec contrarium probabitur, a B. platyphylla distincta videtur. — B. japonicam saepissime totam femineam observavi, sed nunquam totam masculam. Dum flores masculi adsunt, supra horum inflorescentias semper invenimus et spicas femineas. 6. B. Sieboldiana bl. 1. c. 220. — Miq. Prol. 295. — B. platyphylla Don var. Sieboldiana Wedd, in DC. Prodr. 1. c. 213. — B. longispica B. Sieboldi- ana Franch. et Savat. Enum, I. 440, des Sciences de ¿ts dice: 254 Hab. in reet (Buerger! inhb. Lugd.-Bat.), ins. Kiusiu prope Nagasaki, declivio boreali Yuwaya yama, locis umbrosis sylvarum rara, init. Septembris frf.; Nippon australi, prov. Ghochik (Kramer ex Prin chet et FREE specc. mascula). Proxima videtur B. Hamiltonianae Wedd., ab au- tore nuper cum B. platyphylla conjunctae, sed B. Ha- miltoniana a B. Sieboldiana nimis differt caule fruti- coso ramoso, monoico, foliis crenulato-serrulatis aliis- que forsan signis. Planta tri-quadripedalis, rhizomate elongato lignoso subhorizontali, caulibus herbaceis, basi non gemmas- centibus, quam in B. japonica multo debilioribus et tenuioribus, foliis et in sicco herbaceo-viridibus. Peri- gonium masculum ex Blumeo 4-partitum laciniis acu- minatis, stamina 4. Perigonium fructiferum, Blumeo ignotum, ovoideum, hispidum, parum compressum, se- mimillimetro longius, Spicae fructiferae interruptae 7 — 8 cent. longae, simplices, breve pedunculatae, gra- ciles, areuato-erectae. 7. B. spicata Thbg. in Linn. Trans. II. 330. excl. syn. L. et Houtt. — S. Z. I. c. II. 216. — BLI c. 220. — Miq. Prol. 295. — Urtica spicata Thbg. F1, jap. 69. et icones ined, var. æ. (sed non var. B., quae ad B. japonicam). — B. platyphylla var. japonica W edd. in DC. Prodr. l. c. 213. excl. syn. Linn. f. — Boeh- meria spec. Maxim. Index fl. Pekin. 477. - Hab. per totam Japoniam, in australi vulgaris: Kiusiu, ad Nagasaki (Thunberg! hb. Upsal., Oldham!) in Yuwaya yama (Siebold!), in monte Tara, fine Au- gusti fl.; in vuleano Wunzen, fine Julii fl., in m. Ho- man take (Buerger); Nippon: in littoralibus prope oppidum Muro, nec non in m. Sato toge (Buerger!), Simoda (Y olkin! «frutex»), Hakone (Tschonoski!), Yokoska in incultis (Savatier! n. 1115), Yokohama, init. Septembris fl., prov. Nambu (Tschonoski!); Yezo, circa Hakodate variis locis, forma nana ad de- clivia montis juxta urbem, fine Octobris frf. China boreali: montibus Inschan a Pekino boream versus, locis siccis arenosis (Tatarinow! fl.). Japonice: aka só. — Frutex in Japonia australi ad 7-pedalis ramosissi- mus, trunco pollicem usque crasso ramisque teretibus cortice fusco lacero obtectis, ramulis hornotinis e gem- mis perulatis ortis tenuibus subquadrangulis. In alpi- nis Japoniae borealis vero, verosimiliter ad limites areae ejus septentrionem versus, occurrit 1/,—2 pe- dalis, nihilominus ramosa et lignosa et ex rhizomate copiose gemmipara. Folia in hisce omnibus breviora, minora, magis cuneata et parcius acutiusque serrata quam in ulla B. Japonica vel B. platyphylla, semper- que viridia nec unquam dense pubescentia. Adsunt quidem specimina, ad pedem Fudzi yama secus rivu- los a Tschonoski florentia collecta, e ramis tenuibus elongatis constantia, macrophylla, foliis tenuius mem- branaceis, utrinque subtus ad venas tantum pilis ad- pressis adspersa, lamina ad 15 cent. longa attamen petiolo breviore, quae foliorum magnitudine B. japo- nicae appropinquant, sed huc ducendi sunt, quia iterum ràmosi occurrunt et quia folia rhombeo-elliptica basi cuneata dente terminali lineari serraturis paucis mag- nis acutis subineumbentibus omnino typo similia ; rami tales fortasse individuis juvenilibus proprii. Spe- cimina pekinensia etiam similem habitum prae se fe- runt, sed folia minora firmiora habent. Praeter habitum diversissimum B. spicata et B. ja- ponica dignoscuntur etiam floribus masculis. In priore sistunt spicas simplices graciles longe interruptas fas- ciculis 1 —4-floris, floribus parvis persistentibus (cum spica tota deciduis) fere simul manifesteque apertis, antheris luteis; in unico tantum specimine spicam vidi basi subramosam. In B. spicata spicae occurrunt qui- ` dem saepe etiam simplices, sed. plerumque distinctis- sime ramosae, semperque duplo crassiores, minus in- terruptae, passim subcontinuae, fasciculis plurifloris, floribus majoribus parum apertis, minime coétaneis, ci- toque caducis, ita ut spicae diutius persistentes semper nondum florentes appareant; antherae albidae. Etiam spicae femineae in B. spicata semper simplices, ma- gis interruptae, duplo saltem tenuiores sunt quam in B. spicata. 8. B. densiflora Hook. Arn. Bot. Beech. 271. — Wedd. 1. c. 215. — B. platyphylla var. loochooensis Wedd. 1. c. 213. Hab. in archipelago Lutschu (Wright!), insula Formosa (Oldham! 519. 520.), Chinae prov. Tsche- kiang (Staunton ex Wedd.). Frutex ramosus, habitu, quantum e sicco E dum, praecedentis, sed riii hornotini floriferi duplo crassiores et folia angusta. Haec tamen variare viden- ` tur chartacea v. membranacea, serrulata v. serrata, rugosa v. laeviuscula, plus vel minus pubescentia. Bulletin de PAcadémie Imperiale 256 255 Pouzolzia Gaudich. Formosa, prope Tamsuy (Oldham! n. end praeterea LX ica Himalayae! Folia integerrima .......... een II P. indica. inr egione tropi y Pro Miete M EEE NEN P. elegans. Frutex ramosus, in Japonia 3 — 4-pedalis, ramis 1. P. indica Gaudich., Wedd. 1. c. 220. subvar. procumbens Wedd. 1. c. — P. procumbens Wight. Icon. tab. 2099. Hab. Wright!) prov. Canton secus Westriver (Sampson!), Formosa (Oldham! n. 527.), praeterea in India tro- pica et insulis adjacentibus. y. alienata subvar. microphylla W edd. l.c. 221. — Parietaria cochinchinensis Lour. Fl. Cochinch. p. 654. (ex Weddell). ar in Sina (W eddell). 2. P. elegans Wedd. l. c. 230. £ Hab. in ins. Formosa, ad ripas rivulorum (Wilford) Memorialis Ham. Folia omnia consimilia ................... M. hiri » floralia, saltem superiora, bracteiformia. M. pentandra. ~ 1. M. pentandra Wedd. y. hypericifolia Wedd. 1. . €. 235°. — Pouzolzia hypericifolia Bl. Mus. Lugd.- bat. II. 242. . Hab. in China australiore (ex Weddell), praeterea in India tropica!, Java, Philippinis. 2. M. hirta Wedd. l. c. 235% — Franch. et Savat. Enum. 441. — M. hispida Wall. Cat. n. 4601. — Urtica hirta Bl. Bijdr. 495. Hab. in Japonia (Tanaka! in hb. Franchet); China centrali: Kiukiang (Shearer!) et australi: prov. Canton secus fl. Westriver (Sampson!), Hongkong (Wright!), Tamsuy ins. Formosae (Oldham! n. 523); praeterea in Java!, Zeylona!, India! Villebrunea Gaudich. V. frutescens Bl. Le, 168. t. XVI. b. (mas, fl. tri- andris). — Wedd. 1. c. 235%, — Oreocnide frutes- cens Miq. Prol. 295. — Boehmeria frutescens Thbg. in Trans. Linn. soc. IL. 330. — Urtica frutescens Thbg! Fl. Japon. 70. — Roxb. Fl. Ind. III. 589. — Frutex Urticae foliis et facie floribus crystallinis Th bg. Fl. Jap. 367. pl. obsc. n. 98. ; Hab. in Japonia australi, cirea Nagasaki, in fos- sis siccis, ad muros, in scrobibus, vulgaris (Thun- berg!, Miquel!, Oldham!, ipse) In Chinae ins. in China australi: Hongkong (Weddell, vulgo elongatis, parce ramulosis, virgatis, foliis quoad serraturas majores et minores, acutiores vel obtusiores in eodem individuo variabilibus, juvenilibus quod sciam semper, senilibus rarius concoloribus, saepius subtus albidis, usque in Januarium et ad capitula juvenilia formata persistentibus, ante frondem novellam et flores apertos tamen deciduis, initio Aprilis florens vix folia novella explicans, initio Maji defloratus fronde juvenili nondum plane perfecta obtectus, médio Martio anni se- quentis fructus maturans, sed foliis saepissime aut plane orbatus, aut ad ramorum apices tantum paucis ornatus. Perigonia fructifera carnosa, alba, dense in capitulum piso vulgo minus conferta. Debregeasia Gaudich. D. edulis Wedd. Monogr. 465. et in DC. Prodr. 1. c. 235%, — Morocarpus edulis Sieb. Zuce. lac. 218, excl. pl. mascula. — Bl. 1. c. II. 155. tab. 16. a. — Miq. Prol. 294. — Boehmeria yanagi itsigo. Sieb. in Act. Bat. XII. 70. Hab. in Japonia australiore: locis arenosis apricis prov. Hizen ins. Kiusiu (Buerger!), collibus umbro- sis prope Simoda ins. Nippon (Small!) penins. Parry prov. Idzu (Savatier! n. 1122.), colitur in urbe Yedo, Majo fl., Julio fructif. (ipse). In Formosa (Oldham! n.. 525. 526.). Frutex humilis ramosus ramis virgatis patulis. In- florescentiae fructiferae piso paulo minores, auran- tiacae. Fructus edulis, ex Siebold. . Parietaria. P. debilis Forst. a. micrantha W edd. in DC. Prodr. XVI. 1. 235%. — P. micrantha Ledeb. Icon. fl. ross. I. tab. 22. — Ledeb. Fl. ross. III. 640. Hab. in Mandshuria: ad Amur superiorem prope Albasin (Glehn!) et meridionalem, ad rupes umbro- sas inter Oettu et Dyrki, passim, cum Circaea alpina, medio Augusto frf., simili loco ad Njungja, non fre- quens, eodem tempore et statu (ipse), circa sinum Possjet, in fissuris rupium umbrosissimis frequens, init. Augusti fructif. (ipse, Schmidt!); praeterea a Dahuria! occidentem versus per Sibiriam! et ex Wed- dell in Mongolia, Himalaya usque ad Arabiam, Abys- 257 des Sciences de Saint- Pétersbourg. Lë Ec Pes SESCH en simiam et insulas Canarienses, Australia, Nova Zelan- dia et in America australi. Malaxis (Oberonia) japonica. (Caulescentes, labello 3— 4-fido. Lindl. Fol. Orchid. VIII. 7. — Rehb. £. in Müll Walp. Ann. VI. 215.) Foliis numerosis am- plexicaulibus e latiore basi ovato-oblongis acutis; spica gracili elongata interrupta; bracteis complicatis ova- tis acuminatis integris longitudine florum; petalis ova- libus sepalisque ovatis obtuse apiculatis integris, la- bello concavo trifido lacinia media truncato-obcordata cum apiculo, lateralibus dimidio brevioribus triangu- larifaleatis acutissimis. | Hab. in Kiusiu alpe Aso-san, epiphyta (hb. Sie- bold! a bot. japonico fl. et fructif. sub nom. yorak’-ran communicata). Nippon, circa Yokoska, in Cephalotaxo drupacea (Savatier! n. 3062.). M. angustifoliae Rchb. f. l. c. 213. e Sikkim et Khasia, a me non visae, proxime affinis videtur, sed haec describitur foliis multo longioribus ('/ lin. latis, 8 lin. longis), bracteis ovatis, labello subrotundo ob- solete 4-lobo lobulis anterioribus oblique truncatis vel emarginatis; nostra igitur satis diversa videtur. Plantula florens 4, fructifera 8 cent. alta. Foliorum paria 5—10, singulis foliis 5—10 mill. longis, 2 mill. latis. Rhachis spicae 20—60 mill. longae tenue filiformis, a basi bracteis vacuis, sequentibus mox florigeris instructa, internodiis flores primum aequan- tibus, dein superantibus. Verticilli 2—3-flori. Flo- res brevissime, fructus distinctius pedicellati, priores 1'4 mill., posteriores cum pedicello fere 3 mill. longi. Sepala et petala ex lutescente virescentia, columna virens, anthera lutea. Sepalum posterius petalis pa- rum majus, lateralia fere sesquilatiora et distincte lon- giora, labellum omnibus majus, ambitu fere orbicu- lare, concavum, basi truncatum, lobo medio ex basi duplo angustiore latissime subobcordato v. truncato- emarginato, dente in sinu distinctissimo obtuso. Co- lumna latior quam alta, petalis duplo saltem bre- - Vior, anthera fere aequilata apiculata. Pollinia 4 li- bera, late ovalia, per bina locata. Capsula perigonio emarcido coronata, breve obovoidea, hexagona. - Conf. analysin in tab. adjecta, fig. 17 —22. magn. auct. — 17. ala- .bastrum cum bractea. 18. Flos vi expansus cum labello in situ natu- rali. 19. Labellum expansum. 20. Columna a dorso, figura inferior eadem demta anthera. 27. Columna a ventre cum stigmate, fig. su- perior pollinia. 22. Capsula matura, jam dehiscens. . Tome XXII. Index specierum in decadibus XI—XX descriptarum cum emen- dationibus, synonymis locisque novis nonnullis. Editae sunt: Decas XI. in Bulletin de l'Acad. des sc. de St.-Pétersb. XVII. 1872. 21 Mars. p. 417— 456. — Decas XII. XIII. XIV. ibid. XVIII. 23 Mai. 28 Novemb. 1872. 30 Januar. 1873. p. 35—72. 275—296. 371—402. — Decas XV. XVI. XVII— XVIIT. ibid. XIX. 28 August., 21 Octob. 1873. 12 Mart. 1874. p. 158—186. 247—287. 475—540.— Decas XIX. ibid. XX. 10 Decembr. 1874. p. 430— 472. — Decas XX ibid. XXII. Ex his collectaneis reimpressae sunt in Mélanges biologiques vol. VIII., ubi quaerendae sunt decades XI et XII., et vol. IX. ubi inveniuntur decades XIII—XX. Sigla hujus indicis eadem ac in indice ad calcem de- cadis X. usitata. Achudemia japonica. XXII... IX...— Alsineae Asiae orient. XVIII. 372 — 402. IX. 32 — 57. — An- cistrocarya japonica. XVII. 443. VIII. 543.; XX. 471. IX. 451.—Andromeda campanulata Miq., cernua Mig. a. et 8., japonica Thbg. et $. nana. XVIII. 47— 49. VIII. 614—620. — Anemone nikoensis. XVIII. 275. IX. 1. — Anemone stolonifera. XXIL.. IX... — Angelicae sect. Ostericum synopsis spec. As. or. XIX. 272—278. IX. 249—258. — Angelica Florenti Franch. Savat., grosse-serrata, hakonensis, Miqueliana. XIX. l. c. IX. 1. c. — Angelica inaequalis XIX. 184. 278. IX. 186. 258., Kiusiana XVIII. 284. IX. 14. — A. japonica A. Gray! quoad pl. fructif.; pl. florens Gray- ana pertinet ad A. ursinam Rupr. sub Angelophyllo; polymorpha XIX. 185. 277. IX. 187. 257. — Apios Fortunei XVIII. 396. IX. 67. — Artemisiae consp. spec. Asiae orient. XVIII. 428—440. VII: 521— 538. — Artemisia capillaris Thbg. et f., sibirica, Schmidtiana, Thunbergiana— A. apiacea Hance! XVIII. — l.c. VIII. 1. c. — Asperula Platygalium. XIX. 284. — IX. 267. E uds Dauhiniae sinico-japonicae. XVIII. 400—402. IX. 73—76. — Bauhinia japonica. XVIII. 401. IX 348, — — Borragineae sinico-japonieae. XVII. 400—456. ` VIIT. 539 — 562. — Bothriospermum chinense Bge, Kusnetzowii Bge, secundum, tenellum Fisch. Mey. et ` 17 | ` «XIX. 475—483. IX. 281—292. japonica Ldl. var. alpina et pygmaea. XIX. 168. 259 Bulletin de l'Académie Impériale 8. XVII. 454—456. VIII. 559—562. — Buergeria Miq. confer Cladrastis. Cacaliae Asiae orient. XIX. 483—487. IX. 292 — 299. (sub Senecione). — Calamintha multicaulis. XX. - 466. IX. 444. — Calanthe discolor Lindl. f., reflexa, striata R. Br. a. et ß., Textori Miq. a. et 8. XVIII. 65—68. VIII. 640—645. — Cardamines spec. Asiae orient. XVIII. 275—281. IX. 2—11. — Cardamine scutata Thbg! XVIII. 281. IX. 10 — C. hirsuta L. var. latifolia. 1. e. 279. 7.; C. Tanakae Franch. Savat., yezoénsis. XVIII. 277. 280. IX. 5. 8. — Carpesii . specierum omnium synopsis: abrotanoides L., cernu- um L., divaricatum Sieb. Zucc., glossophyllum, pubes- . cens Wall., rosulatum Miq., tracheliifolium Less, triste. — Chaenomeles IX. 163. — Chelonopsis moschata Miq. XX. 465. IX. 443. — Chionanthus chinensis XX. 430. IX. 393. = Ch. retusa Lindl et Paxt. — Chrysosplenium album. — XVII. 420. VIII. 510. — Cladrastis amurensis Bth. ' €, var. Buergeri. XVIII. 400. IX. 72. — Clematis - brachyura, eriopoda, Kirilowi, lasiandra, pinnata, Ta- tarinowii et consp. specierum As. orient. XXII.. IX..— — Cnicus Buergeri Miq. c. var. B., dipsacolepis, dipsaco- E lepidi x nipponicus, effusus, japonicus var. a—{, ja- ponico x suffultus, kamtschaticus $., nipponicus, pecti- nellus, purpuratus, spicatus, suffultus, yezoénsis, et consp. specierum As. orient. XIX, 489—511. IX. 301—333. — Crawfurdia Wall. XX. 435. IX. 400. — Crepis integra Miq., Keiskeana et consp. spec. ja- pon. XIX. 520—524. IX. 345—352. — Crossoste- . phium Less. XVII. 427. VIII. 520. — Cynoglossum . divaricatum Steph, (dele syn. Miq. ad Omphaloden ja- a ponicam spectans), furcatum Wall., javanicum Thbg., micranthum Desf., officinale L. XVII. 450, 451. VIII. 553—556. — Cyrtandraceae sinico-japonicae XIX, 534— 540. IX. 366—374. Dialysplenium subgen. XVII. 420. VIII. 510.— Didymocarpus lanuginosus Wall, primuloides. XIX. 535. 536. IX. 368. 369. — Dontostemon hispidus. XVIII. 282. IX. 11. — Dopatrium junceum Ham. XX. 441. IX. 409. — D. japonicum Franchet et Sa- vatier, Enum. 1.345., = Montia fontana Miq. Prol. 352. — Draba japonica XXII. IX.. Edosmia Neurophylum XVIII. 285. IX. 16. — Carum Neurophyllum Franch, et Savat. 1. c. 180. — Elatostema dasyanthum Franch. Savat. XXII.. IX.. — Ericaceae japonicae. XVIII. 39 — 57. VIII. 603 — 628.—Eritrichium brevipes, Guilielmi A. Gray, myo- sotideum, radicans A. DC. XVII. 446 sq. VIII. 547 sq. — Eutrema Wasabi. XIX. 283. IX. 13. Fraxinus mandshurica Rupr. var. eer XX. 432. IX. 395. Galeola septentrionalis Rehb. XVIIT. 70. VIII. 647. — Galium boreale L. japonicum, brachypodion, paradoxum et consp. specierum As. orient. XIX. 278— 283. IX. 258 — 265. — Gaultheria adenothrix, py- roloides Hook. f. et Th. XVIII 44. 45. VIII. 610.— Gentiana japonica. XX. 433. IX. 396. — Gratiola violacea XX. 400. IX. 407. — Ilysanthes saginoides Franch. Savat. Enum. I. 346. — Gratioleae Asiae orient. XX. 436 — 450. IX. 401 — 422. Hemistepta lyrata Bge XIX. 512 — 513. IX. 333 — 336. — Hesperis lutea. XVIII. 282. IX. 12. Isanthera discolor. XIX. 538. IX. 372. — Juglan- daceae Asiae orient. XVIII. 57 — 65. 296. VII. 630 — 640. IX. 30. — Juglans cordiformis, mandshu- rica, Sieboldiana, stenocarpa = mandshuricae varietas. XVIII. 58 — 62 c. figg. VIII. 630 sq. c. figg. — Ju- rinea mongolica XIX. 519. IX. 345. Keiskea japonica Miq. XX. 464. IX. 442.— Kra- scheninnikowia heterantha, heterophylla Miq., ru- pestris Turcz., sylvatica. XVIII. 374 — 377. IX. 35 — 40. Lactuca denticulata a. et 8., formosana (crescit etiam in Kiu-Kiang Chinae centralis, Moore in Trim. Journ. of bot. 1875. August), Oldhami, Raddeana, squarrosa Miq. triangulata et consp. specierum Asiae orient. XIX. 374 — 377. IX. 352 — 565. — Lampsana apogonoides. XVIII. 288. IX. 20.— Lathyrus (Orobus) Davidii Hance (huc Lathyri sp. incerta habitu maritimi Miq. Prol. 233., ex sched. hb. Lugd.-bat. a. 1719 e China introducta, japonice (in Siebold herb.) jebosina dicta), subrotundus, et species sinico-Japonicae. XVIII. 390—394. IX. 58—65. (Lathyris japonicis adde (an tan- ` tum cultum?) L. pratensem L. = Lathyri sp. incerta a Keiske sterilis lecta, Miq. Prol. 233., figura optima in Soo bokf. XIV. 8.) — Leonurus macranthus. XX. 467. IX. 445. — Leucanthemum nipponicum Fran- chet. XVII. 420. VIIT. 511. — Leucothoé Grayana, Tschonoskii XVIII. 46. VIII. 613.— Ligusticum acu- tilobum S. Z., japonicum XIX. 270. 271. IX. 246.— ` DUE macranthus Franch. . dellia? japonica Miq. Prol. 50., | IX. 69—70.— Photinia Fortuneana ( . cantha Decaisne Mem. Pomac. 183. cur non Fortuneana potius? — Cotoneaster Fortunei Wenzig), glabra, vil- des Sciences de e pee. 262 Ligustrina amurensis Rupr, XX. 432. IX. 395. — Lithospermum japonicum A. Gr. XVII. 442. VIII. 542. = L. Zollingeri A. DC. — Lindernia All. XX. ` 446. IX. 416. — Loranthus jadoriki Siebold, Kaem- pferi. XXII... IX. . .— Lychnis stellarioides = Silene . inflata. Miq. Prol. 10., Wilfordi. XVIII 371. IX. 31.— Lysionotus pauciflorus XIX. 534. IX. 366. (crescit etiam in China centrali, Kiukiang, ex Moore in Trim. Journ. of. bot. 1875. August). ` Maackia conf. Cladrastis. — Magnolia compressa et consp. spec. japonicarum. XVII. 417—419. VIII. 506 — 510. Locus in systemate M. salicifoliae a me assignatus rectus est: habui postea specc. florifera et cum fructibus maturis, a Tschonoski in Nippon media lecta, e quibus proxime affinis M. Kobus, DC., foliis imprimis diversa.— Malaxis (Oberonia) japonica. XXII.. X..— Mazus rugosus Lour. 8? stolonifer = M. r. f. Savat. Enum. I. 344., — Van- stachydifolius, vidi e China centrali, Kiu-Kiang, a Dr. Shearer lectum, s. nom. M: rugosi var. acceptum. XX. 437. 438. IX. 404. — Mimulus sessilifolius. XX. 436. IX. 401. huc verosimiliter fragmentum pessimum Mimuli sp. incert. Miq. Prol. 48. — Móhringia platysperma XVIII. 373. IX. 35. — Monotropa uniflora L. XVIII. 55. VIII. 626. -- Mosla dianthera formosana, grosseserrata, japonica, lanceolata XX. 456 — 463. IX. 430 — 440. . Myriophyllum ussuriense et species japonicae. XIX. 181. 182. IX. 182 — 184. Naucleeae sinico-japonicae XIX. 286. IX. 270. — Nepeta japonica, subsessilis — N. macrantha Franch. et Savat. Enum. I. 375 exacte!, tenuifolia Benth. XX. 467 — 470. IX. 446 — 450. Omphalodes japonica, Icumae, sericea, nova species (= O. Krameri Franch. Savat. Enum. I. 337.) XVII. 452. 453, VIII. 557. 558. — Ophelia diluta Ledeb. XX. 434. IX. 398. - Perillula reptans XX. 463. IX. 440.— Phaseoleae japonico-mandshuricae sponte crescentes. XVIII. 397. — Osteomeles Pyra- | Y losa (— Pourthiaea villosa, lucida, coreana, Oldhami, Thunbergii, Zollingeri, Cotoneaster Decaisnel. c. 147— 149), Wrightiana (— Ph. Maximowiczii Decaisne 1. c. 143.) XIX. 177 — 179. IX. 176 — 181. — Pimpi- nella calycina, sinica Hance (recte hue akai Miq. amandavi; nam in ipsius autoris speciminibus dentes ca- lycini etiam nulli) XIX. 182. IX. 184.—Pirus baccata L. var. mandshurica, Tschonoskii. XIX. 169. IX. 165.— Platyosprion, Sophorae subgenus. XVIII. 398. IX. 70. — melius pro genere proprio habendum, nam le- gumen planum nimis a Sophora diversum. — Platy- raphe Miq. cf. Pimpinella. XIX. 184. IX. 185. — Plectranthus glaucocalyx p. japonicus, inflexus Vahl. B. et y., inconspicuus Miq. (= inflexus Vahl forma vi- ` lior), inconspicuus Maxim. ( = trichocarpus n. sp.), serra, et species sinico-japonicae. XX. 450 — 456. IX. 422 — 430.— Pleurogyne rotata Florist. japon. nec Griseb. XX. 434. IX. 398. — Polygonum sufful- tum et Adnot. in spec. nonnullas. XXII.. DN — Pomaceae sinico-japonicae XIX. 168—181.IX. 162— 182. — Potentilla centigrana, Cryptotaeniae, fraga- rioides L. c. varr. incisa et ternata, fruticosa L. c varr. mandshurica et mongolica et adnot. in spec. nonnullas. XIX. 162. sq. IX. 157 sq. — Prenanthes Tatarinowii. XIX. 533. IX. 365. — Pseudopyxis de- pressa Miq. XIX. 286. IX. 270. — Pterocarya rhoi- folia S. Z. XVIII. 63. VIII. 637.—Pteroceltis Ta- tarinowii c. tab. XVIII. 292. IX. 26. a Dre Piasezky florens et fructifera in provincia Chinae centralis Schensi anno praecedente detecta. — Pterostigma Bth. XX. 439. IX. 405 — Adenosma R. Br. cf. Benth. Fl. Austral. — Pterygocalyx. XX. 435. IX. 400. — Pyrethrum Decaisneanum, & — Y, marginatum Miq., Pailasidiititir seticuspe, si- nense Sab. c. varr. a — y. XVII. 421 — 428. VIII. 512 — 520. — Pyrola elliptica Nutt. var. minor, re- ` nifolia, rotundifolia L. a. 8. et spec japonicae. XVIII. 52. VIII. 622. Rehmannia lutea. XIX. 538. IX. 371. — Rhynclio- As sia volubilis Lour. 8. acuminata. XVIII. 398. IX. 70. — Ribes alpinum L. c. varr. f. y., ambiguum, Diacantha Pall., fasciculatum S. Z., grossularioides, japonicum, Meyeri, multiflorum W. Kit. c. varr. 8. et rubrum L. c. varr. a — à. et ` .; pulchellum Turcz., get. Asiae orient. XIX. 247 — 270. IX. 213—246. — Rubia, adnot. de specieb. mandshuricis et japoni- cis. XIX. 283. IX. 266. Sanguisorba alpina Bge, canadensis Torr. et ge, obtusa ( — tenuifolia a. latifolia Miq. Prol. 226), of. ficinalis L., tenuifolia Fisch. XIX. 159 — 162. IX. 17* indicum Cass. e. varr. ` - Bulletin de l'Académie Impériale KS 264 150 — 155. — Saussurea gracilis, Tanakae Franch. Savat. c. var. phyllolepis, triptera et spec. japon. XIX. 513 — 519. IX. 336 — 344. — Saxifraga cortusifo- lia S. Z. c. varr. 8. y., cuscutiformis Lodd., fusca, sarmentosa L., sendaica XVIII. 35 — 38. VIII. 597 — 602. — Saxifraga tellimoides XVIII. 39. VIII. 603.—Sceptrocnide macrostachya. XXII . . IX... . — Scopolia japonica. XVIII. 57. VIII. 629. — Sene- cio adenostyloides Franch. Savat., bulbiferus, davu- ricus Schltz. Bip. var. a. et 8., farfaraefolius a — y., Zuccarinii et spec. sectionis Cacaliae orientali-asiati- cae. XIX. 485 sq. IX. 295 sq. — Shortia uniflora XX. 470. IX. 450. — Sileneae Asiae orient. enumer. XVIII. 387. IX. 55. in adnot. sub textu. — Sium Ninsi L., nipponicum, Sisarum L. XVIII. 986. IX. 17. — Smithia japonica XVIII. 389. IX. 57. — So- phora platycarpa XVIII. 398. IX. 71.— Platyosprion platycarpum. — Sorbus alnifolia C. Koch.”) (= Aria . alnifolia et tiliaefolia Dne Mem. Pomac. 166.), ame- ricana L., Aria var. kamaonensis Wall. (= Aria japo- mica Dne Le 164), Aucuparia L. et var. japonica, gracilis C. Koch, sambucifolia Ch. Schtdl. XIX. 173. 174. IX. 170 — 174. — Stellaria diandra, diversi- . flora, florida Fisch. 8 angustifolia, monosperma Ham. var. japonica, tomentosa, uliginosa Murr. (— japonica Miq., quae forma fere submersa hinc inde morsuris neque punctis pellucidis instructa) et species Asiae orientalis. XVIII. 379 — 385. IX. 43— 52. ——Swer- tia perennis L. 3. cuspidata. XX. 434. IX. 398. — Syneilesis aconitifolia, palmata. XIX. 487. IX. 300. Thalictrum tuberiferum. XXII ... IX... — Torenia? inflata Miq. XX. 443. IX. 411 — Mimuli nepalensis specc. minuta, — Tripterospermum Bl. XX. 435. IX. 400. -Ulmus campestris Sm. 3. pumila Ledeb. XVIII. 290. IX. 23. — Ulmaceae Asiae orientalis XVIII. 288 — 296. IX. 21 — 30. — Uncaria rhynchophylla Miq. XIX. 285. IX. 268.—- Urtica laetevirens. XXII... IX ...— Urticacae Asiae orientalis. XXII... IX.. Vaccinia japonica. XVIII. 39 — 43. VIII 603 — 609. — Vandellia cymulosa Miq. (=V. angustifolia Benth. forma ramulosa ramulis floriferis), erecta Bth. 7) Num ad hane forte spectat: ein birkenähnlicher Baum mit Bir- kenbláttern, der aber wie die Traubelkirsche blüht und festes Holz .. hat. — In insulis «Kurilensibus Urup. et Etorpu. Conf. Pall. N, nord. Beitr. IV. 131. 133. XX. 444. IX. 413. — Vicia venosa W. a — y. et ad- not. in spec. japon. nonnullás (V. quinquenervia Miq. = Lathyrus palustris L. y. linearifolius Ser.) XVIII. 394 — 396. IX. 65 —67.— Vitis leeoides XIX. 158. IX. 148. Yoania japonica. XVIII. 68. VIII. 645. Rapport sur l'ouvrage manuscrit de M. Bakradzé, contenant l'exposé des recherches archéologiques faites par l'auteur, dans l'Adchara et dans le Gou- ria, par ordre de l'Académie en 1873. (Lu le 2 mars 1876.) ` | | La Russie occupe une place digne d’elle dans le grand mouvement qui, depuis une soixantaine d'années, ` entraine les esprits les plus éminents vers l'étude des sources de l’histoire, souvenirs du passé, leçons pour ` le présent, guides des peuples vers l'avenir. Quinze sociétés, commissions, comités et grandes publications, périodiques ou autres, voués à larchéologie et aux recherches historiques, y mettent au jour, sans re- láche, des masses de documents enfouis jusqu'à-présent dans la poussiére des archives. Dans la classe Histo- rico-Philologique de l'Académie Impériale des sciences et dans la section Russe proprement dite, plusieurs de nos savants collégues consacrent aussi leur vie à l'é- tude de la partie russe ou asiatico - russe des mont- ` ments du passé; ce n'est pas ici le lieu de nommer les auteurs ni de mentionner leurs œuvres, que le monde de l'intelligence sait apprécier. Le Transcaucase n'est point resté non plus étran- er à la commune impulsion. Indépendamment des révélations de la science, tirées des entrailles du sol caucasien, gráce aux efforts de MM. Bayern, Zeidlitz et autres, S. A. I. le grand-duc Lieutenant a pris en 1874 un arrété en vue de la réunion, coordination et mise en lumiére des Mémoires particuliers relatifs à la guerre qui a amené la soumission des diverses peupla- des du Daghestan et de la Circassie. S. A. a, depuis 1866, daigné favoriser la vaste entreprise de l'im- pression des Actes de la Commission archéographique du Caucase, dont l'actif M. Berger exécute en ce mo- ment le VII. Vol. in-f” compacte. Il s’est, en outre, formé à Tiflis une nouvelle Société des amateurs des Naximowiez: Diagn al am ` H Bulle dTAvad Imp dsc TRI Metallographie v. lvanson, St E Berens. del ad sicc. e 265 ads Sciences de Mac. Pétcrabourg- 266 tous et de l'histoire du Caucase *), dont quelques indigènes ont tenu a honneur de faire partie: ce sont des hommes ayant reçu la forte éducation des Acadé- mies ecclésiastiques de S.-Pétersbourg, de Moscou et de Tiflis, doués à divers degrés de talents solides, parmi lesquels il est juste de citer les noms de MM. Platon Iosélian et Berzénof, tous deux enlevés malheu- reusement à la science dans ces derniéres années; M. Eritsof et M. Bakradzé, l'auteur du travail dont je dois rendre compte, déposé en ce moment sous les yeux de l’Académie. C’est en 1873 que notre voyageur devait exécuter, sous les auspices de l’Académie, une excursion dans l’ancien Tao, la Géorgie turque de nos jours, une vraie mine des plus vieilles antiquités géorgiennes, résidence de la dynastie Bagratide encore au temps de Constan- tin Porphyrogénéte, au X". S., parcouru dans les der- niers temps par le P. mékhithariste Nersès Sargisian et par l'habile photographe M. Iermakof, de là il de- vait se porter dans l'Adchara et dans le Gouria. Par ‚suite des circonstances, ce sont ces dernières contrées seulement qu'il a explorées, de la moitié du mois d'aoüt à celle d'octobre. Le voyageur avait déjà montré son zéle et sa capa- cité arehéologiques dans l'exploration, féconde en ré- sultats, du Souaneth-Libre, en 1860, et dans son Mé- moire trés étendu sur les Monuments chrétiens du Caucase, contenant 286 NN., 321 dans la seconde édition; t. V des Actes de la Comm. archéogr. 1873, t. VI des Mém. de la Sect. Cauc. de la soc. géogr. p. 128, avec carte et une feuille d'inscriptions autogra- phiées; en 1875, Société des amateurs des antiq. du Caucase. S'il n'est pas possible d'admettre sans res- triction tous les déchiffrements et déductions de l'au- teur, du moins on ne peut lui refuser la connaissance . approfondie du sujet, l'esprit d'investigation et. d'ana- lyse, appuyant ses opinions sur une vaste lecture, et une mémoire imperturbable des plus minutieux détails. Le Gouria, grâce à la modestie de sa vie sociale et artistique, n'a pas encore été exploré par un seul voyageur complétement préparé, i. e. connaissant sa langue et son histoire. Si l'on excepte M. Dubois de Montpéreux, fonciérement géologue et accessoirement archéologue, parfois trop enthousiaste, et quelques 1) La 1* livr. de ses Mémoires vient de paraitre. Russes, plus ou moins amateurs des sciences histo- riques, mentionnés dans les riches Index alphabétiques de la littérature caucasienne, de MM. Doubrovin et Miansarof, j'avoue ne connaitre aucun traité complet, concernant spécialement le Gouria ou certaines parties de cette contrée. Toutefois il y a, en langue anglaise, cité dans un Compte-Rendu de la reconnaissance de lAdehara, dont il sera parlé plus tard, un DECH pratique dé la valeur de ce pays. En 1848, lors de mon séjour en Mingrélie, le prince Dimitri Gouriel me fit, il est vrai, l'obligeante propo- sition de venir parcourir son pays; mais, outre qu'il me restait alors seulement quelques mois pour achever mon programme, tracé à l'avance, je n'avais pas fait entrer le Gouria dans mon plan, parce que le peu de données fournies par les auteurs géorgiens ne m'inspi- rait qu'un faible attrait pour une contrée trop peu connue, dont l'histoire, exclusivement moderne, ne m’aurait donné, à ce que je pensais, qu'une faible quantité de renseignements concernant les origines de la Géorgie. Je fus done obligé de décliner une offre si bienveillante. Méme, dans mon idée, en rédigeant l'itinéraire de M. Bakradzé, en 1873, qui comprenait le Gouria et la partie méridionale de l'ancien pachalik d'Akhal- Tzikhé, ou la Géorgie turque, celle-ci avait la prépon- dérance, et c'est le hazard des circonstances qui a valu à l’Académie l'excursion dans le Gouria, ainsi que le beau Compte-Rendu dont je dois m'oceuper. Le voyageur, M. Bakradzé, qui avait de bonnes re- lations dans le pays, préféra commencer par le Gou- ria, car il prévoyait, non sans raison, de nombreuses - difficultés pour l'exécution de l'autre partie de son itinéraire. Quant à l'Adchara, avoisinant au SE. le Gouria, c'est un tout petit canton, situé sur le cours de la rivière dite Did- Adcharis- Tsqal, «rivière du Grand- Adchara,» affluent droit du Dchorokh. Quoiqu'il n'ait pas d'histoire proprement dite, il est nommé chez Constantin Porphyrogénéte, parmi les dépen- dances du Clardjeth et du Tao, où se trouvait au X°. S. la principale résidence des Bagratides ibériens, d'Adra- nutzium, ou Artanoudj. Je sais que ce pays a été visité, pour autre chose que l’archöologie, lors du traité d'Andrinople, par notre savant correspondant o 267 Bulletin de l'Académie Impériale 268 M. Khanykof, qui n'en avait pas gardé, à ce qu'il semble, un trop bon souvenir. Mais en 1874 une commission russe, sous la con- duite d'un officier géorgien trés capable, y a exécuté une reconnaissance, qui, je crois, laisse peu à désirer au point de vue pratique, et qui fort heureusement s'est prolongée jusque dans le Chawcheth et le Clar- - djeth, qui a méme été poussée jusqu'à l'entrée du La- zistan proprement dit. M. Bakradzé exprime l'opi- nion, que je crois juste, que le Lazistan appartient à la nationalité géorgienne; M. Rosen l'a prouvé de facto, ` par le moyen de la linguistique. Le chef de l'expé- — dition de 1874 n'a point laissé de côté, autant qu'il lui a été possible, la partie archéologique; il a méme dessiné de bons croquis de plusieurs antiques églises, dignes par leur belle architecture de figurer avec hon- neur au compte des princes Bagratides. Son récit, fort détaillé et intéressant, figurera, malheureusement ano- nyme, dans le t. IX des Mémoires de la Section cau- casienne de la société Géographique. ?) Si l'on joint à ces deux excursions celles, exécutées avec autant de bonheur que d'audace, par une per- | sonne alliée de prés à l'Académie, le naturaliste M. ` Radde, aux sources du Kour et du in de la Tzkhé- nis-Tsqal et de l'Engour, en 1864, 1865 (t. VII et I " x mr, D VIII des mémes Mémoires), l'on aura la somme des travaux, certes non méprisables, entrepris par des sa- vants d'un mérite incontesté, pour l'étude approfondie des antiquités historiques du Transcaucase occidental. Ces notions préliminaires étant données, je vais maintenant Kou compte à la classe du aval de M. Bakradz Le uot Rendu, passablement volumineux, de l'excursion, dans le Coura se compose de cinq parties, dont la 1° et la 2° sont consacrées à l'exploration du district de Tehourouk-Sou, faisant partie autrefois du Gouria, ainsi que de Add: partie de l'antique Samtzkhé, apanage des premiers Bagratides, quand la ville de Tiflis, centre de la Géorgie, était encore occupée par les Béni-Djafar. Ces deux districts, pauvres en antiquités géorgiennes et habités par des tribus 2) Le directeur de l’excursion et l'auteur de l'article: «Trois mois de voyage dans la Géorgie turque,» dont nous parlons ici, se- rait le colonel Kazbek; M. D. Tehoubinof en a rendu compte, sous ce nom, avec les éloges qu'il mérite, dans une séance de la section ethnographique de la Société de géographie russe, le mercredi 25 février de cette année; CIB. Bhxom. 26 févr. peu avancées en civilisation, ou retombées dans un état voisin de la pure nature, n'ont fourni au voyageur curieux qu'un petit nombre de pages, plus intéres- santes au point de vue de l'état social et des relations avec leur entourage, comme aussi des produits du sol, qu'au point de vue des monuments antiques. Voici le sommaire du contenu des deux sections. 1) «Départ de Tiflis, le 12 aoüt 1873, par le che- min de fer de Poti-Tiflis; Kouthais, trouvaille archéo- logique; Esma l'Adcharienne; route du Gouria; Ozour- geth, Tchourouk-Sou, renseignements sur Tchourouk- Sou et Batoum; description; Hassan- Agha Mourad- Oghli, Laze; monuments anciens aux environs de Ba- toum, église de Saméba; Lazes, deux documents turk et géorgien.» 2) «Coup - d'œil sur Batoum et sur l'Adchara, le: fleuve Dehorokh; grande route conduisant, à travers la vallée du Dehorokh, à Arthwin; notices sur lhis- toire et sur la manière de vivre des populations du Dehorokh; mon voyage se poursuit, en remontant la riviére d'Adchara; nature du pays, esquisse des vil- lages de Sagoreth, Kéda, Choua-Khew, Doudalo et de la vie des Adchariens; anciens ponts; Skhaltha, et son antique église; Khoula; Hassan-Beg et Ahmed- Agha; famille des Khimchia - Chwili d'Adchara; coup-d’eil général sur la topographie et l'histoire du pays; ap- pendice, document turk.» Les passages les plus intéréssants de ces deux cha- pitres sont, à mon sens, premierement le texte géor- gien d'une description détaillée des territoires du Samtz- khé dépendant du catholicos de Karthli; à Pénumé- | ration des familles princiéres reconnaissant la supré- . H e E FREE à EE matie du catholicos, est jointe celle des évêchés et ` monastères, dont plusieurs aujourd'hui anéantis, et de leurs possessions ou dépendances territoriales: ce ` qui fournit au voyageur, outre la critique des divers manuscrits tombés entre ses mains, l’occasion d’une fine analyse des chartes et documents officiels dont il a lu avec intelligence les extraits dans l'Histoire de, Géorgie. Par-là il reconstitue les apanages de familles dont plusieurs sont éteintes, et tire un excellent parti | des indications contenues dans la partie Paléographie de la Chronique géorgienne. Ici encore, à propos du langage usité dans le Gou- ria, le voyageur cite en originaux et transcrit en bon géorgien deux documents écrits, l'un par une femme, = deux églises. des Sciences de Saint- Pétersbourg. 270 lautre par un homme, qui, au premier abord res- semblent plus à d'informes grafiti, à des excentricités puériles de patois et d'orthographe, qu'à quelque chose de géorgien. A la longue seulement on finit. par y re- connaitre l’œuvre de grossiers paysans. L'autenthicité linguistique de ces gribouillages est confirmée soit, par comparaison avec la Grammaire laze de M. Rosen, soit par le texte d'un article inséré dans le journal eeds «le temps,» 11 février 1876, correspondance d'un habitant de Kobouleth. Ici, outre une certaine proportion de mots turks, l'altération des radicaux et celle des formes grammaticales forment un langage à part, analogue sinon aux variations du grec moderne, comparé à l'ancien, du moins à celles du dialecte pe- tit-russien par rapport au russe du nord. C'est à ce propos que M. Bakradzé a jugé bon, non sans de justes motifs, de rédiger un petit vocabulaire comparatif, de 328 mots géorgiens du Karthli et du Cakheth, de l'Inéreth, du Gouria, de Kobouleth et de l’ Adchara, avec la traduction en russe: vocabulaire qui prouve que lors méme que le mot usité dans les trois derniers pays conserve sa physionomie purement géorgienne au fond, la forme en est plus ou moins altérée. Par exemple le mot gourien dogegs «tante,» est bien géorgien, mais rudement abrégé de badok $e» «l'épouse de l'oncle;» ailleurs des mots turks ou autres ont remplacé le radical géorgien dans l'usage habituel: dans le cas dont il s'agit, le gourien dit encor 945sgo5; l'homme du Kobouleth et d'Adchara dit en outre zez, deux formes dont la premiere est d'origine pour moi in- connue; l'autre semble provenir du sémitique Ær Ss, pere, dos oncle = dods, comme qui dirait «la femme parente du pere.» 3) «Départ de Khoula, pour Tchouana; Zémo-Khino et son église; passage dans le Gouria, à travers la chaine de Tehokhat; coup-d'ceil général sur le Gouria; recherches archéologiques à Kakhout, Tsmanieth, Atchi et Likhaour; monastère de Chémokmed et ses Celle du Sauveur et celle de la Trans- figuration, de Zarzma, examen de leurs riches monu- ments archéologiques; Appendice..» Je dois me contenter de signaler ici 66 ES d'inégale grandeur etimportance, mais contenant toutes quelque fait, nom ou date, qui ne sont point sans va- leur. Elles ont été recueillies, tant à Chémokmed, la principale église de l'antique Gouria, qu'à Likhaour et dans les églises des environs. Le fait le plus inté- ressant à mentionner, c'est la réunion à l'église du Sauveur, de celle émigrée de Zarzma, avec son image, au temps de Wakhtang-Gouriel (1583 — 1587). La maniere dont je m'exprime à ce sujet est conforme à lexpression géorgienne, qui, en parlant des images saintes, les traite comme des personnes, que «l'on fait prisonnieres,» à qui «l'on donne asyle,» que «l'on ra- mène» dans ses foyers. La Chronique géorgienne em- - ploie fréquemment ces tournures au sujet de l'image vénérée de N.-D. d'Atsqour et d'autres, dont les par- ties belligérantes se disputaient la possession. Bien qu'une note ajoutée au texte du document d'émigration de celle de Zarzma, sous le Gouriel Wakhtang, place le fait en l'année pascale 260 —1572, il doit y avoir ici, vu les dates d'avénement et de mort dudit Gou- riel, une inexactitude, que je signalerai au voyageur. L'acte dont nous parlons a encore une autre importance. La Chronique du Gouria, par Wakhoucht, nomme Wakhtang simplement «parent {e%o,» des Gouriels, tandis qu'il est démontré par les actes qu'il était fils de Giorgi II et frére de Mamia II. A propos de l'église collatérale, de Zarzma et de son image, qu'il me soit permis de joindre ici quelques apercus et réflexions de circonstance. Les plus belles inscriptions géorgiennes que j'ai recueillies dans mon voyage, sont certainement: celle de Soouk-Sou, men- tionnant avec les détails les plus exacts la comete de l'an 1066, contemporaine de la conquête de l'Angleterre. par les Normands; celle d'Oubé, année pascale 361,535 intercalaire de l'Hégyre— 1140 — 1141; enfin celle de Zarzma, oú est mentionnée l'expédition des Géor- giens contre Bardas-Phocas (en 976), qui leur procura un riche butin, ayant servi à la fondation de la Laure ibérienne du mont Athos. En traitant de l'église de Zarzma, dans le Gouria, M. Bakradzé saisit l'occasion de citer les inscriptions que j'ai copiées sur les lieux et d'y faire d'importantes corrections, dans la lecture des noms propres de deux personnages: l'un qu'il nomme avec plus d'exactitude que moi «le seigneur ` Parsman Ud RPbE PURPLE Khourtzidzé, au lieu du barbare Pansaphia? Khartzadzé?)» Il rectifie égale- ment de visu, une autre inscription du méme lieu, qui m’avait échappé, mais dont le Musée asiatique possede 3) Voyage archéol. 2° Rapp. p. 133, 135. i : Bulletin de l'Académie Impériale 272 - une copie, communiquée par M® Pexarque Evgéni, et dont le vrai nom est «L'abbé Gabriel Khourtzidzé. » Rien ne se perd en fait de détails scientifiques re- cueillis avec soin. A la fin de la Chron. géorgiemne, publiée par la Soc. Asiatique de Paris, en 1830, j'ai ajouté, sous le titre de Paléographie, la traduction du texte autographié, aussi bien que j'ai pu le faire alors, des notes manuscrites (npumiexm) d'un vieux Synaxaire fruste, de la Grande Bibliotheque de Paris, notes qui font foi que ce M” a appartenu au monastère de Thi- sel- mob go — sous le vocable de la Mère de Dieu. Ces notes renferment des agapes, fondées en faveur de plus de 150 personnages ou familles, Botzo, Diasamidzé et autres, dans des localités dépendant dudit monas- tère. M. Bakradzé, dont la mémoire est tenace et l’es- prit curieux, en lisant ces notes, y a reconnu sur-le- champ la topographie et des habitants du Samtzkhé. Il a questionné et bientôt appris que le monastère d’où provient ledit Synaxaire, que je croyais être Trouso, dans lOsseth, est situé à quelques verstes à l'E. d'Atsqour; les anciennes cartes russes le nommaient Tecexr, c'est la belle carte de 5 verstes au pouce an- glais qui le nomme exactement Tucexr. Il est ‚bl quelle quantité de renseignements de détails le voya- -geur a tirés des notes du Synaxaire dont il s'agit, et Dieu sait avec quel art il les met en œuvre, par la ‘comparaison avec les lieux et les personnages, souvent inconnus, mentionnés sur les images du Gouria! Les inscriptions lapidaires de la Géorgie sont géné- ralement incisées ou taillées en profondeur, je n'en ai trouvé en relief, qu'à Ourbnis, à Zakhor et dans une localité du Somkheth. Les caractéres, composés de . lignes droites, se prétent parfaitement à une grande régularité de lignes, et sont d'autant plus beaux qu'ils sont plus anciens, comme cela se remarque, si je ne me trompe, dans les inscriptions romaines en lettres onciales et dans les plus anciens monuments koufiques; bien que remplies d'abréviations, elles se lisent assez bien, parce que ces abréviations sont connues et ré- gulières. Toutefois certaines inscriptions, comme celles de la porte de la citadelle d’Atsgour — en lettres ci- viles ou vulgaires— de l'église de Djroudch, en lettres ecclésiastiques, sont de véritables griffonnages, qui offrent à la lecture les plus grandes difficultés; il en est de méme de celle de Nigoith, copiée par M. Ba- kradzé, oü, avec la plus grande peine, le voyageur et moi nous avons pu lire assez de mots pour nous con- vaincre qu'il s'agit de la fondation d'une agape. Le fait me rappelle une inscription que l'éminent anti- quaire feu le général Bartholomée a copiée sur une église à Orbeth, l’ancien Samchwildé. Un inconnu, qui s'est évertué à la déchiffrer et à la transcrire sur la pierre méme, en lettres vulgaires, en a perdu la patience et termine son travail par une exclamation bien accentuée: 996 vs(5s6o gert, no6epm!» Quant aux inscriptions tracées sur les images, les plus modernes sont généralement en lettres vulgaires; les plus belles de cette catégorie se lisent dans les églises de la Mingrélie. Pour les anciennes, elles sont ` en lettres ecclésiastiques, fort belles sur les images du Samtzkhé -Saathabago et de la Mingrélie. Celles du Gouria sont aussi en lettres ecclésiastiques, avec abré- viations souvent insolites et trés propres à rendre im- possible le déchiffrement sûr des noms propres d'hommes et de lieux; et surtout avec des ligatures où l'œil a bien de la peine à saisir la suite voulue des lettres. M. Bakradzé a fait à cet égard de véritables tours de force pour arriver à la divination des mots et du sens des phrases, et je dois lui rendre justice, il y a presque toujours réussi. Je citerai entre autres une magnifique inscription copiée sur une image de l'église de Djou- math, «qu'il ne croit pas que personne ait lue avani lui.» Je termine ce qui concerne cette partie de son Compte-Rendu, en mentionnant son énumération des richesses archéologiques de Chémokmed, divisées en quatre sections: objets propres à cette église, objets de Zarzma, puis des dépendances du Samtzkhé, enfin ceux de diverses contrées qui ont trouvé un refuge dans le Gouria, grâce à la prospérité dont jouissait le pays. Enfin le voyageur a encore examiné ici un livre de Mémentos provenant du Souaneth, et un Goulani ou E recueil d'hymnes liturgiques, suivi d'un cycle pascal complet, avec des notices historiques, dont j'ai eu moi-méme l'occasion de faire usage, gráce à une copie communiquée par M. Trjaskofski, que celle de notre voyageur servira à contróler. Le dernier morceau de cette 3* partie du Compte- Rendu est un acte ayant servi à une ordalie ou épreuve judiciaire par le fer rouge. Le papier de cet acte porte l'empreinte du fer, qui y a causé une forte lacune, des Sciences de Saint- Pétersbourg. 274 fatale probablement au malheureux qui devait se jus- tifier d'avoir causé la perte d'une famille chrétienne vendue aux Turks, et cela en l'année 1811! 4) « Continuation d'excursions et recherches à Gou- nébis- Car, Gomi, Bakhwi, Wanis-Ked, Baileth, Khidis- Thaw, Erketh, Khew, Wan, Soureb, Nonéi-Chwili, Kwémo-Kheth, Gamosatchinéboul, Oudabno, Matz- khowar, Atzana, Nigoith, Boghleb, Djoumath, Basi- leth, Tzikhé, Wachnar, Naomar, Bircnal; Appendice.» Afin d'éviter les répétitions, je dirai seulement ici que ce chapitre renferme 113 inscriptions, recueillies surtout à Erketh, à Khew et au couvent considérable de Djoumath ; une, singulière inscription chronologique, à Ascana, ne sera pas facilement expliquée dans tous ses détails. Le voyageur a examiné avec soin plusieurs Gou- lani ou recueils d'hymnes; il a trouvé à Kwémo-Kheth une Histoire de Géorgie inédite, copié en divers lieux des documents nouveaux. Il donne de curieuses notices sur les jeux qui accompagnent les fétes d'église; mentionne, ce qui est une grande rareté, un M" géor- gien en lettres capitales, à Oudabno; énumére, à No- néis- Chwili jusqu'à 14 espéces de raisins, produisant autant de sortes de vins, recherchés dans le pays pour leurs diverses qualités; il fournit l'histoire, la généa- logie et les apanages des éristhaws du Gouria, qui sont des Charwachidzé émigrés d'Aphkhazie; s'étend éga- lement sur les familles aristocratiques des Nacachidzé, des Motsqobili-Chwili, des Gochadzé; sur les origines, des Djaqel, ancétres des atabeks du Samtzkhé, et, par les détails précis contenus dans des documents authentiques, essaie de démontrer soit la descendance des Gouriels, d'une famille Wardanidzé, venue du Souaneth, opinion déjà émise par Wakhoucht, soit l'i- . dentité, moins susceptible de démonstration, de l'ori- gine des dadians de la premiere dynastie, et des Gou- riels: il y a pourtant là quelque chose de trés spécieux, quoique les belles et antiques images du couvent de . Khophi se taisent à ce sujet. Aprés avoir examiné ce qui a été écrit par M. Du- bois de Montpéreux sur le prétendu Oudjenar, lis. Wachnar — en géorgien gsdbs60, «pommeraie,» loca- lité dont il a lui-méme levé un nouveau Plan et ex- ploré la ruine dans les plus grands détails, notre voyageur se déclare pour l'opinion que ce ne peut étre l’antique Pétra, la forteresse qui a joué un si grand róle dans l'histoife des guerres de la Lazique. Le Ns Tome XXII. d'étude. que j'ai fait de cette question de géographie ancienne ne me permet pas d'avoir une opinion rai- sonnée à ce sujet; mais en me guidant sur les indi- cations byzantines, réunies dans les Memoriae popu- lorum de Stritter, je m'en tiens à ce que j'ai dit dans une Addition à l'Histoire de Géorgie, celle sur la La- zique; or Pétra était sur le bord de la mer; ce qui veut dire sans doute à une petite distance, dans une vallée resserrée entre deux rochers, sur la gauche du Phase. Ce dernier trait exclut le Dchorokh, sur la gauche duquel on ne connait aucune forteresse ni ruine de forteresse un peu importante, à qui il puisse convenir. Procope a done voulu dire probablement «dans le pays à gauche du vrai Phase ou Rion,» et quant à une place réunissant une partie du moins des autres conditions, la carte et le texte de Wakhoucht nous in- diquent Kadjéthis-Tzikhé «la forteresse de Kadjeth,» peut-étre «des braves,» en admettant l'étymologie ar- ménienne pwp kadch, et les. cartes modernes portent en effet, non loin du rivage, à mi-chemin entre Batoum et Kobouleth, le fort de Tzikhé- ou Tzikhis-Dzir, qui répond à l'emplacement de Kadjéthis-Tzikhé, peut-étre la fameuse Kadchtha-Tzikhé, célébre dans le roman - de l'Homme à la peau de panthére. Quant à l'Oudje- nar de M. Dubois, n'en déplaise à ce respectable voyageur, c'est une simple altération du Wachnar, dont M. Bakradzé nous trace le Plan, et qui est la ré- sidence actuelle d'un prince Dimitri Weeer ie l'histoire ancienne n'est pas connue. 5) «Analyse des actes du Gouria; Appendices: fic: simile des sceaux et signatures des Gouriels, et de personnages tant ecclésiastiques que séculiers du pays, - au nombre de 56; instruction donnée en 1777, par le catholicos Maksimé Madchoutadzé, aux abbés d'Ou- dabno et d'Erketh; arréts prononcés de 1818 à 1822 par les mdiwan-begs— sortes de chief-justice du Gou- | ria, en diverses circonstances.» Au moyen des actes en question, travaillés à nou- veau — car précédement le voyageur avait déjà traité le méme sujet — M. Bakradzé essaie de fixer d'une ` manière certaine la succession des Gouriels régnants, . leurs rapports de parenté, leur descendance, les noms de leurs épouses et les dates de leur avénement et de leur mort: le tout est suivi d'uh Tableau généalogique, qui devra avoir plus d'authenticité que ceux dressés jusqu'à cette époque. Quant aux arréts des mdiwan- 18 Li 275 5 Bulletin de l'Académie Impériale 276 - begs, comme ils sont tirés de papiers officiels, ils pré- sentent un état intéressant de la moralité du peuple et de la justice publique durant les cinq années in- diquées. Tel est l'ensemble de la monographie archéologique du Gouria, fruit de l'excursion de M. Bakradzé. Quant à sa nouvelle tournée, il serait peu conve- nable de fatiguer l'attention de l'Académie par une analyse trop détaillée, par des discussions d'un carac- tere trop spécial; car c'est pour ainsi dire à la loupe qu'il a disséqué la contrée, objet de ses recherches. Je me contenterai done d'un apergu rapide, insistant seulement sur les détails qui me paraitront avoir plus d'importance. | Je dirai d'abord ce que c'est que le Gouria, puis jexposerai la série des sujets traités dans le Compte- Rendu soumis à la classe. Le Gouria, la moins considérable des principautés indépendantes, de race et de langue géorgienne, est situé entre la mer Noire à l’O.; la ligne de faite d’où = découlent les affluents gauches du Rion, au N.; le Saathabago ou Akhal-Tzikhé, à l'E.; au S., l'Adchara et le fleuve Dchorokh, limite du Lazistan: environ un ~ degré de latitude, entre les 41° et 42° parallèles, et presque le double en longitude, avant le traité d'An- drinople, qui a laissé à la Turquie la partie comprise entre le Tchourouk-Sou et le Dchorokh, Tel qu'il est aujourd'hui, au pouvoir de la Russie, le Gouria, ad- ministrativement district d'Ozourgeth, renferme envi- ron 60000 habitants. Richement arrosé par de nom- breux fleuves et riviéres ou ruissaux, entrecoupé de plaines prodigieusement fertiles, de foréts et de mon- tagnes, il nourrit un peuple brave et gai, soumis à ses maitres féodaux, et constitué vers la seconde moitié du XV* s. en principauté occupant le 4° rang pour la durée des régnes — 15 ans et 6 mois— dans la série des états géorgiens, formés alors du demgmbrement de la monarchie Bagratide. Situé sur la mer Noire, á l’angle méme oü le ri- vage de cette mer commence à se porter droit au N., le Gouria, si l'on en croit l'historien Abydéne, cité par Moïse de Khoren, aurait reçu, au VII’ s. avant J.-C., une partie des captifs hébreux enlevés par Na- buchodonosor; ce qui n'a rien d'improbable, quand on voit la nombreuse population juive de la Géorgie oc- cidentale, et comme les Juifs sont nommés en armé- nien Hrhéai, en géorgien Houria, il est assez attrayant de chercher dans ce mot l'origine du nom qui nous occupe. En tout cas cette étymologie est plus raison- nable que celle alléguée par Wakhoucht, «Gouria, de Gouriaoba ¿yéose-ds, tumulte, sédition,» car les Gou- riens, tout vifs qu'ils sont, ne se distinguent pas par une humeur querelleuse. Le principal cours d'eau du Gouria, le Dchorokh, est connu des anciens sous le nom grec d'Akampsis «l'inflexible,» sans doute à cause de la rapidité de son cours, sous celui de Boas ou Téléboas «le retentis- sant,» chez les Byzantins, qui le font mal à-propos descendre du N., bien qu'en réalité il tire sa source des monts Pharangiens, au N. de l'Araxe. Il est re- marquable que le nom de Dchorokh, insignifiant par lui-méme, qui parait étre une simple onomatopée, se retrouve presque lettre pour lettre dans celui du Tchourouk-Sou, riviére qui arrose le petit district de ce nom, et dans le Tcholok, l'un des petits affluents droits du Natanéb, un peu au N. du précédent; or Tcholok est la transcription littérale de l'arménien zngsktuk Tchoghokhéli, signifiant «inflexible,» et pa- rait être originaire ou dérivé de celui de l'Akampsis. grec, dont le nom a pour ainsi dire une triple appli- cation. Quoi qu'il en soit, depuis l'an 1463 le Gouria, sous 22 princes Wardanidzé, d'origine souane et titrés Gouriels, a fourni 341 ans d'existence, souvent glo- rieuse, s'est allié aux dadians, aux rois d'Iméreth, aux maitres d'Akhal-Tzikhé, aux rois de Karthli et de Cakheth, a donné plusieurs catholicos à l'Aphkazie, quelques rois à l'Iméreth, sans avoir fait, il est vrai, de grands pas dans la civilisation, au sens moderne du mot, mais aussi sans rester indifférent aux progrès de l'intelligence. Le moment le plus glorieux de son his- ` toire est le VI”. s., quand Khosro- Anouchirwan et Justinien se disputérent, durant dix ans de guerre, la possession de la Lazique, dans laquelle le Gouria était alors compris. L'importance des nations dans l'histoire de l'huma- nité ne se mesure point à l'étendue du territoire et au nombre de la population, mais à la bonne organisation ` ` sociale, à la culture intellectuelle, au goût du bon et du beau, à la valeur des caractéres. Le Gouria, gráce à son féodalisme presque paternel, a su maintenir son repos et son indépendance durant plus de trois siècles 277 des Sciences de Saint - Pétersbourg. _ et immortaliser le souvenir de ses aieux par des mo- numents et surtout par des séries d'images religieuses, de style byzantin, qui sont, avec ses nombreuses for- teresses, les seuls reliques de son passé. Si, comme j'en ai la confiance, l'Académie est satis- faite du zèle et de l’habileté de son voyageur, elle voudra bien, ainsi que je le propose, autoriser son secrétaire perpétuel à témoigner sa haute approbation et ses remerciements à M. Bakradzé et le recomman- der à la bienveillance particulière de ses supérieurs immédiats. Le Rapporteur lui-méme, aprés le plaisir qu'il a éprouvé à lire ce beau travail, aura celui de voir ses efforts couronnés de succés, et la littérature géorgienne enrichie d'un savant interpréte et d'un bon livre de plus. Die Pflanzenreste aus der Ursa-Stufe im Flussge- schiebe des Ogur in Ost-Sibirien. Von J. Schmal- hausen. (Lu le 9 mars 1876.) (Avec 4 planches.) An die Kaiserl. Akademie der Wissenschaften wurde Wine Hon Eeer Lopatin eine Sammlung bdrücken zugeschickt, welche im Jahre 1873 aus dem Flussgeschiebe des Ogur, eines Nebenflusses des Jenisei zur Linken, beim Dorfe Ogur und theilweise im Dorfe selbst, im Kreise - Atschinsk des Jeniseischen Gouvernements, 18 Werst ` vom Flusse Jenisei entfernt, aufgesammelt waren. Dank der Freundlichkeit des Herrn Akademikers Mag. F. Schmidt war mir die Bearbeitung des interes- santen Materials überlassen worden. Das Gestein ist ein grober Sandstein, der schon an sich der Erhaltung von Pflanzenresten nicht günstig zu sein scheint; ausserdem müssen die Stücke schon . lange Zeit hindurch den Atmosphaerilien ausgesetzt gewesen sein. Die Oberflüchen sind abgewaschen; die auf denselben vorbandenen Pflanzenabdrücke gróssten- theils undeutlich; alle Spuren organischer Substanz Sind verschwunden. Nur ein Stück hatte noch eine Kohlenschicht auf den Farnblattstielen. Sonst waren . die Abdrücke durch keine besondere Fárbung von dem Gestein unterschieden, mit Ausnahme des dichotomisch verzweigten Cyelostigma-Stückes, welches sich durch eine bláuliche Fárbung vom gelben Sandstein gut ab- hebt. Dessenungeachtet war es doch móglich, eine Anzahl von Überresten nüher zu bestimmen. Der grósste Theil des Materials besteht aus Steinker- nen von Knorrien-Stämmen, einigen grösseren Stamm- ` stücken und zahlreichen kleineren Bruchstücken. Das Übrige sind Abdrücke, und zwar: Von Calamiten sind nur einige Spuren vorhanden, welche vielleicht auf Bornia radiata hinweisen. Farne sind inzw ei unbestimmbaren Stammstücken und zahlreichen Wedelstielen, welche wahrscheinlich. zum selben Farn gehören, vorhanden. An Lepidodendren i find: sich: der Erhaltungszustand Bergeria in zwei von mir neu benannten Formen, Le- pidodendron Veltheimianum nur als innere Rinde, also zweifelhaft, L. Wiikianum Hr. in einem Aststück und endlich ein Fruchtzapfen, den ich neu benennen musste. Wurzelfasern von Stigmaria fanden sich nur in ei- nem Stück vor. Cyclostigma Kiltorkense, von allen übrigen 'Pflan- zenresten am charakteristischsten, und auch am schón- sten erhalten, ist in zahlreichen Stücken vorhanden. Die Anzahl der Pflanzen, die sich haben genauer bestimmen lassen, ist also sehr gering. Nur Knorria, Stigmaria, Lepidodendron Veltheimianum, L. Wiikia- num und Cyclostigma Kiltorkense konnen zum Ver- gleich mit den charakteristischen Pflanzen der For- mationen in Betracht genommen werden. Die Knorrien-Formen kónnen aber auch zu keinem sicheren Urtheil, führen. In Westeuropa werden sie freilich als für das Unter-Carbon charakteristisch an- gesehen; bei uns geht Knorria aber unzweifelhaft wei- ter hinauf und ist nicht selten im Kupfersandstein der Permischen Formation. Stigmaria ficoides geht auch | durch die ganze Kohlenformation und bis in die Per- mische hinein. Lepidodendron Veltheimianum ist cha- rakteristisch für das Unter-Carbon, geht aber auch ` höher in die productiven Schichten hinauf. L. Wii- kianum ist eine Form, welche unlängst von O. Heer beschrieben ist und bis jetzt nur auf der Büren-Insel in der Ursa-Stufe gefunden. Cyclostigma Kiltorkense ist charakteristisch für die Ursa-Stufe und bisher nur in diesen Schichten in Irland und auf der Büren-Insel gefunden. Das Material scheint wol nicht E E zu sein, um mit voller Sicherheit über die Formation, aus der A .. breitet sind, ; dius ` 4 d & "na d Rulletin de l’Académie AGIS PRA 3290 — die Geschiebe stammen, urtheilen zu kónnen. Das Ge- sammte der vorliandenen Pflanzenüberreste weist auf ` Unter-Carbon. Cyclostigma ist aber ein Genus, das die gewichtigsten Anhaltspunkte bietet; es ist bis jetzt nur in den Schichten unter dem Bergkalk gefunden, "welche von einigen Autoren zum Devon, von anderen zum Unter-Carbon gerechnet werden und von Oswald Heer mit dem Namen der Ursa-Stufe bezeichnet sind. - Da die übrigen Pflanzenreste hiermit gut übereinstim- men und auch in den Schichten der Ursa-Stufe ver- so scheint mir die Annahme gesichert, dass die in Rede stehenden Sandsteingeschiebe des Flüsschens Ogur aus Schichten der Ursa-Stufe stam- men. : : Beschreibung der Formen. Calamiteae. Es sind nur einige Stücke vorhanden, an denen eine calamitenartige Streifung der Oberfläche des Ab- druckes zu bemerken ist. Sie sind durch parallele, - aber unterbrochene, Längsrippen (Furchen entspre- ` chend) und durch eine feine Längsstreifung der Zwi- - schenrüume ausgezeichnet. Es könnten diese Abdrücke . auch von Knorrienrinde stammen, doch ist hier die . feine Streifung regelmüssiger. Nach diesen undeutli- . chen und zweifelhaften Spuren kann man wol das Vorhandensein etwa von Bornia radiata im Materiale micht verbürgen. Filices. Filieites Ogurensis Schmlh. T. I. Fig. 1 — 4. Fix ~ eaudice tereti, extra petiolorum basibus remotis, secun- ` dum Ela spiraliter dispositis, rugosis striatis, praedito. . Das schönste Stück, 7 cm. lang und 4 cm. breit, ist in Fig. 1 abgebildet. Auf der Aussenfläche des Stückes sind die am Stamm herablaufenden Grund- theile der Wedelstiele, in 13 Reihen geordnet, zu er- kennen. Ihre Aussenfläche ist rauh von feineren Längs- streifen und gróberen quer verlaufenden Strichen und Gruben. Auf dem Querschliff Fig. 2 erkennt man ziemlich deutliche klammerfürmige Spuren der. unter- brochenen Sclerenchymscheide; vom Verhalten der Gefüssbündel selbst ist leider nichts zu erkennen. Die Wedelstiele sind schief abgebrochen und lassen keine Regelmässigkeiten der Bruchstellen bemerken. Würde das Stück regelmássige Narben der Basen der Wedelstiele erkennen lassen, so hätte ich es zu Cyatheopteris Schmp. gebracht. Jetzt lasse ich es unter dem provisorischen Namen Fülicites, da es nicht un- móglich ist, dass in der Zukunft auch die zugehórigen Blattfláchen gefunden werden. Ein Gesteinstück erwies sich beim Zerspalten von 8—12 mm. breiten Farnwedelstielen durchsetzt. Fig. 3 und 4 sind Abbildungen derselben. Sie sind etwas geschlüngelt, mit erhabenem rippenartigem Mittelstrei- fen und zeigen eine Längsstreifung und feine quere Runzelung, zuweilen aber auch, wie bei dem Fig.3ab- — gebildeten Stück, eine deutliche quere Streifung. Der ` Abdruck dieser Wedelstiele ist meist mit einer dicken Kohlenschicht bedeckt. Die Stárke derselben ent- spricht der Breite der Wedelstiel-Basen am Stamm- : stück Fig. 1, so dass wol die vorhandenen Farnstámme und Wedelstiele zur selben Form gehóren mógen. Selagines. Lepidodendron. T. II Fig. 1, 2, 3. T. III Fig. 1 b. . 1. Innere Rinde. Mehrere Rindenstücke sind vorhan- den, welche sehr denen von Lepidodendron Veltheimi- anum, wie sie von Goeppert (Uebergangsgebirge 1860 T. XXXXII Fig. 1 a und 1852 T. XXI Fig. 1) und O. Heer (Pl. arctica, Báren-Insel T. VIII Fig. SE: abgebildet worden, ähnlich sind. Auf einer etwas längs- streifigen Oberfläche sieht man in regelmässigen Para- stichen geordnete längliche Narben (Fig. 1, 2). | Das Fig. 3 abgebildete Stück mag wol auch hier- her gehören; die Narben sind breiter, fast oval und mit einer unregelmässig begrenzten Grube versehen. Diese Narben erinnern, an Sagenaria Bischofü Goepp. (Römer, Beiträge ete. Palaeontographica III T. XIV Fig. 7). y II. Bergeria Presl. Hierher gehórende Formen sind: | B. angulata, rhombica et quadrata Presl. in Stern- ` berg, Vers. II 1838 p. 184 T. LXVIII Fig. 17, 18, i9. : B. rhombica Peisbmantol, Versteinerungen der Bóhmischen Kohlengebirgsablagerungen 1874 p. 26. Lepidodendron rhombicum et quadratum Schmp. Traité de Palaeontologie végétale II p. 37. Die Gattung Bergeria wird als provisorische ange- - sehen und gehórt zu den Erhaltungszustünden der Lepi- dodendren. Ich führe die 2 Formen als neue Arten auf, weil ich sie unter den bekannten Bergeria- und Lepi- Bullet d.TAcad Imp. d.sc T. XXL. | Schmalhausen: Ursa-Stufe Ost-SihiriensTaf. I Schrisihausen del. Lith.uIvanson St.Petersburg. Fig.d-4 Filicites Fig. 5. Lepidodendron, Rie. E. Lepidostrobus, Fig. 7-12. Cyclostigma. EN Bullet d l'Acad. Imp. dsc. XXI. Schmaihausen del. Aal epidodendron, Dn A P Bergeria Fig, 1,8 Knorria. Fig. 9 Stigm aria. Lith.v. lvanson,St Petersburg. bibiriens. ^ USt- UDL cr rsd tute GH U Lith.v. Ivanson, St. Petersburg. Schmalhausen del: Knorria. Tat IV. IDITIENS RB (Is-S 1 .UDL D T! ul u hausen: Ursa-Stuie Schma Acad Imp. dar TAI l i Bullet. E vanson Lith.v. | Schmalhausen del. retersouré. Knorria. — 281 des Sciences de Saint- Pétersbourg. VP De Mi. 282 — dodendron-Formen nicht unterbringen konnte. Da beide Formen Rindenabdrücke von ausgewachsenen Stämmen darzustellen scheinen, so halte ich es, der so verschiedenartigen Anordnung der Blattpolster wegen, am passendsten, sie getrennt aufzuführen. "Vielleicht werden sie sich aber auch, wenn reichlicheres Material vorliegen wird, als zu einer Art gehórig herausstellen. Bergeria regularis, Schml. T. II Fig. 4, 5. B. cicatri- cibus illis B. rhombicae simillimis, sed minoribus in parastichas regulares dispositis , subquadrato-rhombeis, angulis lateralibus obtusioribus, cicatricula infra apicem ovali. Es sind mehrere Stücke mit dem Abdruck der Rinde vorhanden ; nur an einem (Fig. 5) ist auch der Umriss der Blattpolster selbst mit den Narben erhal- ten; an den übrigen sind nur die in regelmässigen Bebes stehenden ovalen Narben vorhanden. Der Um- riss der Blattpolster ist rl'ombisch mit abgerundeten Seitenecken und spitzlicher vorderer und hinterer Ecke. Die zwei am stürksten hervortretenden Parastichen sind geradlinig begrenzt. Ihre Narben stehen in allen Stücken in fast gleicher Entfernung von einander; in den einen Parastichen auf 5, in den anderen auf 6 mm. Das eine Rindenstück ist stark rauh und muss von ei- . mer längsrissigen Rindenoberfläche stammen, sein obe- res Ende ist stark verdrückt und wol deshalb ‚sind die Narben hier weiter von einander abstehend. Bergeria alternans. Schmlh. Taf. II Fig. 6. B. ci- catricibus majoribus subquadrato-rotundis in parasti- chas has regulares, illas irregulares, dispositis, cicatri- cula infra apicem oblonga. Das vorhandene Stück (Fig. 6) hat deutlich um- schriebene Blattpolster. Diese sind bedeutend grósser als hei der vorhergehenden Form. Die Blattpolster der linksliufigen Parastichen reihen sich im Zickzack aneinander, während die rechtsläufigen, am deutlich- sten hervortretenden, von geraden Linien begrenzt sind. Ihr Umriss ist fast quadratisch mit abgernnde- ten Ecken; die Narben befinden sich in der oberen Hälfte der Blattpolster und sind länglich; sie stehen in der Entfernung von 10 mm. in den geraden Para- stichen von einander ab. IM. Lepidodendron (im engeren Sinne). Lepidodendron Wiikianum O. Heer, Fl. arctica, Bá- ren-Insel p. 40 T. VII Fig. 1 c., 2, T. IX Fig. 1. Es ist nur ein ziemlich schlechtes und verdrücktes Stück vorhanden (Taf. I Fig. 5), dessen Blattpolster (im Abdruck) tief ins Gestein eingedrückt sind und eine unverkennbare Ähnlichkeit mit den eitirten Ab- bildungen zeigen. Das Stück stammt vielleicht von ei- nem dünneren Aste; die Blattpolster stehen dichter und sind etwas kleiner als die von O. Heer abgebil- deten; auch lässt die grobe Gesteinsmasse keine Strei- fung der Zwischenräume zwischen den Blattpolstern erkennen. Letztere haben aber die Form der Blatt- polster, wie sie O. Heer für L. Wiikianum abgebildet und beschrieben hat. Sie sind rhombisch verkehrt ei- förmig, nach unten verschmälert und daselbst undeut- lich begrenzt; ihr oberer Theil tritt stärker hervor und ist durch eine deutliche quer verlaufende Linie abgegrenzt; diese Linie bildet entweder einen nach vorn geöffneten Bogen oder einen Winkel, so dass. der ganze vordere Theil der Blattpolster eine mehr weni- ger rhombische Form hat. An dem bald abgerundeten bald spitzlichen vorderen Ende der Blattpolster befin- det sich eine quer ovale oder rundliche Narbe, an der keine Nürbchen weiter zu erkennen sind. Die Entfer- nung der Narben von einander beträgt in den deutli- cher hervortretenden Parastichen 7—-8 mm. IV. Fruchtzapfen. Lepidostrobus gracilis Schmlh. Taf. I Fig. 6. L. cy- lindraceus, millim. 10 crassus, centim. 5 longus, brac- _ teis in discum rhombicum dilatatis apicibus latis folia- ceis. * Auf einem Stücke befinden sich zwei Fruchtzapfen. ` Der best erhaltene Fig. 6 scheint das Ende eines Ga- belastes zu bilden. Der Abdruck ist nicht sehr deut- lich; am Aste kann man keine charakteristischen Blatt- polster erkennen. Der Zapfen zeigt die Eindrücke et- was von einander abstehender, rhombischer, Schilder, : an denen die queren Diagonalen tiefer ins Gestein ein- gedrückt sind und also einem Kiele der Zapfenschup- pen entsprechen. Am äusseren Umriss des Zapfens, namentlich gegen die Spitze hin, sieht man den un- deutlichen Abdruck blattartiger Gebilde, welche den .| Zapfen schuppenartig bekleidet haben mögen und in die sich die Schuppen über ihren dickeren unteren Theil fortgesetzt haben. Ein anderer Zapfen befindet sich auf demselben Stück; er ist aber noch schlechter erhalten und zeigt nur schmale in schiefen Reihen — Bulletin de l'Académie Impériale stehende Eindrücke, welche wol von den Aussenkie- len der Schilder herrühren. ' - Am meisten erinnert der Zapfen an Lepidostrobus Brongniarti Goepp. Uebergangsgeb. 1852 Taf, XXXIX Fig. 2, 3 und an L. attenuatus Goepp. Perm. Form. Taf. LII Fig. 4—7, Schimper, Palaeontologie II p. 64. Die Schuppen stehen aber bei diesen Formen dichter gedrüngt und es wird keine blattartige Verlüngerung der Zapfenschuppen angegeben. | Knorria Stbg. Die Knorrien sind baumfórmige Stämme mit dicho- tomischer Verzweigung und centraler Gefássachse (nach Goeppert, vielleicht Holzkórper). Sie sind eylindrisch UU oder an einigen Stellen rundlich oder spindelfórmig angeschwollen. Die Aussenflüche ist von mehr oder weniger dicht beisammen stehenden Blattpolstern be- i EN deckt, welche am cylindrischen Stamm eiförmig-rhom- bisch bis länglich und lineal-pfriemenfórmig, an den angeschwollenen Stellen kiirzer werden und eine fast runde warzenfórmige Gestalt annehmen. Die Blätter müssen schuppenfórmig, lanzettlich bis pfriemenför- . mig gewesen sein und bildeten die unmittelbare Fort- setzung der Blattpolster. In den meisten Fällen wer- - den die Blätter sich dachziegelartig gedeckt haben. . Nach Zerstórung der Blattkissen tritt eine von lineali- schen Narben lüngsgerippte Rinde zum Vorschein. SM Unzweifelhaft zu Knorria gehórende Fruchtzapfen sind noch nicht bekannt. Der untere Theil des Stammes .geht nach Schimper in eine Stigmarienform über. . Da lange Synonymenlisten schon vielfach von ver- ‚schiedenen Autoren gegeben worden sind, so móchte ich dieses übergehen und führe nur die wichtigsten der Schriften auf, welche mir zur Benutzung vorgele- gen haben und auf die ich im Nachfolgenden verwei- sen muss: Sternberg, Flora der Vorwelt. Versuch I 1820. - Goeppert, Gattungen fossiler Pflanzen 1841. » fossile Pflanzen des Uebergangsgebir- ges in Nova Act. XIV suppl. 1852 und XIX 1860. » fossile Pflanzen der Permischen Forma- tion in Meyer, Palaeontographica Bd. | XII 1864. Roemer, Versteinerungen des Harzgebirges 1843. » Beiträge zur geolog. Kenntniss d. nordw. Harzgebirges in Dunker und Mey ér, Palaeontogr. Bd. III 1854. Kutorga, Beiträge zur Kenntniss d. org. Ueber- reste des Kupfersandsteins am westl. Ab- hange d. Ural. 1838. E à Eichwald, Lethaea rossica. Bd. 1 1854. Schimper, Traité de palaeontologie végétale T. II = Lp 45. | | O. Heer, Flora fossilis arctica, Büren-Insel p.41. — Aus dieser Litteratur halte ich für nothwendig, noch | Folgendes kurz vorauszuschicken : ! Schon bei Sternberg finden wir zwei Knorrien als Arten unterschieden (K. imbricata u. K. Sellonii), für deren Vereinigung sich später mehrere Autoren ausgesprochen haben. Darauf wurde von Roemer, Goeppert, Eichwald eine Reihe neuer Arten auf- gestellt, welche dann, wenigstens theilweise, von Goep- pert selbst wieder eingezogen wurden und auch bei ` Schimper grösstentheils unter K. imbricata vereinigt sind. Während Goeppert Anfangs Knorria mit Coni- feren verglich, brachte er sie, nachdem dichotomische Verzweigungen beobachtet und eine centrale Gefüss- —.- achse (?), von zum Stamm verhältnissmässig geringem ` Umfange, aufgefunden und von Goeppert auch be- 3 schrieben waren, zu den Selagines in die Nachbar- schaft der Lepidodendren. Aber bald darauf wurde von ihm auch die Selbstständigkeit der ganzen Gat- - tung angefochten. Knorria würe nur ein Erhaltungs- zustand von Lepidodendren (vorzüglich L. Veltheimia- num); und dieser Ansicht schlossen sich manche For- scher an. Bei Schimper und O. Heer finden wir ` 3 aber die Gattung Knorria noch als selbstständige be- - 4 stehen, obgleich és von O. Heer zugegeben wird, dass gewisse Erhaltungszustánde von Lepidodendron Velthei- mianum Knorrien-ähnlich sein können. Dieser letzte- ren Ansicht glaube auch ich mich anschliessen zu müssen. Es liegen 40 Stück vor, mit einer Mannigfaltigkeit der Blattpolsterform, wie sie wol schwerlich sonst irgendwo in einer Sammlung vorhanden sein wird. Es sind sämmtlich Ausfüllungsproducte, Steinkerne; so P dass die Stammoberfläche convex und die Blattpolster darauf erhaben erscheinen; theils über fusslange Stám- me, theils kleinere Bruchstücke, entweder rundherum oder nur von einer Seite mit den charakteristischen E. des Sciences de Saint-Pétersbourg. — — : Blattpolstern besetzt. Letztere zeigen solch eine Man- nigfaltigkeit in ihrer Form, dass es mir nicht gelingen wollte, verschiedene, streng von einander zu unterschei- dende und unzweifelhaft zu verschiedenen Pflanzen gehórende, Formen herauszuerkennen. Die Blattpolster variiren vom Kreisrunden halbkugelig und fast warzen- fórmig hervorragenden bis zum Pfriemenfórmigen; und diese extremen Formen sind durch zahlreiche Zwischenformen verbunden, von denen oft mehrere an - ein und demselben Stammstück zu beobachten sind. Es scheint darum am passendsten das Ganze unter einem Collectivnamen zusammenzufassen. Knorria imbricata Sternb. (erw.) T. II Fig. 7, 8. T4H, ds IN, Zur näheren Besprechung der Eigenthümlichkeiten des Materials übergehand, bemerke ich, dass nur ei- nige Stücke ganz abgebildet werden konnten; ausser- dem habe ich verschiedene Blattpolsterformen von den besterhaltenen Stücken dargestellt. Ein Stammbruchstück hat grosse eirundliche Blatt- polster, von denen T. II Fig. 7 eine Anzahl abgebil- det ist. Die längliche mittlere Partie der gewölbten Blattpolster ragt stärker hervor und scheint sich über dasselbe hinaus in einen Fortsatz zu verlängern, wel- cher sich nach oben hin verliert. Von abgebrochener Blattspitze ist nichts zu bemerken. Die mittlere Par- tie der Blattpolster mit dem Fortsatze könnte wol der an den Stamm angedrückte Überrest des Blattes selbst sein. Kleinere, aber den eben besprochenen ähn- liche, Blattpolster hat das in Fig. 8 abgebildete Stück. Die Blattpolster sind stärker gewölbt und zeigen lan- zettliche Spuren der Blattflächen, welche hier deut- licher hervortreten, als in Fig. 7. Abgebrochene Blatt- spitzen sind auch hier nicht zu bemerken und schei- nen die Blätter oder deren Überreste wie dort an den Stamm angedrückt worden zu sein. Quer breitere elliptische gewólbte Blattpolster zeigt das Stück, von dem T. III Fig. 2 einige Blattpolster abgebildet sind; sie sind klein, stehen dicht beisammen, ihre mittlere Partie ragt am meisten hervor; am selben Stamm gehen diese Blattpolster in längliche über. T.III Fig. 3 ist von einem fast Fuss langen Stammstück, wel- ches in der Mitte kurze quer breitere und oben und unten lüngere Blattpolster hat, an denen auch eine elliptische Narbe zu sehen ist. Der Übergang ist ziem- lich plótzlich, wie in der Zeichnung zu sehen. — Eine Anzahl von Stammstücken kommt in der Form der Blattpolster und deren Stellung theils mehr der K. imbricata, theils mehr der K. princeps Goepp. nahe. So auch das Stück, von welchem eine Anzahl Blattpol- ster T. IV Fig. 2 abgebildet sind. Diese zeigen deut- liche Spuren des Verhaltens der vorhanden gewesenen und abgebrochenen Blätter an sich. Auf dem Rücken der Blattpolster bemerkt man je einen ziemlich schar- fen schmalen Eindruck, welcher von einer etwas hel- leren Gesteinsmasse ausgefüllt ist. Diese Linien ver- laufen der Länge nach so, dass sie mit ihrem unteren Ende auf die Seitenkante eines entsprechenden wei- ter unten stehenden Blattpolsters hinweisen. Ihr Ur- sprung mag wol in dem Druck, den die dicht über einander liegenden Blütter auf die Blattpolster verur- sacht haben, gesucht werden. Das obere Ende der Blatt- polster zeigt eine quer-schiefe Bruchfláche; an ande- ren nicht gezeichneten Stellen desselben Stückes be- finden sich auch Blattpolster mit spitzlichem Ende, wie es von Goeppert für K. imbricata gezeichnet ` worden ist. Ein anderes, diesem sonst nahe kommen- des, Stück hat rhombisch-lüngliche Blattkissen und stimmt mehr mit K. princeps Goepp. überein. Zuwei- len stehen die Blattpolster auch weniger gedrängt ; dann erinnert das Stück mehr an K. Sellonü, wie je- nes, von. dem die Blattpolster Fig. 3 abgezeichnet ` sind. — T. III Fig. 4 sind Blattpolster abgebildet, welche der K. apicalis Eichw. T. XII Fig. 1 gleichen. Es sind lánglich rhombische Blattkissen, welche oben und unten spitz sind und am oberen Ende eine ellip- ` tische Narbe zeigen. Sie erinnern sehr an Lepidoden- dron, namentlich L. Veltheimianum; müssen aber, der vorliegenden Übergünge zur ausgesprochenen Knor- rienform wegen, hier aufgeführt werden. Man ver- gleiche nur diese Blattpolster mit denen T. III Fig. 5 dargestellten, welche oben und unten weniger spitz _ sind und nicht so dicht stehen; und dann letztere mit ` Fig. 3. — T. IV Fig. 4 sind Blattpolster einer ziem- lich häufigen Form; dieselben sind lánglich, oben zu- gespitzt und verlieren sich am etwas verschmälerten unteren Ende; sie stehen weit von einander ab und ha- ` ben hie und da an ihrem oberen Ende auch eine läng- lich-elliptische Narbe. Es ist eine der K. Schrammi- ana Goepp. (1852 Taf. XXX Fig. 4) am meisten äh- nelnde Form. An anderen Stücken sind dle Blattpol- , Ster oben mehr allmählich zugespitzt und unten nicht i - 287 — - d Bulletin de l'Académie Impériale verschmälert, wie in Fig. 5. Sie entsprechen der K. acutifolia Goepp. (Palaeontogr. III Taf. XIV Fig. 4). Einige Stücke haben kleine linealische zugespitzte von einander abstehende und hie und da an ihrem oberen Ende eine längliche Narbe zeigende Blattpolster, wel- che etwas an K. acicularis Goepp. erinnern; T. III Fig. 6 ist von soleh einem Stück. — T. IV Fig. 6, 7, 8, letztere zwei von demselben Stück, entsprechen der K. longifolia. Die Blattpolster sind linealisch dicht stehend, bei Fig. 6 oben zugespitzt und mit länglicher Narbe, bei Fig. 8 oben schief abgebrochen und in Fig. 7 lang zugespitzt. Fig. 7 und 8 sind von einem flachgedrückten Stammstück, welches grósstentheils die Blattpolster wie Fig. 8 trügt und nur an einer Stelle nahe der einen Kante die Blattpolster von Fig. A^ zeigt. Letztere sehen aus, als wären es die unver- gehrten Blätter selbst; auch ist an ihnen oft weder Narbe noch Bruchstelle zu erkennen. Ein interessantes Stammstück konnte auf den Ta- feln keinen Platz finden. Sein oberer Theil ist rund- lich angeschwollen. Es ist 15 cm. lang, unten 7 und oben in der Anschwellung fast 10 cm. breit. Seine untere Hälfte ist nahezu cylindrisch und hat lángliche = Spitzliche Blattpolster, an deren oberem Ende hie und . da eine ovale Narbe zu erkennen ist. Die Anschwel- lung des Stammes tritt in der Mitte des Stückes plótz- -lich ein. Wo die Anschwellung beginnt, verändert sich auch die Form der Dlattpolster, sie nehmen an Lünge ab und werden breiter, gehen erst ins Rundliche, dann rasch ins Querelliptische über. Über der Mitte der . Anschwellung nehmen die Blattpolster wieder an Breite ab und sind am oberen Theil desselben wieder láng- lich. Ein anderes interessantes Stück ist T. III Fig. 1. Dies Stammstück schwillt zur Mitte allmählich spin- delfórmig an. Es ist über 23 cin. lang, am unteren Ende 5, am oberen 6'/, und in der Mitte der Anschwel- lung 9 cm. dick. Die Blattpolster stehen am unteren Ende des Stammes wenig dicht; sie sind hier länglich- eifórmig spitzlich, werden aber mit beginnender Brei- tenzunahme des Stammes kürzer, eirund und zur Mitte des Stammes rundlich gewólbt, bei c. sogar warzenar- tig rund mit stárker hervorragender Mitte. Mit ab- nehmender Anschwellung werden die Blattpolster wie- der schmáler und lánger; am oberen Ende des Stamm- .. stückes sind sie lineal-lánglich in steilen Parastichen dicht gedrängt. Bei b ist der Stamm beschädigt, die äus- | Pa r p she p 1 sere Stelle mit weit von einander abstehenden länglich-li- nealischen Narben zu sehen; wegen der weit abstehen- den kürzeren Narben kann dies Rindenstück nicht zu Knorria gehören und muss wol durch die Ausfüllungs- 288 — ‚und eine glatte ` masse zufällig in den Knorrienstamm hineingerathen ` ` sein. Es scheint zu Lepidodendron Veltheimianum zu gehóren. An diesem Stamm sehen wir die Blattpol- ster verschiedener Formen: der untere Theil trägt die Blattpolster von K. polyphylla Roem., der mittlere die von K. Jugleri und oben haben wir K. imbricata. Das obere und untere Ende eines anderen Pracht- stückes der Sammlung ist T. IV Fig. 1 abgebildet. Der Stamm ist 40 cm. lang, oben 7 und unten 12 em. breit. Vom breitesten unteren Ende nimmt er allmäh- lich nach oben hin an Breite ab. Die Blattpolster sind am ganzen Stamm ziemlich gleichfórmig, dicht stehend, sie nähern sich denen von K. imbricata Strbg. und ha- ben eine lánglich-linealische Form mit zugespitztem oder oben abgebrochenem Ende. Am zugespitzten En- de kann man hie und da eine längliche Narbe bemer- ken. Die Blattpolster an der Spitze des Stammstückes sind stärker gewölbt und ragen mehr über die Stamm- | oberfläche hervor als die übrigen. Ganz besondes fällt aber der untere Theil des Stammes in die Augen; die - Knorrienblattpolster scheinen hier von einer äusseren ` Rindenschicht überlagert zu sein, deren Aussenfläche von linienfórmigen Narben rauh, fast rissig, aussieht. Diese Rinde umgiebt den unteren Theil des Stammes ` | | ganz ebenso auch von der entgegengesetzten, nicht d gezeichneten, Seite. An der linken Seite des Stammes ragt die Rindenoberfläche weiter hinauf und ist durch eine dickereGesteinsschicht von der Knorrienoberfläcke abgehoben; sie bildet hier einen hervorragenden Kiel. Rechts wird diese Gesteinsschicht weniger dick und die Rindenoberfláche ist an der rechten Kante ganz unterbrochen. Dass das Rindenstück demselben Knor- ` We E rienstamm angehört ist wol nicht zu bezweifeln, seine auffallende Lage wird uns aber veranlassen, noch ein- mal darauf zurückzukommen. Das obere Ende des Stammes zeigt von der entgegengesetzten Seite eine ; nach oben sich vertiefende Längsfurche, als bereite ` sich eine dichotomische Verzweigung vor; da aber an der gezeichneten Seite keine Spur hiervon zu bemer- | ken ist, so könnte die Furche auf der anderen Seite — . ¡auch zufállig entstanden sein. des Sciences de Saint- Pétersbourg. An einem anderen nicht abgebildeten Stammstück sind auf der einen Seite Knorrienblattpolster, auf der anderen eine Rinde wie am unteren Theil des Stam- mes T. IV Fig. 1 zu sehen. Das Stück ist aber weni- ger gut erhalten; doch scheint auch hier die Rinden- oberfläche die Knorrienpolster zu überlagern. Das obere Ende eines sonst schlecht erhaltenen Stammstückes mit Knorrien-Blattpolster ist T. III Fig. 7 abgebildet. Man sieht, dass hier ein Rinden- stück mit linealischen Narben innerhalb der Aussen- fláche mit den Knorrien-Blattpolstern liegt; wegen der zur Lángsachse des Stammes schiefen Lage des Rin- denstückes kann man nicht urtheilen, ob es demsel- ben oder einem anderen Stamm angehórt und also zu- fallig mit dem Ausfüllungsmaterial hineingerathen ist. Fig. 8 ist das untere Ende eines Stammstückes, wel- ches auf seiner Oberflüche die gerade nicht schón er- haltenen Blattpolster von K. imbricata zeigt. Bei b fehlt die üussere Schicht der Gesteinsmasse, und es scheint eine tiefere Gewebeschicht des Knorrienstam- mes, vielleicht die Oberfläche des Holzkórpers, freizu- liegen. Diese Stelle hat, der, einander parallel verlau- fenden, geschlängelten Längsfurchen wegen, ein ris- . siges Aussehen; die Entfernung der Furchen von ein- ander entspricht der Breite der Blattpolster bei a. In dem Vorhergehenden habe ich die Mannigfaltig- keit in der Form der Blattpolster betrachtet, den Übergang derselben am selbigen Stamm aus dem Lang: lichen ins Eifórmige und Rundliche warzenfórmige er- làutert und rundlich-spindelfórmige Anschwellungen des Stammes, welche vielleicht auf ein periodisches Wachsthum hinweisen, beschrieben. Ferner haben-wir unzweifelhaft hierher gehörende Rindenstücke gesehen und T. III Fig. 8 wahrschein- lich die Oberfläche des Holzkörpes (wie auch bei Goeppert, Gatt. foss. Pfi. III T. II Fig. 3). Über das natürliche Verháltniss der Rinde zur Knorrienober- fláche konnte ich nach dem mir vorliegenden Mate- rial nicht ins Klare kommen. Schliesslich muss ich übrigens auch noch bemerken, dass ieh keinesfalls davon überzeugt bin, im Vorher- gehenden nicht Verschiedenartiges zusammengeworfen zu haben. Ich konnte nur in dem besprochenen Knor- rienmaterial keine naturgemässe Trennung durchführen und hielt es deshalb fürs Beste, Alles beisammen zu lassen. Vielleicht wären die Stämme, welche von un- Tome XXII. * ten nach oben allmáhlich an Dicke abnehmen und ziem- lich konstante Form der Blattpolster besitzen, von denen mit Anschwellungen und veránderlichen Blatt- polstern zu trennen. Cyelostigma Kiltorkense Haught. T. I Fig. 7—12. Haughton, Annals and magazine of nat. hist. Vol. V Series III p. 444. O. Heer, Flora arctica, Báren-Insel p. 43 T. XI. Schimper, Traité de Palaeontologie III p. 540. Es ist eins der häufigeren Fossilien vom Ogur. Ein- zelne Gesteinsstücke sind von den 6—7 mm. dicken Steinkernen von Ästen, die wahrscheinlich von die- ser Pflanze stammen, sch allen Richtungen durch- setzt. An ihnen ist leider nichts von Blattansatzstel- len zu erkennen, weder an den Steinkernen (z. B. der in Fig. 7 abgebildete) noch an den Abdrücken der Äste. Nur einen Ast gelang es mir freizulegen, an dem man mit genügender Deutlichkeit die Cyclostig- ma-Warzen und hie und da auch noch die Basen der Blütter selbst erkennt. Der gabelspaltige Ast ist in Fig. 8 abgebildet. Die beiden Gabeläste liegen an ih- rem Grunde dicht an einander; eine tiefe enge Spalte trennte sie. Der wohlerhaltene Steinkern des Astes hat etwas erhabene rundliche Wárzchen, die spiralig angeordnet sind und um 5—10 mm. von einander ab- stehen. Die Wärzchen sind 2—3 mm. breit und zei- gen in ihrer Mitte oder etwas nach oben excentrisch ein, weniger als 1 mm. breites, rundes Nürbchen. Die Oberfläche zwischen den Wärzchen zeigt eine feine Runzelung. An dem Abdruck erscheinen natürlich die den Warzen entsprechenden Stellen mit dem Nárb- chen vertieft. An der Seitenumgrenzung des Abdrucks und, wo der Steinkern noch vorhanden ist, in der ihn umgebenden Gesteinsmasse, bemerkt man hie und da, an Stellen, welche in die von Wärzchen gebildeten Parastichen fallen, deutliche Spuren der Blattbasen. Wie bei anderen Lycopodiaceen, muss sich auch hier eine Verzweigung der Áste schon lange vor der ein- tretenden Dichotomie vorbereitet haben. Es sind ziem- lich lange Aststücke vorhanden, welche auf einer Seite eine Längsfurche zeigen, wie Fig. 7. Abdrücke von Rindenstücken älterer Stämme, wel- che eine unverkennbare Ähnlichkeit mit O. Heer's Abbildung T. XI Fig. 3 zeigen, sind in mehreren Stücken vorhanden. Am in Fig. 9 abgebildeten Stück 19 | Bulletin de l'Académie Empériale ` ist die Rindenoberfläche durch wellige Längsfurchen in unregelmässige (oft länglich-rhombische, in Fig. 11 und 12 vergrósserte) Felderchen getheilt und erscheint runzlich. Die Wárzchen sind auf diesem Stück nicht zu bemerken; die Nárbchen, als rundliche Erhaben- heiten, auch nicht überall deutlich. Sie bilden regel- mássige Parastichen und stehen um 6—12 mm. von einander ab in den am deutlichsten hervortretenden Reihen. Ein anderes Stück ist Fig. 10 abgebildet. Die Run- . zeln und Furchen der Rindenöberfläche sind an ihm mehr gestreckt, sanft geschlängelt; die erhobenen Fel- derchen linealisch etwas wellig. Hie und da, aber nicht - überall, kann man die rundlichen Eindrücke der Wárz- chen und in deren Mitte oder excentrisch ein rnndes Nárbchen erkennen. Die Würzchen mit den Nürbchen sind ziemlich undeutlich und fehlen in den Parastichen theilweise, so dass letztere an manchen Stellen unter- brochen und nicht ganz regelmässig erscheinen. Stigmaria ficoides Strnb. Taf. II Fig. 9. Ein Gesteinsstück ist von cylindrischen federkiel- dicken Gebilden in verschiedener Richtung durch- ‚setzt, welche sehr mit den Wurzelfasern der Stigma- ria ficoides übereinstimmen. Die eine Bruchflüche des Stückes ist in Fig. 9 gezeichnet. Bei a sieht man auch das centrale Gefässbündel einer Wurzelfaser. mms Vorläufiger Bericht über die Resultate mikroskopi- Scher Untersuchungen der Futterreste eines sibi- rischen Rhinoceros antiquitatis seu tichorhinus. Von J. Schmalhausen. (Lu le 9 mars 1876.) Eine Reihe von Thatsachen über die Bestandtheile der Futterreste der Rhinoceroten und die daraus ge- ‚zogenen Folgerungen sind bereits vom Herrn Akade- miker J. F. Brandt mitgetheilt worden. (Monatsbe. richte der Berliner Akademie 1846 p. 234; Mélanges biologiques T. VII p. 420, 421 mit Anmerk. 17u. 19, Vergl. auch p. 425— 436; Monographie der Ticho- rhinen p. 46, 47). Er selbst hatte Theilchen von Co- niferen und ein Friichtchen nachgewiesen; C. A. Mever fand ein Ephedra-Früchtchen; Mereklin bestimmte Salicineenholz. Die Benutzung der Beobachtungen des Herrn Akademiker Fr. Schmidt, dass in den Lehm- und Sandschichten, in welchen die Mammuthreste von der oberen Gyda am See Jambu gefunden wurden, auch Zweige und Blütter von Betula nana, Salix glauca und herbacea und Wurzelstücke von Larix vorhanden waren, und die Angabe, dass die Baumgrenze in Sibirien in der neueren geologischen Zeit zurückge- gangen sei, bestärkten Herrn Akademiker Brandt in der Annahme, dass die Rhinoceroten und Mammu- the in Nord-Sibirien an den Orten, wo ihre eingefror- nen Leichen gefunden werden, lebten und dort sich von Pflanzen, die noch jetzt in Nord-Sibirien verbreitet sind, ernährten. Die folgenden Zeilen bringen neue Belege für diese Ansicht. MET S gl m e E iv Da Das Material, welches mir zur Verfügung gestellt ` wurde, ist eine schwarz - braune Krume, die aus den Hóhlungen der Záhne eines Rhinoceros des Irkutski- schen Museums herausgeholter Futterreste besteht, und von den Herren Tscherski und Dybowski Herrn Akademiker Brandt übersandt wurde. ausführlichere Behandlung des Gegenstandes für künf- Eine. tige Zeit aufschiebend, gebe ich in den folgenden i Mittheilungen eine kurze Übersicht der bis jetzt aus diesem Material gewonnenen Thatsachen. Um von vorn herein etwaiges Misstrauen gegen die Überreste als Rhinoceros-Futter abzuwehren, bemerke ich, dass sie das Aussehen und die Beschaffenheit alter, | längere Zeit hindurch einer Maceration ausgesetzt ge- ` gewesener, vegetabilischer Substanz besitzen. zarteren parenchymatischen Gewebetheile sind, wenn nicht vóllig zerstórt, so doch unkenntlich. Nur die resistenteren verholzten und cuticularisirten Gewebe- Mit Kalilauge geben sie eine tief braune Flüssigkeit. Die theile (Gefässbündel und Cuticulaschicht der Epi- ` dermis) zeigen mehr oder weniger deutliche Struktur. Die Holzstücke haben meist verdünnte Zellwände; der Umriss und Bau der Zellen ist oft verschwommen und undeutlich; bei den Nadelhólzern ist die bekannte spi- ralige Streifung sehr deutlich und wohl durch Aufló- . sung eines Theils der Substanz der Zellmembranen verstärkt. — dies sind Eigenschaften, welche dem Pflanzenanatomen aus übermacerirten Objecten be- kannt sind. Kurz, die Futterreste müssen lange Zeit ` hindurch einer Maceration ausgesetzt gewesen sein. Dies scheint aber die Annahme zu rechtfertigen, dass ` es wirklich Futterreste und nicht zufällig in die Hóh- lungen der Zähne hineingerathene Pflanzentheile sind. des Sciences de Saint- Pétersbourg. Der grósste Theil der Krumen besteht aus Blatt- resten, dazwischen hie und da Stengelstücke. In einem sehr sandigen Stück waren einige Diatomeen. Einen zur Gattung Hypnum gehórigen Blattfetzen will ich auch nicht unerwähnt lassen. Stengelstücke monocotylischer Pflanzen und Blattstücke derselben, wahrscheinlich von Grami- neen, sind am häufigsten vorhanden. Ohne auf nä- here Betrachtung derselben einzugehen, bemerke ich, dass manches schöne Epidermisstück zum Vorschein kam mit in die Länge gestreckten Zellen und in Reihen geordneten Spaltöffnungen, wie es bei Monocotylen der Fall ist. Einige Epidermisstücke haben wunderschón geschlüngelte Seitenwandungen ihrer Zellen und stam- men wohl unzweifelhaft von Gräsern. Blattreste monocotylischer Pflanzen sind mit denen dicotylischer in geringerer Menge untermischt. Ihrer Zartheit wegen sind sie aber schlecht erhalten. Hie und da fand ich ein Fetzchen, an dem keine Epi- dermis mit Spaltöffnungen zu erkennen war, dessen Gefüssbündel aber ein wohl erhaltenes Maschennetz bilden. Ein Blattstück ist verhältnissmässig dick, hat einen umgerollten Rand und anastomosirende bogen- läufige Adern, — es muss von einer Ericacee, am ehesten von Vaccinium Vitis Idaea stammen. Coniferen sind in Blattfetzen mit in Reihen ste- henden Spaltöffnungen und unter der Epidermisober- fläche liegenden Schliesszellen vorhanden. Wichtiger aber sind die Holzstücke; — dies sind grösstentheils Stücke dünner, junger Äste, nur einige Stücke liessen mehrere, nur eins 10 Jahresringe erkennen. Picea (obovata?). Harzgänge häufig, in den Jahres- ringen zerstreut; an einem Aststück fällt deren Menge auf, indem sie dicht gedrängt ganze concentrische Ringe bilden (bei P. excelsa sind die Harzgänge lange nicht. so zahlreich). Auf radialen Schnitten sind die ziemlich dicht stehenden, mässig kleinen, meist in zwei Reihen geordneten Tüpfel der Markstrahlen zu be- achten. Die umhöften Tüpfel der Holzzellen stehen ziemlich dicht. Abies (sibirica?). Harzgänge im Holze nicht vor- handen; an einigen Stücken fand ich horizontal in den Markstrahlen verlaufende Harzgänge. Das Holz ist lockerer, besteht grösstentheils aus weiteren Zellele- menten als bei der vorigen Holzart und ist vom Mace- rationsprocess stärker verändert. Die Tüpfel der Mark- strahlen stehen auch in 2 Reihen, sie stehen aber viel - weiter von einander ab und sind etwas kleiner, als bei der vorigen. Larix (sibirica?). Das Holz auf dem Querschnitt meist weniger regelmissig gebaut als bei den vorigen. Harzgänge häufig, sie befinden sich aber meist nur im Herbstholze. Auffallend ist die Menge des Holzparen- chyms, namentlich im Herbstholze. Die Markstrahl- zellen sind breiter als bei den vorigen. Ihre Tüpfel sind grósser (noch etwas grósser als bei Picea) und stehen dichter, so dass nicht selten drei Tüpfel auf den kleineren Durchmesser der Markstrahlzelle zu stehen kommen; der Zwischenraum zwischen den Tüpfeln er- reicht oft nicht die Breite des Tüpfels. Die umhóften Tüpfel der Holzzellen stehen dicht. Meist fand ich letztere nur in einer Lüngsreihe und nur hie und dà zwei Tüpfel neben einander geordnet (für Larix wer- den die Tüpfel der Holzzellen in zwei Reihen ange- ordnet beschrieben, dünnere Áste haben aber, wie ich mich selbst an desque Material überzeugt habe, ge- wöhnlich nur eine Tüpfelreihe). Gnetaceen. Zwei dünne Aststücke wurden ge- funden, welche den unverkennbaren Bau des Ephe- draholzes zeigen. An Querschnitten fallen die zwi- schen den engeren eingestreuten, grösseren, eckigen Zelllumina auf. Auf Längsschnitten erkennt man die, verhältnissmässig zu denen der Coniferen, kleineren und auch an den Aussen- und Innenwänden der Holzzellen vorhandenen umhöften Tüpfel. Die weiteren gefässarti- gen Zellen haben an ihren zugespitzten, auf einander stossenden, Enden meist nur eine Löcherreihe. CERE ME een. Nur ein Holzstück, verhältniss- mássig schlecht erhalten, zeigt den Bau des Birken- holzes. Die Gefässe stehen in Gruppen neben einander; ihre Seitenwände sind von ganz feinen, punktförmigen Tüpfeln dicht bedeckt; an den einander zugekehrten Wänden benachbarter Gefässe sind letztere leiterfór- ` mig durchbrochen. Die Markstrahlen sind 1 — 2rei- hig. — Unter den Holzarten, welche mir zur Hand waren, hat es die meiste Ähnlichkeit mit dem strauch- artigen Birkenformen, namentlich mit dem von B. fruticosa. Salicineen, Eine der heulen Holzarten de Materials. Die Gefässe sind sehr zahlreich im Holze zerstreut; ihre Seitenwandungen von dicht stehenden mássig grossen, polygonal-umgrenzten T bedeckt; 295 Bulletin de l'Académie Empériale die Glieder der Gefüsse an den Enden von einem run- den Loch durchbrochen. Die Markstrahlen sind ein- reihig. Bezweifelt man auch die Móglichkeit, Pflanzen allein nach dem schlecht erhaltenen Holze und nach dem Bau der Blattepidermis genau artlich bestimmen zu kónnen, so scheint doch als unzweifelhaft aus dem Vorhergehenden zu resultiren, dass sämmtliche Reste, die bis jetzt aus dem Rhinoceros-Futter zum Vor- schein gekommen sind, sich auf nordische und sogar jetzt theilweise noch im hohen Norden verbreitete Pflanzen ungezwungen zurückführen lassen, ein Re- sultat, welches mit den oben schon erwühnten An- gaben vollkommen übereinstimmt. Über den vermeintlichen Procyonbegleiter. Von 0. Struve. (Lu le 4 mai 1876.) In X 2080 der Astronomischen Nachrichten ist durch Admiral Davis Bericht érstattet über die Be- - mühungen, welche sich die Washingtoner Astronomen gegeben haben, um, mittelst des dortigen 26-zólligen Refractors, das Object zu erkennen, welches ich seit dem Frühjahr 1873 wiederholt als Procyonbegleiter gemessen habe. Im Herbst 1873 und Frühjahr 1874 sind ihre Bemühungen ganz vergeblich gewesen, da- gegen wurde im November 1874 die Existenz eines Begleiters vermuthet, welcher jedoch bei nahezu glei- cher Distanz vom Hauptsterne, wie ich sie für das von mir beobachtete Object gefunden hatte, im Positions- winkel beiläufig um 50^ von letzterem abwich, also mit demselben nicht identisch sein konnte. Endlich ist im Januar 1876 an 3 Abenden von einigen Beob- achtern in Washington mit im Allgemeinen befriedi- gender Übereinstimmung das im November 1874 ver- muthete Object wiedererkannt; zugleich aber auch die Existenz von noch zwei anderen Trabanten, welche bei nahezu gleicher Distanz unter beilüufig 20? auf beiden Seiten von dem ersten abstehn sollten, als sehr wahr- scheinlich bezeichnet. Das von mir gemessene Object ist, trotz der augenscheinlichen Güte des Washingtoner Refractors und seiner unzweifelhaft bedeutend grós- seren Lichtstárke, in all den drei Jahren von keinem dortigen Beobachter erkannt. Ob und welche Existenzberechtigung die neuer- dings in Washington wahrgenommenen Bilder haben, darüber werden sich die dortigen Astronomen ver- muthlich selbst noch weiter aussprechen. So wie die _ Beobachtungen vorliegen, geben sie noch allerhand Be- denken Raum. Dagegen ist das negative Resultat in Betreff des von mir wahrgenommenen Objects gewiss von sehr grossem Gewichte. Das Missglücken jedes Versuchs am Washingtoner Refractor jenes Object zu erkennen, musste mich von Anfang an zweifeln lassen, ob dasselbe, trotzdem dass es nach meinen Messungen von 1873 und 1874 sowohl in Betreff des Orts wie der Ortsveránderung so vortrefflich der Auwers'schen Theorie über den die eigene Bewegung des Procyon stórenden Kórper entsprach, ein wirklicher Satellit oder nur ein Trugbild sei. Den Wunsch oder vielmehr das Bedürfniss, meine Beobachtungen durch andere Beobachter, an andern Orten und an andern Instru- menten bestätigt zu sehn, sprach ich selbst damals aus, als im Frühjahr 1874 die merkwürdige Übereinstim- mung meiner Messungen mit den Forderungen der Theorie es mir als ein geflissentliches Verläugnen der Wahrheit hátte erscheinen lassen müssen, wenn ich nicht meinen Glauben an die Identitát des von mir beobachteten Objectes mit dem die eigene Bewegung des Procyon stórenden Kórper bekannt hátte. Ebenso sehr habe ich aber jetzt Veranlassung, den Zweifeln Ausdruck zu geben, welche jenen Glauben neuerdings sehr erschüttert haben, indem, ganz unabhángig von der Amerikanischen Negation, eigene Beobachtungen aus den letzten zwei Jahren auffallende Disharmonieen kundgegeben haben und in den jüngsten Tagen Wahr- nehmungen hinzugetreten sind, welche sogar Andeu- tungen bieten über den Ursprung der Täuschungen, denen meine Beobachtungen oder vielmehr die Schluss- - folgerungen aus denselben ausgesetzt gewesen sind. Wie die Sache jetzt steht, bin ich sehr geneigt zuzugeben, dass ein merkwürdiges Zusammentreffen von Umstán- den, trotz der Zuverlüssigkeit der Beobachtungen an sich, mich zu einer Selbsttäuschung geführt hat, auf welche hinzuweisen um so lehrreicher sein dürfte, da dieselbe durch Erscheinungen hervorgerufen ist, denen vielleicht noch nicht eine genügende Beachtung geschenkt ist. Trotzdem dass ich im Frühjahr 1875 an die Beob- achtungen des Procyon mit der zuversichtlichen Erwar- tung ging, den Begleiter in der nun schon nüherungs- weise bekannten Richtung zu finden, wollte es mir an 297 des Sciences de Saint-Pétersbourg. mehreren Abenden gar nicht glücken, ihn zu erkennen An 3 Abenden hatte ich jedoch einen hinlünglich scharfen Eindruck von demselben, um Messungen ver- suchen zu kónnen, welche mir im Mittel, nach Anbrin- gung der systematischen Correctionen, für 1875,26 P= 105,2 ergaben, während Herr Lindemann den Begleiter durchweg viel sicherer zu erkennen glaubte und mit grosser Übereinstimmung P= 10433 fand. Deuteten nun zwar diese Richtungen ein Fortschreiten des Begleiters im erwarteten Sinne an, so glaubte ich doch den Beobachtungen kein grosses Gewicht beilegen zu dürfen, weil ich selbst im Tagebuch an allen 3 Aben- den meine Messungen als unbefriedigend bezeichnet hatte. Im laufenden Jahre hatten wir hier im Márz nur einen einzigen leidlich günstigen Abend und auch an diesem konnte ich nichts von einem Begleiter wahr- nehmen. Am 2'" April dagegen zeigte er sich mir sehr deutlich, und ich erhielt aus drei Sátzen von Mes- sungen, die mir durchweg als zuverlüssig erschienen, successive die Positionswinkel 10074, 10750 und 10555, im Mittel also 10453, wozu für die systema- tischen Correctionen noch 279 hinzukommen müssten. An demselben Abend fand Herr Lindemann, im Mittel aus 3 Einstellungen, P — 9022, also um 1451 kleiner als der von mir unmittelbar gemessene, um 17° kleiner als mein corrigirter Positionswinkel. Musste diese Differenz unserer Messungen schon allein uns stutzig machen, so erschien das Resultat noch bedenkli- cher, wenn wir dasselbe mit denen der vergangenen Jahre verglichen. Nach Auwers's Theorie hátte nám- lich der Positionswinkel des stórenden Kórpers um bei- láufig 970 jährlich wachsen müssen. Gehen wir also von unserem corrigirten Winkel von 1873 aus, so hát- ten wir successive finden müssen: 1873,26 9022 74,26 99,2 75,26 108,2 76,26 117,2 Beobachtet ist aber von mir Abweichung 1873,26 9022 050 74,26 99,6 + 0,4 75,26 105,2 — 3,0 76,26 107,2 — 10,0 Für Herrn Lindemann's diesjihrige Messung wáre die Abweichung sogar bis auf — 2770 gestiegen. Bei der Schwüche des als Begleiter beobachteten Objects und andrerseits bei dem übermüchtigen Glanze des Hauptsterns, welcher im nahezu ganz dunklen Felde die Sicherheit der Einstellungen sehr beeintrüchtigt, durfte jedoch auch die grosse Abweichung meiner ver- einzelten Messung aus dem laufenden Jahre nicht als entscheidend angesehn werden, indem bei entsprechen- der Vertheilung der Abweichung auf die Beobachtun- gen der vier Jahre doch noch eine einigermassen zulás- sige Übereinstimmung derselben mit der Theorie sich hätte herstellen lassen können. Wollte man aber das letztere nicht zugeben, so hätte man sagen müssen, wir haben es hier mit einem Satelliten zu thun, der für sich allein nicht genügt, die beobachteten Ungleichför- migkeiten der eigenen Bewegung zu erklüren. Es musste also auch nach dem 2*” April die Ent- scheidung der Frage zunüchst ferneren Beobachtun- gen vorbehalten bleiben. Ehe jedoch wieder günstiges klares Wetter eintrat, war Procyon bereits zu sehr in die Dämmerung hineingerückt, um noch in diesem Früh- jahre beobachtet werden zu kónnen. In unerwarteter Weise ist mir jedoch seitdem, gewissermassen zufällig, eine Andeutung über den Ursprung des von mir beob- achteten Objects und damit eine nicht unwahrschein- liche Erklirung der auffallenden Widersprüche ge- worden. Ich habe häufig helle Sterne betrachtet und in den letzten Jahren wiederholt niit der Absicht, mich zu überzeugen, dass nicht etwa die am Procyon bemerkte Satellitenerscheinung ein Product meines Auges sei und sich bei allen helleren Sternen wiederhole. Aber weder o Lyrae noch andere, dem Procyon an Glanz nahe kommende Sterne hatten mir je etwas Derarti- ges gezeigt. Unter diesen Umstánden wurde ich über- rascht, als ich am 17° April, gelegentlich einer mikro- metrischen Verbindung von Regulus mit seinem be- kannten entfernten Satelliten, ohne speciell darauf meine Aufmerksamkeit gerichtet zu haben, neben dem Hauptstern ein Lichtpünktchen wahrnahm, das, ganz ` ähnlich wie bei Procyon, demselben in beiläufig 10" Distanz nahezu auf dem Parallele folgte. Da aber mein Auge bereits durch mehrstündiges ununterbrochenes Beobachten afficirt war und überdiess die Bilder nicht hinlänglich ruhig waren, verschob ich die nähere Un- Bulletin de l'Académie Impériale tersuchung auf den nüchsten Tag. Am 18'^ April betrachtete ich nun zunáchst Regulus mit frischem Auge und hatte denselben Eindruck. Ohne mich durch Messungen aufzuhalten, richtete ich dann so- gleich das Fernrohr auf die noch viel hellere Ca- pella und sah auch hier, nur noch deutlicher, in glei- cher Distanz (10" — 12") einen Lichtpunkt in nahezu horizontaler Richtung folgen. Den Positionswinkel desselben fand ich um 9° 30" im Mittel aus drei Ein- stellungen — 127,2. Am Arcturus konnte ich densel- ben Abend nichts mit Sicherheit erkennen, doch war hierauf kein besonderes Gewicht zu legen, weil der Wind, der bei dieser Beobachtung mir gerade in's Gesicht blies, das Sehen beeintrüchtigte. — Nachdem . darauf wieder durch trübes Wetter eine längere Un- terbrechung der Beobachtungen eingetreten war, rich- tete ich am 11" Mai den Refractor von.neuem auf Arcturus und nahm auch an diesem ein ähnliches Lichtpúnktchen wahr, für welches ich um 12* 40" den Positionswinkel 6870 fand. Jetzt rief ich auch Herrn Lindemann hinzu, dem ich von den vorangegangenen Wahrnehmungen noch nichts mitgetheilt hatte. Auffal- lenderweise erkannte er das Object nicht gleich auf den ersten Blick, während er sonst den Procyonbegleiter im . Allgemeinen immer viel schärfer als ich gesehen hatte. Nachdem ich ihm jedoch die Richtung beiläufig angege- ben hatte, erhielt er einen so weit sichern Eindruck, dass er ein Paar Einstellungen des Positionswinkels machen konnte, welche in Mittel 7251 für denselben ergaben. Nach seiner Meinung wäre aber dieser Eindruck bei wei- tem nicht so bestimmt gewesen, wie beim Procyon.— Am folgenden Tage, den 12'" Mai, erhielten wir beide weder bei a Lyrae noch bei Arcturus ühnliche Licht- eindrücke, obgleich ich wenigstens mit der vorgefassten - Meinung, es würden solche wieder auftreten, an die Beobachtung gegangen war. Aus diesen Wahrnehmungen müssen wir zunüchst den Schluss ziehen, dass mein Auge, und vermuthlich in ähnlicher Weise auch das des Herrn Lindemann, disponirt ist, unter gewissen Bedingungen schwache Nebenbilder von sehr hellen Objecten nahezu in ho- rizontaler Richtung zu erzeugen, und zwar 80, dass sie immer für das rechte Auge im Fernrohre nach rechts hin liegen. Versuche mit dem linken Auge sind bis . jetzt noch nicht gemacht. Die Entfernung des Neben- bildes würde bei der geschützten Distanz von 10/— 12" und der angewandten beiláufig 300-maligen Vergrós- serung einem Gesichtswinkel von ungefáhr einem Grade entsprechen. | Hiernach dürfte es nicht unwahrscheinlich erschei- nen, dass auch das von mir als Procyonbegleiter beob- achtete Object auf eine physiologisch zu erklürende Erscheinung zurückzuführen sei. Merkwürdig und viel- leicht zur näheren Erklärung führend ist die Constanz der Lage des Nebenbildes in Bezug auf den Haupt- stern. Durehweg wurde, wie gesagt, die Distanz beiun- _ veränderter Vergrösserung auf 10"— 12" geschätzt. Der Positionswinkel ist zwar bedeutend verschieden gefun- den; haben wir es aber hier mit einer physiologischen Erscheinung zu thun, so hat offenbar die Richtung ge- gen den Declinationskreis keine Bedeutung. Es ist vielmehr indicirt, diese Richtung in diejenige zu ver- wandeln, welche das Nebenbild in Bezug auf den Scheitelkreis eingenommen hat. Bringen wir dem ent- sprechend den parallaktischen Winkel an die von mir ` gemessenen Positionswinkel an, so finden wir jene Richtung: A . aus Capella o — 8271 aus Arcturus 84,4 Mittel 8372. : Die in den zwei ersten Jahren wiederholt und sicher am Procyon angestellten Messungen würden ergeben ` ` haben: e 1873 o — 7920 1874 78,2. Aus den zwei letzten Jahren würden sich zwar durch Procyon gróssere Winkel gefunden haben, nämlich 1875: o — 8850 1876 99,1 aber dabei ist daran zu erinnern, dass die drei Mes- sungen von 1875 durchweg als unbefriedigend be- zeichnet waren und dass im laufenden Jahre überhaupt nur an einem einzigen Abende gemessen ist. Ausserdem will ieh auch nicht in Abrede stellen, dass die Messun- gen der letzten zwei Jahre vielleicht etwas unter Ein- fluss einer leicht erklürlichen Praeoccupation gestan- den haben. Abgesehn von dem grössern Spielraum, ` ` den überhaupt die Messung eines so schwachen Ob- jects gegen den mächtigen Hauptstern bietet, hätte ohnehin, wenn der Ursprung des Bildes im Auge lag, eine kaum merkliche Neigung des Kopfes genügt, um den . 901 des Sciences de Saint- Pétersbourg. erwarteten Positionswinkel zu erzeugen. — Nehmen wir einfach das Mittel aus allen 4 Jahren, so erhalten wir o — 8452, bis auf 1? mit dem Mittel aus Capella und Arcturus übereinstimmend. Behandeln wir in gleicher Weise Herrn Linde- mann's Procyon-Messungen, so finden wir: 1873 0 =777%8 1874 78,4 1875 90,1 1876 79,4 Mittel 8174 also sehr nahe denselben Winkel wie für meine Mes- sungen. Sollte es nun Spiel des Zufalls sein, dass gerade bei Herrn Lindemann und mir sich ein solches Neben- bild in so übereinstimmender Weise erzeugt oder liegt dem vielleicht eine allgemeine gültige Disposition des menschlichen Auges zu Grunde? Für das letztere dürfte der Umstand sprechen, dass jenes Bild im Früh- jahr 1874 in ganz gleichartiger Weise, ausser von uns beiden auch von Herrn Ceraski hier in Pul- kowa und von Herrn Talmage in Leyton deutlich erkannt ist. Wáre diess der Fall, so müsste jedenfalls noch angenommen werden, dass die Erzeugung des Bildes von dem ess blico Zustande der Augen bedingt sei. Sonst wáre es nicht zu erkláren, weshalb z. B. 1875 Herr Lindemann das Object sehr deut- lich sah, während ich nur sehr unsichere Eindrücke davon erhielt, und umgekehrt im laufenden Frühjahre das Bild neben Arcturus mir sehr deutlich erschien, während Herr Lindemann erst speciell darauf auf- merksam gemacht werden musste, um es überhaupt zu erkennen; weshalb ferner am 12%" Mai sich für uns beide keine solche Bilder, weder bei a Lyrae noch bei Arcturus, erzeugt haben. Um über diese Fragen noch bestimmtere Thatsachen zu sammeln, dürfte es sich vielleicht empfehlen, Versuche mit sehr intensiven künstlichen Lichtquellen anzustellen. Hier in Pulkowa werden wir aber solehe Versuche erst nach ein Paar Monaten. vornehmen kónnen, wenn erst wieder des Abends oder Nachts hinlängliche Dunkelheit sich ein- gestellt haben wird, um die durch die Erweiterung der Pupille noires bedingte gróssere Em- pfindlichkeit derselben zu erzeugen. Aus dem Gesagten geht deutlich genug Ss dass ich die Frage noch nicht für vollstándig abgeschlossen ansehe, sondern weitere Aufklárung über dieselbe durch fortgesetzte Beobachtungen erwarte. Wie aber auch die Entscheidung ausfallen móge, so halte ich es jedenfalls für meine Pflicht, der astronomischen Welt ohne Verzug mitzutheilen, dass durch die letzten Wahr- nehmungen mein Glaube an die Realitit des von mir beobachteten Objects und dessen Identitát mit dem durch die Theorie der unregelmässigen eigenen Bewe- gung des Procyon geforderten stórenden Kórper in hohem Grade erschüttert ist. Selbst nach den neuesten Wahrnehmungen füllt es indessen schwer, diesem Glau- ben unbedingt zu entsagen, da derselbe durch eine Reihe von Thatsachen geboten war, deren merkwür- diges Zusammenfallen jede Táuschung auszuschliessen schien. Ich erlaube mir, dieselben hier kurz zu re- capituliren: 1) Bei besonders günstigen atmosphärischen Bedin- gungen zeigt sich 1873, ohne dass danach ge- sucht wird, in nächster Nähe des Procyon ein früher dort nicht bemerktes sternähnliches Ob- ject und wird von zwei Beobachtern mehrfach und übereinstimmend gemessen, wobei nach Móglich- keit alle optischen Tüuschungen, so weit sie vom Instrumente herrühren kónnten, ausgeschlossen waren. | 2) Es findet sich nachträglich, dass die beobachtete Richtung sehr nahe mit derjenigen übereinstimmt, welche die Theorie für den stórenden Kürper for- dert. 3) Die Anderung des Positionswinkels, wie sie die Beobachtungen von 1873 und 1874 ergeben, entspricht genau derjenigen, welche die Theorie der Änderung in der Lage des störenden Kör- pers für denselben Zeitraum anweist. Der letzte Punkt erschien als entscheidend, und doch liegt jetzt eine andere Erklärung nahe. Ist näm- lich die Lage des Nebenbildes in Bezug auf den Schei- _ telkreis constant, so musste sich die geforderte Ände- rung im Positionswinkel einfach dadurch ergeben, dass die Beobachtungen von 1874 durchschnittlich unter c nem gegen anderthalb Stunden gróssern St angestellt sind, als die von 1873. Wie vorstehend ge- zeigt, stimmen die in den beiden genannten Jahren ge- messenen Richtungen bis auf 078 unter einander überein, sobald wir sie auf den Seheitelkreis beziehen, Bulletin de l'Académie Imperiale e / e Dasselbe Gewicht, welches wir früher der mit der Theorie übereinstimmenden beobachteten Ände- rung des Positionswinkels zuschrieben, müssen wir jetzt dem Umstande beilegen, dass, den Beobachtungen zu- folge, in den letzten 2 Jahren die Zunahme des Po- sitionswinkels nicht mehr in gleichem Masse erfolgt ist, ja sogar nach der letzten Messung von Linde- mann sich in eine Abnahme verwandelt hat. In der That sehe ich hierin das stürkste Argument für die Annahme, dass all unsere betreffenden Messungen nur das Resultat einer Täuschung physiologischen Ur- sprungs gewesen sind. Sollte sich das durch die fer- ner speciell für den Zweck anzustellenden Versuche noch schürfer herausstellen, so láge auch darin ein Gewinn für die Wissenschaft. Wenigstens würden wir dadurch in Zukunft vor einer Quelle von Táuschun- gen gewarnt, welche bisher noch gar nicht oder nicht genügend beachtet ist. Revue de la littérature historique de l'Arménie. Par M. Brosset. (Lu le 25 mai 1876.) ^ $ I. Depuis ma revue de l'an 1860, Ruines d'Ani, In- troduction, la littérature historique de l’ Arménie s'est enrichie de plusieurs importantes publications: je de- mande pardon à l'avance si, par malheur, j'en omets ici quelques-unes. En 1864 le P. Nersès Sargisian (+ en juin 1866) faisait imprimer à Venise une Description de la Petite et de la Grande-Arménie, in-8', renfermant nombre de plans, de cartes et d'inscriptions arméniennes, géor- giennes, grecques et cunéiformes, recueillies par lui durant onze années de voyages, toutes plus intéres- santes les unes que les autres pour l'histoire de sa nation et des principaux couvents disséminés dansl'Ar- ménie septentrionale, ainsi que dans l'Asie- Mineure. C'est à son obligeance que j'ai dü la communication des beaux fac-similés des antiques inscriptions géor- . giennes et grecques insérées au t. VIII des Mémoires de l'Académie Impériale des se. X. 10. En 1865 le savant mékhithariste Léonce Alichan a publié à Venise une nouvelle édition, annotée et augmentée d'un Appendice, de l'historien Kiracos. Mal- heureusement il a cru utile d'omettre la lettre si in- téressante de Nersés-le- Gracieux au prince Alexis Comnéne, lettre tout à la fois historique et dogma- tique, qui est un document fondamental en fait de théologie, telle que l'entendent les Arméniens. C'est celle dont des extraits, ainsi que d'autres textes du méme genre, reproduits par Kiracos, ont été traduits à ma prière, en latin, par M. Petermann, de l'Acadé- mie royale des sciences, de Berlin; v. mon édition de Deux historiens, p. 194, sqq. En 1866, trois habiles orientalistes de Berlin réu- nissaient leurs efforts pour donner une nouvelle édition, en langue latine, des Canons chronologiques d'Eusébe, auquel l'éditeur en chef M. Alfred Schoene fournit ` la surveillance générale, et une Préface, M. le D' H. Petermann, aujourd'hui correspondant de notre Aca- démie, une Préface critique et une nouvelle version latine, revue sur plusieurs bons manuscrits, et y joi- gnait, par une trés heureuse idée, la traduction revue de S. Jéróme, offrant parfois avec les textes arménien et grec de notables différences. Enfin M. Roediger, également un de nos correspondants, enlevé depuis lors à la science, enrichissait ce travail de la traduction d'une curieuse chronique syriaque inédite, tirée des M'" de Londres. Quant à la 1" Partie de l'ouvrage de l’évêque de Césarée, si importante pour la critique - des textes anciens sur lesquels repose sa chronologie, MM. Schoene et Petermann n'ont pas résisté au désir de lui consacrer aussi leurs veilles savantes: cette 1" Partie a paru à Berlin en 1875, in-4”, et les amateurs de chronologie ancienne peuvent désormais jouir de la traduction compléte du célébre Chronicon bipartitum. En 1867 a paru la 2” édition, revue et augmentée — la 1" m'est inconnue — d'une description d'Ani, en arménien, à Théodosie. C'est une petite brochure, de 67 pages avec cartes et plans, contenant la plus grande partie des inscriptions de l'ancienne capitale des Bagratides, par le prétre Iohannés Abrahamian. Maintenant, avec le Voyage du P. Sargis Dchalaliants, avec les Ruines d’Ani et les copies du P. Nerses Sar- gisian, dans l'ouvrage cité plus haut, on peut exé- cuter un beau travail d'ensemble sur les antiquités d'Ani. M. Langlois, enlevé à la science dans touté la vi- gueur de la jeunesse, en mai 1869, avait formé le . plan d’une collection d’historiens arméniens en cinq volumes, publiés en traduction francaise et dans l'ordre des Sciences de Saint - Pétersbourg. chronologique. Deux volumes in-8” á deux colonnes ont paru en 1867 et 1869, le dernier en méme temps qu'une traduction complete par le méme de l'Histoire universelle de Michel le Syrien, fin du XIT’ S., précé- des, en 1863 du Trésor des chartes d'Arménie: il n'est pas étonnant que des travaux aussi considérables que ceux-là aient épuisé avant le temps celui que les fatigues d'un voyage en Cilicie, exécuté en 1853, avaient déjà fortement éprouvé. En la méme année 1869 M. Ed. Dulaurier, membre de l'Académie des Inscriptions et belles-lettres, a mis au jour un beau volume in-f”, renfermant les textes, avec traduction francaise, d'extraits des historiens ar- méniens relatifs aux croisades. S'il réussit à donner une suite à ce grand travail, il aura bien mérité de l'Arménie et de la science historique. Encore dans la méme année notre Académie pu- bliait dans le t. XIII de ses Mémoires, VIT’ série, l'His- toire chronologique, ou mieux peut-étre la chronolo- gie historique de Mkhithar d'Airivank, avec traduction française et notes critiques, d’après un M” de son Musée asiatique, plus complet et meilleur que celui ayant servi à l'édition du texte seul, Moscou, 1860. Cette fois le texte du M' de l'Académie fut aussi publié, sauf un passage omis involontairement, avec une traduction russe, en 1867, 69, in 8”, par M. K. Patcanof, dans le recueil de la Société archéologique russe, consacré aux travaux sur l'orient. En 1870, 1871 M. Patcanof a encore mis au jour le texte et une traduction russe annotée de l'Histoire de la nation des archers, par Malakia-le-Moine, et, pour achever la revue de son activité littéraire, mentionnons tout de suite: en 1870, un Journal du siége d'Ispahan par les Avghans, d’après Pétros di Sargis, Arménien du Ghi- lan, témoin oculaire, dont le texte, en mauvais patois de Djoulfa, avait paru en 1863 dans les NN. de fé- vrier et de mars du journal arménien Yan%/.. la Cigogne. Ce texte, de difficile digestion à cause de son incorrection et d'une quantité de mots russes et ap- partenant aux diverses langues musulmanes, dont il est émaillé, a été critiqué et commenté avec soin par l'éditeur dans les Bannern ou Mémoires en langue russe de notre Académie, t. XVII. Encore en 1873, le chapitre LIH? de l'historien Arakel, sur les pierres précieuses, à fourni à M. Patcanof le sujet d'un travail fort conscien- cieux, au point devue de la philologie et du contenu, qui a Tome XXII. trouvé place dans le t. XVII des Travaux de la section orientale de la Soc. arch. russe. Enfin en 1874 il a essayé de compléter les recherches de Klaproth, de M. Dulaurier et les nótres, sur les invasions des Mon- gols, d'aprés les historiens arméniens. En 1871, une curieuse dissertation sur l'origine des noms des mois arméniens oü, entre autres choses, l'auteur essaie de trouver dans l’ancien sanscrit l’origine du nom de Vahagn, donné à l'Hercule arménien. La légende rap- portée par Moise de Khoren à ce sujet est si incom- pléte et si obscure, et l'on a tant abusé depuis le sa- vant Bopp de la faeulté d'établir des étymologies au moyen des mutations, suppressions et additions de lettres, qu'il n'est pas étonnant que la thése soutenue à ce sujet par M. Patcanof ait rencontré un contra- dieteur, dans la personne de l'Arménien et arméniste bien connu M. N. O. Emin. Il s'en est suivi une rude polémique, qui nous a valu 1” une brochure sous le titre Baxarm- Bmmanakax’ apmancroli wmoodorim ect Wnuapa-Birpahan Dr Deag, Pét. 1873. 2° Puis une ré- plique, Pét. 1873, de M. Patcanof aux Remarques de M. Emin, et 3" Une contre-réplique, Moscou 1874, de M. Emin. Cette polémique entre deux adversaires convaincus a certainement son cóté utile; il m'a paru toutefois qu'il s'y est mélé des considérations acces- soires, et que la critique était devenue trop acerbe. Aprés cette digression, si nous revenons sur nos pas, nous trouvons encore en 1869 la traduction alle- mande de l'historien Moïse de Khoren, publiée à Re- ` gensburg ou Ratisbone, par le D' M. Lauter, auteur d'une grammaire arménienne, Vienne 1869. En 1870 notre Académie a publié la traduction francaise de deux historiens, Oukhtanès d'Ourha, X° S., et Kiracos de Gantzac, XIII. S., dont la Préface contient, outre des notices biographiques sur les au- teurs, une exposition nouvelle de l'histoire et des régles du comput chronologique arménien. Si j'ai eu le bon- heur de rendre quelque service aux lettres arméniennes et aux savants qui lui ont consacré leurs veilles, je crois que c'est surtout par ce travail, dont l'idée fonda- mentale m'a été fournie par un résumé en quelques lignes, faisant partie du t. II, p. 143, des Useful tables de Prinsep. Imprimées d'abord dans le t. VI du Bulletin de notre Académie, puis dans le t. VI des Mélanges asiatiques, et de là, avec addition des nou- velles régles, dans la Préface des Deux historiens, - 307 Bulletin de l'Académie Imperiale 308 mathématiques facilitent singulièrement la conversion des dates ai i en dates de l’ère vulgaire et vice versá. Passons maintenant aux importantes publications sorties des presses d'Edchmiadzin, et remercions bien sincèrement Mr Géorg, catholicos actuel des Armé- niens, du zele éclairé qui lui a fait entreprendre de si utiles travaux, dont je vais exposer la série. En 1870 a paru à Edchmiadzin l'Histoire, du diacre Zakaria, qui, sous le titre de Mémoires historiques sur les Sofis, est placée en téte du 2" volume de notre Collection d'historiens arméniens. La méme année, le curieux Condac ou Cartulaire du couvent de Iohanna - Vank, ouvrage dont la tra- duction fait suite au précédent. Encore la méme année, l'Histoire de Nadir- Chah, pár le catholicos Abraham, de Crète, témoin oculaire de l'avénement de ce prince, également traduit ici par nous. Encore en 1870, deux petites Histoires d'Arménie, l'une en vers, du vartabied Siméon, d'Abaran, attaché au couvent de Medzop, vivant à la fin du XVI' $. Elle traite spécialement des familles Pahlavide et Ma- miconienne; l'autre, la réimpression d'une Histoire d'Arménie et des empereurs romains, sans grande va- leur, écrite en prose par Minas, d'Amid. On croit que c'est lui qui, dans les dernières années du XVII? S., était patriarche de Jérusalem. L'infatigable bibliophile arménien, M. Miansarof a su retrouver une édition princeps de ce dernier livre, imprimé en 1184 arm. (Sam. 19 septembre) = 1734, à Constantinople. En 1871, David-Beg, histoire anonyme du soulève- ment des Arméniens de la Siounie — le Qarabagh — contre les Osmanlis, en 1721 — 1727, éditée par M. Abgar Goulamiriants, libraire et bonua de lettres. La méme année, le texte de l'Histoire d'Arménie, par l'évéque Oukhtanés, d'Ourha ou de Sébaste, car les deux opinions ont cours, écrivant vers la ín du A S. C'est un abrégé d'histoire universelle, suivie du récit, circonstancié et sur documents, de la séparation des Géorgiens d'avec les Arméniens, au point de vue des dogmes et de la hiérarchie, ouvrage dont nous avons donné la traduction en 1870. Une 3° Partie, p. LVI, enfin en abrégé, dans le t. XIX des Mémoires | qui contenait l'histoire de la conversion de la peuplade de notre Académie, X 5, ces règles rationnelles et | heureusement dans le seul manuscrit, presque contem- peu connue des Dzads au christianisme, manque mal- porain de l'auteur, que l'on connaisse, et qui parait avoir été mutilé par une malveillance préméditée. On ne sait ce qu'est devenu ce précieux codex. En 1872, 1873, M. Al. Eritsof, de Tiflis, a publié en russe huit N’ d'un ouvrage périodique, Kanskaackas crapnaa «l'Antiquité caucasienne,» un excellent recueil in-4” avec Planches lithographiées, consacré à l’his- toire de quelques-uns des principaux couvents de l'Ar- ménie russe, renfermant aussi des documents inédits, relatifs à l'histoire moderne. L'entreprise parait mal- heureusement s'étre arrétée faute de ressources. Le méme auteur a donné en 1874, sous le titre de Calendrier familier, en langue arménienne vulgaire, un travail que l'on peut recommander aux lecteurs, comme une source abondante de renseignements sta- tistiques concernant la nation arménienne, en Russie et dans les pays musulmans, 226 pages format petit in-4”. En 1875, il est sorti des presses d'Edchmiadzin, sous le titre arm. de Dchambr, équivalant à Kamepaasuoe onucaxie, une description statistique très intéressante des propriétés d’Edchmiadzin, en 25 chapitres, avec addition de documents et chartes octroyées audit mo- nastére par les souverains osmanlis et par les Persans. C'est l’œuvre du catholicos Siméon, d’Erivan, siégeant 1763 — 1780, remplie de notices historiques rela- tives aux localités et aux personnes et munie d'un Index alphabétique, rédigé en 1828. Encore en 1873 le t. XX du Bulletin de notre Aca- démie a donné une Notice sur le prétendu masque de fer arménien, qui n'est autre que le patriarche Avétik de Constantinople, enlevé par la diplomatie francaise en 1706 et mort à Paris le 21 juillet 1711. La question du masque de fer, aprés recrudescence dans ces dernières années, semble complètement résolue par l'ouvrage de M. Th. Iung, Paris, 1872. «La vérité sur le masque de fer,» où il est démontré que l'individu qui porta durant 30 ans un masque de velours, 1673 — 1703, et mourut à la Bastille en la derniere an- née ici marquée, n'est autre que le chef d'un complot contre le roi Louis XIV, complot qui avait de redou- tables ramifications dans la société du temps. Mentionnons encore en passant le Registre chrono- des Sciences de Saint - Pétersbourg. logique d'Arakel, inséré aux Mémoires de notre Aca- ! de l'historiographie arménienne : démie, t. XIX X 5, où sont sévèrement critiquées les dates formant la charpente de la chronologie du var- tabied de Tauriz. En la même année je dois une mention à la De- scription du couvent de Géghard ou Airivank, impri- mée par le vartabied Stéphannos Mkhithariants, ou- vrage orné de quelques gravures et contenant l'histoire compléte du monument, ainsi que les inscriptions tra- cées sur ses murs. Je crois qu'il en manque quelques- unes, notamment celle que Dubois, t. III, p. 389 de son Voyage, dit étre la plus grande inscription armé- nienne qu'il ait vue, et dont le contenu n'a pas encore été livré à la curiosité des lecteurs. Il n'est pas permis de terminer cette longue énu- mération, sans donner aussi une mention trés hono- rable à une dissertation doctorale, formant un bon volume in-8', de M. Troitzki, sous le titre de « Expo- sition de la foi de l'église arménienne, tracée par le catholicos arménien Nersés, à la demande de l'empe- reur grec Manuel,» dissertation historico-dogmatique ‚se reliant à la question de la réunion de l'église ar- ménienne à l'orthodoxie; St.-Pétersbourg, 1875, en russe. C'est un ouvrage trés savant, trés logique, mo- déré dans la forme, mais trés rigoureux au point de vue du dogme, où l'auteur soutient que, quoi qu'ils en disent, les Arméniens sont monophysites. Il serait possible que le grand travail de M. Troitzki füt suivi d'une réplique catégorique, par un Arménien trés au fait des questions théologiques, M. Emin, qui me pa- rait avoir mis la raison et la science de son cóté, dans la polémique dont j'ai parlé plus haut contre M. Patcanof. Je ne mentionne du reste qu'en pas- sant, comme n'étant pas du domaine de l’histoire, divers articles du méme auteur, parus dans ces der- nieres années, et consacrés à des sujets religieux- légendaires et à des livres apocryphes. Il a encore paru en 1875, à Moscou, une «Histoire des catholicos d' Edehmiadzin, depuis Siméon, jusqu'à Jean VIII, 1763 — 1831,» par Mser-Magistros Msé- riants, de Smyrne, joli volume 8”, en langue littérale arménienne. Les lecteurs y trouveront beaucoup de détails intimes sur les catholicos Siméon, Loucas, Iosif Arghouthinski-Dolgorouki, Daniel et David, Ephrem, Jean et un certain nombre de documents intéressants. Il me reste à exprimer en terminant les desiderata une bonne édition du texte de Matthieu d'Édesse, au moyen des manu- scrits de Paris et de Russie; celle du texte de la Chro- nique de Michel le Syrien; enfin une bonne traduction de l'ouvrage de Jean-catholicos, d'aprés la collation des textes. $ II. Le second volume de la Collection d'historiens ar- méniens, traduits en francais”), renferme les Mémoires sur les Sofis et le Cartulaire du couvent de Iohanna- Vank, par le diacre Zakaria; l'Histoire d'Aghovanie, par le catholicos Hasan- Dchalaliants; celle de David- Beg; enfin celle de Nadir-Chah, par le catholicos Abra- ham, de Crète: c’est donc, avec l’œuvre d’Arakel et celle de Jean de Dzar, de notre 1” volume, le récit continu, sinon complet, des événements de 136 an- nées, 1600 — 1736, tracé par des contemporains, té- moins oculaires et parfois acteurs, récit intéressant l'Arménie, la Perse et la Turquie. Quant à l'Histoire d'Aghovanie, p. 193 — 220 de ce volume; à celle de David-Beg, p. 221— 255, et à celle de Nadir-Chah, p. 257 — 355, on trouvera au commencement de chaque ouvrage le peu de notices qu'il m'a été possible de me procurer sur leurs auteurs. Ici je dois réclamer une grande indulgence. La plus sérieuse difficulté que j'aie rencontrée dans l'in- terprétation des textes que j'offre au lecteur studieux est la multiplicité des mots non arméniens dont ils fourmillent. Chez Arakel, environ 140, non compris les 250 employés dans les 19 pages du ch. LIII, sur les pierres précieuses; chez Zakaria, plus de 300; enfin, dans l'Histoire de Nadir-Chah, un nombre tel- lement considérable, que non content des équivalents donnés parfois par l'auteur lui-méme, dans son texte, l'éditeur en explique et commente quelques-uns au bas des pages, et qu'à la fin du livre il a joint un vo- cabulaire de 334 mots; j'ai moi-méme recueilli par milliers les expressions empruntées par les &erivains géorgiens et arméniens aux langues musulmanes, et fatigué mes amis de questions à ce sujet. Le Dastoul- amal, ou Règlement pour les fonctionnaires de la cour des rois de Géorgie, est pour ainsi dire à moitié seu- lement géorgien. Or, dans l'Histoire de Nadir-Chah, outre les mots et locutions isolés, il se trouve des *) L'impression est achevée, et ce volume paraitra sous peu. 20* 311- Bulletin de l'Académie Empériale phrases complétes, des discours de plusieurs lignes, en turk et en persan, simplement transcrits en carac- téres arméniens. Pour les mots et pour certaines petites phrases, j'ai pu avec assez de certitude les traduire, au moyen des Dictionnaires turk-francais de Bianchi et persan en lettres arméniennes, de Douz- Oghlou, et n'ai cité au bas des pages de ma traduction que les mots les moins usités, ou qui me laissaient quelque doute. Quant aux phrases plus longues et aux discours, j'ai dü recourir à une personne connaissant la langue turque. J'ai donc retranscrit de l'arménien en lettres latines les textes de cette espéce et les ai soumis à M. Smirnof, professeur de langue turque à l'Université Impériale de S.-Pétersbourg, qui a bien voulu en essayer la restitution en lettres turques et l'interprétation. On comprend aisément ce qui peut résulter d'une double transcription: Persans, Turks, Tatars, Arméniens, prononcent chacun à sa maniére les mots arabes; consonnes et voyelles surtout sont représentées par des lettres différentes chez les Ar- méniens et surtout chez les occidentaux qui s'occupent de Porient, de manière à devenir presque méconnais- sables. A dire le vrai, je ne crois pas que les phrases dont il s'agit renferment autre chose que des banalités de couversation, sans valeur historique, pour l'ordi- naire, mais pourtant j'ai vite compris qu'il valait mieux exclure complétement les passages rentrant dans cette catégorie jusqu'à succés satisfaisant de la double ma- nœuvre indiquée. Voici, du reste, l'indication des endroits scabreux de l’œuvre du catholicos polyglotte. P. 268 de ce 2” volume, aprés «Comment te por- tes-tu,» ajoutez: «Te portes-tu bien?» P. 269 lis.: «La faute n'en est à personne, mais à mol.» P. 276 lis.: «Tu es vieux et impotent. » P. 281, rien á changer. P. 285 lis.: «A cause des froids de l'hiver et des embarras. » Plus bas, ibid.: «J'ai vu ta majesté bien disposée et resplendissante.» Cette traduction doit remplacer l'essai d'interprétation, conservé là. P. 305, passages omis et vers persans; P. 307 ; ‚313, 330 id. J’ai l’espoir qu’il sera possible de restituer intégra- lement ces malheureuses omissions. En ce qui concerne Samouel le Prétre ou Samouel d’Ani, les PP. Somal, dans son Quadro della St. let- ter. di Armenia, et Garégin, dans le t. 1” de son Hist. de la littér. arménienne, en arm. vulgaire, nous disent seulement qu'il écrivait, vers la fin du XIT’ S., à la priere du catholicos Grégoire III, dit Pahlavouni ou Pahlavide, sa compilation historique, atteignant l'an 1179 de J.-C. et continuée par un anonyme. Cet ouvrage, qui n'est dans la 1" Partie qu'un abrégé trés suceinet, sans critique ni commentaire nouveau, de celle du Canon d'Eusébe, a été publié en latin, à Milan, en 1818, par le docteur Zohrab, avec la coo- pération du cardinal Angelo Mai, puis à Rome, en 1839: je n'ai jamais vu cette derniére édition, dont parle le P. Garégin, 1. c. p. 550. Pour les Notions complétes sur Zakaria le diacre et sur Samouel d'Ani, afin d'éviter des répétitions inu- tiles, je prends la liberté de renvoyer le lecteur au t. XIX de notre Bulletin, p. 320 — 333, et t. XVIII, p. 402—442; Mél. asiat. t. VII, p. 93, t. VI p. 741 sqq. J'ajoute, que M. A. Gutschmid, aujourd'hui professeur à l'Université de Iéna, a fait paraitre en 1868 une intéressante dissertation «De temporum notis, quibus Eusebius utitur in Chronicis canonibus. Kiliæ» 28 p. in-4”. Ein Paar Worte gegen die altslavischen Wurzeln mit silbenbildenden 7 und /. Von 0. Bühtlingk. (Lu le 25 mai 1876.) In der Vorrede zu dem vor Kurzem erschienenen 2" Bande der vergleichenden Grammatik der slavi- schen Sprachen bricht Fr. Miklosich von Neuem eine wuchtige Lanze für das silbenbildende r und /; insbesondere ist es ihm darum zu thun, dieselben in den Wurzeln des Altslavischen einzubürgern. Ich be- absichtige nicht den ausführlichen Erórterungen des berühmten Slavisten auf Schritt und Tritt zu folgen, erlaube mir aber in den nachfolgenden Zeilen einige, wie es mir scheint, nicht ganz unerhebliche Bedenken gegen seine Theorie zur Sprache zu bringen und sei- ner Erwügung anheimzustellen. Zuvórderst müssen wir uns aber über den Begriff «Wurzel» zu verständigen suchen. Von Wurzeln im eigentlichen Sinne des Wortes, d. i. von einfachen, nicht weiter zerlegbaren bedeutsamen Lautcomplexen, des Sciences de Saint- Pétersbourg. 314 aus denen der ganze spütere Wortschatz einer Sprache aufgebaut wird, kann, wenn man von diesem ganz ab- sieht, in keiner indogermanischen Sprache die Rede sein, da die Wurzel als solche hier kein selbststündiges Leben mehr hat. Wenn wir von Wurzeln im Sanskrit oder im Slavischen reden, so verstehen wir darunter jene einfachen Lautcomplexe mit dem Begriff einer Thätigkeit, die der Inder oder Slave in bestimmten Gruppen von schon vorhandenen Wortformen als die- sen zu Grunde liegend fühlt und nach denen er greift, wenn er selbst eine neue Wortform bildet. Die Wurzel der indischen und slavischen Grammatiker ist der aus der Zerlegung der von ihnen für verwandt angesehe- nen Wörter mit Bewusstsein erschlossene Lautcomplex mit dem Begriff einer Thätigkeit. Die vom Volke bloss gefühlte und die vom Grammatiker erschlossene Wurzel brauchen nicht immer zusammenzufallen. Es ist gar wohl denkbar, dass dem Inder bei der Bildung von Wörtern AT und fAT auf ganz gleicher Stufe stan- den, während der Grammatiker geneigt ist, AT für die ursprüngliche Wurzel zu halten und fq auf dieses Az zurückzuführen. So verhält es sich mit allen Wurzeln, die die indi- schen Grammatiker mit E schreiben. Die Wurzel, die begrifflich unserm « thun, machen» entspricht, er- scheint als RT, %, Pq, WI: und eh; die für unser «schneiden» als quj, qq und qq. Die einheimischen Grammatiker nehmen hier & als urspünglichen Vocal an und erklären 9 für eine Steigerung dieses Vocals, die der Steigerung des 3 zu € und des 3 zu At ent- sprechen soll. Hierdurch vereinfachen sie die Regeln der Grammatik, indem die für Wurzeln mit i und 3 geltenden Regeln auch auf die mit 8 angewandt wer- den künnen. Der Umstand, dass AT phonetisch sich zu ® ganz anders verhält als 7 zu 3 und 8T zu 3, konnte ihnen ganz gleichgiltig sein. Unser Bestreben aber muss dahin gehen, diejenige Form der Wurzel zu Grunde zu legen, aus der alle übrigen am leichtesten sich ableiten lassen und dieses ist ohne allen Zwei- fel AT und at, mq ist die einfache Verlängerung von TI, 9 eine Verkürzung desselben vor Vocalen, % eine die Aussprache erleichternde Modification dieses d . Vor Consonanten und in FT sehen wir wie auch in andern Fällen ein 4 in 3 übergehen. Ganz anders gestaltet sich das Verhültniss bei den- jenigen Wurzeln, denen .die indischen Grammatiker ein R zuerkennen. Die Wurzel, die sie q schreiben, erscheint als Ag, 414, feq; AT, AT, nie aber als q. Wie aber die indischen Grammatiker darauf gekommen sind derartige Wurzeln aufzustellen, ist schon an einem andern Orte auseinandergesetzt worden, mag aber hier wiederholt werden. Es kam ihnen darauf an, die Wur- zeln mit 47, die auf dreierlei Weise flectirt werden, schon im Wurzelverzeichniss zu sondern, um sich da- durch die Aufzühlung derselben in der Grammatik zu ersparen. Diejenigen Wurzeln, die in der Flexion ihr " überall bewahren, wurden im Wurzelverzeichniss mit A] geschrieben; diejenigen, die in der Flexion # zeigen, erhielten schon im Wurzelverzeichniss ein E; diejenigen endlich, die in der Flexion mit ZT U. 8. w. erscheinen, treten als Wurzeln mit 37 auf. Wenn ein europüischer Grammatiker im Sanskrit von Wurzeln mit E redet, so wird er in seinem Arsenal vielleicht noch Waffen zur Vertheidigung derselben finden; spricht er aber von Wurzeln mit E, das in der Sprache überhaupt nur im Gen. und Ace. der Nomi- nalstámme auf 97 erscheint, dann mag er sein Schwert ruhig in die Scheide stecken und erkliren, dass ihm diese Märe von seiner Amme überliefert worden sei und dass er sie dieser getreu nacherzihle. Giebt man aber zu, dass ein Grammatiker, dem die Theorie über die Praxis geht, kein Recht hat Sanskrit- Wurzeln mit 37 aufzustellen, so ist damit auch der Stab über die slavischen Wurzeln mit silbenbildenden r und / gebrochen. Das Altslavische kennt r und 4 nur als ächte Consonanten: es giebt kein einziges alt- slavisches Wort, in dem r oder / ohne einen nach- folgenden Vocal eine Silbe bildete, es sei denn, dass man z und » nieht für Vocale hielte. Dass diese aber bei der Einführung der Schrift Vocale waren, hat kein urtheilsfühiger Slavist, am wenigsten Miklo- sich selbst, je in Abrede gestellt. Nun will ich gern zugeben, dass diese Vocale sehr bald ganz ver- stummten und dass neuere slavische Dialecte ein sil- benbildendes r und / in der That besitzen. Erhalte ich aber dadurch schon ein Recht, einen entschieden jüngern Laut in eine Wurzel, die mir ältere Formen der Sprache erklären soll, ohne Weiteres einzuschwär- zen? Aber ich gehe noch weiter und behaupte, dass auch das auf r und / folgende z oder » nicht als Wur- zelvocal gelten könne, da, wie die Sprachvergleichung uns lehrt, diese Vocale nichts weiter als im Verfall y > 315 Bulletin de l'Académie Impériale begriffene ältere vollere Vocale darstellen. Und diese | Palletin, d a volleren Vocale haben sich nicht selten in Wortformen erhalten, die ich auf eine solche verkriippelte Wurzel zurückführen soll! Nur die Schwierigkeit diesen vol- leren Vocal mit Sicherheit zu bestimmen, konnte, wie ich annehme, Miklosich auf die Idee bringen, den gordischen Knoten auf die Weise zu lósen, dass er den Vocal einfach ausschnitt und die Consonanten r und / auf die ungerechteste Weise vor der Zeit degra- dirte. Zum Schluss erlaube ich mir noch den Leser auf die ' sorgfältigen Untersuchungen von Eduard Sievers *) über die Doppelnatur nicht nur von > und /, sondern auch von m, n und s aufmerksam zu machen. Wenn diese Laute silbenbildend sind, unterscheiden sie sich der Intensität und Quantität nach von den entsprechen- den Lauten mit consonantischer Function. Fallen sie aber mit diesen in der Aussprache nicht zusammen, so müssen sie auch in der Schrift unterschieden wer- den. Man bezeichne demnach in den neuern slavischen Dialecten das silbenbildende r und / etwa durch r (7) und / und gedenke dabei der Inder, die zu demselben Endzweck die Zeichen 8, # und 4 erfanden. Die Sprachgeschichte wird überall im Stande sein nach- zuweisen, dass die oben erwühnten Zwitterlaute, wenn sie für sich allein silbenbildend sind, an Stelle einer ülteren volleren Silbe stehen. | KENT AE BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. L'Académie a recu dans ses dernières séances les ouvrages dont voici les titres: Firdusii liber regum qui inscribitur Schahname, editio- nem Parisiensem diligenter recognitam et emenda- tam lectionibus variis et additamentis editionis Cal- cuttensis auxit, notis maximam partem criticis illu- stravit Joannes. Augustus Vullers. Tomi primi fascicu- lus primus. Lugd. Bat. 1879. 8. Le epigrafi arabiche di Sicilia, trascritte, tradotte e illu- strate da Michele Amari. Parte prima. Iscrizioni edili. Palermo 1875. 4. Dulletin de la Société mathématique de France, publié par les secrétaires. T. IV, Mars, N 3. Paris 1876. 8. *) Grundzüge der Lautphysiologie, $ 5 und 22, elle scienze matematiche e fisiche, pubblicato B. Boncompagni. Tomo VIII. Settembre, Ottobre, Novembre, Dicembre 1875. Roma 1875. 4. Archiv für Mathematik und Physik. Gegründet von J. A. Grunert, fortgesetzt von R. Hoppe. Th. LVIII Heft 4. Th. LIX Heft 1. Leipzig 1876. 8. Monthly notices of the Royal Astronomical Society. An- ` nual report of the Council. Vol. XXXVI N 4. Fe- bruary 1876. 8. Memorie della società degli spettroscopisti italiani rac- colte e pubblicate per cura del Prof. P. 172 2 1876. Dispensa 1. 2. 3. 4. Palermo 1876. Calloud, Francesco. Scioglimento del disi della quadratura del circolo. Parma 1876 Annuaire pour l'an 1876, publié par le bureau des longi- tudes. Paris. 12. Connaissance des temps ou des mouvements célestes à l'usage des astronomes et des navigateurs pour l'an 1877, publié par le bureau des longitudes. Paris 1875. 8. Berliner astronomisches Jahrbuch für 1878 mit Epheme- riden der Planeten @ — (422 für 1876. Berlin 1876. 8. Results of astronomical and meteorological observations made at the Radcliffe Observatory, Oxford, in the year 1873, under the superintendence of the Rev. Robert Main. Oxford 1875. 8. Astronomical and meteorological Observations made du- ring the year 1872, at the U. S. Naval Observatory. Washington 1874. 4. Tacchini, P. 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The Cholera epidemic of 1873 in the United States. Wa- shington 1875. 8. i Paru le 1 septembre 1876, othricheen | dU L Cienkowski. Zur Morphol "Ma? lAcad Imp. deet XX a e = e e c £5 v ni TO € € -— -£- ce mar > Lith. Anst. v Ivanson, StPeteraburg, , Zur Morphol.d Ulothricheer. [ Cienkowski. KEES) A g C SE E x | i Y cm { (Ag f — e AAA) y 7 KI > m) dU GE? (q) H o = E Bullet Acad Imp.d.sc.LAXL. - Autor del. XS E t. z NEWEST 537 atq det LT T TUUS c TRE FE = - - * H SEN e: T. XXII, N^ 3. BULLETIN DE L'ACADEMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG. TOME XXII. (Feuilles 21—31.) CONTENT. Page. N. Géleznow, Recherches sur la quantité et la répartition de l'eau dans la tige des CI A a o. E au ur et ous 321—358 V. Bouniakowsky, Sur quelques propositions nouvelles relatives au systeme de Le- gendre 2) o ex o EE 358—377 M. Avenarius, Sur les causes qui déterminent la température critique (avec 1 planche) . 378—389 F. W. Woldstedt, Sur une collection d’Ichneumonides de Silésie. ............. ia aA 390—402 L, fosa Parerga Ee EE EE 402—409 ee A Iu bre 0 440—454 M. Brosset, De la Chronologie technique géorgienne, ecclésiastique et civile.......... 455—488 G. Lawrinowitsch, Sur le pinacone et le pinacoline qui se forment du méthylæthylketon 488 —492 Bulletin amens cec A DR Me E T T 492—496 > On s'abonne: chez MN. Eggers € Ci°, J. Issakof et J. Glasounof, libraires à St.-Pétersbourg; au Comité Ad- : ministratif = l'Académie (Kowwrert IIpaszenis Ummeparoperofi Axaxemin Hayks); N. Kymmel, libraire à Riga, et chez M. Léopold. Voss, libraire à Leipzig. Le prix d'abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 3 rbl. arg. pour la Russie, 9 marks Allemands ROUE l'étranger. Imprimé par ordre de 1 cdi Impérial e des sci jences Décembre 1876. o C. Vessélofski, Serbii perpétuel. Imprimerie de l’Académie Impériale des sciences. (Vass.-Ostr., 9° ligne, X 12) PU | BULLETIN DE L'ACADEMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG. Recherches sur la quantité et la répartition de l'eau . dans la tige des plantes ligneuses. Par N. Gelez- now. (Lu le 19 décembre 1872.) L'eau joue un róle si important dans la vie des plantes, que l'étude détaillée de la distribution de ce liquide dans les différents organes, et aux différentes époques de la végétation, mérite pleinement l'attention des physiologistes. Une circonstance particulière m'a déterminé à entreprendre cette étude. Il y a bien des années (1854 ou 1855) qu'un fait curieux a attiré mon attention. J'ai remarqué, pendant un hiver froid, aux environs de St.-Pétersbourg, que les branches inférieures d'un tilleul touchaient le sol par leur extrémité, tandis que par un temps plus doux, en été, ces mémes branches étaient relevées de maniére, qu'on pouvait facilement ‚se tenir debout sous leur ombrage. Ce fait remarquable a été signalé pour la premiere fois par M. Rogers. L'hiver de l'année 1833 était trés rigoureux en Angleterre et a fait périr ou a en- dommagé beaucoup de plantes. Le célébre Lindley, rassemblant de toutes parts les notions concernant cetto dévastation, publia la remarque de M. Rogers*). Ce propriétaire du duché de Kent remarqua que, pendant un matin trés froid les branches des tilleuls plantés dans son jardin penchaient vers la terre et obstruaient le passage. Il avait déjà l'intention de les couper, lorsque, dans la journée devenue plus chaude, le phé- noméne disparut, c'est-à-dire que les branches se re- levérent de nouveau. . En 1865 et en 1866 M. le professeur Caspary a étudié le méme phénomène à Königsberg avec un plus grand soin et sur plusieurs espèces d'arbres. Cet illustre savant attribuait l'abaissement et le reléve- ment des branches, comme M. Rogers, à l'action du froid, sans donner d'explication sur ce fait. ") Lands 1867 parut à Bäle un petit mémoire de *) Les citations ERTS seront communiquées après. 1) Uber die Veränderungen der Richtung der Äste holziger Gewächse bewirkt durch niedrige Wärmegrade. Extrait du: Report of the international Exhibition et botanical Congress. London, 1866. Tome XXII. M. Beyer*). H y était question des branches de sapin séchées nat Let dépourvues d'écorce, qu'on em- ploie généralement en Suisse, en les humectant, comme de véritables hygrométres et méme assez sensibles. J'ai observé souvent des branches séches recou- vertes d'écorce, attachées à l'arbre, chez un Pinus Strobus, aussi bien que séparées et je me suis assuré qu'elles jouaient beaucoup moins que les branches | fraiches. Je les ai employées, celles du tilleul princi- palement, non comme hygrométres, mais comme ther- mométres. En fixant horizontalement par sa base une branche droite et en tracant vers son extrémité, sur une planche verticale, un arc divisé en degrés, j'ai pu observer de loin l'intensité du froid, indiqué par le sommet de la branche, plus ou moins inclinée. Je n'ai pas, d'ailleurs, l'intention de réfuter ici l'assertion de M. Beyer. Il est évident que le bois, comme substance hygroscopique, est sujet à l'influence de l'humidité at- mosphérique. Je remarquerai seulement, que M. Beyer rigen du bois sec et dépourvu d'écorce, tandis que J ai expérimenté avec le bois frais et recouvert d'écorce. Je me suis assuré par une longue série d'obser- vations, faites en 1864 et 1865, que la position excen- trique de la moelle influait sur le phénomène. On sait, par la remarque du feu M. Schimper de Manheim?), que le canal médullaire est loin de se trouver toujours exactement au centre de la branche. Dans quelques espéces il est placé constamment au-dessus du centre géometrique, comme dans les coniferes; dans une foule d'autres epéces il est placé au-dessous etc. Or pour prouver que cette position excentrique exerce une in- fluence prédominante dans l'abaissement des branches par le froid, j'ai fixé la base de plusieurs branches de tilleul, de bouleau, d'orme et autres, dans la position naturelle, c'est-à-dire le canal médullaire se trouvant plus prés de la terre. D'autres branches de méme espéce, de dimensions trés approximativement les mémes, étaient renversées, le canal médullaire se trou- vant au-dessus du centre géometrique. L'expérience 2) Amtlicher Bericht über die 31. Versammlung vp Se turforscher und Ärzte in Göttingen. 1854. a 1860, p. 8 323 Bulletin de l'Académie Impériale D était préparée pendant le dégel. Les branches se trou- vaient droites et leurs sommets sur le 0? au milieu de Pare; mais par le froid survenu, les branches se sont courbées en sens opposé. Ceci prouverait que c'est - la position de la moelle qui détermine leur direction. D'où vient cependant que les branches de pin, tout en ayant une position inverse de la moelle, s'inclinent par le froid pourtant dans le méme sens que le tilleul, tandis qu'elles devraient se relever. Cette circonstance m'a engagé à entreprendre, en 1865 — 1867, une étude des propriétés du bois frais dans différentes parties des branches, au-dessus et au- dessous de la moelle et à différentes époques de l'an- née. Il me semblait que l'humidité, répartie inégale- ment plus haut ou plus bas du canal médullaire, pou- . wait produire et expliquer le phénomène de l'abaisse- — `, ment et du relèvement. J'ai choisi pour cela quelques espéces qui se trou- vaient dans différentes parties du pare de l'Académie agricole et forestiére de Pierre le Grand prés de Mos- cou, en exemplaires de grandes dimensions, dont quatre conifères savoir: le pin ordinaire, le sapin, le mélèze et le pin Lord; de méme que le bouleau, le chene, l'é- rable, Porme et l'ormeau. Quelques résultats de ces rechefches, que j'ai l'in- tention de publier séparément, pourront étre placés utilement dans ce mémoire: 1) A commencer de la base de chaque branche l'eau augmente successive- ment vers son sommet. 2) L'écorce du mélèze, à toutes les époques de l'année, est plus humide que le bois. 3) Dans les coniféres le bois de la partie supérieure de la branche, qui se trouve au-dessus du canal mé- dullaire, est toujours plus chargée d'eau que la par- tie inférieure. 4) Dans plusieurs autres arbres c'est la partie inférieure qui est plus aqueuse, comme dans le bouleau. . Il parait donc que le bois des conifères et celui des autres arbres dicotylédonnés possedent des propriétés opposées sous le rapport de l'humidité. De là il y a cer- tainement loin à une explication suffisante du phéno- mene de l'abaissement des branches par le froid, mais . au moins voit-on- clairement que c'est dans cette di- ` rection qu'il faut chercher la vérité. Pour obtenir des résultats concluants j'ai opéré sur un seul arbre de chaque espéce, qui avait assez de branches pour pouvoir les couper tous les mois une à dm une pendant toute une année. Mais comme les branches devaient être prises à des hauteurs différentes, je dou- tais que la quantité d’eau fût partout la même. 11 fallut donc entreprendre une nouvelle série de recherches pour pouvoir faire des corrections convenables. C'est justement cette série d'observations qui fait le sujet de ma présente communication. C'est dans la suite, quand je serai parvenu à rassembler assez de faits pour un mémoire général sur la distribution de l'eau dans les plantes, que je me propose d'exposer la littérature de cette matière. Pour le moment je n'ex- pose que mes propres observations. Voici comment j'ai opéré: J'ai choisi dans le parc de l'Académie trois groupes d'arbres, qui contenaient un assez grand nombre de sujets de la méme esptce, à peu prés du méme áge et des mémes dimensions. Ils provenaient du semis naturel dans le temps que le parc était complétement délaissé. Le groupe le plus éloigné était composé de pins et se trouvait, en hiver, à 10 minutes de chemin de mon habitation; le groupe intermédiaire qui était le plus grand contenait des bou- leaux, des trembles et quelques autres plantes. Enfin les érables végétaient tout prés, dans mon jardin parti- culier, au milieu des grands érables, leurs progéniteurs. Les arbres étaient àgés de 11 à 36 ans, mais les sujets de la méme espéces ne différaient en áge que de 4 à 12 ans. Ils avaient la hauteur de 4 à 9 m. et un dia- _ métre de 4 à 10 cm. prés du sol. Les observations ont duré toute une année, depuis le mois de mars de l'année 1868 jusqu'à celui de l'année 1869. Chaque mois, et au jour indiqué, aussi régulièrement que le permettaient mes occupations principales, je coupais avec une scie un arbre de chaque. espece. Pour la coupe je choisissais toujours un temps sec; à cause de cela j'étais obligé de la remettre quelquefois pour plusieurs heures et méme pour plu- sieurs jours. Je coupais l'arbre à fleur de terre ou à une hauteur qui ne dépassait pas 60 cm. (quand la neige entourant la base de l'arbre, entrait dans les fissures de Pécorce et empéchait de la bien essuyer, ou quand quelques autres circonstances ne permettaient pas de couper plus bas). Lorsque l'arbre abattu était transporté dans la chambre et divisé en cinq par- zi ties presque égales, on détachait d'abord de sa base une pièce de la longueur de 5 cm. environ. Cette — opération se faisait au froid et en été du moins dans — £ des Sciences de Saint- Pétersbourg. (A ni Dm A e Mo XS $9 ke, A E a tw = Kx E NAE E A: e e IN LA EXT CARE Cu f A d uer E, Wear ed ES RUE bei. Cid A xL PA Ce dar Bag Se ra GES We? zb Ze & e : 1 un endroit frais, pour éviter, autant que possible, la | mois pour donner une idée approximative des météores perte de l'eau pendant la préparation et les pesées. | de cette année, qui influent le plus sur la végétation. La surface inférieure et supérieure de la pièce étant très vite égalisées par un instrument tranchant, on la pesait dans un verre couvert. Ensuite on détachait l'écorce et pesait le bois seul. La méme chose se ré- pétait successivement avec les autres quatre pièces. Elles étaient toutes conservées dans un endroit sec dans des capsules en papier. La dessication définitive se faisait à 120? C. : Les résultats de toutes ces opérations sont con- signées dans les tableaux suivants. Je sais bien qu'il n'est pas d'usage d'imprimer les chiffres, dont on ob- tient les pour cents d'eau; j'espére néanmoins qu'on me passera cette exactitude superflue pour des consi- dérations que je compte expliquer un jour. Pour ne pas augmenter le nombre déjà assez grand des chiffres, j'aurais pu omettre aussi les dimensions, exactement mesurées des piéces de bois pesées et les intervalles non pesés, qui se trouvent dans la dernière et l'avant derniére colonnes des tableaux; mais j'aime mieux les voir imprimés ici, pour donner une idée plus claire des arbres sur lesquels j'ai opéré et pour pou- voir, peut étre ensuite, en faire quelque usage utile, que je laisse maintenant sans considération. | Je n'avais pas assez de temps pouf suivre constam- ment et assez en détail tous les phénoménes aériens, qui peuvent influer sur la quantité d'eau dans les plantes. L’observatoire météorologiques projeté de l'Académie ne fonctionnait pas encore. J'ai du donc me con- tenter de quelques remarques, par exemple sur la température de l'air au moment de la coupe de chaque arbre, etc. que je place ici telles que je les ai notées dans mon journal. Je me propose dans la suite de faire une étude spéciale de l’influence des phénomènes météorologiques sur le contenu de l'eau dans les plantes; cependant, maintenant, pour donner une idée sur la marche du temps dans mes recherches, j'ai consulté les tables des observations météorologiques, qui se pub- - lient dans les Annales de l'observatoire physique cen- tral de Russie, et qui se font entre autre à Moscou à l'institut des arpenteurs à la distance en ligne droite d'environ 10 kilomètres au SO de l'Académie. Il suffit, je crois, de reproduire ici la température, l'humidité relative et surtout la quantité de pluie par Température Humidité relative Pluie et neige 0 mm Mois Janvier 1868 — 11788C 0,96 e 20,4 Février — 12,19 0,96 26,1 Mars — 4,36 0,86 12,1 | Avril -- 2,40 0,74 22,0 Mai + 11,63 0,64 36,1 Juin + 15,06 0,67 22,2, Juillet + 19,09 0,70 36,3 Aoút + 18,00 0,71 15,2 Septembre -+ 11,58 0,77 67,6 Octobre + 7,64 0,80 13,3 Novembre — 3,89 0,92 90,3. Décembre — 4,89 0,93 47,2 Janvier 1869 — 12,71 0,98 24,2 Février — 3,36 0,94 38,4 En examinant ces trois colonnes on s'assure que l'an- née 1868 était une année assez exceptionelle; sous le rapport de la température elle était moyenne. Il n’y avait que cinq jours de grand froid, de —26 à — 39°C. qui durait le matin. Il n'y avait pas de chaleurs du tout. Le maximum de + 24^ ne s'est montré qu'un jour, le 20 juillet, et la moyenne de + 19? se pro- longeait une semaine. L'air était saturé aux mois de janvier et de février seulement pendant 12 et 14 jours; au mois de no- vembre et de décembre pendant 8 et 2 jours. Au ` mois d'avril, mai, juin et juillet il y avait 22 jours où l'humidité relative descendait de 50 à 60%. C'était une année trés séche. Il est tombé un tiers de l'eau en comparaison des années précédente et suivante. Au mois d'avril il y avait seulement 4 jours de pluie ou ` de neige. Au mois d'aoüt et d'octobre 5 jours. En comparant les moyennes des trois années subséquentes on jugera mieux du caractere de l'année 1868. 1867 +256C 0,834, 699,9"" 1868 +4304 . (0,80 249,50 1869 — 5,78 0,83 ` 647,5 . Je n'ai pas comparé les jours de pluie avec mes jours. d'observations, parce que l'eau tombait chaque fois à si petites quantités que je n'espérais pas pouvoir remar- - quer son influence sur les arbres. Une forte pluie tomba ` le 27 juillet, de 18,4"". Les deux autres le 15 sept. et le 10 oct. de 21,1 et de 20””; pendant la plupart des autres jours il tombait moins de 0,25"" d'eau. 21* | | ee i ux | | | | | «uowojejavd op] TO £09 LG ects 18% At rec Lë IT SEEP oce 8916 erro rn | o. 3 r IH TFT LC T0C EL SVT PTE əs 19-21109 "Juupuoge ons un] mmmn | oAnoij 98 091099,7 30 S10Q JETZ | | | BS: Sat 2810 sop 9109u9 sed qua) 98'2£1 pins ee EY «or 812879 vu leete L008 9699 [£0'9P1 09209711638 oëgptorrg lg o L9'48 |gY'9cI ! 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La E , H 3 3 3 3 1160 09 p — 3167,36 60,32107, 04/63,96/16,69| 6,26/10,43/62,49]184,05| 66,581117,47/63,83/13,5|6,55 5,31, 4 p ree spite = 41228,89| 86,04 142,85 62,41/19,59| 7,36112,23 62,43[248,48| 93,40 155,08 62,41|14,5[7,84 5,03 199,38 que la ekaia. Elle est S 5|864,50/152,471212,0358,17[41,99 23,98 18,01 42,89/406,49 176,45 230,04 56,59 /18,5/9,86 5,41 10°. haunätre et demi transpa , ? 3 2 e 1 2 [que dans le X 1. Entre Pé 846,29 327,96/518,33 61,25 93,30/43,00/50,30/53,91/939,59/370,96/568,63|60,52 NTRA orde o: H 3 ri su , 1|1610 5,63| 10,4765,03| 4,23| 1,57 2,66/62,90 20,33 7,20 13,1364,58| 4,5/2,16/5,11 eo t — 4 9990. Z 2| 39,81 1487 24946265| 7,13 2,70 44362,0| 4694 17,57 29,37 62,57| 6,53,45 5,03, Gan A EE S al 73,22 29,62 43,6059,55]11,49| 4,60| 6,89/59,97| 84,71 34,22 50,4959,60| 9,5|5,00/5,00 , 0°, que fraiche, est dépourvue 3 4|127,58 55,11| 72,47156,80116,10 7,89| 8,7154,10/143,68 62,50 81,18/56,50/12,5[6,58 5,08 12073 Becr dp fie Een Ol: 8 65 n ad | , 5 [918.05 96,42/121,63 55,78142,65 26,86 15,79 37,02/260,70 123,28 137,42 52,71 8,38 5,56 e Etant M Cds 474,76/201,65/273,11/57,53[81,60/43,12:38,48 47,16/556,36/244,77/311,59 56,01 = 631,835 PR 2 tenia so détache mate X du liber restent sur le bois nt la surface est couverte Ze da Noll an les V 1 et 2. | | oi | | do È 1| 590 208 3,826475] 2,36 0,81 1556568] 826 2,9 5,3765,01| 1 (695,08 | o feum 3 2| 26,76 9,01) 17,7566,33| 5,05 1,90 3,15.62,38| 31,81 10,91, 20,90/65,70| 3 [2,545,13 ,11'00 P 3| 75,34 27,27| 48,0763,80/10,97 4,93 .6,04,55,06| 86,81| 32,20, 54,1162,69| 6 [4,555,283 3077 2 (4113690 4847| 87.73 6441|19.20 10,37 8,53.45,99/155,40| 58,84 96,5662,14| 9 |5,925,23 2350 7 151206,30 76,25 130,05 63,04[38,75 24,15 14,00 37,68 245,05 100,40 144,65/59,03/16 |6,785,64 "757 - : | , 450,50 163,08 287,42/63,80/76,93 42,16 34,17/44,77/526,83 205,24 321,59 61,04 | 7413,80 É 1| 402 140 2,626517 1,62] 0,60) 1,02,62,35 5,64. 200 3,64/64,54| 2 |L045,23| 2725| L'bumiditó dans Vécorce $ |2| 24,15 8,52 15,6364,72| 5,02| 1,56| 3,46,68,92| 29,17, 10,08) 19,0965,44| 4 (2,515,131, 23 kennas aa ph 8 al 66.13 2635 39,7860,15112,25| 458 7,6762,61| 78,38, 30,75| 47,63/60,77| 7 |4,42/5,08| 57's. bois et en raclant celui-ci S 141110.25| 4400! 66,25 60,09118,57| 7,1711,40,6140/128,82| 51,17| 77,65/60,28| 9 [5,415,49| eg gollégère indorescenes de ya. 3 (5|248,37| 80,45 167,92/67,61|36,95|19, 20 17,754 8,04,285,32 99,65/185,67/65,07/15 |6,99 5,89 5 Og|Peurs se forme sur les pa- | | | ere c | 452,92/160,72 292,20 64,51174,41 33,11 4130 55,50 527,33/198,65/333,68 63,28 | 42032 : Eessen c 9p $29uo3Io$ SIP GC 2 A Y ` Unde y < : 1 Pinu sylvestris Lë | $ i Jours A. Bois. B. Écorce. | €. Total. Dimensions. gum 2 Matiére pour fraiche. 100 p.| gm. Age. |— E d sas | Intervalles > alda X| Matière | Matiére Eau Eau |Matiére| Matière Eau Matière An- | Pièces pesées, | non posés. Remarques. E s fraîche. | sèche. i pour |fraiche.| sèche. j - sèche. nées 3 gm. gm. gm. |400p.| gm. | gm. | 8m. . Long. Cm. ËTT: | piam. | Long. | 400 p. dub an j 43 8 Bed, 9212 0,94 1,1855,66| 1,16| 0,56 0,60 51,72 3,28| 1,50 1,78 54,27 4 10,794,70 27 ta = c 21,15! 7,52, 13,63/64,44| 5,29| 2,24 3.05/57,66 26,44| 9,76 16,68 63,09 8 [1,36 4,90 : 21,25| 38,66/64,53[11,91| 5,09 6,82,57,26| 71,82 26,34 45,48 63, 32| 11 [2,39 99,38| 36,95 62,43162,82117,39| 8,16 9 2353 081116,77 45,11, 71,66/61, 371 13 15,64 149,73 57,32| 92,4161,72/30,09,18,09/12,00/39,88/179,82| 75,41 104,41 58,06| 16 [6,17 5,41 Le 26 novembre. | 3 Ei | Qui © D e ex so e ied AS a o E pr 332,29 123,98 208,31|62,69/65,84 34,14|31,70.48,151398,131158,12 240,01/60,28 | 436,16 | 72,99 t= — 198. 650! 2,47! 4,0362,00| 2,40 0,87 1,5363,75| 8,90 3,34 5,5662,47) 2 1,80,5,19 87 70) L'arbre, à la hauteur de 98.61 10,53) 18,0863,19| 4,40 1,86. 2,5457,77| 33,51| 12,39) 21,1263,03| 5 2,675,001, 79 68,18 25,07| 42,51,62,35|10,78| 3,97 6,8163,17| 78,96, 29,64 49,32 62,40) 10 3,20 5,00 155 y g branche la plus robuste, à 103.79) 40,40| 63,39 61,08115,90 6,49 9,4159,12/119,69| 46,89 72,80 60,82) 14 5,54 5,111, 09991 Par. Quote ont 184,74 82,311102,43 55,45[28,99 15,83 13,16/45,39/213,73 98,141115,59,54,08) 17 6,86 5,64 iid Bola, tais. tan molle, H H H | | 61, 49 u mais étant molle, : - elle se laisse facilement ra- Le 23 décembre. CX VS O3 — 391,82/161,38 230,44 58,81 62,47 29,02 33,45 53,55l454, 79.190,40 264,39 58,13 | 601,54 p | | T ur ches d'un bouleau voisin, est | rue feuilles. Le bois parait mide, mais il n'y a pas de condensation sur le verre. Au X ya m suc entre | le bois e Pécorce 3,67 1125 2,1265,94| 1,42 0,49 0,9365,49| 5,09 1,74 3,35 65,82 1 3 0945,13 i ad + Enr ES 2| 12,06| 4,07| 7,9966,25| 3,37| 1,23 2,1463,50| 15,43 5,30 10,13 65,65 -511,75/5,21 Le ol do E EN 3| 28.66 992| 18,7465,39| 6,13| 2,16| 3,97,64,79| 34,79 12,08 22,71 65,28| 7 Beo UE edad pres 4| 54,71) 20,26 34,45 62,97I10,80| 4,02 6,7862,78| 65,51 24,28 41 ‚23 62,94 — 18,99/5,08. nos pn m a 5|: 77,87, 29,33 48,0462,09]15,19| 7,21) 7,9852,53| 92,56 36, 54 56,02 60,52 14 4784,70 se dögelant il laisse sortir | - == des couches annuelles. os E e e = O + e o Ke = © EE IPUIPLIY ET UPAMA 1869. Le 21 janvier. 176,47| 64 salın, 64l63,26l36,91l15,11121,80|59,00l2 13,38] 79,94/133,44/62,54 zes | | 1,49 0,61 0,88/59,06 1,00! 0,32 0,68 68,00 2,49 0,93 1,5662,05| 2 |0,66 5,16 =—6%7. 12,52) 4,52 : 8,00/63,90| 2,65 0,96 1,69/63,77| 15,17 548 9,6963,88| 4 11,73 5,21 35,24 13,03 22,21/63,02| 6,18 236 3,92 63,43| 41,42| 15,29 96.13. 63,09| 7 [3,00 5,00 9 3 62,19, 24,71) 37,48,60,27 9,51) 4,48 5,0352,89| 71,70 29,19 42,5159,29| 9 4,04 5,13 97,45| 40,40, 57,05/58,54[16,85 9.01) 7,34 44,89]113,80 49,41 64,89 56,58 13 |4,85 5,51 | | | : | Le 18 février. CO d» © ND A | l208,89} 83,27/125,62/60,14 35.69117,03118,66/52,28]244,58|100,30/144,28|58,99| — | SIR F o Qt IX . Acer platanoides IL. 1868. Le 22 mars. CD Va © ND — 5,63 48,03 85,67 141,16 28,53. 2.96 16,77 27,00 47,12 82,70 2,67 11,76 21,03 47,42 41,22 43,79 | 1,42 5,95 7,25 38,55 58,46 45,00 41,41 11,24 18,39 10, 20 0,76 3,23 3,31 4,79 8,19 53,52 54,29 45,66 42,62 44,54 159,55 3,62 19,49 30,94 53,57 99,90 3,43 14,99 94,34 43,34 66,65 48,65 43,47 44.03 44,72 41,77 1,22 2,745 3,43 4,50 5,87 309,02 176,55 132,47 49,87 44,25 23,97 20,28 45,83 353,27 200,52 152,75 43,24 t = — 1525. Le bois parait sec, mais e Go pas gelé. L'écorce né sépare pas du bois; il couper. Aprés "les un la surface transver- 4|sale du bois mouille le pa- ie O Va Cor LR Le 19 avril. 9.44 51,91 88,01 126,51 250,71 5,55 27,65 47,60 68,80 132,00 3,89 23,66 40,41 57,71 118,71 41,21 46,11 45,92 45,62 47,35 2,41 8,56 14,29 17,25 24,64 1,17 4,17 7,64 9,66 12,90 51,45 51,29 1,24 1102,30 11,85 59,87 0143,76 11,74 47,65 275,35 6,72 31,82 55,24 78,46 144,90 5,13 43,29 28,05 46,85 47,06 65,30 46,00 45,42 130,45 47,38 1,73 3,63 4,70 5,50 7,8415. t = + 898. La neige est à moitié dis- 281,60 244,38 46,46 67,15 35,54 31,6147,04 593,13 317,14 275,99 46,53 corce il y a de l'humidité. Cx © D — Le 13 mai. 325, 99 175,72 2.89 2 40,03 9,12 11,55 38,90. 78,04 40,50 45,58 48,13 5.17 11,65 18,49 150,20 46,08 30,28 0,96 2.45 5,81 9,26 15,51 1,16 2,72 5,84 9,23 54,72 52,61 50,13 49,92 9,34 33,69 97,00 180,64 14,77 48,78 356,20 5,29 19,42 52,26 93,37 191,23 4,05 14,27 44,74 87,27 164,97 43,36 42,36 46,12 48,31 46,31 1,47 2,72 4,72 6,25 | 130,81 147,82 144,00 130,30 8,64 609,16 327,58 281,58 67,718: 33,72 49,80 46,22 676,87 361,57 315,30 46,58 t = + 1871. p 6,34 36,90 107,49 3,80 22,15 64,99 Le 13 juin. CD He © D | 168,30 389,51 96,35 198,60 2,54 14,75 42,50 71,95 190,91 40,06 39,97 39,54 42,75 49,01 2,03 6,70 17,21 21,59 33,95 18,22 8,37 1,2 3 3,80 8,95 60,59 56,72 52,00 43,60 124,70 10,29 47,66 189,89 4,60 25,05 73,25 107,65 216,82 15,73 46,33 708,54 385,89 322,65 41,48 E 45,54 423,46 3,77 18,55 51,45 82,24 206,64 45,04 42,55 41,26 43,31 48,80 1321 7 H 2,87 5,18 6,53 9,17 4,80 t = + 2494, es feuilles se sont com- raten développées,mais Ce sont — tendres et qm peu l'opération. grins se dé- tache parfaitement. Le bois e 81,48 40,00 49,09 790,02 497,37: 362,65 45,90 788,60 st humide. Condensation de vapeur sur le verre, *214NO0QS1339 4 - JUICE 9p SIDUILOS SIP II. Acer platanoides L. j'ai inscrit 6,85 au lieu de 1 $ A. Bois. B. Écorce. c. Total. | ig. Dimensions. 5 Nel Matière | Matière | fau Eau | Matière | Matière | E Eau | Matière on Ban Eau | An- | Pièces posées. non posés. Remarques. S fraiche. | séche. ; pour | fraîche. | sèche. dii pour | fraiche. | séch - pour | nées. 7 TE 3 en 100 p. gm, | gm. |400p.| gm. | £ gm. |1400 p. Diam. | Tong. | Tone | BR 87 apo 4 1| 4,38 2,49 1,8943,15| 1,60 | 0,59 1,01/63,13[ 5,98 3,08 2.90 48 49, 8 |1,67/5.00 1 3288 Fia ales sche = 2| 41,98 25,50 16,48 39,26) 8,80 | 3,85 4,95 56,25] 50,78| 29, 35| 21,43 42,20) 14 3,58 4,83 190,5olgrandes et robustes Le bois = al 97,77 54,70, 43,07 44,05116,85*) 8,06 8,79/52,17[114,62 62,76 51,86 45, 28 19 [5115,19 20. do [eH hands Tae abo- = 4111301 76,60 36,41/32,2230,05 [11,0119,0463,36/143,06| 87,01, 55,45,38,76| 24 [6,22 4,701] 99/7y|peurs sur le verre. Le nou- 3 5[285,72159,49.126,2344,18,32,46 [10,71/21,75/67,01[318,18/170,20/147, 98 46, 51| 30 [8.18 5.16. DU C E ! l | = "—ldötache nettement,maisavec | & 542,86/318,78 224,08 41,28]89,76 134,22 55,54 61,88 632,62 353,00 279,02 44,20 7934,68 [tort 3 1 f f D „| 410 225 1854512 1,44 | 0,50| 0,94165,28 554| 2,75 27950,36| 2,5/1,195,16 t = + 2090. S # 2| 40.25 23,10 17,1542,61| 7,46 | 3,32 4,14/55,50| 47,71 26,42 21,2944,69| 9,5 3,56 5,16 Le nouveau bois forme #13) 75,34 49,75 32,59 43,26/12,94 | 6,21| 6,73152,011 88,28 48,96| 39,932 44,54/16,514,70/5,05 meen EA heat S.. 3 4| 97,83 60,00, 37,83,38,67/15,74 7.67 80751.27/113,57 67,67| 45,90 40,42/19,5/5,59 4,88 qu'en partie. - 5179, 15 110,55 68,60/38,29|26,80 (13,06 13,74,51,27 205,95 123,61| 82,34 39,98/26,0/7,24 3,73 > SE 5 "n | S sos 238.65 158,02/39,84l64,38 [30,76 33,62/52,22|161,05/269,41 191,64 .41,57 S a| 420 250 1704048| 1,75 5,95 5 114596 11591 t = +15%0, S S 2| 28,60| 17,70| 10,9038,11| 6,71 95,91 11 12,84 50315748 Une légère condensation | P =. 3| 54,52 33,80 20,72 38,00/10,93 65, | 17 13,785 45157 en E 2 4| 85,04 54,65| 30,39/35,74114,98 | 7,71, 7,2748,53/100,02| 62,36 37,66 37,65| 20 |4805, 16115443 s 3 5[184,78/117,05| 67,73 36,65125,15 [13,61 11,54 45,881209,93 130,66 79,27/37,76| 34 be 19508 E IA 1 a_l n 357,14/225,70131,44/36,80 | | | | | | 76451 i| 362 210 1,524199| 140 | 0,60 0,8057,14| 5,02| 2,70 9,3246,29 4 |1,17 6185251 Les. feuilles ont jauni e $ 2| 21,76| 13, 30 8,4638,88| 4,85 | 2,25 2,60/53,61| 26,61| 15,55 11,06 41, 56| 8 [2,59 5,00 y 31 gglbdes.L’öcorce ne se détache 8 5| 37,96 23,85 14,11 37,17 7,96 4,04 3,0249,25| 45,92 27,89 18,03 39,26] 12 [3,38 Ris Ee y © 4| 6461| 40,75 23,86 36,93|11,80 | 6,46, 5,3445,25| 76,41] 47, 21 29 2038, 21| 18 14,32 5,05 1 99/87|une condensation annuaire 35 159,54102,10 57,44 36,0023,67 13,11 10,56 44,611183,21 115,21 68,00 37,12] 24 [6,35 5,881" ^ Rai le fond du verte, an PESAN ACA | | | = Lo Les. de la surface de la | [287,49|182,10/105,39136,60/19,68 26,46/23,22,40,74 | 619,07 [eoupe. ns mon journal la matière fraiche était notée comme ayant 6,85 gr. Mais y éent E ques de la matière sèche est plus grand, 8,06 gr., il est évident que E SS i dans le premier cas il y avait une erreur. J'ai donc supposé que j Le o s II. Acer platanoides I. 2 Si 294| 1,80) 1,1438,78| 1,21 | 0,45 0,7662,81| 415 225 1904578 5 10251 18216 T &|2| 23,15| 14,40 8,75/37,80| 5,26 | 2,45 2,81/53,42| 28,41| 16,85| 11,56/40,69| 10 2,675,337 1, S 3| 65,44 40,74| 24,7037,7412,96 | 6,64| 6,3248,77| 78,40| 47,38| 31,02/39,57| 16 [4,24 AE REEN a 4|11021 72,22 37,99/34,47/17,14 | 9,50 7,6444,57]127,35| 81,72| 45,63|35,83| 23 |5,445,64 130%] 3 5213,72122,40 91,3242,72/23,82 [13,21 10,61/44,54/237,54|135,61/101,93|42,91| 36 |7,095,51| 75, 415,46251,56 163,90/39,45160,39 (32,25/28,14 46,60(475,85 283,811192,04140,36 "718,98 F | Su 446 2,65 1,8140, 58| 1,66 | 0,771 0,8953,611 6,12 3,42 2704412 6 114498] 7022 = — 590. S 2| 20,20 12,50 7,7038,12| 5,58 | 2,83. 2,7549,28| 25,78| 15,33. 10,45/40,54[ 17 12,51 5,00 96.01 |e 3° trouvant sous un autro $ 3| 37,01| 22,70 14,31/38,67| 8,96 | 4,84| 4,1245,98| 45,97| 27,54| 18,43 40,09| 22 |3,28 5,18 9601 érable plus, grand nu œ |4| 63,58, 41,80| 21,78,34,26113,09 | 7,15| 5,94145,38| 76,67, 48,95 27,72/36,15| 23 |4,27/5,13 93,7 3 deviation — à er um | TTA ,/ Oln'est pas "humidi q 5/2607, 78,30 47,7737,89/22,51 12,53 9,9844,34148,58 90,83| 57,7538,87| 26 [5,38 5,51 11 A parat asia, x — ger o endant il n'y a e con- 251,321157,95 93,37 37,15 51,80 28,12 23,68 45,71/303,12186,07 117,05 38,62] - 586,08 densation sur le verre. - j | &|1| 19,96 12,73| 7,23 36,22| 451 | 2,28 2,2349,45| 24,47 15,01 9,4638,60| 9 2.394,95 Pe] tese. © 2| 41,21) 26,50! 14,7135,70 7,40 | 3,58 3,8251,62| 48,61 30,08) 18,53/38,12) 13 [3,63 4,78, 3°, | Le bois est gelé. Il n'y a = [3] 98,60) 60,21| 38,3938,94[13,95 | 6,74 7,21/51,68112,55| 66,95! 45,60 40,52| 16 |5,23/5,21 (ës jore emere a t "d 176,95/1109,26| 67,69 38,25/24,37 |13,21/11,16/45,79/201,32/122,47| 78,85/39,17| 24 |7,11)4,88 16619 niére couche annuelle est S [5 [349,75/224,00 125,75 35,95/35,48 |20,68/14,80141,711385,23/244,68 140,55 /36,48| 33 (9,35 5,56 279 als. muss “ello: est de 686,47 432,70 253,77 36,97/85,71 |46,49/39,22/45 76|772,18 479,19 292,99 37,94 883,65 | -| 62,23 &|1| 3,35 | 2,20 1,15/34,83| 1,44 | 0,55 0,8961,80| 4,79 2,75| 2,0442,59| 5 [1,14 5051, 4478 t = — 6295. E jal 9741 1820 92123.60| 601 2,90 3,1151,75| 33,42 21,10) 12,32/36,86| 10 [3,10/5,21|, 5072|, Le suc sortait des sur- = |3| 64,42 40,95| 23,47/36,43113,64 | 7,09| 6,55/48,09| 78,06 48,04| 30,02/38,46| 16 |4,42 5,10 150.72 ness coupées Le jung bo = 4|112,99| 68,80 44,19,39,11]18,32 |10,16| 8,1644,541131,31| 78,96| 52,35 39,87| 20 5,51/5,88 , 531 g|et 2 laissent une condensa- 3 [5[217,67/135,00 82,6737,98/23,00 12,71110,29 44,74/240,67/147,71| 92,96 38,63] 26 |6,58 5,59 7", [Mon sur le verre. D 425,84 265,15160,69,37,71162,41 33,41 29,00 46,47 488,25 298,56 189,69 38,85 772499 ee -JUUS DP SIDUIOS sop III Betula alba I. Jours A. Bois. B. Écorce. C. Total. ijs : Dimensions: et Ne Matière Matiére Eau. | Eau Matière | Matière Eau. wa? Matiere Matiére Eau. | Eau An- Pièces pesées. | Intervalle Remarques. mois Ga séche pa Be fraiche.| sèche. gn. Am Ene pon gm. E, nées. Diam. | Low. Long. "EUR EET T 9,09 ll 1,18! 0,64| 0,5445,76| 0,73, Dän 0,38/52,05| 1,91 0,99 0,9248,17| 1 [1,02/5,00, 99 ol. Température au moment lol 1415| 7,552 6,6346,86| 447, 2,37| 2,10/46,98| 18,62] 9,89) 8,73,46,89 3 (2,13/5,18/ 97 15] la coupe, t=0%0 C. S 813) 47,95| 23,62 24,3350,74 9,76. 5,15 4,6147,23| 57,71 28,77, 28,9450,11| 5 [3,69 5231341] "alt 8274| 43,65| 39,09/47,24/14,75| 9,39| 5,85,36,34| 97,49 53,04 44,4545,59| 8 [4,89 5,16 13970 5|120,36| 64,00) 56,36 46,83|28,01118,02) 9,99/35,67 148,37 82,02 66,35 44,72] 12 [5,84 5,2 | 47,2 A|Souche. 966,33/139,43/126,95 47,66|57,72 35,28 22,44 38,88|324,10,174,71/149,39, 46,09 674,04 |Hauteur de l'arbre. lı] 440) 2,34 2,0646,82| 1,56| 0,75| 0,81,51,92| 5,96 3,09 2,8748,15| 2 1,23/5,0 Me t —- — 2%, E l9| 22,11| 11,82 10,79,48,80| 4,93) 2,96 1,97 40,00 97.04 14,28 12,7647,19| 4 2,6015,13 39 15) La neige est profonde, 5 |3| 38,09| 19,30| 18,7949,33| 6,58 3,80| 2,7842,34| 44,67 23,10 21,5748,29| 5 [5,98 BOE SE an Md forme na alan 7 4| 8107, 37,66, 43,41/53,55[13,95| 7,82 6,1343,94| 95,02| 45,48 49,5452,14| 9 |4,694,88 | 5 gajement- 3 [5113219 62,07, 70,1253,40/36,45 21,46 14,99 41,12168,64| 83,53 85,1150,47 14 [5,86 5,28 7692 977,86/132,69/145,17/52,25(63,47/36,79 206,68 42,04|341,33 169,48/171,8550,35 7650,98 HE EE EE dal 129) 10061 1187 510 6775709) 155498] 2927] enr , , , , , , , , , , , , 3/03 5/91 140,271, L’herbe pousse; les Scilla ; cernua, lutea, Gagea, Cory- 1 2| 39,59 15,97 23,62,59,66| 6,40| 3,62 2,7843,44| 45,99) 19,59 26,40 57,40] 6 149 adem lute 3 68,81 27.80 41,01,59,60]10,08| 4,53 5,55/55,06| 78,89 32,33 46,56 59,02 r WA ander, À Ficaria & few ; 5 Le 9 mai. 115,35 46,75 68,60 59,4712,81| 7,38 5,43 42,391128,16, 54,13, 74 03 57, 76 SR Jin des e a 7015.1 3 , bouleau sont verts, mais ne : j IS mom pes épanouis. L'écorce 192,79 86,50/106,29 55,13|34,07 19,56 14,51/42,59 226,86 106,06 120, 8053, 25| 1 E 34 e détache aisément des N.N 71509 la base d 125,92 180,83 245,09 57,54]05,85/36,38 29,47 44,75 191,77 217,21274,56 55,83 745,02 [Parure ele a du être coupé. . 2 223| 1,03) 1,2053,81| 0,94| 0,34| 0,60/63,83| 3,17| 1,37, 1,80/56,78 0,76/5,16 5700 t = 1590. 20,72 11,22| 9,5045,85| 4,40 1,99 2,4154,77| 25,12 13,21 11,9147,41 Les feuilles se sont épa- VQ. 1 9 9 6 d, 25,971120,99/82,33| 6,98 2,27| 4,7167,48[153,94 28,24 125,70 81,66 : 3,764,931 3985 ire Dude e aiant n eur 5 6 Le 7 juin. 176,18| 38,601137,58,78,09]10,42| 4,80| 5,62/53,93]186,60| 43,40/143,2076,74| 1 166 46 |t", grandeur habituelle 'écorce se 236,34| 73,33 163,01168,97\33,65117,46.16,19]48,111269,99 90,791179,20/66,37| 16 16,12:,26 g’3g mené La EE 582,43/150,15 432,28 74,22/56,39 26,86 29,53,52,37]638,82,177,01,461,81,72,29 7721,66 ? e e opmugpeoy,J op UNIIMA III. Betula alba I. Le 1 aoút. = 248 1,15 1,3353,63| 1,12 0,45 0,67/59,82| 13,60 1,60 2005556 3 084541) 1255 t = 2898. = 2| 12,08| Gan 5,8045,74| 3,83| 1,77 2,06/53,79| 16,51 8,65| 7,9647,61| 4 2.015,23 15494), e jui (UL Aids a 8| 3298 1895 14134284 7,45 3,81 3,6448,86| 4043 22,66 17,7743,95| 6 3,855,085. Kë Gen Vichten T 4| 57,01 32,07) 24,94.43,75112,39| 6,51, 5,8847,46| 69,40 38,58] 30,82 44,41| 8 |4095,03| 407 o létache du bois nettement, 3 5111495, 68,20) 46,75/40,67/59,20/35,84 23,36/39,461174,15 104,04 70,11 40,26] 16 |5,54/5,23 FE nl 220,10127,15| 92,95 42,23/83,99 48,38 35,61|42,40|304,09 175,53 128,56 42,28 673,68 | 88,90]. t = 290. 2,50 1,15| 1,3554,00| 1,05| 0,35| 0,70/66,67| 3,55 1,50| 2,0557,75| 2 |0,81/5,21 15,16 8,60 6,5643,27| 3,40 1,67| 1,73/50,88| 18,56| 10,271 8,29 44,67 5,08 EE pine: La da de ul ille étai 1 9 5 33,51| 20,05| 13,46,40,17| 6,50| 3,33| 3,1748,77| 40,01| 23,38| 16,63 41,561 8 |3,304,95 ggg q tit froide et plavien 51,81 27,90 23,9146,15| 8,33 4,21 4,1249,46| 60,14 32,11| 28,0346,61| 11 5285.03 109 ja KS 95,91| 56,90! 39,01140,67130,60 15,66 14,94148,82|126,51 72,56, 53,9542,64| 16 [5,28 5,05 "2^2, [fcilement Au X en —— ¡quelques galeries ovales et 198,89114,60| 84,29 42,38149,88 25,22 24,66 49,44 248,77 139,82 108,95 43,80 | 57157 faites par des chenilles du raies foncées, interrompues provenant delaméme cause? x66 | Le-11-octobre. | OU o D = B 1| 290 150 1404828| 1,59 4,49 0,86 5,26 201 t = 1858. 3 2| 14,75 8,40) 6,9543,05| 4,55 - | 19,30 5 12,06 5,13 4056 = 3| 37,25 29,48) 14,77,39,65| 8,63 45,88 7 13,3215,17|39'38 2 al 65,15| 36,37| 28,78 44,17]11,07 76,22 9 115231122 (11276 69,37| 43,39 38,48132,55 145,31 18 (5,865,331 >> 3 3 3 H 3 H 3 | 11,43 232,81138,12| 94,69,40,67/58,39 291,20 | 690,92 | | | | 348| 1,90 1,584540| 1,40 0,77 0,6345,00| Aen 2,67) 22145,0| 4 |0,154,391 10% t= 659. | | 9 18,59 9,55) 9,0448,63 4,22) 222 2,0047,39| 22,81 11,77 11,044840| 0945,16 346 3l, Les feuilles ont jaunies et 33,42 18,24 15,1845,42| 5,91| 2,26! 8,65/61,74| 39,33| 20,50 18,83 47,88 | pour la plupart tom- 46,03| 24,85 21,18/46,01| 8,93| 5,31| 3,6240,54| 54,96| 30,16 24,8045,12 78,72| 46,20 32,52 41,31|27,10/16,61/10,49/38,71[105,82| 62,81 43,0140,64] 1 rar en 4,78/5,23| 11", {ment au boi D SS sl > Ha e Cc Cc LE © + OD Ko == E o sel an Ss B e 2, Do Y e 1180,24 100,74 79,50/44,10147,56/27,17/20,39/42,87|227,80/127,91| 99,89 43,85 | 621,72 Imt :B110Q$13)9 4 -JUIES op SIDUILDS SIP III. Betula alba L. argtäadung opugpevoy, IP edd P A. Bois. EB. Écorce. | €. Total. > Dimensions. et X Matière | Matière | kau. | Eau Matière Macs Eau. | Eau | Matière | Matière | Bau, Eau | An- | Pièces posées. Dom pués, Remarques. mois. Be o f qu: JS fraic sèc ; gr fraiche, | sèche. pee Les "Diem. | ong. Los Ei d j 1,7 er, É 1| sos 1,50! 1,58/51,80| 1326 0,50 0,7660,32| 434 2,001 2345392 3 0,975,021 1684 Geen B ol 20,57 1056! 10,0148,66| 5,61| 3,12) 2,4944,39| 26,18 13,68 12,50.47,75| 5 0,955,05 | UT Tego mde e MS È 3| 4247| 21,40 21,0749,61 8,46| 4,96| 3,50,41,37| 50,93, 26,56 24.5748,24| 6 3.585,08 145 5 [peus se produit sur es pa 5 1| 7310 38,25| 34,5 47,07]12,49| 7,26 5,2841,87| 85,59 45,51| 40,08,46,83| 10 EN Ce, du verre A |5|199,25| 72,75 56,50 43,71|50,83/30,54/20,29 39 '921180.08103.29 76,7942,64| 16 [6,12/5,33| 1 g 4 L'écorce se détache très dit — | e ent du bois. Le p Ces Eë BE | st recouve ert de 0,2% 268,47 144,46 124,01/46,19|78,05 46,38 32,27 41,031347,1 2190,84. 7669,27 [neige É ll 257 147 1,104280| 1,10 0,47| 0,63157,27| 3,07. 194 1,7347,14 8091 rie = — 80. E | 1587 898 6,942,49| 3,18 1,67 1,5147,48| 19,05 10,65 8,4044,09| 5 2,185,18,59 E 139,70 3 la| 37.96 21,70 16,2642,83| 6,70| 3,76 2,9443,88| 44,66 25,46 19,2042,99 7 |8,30/5,28 33°69 = 4| 51,11 2957, 21,54,42,14| 9,89 6,06) 3,8338,73| 61,00| 35,63 25,3741,59 8 |3,99 2 d nd 3 5| 9271) 55,07 37.64 40.60134.20 19,23 14,97 43,48|126,91 74,30 52,1 4142 12 [4045 SE | |200,22 116,79| 83,43 41,67 755,07 31,19 23,88 43,36 255,29 147, op 3142, 03 7A shl 480) 269 2,1143,96| 1,76| 0,70 10660,23| 6,56 3,39 SC 39| 4 |1,19/5,05 Nich, t= — 1590. „22| 26,43 1402 124146,95| 6,02| 3,22 28046511 32,45 17,24 15,2146,87| 6 2,74 6,6811 ^ 4 78 S Sal 4496| 23,99 20,97 46,64| 7,60 4,08. 3,5246,32| 52,56 2807 244946,59| 9 |3,71 19014046 2:24 6890 37,90 31,0044,99]10,06| 5,51) 4,5545,23| 78,96| 43,41 35,55 45,02| 14 4,7505 16494] 3 5|108,41| 62,75 45,66,42,12124,27 13,44 10,83 44,62/132,68 76,19, 56,49 42,58| 16 [6,745, n Ge? 253,50 141,351112,15 44,24 49,71/26,95 22,76 45,79 303,21/168,30/134,91 44,49 M 781,94 | s 1| 285| 173 1,48151,93| 1,12 og 0544821 397 195 2025088| 2 |0,9714,83 5075 t = 090. É ləl 1856 960 8964828| 4,45 2,52| 1,9343,37| 23,01| 12,12 10,89/47,33| 4 [1,395,281 31 57 É |a| 5,75 19,75 16,0044,76 EA 93,36 18,7444,51| 8 |3,355,18 164 ^ al 6123| 33.57 27,6645,21110,42| 6,11| 4,3141,36| 71,65| 39,68 31,97 44,621 11 (4,425,031 25 91 3 5| 9403! 5297| 41,06 43,67/21,55,19,59| 8,9641,58/115,58 65,56 50,0243,28| 15 5385,28. 5519 | pi242117,26 95,6 44,042,89 25,41 1648 42, 1]o56,11142,67 1126444]. | | 69212 LA Populus tremula TL. | 1102,87 j 265| 125 1,4052,83| 1,66|- 56,631 4,31| 1,97| 2,34/54,29 1498 157 48 E , S 21,00, 9,18 ,82/56,29| 6,29 54,051 27,29, 12,07, 15,2255,77 5,03 : 4 Le bois est gelé. Le Bus, S 73| 77,44 31,98 5870/1424 56,11| 91,68 38,23, 53,45 58,30 54,95 14 | posées sortant des ==!41122,41| 50,59 58,67117,74 52,991140,15 58,93| 81,2257,95 5,1 138 gaie, papier sur lequel les S 5[164,51| 69,76 5,57,60/24,93 52,671189,44 81,56107,88 56.95 5 23 5,72 Ben — as 388,01 162,76 225,22 64,86 53,751452,87 192,76/260,11157,44 75173 128.27 t = + 8975. = 247| 1,221 550,61 1,36 ,80:58,82| 3,83| 1,78| 2,0553,52 5,08 11684 La neige fond visiblement E 35,97| 15,66 56,46 8,50 4,8356,82| 44,47, 19,33) 25,14 56,53 Se 113,70 ei dnte Jo P o |3| 66,03, 28,55 56,76/12,34 55,83] 78,37 34,00 44,37 56,62 AGBS Not net pas: geld Autour T 41112,69| 48,68 56,80/18,01 53,861130,70| 56,99| 73,71/56,40 5,23 103 95 de In moelle du N 5 on voit e 173,07| 84,87 50,96147,78 47,531220,85 109,94 110,91/50,22 5,49 15 24 sages S qiii La 2 ase de chaque pièce laisse Ms FI A d Y | 390,23 178,98 5154,13|87,99 51,06|478,22/222,04 256,18/53,57 TETI Ketter Age 218,90 t = + 1398. = 1| 19,61) 8,81) 10,8055,07| 6,89 52,251 26,50) 12,10, 14,40/54,34 50316764 gba a E la 84,86 34,34 50,52 59,53 17,90 54,81 102,76 42,42 60,34 58,72 5,05 149.94 MN presque à l'état hiver- e E 145,35| 60,79| 84,56,58,18/23,99 54,361169,34| 71,74| 97,60/57,64 4,89 134,62|allongés et devenus plus s 4214,29 90,70123,59 57,67\29,52 52,981243,811104,58 139,23 57,11 5,0311 39 vc. Le bois parait sec; = 151329,62 145,90 183,72 55,74159,84 46,96/389,46177,64/211,82 54,39 ESAS AS EE su zu |corce se détache facilement 793,73 340,54 57,10/138,14 50,82,931,87 408,48 523,39 56,17 eg | et 7 les couches de bois ont une couleurfoncée.Un c | mencement de pourriture ? 123,19 = o $ 5,87, 3,09 47,36| 3,69 60,98) 9,56) 4,53) 5,0352,02 9,00 156,21] Les get Ye wi dé- 3 20,62, 11,80 42,77| 7,76 61,601 28,38| 14,78, 13,6047,92 5,16 144.7 8|veloppées Co CHE BA ’ - ` , ousses ne dépassen S 52,87, 29,92 ,95,43,41/15,90 3162,45| 68,77! 35,89, 32,8847,81 5,11 127.00 Es er SO ee 2 78.65| 42.76 45,63/19,98 59,36| 98,63| 50,88| 47,7548,41 5,26 150.37 n m E ette .. et ne 3 H ? T , t = |5|158,11| 83,45 47,22150,53 2: 50,09/208,64/108,67| 99,97|47,92 5,96 27,94 ^ jen la surface latérale du bois. Sur la surface in : fé du X it d 316,12 171,02 145,10 45,90/97,86 55,311413,98 214,75 199,23 48,13 755,98 - basch ee | | surface de endommagée par | une c | 'Sanoqs4233949 "Jules 9p SIDUILDS SIP 9rt IV. Populus tremula I. B. Écorce. "Dimensions. Jours A. Bois €. Total. Ago. et X bap EN Eau Eau |Matiere Matière! tay Eau Matière | pe y Eau || An- | Pièces peséos. non pasé. Remarques. is. raiche. | séche. à fraich h : séche. à our 1nées.] — 1. | mois m gm. er raiehe. = à À jog 2 ER E nées Diam ton. p a 1| 258 1,30 1,2849,61| Län 0,81) 1,1458,46| 4,53, 2,11 2,42 53,42] 2,5 TITLE = + 1550 = 2| 19,85 10,70) 9,546,10| 7,70 3,07 4,63160,13| 27,55| 13,77, 13,7850,021 5,5/2,77 5,111179/07|,,2! y avait une forte pluie = al 69,00, 38,15| 30,85144,71119,39| 8,13/11,26,58,07| 88,39] 46,28 42,11 47,64 S51 425.210 10 bla peros le JR de deux gar = 4|115,22 59,27, 55,9548,56 25,75 11,95/14,40 55,92 140,97 70,62, 70,35 49,90 10,51,6815,38) 18: ANE 3 5/216,96113,401103,56/47,73/60,50.28,11/32,39/53,54277,46 141,51 135,95 49,00 15,5 Mn ol Qgjmdemendant ^ "E" | [423,61/222,52/200,79 47,4011529 51,47 63,28 55,36/538,90 274,29 264,61 49,10 817,86 . 1| 321] Lan 1,6651,71| 294 1,10 1,8462,59 6,15 2,05 3,50 56, 91| 1 [0,89 4,95 Se long de 1a moelle du € 2|1991 10,20) 9,7148,77| 7,00 248 4,52,64,57| 26,911 12,68 14,23 52,88 2 12,51 5,33 N 5 un cossus a percé une © |3| 46,44 25,50 20,9445,09]11,98| 4,54 7,4462,10| 58,42 30,04| 28,3848,58| 5 4,14 5,13 galerie. La moitié de a eir- 5 | + 4| 74,69 39,50 35,1947,11115,50 5,99 9,5161,35| 90,19] 45,49 447049,56| 7 |5,05 5,2899 jg [entre rouge. Cela se re- 5|130,78| 71,25| 59,5345,52/33,49 15,74 17,75 53,00/164,27 86,99 77,28 47,04 12 [6,93 4,98 11.431, 3,4 La nouvelle couche ! ? annuelle est peu pres de 275,03 148,00 127,03,46,19/70,91 29,85 41,06 57,901345,94 177,85 168,09 48,59 | ran mean | oe rip] de | vapeurs ensées. Li | din se eres du bot | nettement et sans peine. ei | | 83] É 1| 257 124 1,3351,75| 1,88 0,67 1,2164,36| 445 191 2,5457,08| 3 | pte = + 1020, 5 2) 10,72 5,49! 5,2348,79) 5,61| 2,45 3,1656,83| 16,83 7,94) 68,3951,38) 4 AA = 3| 23,46 12,55, 10,9146,50| 7,80 3,24 4,56,58,46| 31,26. 15,79 154749,9| 7 feles: a 4| 42,50 22,07| 20,43/48,07]11,65| 5,16| 6,4955,71| 54,15 27.23| 26,92 49,71| 10 Hyves p 5| 67,96| 36,20| 31,76 46,73/19,49| 9,70) 9,79,50,23| 87,45| 45,90 41,55 47,51 13 | "e 147,21) 77,55| 69,66l47,32la6,a3l21,22]25,21|54,30|193,64| 98,74| 94,87|48,99 | 681,99 £ 1| 312 187 1750609 195 077 1186051| 5,07 214 2,93/57,79) 2|09749811]22| rer S 2| 15,51] 640 9,1584 5,68 2,64 3,04/53,52| 21,19 9,04 12,15,57,34| 4 |2,11 5,0811557 8 al 3547) 15,27 20,2056,95110,08 4,74 5,3452,98| 45,55| 20,01 25,54 56,07| 6 3,27 15,085 deg & 4| 6243 29,05| 33,38 53,47/14,60 S 8,07 55,27 77,03, 35,58 41,4553,81| 8 |4,45 5,38 135 64 3 (5[119,41| 59,25, 60,16,50,38/35,96 19,42 16,54 46,001155,37| 78,67 76,70 49,37 12 15,94 5,23 es | i | ? | |235,94|111,34|124,6052,81]68,27|34,1034,17|50,00|304,21[145,44/158,77]52,19 673,25 D əv dwg >ywppesy,T op UPAMA SES IV, Populus tremula I. É ü| 3,77 177 2,005305| 2,30 0,91| 1396043 6,07 268 3,395585] 2 1,145,49 E t — 1858, 5 2| 17,28 7,60 9,6856,02| 6,06 2,95 3,1151,32 23,34| 10,55 12,79 54,80| 4 l2.36 A ect S |3| 34,75 15,50, 19,2555,40| 8,50! 4,24 4,2650,12| 43,25| 19,74 23515436) 5 3,3315,34 12... & (4) 53,09 23,60) 29,4955,55/11,51 6,03] 5,4847.61| 64,60 29,63] 3497 54,13| 8 |a,11 5,2313665 2 5| 75,01 34,90) 40,11153,4718,6610,06| 8,6046,09| 93,67, 44,96 48,7152,00) 11 4925,16 "799, 183,90 83,37100,53/54,67|47,03 24,19 22,84 48,56|230,93 107,561123,37 53,42 701,76 É 1| 179 087 0925140 1,62 0,67 0,95 58,64| 341 1,54 1875484 9 0,7615,11 5205 TN 5 2| 11,49 5,05 6,4456,05| 4,11 2,22 1,89 45,99 15,60 7,27 8,9353,40| 4 1,935,001 03/63 Š 3| 26,56 11,87 14,6955,10) 7,73 3,66 4,07 52,65| 34,29 15,53 18,7654,71| 7 3,104,80 103/63 a 4| 43,90 20,12 23,78 54,17110,99 5,46 5,53 50,32 54,89 25, 58 29,3153,40| 9 [3,89 5,05 95.00 & [5| 67,87. 32,28 35 5952441725 8,86 8,39 48,64 85,12 4114 43985167] 14 4675,11 5590 151,61| 70,19 81,42 59017090, 20,9 00,0]1031] YT 2552,89 | 539.69 ail 230| 127 103 44,78 159 0,77 0,8251,57 3,89 204 1,8547,56| 2 |0,76/5,26 t— — 1891. & 22) 2013| 970 10435181| 5,57 2,67 2905206 25,70 12,7 13,33151,87\ 4 Banz 33 | 39,03| 18,79 20,2451,86| 7,92) 4,01 3,9149,37| 46,95 22,80 24,15 5144| 8 |3,244,55 “2 4| 69,60 33,09 365152,46/10,68 543 52549.16| 80.28 38,52 41,7652,02| 11 |467/5,13 3 5112,80 61,30) 51,50/45,66/25,78 14,80 10,98 42,59138,58 76,10 62,48 45,09 16 5495,44. 1... . | , 243,86 124,15 119,71449,09]51,54/27,08 23,86/46,29|295,40 151,83 143,57 48,00 | - 8 || 126 0,65 0,14841| 1,06 0,47 0,59155,66| 232 1112 1,2051,79| 2 0,565,18| 2013 t= 198. E 2| 2054 9,30 11,2454,72| 5,87 2,75 3125315 26,1 1205 14365437| 4|2,39/5210 1 53| Le bois parait humide, = 3| 76,28 35,20 41,0853,83/15,86 7/03 8/8355.67| 92,14 42,23| 49,9154,25| 7 4,70/5,28 aal rent = [176,03 78,00, 98,03 55,69/26,37 12,61.13,76.52.18 202.40 90.611111.79 55.23) 11 [7.14 5,38 | 8/15 Pondensation sur le verre. S [5281,30 | | 63,25 35,14 28,1144,44 344,55 16 |8,7915,54 37°99 OS à 3 555,41 | | 112 4158, 00/54,41/48,40[667,82 84447 GFE *24NO0QSADJIA IVS 9p SIIUIAPG SIP oct 351 Bulletin de l'Académie Impériale 352 Ce qui se fait remarquer en premier lieu quand on compare entre eux les cinq hauteurs, les cing numé- ros, de chaque arbre, bois et écorce ensemble, est, que la quantité d'eau, qui est indiquée dans la qua- trième colonne du compartiment C, augmente en gé- néral de la base de l'arbre à son sommet. Cependant il est assez rare que cette augmentation paraisse dans toute sa régularité. On la voit par exemple dans le pin (Ile 3 aoút 1868, le 21 janvier 1869, C.), dans Pé- rable (II le 5 aoút, le 10 octobre), dans le bouleau (III le 20 décembre, le 16 janvier 1869), dans le tremble (IV le 26 octobre, le 25 novembre). L'élé- gance de ce fait est souvent troublée par certaines anomalies, que je dois mentionner spécialement. D'a- bord.on trouve quelquefois, que deux, trois et méme tous les numéros de suite ont presque la méme valeur (I le 13 juillet 1, 2, C.; III le 12 juillet 3, 4; le 24 novembre 2, 3; le 15 février 1869 3, 4; IV le 11 juin 2, 3, 4, 5; le 12 septembre 3, 4), ce qui prouve que l'augmentation ne se fait pas toujours avec la méme conséquence; tantót elle se ralentit, tantót elle s'aecélere. Quand on remarque des cas où la diffé- rence ne dépasse pas les dixiémes ou les centiemes de Y,, (I le 9 juin 2, 3; le 26 novembre 2, 3; II le 92 mars 2,3, 4; III le 12 juillet 3, 4; le 24 no- vembre 2,-3; le 15 février 3, 4; le 12 septembre 3, 4, C), on est tenté de croire que ce sont des er- reurs d'observations et que les deux ou trois nombres sont égaux. D'autre fois, quand les différences sont, de 1 ou de plusieurs /,; (IV le 22 décembre 2, 3, C), on est obligé de les considérer comme réels et on doit en chercher la solution dans les circonstances extérieures, qui influent sur le mouvement des li- quides dans les plantes, ou bien encore dans des circonstances inconnues. On remarque méme quelque- fois suivant la hauteur de l'arbre une certaine in- termittence de sorte que, des cinq numéros, trois seu- lement indiquent, alternativement ou non, une aug- mentation d'eau vers la cime. (II, le 17 juillet, C; le 14 février 1869). Celle-ci est le plus souvent de quelques pour Y, moins humide que les numéros pré- cédents. (I, le 10 mai, 1; le 10 octobre; le 27 no- vembre, le 18 février 1869, C; II, le 19 avril; III, le 11 octobre; IV, le 18 avril, le 12 mai, le 19 jan- vier 1869). Quelquefois cette diminution de l'humi- dité vers le sommet se fait voir sur les deux numéros, 1 et 2 (III, le 9 mai, le 7 juin; IV, le 17 mars, €). On pourrait croire que cette circonstance provient de l'évaporation de l'eau que perdent les branches fines pendant la préparation et les pesées, qui duraient à peu prés deux heures. Il m'est arrivé une ou deux fois de remarquer que les feuilles et méme les branches commencaient à faner vers la fin de l'opération. Mais comment expliquer, que l'eau du bois diminuait, tan- dis que l'écorce qui le recouvre et qui devrait se des- sécher la premiere, continuait à augmenter d'humi- dité? Je pense donc que cette diminution de la quan- tité d'eau vers la cime peut provenir de la consom- mation des feuilles. Une autre irrégularité s'observe souvent à la base de arbre, € 5 et même 4, qui ont plus d'eau que les numéros qui se trouvent au-dessus d'eux (I, le 10 . octobre 5; II, le 19 avril, le 19 décembre, C). On rencontre méme des cas où l'eau diminue jusqu'au N 3, mais de là elle commence à augmenter jusqu'au sommet (II, le 13 juin, C). Quand on compare les quatriémes colonnes des compartiments A et B, qui expriment l'humidité du bois et de l'écorce, on trouve exactement les mémes variations, que je viens de décrire plus haut dans la totalité de l'arbre, seulement la marche des change: ments ne s'accorde pas souvent dans les deux organes. Tandisque dans l'écorce l'humidité augmente vers la cime, le 1 du bois est plus sec. (1, le 13 sep- tembre, le 18 février 1869. A, B). L'inverse a égale- ment lieu (I, le 10 octobre, A, B). Dans l'érable cette discordance est encore plus grande. Le 13 juin l'eau dans l'écorce augmente vers la cime, tandis que le bois présente un phénoméne contraire. Le bouleau présente des cas pareils (III, 9 mars, le 16 janvier); le tremble aussi (IV, le 18 avril, le 25 novembre A, B). Je n'ai remarqué qu'une seule fois que ce fait, la dimi- nution de la quantité d'eau vers la cime, ce soit exprimé dans la totalité de l'arbre (IV, le 16 février, €); ces disco dances s'éffacent un peu, il est vrai, dans la colonne C, mais comme le bois a plus de poids que l'écorce, son influence prédomine presque toujours. Pour comparer la marche de l'humidité suivant les saisons il est plus commode d'examiner chaque arbre séparément: - 353 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 4 I. Pinus sylvestris L, L'humidité dans le pin est plus regulierement dis- tribuée et la plus constante des quatre espéces. On peut s'en convaincre par les moyennes de chaque mois de la table suivante, oü les fractions sont omises. Mois. Bois. Écorce. Taux. Eau p.100. Eaup.100. Eau p.100. Mars 1868 63 53 62 Avril 61 44 58 Mai 61 50 60 Juin 54 47 53 Juillet 61 54 61 Août 58 47 56 Septembre 64 45 61 Octobre 65 56 63 Novembre 63 48 60 Décembre 59 54 58 Janvier 1869 63 59 63 Février 60 92 59 61 50 59 Entre le maximum de la 3° colonne, 63, et le minimum, 53, il y a en tout 10 p. 100; mais entre les nombres intermédiaires il y a si peu de différence, ils sont reparties si irrégulièrement qu'on voit à peine que pendant le printemps et l'été l'humidité de l'arbre est moindre qu'en automne et en hiver. On est pourtant frappé, qu'aux mois oü la végétation est en pleine vigueur on trouve dans le pin moins d'eau que dans les autres saisons. Le bois en contient un peu d'avantage et presque aux mémes époques. Le maximum en septembre, 64, le minimum au mois de juin 54 p. 100. Il faut done ranger le pin parmi les ar- bres à bois trés humide et plus humide en automne et en hiver qu'au printemps et en été. Ce fait a été déjà remarqué par M. Hartig’). L'écorce du pin est en toutes saisons plus séche que le bois de 11 p. 100. Son humidité n'est pas en rap- port avec celle du bois. Elle est la plus seche en avril, 44, etla plus humide en janvier, 59, et varie ainsi de 15 p. 100. Au mois de septembre elle est presqu'à son minimum, quand le bois est au maximum. Au mois de janvier c'est l'inverse qui a lieu. On aurait pu croire, que la sécheresse de l'écorce serait le cas le 1) Über die Bewegung des Saftes in den uen Bot. Zeit. von Mohl und Schlechtendahl 1858, X 44 Tome XXII. plus naturel. Elle recouvre le bois et ayant plus de surface, elle est plus exposée que celui-ci à l'évapora- tion; mais il n'en est pas ainsi toujours, comme nous allons le voir. Bien que la méthode que j'ai suivie pour la déter- mination de l'eau dans les arbres ait été différente de celle de M. Hartig °’), j'ai obtenu quelques résultats semblables. Le bois du pin est plus aqueux que les autres; son humidité est répartie assez uniformément pendant toute l'année. En hiver, pourtant, il contient plus d'eau qu'au printemps. II. Acer platanoides L. Sous quelques rapports l'érable est l'opposé au pin, comme on le voit par le tableau qui suit: Mois. Bois. Écorce. Taux. Mars 43 46 43 Avril 46 47 47 Mai 46 50 47 Juin 46 49 46 Juillet 41 62 44 Aoüt 40 52 42 Septembre 37 49*) 38*) Octobre 37 47 38 Novembre 39 47 40 Décembre 7 46 39 Janvier 31 46 38 Fevrier 38 46 39 à 41 49 42 C’est donc un arbre très sec. Bien que son humi- dité ne varie que de 9, de 47 à 38 p. 100, elle est répartie régulièrement et partage l’année en deux moitiés ; pendant l’une, de mars en août, l'arbre contient en somme 45 p. 100 d’eau; pendant l’autre, de sep- tembre jusqu’au février, 39. Le bois suit exactement la même marche; pendant six mois — moitié humide, maximum 46; pendant six mois — moitié sèche, mi- nimum 37 p. 100. 2) L.c *) Quoiqu'un accident fächeux m'ait privé des 3 numéros eh ré- corce de ce mois, et les moyennes exactes de l'écorce et du ta pouvaient pas étre obtenus, cependant on remarque Eee en examinant les tableaux que les moyennes de l'humidité de chaque mois, bois et écorce, aussi bien que l'arbre entier, coincident trés approximativement avec le X 4, ou varie plus rarement entre le X 3 et le5. M. Hartig dans son ouvrage, 1. c. a done justement choisi la better de 4 pieds pour déterminer la quantité d'eau contenue dans tout l'arbre, hauteur qui correspond à peu prés à mon $ 355 Bulletin de l'Académie Emperiale L'écorce est toujours plus humide que le bois, ayant 8 d'eau de plus. Elle a un minimum de 46 p. 100, qui correspond presqu'au minimum du bois et un maximum de 62, qui au mois de juillet se trouve avec le bois de moyenne humidité. La plus grande humidité ne dure que 4 mois, de mai en septembre. Durant cette période elle varie de 13. Les autres huit mois elle conserve à peu prés la méme quantité d'eau, ne va- riant que de 3 p. 100. II. Betula alba L, Cet arbre par son humidité moyenne de 48 p. 100 doit étre placé entre les deux précédents. Mais il se distingue par une différence énorme de 30 p. 100 entre le maximum, 72, et le minimum 42 de humidité. Mois. Bois Écorce. Taux Mars 1868 48 39 46 Ayril 52 42 50 Mai 58 45 56 Juin 74 52 72 Juillet 42 49 42 Aoút 42 49+ 44 Septembre 41 .. Octobre 44 43 44 Novembre 46 41 45 Décembre 42 43-1- 42 Janvier 1869 44 46-+- 44 Février | 45 42 44 48 44 48 Pendant sept à huit mois, depuis la fin de l'été jus- qu'au printemps, l'humidité moyenne du bouleau est assez invariable, elle est à peu prés de 44 et change seu- lement de 1 à 3 p. 100, mais au mois de mars il survient une époque d'effervescence. C'est surtout au mois de juin que l'humidité est la plus grande, 72. Le bois suit la méme marche, il est plus humide de 1 ou 2 p. 100 que l'arbre entier. Je regrette de n'avoir pas eu le temps d'examiner le bouleau à l'époque de la plus forte ascension des sucs, qui doit avoir eu lieu quelques jours auparavant. On s'en assure en comparant les diffé- rentes hauteurs de l'arbre au mois de juin. On trouve à son milieu (IIT, 7 juin A, 3) jusqu'à 82 p. 100 d'eau, qui diminue vers le bas et vers le haut. ` L'écorce est en général plus séche que le bois, au mois de juin la différence est méme de 22, mais au mois d'aoút, de décembre et de janvier elle en est plus humide de 1 à 7 p. 100. On doit s'attendre à une tran- sition où Pécorce et le bois ont le méme dégrés d’hu- midité et en effet le mois de juillet présente ce fait, la colonne B ne contient de plus que la colonne A que 0,17%. Au mois d'octobre il y a 1%, de différence; on peut présumer que ce n'est pas chaque année, qu'il en est toujours ainsi, ou que d'autres mois peuvent avoir l'écorce plus humide que le bois. Il faut rappeler ici que ces manques de concordance entre ces deux par- ties ne sont pas rares suivant la hauteur de l'arbre. (III 20 décembre, 9 mars, 16 avril A. B.) Populus tremula L. Le tremble appartient à la méme catégorie que le bouleau, bien qu'il s'en distingue nettement par quelques propriétés opposées. . Mois. Bois. Écorce Taux. Mars 1868 58 54 57 Ayril 54 51 54 Mai 57 51 56 Juin 46 55- 48 Juillet 47 55+- 49 Août 46 58+ 49 Septembre 47 54+ 49 Octobre 53 50 52 Novembre 55 49 53 Décembre 54 50 53 Janvier 1869 49 46 49 Février ant 48 5579 52 52 52 Bien que la différence de l'arbre à l'état ]e plus humide, mars, 59, et à l'état le plus sec, juin, 48, ne soit que de 9 p. 100, les mois se groupent clai- rement en deux parties inégales; pendant les huit mois, du printemps, de l'automne et de l'hiver, le tremble est plus humide que pendant les 4 mois de l'été et du com- mencement de l'automne. Bien que les taux de l'humi- dité du bois et de l'écorce soient semblables, ce fait est probablement accidentel. Le bois est un peu plus hu- **) C'est encore une fois que je prends le X4 pour moyenne de Parbre, bois et taux, n'ayant pas le X 5 pour former la moyenne exacte. 357 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 358 mide que dans le taux pendant les huit mois et un peu plus sec pendant les quatre autres. Dans l'écorce le phénoméne est inverse. J”ai noté par le signe + les mois où l'écorce est plus humide de 54 à 58 p. 100 afin de faire mieux ressortir cette époque, elle coin- cide exactement avec celle op le bois est le plus sec. On m’excusera, je l'espére, de mon intention de vou- loir introduire dans la science quelques expressions qui désignent le phénoméne assez curieux — les relations de l'humidité du bois et de l'écorce. Je désigne par hygroxylés (dyecËvhos) ou mieux par xerophlés (Énpo- photos) les arbres dont le bois est trés humide et pen- dant toute l'année plus humide que l'écorce, comme le pin; par zerozylés (Enoc&vXoc) ou hygrophlés (Uygophotos) les arbres à bois sec et pendant toute l'année plus sec que l'écorce, comme dans l'érable. L'humidité du bois et la sécheresse de l'écorce sont deux faits qui vont ordinairement de paire et peuvent étre exprimés par le méme mot, et réciproquement. Cependant le melèze a le bois trés humide et l'écorce plus humide encore, c'est pourquoi j'aurais préféré l'expression de hygro- xylés, qui en désignant l'humidité de Pécorce ne rapelle pas la sécheresse du bois. La troisiéme caté- gorie — les amoebaeoxylés (apoBaróķuhos), contient les arbres, comme le bouleau et le tremble, dont le bois pendant une partie de l'année est plus humide et pen- dant une autre plus sec que l'écorce. On trouvera peut- étre prématuré de vouloir instituer des catégories, quand on n'a à classer dans chacune d'elles qu'une ou deux espèces de plantes, catégories, qui peuvent même varier d'une année à l’autre, mais ce ne sont pas moins des faits distincts et j'espère avoir bientôt à prouver que les recherches ultérieures montreront, que tous les arbres pourront étre classés dans l'une des divisions précédemment nommées et méme dans quel- ques autres qui ne sont pas encore suffisameut consta- tées. Du reste les expressions que je propose se rap- portent tout aussi bien aux catégories constantes qu'aux faits isolés. Un arbre peut changer son humi- dité trés souvent et irrégulièrement, il n'en sera pas pour cela moins hygrophlé ou xerophlé, selon que son écorce sera plus ou moins humide que son bois. Il paraît pourtant que ces caractères sont propres aux especes. J'en ai examiné quatre, douze exemplaires de chacune. Le pin et l'érable restaient fidelement attachés aux catégories de xerophlés et hygrophlés. Quand à celle d'amoebaexylés, le bouleau par exemple et beaucoup d'autres arbres étaient depuis longtemps connus comme ayant le bois plus humide au printemps que dans les autres saisons. Sur quelques propositions nouvelles, relatives au sym- bole de Legendre (7). Par V. Bouniakowsky. (Lu le 21 septembre 1876.) Dans un Mémoire présenté à l'Académie en 1869?) j'ai établi le théoréme suivant: Théorème. Soient a et r deux entiers impairs pre- miers entr'eux, dont le second r est compris entre les limites 1 et 2a — 1 inclusivement. En désignant par p un nombre premier (différent de 2) mis sous la forme p= 2an +r, on aura p>: — 1 re a a * -(—i) ? (mod. p), ou bien, en faisant usage du symbole de Legendre, 1 —— N HM =» ? m étant indépendant de n. Quant á la valeur de cet exposant m, elle est égale au nombre des solutions de l'inégalité Ar r—1 R (5) et =- dans laquelle À admet successivement toutes les va- leurs 1, 2,3....* EN désigne, à l'ordi- naire, le reste de la division de Ar par a. Dans un autre opuscule: Sur le symbole de Legendre (2); paru en 1870 à la suite du Mémoire sus-mentionné, et contenu dans le méme tome du Bulle- tin de l'Académie (page 549), j'ai donné l'expression de cet exposant m en fonction de a et de r, et j'en ai 1) Sur un théoréme relatif à la théorie des résidus et de son application à la démonstration de la loi de réciprocité de deux bres premiers (Bulletin de l'Académie Impériale des Sciences de St.-Pétersbourg; T. XIV). 99* 359 ` déduit, entr’ autres, plusieurs nouvelles propositions relatives aux racines primitives des nombres premiers. Je commencerai par rappeler les formules qui déter- minent l'exposant m, telles qu'elles ont été données dans mon article de 1870. Les valeurs de r, comparées à celles de a, dans l'expression p = 2an + Y donnent lieu à deux cas possibles: r peut étre plus grand ou plus petit que a; d'ailleurs, comme r et a sont tous deux impairs, ils ne peuvent différer entr'eux que d'un nombre pair. On aura donc à considérer les deux cas suivants: 1* cas: r — a+ 2k et 94 eas: r' — a — 2k, k étant un nom- bre entier, premier à a, et qui ne surpasse pas — 5 puisque la valeur de r et de 1 est comprise entre les limites 1 et 2a — 1 inclusivement. Cela posé, on aura dans le premier cas: p — dan + Y et r = a + 2k 2847 + E - 3k +. dE (2) 2k -E (5-26) HE) et dans le second: p = 2an +r et r =a — 9k r—1 + 2k r—1 à KS CTA D (5) = pu) z ' J Sg 3 (3) Pexposant m étant identiquement le méme que le précédent, c'est-à-dire déterminé par la méme for- mule (2). Nous entendons par là que la valeur, attribuée à r’ dans le second cas, doit être, comme dans le premier, r —a-+ 2k, et non 7! = a — 2%. Le but que nous nous proposons dans cet article est d'indiquer un cas particulier pour lequel l'expression de l'exposant m se simplifie de telle sorte, qu'il devient possible de se débarrasser de toutes les fonetions numériques E qui entrent dans la formule (2). La simplification dont il s'agit devient évidente en donnant à cette formule la forme suivante: Bulletin de l'Académie Impériale 360 LE sn ` OU (5) ee] en Lal) ` Je eier. dE et a eL E 9 A € en? (k-1)a-1 - 2 , f(k—1) a1 * E ( "a a E ep | Cette valeur de l'exposant m, comme nous venons de le dire, étant commune aux cas p -—2an--a-4-9k et p = 2aw +a — 2k, nous pourrons traiter simultanément tous les deux, sauf à tenir compte des deux premières parties des exposants de — 1, nommément des termes a —1 2 ai — y et (n' +- 1) dans les formules (1) et (3). Cela posé, il est visible que lorsque a+ 1 A — r--1 2 + k — — est divisible par 2%, on pourra de suite se débarrasser des fonctions E qui entrent dans la formule (4). En effet, en supposant e e 6 9 9» «V, * y étant un entier, la différence ( er la—1 2 la—1 B aet ES — HE), qu'on peut prendre pour terme général de la formule (4), se réduira simplement à œ; de plus, comme le nombre de ces différences est k — 1, leur somme sera égale à (k — 1) p, et l'on aura GE 2 m= E 3E Enfin, observant que r--1 2 1 D aA —— i) 361 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 362 on obtiendra définitivement —8 : 1 /a=8 m = bp ln = (F +k)... (6) L'identité (5), mise sous la forme er] 2D) hy dado a (7) montre que la De des fonctions Æ exige que —— + soit un multiple impair de k. Cette condition See on aura, en vertu des formules (1) et (6), pour un nombre premier p = 2an + a + 2k a—1 1 /a—3 DM UE her T xen: (are) = 0 ) pe Pour p' = 2an' + gs 2k, l'exposant de — 1 dans la formule (3) sera m PA, —3 "e D «0-307 +) = et par suite —l vy GHEET )=(-1) el a (9) Reprenons. l'égalité de condition (7); observons d'abord que p ne peut pas être égal à l’unité, car on aurait dans ce cas a—1 7 1/a+1 AAA sum o8 2an'--a—9E 1 ==, ce qui est inadmissible, vu que 2% doit étre inférieur à a. Quant aux valeurs p = 2, 3, 4... jusqu'à leur limite =S, elles ne présentent aucún signe d'impos- sibilité: en effet, en supposant p. — 2, on aura déjà < 4; à plus forte raison la condition 24 < a se trouvera _ satisfaite pour des valeurs de p supérieures à 2. La même égalité (7) montre que pour des valeurs de la base a de la forme 4e + 1, k devra être impair, et pour celles de la forme a = 4e + 3, k sera néces- sairement pair. Voici, pour le cas de a = 4e + 1, les valeurs correspondantes de k, de y. et de 24 — 1: 3k eT d'où = KEN 8 Val. de a: Val. de k: Val, de y: Val. de 2p — 1: Days coss sisi. dE A did 3 S ade v 1 e, PAPE 5 tI E I... tl E uar 7 JE. ES EC nt 13 11 Ms iir... RARE S. 13. Pour ce qui concerne la valeur omise a — 17, elle conduit aux deux systémes Val. de k: Val. de p: Val. de äu — 1: e D O 9.9 En wi » La valeur a — 29 qui suit immédiatement celle de a — 25, donne lieu aux trois systémes suivants: Val. de k: Val. de p: Val. de äu — 1: f Bien e ` Kë 15 VER ER RSS Dust se 5 | Dv. USE Dia TT 3 Voyons actuellement á quoi se réduisent les for- mules (8) et (9), quand a — 4e =- 1; puisque dans ce cas I est pair, il n’y aura lieu de considérer que les exposants +k) et (2). 1 fa —8 2 ( 2 Or, il est facile de voir que ces deux expressions, sous le rapport de leur parité ou non-parité, sont identiques. Pour cela il n'y a qu'à mettre la seconde sous la forme 1 fa--1 1 fa—3 2 aee prek ) PS ( 2 égalité qui, en vertu de k impair, vérifie la congruence iC —k) ides 5 ( 3 +k) (mod. 2). +k) —k + 1, Ainsi, lorsque p = 2an--a--2k et pP = 2an +0—2k seront tous deux des nombres premiers à base a = 4e +- 1, et que Ti sera divisible par k, 2k étant inférieur à a, on aura cette expression trés simple, commune aux deux symboles (5) et (5): =j). ap a a (aa) ze [os Ld Soient donnés, par exemple, les deux nombres premiers ; 109 = 2.412-41—2.7 et 137 = 2.41 +41 4-2.7 à base commune a — 41; comme la valeur k= 7 divise le nombre => =21, on en conclut que la pro- position (10) subsiste pour le cas actuel. Ainsi Pon | aura Bulletin de l'Académie Impériale 41 41 > E ie 7) T (5) = (5) =D =(-1)=-1. Appliquons encore la formule (10) au cas de a—29, rapporté plus haut; nous avons vu que cette base comporte les trois valeurs suivantes de k: k=1, k=3 et k=5. Voici un exemple pour chacune de ces valeurs; en vertu de la formule (10) on trouvera: Pour k — 1, p = 2.29 + 29 + 2.1 —89 1/30 (> —1 - 2 RE (3) = on I=-1 Pour k= 3, p = 2.29.2 + 29 + 2.3 — 151 90 oi. > Pour k— 5, p= 2.29 +29+25=97 ec» a Considérons actuellement le cas de a = 4e + 3, pour lequel l'égalité (7) se réduisant à 271.9 (e+ 1) Qu — DE, montre que k doit étre pair, comme nous l'avons déjà observé plus haut. Du nombre des valeurs successives de a, nommément a: a+ 1: B. ce E =2 yd um 8 = 2 IL ESS 12 = 23 TOSS E? 16=2* DS. 20 = 25 285 ors 94 — 9?3 EN 28 = 2?7 Di... à 32 = 2 Coup Beier, oa 9 tus nous commencerons par exclure celles pour lesquelles a+ 1 est une puissance de 2: telles sont a= 3, 7,15, 31... En effet, si l'on suppose a+1=2", la condition (7) donne (2p. — 1) k= 27, et par suite kernel, 2=2 =a+1; or, ce dernier résultat est évidemment impossible vu que 2k doit étre inférieur à a. Toute autre valeur de a conduira à un ou à plusieurs systémes de valeurs correspondantes de k et de p, compatibles avec la condition 2k 4a — 1. En voici des exemples: Val. de a: Val. de k: Val. de p: Val. de 2p — 1: Ilo PN UN EE M csuesco EAM 3 BR DM Suida. a 0 5 DS EE EDT SO Lo M oiu. iE DUE 3 ZR EE X oki. c9 Lise 7 Mead EQ rs D. lies ue 9 dO are B. oot ducc 6s 9 QUEM QA X pr V. (Woo o wow «ce AA FONTE OR. UNUM Revenons au symbole (5) pour a — 4e+ 3; puisque dans cette hypothèse k est pair, la valeur de m, donnée par l'expression (6), se réduira simplement à — 1, de sorte que les formules (1) et (3) deviendront E= PE kal et pourront étre remplacées par les suivantes, trés H n 1 D . simples, en observant que == est un nombre impair: (==) =(1) a um ai (zara) = (—1) Exemples. Soit a — 19 la base commune aux deux nombres premiers 61-2.19--19--2.2 et 53=2.19+ 19 — 2.2, (Dr a—1 DH Se o (n + 1) + e mid E = 9an-3-a--2k] o in MI E Dan! + a — 2k n—1 par rapport auxquels la condition (7) est satisfaite; en observant qu'on a dans ce cas » — a — 1, les for- mules (11) et (12) donneront E = (1) +1, (5) —(—1)2-—1 Les deux formules (11) et (12) conduisent à la | Proposition suivante: 305 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 366 Lorsque l'on a deux nombres premiers on a "t égalités p=2an +a-+2k et p'— 2an +a—2k, - = (4) =+1 (5) = (i) ==1 dont la base a — 4e + 3, satisfait à la condition (7), | et pour on aura BIEN = — ] ou +1 selon que n sera congru ou incongru à m suivant le module 2. Ainsi, comme dans les deux exemples précédents on a n =w =l = 1 (mod. 2), * .. 9 $9 59 a la formule (13) donnera eo i Soient encore les deux nombres premiers 47=35+2.6 et 233 — 2.35.3 + 35 — 2.6 à base commune a = 35; puisque dans ce cas la con- dition (7) est satisfaite, et que les deux nombres — 0=0 (mod. 2), »'— 3 = 1 (mod. 2) sont incongrus entr'eux suivant le module 2, on devra avoir EVERTI an) Vel. eg, ce qui en effet est exact, car on a (5) 5 —1. e (a) =—1- Il est facile de voir que la dernière Proposition peut étre généralisée en sorte, qu'il ne soit pas néces- saire que les deux nombres premiers considérés aient une base commune a; il suffit que chacune d'elles soit de la forme 4e-- 3. De plus, le nombre pair k peut étre différent pour chacun des nombres premiers donnés, pourvu que la condition de la divisibilité par 2k de la base choir me de l'unité soit satisfaite, et que Pon ait k <==. Pour justifier notre assertion il suffit de er que les exposants de —1, nom- mément n— 1 et si, dans les formules (11) et (1 9) sont indépendants de a et de k. Voici quelques exemples numériques de cette généralisation: en observant que pour les nombres premiers 37=2.11+11-+2.2, 61— 2.19 + 19 + 2.2, 47 — 35 + 2.6, 139 = 2.27.2 4- 27 + 2.2 en A 53 = 2.19 + 19 — 2.2, 61 — 2.23 + 23 — 2.4, 107— 2.23.2- 28 — 2.4, 233 = 2.35.3 4-35 — 2.6, les suivantes: 9-8 D ne (8) E on en conclura (5) (51) = (51) (ass) 7 (or) (io) = ete. = — 1, (r) (107) = (s) (o) = (o) (as) = ete. = +1, conformément à l'énoncé de notre Proposition. Toutes les formules concernant le symbole (5), rapportées plus haut, sont relatives aux nombres pre- miers considérés sous la forme p= 2an +r = 2an + a E 2k, le reste r étant supposé positif; le cas de v négatif se ramene de suite à celui-ci en observant que p = 2an — r = 2a(n — 1) + 2a — r, ou bien 2an — r = 2a (n — 1) + (az 2k) à cause de r =a + 2k. Il suffira donc, pour avoir la valeur du symbole ` ` (s ep de remplacer dans toutes les formules précédentes le coefficient n de 2a par n— 1 et —» par 2a — (a + 2k) = + (a 2k), de sorte qu'aux deux formes 2an — (a E 2k) corresponderont les deux formes primitives suivantes: 2a (n — 1) + (a + 2k), la condition de a 4-1 divisible par 2k restant la méme pour les deux cas. Soient, par exemple, les deux nombres premiers 151 — 2.29.3 — 23 = 3.29.3 —(29—2.3) et 233 = 2.35.4 — 47 = 2.35.4 — (85 + 2.6), . 807 Bulletin de l'Académie Impériale comen alli nn inner la base de 151 étant 29, de la forme 4e+ 1, et celle de 233, 35, de la forme 4e + 3. Ces deux nombres, ramenés à la forme primitive, nommément 151 — 2.29.2 + (29 + 2.3) et 233 = 2.35.3 + (35 — 2.6), satisfont tous deux à la condition (7); on aura donc, comme du reste on Pa déjà vu plus haut, (2) ar) Sei — +1 .(par la form. (10)) (ass) eg Lon LÉI eL es (par la form. (12)). 233 Les formules précédentes conduisent tres simple- ment à diverses propositions particulieres; nous allons en rapporter quelques-unes. Pour tirer des conséquences des résultats trouvés plus haut, il faut considérer les nombres premiers comme dépendants de la base, à laquelle on les rap- . porte, et qui peut être de l'une des deux formes 4e + 1 ou 4e-a- 3. Rappelons qu'en supposant la condition (7) satisfaite, l'expression lud 1°‘ * 7. du symbole (5) [form. (10)], dans les cas de a=4e+1 et p= 2an-r a 2k, est indépendante de n. Dans le second cas, c.-à-d. quand a — 4e =+ 3, l'expression du symbole (5) ne dépend que de la parité ou non-parité du facteur n, et ne dépend nullement des nombres a et k, comme on le voit par les for- mules (11) et (12). : De la formule (10) découle immédiatement la Pro- position suivante: d Étant donné un nombre premier 2an + a+ 2, on aura i amey] = + ] ou — 1 suivant que la base a sera de la forme 8e+ 1 ou Be + 5. En effet, puisque la valeur de % pour un nombre premier présenté sous la forme Zon rat 2.1 est égale à Punité, la condition (7) se trouvera néces- sairement satisfaite. De plus, en substituant à « les deux nombres 8e-- 1 et 8e-+ 5, nous aurons pour H 1 /a-+ 1 Pexposant ; Ze — (E — 1) = 2 et lucem dont la premiere est paire, et la seconde impaire, comme exige l'énoncé de notre Proposition. Plus généralement, on peut se proposer la question suivante: Le nombre k étant donné, quelle doit être la forme plus particulière de la base a = 4e + ] pour avoir à volonté ) les deux valeurs VE seems rues 2 (za) | ou =l: Pour résoudre cette question substituons dans l'ex- pression Pos A zo k) de l'exposant — 1 dans la formule (10) 4e + 1 à la place de a et 25 2-1 à la place de k, ce dernier nombre devant étre impair. Cela posé, l'exposant en question deviendra simplement 1/a+1 , (E —1) ek. SEET (14) Voyons maintenant quelle doit étre la forme de e dans la valeur de a = 4e +1 pour que a + 1 = 2 (2e + 1) soit divisible par 2% = 2 (2 + 1), c.-à-d. pour que la condition (7) soit remplie. En représen- : a 2-1 tant par A le quotient —:—, on aura a+1 2e+ 1 9k Mal —— 4, ou bien (DR +1) 4—2e — 1. Or, les valeurs générales de e et de A qui satisfont à ` cette équation indéterminée sont e=k (DN A De A=1+%, ou bien k—1 r Qo tke, d étant un entier quelconque. On aura donc a = Ake + 2k — 1 Si Pon observe que e—k =ke =e' (mod. 2), on conclura de suite des formules (14) et (15) que ` pour un nombre premier 369 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 370 p= 2an + a + 2k formules (11) et (12) conduisent de suite à la consé- à base quence suivante: a= Ake' + 2k— 1, le symbole (5) se réduit simplement à (eV c.-à-d. que l'on a D a PR ERA (5) = 1 ou +—1 suivant que d est impair ou pair. Exemples: soient les deux nombres premiers 23=17+2.3 et 11 = 17 — 2.3 à base commune a — 17 = 4.3 + 2.3 — 1, qui satis- fait aux conditions (7) et (15), car on a n = o, k=3, e — 1; or, puisque d est impair, nous aurons (s) 7 (8) 7 —1- Supposons encore p=83=69 + 2.7, o= 69 = 4.7.2 -- 2.7 — 1, et par conséquent n — 0, k = 7, € = 2; comme dans ce cas d est égal au nombre pair 2, on trouvera en vertu de la formule (16) Ww Dr Faisons encore voir en passant que pour une base égale à un nombre carré b°, le symbole (2) en vertu de la formule (10), se réduit a +1, comme cela en |^ effet doit avoir lieu. Nous nous référons à cette for- mule, parce que le carré d'un nombre impair rentre dans la forme Ae 1. Tout se réduit donc à montrer que l'exposant 1 /0? 4- 1 E!) est un nombre pair. Pour cela observons que le nombre impair k, premier à b°, devant diviser la somme b’+-1 de deux carrés, sera né irement de la forme 444-1; quant au carré 2?, il aura la forme 85’ + 1. En sub- stituant ces valeurs dans l'expression de l'exposant, on obtiendra en effet 1 b? 4-1 D 1 == in k)= 3 (j. — Kk). Passons actuellement au cas de a = 4e+ 3. Les Tome XXII. Étant donné un nombre premier 2an + a + 2.2, dont la base a est de la forme 4e + 3, différente de 2'— 1, on aura tore =+] où —1 et ( 5) — 1 ou +1, suivant que n sera impair ou pair. En effet, comme a — 4e+ 3 et k — 2, la somme a + 1 = 4e + 4 sera divisible par 24 = 4; par con- séquent la condition (7) se trouvera satisfaite. Il est d'ailleurs visible que ce Corollaire subsiste pour toute base a de la forme a = 2ke' — 1 k étant pair et d désignant un entier quelconque, supérieur à 1. Exemples: pour le trois nombres premiers 29 =2.11+11 — 2.2, 6122.19 + 19 + 2.2, 101 = 2.21.2 + 21 — 2.2 on aura 11 19 21 (5) = — l, Met Lëck + li Voici un autre Corollaire des mêmes formules (11) et (12): Soit p un nombre premier, ient au double de la base a — 4e — 3 à laquelle on le rapporte. Si ce ombre p augmenté de l'unité est divisible par sa différence à la base, c.-à-d. si pi X dk on aura suivant que p sera supérieur ou inférieur à a. Pour s'en convaincre il n’y a qu'à observer que le nombre premier p, dans le cas actuel, est de la forme p =a + 2k; on aura done n= 0, n'= 0 et 2k 35, on aura (n) =- i, 23 — 35, on aura (5) =(5) => 1. Nous terminerons cet article par quelques remarques détachées concernant le symbole UC Et d'abord observons que tout ce qui a été exposé plus haut relativement à la détermination de (5) pour une base impaire a, peut être immédiatement étendu au cas d'une base paire a = Ya. En effet, en vertu de la relation connue pol , Dit ` A E on aura ls T (2s) i (2) (5) zs A (5) et par suite zit yo e, Ainsi, par exemple, pour la base à == 40 = 2°.5, pour laquelle on a a=5, y= 3, et le nombre premier p= 67 = 10.6 + 5 + 2.1, on obtiendra d'abord (2) a (2) et ensuite, par la formule (10), (5) == UA Outre l'égalité p1 er er e) nous avons trouvé, dans le Mémoire qui vient d'étre cité, des formules analogues pour les bases 3, 5 et 6; voiei ces formules: ———— *) Sur les congruences binomes exponentielles à base 3, et sur plu- sieurs nouveaux théorèmes relatifs aux résidus et aux racines primi- tives (Bull. de l'Acad. T. XIV). GER Sr j=- Ela Exposons maintenant quelques considérations sur la question d'assigner, pour un nombre premier donné p= 2an + a = 2k, les valeurs de la base a propres pour la déterminatión du symbole (5) par nos formules. En d'autres termes, il s'agit de trouver, en vertu de la condition (7), les valeurs de a qui satisfont à l'é- quation +1 p 2an + a+ 2 D(F), . Cette question, 2 2 considérée dans toute sa généralité, n'est pas suscep- tible d’une solution entièrement exempte de quelque tatonnement. : En supposant D (>) désignant un diviseur de — - PE =P, = A, et par suite a—24—1 (19) ' l'équation précédente prendra la forme plus simple P a- n — (2n 2- 1) A c- D(A), ou bien TEN Pœ n — A' [(2n +1) 41] (20) en posant D(4) — A' et A=4 A". (31) Pour traiter l'équation (20) il faut avoir en vue les -remarques suivantes: avant tout il est à observer que A! désignant le nombre précédemment représenté par k, doit étre impair ou pair suivant que a affectera la forme 4e 4-1 ou 4e4- 3. De plus, la valeur de A’ ne doit pas étre supérieure à o. : Nous remarquerons encore que si, pour une certaine valeur de n, la somme P + n est impaire, et n’a au- cun sous-diviseur de la forme (2n + 1).4" +1, on devra avoir, soit | A'—1, Pæn= (2n + 1) A1, soit A'=P-+n, (2n 2-1) A" 21 —1, d'où n=0, A'— 2, Let par suite a = 4(P-- ») — 1. Comme dans chacun 373 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 374 de ces deux cas, á cause de 4” pair, la base a est de la forme 4e-+ 3, et que le nombre A’ est impair, le symbole (5) ne pourra pas étre déterminé par nos formules. Il pourra aussi arriver que l'équation (20) soit im- possible. Par exemple, si, pour p — 29, on prend n — 2, cette équation se réduira à l'égalité e 17 = A' (5.A" + 1). qui ne peut avoir lieu. Le méme nombre premier 29, pour n= 1, donne l'équation $ 16=4'(34"+1), qui fournit les résultats suivants: A'—1.. 4=5...4=.9..,29=18.1+ 9--2.1 A=2.,.4=3 ..4=11...29-22.1+ 11—2.2 A—4...2'=1...a= 7...29=14.1+ 7+2.4 38... A =i EB}. 298011728. Les deux premières solutions, nommément 4= 1, a = 9 et 4'— 2, a — 11 rentrent dans nos formules, comme on le voit par les indications suivantes: ues tata E 2 a— 9=42+1, 4=1, a=11=42+3, 4=2, 2< on aura donc | (as) ==] [par la form. (10)] 29 (5)= — 1 [par la form. (12)]. Quant aux deux solutions restantes 4=4, a = 7 et A'=8, a= 15, elles ne satisfont pas à la condition As =>, par suite de quoi nos formules ne leur sont pas applicables. Considérons en particulier le nombre premier p = 2an + a + 24 sous sa forme la plus simple phat 2A, le premier terme 2a» s'annulant par la supposition n — 0; l'équation (20) se réduira alors à | P= A (A"& 1), P, A' et A" étant définis par les formules (19) et (21). . | Dans cette supposition il faudra décomposer le nombre P en ses facteurs, et soumettre à l’examen chaque double produit 4'(4” + 1). Commençons par indiquer les formes par rapport au module 4 que doivent affecter A’ ou k et p — a= 2k dans chacune des deux hypothèses a=4e+1 et a=4e+w 3; on trouvera facilement que ces formes sont: cd k=2k+1, p—4l--3 vier E ar pis doe [uat EE EE AE e» xcd t = 2-1, p a dee T oy. p — 4l a- 3. Le premier et le dernier de ces quatre cas sont rela- tifs à la forme p — 4/+3, et rentrent dans nos for- mules; quant au second et au troisieme, qui se rapportent à la supposition p = 4/ + 1, ils échappent à ces formules, car elles exigent que k soit impair pour la base a = 4e +1 et pair pour la base a = 4e +3. Soit, par exemple, le nombre premier p — 47 de la forme 4/ + 3; l'équation (22) donnera TE ee 24 — 2, 8 — d (4 EI); cette égalité conduit aux systèmes suivants des valeurs pour A. A" et a: A A" a=244"—1 1.55.98, 95. 04 bj 49 D, 45815... 49,01 9... 45,295 541,09 j à 55. T; ML M B... De D. do, B0 8. ^n 01,069 ii. b 5. AXI dE... d o, 95. Comme toutes les valeurs de la base a pour A’ pair sont de la forme 4e 3, et pour A’ impair de la forme 4e- 1, il s'en suit que nos formules sont applicables à toutes celles des valeurs trouvées de A qui satisfont á la condition eh! PA redd Or, sur les 15 valeurs de a, il n’y en a qu'une seule, nommément a — 23 qui, pour Æ = 12, ne remplit pas cette derniere condition; on aura donc en vertu de la formule (18) 24* op (247+1) — (= Eco et par la formule (10) Bulletin de l'Académie Impériale 376 Lorsque le nombre premier p est de la forme po 1", on trouve de suite toutes les valeurs de la base a aux- quelles nos formules sont applicables. En effet, puis- que dans ce cas y Sally 7-4) 7) = (7)= =h (2) CH = = + 1. on aura les décompositions suivantes: A A" a = 24' A" —1 1 get RP ege AE rl 2 ter. eye, 92(2°?+1)— 1 2 gr 3 ee —1)-1, CRL ën 1) 2° yan Ba net 2 (27 21) 4, 2 (2 +1) —1 de. 2! — 1, 9 ue lo ave: à yop) 2. (2-+1)—1 Beeren A QE E ura Eres y l. Observons d'abord que les valeurs de la base a; qui correspondent à A = 1, sont toutes deux de la forme 4e+ 1, et que celles qui se rapportent aux valeurs paires 2, 29.29... 27" de A’, sont de la forme de+3; par conséquent, dans le cas actuel, nos formules peuvent étre appliquées à toutes les valeurs de A’ qui satisfont à la condition Or, sur les » valeurs de A', il n'y à qu'une seule, nommément Æ = 2" ?, qui ne vérifie pas cette derniére condition; pour s'en assurer il suffit de montrer que l'inégalité PEN ar deem > gran], " giri (——1 —1)-2 —€— relative au premier système des valeurs de a, subsiste pour toutes les valeurs entières de à, inférieuresày— 2; cela se voit immédiatement en donnant à la derniere inégalité la forme ge gu] ce 3 d’où l'on déduit À 1 ) pour un nombre premier p quelconque (5 excepté). Des deux formules == de Ci) et (5) es (— 1D) EZ) rapportées plus haut, il résulte que | (oco, CETT) a Supposons actuellement que le nombre p a été mis sous la forme E (2 p= 40n + 20 +7, r étant impair, non divisible par 5, et inférieur à 20. | Les 8 valeurs de r seront visiblement les suivantes: d BA A O) Or, puisque le premier terme 40n de l'expression de p, divisé par chacun des deux nombres 4 et 5, donne un quotient pair, nommément 10» dans le pre- mier cas et 8n dans le second, la formule (24) se ré- duira simplement à 20-2 r +1 10V 7 E ( 1 GE En substituant à r dans les deux termes de cet expo- sant les nombres (25), on obtiendra le résultat final prse (PE) . Suivant : SÉ +1 pour Lio 11, 17,19) p —1 pour p= 40n+ 20 + (1, 3, 9, 13). On remarquera en passant, qu'à chaque valeur de r de la premiere forme de p correspond une valeur . . 20—r dans la seconde, comme on le voit par les 3) | égalités = 74:183 — 112-9 — 17 + 3 — 19 + 1 = 20. Über die Ursachen, welche die kritische Temperatur bedingen. Von M. Avenarius. (Lu le 31 aoút 1876.) Mit einer Tafel. Das Factum der Verflüchtigung jeder Flüssigkeit bei der ihr entsprechenden kritischen Temperatur, hat obgleich dasselbe den bestehenden Begriffen von ` der Abhängigkeit des Siedepunktes vom Drucke wi- derspricht, bis jetzt die Aufmerksamkeit der Phy- siker beinahe gar nicht auf sich gezogen. — Auch die vollständigsten Handbücher der Experimental- physik erwähnen desselben nur in dem Sinne, dass bei hohen Temperaturen die Ausdehnung der Flüs- sigkeiten so gross wird, dass die Dichtigkeit derselben bis zur Dichtigkeit der Dämpfe herabsinkt. Nach den ersten Versuchen von Cagniard de la Tour?) die von mehreren Physikern wiederholt wor- den sind, war es zuerst Andrews?), welcher diese Frage gründlichen Untersuchungen unterwarf. Seine Ver- suche haben gezeigt, dass Kohlensäure bei Tempera- turen, welehe 3151 übersteigen, bei Erhóhung des Druckes bis zu 400 Atmosphüren nicht mehr in flüssigen Zustand gebracht werden kann, was ihn zu em Schlusse führte, dass bei Temperaturen über 3191 die Kohlensäure ein permanentes Gas vorstelle?). Da aber der Druck auch 400 Atmosphären über- steigen kann, so ist man berechtigt zu fragen, ob nicht vielleicht bei hóherem Drucke die dampffórmige Koh- lensäure doch noch in flüssige übergehe? — Freilich zeigen die von Andrews gegebenen Curven, welche die Abhängigkeit des Volumens der Kohlensäure vom Drucke, bei verschiedenen Temperaturen, nachwei- den, dass der von Andrews gemachte Schluss viel Wahrscheinlichkeit für sich habe. Jeder Zweifel wird jedoch nicht gehoben. | Würde man auch die Versuche von Andrews auf andere Flüssigkeiten ausdehnen, so könnte dennoch der Frage nicht genügt werden. Je grösser der Druck wäre, welchem die untersuchte Flüssigkeit, bei ihrer vollstän- digen Verflüchtigung, unterworfen würde, um so grös- ser wäre auch die Wahrscheinlichkeit, dass das Ver- dampfen der Flüssigkeit nicht mehr verhindert werden könne. Von der Wahrscheinlichkeit der Existenz der 1) DG de la Tour. Ann. de chim. Ser. II. T. ga et XXIL 3) Th. Andrews. Pogg. Ann. Ergzsbd. V.p 3) Ibid. p. 86. 379 Bulletin de l'Académie Imperiale 380 kritischen Temperatur bis zur Gewissheit wáre aber auf diesem Wege schwerlich zu gelangen. Es muss die Frage anders gestellt werden. Giebt es in Wirklichkeit eine Temperatur, bei wel- cher, unabhängig vom Drucke, die Flüssigkeit immer verdampft, so muss die Cohásion der Flüssigkeitsmo- leküle — bei dieser Temperatur — der Cohäsion der (relativ freien) Dampfmoleküle gleich werden. Da aber das Maass der Differenz dieser zwei Arten der Cohä- “sion durch die innere latente Wärme gegeben wird, so muss — wenn unter o die innere latente Wärme ver- standen wird — Gleichung (1) geo (1). die Bedingung darstellen, welcher die kritische Tem- | peratur genügt. Auf Grund der von Regnault gegebenen Versuchs- resultate, wurden für 4 Flüssigkeiten Gleichungen von der Form (1) gebildet, und da die aus diesen Glei- chungen bestimmten kritischen Temperaturen mit denjenigen, welche der Versuch gab vollständig über- einstimmten, so wird wohl das Factum von der Exi- stenz der kritischen Temperatur als bewiesen zu be- trachten sein‘). Anders steht es mit der Frage um die das genannte Factum bedingenden Ursachen. Bei Besprechung des Übergangs einer Flüssigkeit in gesättigten Dampf und des letztern in überhitzten, wird das Volumen des Körpers — gewöhnlich—als Funk- tion der Temperatur betrachtet, wobei man zwei Cur- . ven erhült, durch welche die 3 verschiedenen Zustünde des Körpers — in bestimmte Flächenräume gefasst — begrenzt werden. Die eine dieser Curven, welche wir Flüssigkeitseurve nennen wollen, drückt das Gesetz der Abhängigkeit des Volumens der Flüssigkeit von der Temperatur aus (bei der Bedingung: die Füssig- keit stehe immer unter dem Drucke der eigenen Dümpfe), die andere, welche Dampfcurve heissen móge, das Gesetz der Abhängigkeit des Volumens der gesät- tigten Dämpfe von der Temperatur. Wird ein Körper bis zu seiner kritischen Tempera- tur erwärmt, so geht derselbe aus dem flüssigen in den dampfförmigen Zustand über; bei dieser Tempera- tur?) kann man mit gleichem Rechte ihn für flüssig 4) M. Avenarius. Pogg. Ann. Bd. CLI p. 308. 5) C. Neumann. Mechanische Theorie der Wárme. 1875. p. 139. oder dampffórmig halten; die oben génannten Curven müssen folglich bei dieser Temperatur sich kreuzen. Mit anderen Worten: die Handbücher der mecha- nischen Wärmetheorie, so wie diejenigen der Experi- mentalphysik, bedingen die kritische Temperatur ei- nes Kórpers durch die Gleichheit der Dichtigkeit des- selben im flüssigen und dampffórmigen Zustande. Die Annahme dieser Gleichheit erklärt das Factum ` der vollstindigen Verflüchtigung einer Flüssigkeit. Ist aber diese Annahme nothwendig? widerspricht sie nicht vielleicht der Erfahrung? Eine unmittelbare Folge dieser Annahme wird eine andere: eine Flüssigkeit, welche bei der kritischen Temperatur verdampft, leistet keine äussere Arbeit, . woher denn auch die ganze — sogenannte — latente Wärme gleich O sein muss. : Setzt man aber in Wirklichkeit die für die 4 oben genannten Flüssigkeiten gefundenen Ausdrücke von äusserer Arbeit und latenter Arbeit gleich 0, so er- hált man Gleichungen, welche nicht die kritischen Tem- peraturen ergeben, die so übereinstimmend aus den für innere latente Würme gegebenen Ausdrücken und dem unmittelbaren Versuche gefunden wurden. Freilich sind diese Gleichungen aus empirischen Formeln gebildet, woher denn das Ausbleiben der zu erwartenden Übereinstimmung noch keinen strengen Beweis für die Ungültigkeit der zu besprechenden An- nahme liefert; ein starker Zweifel an ihrer Richtigkeit wird aber gewiss erregt. | Die Auffindung von möglichen Bedingungen, wel- che das Erklären des Factums erleichtere, kann nicht zur Lösung führen; dieselbe muss von nothwendigen ` Bedingungen ausgehen. Wie oben gezeigt, führt die kritische Temperatur die Gleichung (1) nothwendig nach sich. Wir wenden uns daher zu dieser Gleichung. 7 Bezeichnen wir durch .4 das Wärmeäquivalent der Arbeitseinheit, durch w die Differenz der specifi- schen Volumina von Flüssigkeit und Dampf, durch T die absolute Temperatur und durch p die dieser Tem- peratur entsprechende Dampfspannung, so besteht be- kanntlich die Gleichung‘) E em)... (2) 6) G. Zenner. Mechanische Wärmetheorie. 1866. p. 275. des Sciences de Saint- Pétersbourg. Unter Berücksichtigung der Gleichung (1) erhalten wir also für die kritische Temperatur Apu (7 5b, au 1) 07. ¿30 TM (3) Diese Gleichung zerfállt aber in zwei andere: und Und wird einer der Gleichungen (4) oder (5) genügt, so wird auch die für die kritische Temperatur noth- wendige Bedingung (3) oder (1) erfüllt. Gleichung (4) spricht die bis jetzt allein in Rück- sicht genommene Bedingung von der Gleichheit der specifischen Volumina von Flüssigkeit und Dampf aus. Bei den hier vorliegenden Untersuchungen stellte ich mir die Aufgabe: durch experimentelle Bestim- mungen der oben genannten Grenzeurven die Frage zu lósen, ob diese Curven sich kreuzen oder nicht, und demnach zu entscheiden, welche von den zwei Glei- chungen (4) oder (5) die kritische Temperatur bedinge. Denken wir uns einen hermetisch geschlossenen Raum v, welcher nach Belieben vergróssert und ver- kleinert werden kann und in diesem Raume die Ge- wichtseinheit das zu untersuchenden Körpers (Flüs- sigkeit und Dampf) enthalten. Steht es in unserer Macht, die Temperatur t des Körpers, nach Belieben, zu ändern und. besitzen wir die Mittel — für jeden Moment — diese Temperatur und das ihr entsprechende Volumen des Kórpers zu bestimmen, so ist auch die Lósung unserer Frage ermóglicht. Befindet sich unser Kórper in dem Zustande, wel- chem ein Punkt zwischen den zwei Grenzcurven ent- spricht, so haben wir— bei der dem Kórper eigenen Temperatur 4 (Ordinate) — den Raum v (Abscisse) von Flüssigkeit und Dampf gefüllt. Náhert sich unser Punkt der Flüssigkeitscurve, so geht ein Theil des Dampfes in Flüssigkeit über und im Moment der Überschreitung der Flüssigkeitscurve erfüllt sich der ganze Raum v mit Flüssigkeit. Über- schreitet man die Curve in entgegengesetzter Richtung, so sieht man die Flüssigkeit im Raume v sinken und derselbe erfüllt sich mehr und mehr mit Dampf; im Moment der Überschreitung der Dampfeurve ist die Flüssigkeit vollstándig verdampft. Überschreitet man diese Curve in entgegengesetzter Richtung, so ent- spricht dem Momente dieser Überschreitung die erste Condensation des Dampfes, der untere Theil des Rau- mes v füllt sich mit Flüssigkeit, welche mit der Ent- fernung von der Dampfcurve zunimmt. Mehr oder weniger rasches Sieden der Flüssigkeit oder Condensation des Dampfes kann dabei eine Trü- bung veranlassen. So lange man es aber mit Flüssig- keit und Dampf im gewóhnlichen Sinne des Wortes (d. h. unter der kritischen Temperatur) zu thun hat, kann die Erscheinung beim Übergange der Grenzcur- ven sich nicht anders als eben beschrieben gestalten. Für den Versuch ist es zweckmässig, einen der Fac- toren v oder t constant zu halten und durch Ánde- rung des anderen die Curve zu überschreiten. Zuver- lässige Resultate können jedoch nur bei der Constanz von ¢ erhalten werden, da, bei den relativ hohen Temperaturen, mit welchem man es hier zu thun hat, Schwankungen derselben grosse Unterschiede in der Temperatur der Flüssigkeit und den Angaben des diese Temperatur bestimmenden Thermometers nach sich ziehen kónnen. Der Druck, unter welchem eine Flüssigkeit bei die- sen Versuchen steht, ist im allgemeinen sehr gross, woher Maassregeln getroffen werden mussten: 1) da- mit der Theil des Apparats, welcher die Veründerun- gen des Volumens v bewirkte, immer luftdicht hielte (was mit Schrauben und Muttern wohl schwerlich zu erreichen würe), 2) damit beim Springen der die Flüs- sigkeit enthaltenden Róhre keine Gefahr dem Experi- mentator drohte. Es gelang, diesen Forderungen durch folgende Con- struction des Apparates zu genügen: derselbe bestand aus einer, an beiden Enden zugelótheten, dickwandi- gen Glasróhre, welcher die in der Zeichnung darge- stellte Form gegeben wurde. ! Bulletin de l'Académie Impériale 383 o nn Das eine aus 4 Schenkeln bestehende Ende abcde enthielt Áther, das andere fgh, welches sorgfältig ka- librirt war, die untersuchte Flüssigkeit (in der Zeich- nung stellt fg die Flüssigkeit und gh den Dampf vor); ` beide Flüssigkeiten wurden durch die Quecksilbersáule ef von einander getrennt. Jedes Ende hatte sein eigenes Erwármungsbad. Das Ende abede wurde bei den ersten Versuchen in einem Wasserbade, bei den spáteren — in einem Luftbade A erwürmt, welches letztere aus einem geschlossenen blechernen Kasten bestand, dessen Erwármung durch einen untergestellten Gasbrenner geschah. — Das Ende fh wurde bei allen Versuchen in einem Luftbade er- . würmt, welches, aus 4 concentrischen blechernen Ge- füssen bestehend, beinahe genau das Luftbad von Magnus”) vorstellte, das derselbe bei seinen Ver- ' guchen über Dampfspannungen gebraucht hatte. Nur blieb bei den hier zu beschreibenden Versuchen das Luftthermometer aus, indem die Kasten nur eine seit- liche Öffnung für das erwähnte Glasrohr und zwei Öffnungen im Deckel für die Quecksilberthermometer besassen. — Da Vorversuche gezeigt hatten, dass die Angaben eines Thermometers in solch einem Luftbade “von seiner Lage, d. h. von der Entfernung des Ther- . mometers von den Wänden nicht abhing, so wurden die meisten Versuche mit einem einzigen, sorgfáltig kalibrirten (in der Zeichnung durch ik angezeigten) Thermometer vollführt. ; : Der Verlanf des Versuchs war im allgemeinen fol- gender: Nachdem das Gas unter dem Luftbade B an- gezündet, wartete man die Zeit ab (wobei immer ei- nige Stunden vergingen), bis die Temperatur des Luft- bades constant geworden, dann erst begann man die Erwärmung des Bades A. Der sich ausdehnende Äther abede schob die Quecksilbersáule ef vor sich her, wo- durch der Raum fh (v) sich verringerte. Enthielt der- selbe so viel Flüssigkeit, dass sie auch bei der nie- drigsten Temperatur—bei welcher experimentirt wurde — im Raume fh (bei der niedrigsten Stellung des Quecksilbers) vollständig verdampfte, so hatte man es zuerst mit überhitztem Dampfe zu thun. — Bei einer bestimmten Stellung der Quecksilbersäule, (welche dem Sättigungspunkte der im Raume v enthaltenen Dämpfe entsprach) wurde der Dampfniederschlag bemerkbar; 7) G. Magnus. Pogg. Ann. Bd. LXI. man notirte diese Stellung und las die Temperatur des Bades B ab. Durch Schwächung des Gaszutritts zum Brenner des Bades A wurde dasselbe erkaltet, der Raum v nahm zu, die Flüssigkeit in ihm verdampfte und, bei einer bestimmten Stellung der Quecksilber- säule, hatte man in v wieder nur Dampf; diese Stel- lung, so wie die Angabe des Thermometers wurden auch hier notirt. Die Prozedur wurde im allgemeinen 4 Mal wieder- holt, so dass jeder Punkt der zu bestimmenden Curve ein Mittel von 8 Ablesungen vorstellt. — Kamen Tem- . peraturschwankungen im Bade B vor, welche im Ver- laufe von einer Versuchsreihe (die, wie gesagt, aus 8 einzelnen Beobachtungen bestand) 2° überstiegen, so wurde die ganze Versuchsreihe verworfen. Nachdem ein Punkt der Dampfcurve erhalten war, verstärkte man den Gaszutritt zum Brenner A. Der Raum fh nahm ab, der Dampf ging allmählich in Flüs- sigkeit über und, bei einer bestimmten Stellung der Quecksilbersáule, war der ganze Raum v mit Flüssig- keit gefüllt. Im Moment, wo die Flüssigkeit das obere Ende der Röhre fh berührte, wurde die Stellung der Quecksilbersüule (dieselbe steigt bei weiterer Erwär- mung des Äthers noch bedeutend, was von der gros- sen Zusammendrückbarkeit der Flüssigkeiten bei ho- - . hen Temperaturen abhängt) und die Angabe des Ther- mometers notirt. Darnach schwüchte man den Gaszu- tritt zum Brenner A, die Quecksilbersáule in fh sah man sinken und bei einer bestimmten Stellung dersel- ben, wenn über der Flüssigkeit ein leerer Raum zu entstehen schien, notirte man wieder die Stellung der Quecksilbersáule und die Angabe des Thermometers in B. — Auch für die Flüssigkeitscurve sind die mei- sten Punkte aus 8 einzelnen Beobachtungen berech- net. Für jeden neuen Punkt musste erstens dem Hahn, welcher das Gas zum Brenner des Bades B. führte, eine andere Stellung gegeben, dann die Zeit abgewar- tet werden, bis die Temperatur in B keine Schwankun- gen mehr zeigte, endlich die eben beschriebenen Ver- suche ganz von neuem durchgeführt werden. en Obgleich, wie oben gesagt, nur bei constantem t zuverlässige Resultate zu erwarten sind, war man in einigen Fällen gezwungen, » constant zu halten und £ sich ändern zu lassen. Bei Temperaturen, welche nahe der kritischen liegen, entspricht einer verhältnissmäs- P + Lou CERE ITUR L E CIE CREER IRE OA OV SIS Ne M REL Sie SE OM? FESCH T emere Wes 385 . des Sciences de Saint- Pétersbourg. 386 sig schwachen Temperaturánderung eine bedeutende Veränderung von v. — Da man aber keine willkür- lichen Temperaturen constant halten konnte, sondern immer nur diejenigen, welche sich nach Stunden lan- gem Warten fest stellten, so mussten sich Lücken in den Curven zeigen und das namentlich in der Nähe der kritischen Temperatur. Um diese Lücken zu fül- len, wurde der eben genannte zweite Weg eingeschlagen. Bis jetzt ist nur eine Flüssigkeit diesen Versuchen unterworfen worden, nämlich chemisch-reiner Äther. — Die ersten hiefür erhaltenen Resultate sind in der folgenden Tabelle enthalten, wo Columne ¿ die (nach Anbringung aller Korrektionen) in Luftthermometer Graden ausgedrückten Temperaturen der untersuchten Flüssigkeit angiebt und v das beobachtete Volumen von Flüssigkeit und Dampf, ausgedrückt in willkürlichen Einheiten, nämlich in Theilungen des Glasrohrs fgh. Flüssigkeitscurve Dampfcurve t v t v 20,4 7,48 170,4 55,38 140,2 10,07 177,5 46,81 146,1 10,38 181,9 41,00 176,7 12,38 185,7 34,93 178,0 12,43 186,3 33,38 181,5 12,63 188,2 30,74 183,7 12,96 189,9 27,56 186,9 13,88 190,8 25,78 188,8 14,54 191,0 24,78 189,9 15,28 191,1 18,88 sa” 28098 q. 10% 191,3 20,98 : Die Erscheinungen, welche das Uberschreiten der Flüssigkeitscurve charakterisiren, konnten nur bis zum Volumen 20,98 beobachtet werden. Beim weiteren Wachsen des Volumens, von 21,13 angefangen, füllte sich dasselbe mit homogener Flüssigkeit unter Beglei- tung neuer Erscheinungen: wurde die Flüssigkeit er- würmt, so dehnte sie sich — bei einer bestimmten Temperatur, welche wir + nennen wollen, (unter im- mer vorhandener Trübung) rasch aus und erfüllte bald den ganzen Raum fA (die Erscheinung entsprach hier dem Überschreiten der Flüssigkeitscurve). Beim Er- kalten bis zur Temperatur + Ure die Trübung beson- Tome XXII. ders stark zum Vorschein kam) sah man nicht die Flüssigkeit sinken, sondern dieselbe zeigte sich zuerst am unteren Ende der Róhre; die Dümpfe schienen sich niederzuschlagen, wie es bei Überschreitung der Dampf- curve zu geschehen pflegt. — Dasselbe wurde bis zum Volumen 24,73 beobachtet. Die Temperatur 7, bei welcher das rasche Steigen oder das Hervortreten der Flüssigkeit am Boden der Róhre bemerkbar wurde, stellt — ohne Zweifel — die kritische Temperatur dar °). .Vom Volumen 24,78 bis 55,38 hatte man die Er- scheinungen, welche das Übérsclirbitón der Dampfcurve charakterisiren. Man erhielt also eigentlich drei Curven: die Flüs- sigkeitscurve, die Dampfeurve und eine zwischen ihnen liegende, welche wir mittlere Curve nennen wollen. Der Kreuzungspunkt der Flüssigkeitscurve und der mittleren liegt zwischen den Volumina 20,98 und 21,13; mag ihm v — 20,06 entsprechen. Der Kreu- zungspunkt der mittleren und der Dampfeurve liegt zwischen 24,73 und 24,78; mag hier v — 24,76 sein. Beim langen Experimentiren in der Nähe der kri- tischen Temperatur, gelang es einmal eine sehr con- stante Temperatur von 191,1 zu erhalten. Der ganze Raum über dem Quecksilber f war mit homogener Masse gefüllt, wobei die Grösse desselben, d.h. v gleich 24,7 war. — Durch Erwármen des Bades A verrin- gerte man dieses Volumen bis auf 13,6 und die Masse blieb homogen; eine Erscheinung, welche nur über der kritischen Temperatur möglich ist. - Ein anderes Mal hatte man eine constante Tempe- ratur 191,0 erhalten, bei welcher es beide Curven zu überschreiten gelang: man hatte im Raume fh einmal nur Flüssigkeit, dann Flüssigkeit und Dampf, nur Dampf, wieder Flüssigkeit und Dampf; welche Er- scheinungen nur unter der kritischen Temperatur móg- lich sind. ` Wir glauben daher, dass unsere Annahme — die ` mittlere Curve bilde eine horizontale Gerade, deren Abscisse (die kritische Temperatur) gleich 191,05 zu setzen ist — als gerechtfertigt angesehen werden kann; folglich stellt 21,06 das Volumen der Flüssigkeit und 8) Bei der Bestimmung der kritischen Temperatnr muss man sich durch die hier entstehende Trübung nicht irre leiten lassen, da eine Trübung auch weit von dieser Temperatur sich zeigen kann, im das Überschreiten der Grenzcurven rasch vor sich geht. 26 f Bulletin de l'Académie Impériale | 24,76 das Volumen des Dampfes bei dieser kritischen Temperatur dar, welche Volumina nicht als gleich anzu- nehmen sind. Wir glauben daher zu dem Schlusse be- rechtigt zu sein, dass die specifischen Volumina von Flüssigkeit und Dampf bei der kritischen Temperatur nicht durchaus als gleich zu be- trachten sind, woher denn auch die Bedingung, welche die kritische Temperatur bestimmt (was Áther wenigstens anbelangt), durch (5) und nicht durch (4) dargestellt wird. Nachdem die in der Tabelle gegebenen Zahlen er- halten waren, mussten die Untersuchungen unter- brochen werden, da die Glasróhre abcdefgh einen Riss bekam. — Obgleich nun die Hauptfrage über die die kritische Temperatur bedingende Gleichung als gelóst zu betrachten war, so hatte man doch für die zwei Grenzcurven, besonders für die Dampfcurve, zu wenig Zahlen erhalten, um sich einen klaren Begriff von dem Verlaufe der Curven machen zu kónnen. — Das grosse Interesse, welches für sich diese Curven darbieten, bewog mich, die oben beschriebenen Versuche mit ei- ` pem neuen Glasrohr wieder aufzunehmen. Erstens wur- den die früheren Versuche wiederholt, dann ein Theil des Áthers, durch Neigung der Glasróhre, von f nach € übergeführt und die Bestimmung der Punkte der Dampfcurve fortgesetzt. . Durch Vergleichung der in beiden Fällen erhalte- nen — gleichen Temperaturen entsprechenden — o, - konnten die letzten Zahlenwerthe auf die ersten zu- rückgeführt werden. Begreiflicherweise musste die Ge- nauigkeit der auf diese Weise bestimmten Punkte der Dampfcurve mit dem Wachsen von v abnehmen. Das grósste Volumen, bei welchem die Flüssigkeits- curve überschritten wurde, war 65,9, das kleinste — für die Dampfcurve 74,5, das grósste und kleinste der Volumina, bei welchen die Erscheinungen der kriti- schen Temperatur beobachtet wurden — 66,6 und 74,2. Wir nehmen daher als Kreuzungspunkt der Flüs- sigkeitscurve und mittleren Curve — 66,25 und als . Kreuzungspunkt der mittleren Curve und Dampfcurve — 74,35. — Zwischen diesen 66,25 und 74,35 war bei 10 verschiedenen Volumina die kritische Tempe- ratur beobachtet, und die mittlere hier bestimmte Grósse 189,5 entspricht der Ordinate der mittleren Curve, welche wir — wie früher — für eine gerade - halten. Da das Volumen einer Theilung der Glasróhre (0,002544 Cub. Cent.), so wie das Gewicht der ein- geführten Flüssigkeit (0,04302 Gr.) bekannt war, so. war es ein Leichtes, die erhaltenen Resultate auf spe- cifisches Volumen des Äthers überzuführen. — Neh- men wir als Einheit des Gewichtes ein Kilogramm, als Einheit des Volumens einen Cubikmeter, so müssen die von uns erhaltenen Volumina mit 0,0000596 mul- tiplicirt werden, um der Gewichtseinheit unserer Flüs- sigkeit zu entsprechen ?). In der hier folgenden Tabelle sind unter v die in Theilungen des Glasrohrs ausgedrückten Volumina des Äthers, unter w die mit 10* multiplicirten specifischen Volumina und unter ¢ die ihnen entsprechenden Tem- peraturen gegeben. Flüssigkeitscurve Dampfcurve v w i v w i 93,4 13,9 18,0 320,2 190,9 140,9 294 175 1298 308,8 184,0 143,2 29,9 17,8. 133,1 278,9 166,2 147,2 30,4 18,1 137,1 268,4 160,0 149,5 31,9 19,0 1504 251,1 149,7 152,0 33,3 19,9 155,3 246,7 147,1 153,9 368 219 1720 2305 137,3. 1505 37,6 22,3 173,0 2142 127,7 159,2 394 23,5 179, 209,7 125,0 160,2 40,1 23,9 180,8 201,1 119,9 162,3 43,7 26,1 185,9 196,3. 117,0 163,0 44,9 26,8 186,5 189,8 113,1 164,8 45,4 27,1 186,7 187,3 111,7 ‚1659 50,5 30,1 188,6 178,8 106,6 166,9 53,8 32,1 189,0 163,8 97,6 171,0 55,0 32,8" 189,2 148,3 88,4 174,4 61,9 36,9 189,5* 138,1 82,3 176,8 65,9 39,8 189,5* 130,7 77,9 178,6 129,2 77,0 179,0 124,7 74,4 179,7, 116,9 69,6 1818. 9) In meinen frúheren Bestimmungen der kritischen Tempera- tur des Áthers hatte ich die Temperatur 196,6 gefunden und bei den hier beschriebenen einmal 191,05, dann 189,5. — Dieser Unter- schied kann nur dadurch erklärt werden, dass bei allen diesen Ver- suchen verschiedener Äther gebraucht wurde. Die ersten Versuche wurden mit käuflichem — so genanntem — chemisch reinem Äther angestellt; bei den hier beschriebenen — wurde derselbe allen nö- thigen Manipulationen unterworfen, um ihn wirklich rein zu erhal- : 4 Temperatur 191,05, der diesjáhrige 189,5. ten. Der im vorigen Jahre so präparirte Äther gab für die kritisch e WC : $ DEEE E E EE S Ze PR H e ET SUR Se A TE NE (Do e T6089. NT UP RECEN ~ LE 490 — I-—r—1—4 "e Hes BUE Wan SB MATS ai BAR ETTET em H LL LE ! S DS A. LI RA Re A E 1158 3 dt + +++ mera GO KA ORO: ES a HH H ua a — E d E Ye i | ND LLL. 23 MER GN HR Est ı tob LA Ld an E o in or porra] FS? a + H a — - 7 4 r 40 [ | 260 Leur WT WER ii rer 4590 WM EN m NS EFE RES AO M Avenarias, Ueber die Ursachen, welche die kritische Temperatur bedingen. Lt E AJO ZESTER 420 Sp EILIIILLII 420 ET | | BEBE MES Le | | | x A MO e LI M N A Ew 4 Gm Sa 7 FIT. EC wm 1 e va Loge STI +H- PB L mg o 60 40 A at _ SO 30 — 20 U T E? Bulletin de TAkad. Imp. d. sc. T. XXII Melanges physiques et chimiques T IX. det. A do d M 389 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 390 v 115,4 111,5 107,4 106,2 103,8 94,6 88,1 86,1 80,1 75,6 75,1 | 74,5 Dampfcurve w 68,8 1824 66,5 183,6 64,0 184,4 63,9 184,8 61,9 185,2 56,4 186,7 52,5 188, 51,3 188,6 47,7 189,0 45,1 189,5* 44,8 189,5* 444 189,5*" ) Die erhaltenen Resultate werden durch die Curven aß und By der beiliegenden Tafel veranschaulicht. Diese Curven bekräftigen das früher Gesagte: die kritische Temperatur wird nicht durch die Gleichheit der specifischen Volumina von Flüssigkeit und Dampf, sondern durch Gleichung (5) bedingt. Was aber diese Gleichung anbelangt, so glauben wir — bis auf Weiteres,— in ihre physikalische Bedeu- tung nicht eingehen zu kónnen. Erstens müssen auch andere Flüssigkeiten — in der von uns für Áther be- sprochenen Weise — untersucht werden; ausserdem ist aber diese Frage so fest mit derjenigen über Span- nung der Dämpfe bei hohen Temperaturen (besonders in der Nähe der kritischen) verknüpft, dass wir durch- aus die Veróffentlichung der vor kurzem in dieser Hinsicht im Kiewschen Laboratorium erhaltenen Re- sultate abwarten müssen. Unsere Flüssigkeitscurve und Dampfeurve geben die ersten bis jetzt erhaltenen experimentellen Data, durch welche das Gesetz der Abhüngigkeit der Dich- tigkeit einer Flüssigkeit und derjenigen ihres Dam- pfes von der Temperatur, in den Grenzen der mögli- chen Existenz von Flüssigkeit und Dampf (d. h. bis zur kritischen Temperatur) ausgedrückt wird. Ungeachtet des Interesses, welches die Betrachtung des Verlaufes dieser Curven bietet, sind wir auch hier — und das aus denselben Gründen — gezwungen, die Veröffentlichung der oben genannten Untersuchungen abwarten zu müssen. Kiew. August, 1876. 10) Die mit einem * bezeichneten Temperaturen sind bei con- stantem Volumen bestimmt. Über eine Sammlung schlesischer Ichneumoniden. Von F. W. Woldstedt. (Lu le 21 septembre 1876.) Obgleich wir schon durch Gravenhorst, der wäh- rend einer langen Reihe von Jahren als Lehrer an der Hochschule in Breslau thätig war, über die schlesische Ichneumonidenfauna ziemlich genau unterrichtet wor- den sind, so ist doch noch Manches zu erforschen übrig geblieben. Eine Sammlung, die früher dem nun- mehr verstorbenen Lieutenant Müller gehörte, von der jetzt aber ein Theil im Museum der Universität zu Königsberg sich befindet und ein anderer vor eini- gen Jahren für das Entomologicum der hiesigen Aka- demie der Wissenschaften angekauft wurde, beweist dieses ganz augenscheinlich. Zwar habe ich nur Gele- genheit gehabt die hier in Petersburg vorhandenen Arten zu untersuchen, aber auch unter ihnen befinden sich manche, die, so viel ich weiss, entweder noch gar nicht als in Schlesien vorkommend bekannt sind, oder auch bis jetzt nur in einem oder wenigen Exemplaren dort gefunden worden sind. Besonders interessant sind solche Arten, die noch nicht in die von Holmgren aufgestellten neuen Gattungen untergebracht worden sind, da man in den meisten Fällen ziemlich sicher sein kann dieselben vor sich zu haben, wie Graven- horst, als er seine Ichneumonologia Europaea schrieb. Es sind deshalb einige schon bekannte Arten von mir nochmals beschrieben und dabei die Skulptur mehr berücksichtigt worden, als dieses früher geschehen ist. Gern hätte ich das neue System von Förster mehr in Anwendung gebracht, aber ein Jeder, der sich mit demselben eingehender beschäftigt hat, wird zugeben, dass es oft sehr schwer ist sich darin zurechtzufinden. Nur in einem Paar Fällen habe ich seine neuen Gattun- gen angenommen, in anderen sie in Klammern hinzu- gefügt, in den meisten aber sie unberücksichtigt ge- lassen. Ausser den neuen Arten und Varietäten, die weiter unten beschrieben werden sollen, wären folgende Ar- ten, die in der Sammlung vorhanden sind, noch. be- sonders hervorzuheben: Habronyx heros Wesm.; Hete- ropelma calcator Wesm.; Anomalon bellicosum Wesm., | cerinops Grav., procerum Grav., nigricorne Wesm.; Paniscus cephalotes Holmgr.; Ophion marginatus Jur. Grav.; Campoplex carinifrons Holmgr., nitidulator Holmgr., subaequalis Först. Holmgr.; leptogaster 25* Bulletin de l'Académie Impériale neng ., faleator Thunb., obliteratus Holmgr., oxya- canthae Boie, xenobampins Foerst. Holmgr.; Cymo- dusa antennator Holmgr.; Casinaria orbitalis Grav., varians Tschek; Limneria geniculata Grav. et var. 1 Holmgr., mutabilis Holmgr., erucator Zett., vivida Holmgr., unicincta Grav., transfuga Grav.; Exetastes aethiops Grav., flavitarsus Grav.; Exochus alpinus Zett.; Bassus ruficornis Holmgr., B. (Syrphoctonus) exsultans Grav.; Ephialtes tenuiventris Holmgr. (geni- culatus Brischke): Teleutaea striata Grav.; Pimpla (Epiurus) calobata Grav., ovivora Bohem.; Lycorina triangulifera Holmgr.; Glypta consimilis Holmgr.; pic- tipes Taschenb., resinanae Hart. Ratz.; Lissonota cu- liciformis Grav., parallela Grav. var. 1 Taschenb., la- teralis Grav., dakeiser Grav., conflagrata Grav., lineata Grav., emisie Holmgr., altipes Holmgr.; cicho- rus strenuus Holmgr., anomalus Holmgr.; Aptesis mi- croptera Grav.; Hemiteles pulchellus Grav.; Phygadeuon aberrans Taschenb.; Mesostenus annulatus Brischke (Xylonomus); Cryptus rufipes Grav., leucopsis Grav., hostilis Grav. et var. 1 Woldst., rufiventris Grav. Tschek., adustus Grav. var. 1 Taschenb.; Platylabus tenuicornis Grav. et var. 1 Holmgr , dolorosus Grav.; ` Amblyteles pseudonymus Wesm., inspector Wesm., re- pentinus Grav. var. 1 Grav., EE Grav.; Ich- ` neumon multicinctus Grav. var. 1 Wesm., castaniven- tris Grav., bucculentus Wesm., sicarius Grat, dume- ticola Grav., bilunulatus Grav., vestigator Han, pachymerus Hart. Hatz. ` Apaeleticus mesostietus Grav. Wesm.; Centeterus major Wesm.; Phaeogenes callopus . Wesm., fuscicornis Wesm. var. 1 Wesm.; Cteniscus (Mieropleetron) erosus Holmgr.; Eumesius crassicornis Grav.; Polyblastus palaemon Schiódte; Perilissus pal- lidus Grav.; Oedemopsis scabricula Grav. (Tryphon); Euryproctus nigriceps Grav. (Mesoleptus praetermis- sus Woldst.); Tryphon ephippium Holmgr., Tr. (Otito- chilus) trochanteratus Holmgr. var. 1 Brischke; Me- solius rufolabris Zett. Holmgr., hamulus Grav., viduus Holmgr., nigricollis Grav. Brischke, leucostomus Grav. Es folgen nun die Beschreibungen. 1. Casinaria moesta Grav. Parum nitida, nigra; apice palporum et basi tibiarum albidis; medio abdo- minis subcompressi anticorumque pedum femoribus apice, tibiis et tarsis rufescentibus. Campoplex moestus? Grav. III. 599. 99. Long. 6 — 8 millim. d. Caput pone oculos angustatum, genis et tempo- ribus angustis; facie et fronte scabriculis. * Antennae corpore breviores, apice subattenuatae. Thorax altitu- dine longior, scabriculus; metathorace medio longitu- ` dinaliter impresso. Abdomen angustum, subclavatum, teretiusculum; segmento primo posticorum pedum co- xis cum trochanteribus longiore, nigro; secundo lati- tudine plus duplo longiore, nigro, fascia rufa ante api- cem; tertio latitudine paulo longiore, quarto et quinto transversis, rufis, hoc apice nigro; sequentibus trans- versis, nigris; spiraculis segmentorum omnium distine- tis, punctiformibus. Alae fere hyalinae, stigmate et squamula fuscis; areola petiolata, nervum recurrentem pone medium excipiente, nervis discoido-cubitali et transverso anali haud vel vix fractis. Pedes mediocres, _ maxima ex parte nigri, calearibus tibiarum albidis; intermediorum femoribus apice, tibiis et tarsis inter- dum fusco-testaceis. > 2. C. punctiventris n. sp. Parum nitida, punctulata, nigra; palpis apice fusco-ferrugineis; abdominis medio, femoribus anticis totis, intermediis apice, anteriorum pedum tibiis et tarsis tibiarumque posticarum medio rufescentibus; abdomine supra punctis nonnullis majo- ribus instructo, apice subcompresso; alis fere has stigmate pallido, squamula fusca. Long. 5 — 6 millim. O. Caput pone oculos valde angustatum, fronte su- - pra antennas nonnihil impressa, medio carinulata. An- tennae corpore paululum breviores. Thorax robustus, altitudine longior, confertim punctatus; metathorace medio longitudinaliter impresso. Segmentum abdomi- - nis primum altitudine latius, apicem versus parum di- latatum, posticorum pedum coxis cum trochanteribus longius, nitidum, nigrum, postpetiolo obsoletius cana- liculato; secundum latitudine paulo longius, rufum, basi nigra; tertium et quartum transversa, rufa; se- quentia nigra; terebra breviter exserta. Areola alarum petiolata, nervum recurrentem pone medium excipiens; ` ` nervus discoido-cubitalis arcuatus, transversus analis vix, nisi longe infra medinm obsoletissime fractus : | Pedes mediocres. 3. Limneria caedator Grav. Parum nitida, griseo- pubescens, nigra; ore, squamulis alarum, trochanteri- bus anterioribus apiceque trochanterum posticoruM "deier di TA ERR NE TEM 393 des Sciences de Saint- Pétersbourg. flavidis; segmento abdominis secundo apice et sequen- tibus fere totis pedibusque rufocastaneis, posticorum coxis, basi trochanterum, basi apiceque tibiarum et tarsis nigricantibus, coxis anterioribus basi fuscis; ca- pite pone oculos valde angustato; areis metathoracis scabriculi superioribus quinque subdistinctis, quarum superomedia fere hexagona, latitudine non longiore, area posteromedia planiuscula; segmento abdominis secundo latitudine nonnihil longiore; terebra brevissi- ma; areola alarum petiolata. Campoplex caedator Grav. III. 561. 75. Long. 5 millim. 9. Antennae filiformes, corpore paulo breviores. Thorax capite nonnihil angustior. Abdomen capite cum thorace paulo longius, segmento primo curvato, posticorum pedum coxis cum trochanteribus haud bre- viore, postpetiolo tumidiusculo, tertio quadrato. Alae subfumato-hyalinae, stigmate piceo, -areola cubitali intermedia nervum recurrentem fere in medio exci- piente, nervo transverso anali rectiusculo. Pedes me- diocres. 4. L. crassiuscula Grav. Parum nitida, pubescens, nigra; ore, scapo antennarum subtus, squamulis ala- rum, trochanteribus et medio tibiarum posticarum flavis; margine apicali segmenti abdominis secundi pedibusque rufescentibus, posticorum coxis, basi tro- chanterum, geniculis, apice et basi tibiarum apiceque tarsorum nigris; capite pone oculos angustato; areis superioribus metathoracis subtiliter alutacei subdis- tinctis, quarum superomedia fere triangulari, cum posteromedia plana confluente; segmento abdominis subcompressi secundo latitudine vix longiore; alis sub- fumato-hyalinis, stigmate piceo, areola minuta, petio- lata. Campoplex crassiusculus? Grav. IIT. 531. 54. Long. 5 — 6 millim. d. Antennae corpore breviores, apice subattenuatae. Thorax capite paululum angustior. Segmentum abdo- minis primum posticorum pedum coxis eum trochan- teribus paulo longius, postpetiolo lateribus rotundato, petiolo plus duplo latiore. Alae vix infumatae, areola nervum recurrentem pone medium excipiente, nervis discoido-cubitali et transverso anali non fractis. Pedes mediocres; coxis anterioribus interdum basi fuscis. 5. L. nigritarsa Grav. Parum nitida, griseo-pubes- cens, nigra; ore, articulo primo antennarum subtus, squamulis alarum anteriorumque pedum coxis et tro- chanteribus flavidis; pedibus rufis, posticorum coxis, basi trochanterum, apice tibiarum et tarsis nigrican- tibus; capite pone oculos parum angustato; areis me- tathoracis scabriculi superioribus quinque distinctis, quarum superomedia fere pentagona, latitudine haud longiore; area posteromedia parum impressa, trans- versim rugulosa; segmento abdominis secundo latitu- dine nonnihil longiore; areola alarum petiolata, nervo discoido-cubitali fracto. Campoplex nigritarsus Grav. III. 506. 35. Long. 5 — 6 millim. d. Antennae apicem versus subattenuatae, longitu- dine corporis. Mesonotum punctulatum, opacum. Ab- domen thorace angustius, longitudine capitis eum tho- race; segmento primo posticorum pedum coxis cum trochanteribus vix breviore, spiraculis prominulis, postpetiolo latitudine longiore, petiolo vix duplo la- tiore. Alae hyalinae, stigmato pallido, areola nervum recurrentem pone medium excipiente, ramello divi- dente subdistincto, nervo transverso anali infra me- dium fracto. Pedes mediocres. 6. L. robusta n. sp. Parum nitida, punctulata, nigra; ore squamulisque alarum flavis; plica ventrali strami- nea, fusco-maculata; pedibus rufis, coxis et basi tro- chanterum nigris; facie fronte paulo angustiore; meta- thorace brevi, postice abrupte declivi, areis obsoletis; segmento abdominis secundo latitudine distincte 3, vel vix longiore 9, terebra longitudine dimidii abdominis; alis hyalinis, stigmate piceo, areola sessili, nervum re- currentem pone medium excipiente, nervo transverso anali longe infra medium, interdum obsoletissime, fracto. ^ A Long. 6 millim. d9. Caput griseo- pubescens, pone oculos angusta- tum. Oculi oblongi, juxta radicem antennarum leviter emarginati. Antennae crassiusculae, apice vix attenua- tae, dimidio corpore longiores. Thorax robustus, alti- tudine paulo longior. Abdomen capite cum thorace paulo longius, breviter griseo-pubescens, segmento primo posticorum pedum coxis cum trochanteribus longiore. Nervus alarum discoido- cubitalis e, Pedes mediocres. 7. L.spreta n. sp. Parum nitida, nigra; weh squa- mulis alarum flavidis; cingulo apicali segmenti abdo- minis secundi, macula laterali segmenti tertii pedi- A Bulletin de l'Académie Impériale busque rufescentibus, basi coxarum anteriorum posti- corumque pedum coxis et trochanteribus nigris; capite pone oculos angustato, temporibus nonnihil tumidis ; metathorace scabriculo, medio longitudinaliter subim- presso, areis superioribus utrinque duabus; abdomine compresso, thorace multo angustiore, segmento se- - eundo latitudine duplo longiore; alis hyalinis, stigmate fulvo, areola minuta, petiolata, nervum recurrentem paullulum pone medium excipiente, nervo transverso anali haud fracto. Long. 5 — 6 millim. d. Facies griseo-pubescens. Antennae corpore bre- viores, apicem versus nonnihil attenuatae. Mesopleu- rae aciculatae. Segmentum primum abdominis posti- corum pedum coxis cum trochanteribus paulo longius, postpetiolo nonnihil latiore quam petiolus, latitudine longiore, lateribus subrotundatis; tertium latitudine longius. Nervus alarum radialis externus apice paul- lulum ineurvatus, discoido-cubitalis arcuatus. Pedes mediocres. 8. L. unicincta Grav. RN Q: Terebra vix ex- serta; cetera sicut in mare. 89: 9. Erochus consimilis Holmgr. Var. 1 d: puncto utrimque verticis et macula apicali scutelli flavis; pe- dibus rufis, coxis posticis basi fuscis. - 10. Ex. mitratus Grav. Nitidus, punctulatus, pu- bescens, niger; fascia arcuata infra antennas, puncto ad orbitas verticis, linea longa ante alas, squamulis alarum, limbo scutelli, apice postscutelli et marginibus summis apicalibus segmentorum ultimorum abdominis flavidis; pedibus rufis, coxis et trochanteribus nigris, summa basi tibiarum posticarum albida; fronte antice utrinque foveolatim impressa, elevatione media trian- gulari haud determinata; areis metanoti supero-exter- nis et dentiparis costa elevata discretis; segmento ab- dominis secundo in medio subtiliter punctulato. Exochus mitratus Grav. II. 350. 224. Long. 8 milim. ` ` Q. Caput pone oculos sat angustatum. Antennae apice paulo attenuatae, longitudine dimidii corporis. Thorax capite nonnihil latior, spiraculis metathoracis fere linearibus. Abdomen capite cum thorace longius, segmento primo latitudine parum longiore, carinulis ad medium extensis. Alae subfumato-hyalinae, stig- mate piceo, radice et squamula albo-flavis, hae puncto fusco; areola nulla, nervo radiali interno segmento costae tertio fere dimidia parte breviore, nervo trans- verso ordinario pone originem nervi basalis terminato, transverso anali infra medium fracto. Pedes validi. 11. Ex. pumilus Holmgr. Var. 1: mesothorace rufo- maculato. 12. Ex. tardigradus Grav. Vor. 1: apice genarum summo, punctis ad orbitas verticis et ante alas apice- que scutelli et postscutelli flavidis. 13. Bassus scabriculus Holmgr. Var. 1 d: maculis ante et infra alas pectorisque flavis; scutello nigro. 14. Ephialtes tenuiventris Holmgr. Var. 1 $: scapo antennarum toto nigro. 15. Troctocerus n. g. Pimplinorum. Caput transver- sum, parum buccatum, pone oculos subangustatum. Frons supra antennas impressa. Facies fere quadrata, fronte nonnihil angustior. Clypeus discretus, apice de- presso. Antennae porrectae, filiformes, articulis fla- geli 2 — 4 extus erosis. Thorax latitudine longior; mesonoto antice trilobo; area metathoracis superome- dia angusta. Abdomen subdepressum, thorace plus duplo longius; segmentis 1 — 7 latitudine longioribus, marginibus apicalibus laevibus, tuberculis lateralibus vix distinctis, ventre plica longitudinali elevata in- structo. Alae modice latae; areola quadrangulari, sub- petiolata, nervum recurrentem pone medium exci- piente; nervo transverso anali infra medium leviter fraeto. Pedes graciles; tibiis anticis nonnihil curvatis; unguiculis tarsorum simplicibus, horum Deier ar- ticulo ultimo penultimo plus duplo longiore. Tr. elegans n. sp. Nitidulus, niger; palpis albidis; facie sericeo-hirta; antennarum basi subtus testacea; thorace maxima ex parte rufo; pedibus anterioribus pallide stramineis, postieis rufescentibus, tibiis albidis, basi apiceque infuscatis, tarsis fuscis, basi articulorum ` ` albida; alis fere hyalinis, stigmate testaceo, radice et squamula pallide stramineis. Long. 6'/, millim. Femina ignota. | 16. Glypta mensurator Fabr. Var. 1 3: abdomine magna ex parte et scutello rufis. 17. Polysphincta Taschenbergi n. sp. Nigra, nitida; palpis pallidis; flagello antennarum subtus fusco-ferru- gineo; mesothorace maxima ex parte rufo; alis fere hyalinis, stigmate testaceo, radice et squamula albidis; cellula radiali lanceolata, nervo transverso anali infra medium fracto, nervum e fractura distinctum emit- Leg ER e des Sciences de Saint- Pétersbourg. tente; pedibus rufo-fulvescentibus, tibiis posticis exal- bidis, apice et macula ante basin fuscis; terebra seg- mento primo circiter duplo longiore. Long. 7'/, millim. Q. Caput pone oculos sat angustatum. Mesothorax rufo-sanguineus, macula antica mesonoti mesosterno- que nigro-fuscis. Metanoti area superomedia vix dis- tincta, angusta, apice aperta. Segmentum primum ab- dominis coxis posticis vix brevius, in medio elevatum, carinulis distinctis; sequentia tuberculis lateralibus majusculis instructa. Pedes mediocres, articulo ultimo tarsorum majusculo; trochanteribus posticis et apice articulorum tarsorum posticorum infuscatis. 18. Lissonota carbonaria Holmgr. Var. 1 Q: puncto ante alas stramineo; stigmate alarum pallide testaceo. 19. L. lateralis Grav. Tasch. d: Nigra; ore, clypeo, genis, facie, orbitis frontis et verticis, articulo anten- narum primo subtus, margine prothoracis, macula subhamata ante alas, lineis mesonoti, scutello, post- scutello, squamulis alarum, lineola infra alas et maculis pleurarum flavis; flagello antennarum basin versus subtus, lateribus thoracis, marginibus apicalibus seg- mentorum 1 — 4 abdominis pedibusque rufescentibus. 20. L. segmentator Fabr. Var. 1 9: masaia hume- rali flava. 21. Phygadeuon Brischkii n. sp. Nitidulus, breviter pubescens, niger; abdominis medio, femoribus ante- rioribus apice, tibiis anterioribus et tarsis anticis rufis; annulo tarsorum posteriorum albo; clypeo vix discreto, apice marginato, subtruncato; metathorace parum declivi, ruguloso, subbidenticulato, area supero- media valde obsoleta, postice aperta, spiraculis ova- libus; segmento primo abdominis posticorum pedum coxis cum trochanteribus vix breviore, parum cur- vato, apicem versus paulo dilatato, altitudine latiore, laevi, nitido, carinulis nullis, spiraculis prominulis; alis subfumato-hyalinis, areola lateribus fere parallelis, nervum recurrentem in medio excipiente, ramulo nervi dividentis punctiformi, nervo transverso ordinario paulo ante originem nervi basalis terminato, transverso anali infra medium fracto. Long. 7 millim. d. Caput haud buccatum, pone oculos subangu- Statum, vertice angusto, facie rugulosa, in medio parum elevata. Antennae dimidio corpore nonnihil longiores, crassae, setaceae, articulo primo flagelli latitudine cir- citer duplo longiore. Thorax robustus, mesonoto con- fertim punctato, pleuris rugulosis. Segmentum abdo- minis primum apice, 2 — 4 tota rufa, haec transversa. Pedes validiusculi. Dës 22. Mesostenus niveatus rá Var. 13: macula' genarum, lineola humerali et altera infra alas apiceque scutelli albis; segmento abdominis quarto basi rufo. 23. Cryptus avidus n. sp. Subopacus, confertim punctulatus, niger; palpis, lineola tenuissima ad orbitas faciales, annulo antennarum, radice alarum, macula scutelli et margine apicali segmentorum abdominis ultimorum albidis; anteriorum pedum femoribus apice, tibiis et tarsis, geniculis posticis et incisuris 1 — 3 abdominis castaneo-rufis; clypeo apice depresso, sub- truncato; metathorace bidenticulato, scabro, areis superioribus quinque, quarum superomedia brevi, sub- hexagona, spiraculis ovalibus; segmento abdominis pri- mo nonnihil curvato, nitidulo, aciculato-punctato, cari- nulis postpetioli subdistinctis, terebra abdomine paulo longiore; areola alarum costam versus sat angustatä, nervum recurrentem pone medium excipiente, ramello cellulae cubitalis primae distincto, nervo transverso ordinario fere interstitiali, transverso anali infra medium fracto, Long. 8 — 9 millim. Q. Caput pone oculos valde angustatum, fronte canaliculata, supra antennas nonnihil impressa, tuber- culo faciali distincto. Antennae dimidio corpore paulo longiores, apice parum attenuatae, articulo primo flagelli latitudine fere quadruplo longiore. Mesono- tum trilobum. Sulcus medius mesosterni postice dilatatus. Segmentum primum abdominis posticorum pedum coxis cum trochanteribus vix longius, post- petiolo lateribus parallelis, petiolo duplo circiter latiore; secundum apicem versus sat dilatatum, lateri- bus rotundatum, confertissime punctatum, opacum, latitudine vix longius; tertium transversum, pun- ctatum , opacum; sequentia laeviora. Alae subfumato- hyalinae, stigmate et squamula piceis. Pedes medio- cres; posticorum femoribus et tarsis interdum ex "— castaneis. . Cr. scrutator n. sp. Subnitidus, niger; gies Sg geng orbitis internis, annulo antennarum et margine supero colli albis; abdomine, lateribus petioli exceptis, pedibusque rufis, coxis et trochanteri- bus nigris, posticorum femoribus basi; tibiis apice et Bulletin de l'Académie Impériale tarsis paululum infuscatis; clypeo apice anguste de- presso, subtruncato; fronte impressa, rugulosa; meta- horace scabriculo, bidenticulato, area superomedia subdistincta, pentagona, spiraculis elongatis; segmento “ abdominis primo posticorum pedum coxis eum trochan- teribus non longiore, carinulis postpetioli subdistinctis, terebra Y, abdominis longitudine; areola alarum co- stam versus angustata, nervum recurrentem paulo pone medium excipiente, ramello cellulae cubitalis primae distincto, nervo transverso ordinario paulo ante origi- nem nervi basalis terminato, transverso anali infra medium fracto. Long. 8. millim. Q. Caput pone oculos distincte angustatum, tuber- eulo faciali distineto. Antennae filiformes, dimidio corpore nonnihil longiores, articulo primo flagelli latitudine quadruplo saltem longiore. Mesonotum tri- lobum, punctulatum. Pleurae rugulosae. Segmentum abdominis primum curvatum, apicem versus sat dila- tatum, lateribus postpetioli fere parallelis. Alae fumato-hyalinae, stigmate et squamula fuscis, nervo radiali externo basi apiceque paullulum curvato. Pedes mediocres, tibiis anticis inflatis, basi angusta. 25. Ichneumon bucculentus Wesm. Var. 19: macula segmenti quarti alba. 26. Ichn. pachymerus Hart. Ratz. Var. 1 Q (Phygadeuon Piniperdae Hart. Ratz.): lineola infra alas, apice scutelli maculaque segmenti sexti abdomi- nis albis; segmento abdominis quarto castaneo. . 27. Ichn. xanthorius Forst. Var. 1 3: sicut var. 2 Wesm., sed lateribus segmentorum abdominis ulti- morum flavidis femoribusque postieis fere totis nigris. Var. 2 8: sicut var. 2 Wesm., sed lineolis ad orbitas oculorum externas et marginibus apicalibus segmen- torum abdominis ultimorum flavidis; femoribus posti- cis fere totis nigris. 28. Polyblastus rixator n. sp. Parum nitidus, punctu- latus, niger; palpis, scapo antennarum subtus et squa- mulis alarum albidis; medio mandibularum pedibus- que rufis, coxis, apice tibiarum postiearum tarsisque posticis nigricantibus; clypeo vix discreto, apice subrotundato; areis metathoracis bidenticulati superi- oribus quinque valde distinctis, quarum superomedia longitudine latiore, subhexagona; area posteromedia abrupte declivi; segmento abdominis primo coxis posticis distincte longiore, marginato, scabriculo, carinulis ultra medium extensis; secundo et tertio tranversis, scabriculis; alis infumato-hyalinis, stig- mate piceo, areola nulla. Long. 5 — 6 millim. d. Caput opacum, pone oculos paulo angustatum, facie nonnihil pubescente. Antennae subsetaceae, dimidio corpore paulo longiores. Mesopleurae punctu- latae, nitidae. Nervus alarum tranversus analis infra medium fractus, nervum e fractura distinctnm emit- tens. Pedes mediocres, unguiculis tarsorum basi tan- tum subpectinatis. 29. Perilissus Foersteri n. sp. Parum nitidus, niger; ore, clypeo, apice genarum, facie, macula ad orbitas verticis, scapo antennarum pedibusque rufescentibus, basi coxarum et tarsis infuscatis; clypeo vix discreto; areis metathoracis superioribus quinque, quarum superomedia elongata; segmento abdominis primo coxis posticis parum longiore, carinulis nullis; alis hyalinis, stigmate et squamula pallidis, areola sub- petiolata, nervum recurrentem fere in ipso apice exci- piente, nervo transverso anali in medio fracto. Long. 4 — 5 millim d. Caput pone oculos non angustatum. Antennae - | eorpore haud longiores, articulis flagelli 1 et 2 aequa- libus. Abdomen nigrum, incisuris mediis subcastaneis; segmentum secundum transversum. Pedes graciles; caleare interno tibiarum posticarum articulo secundo tarsorum paulo breviore. 30. Euryproctus aberrans n. sp. Parum nitidus, confertim punctatus, niger; ore, antennis, abdominis medio pedibusque rufescentibus, coxis et basi trochan- terum nigris; areis metathoracis superioribus tribus, quarum superomedia elongata, apicem versus paulo dilatata; segmento abdominis secundo latitudine paulo longiore, tertio subquadrato; alis parum infumatis, stigmate brunneo, radice et squamula flavis, - macula fusca notata. Asymmictus mundus Foerst. in sched. Long. 9. millim. Q. Caput pone oculos paulo angustatum, fronte et facie rugulosis Antennae corpore parum breviores, rufae, scapo supra nigro. Thorax rugulosus; dorsulo et scutello confertim punctatis, hoc carinulis duabus elevatis, parallelis, obsoletissimis apice instructo; spiraculis metathoracis ovatis. Segmentum abdominis primum apice late, secundum, tertium et quartum - MES. E | 401 des Sciences de Saint - Pétersbourg. rufa. Areola alarum irregulariter triangularis, nervum recurrentem pone medium excipiens; nervus trans- versus analis supra medium fractus. Pedes mediocres. 31. Mesolius decipiens m. sp. Vix nitidus, niger; ore, antennis basin versus subtus, abdominis medio pedibusque rufescentibus, coxis et trochanteribus nigris, posticorum femoribus et tibiis apice tarsisque infuscatis; clypeo apice subtruncato; areis meta- thoracis superomedia elongata et posteromedia sat declivi distinctissimis; segmento abdominis primo coxis posticis nonnihil longiore, marginato, scabriculo, carinulis fere ad apicem extensis; secundo et tertio transversis, subscabriculis; alis infumato-hyalinis, stig- mate fulvo-testaceo, basi albida, radice et squamula flavis, areola nulla. ong. 5 millim. d. Caput pone oculos subangustatum, fronte et facie opacis. Antennae filiformes, corpore vix breviores, articulis flagelli apice paululum incrassatis. Mesono- tum elevatum, metathorace brevi multo altius. Seg- mentum primum abdominis apice saltem duplo latius quam basi, nigrum, apice rufo; 2— 4 rufa, hoc lateribus fuscis. Nervus alarum transversus analis in- fra medium fractus. Pedes mediocres. 32. M. infidus n. sp. Subnitidus, niger; palpis et basi tibiarum posticarum albescentibus; mandibu- lis et clypeo rufo-piceis; squamulis alarum et apice trochanterum. flavis; abdominis medio pedibusque rufis, coxis, basi trochanterum posticorumque pedum geniculis, apice tibiarum et tarsis nigricantibus; clypeo apice depresso, subtruncato; areis metathora- cis superomedia latitudine longiore, apicem versus dilatata et posteromedia distinctis; segmento abdomi- nis primo latitudine vix duplo longiore, apicem versus dilatato, alutaceo, carinulis ultra medium extensis, spiraculis subprominulis; alarum nervo transverso anali paulo infra medium fractó, areola irregulari, petiolata, nervum recurrentem in ipso apice exci- piente. Long. 6 — 7 millim. d. Caput pone oculos paulo angustatum. Antennae corpore vix longiores, apicem versus parum angustatae. Mesothorax nitidulus. Segmenta abdominis 2 — 4 transversa, rufa, 2 et 4 leviter fusco-maculata. Stigma alarum piceum, basi anguste pallida. Pedes medio- cres. Tome XXII. -33. M. punctulatus n. sp. Subnitidus, punctulatus, niger; ore, scapo antennarum subtus, puncto ante alas, squamulis alarum, apice coxarum anteriorum et trochanteribus flavis; pedibus rufis, coxis anteriori- bus basi, posticis fere totis nigricantibus; clypeo apice late rotundato, haud marginato; facie albido- pubescente; area methathoracis superomedia obso- letissima; segmento primo abdominis posticorum pedum coxis cum trochanteribus haud breviore, cari- nulis vix ad medium extensis, tertio latinis paulo breviore; areola alarum irr egulari, subsessili, nervum recurrentem in ipso apice excipiente, nervo discoido- cubitali valde arcuato, subfracto, stigmate majusculo, piceo. Long. 6 — 7 millim. d. Caput pone oculos vix angustatum, temporibus latiusculis. Antennae filiformes, corpore breviores. Mesonotum antice trilobum. Plica ventralis pallida. Nervus alarum transvérsus analis infra medium fra- ctus. Pedes mediocres; tarsis posticis parum infu- scatis. Parerga archaeologica. Von Ludolf Stephani. (Lu le 12 octobre 1876.) XXX. Vor Kurzem gelangte ein kleiner Aufsatz Brunn's: «Die Petersburger Poseidonvase»!), welcher meine Wie- derherstellung der ehemals im Westgiebel des Par- thenon vorhandenen Sculpturen °) zu widerlegen sucht, in meine Hände. Es wird sich wohl Niemand wun- dern, wenn ich ein Verfahren von der in diesem Auf- satz vorliegenden Art durchaus nicht für geeignet halten kann, irgend Etwas zur Lósung dieser oder einer anderen Frage beizutragen. Zur Begründung die- ser Ansicht wird es daher genügen, wenn ich ein paar der besonders charakteristischen Stellen hervorhebe. Den ersten Platz unter denselben nimmt ohne Zwei- fel die gewiss von Niemandem erwartete Belehrung ?) l)Sitz.-Ber. der phil. A Classe der k. Akad, der Wise; zu München 1876. Th. I. p. 477 —490. 2) Compte-rendu de i a comm. arch. pour l'ann. 1872. D icit. 221—224. 1878. is 242—244. Bull. de ee. des sc. To XXII. 107—122. — Mél. gréco-rom. To. IV. p. 237—260. 3) Sitz.-Ber. der hist.-phil. Classe der k. Akad. der Wiss. zu München 1876. Th, I. p. 483. w 26 Bulletin de l'Académie Imperiale ein, dass die Athena des von mir veröffentlichten - berühmten Vasengemäldes der Kaiserlichen Ermitage‘), obgleich sie nicht nur ihren ganzen Körper bereits energisch nach der rechten Seite hin bewegt, sondern auch die rechte Hand mit der gegen den Erdboden hin gerichteten Lanze schon so hoch als möglich empor gehoben hat, doch durchaus nicht die Absicht hat, ihre Waffe nach dem Erdboden hin zu stossen, sondern diese nur für die Dauer eines Augenblicks naturgemässe und daher jede Möglichkeit eines noch irgendwie unentschiedenen Abwartens völlig ausschlies- sende Haltung gerade nur zu dem Zweck angenommen hat, um über die peinliche Frage, was sie eigentlich - thun solle, noch weiter nachzudenken, und daher nur vorläufig «ihre Lanze zur Vertheidigung erhebt, sofern «es einer solchen bedürfen sollte, aber noch ungewiss «über den Punkt, auf den sie die Spitze derselben zu S = «richten hat». Ja, dies wird behauptet, obgleich, um SÉ . von der Athena des Parthenon-Giebels selbst und von dem Zeugnisse Ovid's zu schweigen, sogar schon die von mir nachgewiesene grosse Zahl vollkommen ent- sprechender Darstellungen der Athena Tryaytohérerpa.”) über die allgemeine Bedeutung des Motivs für einen noch einigermaassen gesunden Sinn auch nicht die . entfernteste Ungewissheit übrig lassen kann, und ob- - .. gleich ich auch den besonderen Umstand hinreichend - 4 - aufgeklärt habe, welcher den Vasenmaler gegen seinen - ` Willen nöthigte, die Richtung der Lanzenspitze, wenn D er sie auch im Wesentlichen fest hielt, doch von dem genauen Zielpuncte ein wenig abzulenken’). Dies wird behauptet, obgleich Brunn von dem in der Haupt- sache ganz entsprechenden Dreizackstoss des in dem- selben Gemälde auftretenden Poseidon selbst einräumt, - dass er «gegen den Erdboden» gerichtet sei, und mithin auch Athena gar keinen Grund hat, einen beyorste- henden Angriff und eine Nothwendigkeit der Verthei- digung zu befürchten. Unmittelbar hieran aber schliesst sich die gewiss nicht weniger werthvolle Bemerkung, dass dieser Po- seidon in dem dargestellten Moment eben «vom Ufer- «rande aus das Land betritt», allein trotzdem schon «unmittelbar vorher gegen das Meer zugewendet war», also sich doch nicht nur schon früher auf dem Land 4) een de la comm, arch. pour Pann. 1872, Pl. 1. 5) Compte-rendu dé la comm. arch. pour l'ann. 1872, p. 86. 6) Compte-rendu de la comm. arch. pour l’ann, 1872. p. 128. befand, sondern auch nach dem Meere hin eilte, so — — dass das ihn begleitende Pferd selbst noch in dem dar. — gestellten Moment nach dieser Richtung hin galoppirt, ^ während der Gott bereits wieder «landeinwárts stürmb, —.— als ob er mit seinem Thier nur ein bekanntes Kinder: —— spiel treiben wolle. Denn aus welchem anderen Grunde + kónnte er wohl zuerst, unmittelbar vor diesem «land- : «einwürts Stürmen», nach dem Meere hin gestürmt sein und erst dann «plötzlich sich wieder rückwärts | «gewendet» haben? Aus welchem anderen Grunde könnte der Maler durch die der gegenwärtigen Rich- tung des Gottes gerade entgegengesetzte Richtung ` des Pferdes auch dieses frühere Stürmen nach dem ` — Meere hin so nachdrücklich betont haben? Aus wel- - chem anderen Grunde könnte überhaupt Poseidon ganz — gegen seine sonstige Gewohnheit bei so aufopfernder ` ie Anstrengung seiner eigenen Beine doch auch noch sein f Pferd völlig nutzlos neben sich her gezogen haben? Auch was Brunn an einer anderen Stelle?) von dem in demselben Gemälde als Richter gegenwärtigen ` — Kekrops sagt: «Es ist indessen eine starke Zumuthung, ` z. «dass wir in jenem Manne Kekrops als Richter bei dem ` «Streite anerkennen sollen. Denn wo dreht der Richter «den Parteien, über die er urtheilen soll, den Rücken ` ` «zu und wendet nur das Gesicht nach ain um, wie — «jemand, dessen Aufmerksamkeit nur durch einen «unerwarteten Zwischenfall nach rückwärts gelenkt i / «wird?» kann gewiss nur eine nicht weniger erheiternde ` Wirkung hervorbringen, besonders wenn man z. B. À ein anderes Vasengemälde®) vergleicht, in welchem die Muse Kalliope dem Streite zwischen Kore und. Aphrodite als Richterin beiwohnt und ganz genau mit derselben Körper-Wendung dargestellt ist, wie der - Kekrops unseres Gemäldes, oder ein drittes », in wel- chem der Wettstreit des Apollon mit Marsyas darge- 0 stellt ist und von den als Richterinnen gegenwärtigen | Musen nicht weniger als drei sich in jener den Rich- tern in München so streng untersagten Stellung sehen P lassen, wührend zwei andere der ie ee den ` Rücken gar vollständig zukehren. : E Mit solchen Resultaten der von Brunn aus nur zu = E VE e Ab D'A bei ET o gt GE i 7) Sitz.-Ber. ei eg -phil. Classe der k. Akad. der Wiss. ado München 1876. Th. 481. l 8) Bull. Napol. rai M To. VIL Tav. 9. Stephani: As E dell” Inst. arch. To. XXII. p. 3 EAE. 9) Archaeol. Zeit. 1869. Tat 18. j des Sciences de Saint - Pétersbourg. leicht verstándlichem Grund zum Wahlspruch erkorenen © «Erklárung der Kunstwerke aus sich selbst» können frei- : lich die der inductiven Methode nicht verglichen wer- den. Allein ich denke auch gar nicht daran, durch “ eine nähere Analyse der einzelnen Behauptungen und Folgerungen dieses Aufsatzes die Zeit zu verschwen- den, zumal da dieselben doch wohl auch ohne mein Zuthun-den von Brunn schon durch seinen früheren Aufsatz: «Die Bildwerke des Parthenon»'?) erzielten glinzenden Erfolg nur noch erhóhen kónnen. Mir kommt es nur darauf an, eine der auf die Pro- lepsis der alten Kunstwerke bezüglichen Aeusserungen nicht ganz ohne náhere Beleuchtung zu lassen, da ich auf die wichtige, von der Kunst-Exegese jedoch ebenso wie fast alle anderen feineren Gesetze antiker Compositions- Weise bisher noch in hohem Grade ver- nachlässigte Eigenthümlichkeit, welche wir mit jenem von der Rhetorik und Grammatik entlehnten Namen zu bezeichnen pflegen, wahrscheinlich noch oft werde zu- rückkommen müssen. Zunüchst also muss ich daran erinnern, dass ich zur Rechtfertigung der besonderen, von Pheidias in seiner berühmten Composition angewendeten Art von Prolep- sis mich ganz vorzugsweise auf die meisten der uns in so überaus grosser Anzahl erhaltenen Darstellungen des Ringkampfs des Peleus mit Thetis berufen habe"), Denn nicht nur gehóren nicht wenige derselben der Zeit der höchsten Kunst-Blüthe an und sind mit wahrer Meisterschaft ausgeführt, sondern sie fassen auch handgreiflich mehrere in Wirklichkeit scharf von einander geschiedene Zeit-Momente in ein Bild zu- sammen, in so weit sie uns nicht nur die durch Ver- = wandlung des menschlichen Körpers der Thetis ent- — Standenen wilden Thiere: Löwen, Panther, Schlangen, Drachen u. s. w., sondern zugleich auch die mensch- lichen Formen der góttlichen Jungfrau selbst in unveränderter Vollständigkeit sehen lassen, obgleich dies natürlich nur in scharf von einander getrennten .. Zeit-Momenten, nie zu gleicher Zeit möglich war. = . Hierüber also sagt Brunn") Folgendes: «Allein, 2 à «die welche ihm« ee phani) «am wichtigsten und merk- TE Xp, Ts a ae ra ti on f EP LN mt e deir SIG” D - > e RE RS ARTE A EETA HE EE E E 23 10) Sitz.- Ber. e? hist. "ed Classe der k. Akad. der Wiss. zu München 1874. Th. T .11) Bull. de vem, jc se. To. XXII p.113. = Mél. gréco- rom. To. IV. p. 246. - 12)Sitz.-Ber. der voir Se Classe der k. Akad. der Wiss. zu E München 1876. Th. 1. p «würdigsten sind, die Darstellungen des Peleus und der «Thetis, gehören nicht hierher. Denn wenn bei dem «Ringen Löwen, Panther, Schlangen betheiligt sind, so «handelt es sich hier keineswegs um eine Prolepsis, «sondern um eine künstlerische Ausdrucksweise, «welche der Künstler der poetischen Schilde- «rung der Verwandlungen súbstituirt. In einem «Jünglinge, der mit einem Panther, einem Löwen ringt, «würden wir Peleus nicht wohl erkennen. Der poetische «Gedanke dagegen, dass sich Peleus durch solche «Truggestalten von seinem Ziele, der Thetis sich zu «bemächtigen, nicht ablenken lässt, tritt uns in der von «den Künstlern gewählten Auffassung verständlich ent- «gegen. Eine Zeitfolge der verschiedenen Ver- «wandlungen kommt hierbei gar nicht in Be- «tracht». Also Brunn begreift nicht, dass alle Prolepsis gas niehts Anderes ist, als eine bestimmte «künstlerische «Ausdrucksweise» , welche sich gewisse Abweichungen von der Wirklichkeit oder von der dieselbe vertretenden Sage gestattet? Er weiss nicht, dass das Eigenthüm- liche, welches diese «künstlerische Ausdrucksweise » von jeder anderen unterscheidet, gerade darin besteht, dass sie «eine Zeitfolge gar nicht in Betracht» zieht, son- dern gewisse durch die Wirklichkeit oder Sage ver- schiedenen Zeit-Momenten zugewiesene Elemente in ein Bild vereinigt und somit als gleichzeitig erscheinen lässt? Er bemerkt nicht, dass er sogar schon, indem. er selbst eingesteht, dass auch in den fraglichen Dar- stellungen des Ringkampfes des Peleus mit Thetis eine «künstlerische Ausdrucksweise» angewendet ist, welche von der Erzählung der Sage abweicht oder, wie er sich ausdrückt, derselben «substituirt» ist, wider Willen alles von mir Gesagte eingeräumt hat und dies sich und seinen Lesern nur dadurch zu verbergen sucht, dass er nicht, wie es seine Pflicht war, die Art und Natur der von ihm selbst zugestandenen Abwei- ` chung näher bezeichnet? Denn der erste Blick auf ` ` jene Kunstwerke lehrt, dass sie, von hier gar nicht in Frage kommenden Einzelheiten abgesehen, in nichts Anderem von der Sage abweichen, als darin, dass sie " die verschiedenen Kórper-Formen, CSC die Sage der : Thetis bei ihrem Kampf mit Peleus nur für verschie- dene, durch Übergangs-Zustände scharf von einander ` getrennte Zeit-Momente zuschreibt, in ein Bild zu- sammen fassen und dadurch als gleichzeitig erscheinen | a 407 Bulletin de l'Académie Impériale lassen. Auch die Sage legt der mit Peleus ringender Thetis einen vollständig menschlichen Körper bei; auch sie verleiht ihr die Formen eines vollständigen Löwen, eines vollständigen Panthers, einer vollständi- gen Schlange u. s. w., aber nur für scharf von ein- ander getrennte Zeit-Momente, nicht für dieselbe Zeit, und eben die «künstlerische Ausdrucksweise», welche Dis -— «eine Zeitfolge gar nicht in Betracht» zieht, sondern verschiedenen Zeit-Momenten entlehnte Elemente in ein Bild vereinigt und somit als gleichzeitig behan- delt, nennt man, meine ich, Prolepsis. Der hochverdiente und berühmte Gelehrte also, der es mir als zweckmässig bezeichnete, «dass ich mich um «der Schwachen willen über die von Pheidias in seiner « Composition zugelassene Vereinigung von. zwei ein we- «nig aus einander liegenden Zeit- Momenten noch etwas «ausführlicher ausspräche» ©), hat mir offenbar doch nichts Überflüssiges angerathen. Allein es ist auch leicht zu begreifen, warum bei weitem die meisten und besten Künstler wührend der - Blüthe-Zeit der alten Kunst bei der Darstellung des Ringkampfs des Peleus mit Thetis von der Prolepsis -— Gebrauch gemacht haben. Denn wenn sie dabei die Einheit der Zeit festhalten wollten, so standen ihnen — zwar drei andere Wege offen; allein diese litten sämmt- lich an ganz wesentlichen Mángeln, Sie konnten zunüchst einen Moment des ies zur Darstellung wählen, in welchem Thetis ihre Ver- wandluugen noch gar nid begonnen hat, und dem- nach den Beschauer gar Nichts von den verschiedenen Thieren oder Thierformen sehen lassen; und dies hat bekanntlich ein verhältnissmässig nicht unbedeutender . Theil der Künstler wirklich gethan. Allein dadurch wird gerade die wichtigste und am meisten charakte- ristische Eigenthümliehkeit dieses Ringkampfes dem Beschauer gar nicht in das Bewusstsein gerufen. Die Künstler konnten ferner einen Moment vor- führen, in welehem gerade eine der Verwandlungen vor sich geht, und auch dies haben in der That einige wenige der ältesten Vasenmaler gethan, indem sie einen aus der Schulter der Thetis hervorwachsenden = Lówenkopf hinzugefügt haben. Allein hiermit waren .. die schönen Körperformen der göttlichen Jungfrau durch einen Zusatz thierischer Formen entstellt, den 13) Bull. de Zeg des sc. To. XXIL p. 107. — Mél. gréco- rom. To. IV. p. 2 die Vertreter der ausgebildeten Kunsti in diesem Falle um zu vermeiden wünschten. Sie konnten endlich einen Moment des Kain wühlen, in welchem der Kórper der Jungfrau eben eine ue Thierformen vollstándig angenommen hatte, und mithin dem Beschauer Nichts, als einen vollstän- t digen Lówen, eine vollstándige Schlange u. s. w. sehen lassen. Allein dann waren diese durch Verwandlung entstandenen Thiere von gewóhnlichen Thieren der- selben Art gar nicht zu unterscheiden und der Be- schauer wurde in keiner Weise darüber belehrt, dass er in jenen Thieren vielmehr die verwandelte Thetis zu sehen hatte. Auch hat sich desshalb kein Künstler, so weit wir sehen kónnen, dazu entschlossen, diesen Ausweg zu betreten. . Vielmehr haben es, EE mit Rücksicht auf die v eben entwickelten Gründe, bei weitem die meisten und besten Künstler bei der Behandlung dieses Vorwurfs für geboten erachtet, «eine Zeitfolge der einzelnen Ver- «wandlungen gar nicht im Betracht» zu ziehen und in ihrea Compositionen Elemente zu vereinen, welche in Wirklichkeit nur ganz verschiedenen Momenten des Kampfs, dem ersten und dem dritten, zukommen, d.h. die von der alten Kunst stets für erlaubt gehaltene Prolepsis in Anwendung zu bringen, und ganz eben so . - verhált es sich mit der Composition, mit welcher Phei- dias den Westgiebel des Parthenon geschmückt hatte. Auch dieser grosse Meister konnte die Einheit der Zeit in zwei verschiedenen Weisen vollkommen wahren; ` allein in beiden Fällen nur zum grössten Nachtheil seiner Composition. Er konnte ebenso, wie er wirklich gothai hat, den Moment vorführen, in welchem die beiden Gottheiten ^ den Lanzen-Stoss und den Dreizack-Schlag eben erst ausführén, aber noch nicht vollendet haben, und im Einklang hiermit sowohl den Ölbaum als auch das Pferd ganz weglassen. Dann würde er allerdings die Einheit der Zeit vollkommen gewahrt, aber auch den ` Beschauer jeder Móglichkeit beraubt haben, zu er- kennen, was jener Lanzen- und dieser Dreizack-Stoss ` zu ET eg haben. Ausserdem jedoch stand es ihm auch frei, den Mo- S 3 ment zu bilden, in welchem die beiden Gottheiten den … Stoss der Lanze und des Dreizacks eben ganz zu Ende geführt haben, so dass die Spitzen beider Waffen den | Erdboden bereits berühren, Dann konnte er, ohne die — eiut eur Am Ci EMEN AH SN Car RI Le M MU ME OS E SATR Ski ” à pi £C y" Mr re Sahne RSS A e EE à Ts + Re PES 355 ce P oo E RE n I H 409 des Sciences de Sainí- Pétersbourg. 410 Einheit der Zeit zu verletzen, durch Hinzufügung des Olbaums und des Pferds die Bedeutung dieses Lanzen- und Dreizack-Stosses vollkommen verstündlich machen. Allein selbst der klüglichste Steinmetz weiss, dass, um der Darstellung einer mit einer kräftigen Kórperbe- wegung verbundenen Handlung Leben, Kraft und Wahrheit zu geben, stets Alles darauf ankommt, dass der Künstler auf keinen Fall den Moment der voll- ständigen Beendigung dieser Körperbewegung, sondern im Gegentheil einen der «xp.y derselben möglichst nahe liegenden Moment zur Darstellung wählt. Darum sehen wir unter Anderem auch in dem bei weitem gróssten Theil der zahllosen uns erhaltenen Kampf^Scenen die Waffen der Kümpfenden die Kórper der angegriffenen Gegner noch nicht berühren, und wo dies doch der Fall ist, haben die besseren Künstler in den man- nigfachsten anderen Weisen dafür Sorge zu tragen gewusst, dass bei dem Beschauer doch der Eindruck einer vóllig abgeschlossenen Bewegung wenigstens nicht zu überwiegender Geltung gelangt. Für Pheidias aber lag hierin ein mehr als ausrei- chender Grund, weshalb er auch von diesem Ausweg, die Einheit der Zeit zu wahren, keinen Gebrauch ma- chen konnte, sondern es vorzog, die von der alten . Kunst stets als zulässig betrachtete Prolepsis in An- wendung zu bringen, indem er zwei Momente, welche . um eine oder zwei Secunden auseinander liegen, in Eins zusammenzog. Über einen von M. H. von Jacobi construirten Queck- silber-Rheostaten. Von 0. Chwolson. (Lu le 21 septembre 1876.) ; (Avec 2 planches.) Einleitung. Unter den von H. v. Jacobi kurz vor seinem Tode construirten physikalischen Apparaten befindet sich , em neuer, von Herrn Akademiker Wild, am Ende der «Gedächtnissrede auf M. H. v. Jacobi» erwühnter | Quecksilber-Rheostat, welchen selbst genauer zu stu- diren und zu irgend einer Untersuchung zu verwen- den dem Erfinder nicht mehr beschieden war. Im Auftrage des Herrn Akademikers Wild unternahm ich im physikalischen Cabinete der Akademie eine Prü- 4 fung des Rheostaten, deren Resultate ich hiemit der Öffentlichkeit übergebe. Ich theile die Arbeit in 7 $$. Im $ 1 gebe ich einen Abriss der Geschichte des Rheostaten; $ 2 enthält die Beschreibung des neuen Rheostaten; $ 3 einige ein- leitende Versuche mit demselben; $ 4 die Calibri- rung; $ 5 einige mit ihm ausgeführte Vergleiche ; $ 6 eine Untersuchung des Einflusses der Temperatur und endlich $ 7 eine zur Probe ausgeführte Unter- suchung der Widerstandsveränderungen eines Eisen- drahtes, welche beim Magnetisiren desselben sich be- merklich machen. Die Resultate dieser Untersuchung, die ausserordentliche und leicht zu erreichende Ge- nauigkeit, beweisen, dass der neue Rheostat in jeder Hinsicht,alle früheren weit hinter sich lässt, und man kann kühn behaupten, dass derselbe, oder wenigstens das ihm zu Grunde liegénde Prineip berufen ist, eine hervorragende Rolle zu spielen in den zukünftigen galvanometrischen Untersuchungen, deren sich so oft widersprechende Resultate in vielen Fällen eine Folge der bedeutenden Mängel aller bisherigen Rheostaten sein mögen. Ich bin glücklich, dass mir die Ehre zu Theil ward, diesen Apparat der wissenschaftlichen - Welt vorführen zu dürfen. Móge meine Arbeit be- trachtet werden als ein Blatt zu dem Lorbeerkranze, den die dankbare Mitwelt dem erfindungsreichen Gei- ` ste M. H. von Jacobi's darbringt! 8 1. Als das Erfindungsjahr des Rheostaten ist das Jahr 1840 zu bezeichnen. Um diese Zeit wurden fast gleich- zeitig von Wheatstone, Jacobi und Poggendorff Apparate zum bequemen Ein- und Ausschalten von Widerstinden angegeben. Die Bedeutung derartiger | Apparate für galvanometrische Messungen zuerst klar ausgesprochen zu haben, ist ein Verdienst Wheat- stone's. Es ist leicht nachzuweisen, dass Jacobi seine ersten Regulatoren gleichzeitig und unabhängig - von Wheatstone construirt hat. Jacobi sah nämlich den Apparat von Wheatstone bei einem Besuche in England im August 1840. Er selbst veróffentlichte nun zwar eine Beschreibung seiner Apparate erst 1841, bemerkte aber bei derselben — Pogg. Ann. Bd. LIV 1841, p. 339 — er habe seine Apparate schon vor der Reise nach England der Akademie vor- gezeigt. Eine nühere Angabe des Zeitpunktes, wann Bulletin de l'Académie Imperiale dies geschehen, findet sich a. a. O. nicht und doch ` schien es historisch vielleicht nicht uninteressant, die- sen Zeitpunkt zu fixiren. Es stellt sich nun heraus, dass diese nähere Angabe in dem erwähnten Abdruck in Pogg. Ann. sonderbarerweise weggelassen ist. Im Originalartikel — Bulletin scientifique de UA, Impér. des Sciences de St.-Pétersb. T. IX ist p. 182 aus- drücklich hinzugefügt, dass die Apparate vorgezeigt wurden in der Sitzung der. Akademie vom 24. April (6. Mai) 1840 — also vor der englischen Reise. Der gütigen Hülfe des Herrn Akademikers Schiefner ver- danke ich die Auffindung eines Protokolls jener, von Jacobi erwühnten Sitzung ; dasselbe befindet sich im Bulletin scientifique de l'Ac. ete. T. VII p. 96 (ge- druckt 1840) und ist in ihm ausdrücklich erwühnt, dass Jacobi jene Apparate vorgezeigt habe. Somit ist bewiesen, dass Jacobi zum Mindesten gleichzeitig mit Wheatstone und von ihm unabhängig seine zwei Apparate erfunden hat, welche er zwar Regulatoren nannte, die aber durch die Möglichkeit einer relativen Messung der aus- und eingeschaltenen Widerstánde ‚offenbar als Rheostaten dienen konnten. Der erste (Pog- gend. Ann. Bd. LIV Taf. II. Fig. 7) bestand aus zwei E $ Er Kupferplatten in einem mit Kupfervitriollósung ge- — fülten Kasten, der durch eine Thonplatte in zwei Abschnitte getheilt war. Von den beiden, einander TY parallelen Platten war die eine unbeweglich, die an- dere, an eine oberhalb befindliche Schraube befe- Stigt, konnte sich selbst parallel verschoben werden. Die, zwischen den Platten befindliche Flüssigkeits- sáule bildete den veränderlichen Widerstand. Der - zweite Apparat (ib. Fig. S) bestand aus zwei Cylindern mit gemeinschaftlicher Axe, aus Marmor und Messing mit entgegensetzt geschnittenen Schraubengángen, in welche ein Draht (Messing oder Neusilber) eingelegt war, der zwischen den beiden Cylindern durch ein rollendes Gewicht gespannt, herabhing. Durch Dre- hen der Cylinder wurde der Draht von dem einen auf den andern Cylinder hinübergewunden und so der Gesammtwiderstand veründert. Die Anzahl der Um- drehungen konnte gemessen und bis auf 0,001 bequem . abgeschätzt werden. Bei mehrfachen Messungen fan- den sich Differenzen bis zu 3,75 Linien Neusilber- draht von 0,2 Linien Durchmesser. . Etwas später beschrieb Jacobi seinen Voltago- meter, der als Jacobi's Agometer allgemein bekannt ist — Bull. se. de PAc. de St.-Pétersb. T. X. 1849, M p. 285 und Pogg. Ann. Bd. LIX 1843 p. 145 (Taf. T, Fig. 1, 2 und 3). Der Apparat enthielt einen Platin- draht von 80' Lünge und 0,0219 Zoll. engl. Durch- messer. | Wheatstone's bekannte Apparate, die im August 1840 bereits fertig gewesen sind, finden sich Pogg. Ann. LXII, p. 509 beschrieben. Für Ketten mit grossen Widerstünden benutzte er (1. c. Taf. II, Fig. 12) zwei parallele Cylinder von -6 Zoll Länge und 1,5 Zoll. Durchmesser und Messingdraht von 0,01 Zoll Darch- ` messer. Für Ketten mit geringem Widerstande be- ` nutzte Whéatstone einen Apparat, der (ib. Fig. 13) : mit dem Jacobischen Agometer geradezu identisch war: ein Holz-Cylinder von 10,5 Zoll Länge und 3,25 Zoll Durchmesser mit darauf gewundenen 108 Umgängen Kupferdraht von '/, Zoll Dicke; darüber ein Metallstab mit auf den Draht drückenden, glei- tenden Schlitten etc. St Im Jahre 1856 gab Pierre eine Modification des — ersten Wheatstone'schen Rheostaten an, indem er mit dem Draht ein, mit Theilung versehenes, isoli- rendes Band laufen liess. Poggendorff beschrieb seinen ersten Apparat im Jahre 1841 (Pogg. Aun. LII, p. 511, Taf. IIL, Fig. 1). Ein verticales Holzbrett, 3' hoch, 4" breit, 1,5" dick — iit 4 darauf festgezogenen Neusilberdrähten von 0,166 Par. Linien Dicke. Je zwei Drähte konnten - durch zwei verschiebbare, metallische Klammern an beliebiger Stelle verbunden werden, wodurch die ein- > geschaltene Drahtlänge beliebig variirt und durch ` — eine auf das Brett geklebte Scala gemessen werden konnte. Ein zweites horizontales Instrument enthielt im Ganzen 50 Par. Fuss. Neusilberdraht von 0,166 Par. Lin. Dicke. In veränderter Form (unter dem Na- ` men Rheochord bekannt) ist dieser Apparat vielfach ` — benutzt worden, z. B. von Beetz bei verschiedenen — Arbeiten (P. A. CXVII, p. 5; CXXVIII, p. 202 ete. a eine weitere Modification gab Du Bois Reymond an, Abhandl. der Berl. Akad. 1862, p. 123. Zu feineren Versuchen wohl kaum brauchbar ist ` der 1853 von Page angegebene Rheostat, Dinglers — Journal CXXIX p. 53, Taf. II, Fig. 2. Ein Neusilber- ` streifen ist in den Spiralausschnitt eines runden Vers 3 tikalen Holzbrettes eingelegt, welches um seine hori- zontale Axe rotirt. Daneben ein isolirter vertikaler — Y. e Geet EG OR A E 3 I d 413 des Sciences de Saint- Pétersbourg. Metallstab mit beweglichem Schlitten, von dem ein den Silberstreifen fassender Arm ausgeht. Der Strom tritt durch die Axe der Holzscheibe ein; beim Drehen derselben bewegt sich der Schlitten lüngs des mit Theilung versehenen Metallstabes. Zum ersten Male bei derartigen Apparaten be- nutzte Jacobi das Quecksilber in seinem Quecksilber- voltagometer (Pogg. Ann. 1849, LXXVIII, p. 173, Taf. I, Fig. 17 und 18.) In zwei, neben einander stehende vertikale, mit Quecksilber gefüllte Becher taucht ein gebogener langer Platindraht von 0/0355 Dicke, der durch eine Schraubenvorrichtung bis zu verschiedenen Hóhen herausgezogen werden konnte. Die erreichbare Genauigkeit sollte 0/01 des Drahtes betragen. Es ist wohl zu beachten, dass in diesem Instrument das Quecksilber nur gleichsam als Hülfs- mittel diente — der veränderliche Widerstand ist die Lünge des ausserhalb des Quecksilbers befindlichen Platindrahtes. Der Erste, der eine Quecksilbersiule von messbar veránderlicher Lánge benutzte, war Müller in Wesel (Programm des Gymnasiums zu Wesel 1856). Sein Apparat erinnert im Princip an den neuen, im náchsten $ zu beschreibenden Rheo- Staten; eine Abbildung findet sich bei Wiedemann, Galv. I, zweite Aufl. (Methoden der Widerstandsmes- sung). In den letzten Jahren sind noch zwei Rheostaten angegeben worden, bei welchen das Quecksilber in Anwendung gekommen ist: F. C. G. Müller (Pogg. Aun, CL, 1873, p. 100, Taf. II, Fig. 3) wendet ein vertikales Glasgefäss an, in welchem, parallel der Axe, zwei Platindráhte ausgespannt sind, welche durch den Deckel hindurch gehen, Dieser letztere ist auch im Centrum durchbohrt, um eine cylindrische Stange hin- - . Qurchzulassen. Am unteren Ende trägt die Stange ein mit Quecksilber gefülltes Gefäss, durch dessen Mes- singboden zwei, die beiden Platindráhte hindurchlas- sende Lócher gebohrt sind; der Strom wird zu den .. beiden, aus dem Deckel herausragenden Drahtenden geführt. Durch Heben und Senken der mit Theilung - versehenen Stange (mitsammt dem Quecksilbergefäss) - werden verschiedene Lángen des Drahtes in den Strom . eingeführt. Das ganze Gefäss kann mit Wasser gefüllt . Werden, das keine Nebenleitung erzeugen und die - Temperatur constant erhalten soll. Ganz ähnlich ist der Rheostat von Crova (Journal d'Almeida T. 3, 1874, p. 124 — 127 und Journal der physik. Ge- sellsch. an der Petersb. Univ. T. VII, p. 44). Auch dieser besteht aus einer vertikalen Glasróhre mit zwei, der Axe parallelen Platindrähten. Die Röhre ist aber unten offen und durch einen Kautschukschlauch mit einer grossen Glaskugel verbunden, die, mit Queck- silber gefüllt, an einer vertikalen Holzsüule verscho- ben werden kann. Durch Heben und Senken der Ku- gel, hebt und senkt sich das Quecksilber auch in der Glasróhre, wodurch die Lünge des über demselben frei bleibenden Drahtes veründert wird. Damit würe die Liste der feineren Apparate er- schópft, und nur kurz will ich eine andere Reihe von Instrumenten erwühnen, die zu genaueren Unter- suchungen wohl kaum brauchbar sein dürften. Ohne mich bei dem sonderbaren Regulator von Gore (Phi- losoph. Mag. (4), vol. VI, p. 309) — eine Säule, ge- schichtet aus Goldbronze, Graphit und Steinpulver mit Schellacklósung zu Brei gerührt und getrocknet — und dem Rheostat von P h. Carl (Carl's Repertorium Bd. III, 1867, p. 379, Taf. XXII, Fig. 4—6) — ein Brett mit eigenthümlich construirtem Zickzackdraht — auf- zuhalten, will ich noch einige Rheostaten mit Flüssig- keitssäulen von veränderlicher Länge erwähnen. Einen solchen construirten 1859 Gallois (P. A. CVI p. 139, Taf. III, Fig. 14 und 14”) und spáter Pierre (Prager Sitzungsber. 1861). In beiden haben wir eine hori- zontale mit einem Flüssigkeitsreservoir verbundene und mit Scala versehene Glasróhre, in welcher eine Metallplatte unbeweglich befestigt, eine zweite durch einen Kolben hin- und hergeschoben werden kann, wo- durch die Lànge der zwischen den beiden Platten befindlichen Flüssigkeitssäule verändert wird; der Strom geht zu den beiden Platten. Etwas anders ist der Rheostat von Crova (Ann. de Chimie et de Phys. (4). T. IV, 1865, p. 31). Zwei vertikale, beiderseits offene Glasróhren stehen in einem mit Ag NO? Lósung gefüllten Gefässe. In ihnen können zwei horizontale Silberplatten, die durch Drähte an einem oberen, hori- zontalen Stab befestigt sind, durch Heben und Senken dieses letzteren hin- und herbewegt werden, wodurch die durch den Strom zu durchlaufende Flüssigkeits- schicht veründert wird. Praktischer mag der Rheostat von Bequerel sein; er besteht (Annales du conserv. des arts et métiers 1861, p. 733) aus einer unten geschlossenen Glasróhre, durch deren oberen Deckel ` ein Capilarrohr und ein bis nach unten gehender 415 Rulletin de l'Académie Imperiale 416 Draht gesteckt sind. In dem, mit Scala versehenen Capilarrohr steckt ein zweiter, steifer Draht, der mit der Hand hin und hergezogen werden kann. Die Glas- rühre, also auch das Capilarrohr bis zu diesem Draht, ist mit Cu SO* Lósung gefüllt. Der veránderliche Wi- derstand besteht aus der Flüssigkeitssäule innerhalb der Capilarróhre, vom unteren Ende derselben bis zu dem unteren Ende des inneren, beweglichen Drahtes. Für sehr grosse Widerstánde, wo es auf Feinheit der Messung nicht ankommt, haben Siemens (Ding- ler's Journal CLXXXVII, 1868, p. 302, Tab. V, Fig. 6), Regnard (Fortschr. d. Ph. 1858, p. 441) und Ber- geat (Brix. Z. Jahrg. IV, p. 272) Apparate erfunden. Bei dem Letzteren ist als Widerstandseinheit ein Mes- - singdraht von 140”” Länge und 8,88 Gramm Gewicht angenommen; er zeigt nicht mehr als 0,1 dieser Ein- heit noch genau an. Wir wollen nun betrachten, in wieweit die ange- führten Apparate den nothwendigen Bedingungen ge- nügen, um bei feinen Messungen angewandt werden zu kónnen. Bei der Einfachheit der Frage kónnen wir uns kurz fassen. Ein guter Rheostat, der im Stande würe geringen Variationen einer gegebenen Widerstandsmasse genau und sicher zu folgen, müsste folgenden drei Hauptbedingungen genügen : 1) Bei gleicher Einstellung muss der eingeschaltene Widerstand immer wieder genau denselben Werth haben oder, wie man sagen kónnte: die Einstel- lung muss eine vóllig sichere sein. 2) Der Rheostat muss die Möglichkeit gewähren kleine, absolute Widerstandsgróssen noch anzuzeigen, d.h. die, der kleinsten messbaren Veránderung in der Einstellung des Instrumentes entsprechende Ver- . änderung des Widerstandes muss eine möglichst kleine Grósse sein. 3) Der absolute Widerstandswerth der einzelnen Theile des Rheostaten muss móglichst wenig von Zeit und Temperatur abhángig sein. Es lassen sich nun aber alle die Rheostaten in 5 Gruppen theilen : I. Draht-Rheostaten mit einfachem Metallcontact — Poggendorff, Carl, Jacobi (Agometer), Wheat- stone, Page. II. Draht- Rheostaten mit innigem Metallcontact — Wheatstone's und Jacobi's erste Rheostaten. III. Draht-Rheostaten mit Quecksilbercontact —Rheo- chord von Poggendorff, Jacobi's Quecksilber- voltagometer, F. C. G. Müller und Crova. IV. Rheostaten mit Flüssigkeitssäulen — Jacobi, Gal-- lois, Crova, Bequerel und Pierre. V. Reiner Quecksilberrheostat — Müller in Wesel und der, im nächsten $ zu besprechende. neue Rheostat von Jacobi. Keine der ersten vier Gruppen erfüllt die oben er- wühnten drei Bedingungen. Die erste Gruppe erfüllt nicht die erste jener Bedingungen; der ungenügende Contact, das kleinste zwischen Draht und Rolle gera- thende Stáubchen veründern oft sehr bedeutend den eingeschaltenen Widerstand. In der zweiten Gruppe ist nun zwar dieser Übelstand vermieden, dafür aber die dritte Bedingung nicht erfüllt: die vielen Span- nungen und Biegungen der Dráhte verándern den Widerstandswerth derselben in hohem Grade. Als die besten erwiesen sich bisher noch die Rheostaten der dritten Gruppe und doch hinderten die Veránderlich- keit des Drahtes, nicht ganz sicher anzugebende Grenze ` des Quecksilbers, leichte Erwärmung des Drahtes etc. etc., den Beobachtungen diejenige Sicherheit und Schärfe zu verleihen, welche allgemein bei galvano- metrischen Versuchen, besonders aber beim Studium der Ursachen, welche eine Veründerung des Wider- standes hervorrufen, wünschenswerth sein müssen. Bei ` der vierten Gruppe ist, abgesehen von stórender Po- ` larisation, die zweite Bedingung meist entfernt nicht erfüllt. Es bleibt der, im Princip gewiss vortreffliche Quecksilberrheostat von Müller in Wesel, dessen Ge- - sammteinrichtung aber kaum zu einer in der Feinheit sehr weit gehenden Messung geeignet ist. Auch ist es mir nicht bekannt, dass derselbe je durch eine grós- sere galvanometrische Untersuchung geprüft worden wäre. Eine vollständige Erfüllung der obigen drei Bedin- gungen finden wir in dem neuen Quecksilberrheostaten von M. H. v. Jacobi. § 2. Der neue Rheostat und seine verschiedenen Theile ` : sind abgebildet Taf. I und II Fig. 1 — 8. Fig. ! ist die Vorderansicht, Fig. 3 ein gewisser horizon ` ` taler Durchschnitt, Fig. 4, 7 und 8 Seitenansichten Ce einzelner Theile etc. In allen Zeichnungen sind die 417 gleichen, entsprechenden Theile mit den gleichen Buch- staben bezeichnet. Der Apparat besteht aus einem auf 4 Füssen stehenden Tische von 1,06" Höhe, etwas über 1” Länge und 0,47” Breite. Behufs leichterer Orientirung dürfte es empfehlenswerth sein, diejenigen Theile des Apparates, welche in der Ebene des Tisches sich befinden, mit kleinen einfachen, die unterhalb dieser Ebene befindlichen ebenfalls mit kleinen, aber mit Indices versehenen Buchstaben, ferner diejenigen Theile, welche gleichsam die oberste Etage bilden, mit grossen und endlich die zwischen der letzteren und der Ebene des Tisches liegenden Theile auch mit grossen, aber mit Indices versehenen Buchstaben zu bezeichnen. Ehe ich zu einer detaillirten Beschreibung übergehe, will ich kurz das Princip des Rheostaten darlegen. Durch die Tischplatte gehen 4 mit Queck- silber gefüllte, von unten festgehaltene Glassgefässe aa’, von denen je zwei zusammengehören — s. Fig.1, Fig. 3 (welche die Oberfläche des Tisches darstellt) und eine Seitenansicht des oberen, erweiterten Theiles der Gefässe auf Fig. 8. In je ein Paar solcher Ge- fisse taucht eine dünne, mit Quecksilber gefüllte, un- bewegliche Glasróhre b BCe (Fig. 1), die bei b und c ins Quecksilber taucht und bei BC festgehalten wird; der obere Theil BC ist auch in Fig. 5 und in Fig. 3 (wo er der einzige, nicht in der Ebene des Tisches liegende Theil ist) abgebildet; von der Seite sieht man die Röhre b B auch auf Fig. 7. Jeder der beiden Theile dieser dünnen Róhre ist von einer dickeren beweglichen Röhre d’D’ lose umschlossen — s. Fig. 1, wo der Buchstabe d' bei den ersten zwei Róhren links fehlt, und Fig. 7. — Je ein Paar solcher Róhren kann nun hinauf- und herunterbewegt werden, wobei letz- tere, über die dünneren Röhren AN und cc’ gleitend, mehr oder weniger tief in die Quecksilbergefässe tau- chen. Der zu den Gefássen aa’ seitwürts (Fig. 8 und Fig. 3) eingeführte Strom durchláuft nun den Weg gd BCd'a (s. die rechte Hälfte von Fig. 1), von wel- chem der innerhalb der dünneren Róhre liegende Theil unveránderlich ist, wihrend der in der weiteren Róhre liegende Theil durch Heben und Senken der- selben beliebig verändert werden kann. Der verán- derliche Widerstand des Rheostaten ist also der Wi- derstand einer Quecksilbersäule, die sich innerhalb der dickeren Röhre d D' in der Tiefe des Quecksilbers aa! befindet und aus diesem bei der Bewegung der Róhre Tome XXII. des Sciences de Saint - Pétersbourg. 418 gleichsam herausgeschnitten wird. Der Widerstands- werth des veránderlichen Stückes oder die Grüsse seiner Ánderung kann mit grosser Genauigkeit ge- messen werden. Direkt liess sich 0,00001 Siemen- scher Einheit messen; wie ich zeigen werde, liess sich die Genauigkeit der Messung noch weiter treiben. Ich gehe nun zur Detailbeschreibung über. Zur Befesti- gung der verschiedenen Theile des Apparates ist in die Tischfläche cc... (Fig. 1 und 3) eine Schiefer- platte von 0,5" Lünge, 0,237" Breite und 25"" Dicke eingelassen — dddd — Fig. 1 und 3, welche an etwa 15 Stellen durchbohrt ist. An dem vorderen Rande (unteren nach Fig. 3) sind 4 grosse Ausschnitte ge- macht von der Form aefg — Fig 3. Durch diese Aus- schnitte geht der oberste, erweiterte Theil der bereits erwähnten Quecksilbergefässe aa. Von der Seite sind die Ausschnitte durch eine Kupferplatte hh geschlos- sen, die durch 6 Schrauben ««.... (Fig. 1 und Fig. 3) an die Schieferplatte befestigt ist. Zwischen die Glas- gefásse a und das Kupfer hh sind die Holzfutter fe eingelegt (Fig. 3). Die Glasgefässe aa’ haben 0,5" Länge und etwa 40"" Diameter; sie werden von der starken Kupferplatte HN (Fig. 1) getragen. Diese wird wiederum von drei starken Metallstüben gehal- ten: vorn zwei starke Eisenstäbe ib’ von 16"" Dia- meter und 0,56" Länge, welche mit Messingröh- ren überzogen sind (die Enden i sieht man auch auf Fig. 3) und mehr nach hinten ein Messingstab ck von 8”” Dicke, der durch die Schieferplatte hindurch- geht und bei k durch einen Schraubenkopf festgehal- ten wird, welcher letztere auch in Fig. 3 zu sehen ist. Auf der Kupferplatte H N stehen zuerst zwei pa- rallelepipedische Stücke aus einer schwarzen Masse (Guttapercha-Stearin- Wachs, zu galvanoplastischen Abdrücken gebräuchlich), von 55"" Höhe, welche in ihrer oberen Flüche je zwei halbkugelfórmige Vertie- fungen haben, in welchen erst die Quecksilbergefüsse aa’ stehen. Jedes dieser letzteren ist mit einem Deckel versehen, der aus zwei Theilen besteht und zwei Aus- schnitte hat: einen mittleren und einen seitlichen y (Fig. 3); durch den mittleren gehen die beiden Róh- ren b B (oder c C) und d D hindurch. Zur Befestigung dieser Róhren dient der gusseiserne Rahmen mn DE ED nn und die Messingsáulen oE (Fig. 1, 3, 4, 5, 7). Der gusseiserne Rahmen besteht zunächst aus zwei vertikalen Stativen, von denen eins in Fig. 4 besonders 27 419 Bulletin de l'Académie Impériale 420 DO A ee dargestellt ist. Der untere Theil mm (Fig. 3) dersel- ben ist an die Schieferplatte befestigt; an diesen un- teren Theil ist auch der Eisenstab ib' (Fig. 1) durch die Schraube (Fig. 1, 9, 4) festgeschraubt. Die obe- ren Enden der beiden Stative sind durch eine grat- fórmige Stange verbunden, die bei D festgeschraubt ist und bei Æ sich rundlich erweitert — s. die Seiten- ansicht in Fig. 1, den Querschnitt in Fig. 4 und die Oberansicht in Fig. 5. Die Messingsáulen, 0,5" lang und 22"" dick, gehen mit den oberen Zapfen E durch die erweiterten Stellen jener Querstange und sind vermittelst der Messingplatten op (Fig. 3 und Fig. 1) mit je drei Schrauben an die Schieferplatte befestigt. Die unbewegliche Röhre bBCe wird nur von der obe- ren Querstange getragen und zwar so, dass an diese zwei horizontale Messingplatten FB und GC (Fig. 5 und 7) geschraubt sind, welche an ihren Enden zwei kurze röhrenförmige Ansätze B tragen (Fig. 1 und 7); durch diese geht die dünne Röhre hindurch und wird auf diese Weise festgehalten. Sie hat zwei Mal 560^" vertikale Länge bei 5”” äusserem Diameter, der obere horizontale Theil BC (Fig. 1, 3 und 5) hat 100"" Länge bei 7"" äusserem Diameter (auf der Fig. 1 ist diese Röhre viel zu dünn angegeben!). Jede der beiden Messingsäulen ist von einer beweglichen Messingröhre AR — s. Fig. 1, 2 und Fig. 7 um- geben. Auf der vorderen Seite (Fig. 1, rechts in Fig. 7) trägt die Säule eine Zahnstange, in welche die mit Zahnrad versehene Schraube H eingreift. Es ist klar, dass durch Drehen dieser Schraube die Messingröhre A D an der Säule oE hinauf- und hinunterbewegt werden kann. Auf der anderen Seite (hinten auf Fig. 1, links auf Fig. 7) ist in die Säule eine Millimeterscala eingelassen (Fig. 2), welche man durch einen länglichen Ausschnitt in der Messing- röhre A'B'C'E' (Fig. 2 und 7) sehen kann; an die- sen Ausschnitt ist auch der. Nonius K’ (Fig. 2) an- gebracht. An ihrem unteren Ende trägt die Mes- singröhre A B' eine kreisrunde Messingplatte F (Fig. 1, 2, 6 und 7), an welche mit zwei Schrauben (Fig. 6) eine gebogene Messingplatte G H P befestigt ist; Fig. 6 zeigt diese Platte von oben, Fig. 7 von der Seite. An den Enden Z befindet sich zum Festhalten der beweglichen Röhren D'd' (Fig. 1, rechte Seite) eine Vorrichtung D', die aus Fig. 1, 6 und 7 wohl ohne jede weitere Erklärung klar sein wird. Ausser- dem trägt die Kreisplatte F” F’ noch eine Lupe Z (Fig. 7) dem Ausschnitt C' E (Fig. 2 u. 7) gegenüber zum genaueren Ablesen von Scala und Nonius. Auf Fig. 9 sind alle an die Kreisplatte F’ EI befestigten Theile weggelassen. Hiermit ist die Beschreibung des eigentlichen Rheo- staten beendigt, und dürfte die Art seines Gebrauches wohl ohne Weiteres klar sein: durch Hin- und Her- drehen der Schraube 8’ hebt oder senkt sich die Mes- singröhre A’ B' und mit ihr die umschliessenden Róh- ren D'd', wodurch eine Quecksilbersäule aus- oder eingeschlossen wird, deren Lánge auf das Genaueste durch Ablesungen an dem Nonius Æ (Fig. 2) mit Zuhülfenahme der Lupe Z/ (Fig. 7) bestimmt werden kann. Die Scale geht von 0”” bis 400^", doch ist es fast unmöglich, über den 350sten Scalentheil hinaus zu beobachten; die O befindet sich oben, die 400 ganz unten. n Ich gehe nun über zur Beschreibung der von Hrn. v. Jacobi getroffenen Einrichtung zur Benutzung und Einschaltung des Apparates. Zur praktischen Ver- wendung des Rheostaten und auch zur Untersuchung desselben construirte Herr v. Jacobi eine Leiter- combination, deren Gesammtheit der bekannten Wheat- stone’schen Brücke entspricht. Zu diesem Zwecke sind in der Schieferplatte noch vier runde Öffnungen ausgeschnitten, in welchen vier, halb mit Quecksilber gefüllte Glasgefässe r (Fig. 3 u. 8) von 45”” Höhe und 45"" Durchmesser stehen. Diese Gefässe sind durch gebogene und mit Quecksilber gefüllte Glas- rühren sg mit den Gefässen aa’ (Fig. 1 u. 3) ver- bunden. Auf Fig. 8 ist diese Combination von der Seite dargestellt; der in der Mitte der Röhren sg aufgesetzte Theil y (Fig. 8) dient dazu eine, beim , Füllen etwa in der Röhre gebliebene Luftblase in sich aufzunehmen. Die Gefásse r sind mit Deckeln versehen, deren jeder an zwei Stellen durchbohrt ist; durch die eine Durchbohrung gehen die Röhren 98, durch die andere vernickelte Kupferbügel: der Bügel xy, der die beiden mittleren Gefässe 7 mit dem Strom- schliesser y verbindet und die beiden Bügel wv, die die seitlichen Gefásse r mit den Glasgefüssen vw ver- binden. Der Stromschliesser y besteht aus einem klei- nen cylindrischen Holzgefáss von etwa 15"" Höhe, auf dessen Boden eine Kupferscheibe gelegt ist; auf dieser liegt eine an 2— 3 Stellen durchbohrte Holz- e 421 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 422 scheibe, die nicht ganz bis an den Rand des Holz- cylinders reicht und durch eine feste, diesen Rand durchbohrende Quernadel gehalten wird. Die Óffnun- gen in der Holzscheibe werden mit Quecksilber voll- gegossen, welches mit der darunter befindlichen Kup- ferscheibe einen ausgezeichnet sicheren Contact liefert. Die mit Quecksilber gefüllten, aus zwei, durch eine Róhre verbundenen weiteren Cylindern bestehenden Glasgefüsse vw ruhen in besonderen Betten aus der oben erwähnten Guttapercha- Stearin-Wachs-Masse. An den Ecken des Tisches sind zwei Holzstücke 2 festgeschraubt, in welche zwei cylindrische Vertie- fungen 8 und y gebohrt sind, die unter einander und mit w durch vernickelte Kupferbügel verbunden sind. In 8 tauchen die starken Kupferdrähte fba, die bei a an einen Jacobischen Agometer festgeschraubt sind, dessen Draht mit den beiden Seiten der metallischen Axe in Verbindung steht. Dieser Theil der Combina- tion war ursprünglich anders eingerichtet. Herr von Jacobi hatte die Absicht gehabt, alle Verbindungs- theile aus Hg herzustellen; zu diesem Zwecke befand sich auf der Strecke ff statt des Agometers und der beiden Kupferdrähte eine aus der obigen Masse ver- fertigte, mit Hg gefüllte Rinne, in welche ein Stift tauchte, der sich längs der mit Scala versehenen Rinne verschieben liess und durch welche der Haupt- strom eintrat. Einige, noch bei Lebzeiten des Erfin- ders von Herrn Akademiker Wild unternommenen Versuche hatten jedoch gezeigt, dass es dieser Com- bination an der nothwendigen Stabilität fehlte, was eine Folge von Niveauveränderungen und Strömungen in der Quecksilberrinne sein mochte., Herr Akade- miker Wild ersetzte daher die Rinne durch den Ago meter. Der bei + eintretende Strom verzweigt sich im Punkte ò, die beiden Zweige 88 hatten einen unver- änderlichen Widerstand. Der ungenügende Contact im Punkte 3 kann wohl auf die Stärke des Haupt- stromes, nicht aber auf das Vertheilungsverhältniss der Ströme in der Brückencombination von Einfluss ‚sein. Bei x kommen die beiden Zweige wieder zusam- men, so dass der Strom bei zyo wieder austritt. Bei 8 tauchen ausserdem auch noch die Drähte der Brücke ein, in welche das Galvanometer eingeschlossen ist. Es entsprechen somit die mit 7, à, B, 7, 9 bezeich- neten Punkte den gleichnamigen Punkten des Sche- mas Fig. 9. Die wichtigsten Theile des Apparates, vor Allem die beiden Scalen, sind von Hrn. Brauer, verfertigt. Als Galvanometer diente ein grossartig ausgeführter, neuer, zu absoluten Messungen einge- richteter Apparat mit Spiegel und Scala, auf dessen nähere Beschreibung ich hier nicht einzugehen habe. Als Batterie, deren Drähte bei y und + endigten, ge- brauchte ich zwei Daniell'sche Elemente von 125"" Dieke und 170"" Hóhe der Flüssigkeit; das Kupfer befand sich innerhalb der Thongefässe. Überblickt man noch einmal die ganze Construction, so sieht man, dass der Apparat eigentlich aus zwei von ein- ander unabhüngigen Rheostaten besteht, die in zwei entsprechende Zweige der Brückencombination ein- geschalten sind. Wir werden weiterhin die beiden Rheostaten mit I und II bezeichnen (s. Fig. 1 und 3). Der Kürze wegen wollen wir unter «Einstellung» eines Rheostaten eine solehe Einstellung desselben verstehen, bei weleher der Strom in der Brücke Null ist. Die Widerstände der beiden constanten Brücken- zweige 98 wollen wir stets mit P und Q bezeichnen. Es war bei fast allen Versuchen sehr nahe P gleich Q. $ 3. Die Untersuchung des Rheostaten begann ich mit Feststellung, ob und in wie weit derselbe den im $ 1 angeführten Bedingungen genüge. Was die erreich- bare Genauigkeit der Einstellung betrifft, so erhielt ich — allerdings mit Hülfe des oben erwähnten vor- trefflichen Galvanometers — das Resultat, dass, wenn bei einer gewissen Lage des Rheostaten noch ein deut- licher Ausschlag des Galvanometers bemerklich war, eine Veränderung der Einstellung um einen Theilstrich des Nonius (0,1””) genügte, um bereits wieder einen deutlichen Ausschlag (2— 3 Scalentheile im Fernrohr) nach der umgekehrten Seite zu erhalten. Die Veránde- rung des Widerstandes betrug dabei nur etwa 0,00001 Siemenscher Einheit (zwei Quecksilbersäulen von 0,1%” Länge und 5"" Dicke!). Damit ist die grosse Genauig- keit der Einstellung bewiesen. Wohl zu unterscheiden von der Genauigkeit ist die Sicherheit der Ein- stellung, welche verlangt, dass bei mehrfacher Mes- sung immer wieder derselbe Scalenwerth gefunden werde. Zur Erreichung einer völlig sicheren Einstellung hat man zwei Umstände in Betracht zu ziehen. Erstens erleidet die feste Röhre bBCe (Fig. 1) beim Heben und Senken der dieselbe umschliessenden beweglichen 27* 423 Bulletin de l'Académie Impériale 424 Róhren D'd' kleine Verschiebungen,. wodurch der Widerstandswerth des Rheostaten oft um mehrere Zehntel und sogar einen halben Scalentheil verándert wird. Erst als ich die obere Róhre BC mit einem starken Bindfaden an die Metallplatten GC und FB (Fig. 1, 5 u. 7) anband, wurde dieser Übelstand völ- lig vermieden. Zweitens werden bei der Bewegung der vielleicht nieht ganz vertikalen Róhren D'd' leicht die Deckel ag (Fig. 3) und dadurch die Röhren sg (Fig. 3 und 8) ein wenig verschoben, wodurch wieder eine Veründe- rung des Widerstandes um mehrere Zehntel der Sca- leneinheit hervorgerufen werden kann, wie ich mich direkt durch eine leichte Bewegung der Róhren sg überzeugt habe. Es ist daher nothwendig wáhrend des Versuches die Deckel ag abzunehmen. Dass die Ein- stellungen alle von derselben Seite her (von oben) zu geschehen haben, versteht sich von selbst. Bei Beach- tung aller dieser Vorsichtsmassregeln wird die Ein- stellung eine so vóllig sichere, dass ich nach viel- fachem Hinauf- und Herunterschrauben der beweg- lichen Theile immer wieder genau bei denselben beiden am Nonius abgelesenen Zehnteln Scalenwerth zwei schwache Ausschläge nach entgegengesetzten Rich- tungen erhielt. Überlegt man sich aber auch die Sache genau, so findet man, dass alle die Gründe, welche ‚bei andern Rheostaten die Unsicherheit der Einstel- lung hervorrufen, bei diesem neuen in Wegfall kom- men. Temperaturveränderungen haben auch nur ge- ringe Wirkung auf die Einstellung, da die Verän- derung auf die beiden Rheostaten I u. II meistentheils die gleiche sein muss, wodurch sich diese Wirkung aufhebt. Die zweite Bedingung, welcher ein guter Rheostat zu genügen hat, besteht in der Möglichkeit, möglichst kleine Widerstandsgrössen noch zu messen. Diese Bedingung ist, wie im letzten $ an einem Bei- spiel auch praktisch gezeigt werden wird, in hohem Grade erfüllt. Ein Zehntel Scalentheil, das mit Hülfe von Nonius und Lupe bequem abgelesen werden kann, entspricht etwa 0,00001 Siemenscher Einheit, Bei der Vorzüglichkeit des von mir angewendeten Galva- nometers überzeugte ich mich, dass sich die Genauig- keit noch weiter treiben lasse. Wie bereits erwähnt, geben zwei um ein Zehntel Scalentheil unterschiedene Einstellungen fast in allen Fällen Ausschläge nach entgegengesetzten Richtungen. Vergleicht man die Stärke dieser Ausschläge bei möglichst gleichartigem momentanem Stromschluss, so gelangt man bei einiger Übung leicht dahin, den Punkt der absolut richtigen Einstellung noch genauer zu fixiren und die Genauig- keit bis etwa 0,000003 S. E. (drei Milliontelstel) zu treiben. Selbstverständlich hat man dabei wohl zu überlegen, ob nicht anderweitige störende Einflüsse mit einwirken, durch welche Fehler erzeugt werden, viel grösser als jene kleinen Werthe, welche in diesem Falle überhaupt in Betracht zu ziehen keinen Sinn hätte. Die weiter unten vorkommenden zweiten Deci- malstellen der Scalenablesungen sind auf die eben er- wähnte Weise bestimmt worden. Die dritte Bedingung war möglichst geringe Ab- hängigkeit der veränderlichen und der constanten Widerstandswerthe von Zeit und Temperatur. Keine dem Biegen, oder verschieden starken Spannen der Drähte entsprechenden Störungen können hier vor- kommen; durch Füllen mit reinem Quecksilber und Reinhalten desselben wird der Apparat gewiss von der Zeit in hohem Grade unabhängig. Die Abhän- gigkeit von der Temperatur werden wir später be- sprechen. g 4. Vor Anfang aller Versuche hatte ich den Apparat in allen Theilen auseinandergenommen und alle Glas- rühren und Glasgefüsse mit Salpetersáure gewaschen, durch anhaltenden Wasserstrom gereinigt und dann durch einen heissen Luftstrom getrocknet. Das Queck- silber wurde im physikalischen Centralobservatorium mit dem bekannten Weinhold'schen Apparate destillirt, worauf erst die Füllung vorgenommen wurde. Nach den im vorigen $ erwähnten vorgängigen Versuchen ging ich nun zur Calibrirung des Rheostaten übér. Diese sollte nach dem Plane des Erfinders auf die Weise vor sich gehen, dass jeder der Rheostaten in gleiche Wider- standswerthe zertheilt werden sollte, deren jeder gleich dem Widerstandswerthe der Quecksilbersáulen vw sein sollte. Wir wollen diese Letzteren mit A, und A, bezeichnen (s. Fig. 3). Durch Hinüberlegen der Kupferbügel von yw nach yv konnten die Säulen A oder A, beliebig ein- oder ausgeschalten werden. Die Calibrirung hatte nun nach folgendem Schema zu ge- schehen: 425 1) à, und à, eingeschalten; I wird eingestellt, während II auf dem Anfangspunkt der Calibrirung steht. 2) ^, wird ausgeschalten und II eingestellt — dies giebt das erste der gesuchten gleichen Stücke, in welche der ganze im Rheostaten II enthaltene Widerstand getheilt werden soll, und deren jedes gleich À ist. .3) X und A, ausgeschalten und I eingestellt — giebt den ersten der gleichen Stücke, in welche I ge- theilt werden soll und deren jedes gleich A, ist. 4) A, und à, ausgeschalten und derjenige Rheostat (I oder IT) eingestellt, welcher dabei zurückge- schraubt werden musste. Da P ziemlich gleich Q und ^, gleich X, war, so ging diese Zurückschraubung nicht über 1—2 Scalentheile. Nun wurden durch Ausschalten von ^,, Einstellen von IL, Ausschalten von »,, Einstellen von I wieder zwei den vorherigen gleiche Widerstandsstüke auf II und I aufgefunden, worauf wieder ^, und A, ausge- schalten und wie oben der eine der beiden Rheostaten eingestellt wurden u. s. f. Durch fortgesetzte Wieder- holung vou 2, 3 und 4 konnten die beiden Rheosta- ten vollständig in Reihen gleicher Widerstandsstücke getheilt werden, wobei man aber nicht ausser Acht las- sen durfte, dass auf dem einen Rheostaten jeder fol- gende Theil etwas vor dem Ende des vorhergehenden anfing. Für A, und à, fanden sich Röhren von den X allerverschiedensten Dicken vor; ich benutzte ein Paar, von denen jedes einen Widerstand hatte, etwa gleich 30 Scalentheilen der Rheostaten oder etwa 0,003 Siem. Einheit. An dem Apparat hüngte ich vier Thermometer auf, die 0,1 anzeigten; zwei hingen zwischen den Róhren bB und Ce (Fig. 1), während die Kugeln der beiden andern in das Quecksilber bei v (Fig. 3) tauchten. Ich theile nun die Resultate einer von mir nach M. v. Jacobi's Plane ausgeführten Calibrirung mit. Das Herüber- und Hinüberlegen der Bügel yw zwisehen den Stellungen yw und yv geschah mit der gróssten Sorgfalt und möglichstem Bestreben, den Bügel im- mer wieder genau in die frühere Stellung zurückzule- sen, um immer wieder die gleichen Widerstände à, und A, aus- und einzuschalten. Ich erhielt folgende Re- sultate: + April 1876. des Sciences de Saint- Pétersbourg. 426 Tabelle A, I II 27,7—0,0 =| 27,7 30,8—0,6 =| 30,2 54,9—27,8 | 27,1 58,8—29,1 | 29,7 82,2—55,0 | 27,2 87,1—57,2 | 29,9 109,6—82,3 | 27,3 | 115,4—85,3 | 30,1 137,0—109,6 | 27,4 | 143,4—113,4 | 30,0 164,3—137,0 | 27,3 | 171,2—141,6 | 29,6 191,6 —164,4 | 27,2 | 199,7—169,8 | 29,9 219,0—191,7 | 27,8 | 228,4—198,3 | 30,1 264,1—219,0 | 27,1 | 256,7—226,6 | 30,1 273,1—246,1 | 27,0 | 285,2—255,0 | 30,2 300,0—273,1 | 26,9 | 313,6—283,4 | 30,2 327,1—300,1 | 27,0 | 342,2—312,0 | 30,2 In der ersten Colonne stehen diejenigen Scalenab- schnitte, welche auf dem Rheostat I gleich ^, sind, in der zweiten Colonne die Lüngen dieser Abschnitte (in Scalentheilen); dieselbe Bedeutung haben die nüchsten zwei Colonnen für den Rheostaten II. Bei der Discu- tirung der Resultate sind die ersten Zahlen (27,7 und 30,2) entschieden ausser Acht zu lassen, da ich nicht sicher bin, ob damals die beweglichen Róhren an den unteren Enden, wie durchaus nothwendig, über die un- beweglichen hinüberragten, als sie bis ganz nach oben gebracht waren, d. h. der Nonius nahe beim Anfangs- punkt der Scala sich befand. Betrachtet man die übri- gen Zahlen, so sieht man, dass sie verhältnissmässig äusserst wenig von einander abweichen, da die grössten Abweichungen kaum 2%, betragen — dass daher die beweglichen Röhren in hohem Grade cylindrisch sein müssen und als solche vermuthlich auch vom Erfinder ausgesucht worden sind. Die Differenzen der in Co- lonne 2 und 4 enthaltenen Zahlen (die man annähernd als die relativen Leitungsfähigkeiten gleicher Scalen- abschnitte ansehen kann) betragen nur wenige Zehntel Scalentheil, also nur wenige Hunderttausendstel Siem. Einheit. Temperatur 20?C. Es entstand die wichtige Frage, ob den gefundenen Zahlen auch nur die ge- ringste Bedeutung zuzumessen sei, ob die gefundenen kleinen Differenzen den wirklich vorhandenen ent- sprechen, oder in Wirklichkeit vielleicht kleinere oder auch ebenso grosse, aber ganz andere Werthe haben, die durch störende Einflüsse oder Mängel der Methode 427 Bulletin de l'Académie Impériale 428 vollständig verändert werden, — in diesem Falle wa- ren die gefundenen Zahlen natürlich völlig bedeu- tungslos. Es war leicht, diese Frage zu beantworten. Directer störender Einfluss konnte die, im Laufe des Versuches eintretende Temperaturänderung sein — sie betrug 1,5—2% und ihr Einfluss konnte daher, wie leicht zu berechnen, keine ganze Einheit in der ersten Decimalstelle der oben gefundenen Zahlen aus- machen. Er verschwindet im Vergleich mit dem Ein- fluss, den die Mángel der Methode auf die erhaltenen Grüssen ausüben. Ein solcher Mangel bestand nun in der offenbaren Unmöglichkeit, die Bügel yw mathema- tisch genau immer wieder in dieselbe Lage hin- und zurückzulegen, in Folge dessen die Widerstände à, und à, nicht genau constant blieben, sondern von Mes- sung zu Messung ein wenig variirten und es frug sich in wie weit diese Unsicherheit stórend mit ein- wirkte, ob jene Variationen nicht vielleicht Gróssen seien von derselben Ordnung, wie die Differenzen der Gróssen Colonne 2 und 4? Die grosse Unregelmässigkeit in dem Verlauf jener Grössen warnte auch, denselben einen wirklichen Werth beizulegen! Um die Frage zu beantworten, machte ich die fol- genden Versuche: 1) à, und A, wurden eingeschalten, I auf 1,0 gestellt und dann II eingestellt — es wurde der Scalen- werth 0,7 dabei gefunden. Hierauf wurde mit der Hand das bei w tauchende Ende des Bügels un- merklich und jedenfalls so wenig bewegt, dass die Lagenveründerung des Stabes eine so geringe war, wie sie beim Herausnehmen und Umlegen des Stabes unmöglich zu vermeiden gewesen war." Sofort er- schien beim Schliessen in der Brücke ein Strom und der Rheostat II musste bis auf 0,9 geschraubt werden — die Ànderung hatte also volle 0,2 Sca- lentheile — 0,0002 Siem. Einh. — betragen! 2) Bei einem zweiten Versuche wurden beide Bügel Bw ein wenig bewegt und sofort änderte sich die Einstellung des einen Rheostaten von 0,8 auf über 1,1, also um fast 0,4 Sealentheile! 3) Beim Herausnehmen und Wiederzurücklegen eines Bügels zeigten sich Differenzen von verschiedenen Vorzeichen und Grössen bis 0,3 Scalentheil. * Es war somit unzweifelhaft bewiesen, dass durch die Mängel der Methode Fehler einschlichen von dersel- ben Ordnung, wie die Differenzen der zu beobachten- den Gróssen — blieb man bei der Methode und er- achtete man jene Grössen als vernachlässigungsfähig, so musste man die Grössen Colonne 1 und 3 als un- ter einander gleich, alle Theile des Rheostatenwider- standes als unter einander gleichwerthig d. h. die be- weglichen Glasröhren als völlig cylindrisch annehmen. Der neue Rheostat ist somit für die vom Erfinder projeetirte Calibrirungsmethode zu fein und es er- schien nothwendig, sich nach einer andern Methode umzusehen, bei welcher keine so grossen Fehler mit unterliefen. Die wahren Differenzen (in Scalenthei- len) der zu findenden gleichwerthigen Widerstands- abschnitte waren unzweifelhaft sehr klein, — dafür aber erlaubte auch der Rheostat sehr kleine Grössen zu messen; es kam also nur darauf an, sich von an- derweitig störenden Mängeln zu befreien, und das er- reichte ich auf folgende Weise. Da es vor Allem erforderlich war, zum successiven Vergleichen einen constanten Widerstandswerth (statt x, und %,) zu haben, der sich mit völliger Sicherheit unverändert ein- und ausschalten liesse, so calibrirte ich jeden der beiden Rheostaten besonders und benutzte bei der Calibrirung des einen einen beliebigen Ab- schnitt aus dem veränderlichen Gesammtwiderstande des andern als constante Vergleichsgrösse, die sich ja in der That auf das Genaueste ein- und ausschalten liess. Ich ging dabei aus von der folgenden Betrach- tung: es sei P: Q = k das Verhältniss der beiden Zweige Bab3 (Fig. 3), A der Widerstand des Zweiges, in welchen der Rheostat I und ebenso B, in welchen der Rheostat IT eingeschalten waren. Bei jeder Ein- stellung musste dann offenbar auch > E SES sein. Werden nun beide Rheostaten verändert, aber so, dass der Strom in der Brücke wieder Null ist, und ging dabei A in 4+a und Bin B-+b über, so ist wiederum 429 des Sciences de Saint- Pétersbourg. woraus direct a=kb folgt. Geht man also von einer beliebigen Einstellung zu einer andern úber, indem der eine Rheostat um ein constantes Stück b verándert wird, so ist die zur erneu- ten Einstellung nothwendige Veränderung a des an- dern stets dieselbe und unabhängig von der Ausgangs- stellung (A und B) der beiden Rheostaten. Auf Grund dieses Satzes führte ich die Calibrirung auf die folgende Weise aus. ` Die Quecksilbersáulen A, und à, entfernte ich völlig und verband bei I (Fig. 3 rechts) die Bügel uv und wy direct durch ein bei v befindliches Gefáss mit Hg. Den Bügel yw bei II entfernte ich ebenfalls und ver- band y und ein bei v befindliches Gefáss mit Hg durch einen dicken Kupferdraht, dessen Lánge auf sehr be- queme Weise beliebig variirt werden konnte. Um zuerst I zu calibriren, nahm ich als constante Grösse b auf II den Widerstandsabschnitt zwischen den Scala- strichen 5,0 und 35,0 und machte die Messungen nach folgendem Schema: a) II wurde auf 5,0 gebracht und I eingestellt, wobei dem Hülfskupferdraht, den ich mit p bezeichnen will, eine solche Lánge gegeben wurde, dass die Einstellung nahe bei 5,0 geschah. b) II wurde auf 35,0 gebracht und I eingestellt — dies gab den ersten der gleichwerthigen Wider- standsabschnitte, in welche I getheilt werden sollte. a) II auf 5,0 und der Draht p um soviel verlángert, dass bei der darauf folgenden Einstellung I ein we- nig zurückgeschraubt werden musste. b) II auf 35,0 und I eingestellt — giebt den zweiten der gesuchten gleichwerthigen Abschnitte u. s. w. Durch fortgesetztes Ausführen von a und b wird der ganze Rheostat I in solche, unter einander gleiche Abschnitte zertheilt, die alle in dem Verháltniss 4 stehen zu dem Abschnitt des andern Rheostaten zwi- schen den Scalatheilen 5,0 und 35,0..— Auf analoge Weise wurde dann auch II calibrirt und werden fol- gende Resultate gefunden. 430 Tabelle B. I II - 34,31 —5,18= | 29,13 36,02—5,28— | 30,74 61,43—32,37 |29,09 | 66,33—35,53 |30,80 89,22—60,12 |29,10 | 97,90— 66,90 |31,00 117,76—88,64 |29,12 |129,80— 98,80 |31,00 145,44—116,23|29,21 |160,38—129,52| 30,86 174,39 —145,27 29,12 |190,65—159,80 | 30,85 202,41— 173,26 29,15 |219,35—188,48 | 30,87 230,62— 201,57 29,05 |250,30—219,28 | 31,02 258,69—229,73 28,96 |281,74—250,62 | 31,12 286,88—258,00|28,88 |311,18— 279,93 | 31,25 315,18—286,37 28,71 |341,10-—309,63 | 31,47 342,60—313,56 | 29,04(?) Die so gefundenen Zahlen zeichnen sich bei I durch ihren regelmássigen Verlauf, bei II durch ihre gerin- gere Veründerlichkeit aus. — Zieht man die Wurzel aus dem Product der Mittelwerthe (29,04 und 31,0), so erhált man 30,02! Bei den Beobachtungen sind auf die, im vorigen $ erwühnte Weise, die zweiten De- cimalstellen der Scalentheile mit in Betracht gezogen. Aus den obigen Zahlen berechnet sich nun die fol- gende zum Gebrauch bequeme Tabelle. Es sei S, der Mittelwerth der ersten 28 Scalentheile von I und S, der Mittelwerth der ersten 30,5 Scalentheile von II. Wir denken uns nun I in lauter Abschnitte zu 28 und II in Abschnitte zu 30,5 Scalentheilen zertheilt und be- rechnen nun, wie vielen S, resp. S, jeder dieser Abschnitte gleich ist. Wir legen also die Grössen S, und 5, den Vergleichungen gleichsam als Widerstands- einheiten zu Grunde. Wir werden spáter sehen, dass S, sehr nahe gleich S, ist. | Eine einfache Betrachtung zeigt, dass, um von den Zahlen (Colonnen 2 und 4) der vorigen Tabelle zu den |der nachfolgenden zu gelangen, man so zu verfahren habe: es seien 29,13 + « die Zahlen bei I und 30,74 + B die Zahlen bei II in der vorigen Tabelle. Dann sind 28 —0+ e und 30,5 — 8 + E die entsprechenden Zahlen der folgenden Tabelle: = März 1876. — Temperatur 21,0°. Bulletin de l'Académie Imperiale 432 431 Tabelle C. I II = ; Werth | ; Werth o | Za 30,5 Thee. Demehen 5—33 28,00 5—35,5 30,50 33—61 28,04 | 35,5—66,0 30,44 61—89 28,03 | 66,0—96,5 30,26 89—117 28,01 | 96,5—127,0 | 30,26 117—145 97,92 |127,0—157,5 | 30,38 145—173 28,01 |157,5—188,0 | 30,39 173—201 27,98 |188,0—218,5 | 30,37 201—229 28,08 |218,5—249,0 | 30,22 229— 257 28,16 |249,0—279,5 | 30,12 257—285 98,24 |279,5—310,0 | 29,99 285— 313 28,40 |310,0—340,5 | 29,77 313—341 28,09 |5—340,5(335,5)332,70 5—341 (=336)/336,96 Vermittelst dieser Tabelle ist es nun sehr bequem, einen beliebigen Abschnitt eines der Rheostaten in $, oder S, auszudrücken. 85. Nach ausgeführter Calibrirung kam es nuu darauf an, die Werthe S, und S, zu vergleichen und den einen derselben genau in Siemenschen Einheiten auszu- drücken. j Um $, und S, zu vergleichen, verfuhr ich folgender- massen: ich nahm einen starken Kupferdraht und mass seinen Widerstand durch directe Substitution zuerst am Rheostaten I und dann am Rheostaten II. Auf I erhielt ich das Stück von 20,10 bis 90,74, dessen Widerstand nach Tabelle C gleich 70,71 8, ist; auf II erhielt ich das Stück von 19,08 bis 89,70, dessen Widerstand gleich 70,36 S, ist. Es sind also 70,71 8, — 70,36 S, oder Sr e 0,995057.. 6. Nun kam es darauf an S, in Siemenschen Einheiten auszudrücken; eine ungefähre Schätzung ergab, dass S, etwa gleich 0,0001 Siem. Einh. sein musste. Da demnach der Gesammtwiderstand eines Rheostaten nur etwa '4, Siem. Einh. war, konnte ich durch di- | recte Substitution den Vergleich nicht ausführen — kleinere fertige Widerstánde als 0,1 Siem. Einh. stan- den mir nicht zu Gebote. Ich verschaffte mir daher | erst drei starke Kupferdráhte und verfuhr folgender- massen. Es seien A, D und C die Unterschiede der Widerstánde je eines dieser Dráhte und eines starken Kupferbügels, der statt desselben je eingeschalten werden konnte. Durch directe Substitution auf II und Reduction nach Tabelle C fand ich nun A — 299,88 S, B = 292,685, C.= 284,88 8$, A= B= (= 877,44 S,. Ich hatte nun eine Siemensche Einheit in der be- kannten Construction im Holzgefäss zur Verfügung, welche ich mit Siem. Orig. bezeichnen will und auf welche ich bei einer Temperatur von 18,2° alles redu- cirt denke. Ausserdem hatte ich eine aus Neusilber- draht verfertigte, dem physikalischen Centralobserva- torium angehörende Siemensche Etalonreihe zur Ver- fügung, deren Theile ich mit einander vorerst ver- glich. Diese Theile waren 1 — 0,5 — 0,2 — 0,2 — 0,1 Siemensche Einheiten. Nach Reduction (Tabelle C) fand ich | 1 = 0,5 + 0,2 + 0,2 + 0,1 + 32,3 8, 0,5 = 0,2 + 0,2 + 0,1 + 9,1 8, 0,2 — 0,2 — 6,9 S, : 0,2 = 0,1 + A+ B+ C= 277,1 S, 0,1 = A = B — C 4- 231,2 8, Siem. Orig. = 1 + 89,8 S, Da A+ B-+ C = 877,44 S, gefunden war, so er- hált man durch successive Substitution zuletzt Siem. Orig. = 11297,0 8, oder S, — 0,0000885... Siem. Orig.-Einh. Ferner erhält man den gesammten veränderlichen Widerstand T, von II zwischen den Scalentheilen 5,0 und 340,0 (= 332,2 8): T, = 0,0294... Siem. Orig.-Einh. In dem physikalischen Cabinet der Akademie be- fanden sich einige Jacobi'sche Widerstandseinheiten, unter denen eine, von Herrn v. Jacobi selbst angefer- des Sciences de Saint- Pétersbourg. 434 tigte, die ich mit Jac. Orig. bezeichnen will. — Ich benutzte den Rheostaten, um diese Einheit mit der Siemenschen zu vergleichen. Jene Drähte À, B und C und die oben untersuchten Siemenschen Etalons benutzend, fand ich nach gehóriger Reduction Jac. Orig. = 0,5 + 0,1 + A + C + 56,1 S,. Dies giebt, wenn man die bereits bekannten Werthe einsetzt i Jac. Orig. = 7292,5 $,. Da nun Siem. Orig. = 11297 S,, endlich Jac. Orig. = 0,6456 ... Siem. Orig. so erhált man Ausser jener Originaleinheit fanden sich noch zwei, I und II gezeichnete, Jacobische Einheiten, in Leipzig verfertigt — ich will sie mit J, und J, bezeichnen. Ich verglich mit möglichster Sorgfalt J, mit J. Orig. und mit J,,, doch unterlasse ich eine Beschreibung meiner Methode, die an und für sich nichts Besonde- res darbot, nur dass ich mir Mühe gab, durch dié aus- und einzuschaltenden Bügel und Drähte, deren Wider- stände alle bestimmt wurden, keine Fehler mit ein- laufen zu lassen. Ich fand bei 22,1? J, — J. Orig. 4- 175,1 S, J,=J, = 6 LL S Mit Benutzung des oben gefundenen Werthes von J. Orig. — 7292,5 S, findet man daraus J, = 1,0240... J. Orig. J — 1,0156... J. Orig. Jene, in Leipzig verfertigten Einheiten unterschei- den sich also jetzt sehr bedeutend von dem Jacobi’ . Schen Original-Etalon. Sie sind aus Neusilber gefer- tigt und mógen immerhin im Laufe der Zeit eine Ver- ánderung ihres Widerstandes erlitten haben. 8 6. Wir wollen nun betrachten, wie sich die Wirkung der Temperatur bei dem Gebrauche des neuen Rheo- staten darstellt und welche Vorzüge er in dieser Be- ziehung vor anderen Rheostaten voraus hat. Man hat allgemein zwei Ursachen von Temperaturveründerun- gen in Betracht zu ziehen. Erstens die áusseren — dureh die Zimmertemperatur, den Beobachter und Tome XXII. | Sonstige äussere Umstände bedingten und zweitens die inneren Ursachen, d. i. die Erwürmung durch den Strom selbst. Die Übelstünde, welche die früheren Rheostaten meist darboten, waren in dieser Beziehung | die folgenden: ` | 1) Man konnte nicht sicher sein, dass am Anfang des Versuches die Temperatur des veründerlichen Theiles (Draht etc.) diejenige der umgebenden Luft war, besonders wenn kurz vordem der Apparat benutzt worden war, oder seinen Ort gewechselt hatte. 2) Die Erwürmung des Drahtes etc. wihrend der Ver- suche selbst konnte nur in dem Rheostat von F. C. G. Müller beseitigt werden; sie muss bei den mei- sten Rheostaten eine nicht unwesentliche gewesen sein. Ich will nun zeigen, in wie hohem Grade diese Ubelstánde bei dem neuen Rheostaten sich verringern lassen und theilweise sogar ganz in Wegfall kommen und beginne mit den «äusseren Ursachen». Es ist leicht, vor jedem Versuch die Temperatur aller Quecksilbersäulen des Rheostaten genau zu be- stimmen. Dazu braucht man nur in das Quecksilber der Gefässe og Thermometer herabzulassen und in je eins derselben (von jedem der beiden Rheostaten) ein wenig Quecksilber hinzuzugiessen und eine etwa ebenso grosse Quantität aus dem andern herauszunehmen. Sofort fliesst dieser Überschuss durch die, hier He- berrolle spielende feste Röhre, aus dem einen Gefäss in das andere und die feste Róhre füllt sich mit neuem Quecksilber, welches aus einer, durch Herabschrauben der beweglichen Róhren beliebig regulirbaren Tiefe gekommen ist. Der Thermometer in den Gefässen aa’ zeigt die Temperatur desselben an, welche von der Zimmertemperatur meist wenig verschieden sein mag. Dies Hinüberstrómenlassen kann man nach jedem Versuche vornehmen, sobald eine Veründerung des Gesammtwiderstandes des Rheostaten unschädlich ist. Man sieht also, dass der erste der oben erwähnten Übelstände bei dem neuen Apparat wegfällt. Ändert sich die Temperatur um 1°, so wächst da- bei der constante Widerstand des Rheostaten, d. h. ` der Widerstand des in der festen Röhre befindlichen Quecksilberdrahtes um eine Grösse, die leicht in Sca- lenwerthen sich finden lässt; die bei der Erwärmung 28 435 Bulletin de l’Académie Impériale noch ausserdem stattfindende Veränderung aller Dimen- sionen kann, wie leicht einzusehen, vernachlässigt werden. Nennen wir o den Zuwachs, den der Widerstand des eonstanten Theiles bei einer Temperaturerhöhung von 1° erhält, so erhält man rund o = S, d.h. der Widerstand ündert sich um einen Scalen- theil. Genau liess sich © nicht berechnen, da mir die inneren Dimensionen der dünnen Róhre nicht bekannt waren. Zum Schutz gegen Luftstrómungen, Strahlungen etc. waren geeignete Massregeln getroffen worden, auf die es sich nicht lohnt näher einzugehen. Ich gehe . über zu den inneren, durch die Ströme selbst erzeug- ten Würmewirkungen. und hier ist es, wo der neue Apparat einen ganz ausserordentlichen Vortheil dar- bietet. Der Rheostatenwiderstand besteht aus zwei Theilen: dem veránderlichen und dem constanten. Wir haben nun die Möglichkeit, bei den allermeisten, vielleicht bei allen Versuchen die störende Erwärmung des veränderlichen Theiles durch den Strom gänzlich wegzuschaffen. Dieser veränderliche Theil besteht aus der Quecksilbersäule, welche durch die bewegliche ` Röhre beim Niederschrauben aus der grossen Queck- - silbermasse der Gefässe aa’ gleichsam herausgeschnitten wird; beim Zurückschrauben vermischt sich nun das Quecksilber, welches in der Röhre gewesen war, mit der übrigen Masse. Man hat also während des Expe- rimentirens nur so oft als möglich die beweglichen Röhren bis ganz hinauf dd hone an jede Erwár- mung des veränderli den Strom zu vermeiden. Damit die Vermischung eine vollständige werde, wäre es vielleicht gut, an den unte- ren Theil der beweglichen Röhre eine Ringplatte zu befestigen. Was nun endlich die Erwármung des con- stanten Widerstandes (des Quecksilbers in den festen Róhren), welcher nicht zum eigentlichen Rheostaten- widerstande gehórt, sondern eher die Rolle von Ver- bindungsdrühten spielt — betrifft, so wird bei vielen Versuchen in Folge beiderseitiger Compensation dies- selbe auf die Ablesungen fast keinen Einfluss haben. - Ist das Verhältniss P: Q =k= Į; S0 verschwindet sie vollständig und dies war bei den meisten unserer durech UULU Versuche annähernd der Fall, es war k etwa =. Ferner ist zu bemerken, dass durch möglichst hán- figes Zugiessen von Quecksilber und Hinüberstrómen- lassen desselben aus einem der Gefässe aa’ in das an- dere (wie oben beschrieben) jede etwa stattgefundene Erwärmung immer wieder gleichsam weggeschafft werden kann. Dies kann so oft geschehen, als ohne Schaden der Gesammtwiderstand des Rheostaten ein wenig verändert werden kann, was sich dabei nicht wird vermeiden lassen; durch eine kleine Veränderung des Quecksilberniveaus in den Gefässen a ändern sich nämlich auch die Längen der Quecksilbersäulen in den Verbindungsröhren gs (Fig. 3 und 8). Statt des Zu- giessens von Quecksilber wäre es viel einfacher, zur Erreichung "desselben Zieles je eines aus jedem Paar der Gefässe aa’ so beweglich zu machen, dass es, viel- x leicht durch eine einfache bequeme Bewegung ein we- nig in die Hóhe gehoben und hierauf wieder auf den früheren Stand herabgelassen werden kónnte. Hiebei würde durch die festen Róhren frisches Quecksilber hinüber- und herüberfliessen. Bei den meisten galva- nometrischen Messungen hat man es mit Einstellungen zu thun, von denen je zwei zusammengehóren und eine zu messende Widerstandsgrósse liefern. Nach. jedem solchen Paar von exacten Einstellungen kann meist ohne Schaden der Gesammtwiderstand des Rheo- staten sich ändern und könnten daher durch ein kurzes Emporheben von je einem der Gefásse aa’ die festen Róhren mit frischem Quecksilber gefüllt werden. Noch auf einen andern, vielleicht wesentlichen, ` Vortheil des neuen Rheostaten will ich aufmerksam ` machen: ersetzt man die beweglichen Róhren durch andere, dickere, so kann der Widerstandswerth der. Scaleneinheit beliebig veründert und fast ins Unbe- stimmte verringert werden — als unterste Grünze für die Dicke der Róhre dient der innere Diameter der festen Röhre. Versucht habe ich ein derartiges Er- ` setzen der beweglichen Röhren nicht. i Ich will es nun versuchen, zum Schluss die Mängel und die Vortheile des neuen Rheostaten zusammenzu- stellen und diejenige Gatt tung von galvanometrischen Messungen, fúr welche derselbe ganz besonders geeig- net sein muss, möglichst genau zu prücisiren. _ Die bisher nicht erwähnten Mängel sind folgende zwei: 1) Die Kleinheit des gesammten veränderlichen Wi- ` derstandes — nur 0,0294 Siem. Einh. (s. $ 5) — macht ` ` 437 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 438 den Apparat untauglich zur directen absoluten Mes- sung im geringsten bedeutender Widerstände. 2) Der grosse, nicht wegzuschaffende Widerstand des constanten Theiles des Rheostaten, der fast drei- mal so gross ist als der gesammte variabele Wider- stand desselben. Dieser Übelstand, der ja möglicher Weise bei irgend welchen Versuchen störend hervor- treten könnte, wird kaum zu beseitigen sein, da ja die innere Röhre, welche den constanten Widerstand re- präsentirt, natürlich stets dünner und länger sein wird, als die äussere, bewegliche. Bei anderen Rheo- staten giebt es fast gar keinen constanten Widerstand. Die vielen Vorzüge des neuen Apparates sind: 1) Grosse leicht erreichbare Genauigkeit und Si- cherheit der Einstellung. 2) Absolute Kleinheit der noch erkennbaren und messbaren Widerstandsgrössen. . 8) Unv lichkeit des variabelen Widerstandes mit der Zeit. 4) Möglichkeit durch Umwechseln der beweglichen Róhren den Widerstandswerth der Scaleneinheit zu veründern. 5) Möglichkeit, während des Versuches durch ein- maliges Herauf- und Hinabschrauben der beweglichen Röhren jede durch den Strom etwa erzeugte Erwär- mung des variabelen Widerstandes hinwegzuschaffen. DI Möglichkeit, nach jedem Versuche ohne Mühe das gesammte, auch das den constanten Widerstand bildende, Quecksilber in den Röhren zu erneuern und auf diese Weise jeder Störung, die durch Er wärmung desselben entstehen könnte, vorzubeugen. Überbliekt man alle die adgefühirtén Eigenschaften, so sieht man, dass der neue Rheostat ganz besonders vorzügliche Dienste leisten muss bei solchen galvano- metrischen Untersuchungen, bei denen es darauf an- kommt, entweder sehr kleine Widerstände direet zu messen, oder geringen, durch äussere oder innere Ur- sachen erzeugten Änderungen einer gegebenen Wi- - derstandsmasse genau und sicher zu folgen. $ 7: Um die Vorzüge des neuen Rheostaten an einem praktischen Beispiel zu zeigen, gleichsam als Illustra- tion der eben gewonnenen Resultate, führte ich eine Untersuchung der Widerstandszunahme aus, welche ein Eisendraht bei der Magnetisirung erleidet. Mous- son und Edlund hatten bekanntlich gar keine solche Zunahme bemerken kónnen, welche erst durch Thom- son und Beetz als vorhanden nachgewiesen wurde. Habe ich Beetz's Methode recht verstanden, so be- nutzte er ebenfalls die Wheatstone'sche Brücke, deren Zweige sich wie 1: 10 verhielten; in dem grós- seren Zweige war der Rheostat, im kleineren der Ei- sendraht eingeschalten, so dass er den verzehnfachten Widerstandszuwachs zu messen im Stande war. Beetz giebt für jeden Draht nur eine Zahl an, welche ver- muthlich dem Maximum der Magnetisirbarkeit ent- spricht. Jene Widerstandszunahme durch directe Sub- stitution an einem Rheostaten zu messen und ferner für dieselbe eine Reihe von Gróssen zu finden, welche einer Reihe von wachsenden Magnetisirungen entspre- chen, ist bisher Niemanden gelungen. Um jene Gróssen zu studiren, verfuhr ich folgendermassen: auf Fig. 10 bedeuten Byda und rro dieselben Theile, wie auf Fig.3; die zwischenliegenden Theile, die zwei Rheostaten und der Agometer sind weggelassen. Ich zerschnitt nun einen lingeren Eisendraht von 1,7 mm. Dicke, so dass ich 16 Drähte von je 520 mm. Länge erhielt. Jeden derselben steckte ich in eine eng umschlies- sende Glasróhre, so jedoch, dass die Drähte an beiden Enden aus der Róhre ein wenig hervorragten. Diese Enden wurden zu je zwei so zusammengelóthet, dass das ganze Bündel gleichsam einen Zickzack bildete; dann wurde es in eine weitere Glasróhre AA von etwa 25 mm. Dicke hineingeschoben und auf diese dann die magnetisirende Spirale von 430 mm. Länge auf- gewunden. An die beiden letzten freien Enden des Eisendrahtes wurden Kupferdrühte gelóthet, welche in y und v eintauchten, so dass also der Eisendraht mit dem Rheostaten II denselben Zweig bildete; bei T stand die Batterie, deren Strom die magnetisirende Spirale durchfloss; bei d ein Commutator zum Öffnen und Schliessen dieses Stromes. Da die Erwärmung des Eisendrahtes durch den hindurchgehenden Strom vielfach die Wirkung der Magnetisirung in Bezug auf die Änderung des Widerstandes übertreffen muss, so verschaffte ich mir, zur Vermeidung der durch diese Erwärmung entstehenden Störung noch einen zweiten, jenem völlig gleich behandelten Eisendraht und schal- tete ihn bei XX auf der andern Seite in den den Rheostaten I enthaltenden Zweig ein. Unterliess ich dies, so genügte ein mehrmaliges momentanes Sehlies - 9g* 439 Bulletin de l'Académie Impériale | 440 sen des Stromes, um die Einstellung des Rheostaten II auf viele Scalentheile zu verándern. Als aber: der zweite Draht auf der andern Seite eingeschalten war, veründerte ein 20 Secunden dauernder ununterbroche- ner Strom niclit merklich die Einstellung der Rheo- staten. Um nun die Widerstandszunahme beim Magnetisi- ren zu messen, wurde der Rheostat II schnell hinter einander eingestellt: erstens bei ungeschlossenem und - dann bei geschlossenem magnetisirenden Strome, wobei der Stromschliesser d in Anwendung kam. Letzteres geschah auf folgende Weise: ich zählte laut eins, zwei, drei etc. Bei zwei wurde (bei y) der mag- netisirende Strom, bei drei der Hauptstrom geschlos- sen, bei vier letzterer, bei fünf ersterer wieder geóff- net. Die Schliessung des Hauptstromes geschah also, als der Draht bereits magnetisirt war, hiebei musste also der Strom in der Brücke Null sein, was eben durch die Einstellung des Rheostaten II erreicht wurde. Beim Magnetisiren wuchs der Widerstand des Eisendrahtes sehr bedeutend, was besonders schón zu bemerken war, wenn der Strom bei d plötzlich geöff- net wurde, wáhrend der Hauptstrom noch geschlossen war. Beim Beobachten durch das Fernrohr sah man dann, wie der Magnet im Galvanometer einen plótzli- chen heftigen Stoss erhielt, in Folge der plótzlichen Widerstandsabnahme in dem einen Zweige der Brücke. Der Widerstand o des Eisendrahtes erwies sich als gleich o = 5786 8, — 0,51217 ... Siem. Einh. Die Stárken der magnetisirenden Stróme habe ich nicht direct gemessen, sondern nur nach einander Batterien von 1, 2, 3 etc. Elementen angewendet. Folgende Angäben werden die angewendeten Ströme doch einigermassen definiren: die Daniell’schen Ele- mente mit dem Cu in den Thongefissen hatten 125 mm. Dicke und 1,7 decim. Höhe der Flüssigkeit. Der Widerstand v des Kupferdrahtes der Spirale mit- sammt den kurzen Zuleitungsdrähten war gleich v = 12324,8 $, = 1,09098... Siem. Einh. Dicke dieses Drahtes 1,5—1,6 mm. Lánge der Spi- rale 430 mm. bei etwa 25 mm. innerer Weite. Die Lànge des Drahtes ist nicht gemessen worden, sie be- rechnet sich aus dem Widerstande auf etwa 94 Meter. Ich will nochmals hervorheben, dass die Messung der Widerstandszunahme durch directe Substitu- tion an dem Rheostaten II geschah, welcher mit dem magnetisirten Drahte in demselben Zweige der Brückencombination sich befand. In der folgenden Tabelle sind die Resultate meiner Beobachtungen Zu- sammengestellt : < Mai 1876. | | 0 E 1 1 0,3 | 1,000052 2|: 6,8 1,000139 3 1,25 ` 1,000217 iT T8 1,000312 5| 215 | 1,000373 glat 1,000416 7| 95 1,000433 919,5 1,000433 In der ersten Colonne steht die Anzahl der be- nutzten Elemente, in der zweiten die Widerstandszu- z nahme des Eisendrahtes bei der Magnetisirung in Scalentheilen S, und in der dritten der daraus be- rechnete Gesammtwiderstand des Drahtes, denselben im unmagnetischen Zustande als 1 angenommen. Jede Messung. wurde zweimal ausgeführt und aus den oft identischen oder nur sehr wenig verschiedenen Zahlen das Mittel genommen. Die Abhängigkeit der Wider- standszunahme von der Anzahl der Elemente wird dargestellt dureh die Curve Fig. 11. giebt uns also die Móglichkeit, durch directe Substi- tution, ohne Multiplication eine ganze Reihe von wach- senden Werthen jener so ausserordentlich kleinen Wi- derstandsveränderung zu messen. Über die Anwendbarkeit des Satzes von der Strom- . vertheilung auf zersetzbare Leiter. Von Dr. R. Lenz. (Lu le 5 octobre 1876.) Der KirchhofPsche Satz von der Vertheilung des. — galvanischen Stromes in sich verzweigenden metalli- ` ` schen Leitern ist durch so viele directe,und indirecte Versuche bestütigt worden, dass eine fernere expe- rimentelle Prüfung desselben unnóthig erscheint. An- Der Apparat . Tafel I. 0. Chwolson, Jacobis Quecksilber-Rheostat. Bullet.de lAcad.Imp.d.sc. T. XXII. COUCH NN EH 772272 CO X FEX FIO | AEAEE TELLITE] "Ze Oa Ba c'ii af ICAA | | IT === GE 1 = Tr === = eu) ne : GE ee a ) F E Y La E H ha ===> AN uj (Eé d Hudd: N Wi | hr In NAM ll / A ' Du in d | j Al NV jh d * Y € — = pe A ES SE AE RAS DA Bullet. de E T XXII. 0. Chwolson, Jacobis Quecksilber-Rheostat. 74767 Z SS (xz N sa R 2 IN z E ; "A E e G m ^um LÀ EZA ; : WT mmm dl" - = m li e E E db A A +, e 441 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 442 ders hingegen steht es mit der Frage über die An- . wendbarkeit dieses Satzes auf flüssige, zerlegbare Lei- ter; hier fehlt es an einer experimentellen Prüfung des Satzes und auch a priori lässt sich die Gültigkeit des- selben nicht nachweisen. Die Vorgünge beim Durch- gang des Stromes durch Leiter zweiter Classe sind, nach der üblichen Auffassung, von denen der ersten . Classe so sehr verschieden, dass Gesetze, die für die einen Leiter gefunden sind, sich nicht unbedingt auch auf die andern übertragen lassen. Es wáre z. B. nicht widersinnig zu nennen, auch nicht einmal unwahrscheinlich, wollte man den Flüs- sigkeiten eine auswáhlende Eigenschaft für den elec- ` trischen Strom zuschreiben , welche man etwa als eine Function der Arbeit ansehen kónnte, die der Strom bei Zersetzung der Leiter zu verrichten hátte. Unter soleher Voraussetzung würde aber die Theilung des Stromes in verschiedenen Zweigen einer Leitung, die aus verschiedenen Flüssigkeiten besteht, nicht nur von dem Widerstande der Zweige abhüngen, sondern auch von den chemischen Eigenschaften derselben. Auch giebt es eine ganze Reihe von Erscheinungen, welche in diesem Sinne nicht nur gedeutet werden kónnten, sondern auch wirklich so aufgefasst worden sind. Zum Theil gehóren hierher die Versuche über den Zusam- menhang der Widerstánde von Lósungen und ihrem -—. Concentrationsgrade, mehr aber noch die Erschei- nungen, welche bei der Electrolyse von Lósungsge- mengen beobachtet wurden. . Seitdem Gahn’) nachgewiesen, dass aus einem Ge- menge von Eisen- und Kupfervitriollósung beide Me- talle zugleich nur dann ausgeschieden werden, wenn in der Lósung von dem Eisen mehr als 99 Theile ge- gen einen Theil Kupfer vorhanden sind, im entgegen- gesetzten Falle aber nur Kupfer allein reducirt, seit- dem sind über die Electrolyse gemengter Lósungen zu wiederholten Malen Versuche gemacht worden. Vor- wiegend sind es drei Arbeiten, die hier zu berück- sichtigen sind: die von Becquerel, Magnus und Hittorf. Beequerel?) benutzte zu seinen Versuchen 3 Lö- sungen: Kupfer, Silber und Blei in Form von sal- petersauren Salzen. Die Gemenge wurden hergestellt aus Kupfer und Silbersalz, Kupfer und Bleisalz, Sil- 1) Gilbert's Annalen 1803. B. XIV. 2) Becquerel Traité de I’ électricité T. VI. pg. 356 ff. ber und Bleisalz. Zu positiven Resultaten führten nur die Untersuchungen über die zwei erstgenannten Ge- menge, während die Versuche für das letzte zum Theil an der Schwierigkeit der Untersuchung scheiterten. Durch diese Versuche gelangte Becquerel im We- sentlichen zu folgenden Resultaten: | Aus einem Gemenge von Kupfer und Silbersalz re- ducirt nur Silber, solange in der Lósung auf ein Aequivalent Silbersalz weniger als 60 Aequivalente Kupfersalz kommen; ebenso scheidet aus einem Ge- menge von Kupfer und Bleilósung das letztere Metall nur dann aus, wenn in der Lósung auf ein Aequivalent Kupfersalz nicht weniger als 45 Aequivalente Bleisalz vorhanden sind. Hieraus zieht Becquerel den Schluss, : dass der Strom sich nur bei grósseren als den ange- führten Verhältnissen in die 2 Electrolyte theilt, bei geringeren Verhältnissen hingegen ungetheilt durch die Silber-, resp. Kupferlösung strömt. Da nun aber er- fahrungsmässig auch noch viel schwächere Lösungen von salpetersaurem Kupfer und Blei den Strom leiten, so folgt aus Becquerel’s Schluss, dass der Satz von der Stromvertheilung in diesem Falle keine Anwendung fin- det, dass trotz des grösseren Widerstandes der Lösung des Silbersalzes der Strom doch vorwiegend durch die Silber-, resp. Kupferlösung geht. Ferner fand Becquerel, dass in Lösungen, in de: nen auf i Aequivalent Silbersalz 67 Aequivalente Kup- fersalz kamen, die Metalle ihren Aequivalenten pro- portional ausgeschieden wurden; ebendasselbe trat in einem Gemenge ein, in welchem auf 1 Aequivalent Kupfer-57 Aequivalente Bleisalz enthalten waren. Hier- aus folgert Becquerel, dass bei solchen Verhältnissen der Salze, wie sie eben angeführt worden, der Strom sich in jedem der erwähnten Gemenge in 2 gleiche Theile theilte, von denen die eine Hälfte durch das Silber-, resp. Bleisalz strömte, die andere durch das Kupfersalz. Demnach wäre die Stromstärke wiederum nicht proportional der Leitungsfähigkeit der Zweige, denn erfahrungsmässig haben die zuletzt angeführten Lösungen verschiedene Widerstände. | Zur Erklärung seiner Versuche nimmt Beeque- rel somit stillschweigend an, dass die Flüssigkei- ten in der That eine auswählende Eigenschaft für den Durchgang der Ströme besitzen, und zwar muss sich diese Eigenschaft mit dem Concentrationsgrade der Lö- sung ändern, denn mit ihm änderte sich nach Becque- 443 Bulletin de l'Académie Impériale 444 cs APERTA ERN MEE rel's Versuchen der Grenzwerth, bei welchem Kupfer aus einer Kupfer- und Silberlósung ausgeschieden wurde. Er betrug, wie wir angeführt, 60, bei einem andern Concentrationsgrade aber 80. Ähnliche Versuche sind später von Magnus”) ge- macht worden. Er zersetzte eine Lósung von Kupfer- vitriol und bestimmte den Concentrationsgrad dersel- ben, bei welchem eine Wasserstoffentwickelung an der negativen Electrode begann bemerklich zu werden, wo also nach seiner Ansicht der Strom nicht nur durch das Kupfersalz ging, sondern auch durch das Wasser. Auch er fand einen Grenzwerth für das Auftreten des Wasserstoffes und folgerte daraus, dass bei verdünn- ten Lósungen der Strom sich theile und durch beide Electrolyte: Kupfersalz und Wasser, stróme; bei stár- “keren Concentrationen aber nur durch das Kupfersalz allein. Magnus nimmt also gleichfalls an, dass die Stromtheilung nicht proportional der Leitungsfähig- keit der beiden Electrolyte erfolge, denn das Gesetz dieser Proportionalität schliesst einen Grenzwerth aus. Dieser Ansicht von Magnus trat Hittorf *) entge- gen. Nach seiner Auffassung theilt sich der Strom, beim Durchgang durch ein Gemenge von Lösungen, in die einzelnen Electrolyten proportional ihrer Leitungs- fähigkeit und die ausgeschiedenen Ionen folgen dem electrochemischen Grundgesetze; der Grund aber, wa- rum sowohl bei Beequerel's als auch bei Magnus's Versuchen nur einer von den Ionen gefunden wurde, ist in einer secundáren Wirkung in den Electrolyten zu suchen. Nach dieser Auffassung theilt sich z. D. bei den ersten der Becquerel'schen Gemenge der Strom in 2 Theile, der eine geht durch das Kupfer-, der andere durch das Silbérsalz, sowohl Kupfer als Sil- ber werden, bei jedem Verháltniss, in welchem sie auch in der Lösung enthalten sein mögen, redueirt. Ist nun in der Lösung wenig Kupfer vorhanden, so verdrängt das sich ausscheidende Kupfer das Silber aus seiner Verbindung, wobei auf ein Aequivalent Kupfer ein Aequivalent Silber ausscheidet. Die Gesammtmenge des ausgeschiedenen Silbers muss also gleich sein derjenigen, welche in einem in die Kette gleichzeitig eingeschlossenen Silbervoltameter reducirt wird, wie Becquerel dies in der That gefunden. Bei grósserem Verhältniss des Kupfers zum Silber findet hingegen 3) Pogg. Annalen 1857 B. CH. pg. 1. : 4) Pogg Annalen 1858. B. CHI. pg. 1. das sich ausscheidende Kupfer in seiner nächsten Um- gebung nicht die nöthige Anzahl von Silberatomen, die es aus seiner Verbindung verdrängen könnte und wird daher mit dem Silber zugleich theilweise redu- cirt. Dass wir unter gewöhnlichen Verhältnissen eine solche Reaction des Kupfers auf salpetersaures Silber, oder gar des Bleis auf das Kupfersalz nicht beobach- ` ten, kann Hittorf's Ansicht nicht widerlegen, da im ` sogenannten statu nascenti die chemischen Erschei- nungen von den gewöhnlich beobachteten. wesentlich verschieden sein kónnen, Um den Beweis für die Richtigkeit seiner Auffas- sung zu führen, zerlegte Hittorf zwei Gemenge von Jodkalium und Chlorkaliumlósung in Wasser und be- stimmte die Mengen des ausgeschiedenen Jods und Chlors durch Analyse des Electrolyten vor und nach der Electrolyse. Y Das erste Gemenge war so gewählt, dass auf 1 Aequivalent Jod ein Aequivalent Chlor kam. Nach der Electrolyse war das Verhältniss von Chlor und Jod dasselbe, wie vor derselben; es waren also gleiche Aequivalent-Mengen von Chlor und Jod ausgeschieden worden. Hieraus folgt der Schluss, dass sich der Strom in den Electrolyten proportional den Atommengen getheilt hatte, oder nach dem eleetrochemischen Grund- gesetz, dass der Strom in 2 gleiche Theile gespalten war. ` In dem 2ten Gemenge waren auf 1 Aequivalent ` Jod angenühert 3 Aequivalente Chlor vorhanden und wiederum war der Electrolyt nach der Electrolyse un- verándert geblieben, woraus denn wie früher folgt, dass der Strom sich proportional der Atommenge von Jod und Chlor getheilt hatte. E 9H Aus diesen Versuchen folgtrt demmach Hittorf, dass beim Durchgang des Stromes durch ein Gemenge von Chlor- und Jodkaliumlósung derselbe sich theile proportional den Atommengen der Salze. Nun fáhrt Hittorf weiter fort: «Wie ich nieht zweifele, werde ich in einem Nachtrage zu dieser Arbeit zeigen kón- nen, dass die Widerstánde von Lósungen gleich vieler Aequivalente unserer beiden Electrolyte gleich sind» ` Wire diese Annahme bewiesen, so folgte hieraus ae lerdings die Anwendbarkeit des Kirchhoff'schen Sat- zes auch auf zersetzbare Leiter, jedoch ist dieser Nach- ` weis von Hittorf nicht geführt worden, wenigstens habe ich ihn nicht finden können. Ich will noch beson- ders hervorheben , dass zur Erklärung der Hittorf'- 445 des Sciences de Saint - Pétersbourg. schen Versuche und damit sie die entscheidende Kraft haben, die er ihnen zuschreibt, es durchaus ` nicht genügt, wenn bewiesen würde, dass die Leitungs- fähigkeiten der Lösungen, den in ihnen enthaltenen Atommengen von Chlor und Jod proportional seien; der erste Versuch zwingt vielmehr zu der Annahme, dass, wie Hittorf sagt, die Widerstände von Lösun- gen gleich vieler Aequivalente der beiden Electrolyte gleich sind; oder mit anderen Worten, dass die Atome von Chlor und Jod in Chlorkalium und Jodkalium gleiche Widerstánde haben. Sollte dieses nieht der Fall sein, so bleiben für die Erklürungen der Hittorf'- schen Resultate nur 2 Annahmen: entweder ist das Gesetz der Stromvertheilung nicht anwendbar, oder aber, auch in den Hittorf'schen Versuchen fanden secundáre Wirkungen statt, von denen es allerdings schwer hält, sich Rechenschaft zu geben. Solange der Beweis für die Gleichheit der Wider- stände, von denen die Rede, nicht geführt ist, darf man jedenfalls in Hittorf's Versuchen nicht einen Beweis für die Anwendbarkeit des Gesetzes der Strom- verzweigung in Flüssigkeiten betrachten; denn gerade diesen Nachweis ist Hittorf schuldig geblieben ). Aus den angeführten Gründen schien mir eine Prü- fung des KirchhofPschen Satzes für zersetzbare Lei- ter nicht überflüssig, und ich theile in Nachstehendem die Resultate einer solchen mit. Um jegliche secundáre Wirkung zu vermeiden, wandte ich die Flüssigkeiten getrennt an; ist die An- wendbarkeit des Gesetzes für diesen Fall bewiesen, so hat es seine volle Gültigkeit auch für Gemenge der Lósungen, vorausgesetzt natürlich, dass die Lósungen vollstándig indifferent gegen einander sind. Die Form der Stromverzweigung, welche ich bei meinen Ver- Suchen anwandte, war die allereinfachste: eine Spal- tung der Leitung in zwei Zweige. Der Strom einer Sáule ging durch einen Drath, der sich in zwei theilte "und dadurch 2 Zweige bildete; in jedem der Zweige war ein Trog mit einer der zu vergleichenden Lósungen gefüllt. Bezeichnen i, und à, die Stromstürken in den . beiden Zweigen, r, und r, die Widerstände der Drähte, 5) Dass eine Stromvertheilung zwischen Kupferdrath und Kupfer- vitriolösung stattfindet, ist zwar von Quinke (Pog. Ann. CXLIV pg. 20) nachgewiesen, nicht aber, dass sie nach dem Kirchhoff'schen Satz erfolgt. d w, und w, die der Flüssigkeiten, so ist nach dem Satze von der Stromvertheilung: 2, (w, +r) = 1, (w,+r,) Und wenn man r, und r, sehr klein gegen w, und w, macht: 2 — 1], 1910» Sollten die Flüssigkeiten eine auswählende Eigen- schaft besitzen, so würde man der Gleichung die Ge- stalt: 48,00 iw 8 or ele gern Por df geben kónnen, in welcher s, und s, Coefficienten wá- ren, die für verschiedene Flüssigkeiten, vielleicht auch für verschiedene Concentrationsgrade einer und der- selben, verschieden wären. Die Untersuchung führt demnach zur Messung von den Stromstürken und Widerstánden in jedem der Zweige. Die Stromstürken wurden gemessen durch die Niederschläge in den Trógen oder Zersetzungszellen, die Widerstánde durch eine Siemen'sche Brücke. Die allgemeine Aufstellung der Apparate war folgende: B ist die schematische Darstellung der Brücke, in welcher N das Widerstandssystem, D den Unterbre- + D LA H « AIDIIT TITI ES HAMM B Pg ILA, | R | cher darstellt, G ist das Galvanometer, A ein 2tes Siemen'schesWiderstandssystem von 0, 1 bis 5000 S. E; Lë a, a, und b sind Quecksilbernäpfe, Z und II die Zerset- \ 447 ` Bulletin de l'Académie Impériale 448 y cio o e zungszellen, e die Süule, welche zu den Widerstands- messungen diente und aus 2 Bunsen 'schén Bechern mit Chromsäure bestand, Æ die Säule aus 6 Bunsen”- schen Bechern für die Zersetzung der Flüssigkeiten; die übrigen Theile sind Verbindungsdrähte: die punktir- ten dienen zur Widerstandsbestimmung, die voll aus- gezogenen zur Messung der Stromstärke. In Bezug. auf die einzelnen Apparate ist Folgendes zu bemerken: Als Galvanometer diente ein vorzüglicher Multiplica- tor von Sauerwald mit astatischer Nadel und Spie- gelablesung. Die Tróge sind aus Spiegelglas gefertigt, 4 Cm breit, 5 hoch und etwa.30 lang; die oberen Kanten laufen dem Boden parallel, auf ihnen liegen starke Messingklótze, die gespalten sind und die Electroden sowohl wie Zuleitungsdrühte aufnehmen. Die Tróge wurden vor der Füllung mit Flüssigkeit horizontal gestellt. Bei der Messung der Widerstände war der Ver- bindungsbügel f aus den Nápfen a, und a, herausgeho- ben, ebenso der Draht d, statt dessen tauchte der Drath c in a, oder in a,, je nach dem man den Wider- stand des Troges I oder ZZ messen wollte. Hierbei wurde der Zuleitungsdraht h entweder in den Napf b getaucht oder aber in denselben, in welchen c tauchte; im ersten Falle ging bei Schluss des Contactes der Strom durch den Trog, im 2ten Falle war der Trog ausge- schlossen; es musste alsdann im System R der Wi- derstand vergróssert werden, und diese Zunahme ist gleich dem Widerstande der Flüssigkeit zusam- men mit dem so genannten Ubergangswiderstande und den kurzen Verbindungsdrühten, die von den Quecksilbernápfen zu den Electroden führen. Der Gesammtwiderstand dieser Drähte war nicht nur für beide Tróge gleich, sondern betrug überhaupt nur 0,014 S. E.; er ist daher gegen den der Flüssigkeit ganz zu Vernachlässigen, da, wie wir sehen werden, die Widerstánde der Flüssigkeiten im günstigsten Falle nur bis 0,05 S. E. sicher bestimmt sind. Die Wider- stánde wurden stets zweimal gemessen, vor der Elec- trolyse und nach derselben, sie variirten jedoch immer nur wenig, obgleich zuweilen die positiven Electroden mit ein wenig Oxyd bedeckt waren. Es war daher auch der Übergangswiderstand jedenfalls nur gering gegen den der Flüssigkeiten. Der Versuch wurde nun in folgender Ordnung ge- macht: die Tróge wurden mit 400 Cm. Lósung gefüllt, wobei sie etwa 4 Cm. hoch stand, dann wurden die gewo- - genen Electroden .eingestellt und der Widerstand des Systems R so regulirt, dass keine Ablenkung der Nadel ` erfolgte, wenn die Flüssigkeit aus der Kette ausge- schlossen war. Darauf wurde der Trog in den Strom- kreis gebracht und das Widerstandssystem R so weit verändert, bis wieder keine Ablenkung des Galvano- meters erfolgte. Die Differenz der beiden Einstellun- gen des Systems R ergab den Widerstand des einen Troges. Durch Umlegung des Drahtes c aus dem einen in den andern Napf wurde, statt des einen Troges, der andere in den Strom geschlossen und sein Wider- stand auf dieselbe Weise gemessen. Um eine Zer- setzung der Flüssigkeit während dieser Versuche zu vermeiden, wurde der Strom nach jedem Contact mittelst eines Wenders, der an der Siemen’schen Brücke angebracht ist, in umgekehrter Richtung durch den Trog geschickt; übrigens dauerte der Schluss nur einen Moment. Einigermassen störend war bei diesen Versuchen zu weilen die Polarisation der Electroden, die, obgleich schwach, der Nadel doch einen merklichen Stoss gab. Trotzdem sind die Messungen bei kleinen Widerstän- den bis auf 0,05 S. E., bei grösseren bis auf 0,1 oder ` 0,2 S. E. sicher, wie ich durch mehrfache Wiederho- lungen mich überzeugt habe. Nachdem die Widerstände bestimmt waren, wurden die Drähte c und A beseitigt und in die Nàpfe a, a, der ` m Draht g mit dem Bügel, in den Napf b der Draht d eingetaucht. Dadurch waren die Tröge parallel in den Stromkreis der Batterie E eingeschaltet, und es hatte sich nun der Strom in den 2 Zersetzungszellen zu ` ` theilen. Die Kette blieb gewöhnlich 1'— 2 Stunden ` ` geschlossen, worauf von Neuem die frühere Verbin- dung hergestellt und der Widerstand gemessen wurde. Hierauf wurden die Eleetroden herausgenommen, sorg- fältig zwischen Fliesspapier getrocknet, wenn die Nie- derschläge compact und adhärent waren, und nach Y, Stunde gewogen. Das Silber reducirte nicht selten in grobkörniger Gestalt, mit schwacher Dendryten-Bil- dung; in solchen Fällen wurde es sorgfältig gesammelt, ` gewaschen, im Luftbade stark getrocknet und dann ge- wogen. | Um mir einen Begriff von der Genauigkeit der ein- zelnen Messungen zu bilden, machte ich einige Vor- E & e O E ME E EE ien, versuche. Die Tröge wurden zu gleicher Höhe mit 10% — » PE E EE a TER TR HE ERE SN SS Y REM ME aeo ouis as ^ 449 des Sciences de Saint- Pétersbourg. , 450 Lósung von Kupfervitriol gefüllt mit einem Zusatz von 1% Schwefelsäure und dann die Widerstände gemes- sen. Die Electroden waren aus Kupfer. Der Versuch ergab folgende Resultate: Entfernung der Electroden. Widerstand. Widerstand für 100" Trog I 142,3" 23,9 16,80 o «140,0 20,0 16,79 Trog II 136,7 22,8 16,68 © «155,5 22.6 16,68 Mittel 16,74 0,08 — 0,59/, Die Widerstandsbestimmungen sind also bis 0,5Y, sicher und wahrscheinlich noch genauer, da die Diffe- renzen zum gróssten Theil wohl einem kleinen Unter- schied im Querschnitt der Tróge zuzuschreiben sind. Um die Genauigkeit in der Bestimmung der Strom- stárke zu ermitteln, wurden die mit Kupfervitriol ge- füllten Tröge hinter einander in die Kette geschlossen. . Der Niederschlag an der negativen Electrode betrug: Differenz 0,0008 — 0,3/,. Darauf wurde Trog II erst mit einer Lósung von ~ salpetersaurem Silber-Oxyd, dann mit Zinkvitriol ge- ` ` füllt, während Trog I stets mit Kuperlösung gefüllt blieb. In der Silberlósung wurden silberne Electroden ` benutzt, im Zinkvitriol solche aus almalgamirtem Zink. Bei Zerlegunng der Silberlósung erhielt ich: "m Trop IE. : lire PEU 0,2837 gr. im Trog II Silber 0,9674 aequival.0,2843 « Differenz — 0,0006 = 0,2, ` Bei Anwendung von Zinkvitriol fand ich: nmn TOP T KAPRET i ov nr. 0,3426 gr. im 2108 II Zink 0,3495 segna 0,3411 « Differenz. . .0,0015—0,5, Die Messungen der Stromintensitäten durch die Nie- . «derschláge an den negativen Electroden sind also gleich- falls bis 0,5%, genau. Man könnte aus diesen Bestimmungen schliessen, . dass die Untersuchungen jedenfalls bis zu 17/ sicher seien, doch ist die Genauigkeit der Resultate in der That geringer, weil bei den Versuchen, in der Form, . -Wie sie angestellt wurden, noch fernere Fehler auftre- ten können. Vor allen Dingen liegt eine Fehlerquelle, Tome XXII. die nicht vermieden wurde, in der Polarisation der Electroden. Allerdings habe ich nur solche Combina- tionen von Flüssigkeiten und Electroden gewählt, bei welchen die Polarisation gering ist, aber dennoch ist sie nicht völlig aufgehoben. Bei der Bestimmung der Widerstánde war die Polarisation jedenfalls viel schwácher als wührend der Electrolyse, theils weil der Strom nur momentan geschlossen wurde und die Polarisation sich zu entwickeln nicht Zeit hatte, theils auch weil nur 2 Elemente angewandt wurden. Bei der Messung der Stromstürke trat hingegen die Polarisa- tion in ihrer vollen Kraft auf. Die Versuche wer- den in Folge des Einflusses der Polarisation immerhin mit Fehlern bis 2 Procent behaftet sein. Noch grósser können die Fehler in den Fällen werden, wo die eine Flüssigkeit einen sehr grossen Widerstand im Ver- gleich zur andern hatte, weil alsdann an der negati- ven Electrode wenig Metall ausgeschieden wurde und daher kleine Fehler in der Wügung oder etwaige Ver- luste einen grossen Prozentsatz ausmachten und ausser- dem dieser Fehler noch mit dem grossen Widerstande multiplieirt wurde. Allerdings hätte ich die Polarisation messen und berücksichtigen können; ich glaubte mich indessen dieser Arbeit entheben zu können, da ich in den Resultaten überhaupt keine zu grosse Genauigkeit suchte. In der That handelt es sich im vorliegenden Falle gar nicht darum kleine Abweichungen vom Ge- setz der Stromvertheilung aufzufinden. Sollen Becque- rel’s und Magnus’s Versuche nach ihrer Auffassung erklärt werden, so muss das Verháltniss, in dem der Strom sich theilt, sehr weit vom Satze der Strom- vertheilung in Drähten abweichen. Nach diesen Bemerkungen will ich nun die Ver- suchsresultate mittheilen. 1. Reihe. In dieser Reihe wurden Lösungen schwefelsauren Kupferoxyds verschiedener Concentrationsgrade unter einander verglichen. Den Lösungen war etwa 1 Pro- cent Schwefelsäure zugesetzt, um den Niederschlag cohärent zu machen. Die Versuche mit diesen Flüs- sigkeiten, so wie mit allen folgenden, wurden stets so angestellt, dass für jedes Paar Lösungen, die mit ein- ander verglichen wurden, die Prüfung bei 2 ver- schiedenen Verhältnissen der Widerstände in den 2 Trögen gemacht wurden. Ich dachte dadurch einen 29 451 Bulletin de l’Académie Impériale 452 durch die Polarisation entstehenden Fehler, falls er - merklich sein sollte, auffinden zu können. Die Resultate der ersten Reihe sind in folgender Tabelle I aufgeführt, in welcher in der 1ten Spalte die X des Versuches angegeben ist, in der 2ten die Be- zeichnung des Troges, in der dritten die Stárke der Lósung, d. h. die Gewichtsmenge Salz auf 100 Ge- wichtstheile Wasser, in der 4ten der Widerstand w, in der 5ten das Gewicht des Niederschlages, durch wel- ches der Stromstärke à gemessen wurde, in der 6ten das We? wobei à, w, sich auf den Trog I, % w; auf den Trog Il bezieht. Was die Angaben des Procentgehaltes anbe- trifft, so ist noch zu bemerken, dass sie nur angenäherte sind und durch Verdünnung der ursprünglichen Lö- sung berechnet wurden ohne Berücksichtigung der Concentration. Tabellel. N |Trog E w | i | "b Am E | ee 111 l10! 38,58 | 0,2408 | 9,290) 1,012 II |30| 18,50 | 0,4961 | 9,179 9 | 1 |10| 19,05 | 0,2959 | 5,637| 1,012 II |30| 18,98 | 0,2849 | 5,571. 3 | 1 |10| 38,8 | 0,5742 | 22,15 1 0,993 II |20| 26,18 | 0,8516 | 22,30 4 | I |10| 20,22 | 0,3196 | 6,463 | 1,001 II |20| 25,15 | 0,2567 | 6,455 5 | I ,10| 34,65 | 0,5316 |18,42 | 1,002 II |10| 35,05 | 0,5246 | 18,39 6 | I |10| 17,80 | 0,3075 |. 5,474 | 1,018 II |10| 34,70 | 0,1549 | 5,375 7 | I |10| 38,10 | 0,1807 | 6,886| 0,976 | II |10| 20,50 | 0,3440 | 7,053 8,1 |10| 37,75 | 0,2220 | 8,381| 1,026 | 5| 62,38 | 0,1309 | 8,168. 9 I 10| 37,02 | 0,5965 | 22,44 | 1,022 € g 34,70 | 0,6332 El 95 | | ] ju diesen Zahlen ist ein Einfluss der Polarisation nicht zu merken, wie ein Vergleich der Resultate zeigt, welche bei je 2 verschiedenen Widerständen der- selben Lösung gefunden wurden; nimmt man daher für die Versuche aus Lösungen von derselben Stärke die Mittel, so erhält man: für Stärke 30 20 10 5 àw 1012 0,997 0,999 1,024. 19 Wa Auch ein Einfluss des Concentrationsgrades ist nicht merklich, und da die Zahlen von 1 nicht mehr als um etwa 2%, abweichen, so folgt daher aus den Versu- chen, dass für 2 Lósungen desselben Salzes, die im Concentrationsgrade verschieden sind, das Gesetz der Stromvertheilung in Dráhten volle Anwendung findet. 9. Reihe. In dieser Reihe wurden Lósungen von schwefel- saurem Kupferoxyd, im Troge I, und von salpetersaurem Silber im Troge II untersucht. Die Resultate sind in derselben Form, wie in der Tabelle I mitgetheilt, nur ist noch eine Spalte p hinzugefügt, in welcher das Gewicht das reducirte Silbers angegeben ist. Unter à ist dann das üquivalente Gewicht desselben in Kup- fer mitgetheilt. Für die Aequivalente wurde angenommen: für Sil- ber 107,93, für Kupfer 31,72. Tabelle 2. e 49 N |Trog 3 w p i iw C 1 | I Lo 39,10 0,4256 116,64 | II | 5| 65,30) 0,8842 0,2605 17,01 |0,980 2|1 10, 38,25 0,2827 |10,81 | II | 5| 40,58/0,9177 0,2704 |10,97 [0,986 3 |I 10 51,55 0,5602 118.57 |. u 2/,1107,68 0,5762 0,1698 |18,28 1,016 — 4 I 10| 50,00 0,2580 |12,90 Go | II 12%) 54,15 0,8088 0,2383 [12,90 1,000 5 | 1110| 41,20| 0,2280 | 9,394 pna Dë 0,1490 0,0439 | 9,1701,013 6 I El: 9 0,1662 | 8,219 D DU 45,59/0,6047,0,1782 | 8,124 1,012 7 ; .10| 40,10 0,6741 |27,03 u | %\399,90 0,2177 |0,06412 25,64 8 e ‚10 40,35 0,2743 11,07 | E KI 430,30 0,0880 0,02592/11,25 |0,984 ` 9 1.10 38,60 0,1866 | 7,209 . B | 2 rum ,30/0,0562 0,01656 7,585,0,950 Da sich auch hier ein Einfluss der Polarisation - nehme ich die Mittel für nicht merklieh macht, so 1054 — n 453 ki des Sciences de Saint- Pétersbourg. 454 . alle Versuche bei einer und derselben Stürke der Ló-| sung. Dann ist: Stärke 5 2% 1% e e aa A 0,983 1,008 1,012 1,054 0,986 0,950. 272 Also auch zwischen Kupfervitriol und salpeter- saurem Silberoxyd theilt sich der Strom umgekehrt . proportional den Widerstánden der Lösungen. 3 Rei h e. In dieser Reihe wurde Kupfervitriol und Zink- vitriol benutzt. Der Trog I enthielt Kupfervitriol, das Zinkvitriol war im Troge II. Als Electroden dienten amalgamirte Zinkplatten. Für das Aequivalent des Zinks ist die Zahl 32,5 angenommen. Tabelle 3. X Trog) 5 | w p | i | iw zë Agi [40.4:28,22 0,5425 120,75 II |15,2 | 56,62/0,3694/0,3592 |20,34 | 1,023 cd: E 27,20 0,4319 116,06 II 15,2 97.00 0,6286.0,6113 16,50 | 0,973 3| I 10 | 36,10 0,2748 | 9,91 II | 7,6 | 82,250,1236/0,1201 | 9,886| 1,004 | 1 710° | 38,55 0,5396 20,80 4 II | 7,6 | 46,750,4570/0,4444 120,76 | 1,002 pet 10:1: 37,50 0,5093 119,10 5/1 | 3,8 1150,700,1285,0,1250 (18,83 | 1,014 I ¡10 | 36,35 0,3251 |11,82 —6|IL | 3,8 | 45,05/0,2721/0,2648 111,92 | 0,991 I |10 | 43,15 0,3333 114,38 7 II | 1,9 [243,75/0,0579/0,0563 (13,72 | 1,048 I ¡10 | 40,75 0,5257 [21,43 8|11| 1,9 127,759,1666/0,11619 (20,69 | 1,036 I ¡10 | 40,60 0,6546 [26,59 | 9 II | 0,95 459,90.0,0627/0,0609728,04 | 0,948 I 110° 38,00 0,4796 (18,22 | 10 II | 0,95201,250,09680,0942 18,95 | 0,981 Die Mittel für Lósungen derselben Stárke sind: für Stärke 15,9 7,6 38 1,9 0,95 àw 0,998 1,003 1,002 1,042 0,964. Auch hier ist wiederum ein Einfluss der Polarisation durchaus nicht merklich. Ich habe noch einen Versuch. mit salpetersauren Salzen von Silber und Kupfer gemacht. Im Troge I befand sich das Kupfersalz, im Troge'II die Silberlös- sung. Die Lösung des Kupfersalzes war 14,48%, die des Silbers 5%,; demnach kommen auf 1 Aequivalent Silbersalz 4 Aequivalente Kupfersalz; die Salze befin- den sich also in einem Verhültniss, das nach Becque- rel weit unter der Grenze der'Ausscheidung für Kup- fer liegt. Ich erhielt bei einem Versuch: Trog Stärke w p i Dër I 14,5 69,0 u, 5 iw 0,1340 9,245 68,46 0,4567 0,1346 9,208 1,004 Also auch diese Lósung folgte strenge dem Kirch- hofPschen Satze. Ich hielt es nach den Erfahrungen, die ich an den vorigen Lósungen gemacht, nicht für nó- thig, einen Einfluss der Concentration noch ferner zu untersuchen. Für die 3 ersten der von mir untersuchten Salze ist ein Einfluss der Concentration auf eine geringere oder gróssere Abweichung vom Gesetze über die Ver- theilung nicht merklich, obgleich die Verdünnung, z. B. beim Silbersalz, bis zu sehr weiter Grenze getrie- ben wurde. Man ist daher berechtigt, aus allen Resultaten, die anein und demselben Salze gewonnen wurden, ein Ge- sammtmittel zu ziehen, dann erhált man folgende Zah- len: a vy 2 Po Für re Kupfer, und schwefelsaures Kupfer ...1,006 « « und salpetersaures Silber....0,999 « « « und schwefelsaures Zink..... 1,002 « salpetersaures Kupfer und salpetersaures Silber....1, Alle diese Zahlen weichen von 1 um weniger ais 1%, ab, und ist daher diese Abweichung auf Beobachtungs- fehler zu schieben. Die Untersuchung führt daher zu dem Schluss: — «In flüssigen Leitern findet die Stromverzweigung genau nach demselben Gesetze statt, wie in Leitern erster Klasse.» Hiermit aber sind auch alle theoretischen Folgérun- gen, die Becquerel und Magnus aus ihren Versu- | chen gezogen, unhaltbar. F 455 456 AS E E De la chronologie technique géorgienne, ecclésiastique et civile. Par M. Brosset. (Lu le 27 mai 1875.) § 4. Histoire de la chronologie géorgienne. Ère mondaine, cycles pascaux. Il west pas question ici d'un nouveau systeme chro- nologique, mais simplement de faits matériels, admis sans conteste par tous les chronographes; ce sont, d'un côté les cycles de 532 ans, remontant prolepti- quement jusqu'en 5508 et 5604 avant lere chré- tienne; puis des années, soit antérieures à J.-C., sup- putées aussi proleptiquement , soit postérieures, cal- culée comme les précédentes, d’après les cycles de - 532 ans, qui fonctionnent dans l'historiographie grecque au moins depuis l'an 877, en Géorgie positivement depuis 781: la naissance de J.-C. restant fixée d'un cóté à 5509, de l'autre à 5605 d'une ere mondaine artificielle. Toute la chronologie technique géorgienne , tant ecclésiastique que civile, roule sur l'usage du cycle de 532 a., qui, par les circonstances dans lesquelles il a été introduit dans le pays, a donné naissance à une ère mondaine, artificielle comme toutes les ères con- nues. En voici l'agencement, comparé à l'ére et aux - cycles grecs, non moins artificiels que ceux des Géor- giens. Fin des cycles grecs ; Fin des cycles géorgiens; annés du avant annés du avant monde; J.-C. monde; J.-C. 5508 — 96 5604 1.532 4976 436 5072 2.1064 4444 968 4540 3.1596 3912 1500 4008 4.2128 3380 2032 3476 5.2660 2848 2564 2944 6.3192 2316 3096 2412 1.9424 1784 3628 1880 8.4256 1252 4160 1348 9.4788 720 4692 816 10.5320 188 5224+96 284 + 188 = + 284— 5508 5604 + 344, ap. J.-C. + 248, ap. J.-C. 11.5852 314 5852 248 12.6384 376 6384 780 13.6916 1408 6916 1312 Bulletin de l'Académie Impériale Fin des cycles grecs: Fin des cycles géorgiens; . annés du avant annés du avant monde; J.-C. monde; J.-C. 14.7448 1940 7448 - 1844 15.7980 2472 7980) 2376 5508 + 1874 — 7382 — 466, 14° cycle grec 5604 + 1874 = 7478 = 30, 15° cycle géorgien. Ces deux series, obtenues par simple addition et soustraction, indiquent le rapport des cycles de 532 a. aux années mondaines et avant J.-C., en partant d'un . certain point de l'ére chrétienne vulgaire, op ils ont ` commencé à fonctionner dans les deux pays. $ On sait, par un témoignage du patriarche Photius’), que la combinaison des cycles lunaire et solaire, pour ` obtenir une période commencant par leur 1” année et finissant ensemble par leur dernier N’, fut primiti- vement imaginée, au IV^ S. par un certain Métrodore; que l'on eroit avoir été un mathématicien alexandrin. Cette période, merveilleusement exacte pour l'époque et trés commode pour faire éviter de nombreux calculs, ne fut pas comprise sur-le-champ, ni admise uniformé- | ment par les nations chrétiennes. L'auteur de la Chro- nique pascale, qui en voulait faire, au VIT S., la pre- miére application en grand, et qui commence en eftet son livre par la résurrection du Sauveur et par la de Páque, n'en saisit pas non plus le mécanisme de la méme facon que Victorius de Limoges, en Aquitaine, qui en avait rédigé tous les calculs en 457 de J.-C., le faisant commencer en 28 de l'ére chrétienne, ni comme Denys-le-Petit, qui en 526 lui donnait pour initiale l’année 2 av. J.-C). Pour lui, il déclare“) que les périodes de 532 a. commencent à l’année de la mort du Sauveur, en y ajoutant l’année mondaine en Cours. Gi C'est lui, cependant, qui en l’année 35 de Justi- nien 1" — 562 de J.-C., s'exprime de la sorte: «Hoc quinto et trigesimo Justiniani imperatoris anno, martii mensis XX, ind. X, a. III ol. 335, completi sunt anni ` 532 pascalis cycli, sanctae et vivificae crucis... , mM quá coepimus celebrare sanctam Christi resurrectionem, ` et incipit secunda cycli pascalis periodus, annorum 532, a vicesimá primá die martis, quà quidem die ` ` 1) Inutile de dire que les Géorgiens ne font plus d'usage de leur 22. ancienne ére mondaine, remplacée par l'ére grecque. 2) Ducange, Préface de la Chron. pascale, éd. Bonn, t. H p. 38. 3) On n'est pas d'accord sur le fait que Denys-le-Petit ait adopté ` et réformé le cycle de Victorius; Dulaurier, de la Chronol. arm. p.93. GC 4) Chr. pasc. p. 20, 25. Y 457 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 458 aequinoctium incipit.» Or, pour cet auteur, qui place nettement la naissance du Sauveur en 5507, done sa mort en 5540, Pannée 35 de Justinien devait étre - l'année mondaine 6072 (non 6069), et le commence- ment du 1" cycle pascal en 5540, non 5537, qui ne coïncide avec aucune époque connue. A la rigueur, * 5500 4- 33 = 5533 +532 = 6065. Il est donc tombé $ dans Pun des défauts qu'il reproche à ses PERENDISE seurs. Voici, du reste, comme il en était venu à fixer en la 35°a. de Justinien la fin de la première de ses = périodes:» Computetur principium reparationis sive > periodi annorum 532 à quinto anno et ipsius Philippi Junioris et filii ejus... ad 19 Tiberii Caesaris annum... in quo passio contigit: invenies tempus annorum.. 218 «Descendens vero ad annum octavum Constan- tini maximi, colliges annos ........... 65 «A nono autem Constantini usque T annum praesentem, indict. X anni 35 imperii Justiniani, e E DIIS 24 «Ita ut simul collecti a salutari paschate us- Que ad praesentem 35 annum anni conficiantur» 532 A ces chiffres partiels, sujets à discussion, si l'on i ajoute 33 a. (18 du règne de Tibère, 15 de celui d’ Au- guste, 41° a.), on obtient 565 de J.-C. pour la 35° a - de Justinien. Ainsi notre auteur, quoique plaçant la . naissance de J.-C. en 5507, commençait son premier cycle en 533 de l'ére vulgaire. De son second cycle, > eommencé en 563, il ne reste, que je sache, d'autre - trace que l'indication donnée par Samouel d'Amt en = 1096 — 1094: «En cette année s'ouvre un cycle de . 500 a.» i. e. de 532 a., suivant la formule usitée chez les Arméniens et chez la Géorgiens. 3 Il convient de noter que dans la petite Chronique -~ dp patriarche de Constantinople Nicéphore, écrite dans les premières années du IX” s., le méme événement est raconté en d'autres termes: «En la 7' a. de Justin, neveu de Justinien, dit l'auteur, fin d'un (eig) cycle ; pascal de 532 a., à partir du crucifiment, indict. VI, depuis Adam 6065 a,» Justin ayant été couronné le 14 novembre 565, sa 7° a. tombe en 572, juste 10a. après la 35° de Justi- . Bien. Quant à l'année 6065, elle est en rapport avec l'ère mondaine 5500, et convient mieux au règne de Justinien qu'à celui de son successeur Justin; mais l'Art de vérifier les dates explique trés bien cette diffé- © rence de 7 a. entre les notations chronologiques de l'époque. *) Maintenant, s'agit-il de la méme chose chez les deux chroniqueurs, placant le crucifiment, l'un en l'an 30, l'autre en l'an 40 de l'ére chrétienne, ou bien y a-t-il quelque erreur de la part du second, ou une simple inadvertence de copiste, c'est ce qu'il est diffi- cile de déterminer. L'ére mondaine de Jules-Africain, 5500 avec ses dérivés, 5501 — 5508, pour la naissance de J.-C., fournit bien des variantes pour l'époque de l'usage du cycle Dionysien, chez les différentes nations; mais dés le moment oü l'ére 5508, connue de S. Maxime dés l'an 641 de J.-C., suivant les auteurs de l'Art de vé- rifier les dates, éd. in-f” p. XVII, et employée pour la première fois dans la date du VI concile écuménique, 2° de Constantinople, devint officielle, les périodes de 532 a. depuis l'origine du monde se trouverent aussi fixées proleptiquement*). Certains manuscrits de la chronique de Nestor, peu exacts dans les détails, in- diquent cependant avec raison l'année 6384 comme la dernière d'un 12° cycle, ce qui prouve que déjà au XI S. on avait calculé proleptiquement, avec l'ére 5508, les périodes dont il s’agit”). Il est vrai que l'historien slave donne, entre autres éléments de son caleul, l'ére mondaine 5500, mais les Byzantins, en admettant 5852, 24”a. suivant leur système, de l'em- pereur Constance II, pour la fin de leur 11' cycle pro- leptique^), qui coincide avec Pan 344 de l'ére chré- tienne, reportent la fin du 10 en 5320 d. m., et celle des précédents, ainsi que des suivants, aux années que 5) Art de ver. les dates, éd. in-f°, p. XVI. L'explication repose sur la variante provenant de l'olympiade 194, 2* a., au lieu de 195, 1™° a., donnée par J.-Africain à la naissance du Sauveur, et d'autre part sur une réduction de 10 a. de l'ére de J.-Africain, 277 au lieu de 287, pour l'avénement de Dioclétien. En outre J. Africain n plagant la naissance du Sauveur 3 a. plus tót que notre ére vulgaire, sa mort aurait eu lieu en 30, et conséquemment l'an 562 se trouve étre ré- ellement le dernier de la période de ss a., dite la premiere. Tout cela est fort compliqué, comme on le v 6) Trés probablement c'est au Geet de N prs que l'ére de 5508 fut adoptée, pour obtenir, par l'addition de 8 a., un systéme complet de chronologie, des épactes vraies et un régime complet d'initiales pour les deux cycles lunaire et solaire, que ne donnait pas l'ére de Jules-Africain; Steinheil, Ort, o ppemacuncaenin ..., p. 362, ex- RE en détail cette question. Muralt, Chronogr. byzantine, p. 427, 732; les dates et calculs de N estor ne s’accordent lá avec aucune des sources connues: l'his- torien mêle l’ère de J regiam avec celle de Constantinople, et allonge cette dernière de 10 8) Chron. Pase. II, 87, éd. ge Bonn. Bulletin de l'Académie Empériale montre notre Tableau, calculé sur le méme pied. Toute- fois, depuis lors on ne voit pas que les historiens grecs aient fait un usage habituel d'une autre notation chro- nologique que leur ére mondaine. Celle de l'incarna- tion, usitée dans l'occident, seulement depuis le XI Sy n'est pour ainsi dire jamais citée dans leurs écrits. Il me paraít trés probable que, outre la correction de plusieurs erreurs chronologiques, déjà remarquées lors du concile de Nicée’), l'addition faite par les Grecs, de 8 ans, à l'ére de Jules-Africain, eut aussi pour bon résultat de compléter leur premier cycle proleptique, partant. de la création, auquel, avec l’ere de 5500, il manquait en effet 8 années, en remontant depuis 876 après J.-C. Suivant moi, l’ère de 5508 étant admise officielle- ment vers la fin du VII’ S., et les chronographes l'ayant raccordée avec les cycles de 532 a., les deux séries marchèrent dès-lors d'ensemble, mais l'usage du cycle fut relégué au second plan. Il est permis de faire remarquer ici que la date de 562, fin du 2" cycle, au dire de la Chronique pascale, avec l'initiale d'un second cycle l'année suivante, ne s'est pas entièrement perdue. Les Arméniens, qui ve- naient, en 552, d'établir leur calendrier national, trouvèrent bon, en cette année 562, d'adapter aussi -à leur comput le cycle pascal, comme norme réguliére de la Páque, et sur-le-champ décidérent que l'année 552, la premiere de leur réforme, serait aussi la pre- miére de leur cycle pascal: 552 de J.-C. — 1 du ca- . lendrier arménien, — aussi 1 du cycle pascal; toute- fois les Arméniens, pas plus que les Grecs, ne font usage fréquent de cette période, dans leurs notations chronologiques. Ce n'est que plus tard, en 1085, au renouvellement du cycle, que le computiste arménien Jean Sarcavag fonda le calendrier fixe des fétes mobiles jusqu'alors; en 1617 Azaria de Djoulfa entama une nouvelle période: deux éres qui sont appelées Petit comput de Sarcavag et d'Azaria; celui de Sarcavag fut surtout employé dans la Petite- Arménie, et n’a guère servi qu'à dater les chartes des rois Roubénides, et certains mémentos de copistes; celui d'Azaria n'est aussi usité que chez les Arméniens de Perse, dans les dates des manuscrits et des livres imprimés, et finira en 2148. 9) Steinheil, p. 362. Les orthodoxes russes se contentent, comme les Grecs, de l'ére mondaine 5508, qui fut adoptée par eux, au lieu de celle de Jules-Africain, lors de leur conversion au christianisme, au IX” S. Cette ére parait fréquemment et seule dans les rescrits des Tsars, jusqu'au règne de Pierre-le-Grand; mais l'usage de l'ére de Jules-Africain s'était conservé, comme on le voit dans le Psautier avec additions, lleayTHpb cb wscrbroganiane, et avait servi à fixer la fête de Noël au 25 décembre, ainsi que la premiére Páque au 30 mars”). Le cycle pascal, connu chez les Russes sous le nom de Grande indiction, se modéle en tout sur celui des Grees et n'est mentionné que fort rarement dans les chroniques. Quant aux Géorgiens, voici l'histoire peu compliquée de leur chronologie. : Lorsque le savant Adler publiait en 1782, la 1^ P^ de son Museum Borgianum, p. 161, il apprit du P. Stéphanos Avutandil, archevéque de Tiflis, alors à Rome, «que le caractère géorgien vulgaire Khedvouli, lis. Mkhédrouli 93963eo. paraissait avoir été inventé lors de la formation du calendrier, en 1312.» C'est la première notice communiquée à l'Europe sur ce sujet. En 1830 M. Klaproth ayant eu l'occasion de citer une date géorgienne!), l'an 137 —917 de J.-C., en concluait l'existence d'une ére géorgienne commen- cant en 781 de J.-C. Comme le savant prussien s'était borné à ces quelques mots, je crus devoir ré- pondre sur-le-champ à la question soulevée par lui et donner, comme je le fis en effet, les éclaircissements strictement nécessaires. Plus tard j'entrai dans de plus grands développements. ^) Cependant le renseignement fourni à Adler par un Géorgien, et par lui communiqué au public, n'était ` pas une solution, encore moins celui donné par Klaproth, d'aprés un auteur alors inconnu, et partant, sans authenticité; mais la curiosité s'était éveillée, et la partie restée obscure du sujet devait étre éclaircie. Or la Bible géorgienne imprimée à Moscou et le Code du prince-royal Wakhtang, manuscrit de la grande. Bibliothéque de Paris, ainsi que quelques autres, por- tent de doubles dates, l'année chrétienne vulgaire, unie à celle d'une période moins considérable, dont 10) Iakofkin, Pascalie arithmétique (en russe), 1'* éd., $ 60, 61. . 11) Nouv. Journ. asiatique, V, 29 n. 2. 12) Nouv. J. asiat V, 231; Chron. géorg. Paris, 1830, p. I — X. 4 à KE A E Ea E EE EEN MEET LE oe CAT dee A et en WE, Ak 461 des Sciences de Saint -Pétersbourg. ~ Pouverture, par une soustraction facile, est reportée sûrement à l’année 1313 — 1, aprés la réforme . signalée par Adler: de là à trouver l'année chrétienne correspondant à celle de cette petite période, quand elle est seule, comme dans la Chronique géorgienne de la Bibliothéque de Paris, le pas était facile. La Bible a été imprimée au village de Seswenski, lis. Bsésviatski, prés de Moscou, le 1" mai 7251 — 1743 — 431 du cycle pascal. Le Code, Table alphabétique, datée 1” juillet 438 = 1750. Voilà, entre des milliers, deux dates officielles du _ cycle commencé en 1313, et dont l'année 1844 fut la dernière: c'était le XIV’. D'autre part, si Klaproth ne s'était pas trompé en citant la date 137 — 917, qui, par une soustraction du méme genre, reporte à l'an 780 pour la fin d'une semblable période, on découvre aussitót qu'il s'agit de la période Victorienne ou Dionysienne, i. e. du cycle pascal de 532 a., intervalle qui sépare en effet l'an . 780 de 1312. Ainsi le XIII cycle, ouvert en 781, le XII’ en 749, le XIV” en 1313, le XV” en 1845, sont clairement déterminés. C'est ce que le P. Stéph. 7 Avutandil, peu au fait, à ce qu'il paraît, des choses Ch a WE LS" a ELLE. En H ger A ETE SN > n Er O ES en Y E de son pays, appelait da formation du calendrier,» ce que les Georgiens nomment We Age, révolution; jobzgolo, cycle, ou par abrégé, je-6o5o3o5o koroni- 3 coni; byosbosbo, cycle de 500; les Arméniens disent aussi en abréviant $/bgSwpfuphuws; qui à la même signification. Le nom koroniconi, grec d'origine, s'ap- plique soit au cycle entier, soit à chacune de ses années. Le fait de l'emploi des cycles pascaux, soit seuls, comme dans la Chronique géorgienne, soit conjointe- . mem avec les années de l'incarnation, comme dans les dates de la Bible et du Code géorgien, XIV? période, soit encore conjointement avec une année mondaine, comme dans la date de la Bible et du Traité de Mtzkhétha sur le comput: 6837 = 453 = 1233 de J.-C., ce fait étant constaté, il faut entrer dans quel- ques explications. Dans la triple date de la Bible, l'année chrétienne B. 1743, soustraite de 7251, donne pour reste 5508, ère mondaine des Grecs; dans celle du manuscrit de P Mtzkhétha, 1233, soustrait de 6837, a pour reste 5604, ére mondaine géorgienne: c'est ce qu'il faut . expliquer. Les plus anciens livres historiques géorgiens ne contiennent aucune espece de date, jusqu'à l'époque de la conversion du pays au christianisme; celles que l'on trouve dans les Préfaces des œuvres historiques de Wakhoucht et dans les premiéres pages de son Histoire, ont été calculées par lui, suivant son systéme, et insérées dans son texte. Par contre, on ne trouve dans les Annales, attribuées à Wakhtang VI, que de rares synchronismes, mentionnés sans indications pré- cises d'années. Outre les faits composant les syn- chronismes, il y a pourtant parfois des résumés, disant que de tel fait à tel autre il s'est écoulé tant d'an- nées, et c'est à cela que se bornent les notations chrono- logiques les plus anciennes. Au contraire, dans l'histoire de la conversion des Ibériens, nous lisons que $° Nino, égale aux apótres, mentionnée chez Rufin et chez les historiens ecclésiastiques, contemporains ou voisins de son époque, «mourut en 5838 d. m., 338 depuis l Ascension ™®),» ce qui donne Tore mondaine de Jules- Africain. Deux autres dates de méme espèce se trou- vent“), la 1" dans le récit de la mort des saints martyrs David et Costantiné: 6223 d. m. = 777 depuis le crucifiment de J.-C., ou 6249 d. m. — 730 depuis le crucifiment*). Cette dernière indication, donnée en toutes lettres, dans un vieux manuscrit du Musée asiatique de l'Académie, mais non tout-à-fait exacte, se rapproche de ga vérité: 6249 — 730 = 5519 +33 — 5552; l’autre, simplement placée en note sur un manuscrit, n'a aucune apparence d'authenticité et ne vaut pas la peine d'étre discutée. Le fait est que les deux saints dont il s'agit périrent dans l’incursion de Mourwan, dit le Sourd, qui fut plus tard le dernier khalife Ommiade, vers l'an 735 de 3.6: au temps de Léon l’Isaurien. C'est une malheureuse phrase du récit original, oú Mourwan est qualifié «fils de la soeur de Mahomet,»-qui a donné lieu à la fausse tradition, que les saints David et Costan- tiné périrent au temps de l'empereur Héraclius; mais les Georgiens les plus instruits n'admettent pas cette ` tradition, qui est contraire à tout ce que l'on sait d'ailleurs. 9) T En procédant toujours du plus connu au motns: 13) Hist. de Gé. p. 128, 132. 14) Ib. p. 246. 15) Élém. de la gramm. géorg., p. 279 sqq. 16) V. Fan dogmm-lrgugsmès, Tiflis, 1858, p. 122. Le t Bulletin de l'Académie Impériale connu, nous trouvons chez les auteurs géorgiens des " 4 8 dates passablement nombreuses du XIII cycle, 181— 1312, seules; du méme, avec accompa- gnement de l'ére mondaine géorgienne 5604, je n'en connais guére plus d'une quinzaine, dont quelques- unes vont se produire dans la suite de mon travail. Le XIII? cycle a une importance particuliere dans la chronologie géorgienne, parce que l'année initiale 181 a eu sa raison d'étre, parce qu'il est le premier numéroté par les auteurs, enfin parce qu'il est l'ori- gine de l'ére mondaine des Géorgiens, et qu'il est le seul dont il existe des Tables datées, authentiques et anciennes, des 532 années, avec toutes leurs caracté- ristiques pascales, avec indications marginales de di- vers événements: quatre thèses que je vais essayer de développer. 1) Pourquoi le XIIT cycle pascal, premier mentionné ' par les auteurs géorgiens, s'ouvre-t-il en 781 et non par une autre année quelconque? On sait qu'en 248 de l'ére vulgaire Rome célébra la fin de son premier millénaire, et que le second eommenca en 249; or Rome n'étant plus alors la capitale du monde, l'univers ne s'intéressait plus à conserver la mémoire de la fondation de Romulus; on peut méme assurer que Constantinople aurait plu- tót voulu la faire disparaitre entierement, et de fait je ne sache pas qu'aucup peuple ait jamais fait men- tion dans sa ce second millenaire de Rome, si ce n'est les Arméniens, qui le nomment dere des Horhoms,» i. e. des Romains, encore n'en parlent-ils que très rarement, dans leurs dates les plus solennelles *”). Par contre, la période Victorienne ou Dionysienne était fort goütée en orient, à cause de son rapport à la féte pascale, et, comme nous l'avons vu précédemment, sa premiere évolution depuis la mort du Sauveur s'était accomplie en 562, ce qui place la naissance de J.- C. 3 a. avant l’ere vulgaire. Les Arméniens, entre 17) A la grande rigueur, 753 de Rome avant J.-C. et 247 aprés l’ouverture de l'ére chrétienné vulgaire, donnent précisément en avril 247 l'année finale du 1** millénaire de la fondation de Rome: cela suffit pour justifier le P. Tchamitch, M. Dulaurier et tous les partisans de l'opinion qui termine en cette année les mille ans de la ville de Romulus. Mais l'année 247’n’ayant pris fin qu'en. avril 248, 4° de Philippe le pére, c'est alors que furent célébrés les jeux du 1°” millénaire, et cette année peut aussi, à la rigueur, être comptée la premiére du second. Toutefois les Géorgiens, qui commencent Pannée julienne en janvier, sont également justifiés de compter 249 — 1, comme ils le font en effet. autres, se l'étaient appropriée et l'avaient adaptée à leur calendrier. Les Asiatiques, les Syriens, le patriar- cat de Jérusalem en faisaient usage, chacun à sa manière, et l'on voit dans la Bibliothèque orientale d'Assémani que plusieurs traités de ce cycle, en vers, circulaient dans le diocèse d'Antioche. Comme done les Géorgiens étaient, pour la hiérarchie et pour la discipline ecclésiastique, ainsi que pour la liturgie, sous la dépendance de ce pays, il n'est pas étonnant que les prétres syriens aient introduit chez eux l'usage du cycle pascal. Or précisément en 780 finissait une période de 532 a. aprés 248 (249 + 531- = 780): le moment done était favorable pour en ` commencer une nouvelle en 781. Aussi dans le Traité de comput, du manuscrit de Mtzkhétha, est-il dit clairement, au ch. 1", que le moine géorgien Jean Chawthel, de Tbeth, avait rédigé en vers iambiques le traité du cycle syrien, en 453 — 1233. Ce personnage était contemporain de la reine Thamar, et son successeur Abouséridzé, aussi | de Tbeth, postérieur de quelques années, mit en simple prose son élucubration sur le méme sujet. 2) Je dis que le XII’ cycle est le premier qui ait recu un N’. Nous lisons en effet dans l'Hist. de Gé., p. 264, que le 46° monarque de ce pays, Achot- Couropalate, aussi le premier roi de la dynastie ba- gratide restaurée et définitivement installée, depuis lan 787, «mourut le 29 janvier 6334 = 6430 = 46 ` à du koroniconi évoluant pour la XIII" fois, jo$abo¿e- bolss 33506559353: de Ap ee. Il est done clair que la nouvelle dynastie, pour donner de la fixité aux dates de son existence, avait adopté l'an 781 comme — initial de sa chronologie. Si l'historien dit «treizième» — c'est qu'en effet douze fois 532 — 6384 — 5604 — 780, à quoi ajoutant 46, on obtient 826 pour lannée chrétienne cherchée de la mort d'Achot. Quant aux deux éres mondaines qui accompagnent le chiffre 46 dans les manuscrits, la 1'* est l'ére grecque ` ` 5508, la 2* est celle des Géorgiens, 5604 av. J.-C. 3) On ne sait pas positivement, quand ni a quel ` E: sujet les Grecs ont adopté décidément la période pas- - cale, mais il est démontré qu'après cette adoption leur XIII cycle s'ouvrit en 877; il est également certain D qu'en adaptant proleptiquement, par voie de soustrac- tion successive, les périodes antérieures à l’ere mon- | | daine de Jules-Africain, il aurait manqué 8 a. à là ` d - 465 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 466 premiére, et que Paddition de ces 8 années a permis de faire tomber juste en 876 la fin du XII cycle, en 6384 d. m. Quant aux Géorgiens, ayant également voulu cal- culer proleptiquement, aussi par soustraction régulière, les dates des faits antérieurs à 781, comme il man- quait 96 a. à leur premier cycle, à cause de l’époque anticipée de leur point de départ, ils les ont ajoutés et ont obtenu l’ère mondaine 5604 av. la naissance de J.-C.: de lá dans les manuscrits des Annales, les deux différentes dates mondaines de la mort d’Achot- Couropalate. Depuis lors le koroniconi ou année du cycle syrien, comme il est appelé dans le Traité de Mtzkhétha, fut employé en Géorgie, soit seul, soit concurremment avec les ères mondaines grecque et géorgienne proprement dite. Par ex., toutes les dates de la généalogie des Bagratides °) sont celles des années du cycle, qui n'offrent aucun moyen de contróle, quand elles sont seules, sans synehronismes connus. Leur exactitude dépend uniquement de celle des sources, généralement inconnues, consultées par le chroniqueur et retracées pas le copiste. Du XII’ cycle, 249 — 780 de J.-C., je ne connais par une seule date provenant des manuscrits ou des monuments, car une vingtaine de notations de ce genre citées par Wakhoucht, dans sa Pascalie en abrégé, dont je parlerai plus tard, sont données par lui sans indication de sources et probablement calculées par l'historien, conformément à son systeme. Voici maintenant quelques dates bien authentiques, que j'ai recueillies moi-même, sur les monuments ou dans des manuscrits d'époque certaine, et qui sont intéressantes à diverses points de vue. . 1) Le plus ancien manuscrit géorgien connu avec date, est l'Évangéliaire du couvent de Djroudch, en Iméreth, dont une grande partie fut achevée en 6540 — 156 du cycle, l'autre en 160 du cycle; or 156 — 936 de J.-C., qui soustrait de 6540 — 5604; 160 = 940 de J.-C. ^). Apres celui-ci vient le manuscrit de Tischendorf, à la Bibliothèque Impériale publique, ayant subi * 18) Hist. de Gé., Trad. fr. p. 282; texte, p. 198; l’année chré- tienne y a été ajoutée aux dates pascales, par le traducteur, à l'exemple le de Wakhoucht. 19) XII? Rapp. sur mon voyage arch., p. 83, 84. iome XXII. plusieurs remaniements, dont le texte a été composé en 941 et certaines parties retouchées en 185 ou plutót 184 du cycle pascal — 964 de J.-C., 6561 de Père mondaine. Comme cette année du noi que le mauvais état du manuscrit rend douteuse, n’est pas tout-à-fait exacte, il faudrait 6568 — je me contente de Pindiquer ici et prie le lecteur de se référer aux Mémoires de l'Académie t. XI, N. 12, p. 10 — 20, oü la question est traitée amplement. Quant à la date 941, de la composition de l'ouvrage, voici com- ment elle est obtenue: depuis Adam jusqu'au eruci- fiement, 5534 a. + 907 jusqu'à l'époque indiquée — 6441— 5500 — 941 «comput de Jérusalem.» Pour les Georgiens, 6553 d. m.; soit 5534 + 112 + 907 = 6553. Les 112 a. à ajouter «suivant les Georgiens,» comme il est dit dans le manuscrit, se forment de 96, complément du 1” cycle, 4- 16, pour atteindre une ère primitive (de J.- Africain), 5516: de là résulte, pour les Géorgiens, une ére de 5604 av. lere chrétienne. Ces 112 a. font tellement partie du systéme du rédacteur des notes du manuscrit, que pour lui l'année 57 du cycle pascal «comput de Jérusalem,» répond à 169 «à la maniere géorgienne,» et respectivement 907 répond à 1019. Tout cela prouve qu'au X" S. l'usage des éres mondaines et des cycles n'était pas encore établi sur des règles fixes. ?°) 2) Sur la facade S. de l'église de Conmourdo on lit la date de sa fondation «en l'an pascal 184, un samedi, du mois de mai, 1" de la lune;» 184 = 964 ` de J.-C.?'). Le reste est exact, puisque le samedi 13 mai était nouvelle lune. 3) Un Commentaire sur l'Apocalypse, au couvent de Chiomghwimé, vu par M. Platon Iosélian, est daté 6582 — 198 du cycle, année cyclique répondant à 978 de J.-C., et celle de l'ére mondaine donne 5604 pour la naissance du Sauveur.?) 4)Sur la facade de l'église de Dchqondid ou Mart wil), on lit l'année de sa fondation, en [6]60[4] — 216 du cycle; l'année cyclique — 996 de J.-C., 20) On se rapelle que l’ère de Jules-Africain, primitivement établie à 5515, fut réduite en nombre rond à 5500 a. ; mais d’après notre manuscrit il parait qu'au X* s. les computistes de Jérusalem avaient encore conservé ces 15 a. de surplus. C'est un cas trés obseur. 21) 2* Rapport, ei 167. 22) 1°” Rapp., p. 4 32 28) Martwil est Paltération géorgienne de paprupro», «église consacrée à un martyr.» 30 467 Bulletin de l'Académie Impériale 468 ` et celle de l'ére mondaine = 5604. Quoique rétablie par conjecture, cette date mondaine ne laisse aucun doute.?*) Il en sera de méme du transfert de la porte de fer de Gandja à Gélath., en [67]4[2] — 13° a. du règne de Dimitri 1", 1138, 9 de J.-C.) 5) Sur la muraille E. du clocher de Zarzma, se lit la date cyclique 265 = 1045”). M. Bakradzé, dans la 3° P", encore manuscrite, du compte-rendu de son voyage dans le Gouria, nous apprend cette curieuse circonstance, que l'église de la Transfiguration, appli- quée à la cathédrale de Chémokmed, est une répéti- tion de l'ancienne église de Zarzma, transférée ici à une époque jusqu'à présent inconnue, dont l'image y est déposée. Il rectifie également avec bonheur le texte de deux des inscriptions de Zarzma, dont l'une copiée par moi, l'autre, que j'ai publiée d'aprés une copie imparfaite, qui se trouve au Musée asiatique de lAcadémie. Ces inscriptions sont trés intéressantes pour l'histoire. Là méme et dans le 1” Appendice à la 2° P de son compte-rendu, M. Bakradzé restitue le nom du monastère, de Thisel eoljgo, du district d'Akhal- Tzikhé, ancienne possession de la famille Diasamidzé. Thisel était situé à 4 ou 5 verstes au 5. E. d'Atsqour, sur la droite d'une petite rivière. En effet, la plupart des noms mentionnés dans les grafiti reproduits par moi d’après un manuscrit de la grande Bibliothèque de Paris, à la suite du texte de la Chron. géorgienne, p. 119, 121... sont ceux de familles ou d'individus originaires du Samtzkhé. 6) Sur une église, à Wéré, on lit, en chiffres arabes, Phi 921 1001. *) A Tswimoeth, sur la muraille E. de l'église, la date en chiffres arabes prp, 222 = 1002. *) Sur la fenétre N. de la cathédrale de Kouthais, se lit la date, également en chiffres arabes, ppp, 223 — 1003. Ces trois dates, dont la dernière seule est parfaitement conservée, indubitable, et en chiffres de forme indienne 333, sont à ce/que je sais, les plus an- 24) 7° Rapp., p. 12. 25) 11° Rapp., 41. 26) 2° Rapp. p. 132; Chron. géorg. p. 107, sqq. Paléographie. 27) 6° Rapp., p. 30. 28; Ibid. p. 99. ciens monuments connus de l'emploi des chiffres dits arabes.”) 7) Les beaux manuscrits du Commentaire sur $, Matthieu, à Gélath, sont dates”): l'un, de l'an 267— 1047; l'autre, de 268 — 6510 d. m., 15° indiction grecque; le 3°, de 273 = 1053. L'année 268 du se- cond — 1048 de J.-C.; quant à Père mondaine 6510, Pindiction, qui est exacte, fait voir qu'il s'agit d'une date de l'ére greccque, ne coincidant pourtant pas avec la date chrétienne indiquée par celle du cycle. Je crois que les 46 années qui manquent ici”) prouvent que le copiste a tout simplement transcrit une date donnée par un original antérieur, car il y à des exemples de pareils faits, dans les manuscrits géorgiens. | 8) Sur un mur de la tribune de l'église de Soouk- Sou, en Aphkhazie PL, une inscription peinte mentionne l'apparition d'une comète en 6669 — 286, 38° indic- tion du règne de Bagrat IV, occupant alors le trône. En 1066, année chrétienne correspondant à celle du cycle, Páques étant le 16 avril, les Rameaux tom- baient le 9 du méme mois. La comète mentionnée ici, avec indications relatives à la Páque, est cet astre fameux au XI" S., dont l'apparition coincida avec la conquéte de l'Angleterre par les Normands. Quant à l'indietion, ce mot est pris ici, comme généralement dans les thartes géorgiennes, pour l'année du régne, et non dans le sens grec habituel de ce mot. 9) La date de la mort de David-le-Réparateur est inserite dans les Annales «le samedi 24 janvier 325,» date cyclique évidemment fausse *), qui répondrait à 1105 de J.-C. On lit «le 25 janvier,» dans l'abrégé arménien des Annales, qui se termine brusquement ici, sans autres détails. D'autres manuscrits, plus véridi- ` ques, donnent l'année pascale 345 — 1125, que la critique des synchronismes démontre comme plus pro- bable et presque certaine; car, pour comble, le 24 jan- vier 1125 était réellement un samedi. | Je n'aurais pas cité cette date 345 — 1125, si le savant historien Wakhoucht, p. 56 de son manuscrit autographe, n'avait fixé la mort du roi David d'une 29) 6° Rapp. 30, 100; 11° Rapp. 3. 30) 11* Rapp. p. 27, 31) Au lieu de 6510, — 1048 — 6556. 32) 8° Rapp. p. 116. 33) Hist. de Gé. p. 380. sqq. la date cyclique demande 6556 : 5508 +- 1048 469 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 470 maniere assez curieuse, «l'an 5079 d. m., 6638 des Grecs, 1130 de J.-C., 350 du cycle, le samedi 24 jan- vier, indiction 8;» or 5079 — 1130 — 3949, date artificielle de la naissance du Sauveur, suivant Scaliger; du reste tous les synchronismes sont exacts, à l'excep- tion de l'hebdomadaire, qui était un vendredi, en 1130, date inexacte d'ailleurs. 10) A Oubé, en Iméreth **), une tour bâtie pour un stylite «a été construite en 361 — 535, année inter- calaire des Sarrazins.» L'année cyclique — 1141 de J.-C.; l'année de l'Hégyre 536, qui était en effet in- tercalaire, de 355 j., commenca le 6 aoüt 1141 de J.-C. 11) Un Évangile manuscrit, au couvent de Chio- Mghwimé, porte la date «6804 — 490;» l'année cy- clique — 1270 donne 5534 jusqu'au crucifiement ct 5500 jusqu'à la naissance du Sauveur. ®) 12) Je pourrais citer une multitude d'autres dates, ne présentant pas d'autres éléments que les précé- dentes, mais je termine cet inventaire par celles, pour le moment les plus récentes que je connaisse, de l'ére géorgienne du monde. Au couvent de Kober — en ar. le Tombeau — dans la vallée de la Débéda, un monument sépuleral porte deux inscriptions: l'une, de l'an 6896, l'autre, oü le millésime est omis [6] 899. Là sont ensevelis Mkhar- grdzel, moine sous le nom de Giorgi et fils de Chahan- chah ou Chanché II, et sa femme Wanané. Les deux années mondaines, ici employées seules — 1292 et 1295 de J.-C., avec l'initiale 5604. Par contre, non loin de là, au couvent de Wanana- Vank, une belle inscription ne porte que la date cy- clique 342 = 1122.95) Enfin le Traité «du cycle syrien,» de 532 a., ma- nuscrit de Mzkhétha, nous donne la triple date «6741 = 6837 = 453 du XIIT cycle, 1233 de l'ére chré- tienne; les deux dates mondaines sont celles de l'ére grecque et du comput géorgien, 5508 et 5604. 1 3) La reine Thamar, femme de Giorgi XI, y 7192 = 372 (= 1684) depuis Adam: année mondaine grecque, et date du XIV’ cycle géorgien. ”) 14) Sur les monnaies on trouve les dates cycliques suivantes: S 34) 1% Rapp. p 44. 37) 1° Rapp. p. 25. De Giorgi III, pére de la grande reine Thamar, l'an 394 — 1174. De Thamar, les années cycliques 404, 407, 420, 430 — 1184, 1187, 1200, 1210. De Giorgi IV, Lacha, fils de Thamar, aussi l'année 430 = 1210, peut-être 434 — 1214. De Rousoudan, sœur du précédent, 447, 450 — 1227, 1230. De David IV, fils de Rousoudan, peut-étre de Da- vid V, fils de Giorgi-Lacha, 467 — 1247. Ces dates, malgré quelques incertitudes ou inexac- titudes, servent à fixer l'avénement de Thamar, son union avec David-Soslan et une année, 1210, où elle était encore vivante, bien que les Dates placent sa mort en 1201, 4*5), ce qui est tout-à-fait insoutenable. Quant aux règnes des deux David, fils de Giorgi-Lacha et de Rousoudan, ce n'est que par des conjectures plus ou moins probables que l'on peut déterminer ce- lui des deux princes contemporains et homonymes qui a pu faire frapper la monnaie de l'an 1247. J'ai trouvé des Tables complétes du cycle géorgien, ce que les Russes nomment Tables de l'évolution de lindietion, dans le manuscrit de Tischendorf, à la Bibliothèque Impériale publique; dans” celui de M. l'académicien Sreznefski, dans l'Hymnaire de Mtzkhé- tha, enfin dans un Hymnaire de Chémokmed, dont j'ai donné des extraits, dans le 2° Rapport sur mon voyage, p. 188. Toutes ces Tables, ainsi que celle publiée à la suite de la Bible géorgienne, commencent par une année oü le terme pascal tombe au 13 avril, tandis que le 1" terme nicéen est le 2 avril, second de la série géorgienne. C'est méme là l'origine du nom géor- gie du cycle des 19 termes $53935-o6o, 13 — 2, vul- gairement 65,696. La serie des dates que nous venons d’exposer se rapportent toutes, excepté le X 13, au XIII cycle, 781— 1312; du XH’ 249 — 780, il n'en existe pas une seule, à ma connaissance, ni sur les monuments, ni dans les manuscrits, ce qui n'empéche pas que Wakhoucht, dans un travail particulier sur les 35 Páques, dont il sera question plus tard, n'en donne 21, entre les années chrétiennes 314 et 718. Comme il ne mentionne pas les sources d’où il les a tirées, il 38) Hist. de Gé. p. 477; Addit. p. 297; lis. 1214. 30* 471 Bulletin de l'Académie Impériale 472 est permis de croire qu'il les a simplement calculées, d'aprés ses recherches particuliéres. Les nombreuses chartes que jai analysées, dans PIntroduction à l'Histoire de Géorgie, dans les 6° et 8' Rapports sur mon voyage et à la fin du t. II de l'Histoire mod. de la Géorgie, sont ordinairement da- tées seulement de l'année cyclique et de l'indiction ou année du régne du souverain souscripteur du docu- ment. Parfois, trés rarement, on y rencontre l'ére mondaine géorgienne, et le plus souvent celle de Con- stantinople, accompagnée de circonstances du calen- drier, notamment la date mensuelle et l'hebdomadaire, pour l'année en question. C'est ce que l'on peut voir encore dans le t. 1" des Actes de la Commission ar- chéographique du Caucase, publiés sous la direction de l'honorable M. Berger. Ces chartes ont été criti- quées avec soin par M. Berdzénof, et plusieurs sont trés graves pour la chronologie. eg Les indications les plus détaillées, relatives à la mort des personnes souveraines, sont encore celles des atabeks d'Akhal-Tzikhé, dont un certain nombre sont mentionnées dans un joli Évangile manuscrit que j'ai vu à Gélath *): ces dates se composent de l'année cy- clique, avec le quantième mensuel et l'hebdomadaire, et sont toutes du XIV” cycle, 1313—1844. Deux dates du méme genre se retrouvent dans la Chron. géorgienne, p. 3, et dans les Dates de Wa- khoucht, 163— 1475. Je ne cite pas celle-ci, parce que l'ére mondaine grecque doit y étre rectifiée; Pautre se lit ibid. p. 10, et dans les Dates de Wa- khoucht, année 261—1573. De cette longue énumération il résulte que les Géorgiens, ayant recu de Syrie le cycle de 532 a., l'ont adapté à leur chronologie en 781, XIIT période, puis en 1313, XIV” période, et en 1845, XV" période; qu'en l’accomodant à leur histoire et remontant pro- leptiquement, ils sont arrivés à un premier cycle, finissant l'an 436 du monde, qu'ils ont parfait en y ajoutant les 96 ans manquants, et donnant l'an 5604 av. J.-C., ère dont ils ont fait usage durant le XIII cycle, peu ou presque point durant le XIV'. Ayant depuis lors adopté l'ére 5508, tout en conservant les initiales de leurs périodes, qui sont en avance de 96 a. 39) V. Mélanges asiatiques, tirés du Bull. de l'Ac, des sc., t. V p. 651 sqq., l'analyse de ces pièces. 40) 11° Rapp. p. 4: sur les cycles grecs. Pour l'ordinaire ils ne se servent pour leurs dates que de l'année cyclique, ou de l'an- née mondaine unie à.celle de l'ére chrétienne; car lannée chrétienne seule leur donne un numéro de trop pour le calcul des cycles lunaires et des épactes, et exige, avant toute opération, la soustraction d'une année du millésime chrétien. L'ére de l'incarnation ne se rencontre guére que dans les chartes d'Iméreth et de la Mingrélie, à cause des rapports incessants de ces contrées avec les missionnaires occidentaux. Soit à fixer le terme pascal, pour l'année 1875. Année chrétienne. Terme Comput Année RE Avec i orthodoxe. georgien. soustraction. soustraction. cyclique. 1875 5604 1875 1875:19 1875 —31 —2 875 —1 171 31:19 1873:19 7479:19 1874:19 165 12 171 — m 52 imn 163 177 164 13 11 152 171 152 e 11 69 12 12 Ben _57 ee x11 10 12 ld 12 x1 GE 12 -10 11 132:30 10 KAN 12 US AER 124:30 a 30 4 121:30 Ma 1 18 30 +14 ni 30 32 NL26M wer e —31 17 29 PL lA a +14. Terme, en avance 43 43 "une anne ql —31 PL12 A 12 Terme $2. L'année civile et ecclésiastique, sa composition et appellations de ses diverses parties. Parlons maintenant de l'année et des appellations géorgiennes de ses parties constitutives. Les Géorgiens nomment l'année civile [pogo /séli, transcription du persan JL sål, ou Fagofsgot sélitsadi, égalemeut du persan »l. JL. sâl sád ou ol. sádeh «année pure, complète;» étymologie qu'appuie le rap- prochement de (3ebo , les reins, au plur.; persan soul; Kéiere tsamali, poison, arabe pl. sam, et simoum, vent empoisonné pye, ob pl, sam iéli. L'année bissextile se dit 6sjo naci, du géorgien 6s3s9gdo naclébi, défectueux, qui n'a qu'une ressem- | blance fortuite avec l'arabe | D nasi «retard.» Les 473 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 474 Arméniens disent twqw 9 nahandch, du persan Ll, nahandjar , irrégulier, s'appliquant aux années inter- calaires, de 355 j., équivalant aux bissextiles. L'année ecclésiastique, proprement celle du cycle de 532 a., se nomme joóabozebo koroniconi , repré- sentation du grec xpovxov. L'année géorgienne civile s’ouvrait autrefois au 1” janvier, comme celle du calendrier julien, ce qui est affirmé directement dans les plus anciens traités de comput et indirectement par Wakhoucht, écrivant au XVIII s.*), lorsqu'il donne la méthode pour fixer låge de la lune; en commencant par janvier le compte des mois. Le fait est prouvé .bien plus clairement par la série des indicateurs des jours ggob lodo353ebo. ré- pondant aux réguliers de l'ancienne chronologie tech- niques, série donnée par les traités du X°et du XIII’ st janvier O, février 3, mars 3..; en effet janvier, initial de l'année, n'a point de régulier et ne peut en avoir. C'est ce que dit l'auteur du Traité de Mtzkhétha, daté de l'an 1233, $ VII: «Quoique le 1" septembre soit fixé comme l’initiale de l'année, cependant en ce qui concerne les caleuls, recherches et tous objets dont je traite, c'est janvier qui en est réellement l’initiale;» aprés quoi notre auteur donne la théorie et les chiffres des réguliers mensuels, tels que je les ai indiqués tout-à-l'heure.*) Il est vrai que Wakhoucht, dans un petit Tableau, donne une tout autre série que ses prédécesseurs: mars 5, avril 1, mai 3...., mais ce n'est pas sans une raison valable. Les réguliers ou indicateurs des jours sont fixés d'aprés une certaine époque fondamentale, non choisie au hazard, et qui sert de norme, à laquelle doivent se rapporter les méthodes imaginées pour dé- terminer tout hebdomadaire cherché. Or dans le cas présent, il s'agit de la 1” année de l'ére chrétienne, d'aprés le calendrier orthodoxe, oú l'année s'ouvre en mars; dans ce calendrier, le 1" mars de l'année 5509 est réellement 5 ou mardi; comme done Wakhoucht, dans le Tableau en question, part de l'année de mars, comme le calendrier orthodoxe, il devait fixer le régu- lier de mars et celui des autres mois en accord avec l'année mondaine géorgienne d'oú se forment les cycles; 41) Études de chronologie technique, Mém. de i'Ac. t. XI, M. 13, 82. p. 42) Étude de chron. techn. p. 8, 11; 29, 45. 43) Ét. de chron. techn. p. 67. or l'année 5604 comporte 96 a. de plus que celle des Grecs 5508, ce qui fait trois cycles solaires et 12 a. de surplus; car l'an 13 du 4° cycle solaire géorgien était égal à 1 du 1" cycle solaire grec: c'est pourquoi dans les deux opérations ci-contre“) on voit d'un côté 21, de l'autre 5, ce qui égale 12 (5 en avant du cycle 200, 197 grec, et 7 en arrière du cycle 199,196 grec). L'année 5 du cycle géorgien, 1" de l'ére chrétienne, a donc pour concurrent 5, qui, avec le régulier 5 de mars, donne 10:7 — 3 mardi, à partir de dimanche, 1” mars, dans les deux calendriers. L'année romaine a conservé dans les noms de ses dix mois primitifs la trace de leur ordre numérique, à partir de mars: quintilis, sextilis, september . . ., jusqu'à december, méme aprés l'addition, sous Numa- Pompilius, de janvier et de février. Le calendrier de Jules-César, s'ouvrant en janvier et admettant aprés chaque tétraétéride le bissexte au second 24 février, donna lieu à une autre combinaison. Pour les Juifs l'année commencait par la lunaison de nisan — mars, 1” mois du printemps, servant à fixer la Páque; l'é églisé chrétienne dut aussi fixer l'ouverture de son année à la lunaison pascale, déterminant l'époque des plus grandes fétes, l'année civile restant à l'initiale de janvier, comme dans le calendrier julien. Plus tard, à une époque qui n'est pas précisément connue, mais probablement à cause de l'indiction, tombant en septembre, à l'équinoxe d'automne, pro- bablement aussi en vue du comput syro - macédonien usité dans toute l'Asie, dont le calendrier s'ouvrait également en septembre, les Grecs chrétiens fixèrent aussi dans ce mois l'initiale de leur année civile, par 44) 21:4 5 + 21 = 26 : 7 — 5 ma. 1 M. 5605 : 28 200 + 5 5:4=1+5=6 ven. 25 M + 1 — 7 sam. 1° janv. 1M. 7+3=10:7= 51M. 3 24 24 99:7 =1, 25 M. 27:7=6 ven. 26 M. l'Annonciation. 475 Bulletin de l'Académie Impériale 476 opposition à l'année latine de janvier. On a vu précédemment, qu'au XIII s., d’après un témoignage authentique, le cycle pascal syrien, introduit en Géorgie, admettait aussi l'initiale de septembre comme ouvertement reconnue dans les temps antérieurs. Au reste les Juifs aussi, outre leur année religieuse de nisan — mars, avaient et ont encore leur année civile, s’ouvrant dans la lunaison de tisri, leur 7° mois, répondant à septembre. De lá est venu chez les Géorgiens le nom de Nouvel an sbseso fe, donné à ce mois dans l'ouvrage arménien sur le comput, d’Anania de Chirac, VII’ S. On pourrait croire que c'est par une licence poétique que l'auteur des Géorgiques à dit, 1. I, vers 218, Candidus auratis aperit cum cornibus annum Taurus . . . puisque le signe du bélier est regardé comme le premier du zodiaque; mais en effet avril, d’après l'étymologie de son nom, est le mois qui ouvre la terre sous influence du renouveau, et qui donne le signal des travaux champétres. D'autre part Franceur, dans son Uranographie, 6” éd. p. 297, dit que les brames indiens commencaient l'année au mois d'avril, et cette opinion peut se soutenir, si ce mois enjambait de mars sur le mois suivant. Du reste, outre les trois initiales déjà mentionnées, les peuples chrétiens connurent celles du 25 décembre ou de la Nativité du Sauveur, celle de Páques ou de sa Résurrection, celle de la lunaison de mars, qui déter- mine la Páque, ayant toutes eu leur raison d'étre, et qui sont longtemps restées en vigueur, parce qu'elles se, rattachaient à la religion ou au culte; enfin celle du 25 mars ou de l'Annonciation, la plus logique de toutes, a eu la vogue et a persisté long- temps chez divers peuples, comme par ex. à Florence, puis dans plusieurs provinces francaises, avant l'année 1563, oü le nouvel an au 1” janvier fut rendu obli- gatoire, par un décret du roi Charles IX. Le 25 mars était vraiment fondé en raison pour les peuples chrétiens, et Denys-le-Petit mérite d'étre approuvé, pour y avoir rattaché son ère de l’incarnation®). Il me semble que la Géorgie doit avoir eu quelque velléité à cet égard; car l’auteur du Traité de Mtzkhétha, $ VII et passim, insiste souvent sur le róle que joue 45) Art de vérif. les dates, éd. in-fo., p. IV, V, X. dans les calculs du comput la lettre hebdomadaire du jour de l'Annonciation. Voici comme elle était employée en Géorgie. Soit l'année 1875, ère chré- tienne. 5604 Preuve. Or la lettre du jour de 1875 1875 ; CH —479:28 ER l Annonciation est plus 6 9267 pot faible d'une unité que 187 EE 168. 3513:7—4me, Celle du 1” janvier, en 199 1 janvier année commune. ee ef M. Au contraire, en année bissextile ` Ss LA âme. janvier les deux lettres sont égales. Soit l’année 1864. 79898:7 = 4 me. 1°’ janvier. Pourquoi l'auteur aurait-il insisté sur cette particula- rité, s'il n'avait pas vou- lu indiquer l'Annonciation comme initiale du comput ecclésiastique géorgien, à son époque, en 1233? 5 + 20 = 25:7 == 4 me. 25 M. me. 1°” janvier. Combinée avec l'indicateur du jour, la lettre de l’ Annonciation, comme autrefois le concurrent, ser- vait à déterminer tout hebdomadaire cherché ^). Elle avait donc pour les computistes géorgiens une certaine valeur, que les nouvelles méthodes ont remplacée. Par ex. en 1864 soit à fixer l'hebdomadaire du 4 mars: 4 lettre de l'Annonciation. 1864.4 3 indicateur de mars. 466 4 1 de mars . 11:7 = 4me., ce qui est exact, 2331:7 = 0 1 M. 8 — 8 me. 4 M. Les anciens computistes géorgiens, à défaut de connaissances positives en astronomie, avaient une manière particulière de décomposer l’année, pour montrer la différence de 11 jours entre l’année lunaire et la solaire“). Ils nommaient sixain 34953989: 46) Études de chron. technique, 47) C'est ce que les Géorgiens Rasch sim, nom qui s'applique également à la ¿gera», du cycle solaire. p. 13, 42. appellent la lettre de l'année, lettre manuelle, 477 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 478 les six jours de moins, donnés par les mois lunaires de 29 jours, et quintette, byoypeo, les cinq jours res- tant des mois de 31 jours, aprés en avoir formé ceux de 30 jours: les deux restes réunis formaient le onzain $360930533€»o, qui constitue la différence en question, et ce onzain, répété 19 fois et augmenté d'un jour pour le saut de la lune 9ogsGol aber. en l'an 17 du cycle lunaire, donnait les 210 jours ou 7 lunai- sons complémentaires de 30 jours, qui complétent, au bout de 19 a. les 235 lunaisons du cycle. Je ne mentionne ce rouage, inutile d'ailleurs, du comput, que pour faire voir à quel degré d'exactitude étaient parvenus les computistes des X° et XIII S. Les saisons sont nommés farosi (556v; la saison en général, l'état de la température, dari gs6o, deux mots qui ont la plus grande ressemblance avec les arméniens «pk tari année, qwp dar siècle, et avec le persan ou plutôt l’arabe ,,,5 doureh, révolution d'un astre. La signification précise n’est pas la même, mais il y a analogie lointaine, qui permet de supposer une relation entre les objets désignés par les mots. Les noms particuliers des saisons sont: le prin- temps, ¿sSbsozbysso gazaphkhouli, l'été sobe zaph- khouli, l'automne chémodgoma, 4399535, l'hiver %sd- os6o, zamthari. La forme des deux premiers mots est celle d'un participe passif, 3e»o ouli; quant au radical zaphkh, il a une telle analogie de forme et de sens avec le persan © tep, l'arménien muy tap, signifiant l'un et l'autre «chaleur;» avec le géorgien o$oe»o thbili chaud, et le latin tepidus, que l'on est porté à supposer une origine commune. Reste seulement à expliquer le passage du £ et du th au z, et l’addition du kh; or le th géorgien, quand il est bien prononcé, est tout- à-fait l'équivalent du ih anglais, et le mot »sb than, avec, Noms romains Religieux. lanwari ... ¿sgbsggdod m8) ............ mois de l'Épiphanie. ........ Théberwali ` ou Phéberwali MOL S8 (IN. sn. Bp. JT A Deni nie ns Sushi oda de dp > se prononce comme san, cvv. Quant au kh épenthétique, s'il l'est réellement, je ne saurais en rendre compte qu'au moyen du changement de b ou p précédent, en aspirée, comme dans ooo@olo ou (5e5og»olo pour Thbilisi, la ville chaude, Tiflis. Ainsi le nom du prin- temps, à cause de la préposition inchoative ¿s pour 5:6, signifie proprement la saison échauffée, et celui de l'été la saison chaude. L'automne porte un nom purement géorgien, dont les parties constitutives chemo dedans — prés, et dgoma se tenir, donnent à peu prés le sens d’intermede, entre l'été “et Phiver. Dans le nom de ce dernier il n'est pas possible de méconnaitre le radical du ai per- san, du nt ismiern arménien, du yeınov et de lhiems grec et latin, enfin du zima russe et du hima sanscrit. Passons maintenant aux mois. Les mois géorgiens sont nommés thwé ou ththwé 033, 9033. Sans que l'on puisse s'expliquer la raison de la consonne redoublée dans la seconde forme, qui est classique et la plus archaique. Le mot thwé, qui est certainement la racine du nom de la lune mthware dongs6), est donc l'équivalent de pyw, l'astre des mois; quoique l'on ne lui connaisse pas d'analogue incontesté, soit en géorgien, soit dans d'autres idiomes, il n'est pas sans un air de parenté assez pro- noncé, d'une part avec les mots 2mojèo mthiebi, astre brillant, Lucifer, et doyb» mtheni brillant, formés d'un radical oo, o, car le m initial indique un qualificatif dérivé; de l'autre, avec l'arménien D, thiv, en dériva- tion Pny thov, nombre, d’où le géorgien osse»as !hwalwa, compter; mais ces aperçus ne sont pas entiè- rement satisfaisants. ? Quant aux noms des mois, il en existe trois séries: Nationaux. Se aen, Caen be geg ne. Noutzzni: ES Ur yzbolo Sourts- Aghv. : gounisi. Niwncani. un. 063560, doGasbo . . Agh.Tzakhouli, marcani, mircani. 076035, 09535; Igrica, igaca. .... 479 Bulletin de l'Académie Imperiale 4*0 Noms romains. Religieux. ¿ Vulgaires et aghvans, Nationaux. rmétiens. Md ado dirige d nr gs6gedol og); mois Doubaï, Bou- des roses. bas. Agh.Orili. Iwnisi ogsbexóol CÈDE Mois de la S.-Jean, le 24. ........ mods QU mobok 03), A E ¿380jeróol o3. moi de la fenaison. Mois de S. Cyriaque, le 25........ Qasos og, mois des Agh. Khoural- Agwisto... IsGosderdol ou Ze de Aal moissons. . ouban. eat, Mois de la fête de Marie, le 15. soso ou door Arm. Maréri. sbsg-f jeo, le nouvel an; sgolo, mariali ou Secdenbéri‘) 363369U-o3j, mois de l’Encenie ou de — marili alisi. la restauration du temple de la Résurrection à Jérusalem, le 13.— Kwelthobis - thwé, Encore, Ewgénisthwé, Mois de S. ` mois de l'abondance. Engine A nreti rrt Ocdonberi . Iwanobis thwé, comme juin; le 20, ¡segoberdob og), ghwi- Déposition des reliques du saint ... | nobis, Sos looge el —- sipho- s i | CNN boggol — sthwlis E = = thwé, mois de la ven- H Gë dange. Noenbéri .. ¿oea6¿edol ozz, mois de la S.-George, Hool zabo, bouquet Agh. Namots fète qui se célèbre le 10..... Déc'enbéri . Jadol ou Jëcleule Ach 03, de pleurs. ago goo. flux de EN Mois de la Nativité, Noël, le 25 ***). pleurs. *) Le journal g6mgès, dans ses en-tête, donne les noms suivants: juin, em beg ; juillet, Jgn gg; août, dns dm bal 044; septembre, abaabeh aan; octobre, anzbsm3nt gg; novembre, gom6gm ol ngg; décembre, Jéntggt Im dnd as. **) Je crois que c'est une mauvaise lecture du mot Enkénis-thwé, qui ne se trouve que dans le Syntagma de Maggi. *** V. les détails sur les mois dans les Mém. de l'Acad. Imp. des sc. VI? série, sc. polit. t. V. Matériaux pour servir à l'hist, de Ge. Introduction. Les noms latins et leurs correspondants, tirés de fétes chrétiennes, n'ont pas besoin d'explication, si ce n'est que la féte de S. Jean est appliquée à deux mois différents oú se célébrent des fétes particuliéres con- sacrées au méme saint. Si Pon veut comparer les noms nationaux géorgiens avec ceux des mois de l'Aghovanie arménienne *), tels qu'ils se rencontrent dans un manuscrit du traité sur le comput, par Anania de Chirac, au VII? S., on voit | 48) Contrée située sur les deux rives de la riviére Alazan, et qui au X® s, était devenue le Cakheth. que les noms de mars, ésakhouli, et de septembre, toulen, ont la plus grande analogie de forme avec ceux des mois géorgiens correspondants; que namots humi- dité "Lana: répond pour le sens à tiris-coni; khoural- ouban «rues brúlantes» est le géorgien byse gosb, lettre pour lettre, et correspond parfaitement à juillet — aoüt: toutes analogies qui ne sauraient étre fortuites. Quant aux véritables noms géorgiens, apani est. «un cri de douleur,» provoqué par la froidure; sourtsqounisi, sans étre parfaitement régulier, répond à 904366350 «abondant en eau;» mircani est une alté- ration de Marikh, nom arabe de la planéte de Mars; 491 igrica ou igaca, paraît dérivé de l'armenien booth ` «féminin, voluptueux;» wardoba est «la floraison des roses,» thiba-thwé «le mois de la fenaison,» meatha- thwé, celui des moissons. Les autres mois portent des noms aussi significatifs que ceux-là. On les trouve tous, soit dans l’histoire, soit dans le Dictionnaire original géorgien de Soulkhan-Saba, composé à la fin du XVII’ S.; quant aux noms des mois aghovans, on peut les lire dans le manuscrit arm. 114 de la grande Bibliothèque de Paris.*") ll faut ajouter que les mois géorgiens dont je viens de donner la notice répondent si peu jour par jour à ceux du calendrier romain qu'ils enjambent de l'un sur l'autre, que certaines appellations sont données dans les lexiques à deux mois différents, mais rappro- chés l'un de l'autre. Sans entrer dans le détail de ces variétés, il suffit de s'en référer au texte d'Anania de Chirac, où est indiqué le commencement de chacun de ces mois nationaux, comparativement aux mois égyp- tiens et autres, de facon à faire voir que les dates -mensuelles. des fêtes ne se répondent point dans les deux calendriers géorgien et romain. Peut-étre de fins connaisseurs trouveraient-ils des résultats intéres- sants pour la précession des équinoxes, dans l'étude des différences de dates entre le VII” s. et notre époque. Le premier jour du mois se nomme ob osgo «la | m tete du mois,» et l'hebdomadaire tombant ce jour-là H est ol: gsg35o «le jour déterminé du mois.» | La semaine porte le nom géorgien chwideouli dseyyeo «le septain,» ou le nom grec ¿385 cwira, kyriaké, comme en russe l'on dit neybas, le dimanche et la semaine. Le jour est nommé dghé ee, dont la ressemblance avec l'arménien wf» tiou, tiv, avec dies et nemb, est trop évidente pour avoir besoin d'étre relevée ni ex- pliquée. Les sept jours de la semaine, chiffrés 1—7, sont: ¿go6s, cwira dimanche; à dsbsoo, 2° sabat, ‘lundi; à Iso, 3° férie, mardi; e 9s5soo, 4" férie, mer- credi; 3 d59soo, 5° férie, jeudi; 3sésb¿ggo parasc'évi «préparation» répondant à l'ourbati arménien, d'origine ,.. 49) J'ai publié un extrait de cet ouvrage dans le t. X du Nouv. Journ. asiatique, 1832, p, 526. Tome XXII. des Sciences de Saint - Pétersbourg. 482 syrienne, et qui a le méme sens, vendredi, veille de dsèsoo le sabat ou samedi. Cette numération, d origine Julienne et chrétienne, s'est conservée chez les histo- riens byzantins et dans les livres arméniens. Dans l'occident, le dimanche est numéroté 0 ou 7, ce qui en fait le 7° jour de la semaine, bien que d'aprés les Dictionnaires de l'Académie francaise et de Littré, dimanche soit défini «1” jour de la semaine.» Il n'est pas rare de rencontrer chez les historiens arméniens, dans leurs dates les plus exactes, par exemple chez Arakel de Tauris, une petite différence d'un jour dans l'énoncé de l'hebdomadaire, tenant pro- bablement à ce que les Arméniens modernes, ainsi que les Türks et plusieurs peuples asiatiques, commencent le jour au coucher du soleil, au lieu de le faire, comme en Europe, chez les Grecs et les Georgiens, à minuit. Le jour géorgien est divisé en 24 heures, dont 12 pour la nuit et autant pour le jour proprement. dit. L'heure, jami 5%, est la transcription de l'arménien du jam, analogue au py hébreu, proprement le jour ou le temps en général; on dit encore saathi lssoo, de Parabe äcl.. Quant aux parties de l'heure), il parait qu'elle se divisait au temps ancien, en quarts, naothkhali seo bsgo; tsentili fabos; en cinquièmes, tsentiliani Vabdoszosbo , ou martzwali 9ségsseo , proprement «grain.» Tsentili et tsentiliani semblent étre des pro- nonciations altérées de isertili | 36(5oso, signifiant pré- cisément «un point?).» Le martzwali équivaut à 192". Outre cette division il en existe une, d'origine sexagésimale, oü le fractionnement de l'heure va jus- qu'à la 10° puissance. Tsami Ysdo, 60^, la minute. ..... E DIOE m Tsouthi Kass, 60' tsami, la seconde 3600 C'ési Aa, 60 tsouthi, la tierce; arm. 4&u moitié 21600 Masi sto, 60 c'ési, la quarte; arm. «wb partie 129600 Ardi ségo, 60 masi; wpy moment .......7776000 Méqi Zus, 60 ardi; murs, moment.....466760000 Tséni Yybo, 60 mégi. Watsé 353, 60 tséni. 50) Dictionnaire de Soulkan-Saba, rédigé á la fin du xvu* 8. évidemment avec des matériaux d'un temps plus reculé, d'origine inconnue. 51) Traité de Mtzkhétha, p. 39. á 483 Bulletin de l'Académie Impériale 484 Blitsi deeofjo, 60 watsé; Gancranie éclat. Nwini kache, 60 blitsi; din. A quoi bon cette division atomique de l'heure, qui dépasse des milliards de parties? Mais cette fantaisie doit étre ancienne, puisque le P. Nikolski, dans sa Revue des livres liturgiques, en russe, p. 257, parle d'un Jymmmkb, traité du cycle lunaire, rédigé au XII? s; par le moine Kirik, qui s'était aussi amusé à diviser l'heure de 60' en 5 parties, valant 12', puis chacune de celles-ci en 60”, celles-ci en 60" et ainsi de suite jusqu'à la 7° puissance. C'était limitation d’une autre fantaisie, juive celle-là, divisant l'heure en 1080 parties, dont 18 ou la 60° partie valent une minute, 216 ou la 5' partie équivalent au martzwali ou grain géorgien, de 12'. On dit que c'est le rabbin Samuel Iachinai qui, au III s. de notre ère, a intro- duit la division de l'heure en 1080 parties. Évidemment cette division excessive peut avoir quelque utilité dans des calculs délicats, et remplacer nos fractions décimales; mais je n'ai pas de preuve qu'elle ait jamais été employée. —. Ayant exposé tout ce qui concerne la chronologie et l'année civile, disons maintenant quels sont les auxi- liaires de la chronologie ecclésiastique. Les cycles, en général, se nomment c’inclozi ¿obje bo, transcription du grec xvxhos, en bon géorgien moktzéwi deigyge. révolution, ou tzkhrili Ho , terme technique, signifiant crible; mais je crois que sa vraie racine est 66e3s cesser, d’où le dérivé ghéndoso et, par abréviation ghéogo, cessé, limité, terminaison. Le premier et le plus grand des cycles est celui de 532 a., dit par abrévation khouthasiani \gosVosbo, de cinq cents; les Arméniens lui donnent également chez eux le nom abrégé de $ as wp/-pkut> qui a le méme sens, sans quoi il faudrait composer les mots mons- trueux bosta eso? 360$». $ [^24 iple p.puurulEp lncinunrblzurb. Le second cycle est mzis moltzéwi bol 9e]5330. le eycle solaire, et ses deux appendices nécessaires: le ¿ges kheltha ou les lettres manuelles, formant une série de 28 numéros, se suecédant l'un à l'autre, avec sept sauts ou intervalles pour les bissextiles, du- rant 98 a. Parallélement à ces 28 numéros, court une série pareille, de 28 lettres annuelles, ou concur- rents, plus faibles d'une unité que les lettres ma- nuelles, auxquelles on les adjoint, parce que la 1” année ne peut avoir de concurrent. Wakhoucht, dans un Tableau ingénieusement composé”), donne le N°. de l'année cyclique, avec indication du bissexte, et celui du concurrent y afférant, qui, additionné avec le régulier du mois et divisé par 7, donne l'hébdomadaire de la téte du mois pour. chaque année. Il va de soi que les années cycliques, caleulées d’apres l'ére mon- daine 5604, et les lettres manuelles, sont différentes des années et des lettres manuelles grecques, calculées d’après l'ére 5508, tonjours en avance de 12 rangs, sans changer rien aux dates, ce qui provient des 96 a. ajoutés à l'ére mondaine géorgienne; car 96 divisé. par 28 donne 4, et.12 de reste. Ainsi le cycle sui- vant commence par 13, quand le 1" cycle solaire grec est 1. Quant à la lune, dont le, cours a une importance majeure dans le caleul de la Páque, les Géorgiens ont ` leur mthwaris moktzéwi dngs6ob 0046330, cycle lunaire, dit aussi athekhramétouri, cycle de 19, remplaçant chez eux le nombre d'or, qui lorsqu'on en fait la recherche en réunissant l'année mondaine 5604 et le millésime et divisant par 19, ou simplement, en opé- ` rant sur l'année commune du cycle de 532 a., ne demande aucune autre addition ni soustraction; mais si l'on opère sur un millésime de Jore chrétienne, seul, veut que l'on soustraie une année de ce millésime. La raison en est bien simple. Les cycles de 532 a. sont organisés d’après l'ére mondaine dont il s'agit, — et leurs années initiales sont en rapport, comme on ` la vu sur le Tableau de la 1° page, avec certaines années de l'ére chrétienne, tandis que, si l'on agit sur l'année chrétienne seule, les 96 a. mentionnés donnent une année de trop (96:19 — 5 + de reste). Les autres opérations nécessaires pour trouver l’öpacte, la nouvelle et la pleine lune, se font comme à l'ordinaire. Soit l'année 1875: .. ; 52) Études de chron. techn. p. 67. D + des Sciences de Saint - Pétersbourg. 486 Quoique l'épacte julienne, obtenue par la méthode géorgienne et avec le N. d'or, Avec le N.d'or. 1875 53 — 1 = 52:30 = 22 er 1+5=6—6 = ö 1876:19 29 —9 — 134 71 166 _152 14 —3 11 zednadébi % US ge soit plus faible de 3 unités que le fondement russe, 485 1875 ` Métho de géorg. XV* cycle de 532. — 2 1875 31:19 1873 : 19 vel 9 171 1874 : 19 "mE 7363 171 y _ 152 164 SH 11 152 —1 12 10 EN x11 11 10 XM 10 11 +14 11 124 : 30 121 : 30 4 30 30 IAEA t SEG 29 +17 +14 43 48 —31 +81 PL12 A 12 A Les computistes géorgiens admettent une seconde série ou cycle de 19 a., découlant de la 1”, et qui se nomme athsamétori ou simplement ézamétori, Shades Ger, $593.60. vulg. tzamétouri 699760; ce nom, dans sa forme réguliére, provient de ath dix - Sam trois et ori deux; la forme vulgaire signifie pro- prement cycle «de 13,» mais en tout cas, les deux premiers termes en sont les nombres 134 9^. ; . . c'est done à proprement parler le «cycle de 13— 2,» c'est- à-dire le cycle des 19 pleines lunes pascales, afférant aux Nos. 1—19 du cycle lunaire. Aussi, dans la liste des années du cycle pascal de 532, la 1" année est- elle marquée par Vépacte O ou 30 et par la PL . 18 avril, amenant la Pâque au 15 de ce mois. Mais le N° 1 du cycle lunaire est coté le 19” dans les listes rédigées depuis que le cycle nicéen a prévalu, et par -~ suite l'année 2 est devenue la 1", ce qui ne nuit pas à la justesse des caleuls, parce que c'est toujours le cycle pascal géorgien qui donne l'année du cycle lu- naire, l'épacte et conséquemment la Páque, ainsi qu'on l'a vu dans l'exemple allégué ci-contre. $ 3. Explication de quelques termes techniques. 936705 so 6çols, ou jago 56,55, carnelevale, car- niprivium, maconyeró, dimanche de la Sexagésime, où cesse chez les Grecs l'usage de la viande, le 56° jour avant Pâques. sesgods, la Résurrection, le jour de Pâques. on voit pourtant que la PL pascale est déterminée identiquement des deux côtés. s@355 «prendre,» avoir permission de prendre des aliments gras, cette permission méme. sgj5s-gebo, jours de permission, dans le sens indiqué; les Arméniens disent mumf.p» jours où l'on mange gras. s@pdol-wsd), veille du carniprivium. edu vulg. zbalain «plénitude ;» pleine. lune, spécia- lement pascale. sbswo 4395, Dimanche-Nouveau, Oougna max bas, Quasi- modo. stsgo 9003563, nouvelle lune. Wess, de dbs «buis» fête du buis, i. e. dimanche des Rameaux. C'est par erreur que certaines personnes ont lu de bes, dimanche de la Prostitution. Vel gobas gés: le dimanche brillant, Páques. ¿37920 gsdeabossgs, examen de la côte, autre nom du dimanche de Thomas, Quasimodo. Les Armeniens nomment wofwuwep$Qanlunnn ub Abr becht. Dimanche de l'église universelle, ou de la basilique, le 3' dim. aprés Páques. On le nomme aussi le dimanche vert kurt: et le 4°, Dimanche «rouge, Ywpdkp>» sans doute à cause de la couleur des ornements d'église ces jours-là. gog-sgjds-gpjbo, grands jours de permission, de prendre des aliments gras, de Noël au dernier jour inclus, qui est le dimanche du carniprivium. Ce sont 32 jours, ou 33 en bissextile, Páques 487 Rulletin de l'Académie Impériale ass tombant le 22 mars; 66 jours, 67 en bissextile, Pâques étant le 25 avril: ainsi, de Noël au 25 ou 26 janvier; au 28 ou 29 février. gogo spgUjos. la grande pleine lune, pascale. ` epolralsdogdzebo, les indicateurs des jours, i. e. les réguliers mensuels, qui, unis au concurrent annuel et au quantième, divisés par 7, donnent au quo- tient l'hebdomadaire cherché; c'est l'ancienne méthode, tant prónée par Scaliger. Chez les Géorgiens 1 est le signe du dimanche. \ NUN la Pâque; arm. qued de dreckt: séparer; jour oú les Hébreux ont été séparés ou se sont séparés des Égyptiens. ooxl-o53o, la tête, le 1” jour d'un mois. ooxl«ese9o. l'hebdomadaire du 1” jour du mois. onzi C,H, N OZnC,H, Zn(OH); + C,H, Ls dá C,H, + 2H,0 = HC — C,H, + NOH Obgleich nach Wagner und Saytzew die beiden Molecüle des Zinkäthyls nicht auf einmal áuf den so ist es ihnen doch nicht gelungen das, nach Zersetzung mit. Wasser im ersten Stadium der Reaction sich bildende, Zwischen- product — rg un Monoethylin des ein- fach-äthylirtem Methyl ol . Nach Wagner's und Saytzew e Më ist die Einwirkung | der Säurechloranhydride auf zinkorganischen Verbin- dungen der soeben angeführten ganz analog, und daher kann die Bildung dés Acetons und des Trimethylcar- binols aus Chloracetyl und Zn(CH,), durch folgende Gleichungen ausgedrückt werden: . CH, CH, SHC, 2 OH, D. coc * 2- ch "> Ol CH; das: heisst das Endproduct einer solchen Einwirkung zweier Molecüle C,H,OCI auf ein Molecül Zn (CH) werden Aceton und ZnCl, sein, und bei der Berei- tung der Ketone auf diese.Art würde man zu jenen Gewichtsverhältnissen der reagirenden Körper zurück- ` kehren müssen, welche Chiozza und Freund angaben. Zweitens, könnte man bei der Einwirkung von '/, Mol. 7 CH; Zu(CH,), auf CH, — C — OZnCH, die Bildung einer 3:0 ^ CH, solchen Verbindung CH, — C — OZnCH, erwarten, : CH, welche bei der Zersetzung mit Wasser eine eben so grosse Menge Trimethylearbinol gehen würde, als wenn zur Reaction Zn(CH,) und nicht CH, genom- men sein würde, der Unterschied wáre in der Menge des ausgeschiedenen Sumpfgases, — in dem einen Falle würde sie halb so gross als in dem andern sein: 1) CH? CH? | / Cl | | 3 Ee + TOW = 0c a und. | OZnCH?’ | OZnCH? CH? CH? CH? CH & v | ré C : N +2H,0 = C \ + CH? + Zn (OH). |. OZnCH ` | CH? CH* 2) ar ee Cl | | CH? cé SE al 7, 0l | à OZnCH* CH | ES OZnCH? FACH und CH’ - - hole hat. des Sciences de Saint- Pétersbourg. 506 C . + Zn e + 3H°0 — | | OZnCH? CH? Wenn ferner drittens bei der Einwirkung z. B. von Chlobutyryl oder Chlorisobutyryl auf ein Molecül Zn (CH,), sich eine solche Verbindung y CH O,H,-C L OZnCH, ^s wirklich bildet, so muss sie, übereinstimmend mit der Erklárung Saytzew's und Wagner's, fähig sein, bei der Einwirkung eines Molecüls Zn(C al, dis Reaction CH, C,H,-0 s OZnCH, + (CH) Zn = CH C,H,-0 4 OZnCH, > GE zu geben, und bei der Zersetzung dieser letzteren Ver- bindung mit Wasser musste sich ein tertiürer drei verschiedene Radicale enthaltender Alkohol bilden. Eine bejahende Entscheidung dieser Fragen durch die entsprechenden Versuche würde die erwühnte Er- klárung der Einwirkung von zinkorganischen Ver- bindungen auf Chloranhydride der Sáuren, wenn auch nicht endgültig zweifellos, so doch wenigstens im hóchsten Grade wahrscheinlich machen. Diese Ent- scheidung bildet unter anderem einen Theil dieser meiner Arbeit, welche sich zugleich auf die Natur jener, bei der Eihaltang der sotme und -— tertiären Alkohole, sich bildenden hochsi N sowie dis Ursachen ihrer Entstehung bezieht. | In dieser Abhandlung berühre ich nicht die Bildung der bei der Bereitung der tertiären Alkohole entste- henden entsprechenden C,H,,, deren Natur mehr oder weniger erforscht ist, und welche ihre Bildung ganz bestimmt der wasserentziehenden Wirkung des Chlorzinks auf die entstehenden terfiiren Alkohole verdanken. Dennoch halte ich es nicht für überflüs- Sig, eines Umstandes zu erwähnen, der ein rein prak- tisches Interesse bei der Bereitung der tertiären Alko- Der Unterschied in den Siedepunkten der CH Cop | Mogr* 2CH* + Zn (OH + Zn OH Cl OH. tertiären Alkohole und der ihnen entsprechenden ungesättigten Kohlenwasserstoffe der Aethylen-Reihe nimmt bestündig in dem Masse ab, wie das Molecular- gewicht des Alkohols wächst. Für das Trimethyl- carbinol und das ihm entsprechende Isobutylen ist dieser Unterschied = 90°, für das Dimethyläthyl- carbinol und das aus ihm gewonnene Amylen schon = 67, und für das Dimethylisobutylcarbinol und das entsprechende Hexylen = 46°. Wenn man bedenkt, dass die tertiären Alkohole sehr schwer die letzten Spuren Wasser verlieren, welche in Folge der Bil- dung von Hydraten den Siedepunkt stark erniedrigen, so wird sich die Trennung durch Destillation der Kohlenwasserstoffe CnH,, von den Alkoholen mit ho- hem Moleculargewicht als sehr schwierig herausstel- len. Bei der Bereitung von tertiären Alkoholen mit geringem Molecülargewicht dagegen verflüchtigt sich während der Destillation der chlorzinkhaltigen Lösung der Kohlenwasserstoff, der sich gebildet hat, vollstän- dig, oder doch die grösste Menge davon. Um den Alkohol ohne Beimengung des Kohlenwasserstoffs zu erhalten, muss man, nach der Zersetzung des Reac- tionsproducts mit Wasser, die erhaltene Alkohol- lösung vom Zinkoxyd abfiltriren, wenn der Alkohol in Wasser leicht löslich ist, wenn aber der Alkohol sich schwer löst, so muss man die ölige Flüssigkeit mittelst eines Scheidetrichters abscheiden; hierdurch wird die Nothwendigkeit der Auflösung des Zinkoxyds in Salzsäure, und folglich die Anwesenheit von ZnCl, [und die Bildung des Kohlenwasserstoffs umgangen, was die Reinheit und Menge des zu erhaltenden Alko- hols vergrössert. Versuche über die Bildung der Ketone bei der Einwirkung von Säurechloranhydriden auf zinkorganische Verbindungen. Wenn auch die gewöhnliche Bereitungsart der Ke- tone durch die Einwirkung von 2Zn(R), auf R'COCI im Resultate ein fast ganz reines Product gibt, so ist es dennoch insofern nicht ganz bequem, weil eine grosse Menge der organischen Zinkverbindung ver- 507 — - braucht wird, und bei der Zersetzung durch Wasser ein Verlust des Products sattfindet. Dieser Verlust hängt sowohl von der grossen Menge der sich ent- wickelnden Gase ab, welche das Keton fortführen, als auch von der bedeutenden Erwármung, welche immer trotz der Abkühlung stattfindet. Nach Saytzew und Wagner muss die Reaction bei der Bildung der Ke- . tone zwischen einem Molecül ZuR" und 1 Mol. R'COCI stattfinden, und wenn man weiter dieser ihrer Ansicht folgt, so hat man, wie schon oben bemerkt, folgenden Gang der Reaction zu erwarten: CH, dr CH, CH,- ec OZnCH, + on = 2 CO + nt, | Cl CH, Demnach muss ein Moleeül Zn(R), auf 2 Mol. R'COCI genügen um eine der theoretischen nahe Menge des Ketons zu erhaltem. Um diese Frage zu lósen, hielt ich es für's beste, die Reaction zwischen Zink- methyl und Chloracethyl zu wühlen, indem ich bei verschiedenen. Versuchen verschiedene Gewichtsver- hältnisse der reagirenden Körper anwandte. Um das zweite, zur Bildung vom krystallinischem Körper füh- rende, Stadium der Reaction zu vermeiden, wurden alle Gemenge sofort nach der Bereitung durch Wasser zersetzt und das auf diese Weise erhaltene Product quantitativ bestimmt. Einwirkung von 2 Mol. Zn(CH,), auf 1 Mol. C¿H¿OCI. 10 gr. C,H,0Cl wurden. unter starker Abkühlung tropfenweise zu 23 gr. Zn (CH,), zugesetzt. Nach Been- digung der Reaction war die Flüssigkeit fast farblos, und man erhielt nach ihrer, unter starker Gasentwicke- lung stattfindenden, Zersetzung mit Schnee 6,5 gr. Aceton“). Der Theorie nach müsste man aus 10 gr. C,H,0C1 — 7,5 gr. Aceton erhalten, folglich erhielt man 86,67, der theoretischen Menge. 3 Einwirkung von 1*/, Mol. Zu(CH,), auf 4 Mol. C,H,0C1. : Erster Versuch. 21gr. Zu(CH,), und 17 gr. C,H,0C1 wurden mit einander unter Einhaltung der- selben Bedingungen vermischt. Die Flüssigkeit ist etwas bräunlicher gefärbt; nach der Zersetzung mit Schnee 14) Bei allen Versuchen enthielt das Zn(CH,), kein CH,J; das erhaltene Aceton wurde über CaCl, getrocknet und bei 55—57° ge- sammelt. Es verband sich energisch mit NaHSO,, unter starker Wärmeentwickelung, zu einer krystallinischen Masse. Bulletin de l'Académie Impériale anita A Lin Ré A GR 508 erhält man (Gasentwickelung wieder stark) 10 gr. Ace- ton. Theoretisch musste man aus 17 gr. C¿H,OCI 12,5 gr. erhalten, es wurden also 80°, der theore- tischen Acetonmenge erhalten. | ZweiterVersuch. 7 gr. Zn(CH;),und 4 gr. C, H,0CI. Die Flüssigkeit sah ebenso aus, wie beim ersten Ver- such; von Aceton erhielt man 2,5 gr., anstatt der von der Theorie geforderten 3 gr., d. h. 83,3%. Einwirkung von 4 Mol. Zn(CH,), auf 1 Mol. C,H,0Cl. Erster Versuch. 33 gr. Zn(CH,, und 27 gr. C,H,0 CI wurden wie früher vermischt; das erhaltene Gemenge stellte eine etwas dicke dunkelrothe Flüssig- keit dar. Die Zersetzung dieser Flüssigkeit mit Schnee ging ruhiger vor sich, als bei den vorherigen Versuchen, und anscheinend unter nur geringerer Gasentwicke- ` lung. Aceton erhielt man 16,5 gr., anstatt der von der Theorie geforderten 20 gr., was 82,5%, ausmacht. In den ersten drei Versuchen wurden keine Nebenpro- ducte, bei diesem Versuche dagegen erhielt man Spu- ren eines hochsiedenden Kórpers, welcher einen ei- genthümlichen scharfen Geruch hatte. Zweiter Versuch. Zur Reaction wurden. 17 gr. Zu(CH,), und 14 gr. C,H,0 Cl genommen. Nach Been- digung derselben war die Flüssigkeit dunkler, als beim ersten Versuch; nach der Zersetzung erhielt man 7 ‚Dgr. Aceton, anstatt der theoretisch-erwarteten 10 gr., was 75,0%, ausmacht. Vom hochsiedenden Producte er- hielt man im Verhältniss zum ersten Versuche mehr. Einwirkung von 2 Mol. (C,H,0CI) auf 4 Mol. (CH3)o» Erster Versuch. Zur Reaction wurden 19 gr. Zu(CH,), und 33gr. C,H,OC1 angewandt. Beim Zugies- sen der letzten Tropfen Chloracetyl fand eine unbe- deutende Gasentwickelung statt. Nach der Hinzufü- gung der ganzen Menge des genommenen Chloran- hydrids wurde die Flüssigkeit recht diekflüssig und fürbte sich dunkel braunroth. Darauf wurde das er- haltene Product sogleich mit einer grossen Menge Was- ser verdünnt; es fand weder Erwármung noch Gasent- wickelung statt. Man erhielt 17,5 gr. Aceton, anstatt der theoretischen Menge 25 gr., was 70,0% ausmacht. Zugleich mit Aceton bildete sich eine geringe Menge von hochsiedendem Nebenproduct, und zwar mehr als in den beiden folgenden Versuchen. Zwéiter Versuch. Angewandt 19 gr. Zn (CH ` : relativ ` `~ 509 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 510 und 24 gr. C,H,OCl. Von Aceton erhalten 14 gr. Der Theorie nach muss man aus 24 gr. C,H,OCI, 18 gr. Aceton bekommen; diese Menge Aceton macht FAT der theoretischen aus. Dritter Versuch. 10 gr. Zn (CH,), und 16 gr. C,H,OCI. Von Aceton wurde 9 gr. erhalten, statt der theoretisch geforderten 10,5 gr., also 85,7%, der theo- retischen Menge. Bei der Bereitung der Ketone nach letzterer Methode ist es durchaus nóthig, die letzte Menge des Chloranhydrids schnell zuzugiessen und da- rauf sofort das Product mit einer grosser Wassermenge zu vermischen. Beachtet man diese Bedingungen nicht, so vermindert sich die Menge des sich bildenden Ke- tons; dieses ist aus dem ersten Versuche ersichtlich, welcher verhältnissmässig weniger Aceton als die letzten - Versuche lieferte, weil die Mischung 2 — 3 Stunden stehen geblieben war, ehe dieselbe durch Wasser bear- beitet wurde. Wahrscheinlich findet hier unter dem Einflusse von ZnCl, Bildung condensirter Aceton- derivate statt. ; Aus den beschriebenen Versuchen sieht man, dass bei der Reaction von 2C,H,OCl auf 1 Mol. Zn(CH,), durch- schnittlich etwa 80%, der theoretischen Acetonmenge erhalten werden. Dieses Verhältniss der reagirenden - Körper wurde von Hrn. Lawrinowitsch bei der Be- reitung des Methyläthylketons angewandt (durch Ein- wirken von 2 Mol. C,H,0C1 auf 1 Mol. Zn(C,H*),) und dabei gute Resultate erzielt; die Menge des von ihm er- haltenen Ketons betrug auch ungefähr 80°/ der theore- tischen Menge. Die vergleichende Quantitáts-Bestim- mung des sich bei verschiedenen Gewichtsverhältnissen der reagirenden Kórper bildenden Acetons führt also an- nühernd zu ein und demselben Resultate, námlich, dass bei der Vergrösserung der Menge von Zn(CH,), und Anwendung einer und derselben Menge C,H,OCI die Ausbeute von Aceton fast gar nicht vergróssert wird. Auf diese Versuche sich stützend, muss man zugeben, dass bei der Bildung von Aceton durch Einwirkung von 2 Mol. Zn(CH,), auf 1 Mol. C,H,0C1 und von (1. Mol. Zn(CH,), auf 1 Mol. C,H,OCI im ersten Falle 1 Mol. -Zn(CH,), und im zweiten '/, Mol. Zn(CH,), nur als Auf- lósungsmittel dienen und bei der Zersetzung mit Wasser ohne Nutzen verloren gehen. Bei dem Verháltniss von 1 Mol. Zu(CH,), und 1 Mol. CHOCO geht die Reaction so vor sich, wie Saytzew und Wagner es voraus- - setzten, und in der That ist bei der Zersetzung mit Wasser die Entwickelung der Gase in diesem Falle bedeutend schwücher, als bei den oben erwühnten Ver- hältnissen. Bei dem Verhältniss von 2 Mol. C, H,OCI und 1 Mol. Zn(CH,) geht die Reaction ganz so vor sich, wie vorausgesetzt wurde, das heisst: : CH Ss + Zu(CH,), = let 2. Als Ae dieser Gleichungen kann Me Abwesen- heit der Gase bei der Zersetzung durch Wasser des Pro- ducts der Reaction.von 2 Mol. C,H,OCI und 1 Mol. Zn(CH,), dienen. Obgleich die beschriebene Synthese der Ketone durch Einwirkung von 2 Mol. R'COCI und 1 Mol. Zu HI, für allgemein gelten kann, so ist dennoch z. B. für die Bereitung der Pinakoline lieber ein anderes Verhält- niss vorzuziehen, und zwar gerade das umgekehrte, d. h. 1 Mol. R'COCI und 2 Mol. Zn(R’),, oder doch wenigstens 1 Mol. R'COCI auf 17/, Mol. Zn(R”),. Da das einfachste Pinakolin, das tertiäre Butylmethylketon, bei 106” siedet, so ist natürlich der Verlust eines solchen Ketons bei der Zersetzung des Reactionsproducts hóchst unbedeutend und die Ausbeute des Ketons ist fast theore- tisch, ausserdem wird das Keton hierbei fast vollstän- dig rein sein. Bei dem Verhültniss von 2 Mol. R'COCI auf 1 Mol. Zn(R)), wird aber die Menge des erhaltenen Pi- nakolins im Verhältnisse zum angewandten Säure-Chlor- anhydrid geringer sein und Beimengung von Neben- producten enthalten. Dasist für die Bereitung der Pina- koline deswegen besonders wichtig, weil die Bereitung der Chloranhydride der tertiáren Säuren im Verhält- niss zur Bereitung der organischen Zinkverbindungen sehr kostspielig ist. Vergleichende quantitative Bestimmung von Trimethylcarbinol, welches bei der Einwirkung von 1 Mol. C,H,O0CI auf 2 Mol. Zn(CH,) und von 1 Mol. C,H,0Cl auf 1'/, Mol. Zn(CH,), à entsteht. Zur synthetischen Bereitung von synthetischen Tri- methylcarbinol gebraucht man gewöhnlich 1 Mol. C,H,OCl auf 2 Mol. Zn(CH,),. Nach Saytzew und Wagner geht hierbei die Reaction folgendermassen vor sich: 511 Bulletin de l'Académie Impériale 512 CH / CH, dem Wasser herausgenommen und blieb bei gewühn- cocı + 20H) = CH,-C < OZnCH;; licher Temperatur 3 Tage lang stehen. Nach dieser Cl | Frist hat man den Inhalt des Kolbens mit Wasser zer- setzt und die sich bei der Zersetzung ausscheidenden Gase in einem Gasometer, der zur annähernden Mes- sung der Gasmenge eingerichtet war, gesammelt. Nachdem das ganze krystallinische Product mit Was- ser zersetzt war, nahm das ausgeschiedene Gas im Ga- someter 7,5 Raumtheile ein. Der erhaltene Alkohol stellte, nachdem er vorher über entwässertem BaO getrocknet und bei 81— 83^ abdestillirt war, bei ge- wöhnlicher Zimmer - Temperatur eine krystallinische Wasser erhält man dann den Alkohol. Es war inter- | aus langen Nadeln bestehende Masse dar, — das war Tri- essant zu wissen, wie die Reaction zwischen 1 Mol. | methylcarbinol. Bei dieser Reaction bildete sich we- C,H,001 und 1'/, Mol. Zn(CH,), vor sich gehen würde. | der Aceton noch irgend ein hochsiedendes Nebenpro- Man könnte erwarten, dass dieselbe folgenden Gleichun- | duct, Der Theorie nach müsste man aus 10 gr. C,H,0C1 gen entsprechen wird: 9,4 gr. Trimethylcarbinol erhalten, und ich erhielt 7,2 gr., was 76,8%, der theoretischen Menge. aus macht. CH, CH,-C / OZnCH, + Zn(CH,), = 3 TWO 3 3'2 Cl CH, CH,-C Z- OZnCH, + ZnCH,Cl. CH, / CH, Nach der Zersetzung: von CH,-C <- OZnCB, mit CH CH CH. + Za(CH,), Oe e OZnCH,; | / CH, ÿ Einwirkung von 4 Mol. C,H,0C auf 1°, Mol. Zn(CH;),. CH,-C OZnCH, + ACH, = OH, : 17 gr. €,H,0Cl wurden zu 32 gr. Zn (CH) all- mählich zugegossen, wobei dieselben Bedingungen, wie beim ersten Versuche, eingehalten wurden. Nach Beendigung des Zugiessens war die Flüssigkeit mehr gefärbt, als bei dem ersten Versuche. Nach 5 Stunden (während welcher der Kolben in dem Schneewasser blieb) war die Masse fast vollständig krystallisirt. Bevor die Zersetzung mit Wasser. vorgenommen wurde, blieb der Kolben bei gewöhnlicher Temperatur‘ 3 Tage lang stehen; die bei der Zersetzung entwei- a CH,-0 OZnCH,+ OL. y . Nach der Zersetzung des letzteren Products mit Wasser würde man eine ebenso grosse Menge Alkohol erhalten, wie im ersten Falle, der Unterschied würde nur in der Menge der sich ausscheidenden Gase be- stehen; im ersten Falle müsste man eine doppelt so grosse Menge Gas erhalten, wie im zweiten. Um diese Frage aufzukláren, wurden folgende Versuche ausge- geführt. Einwirkung von 4 Mol. C,H,0CI auf 2 Mol. Zu(CH,), zum ersten Versuch gedient hatte, gesammelt und nah- men dabei 6 Raumtheile ein, während, bei dem Ver- hältnisse von 2 Mol. Zn(CH;) und 1 Mol. .C,H506l, der Raum des sich aus den im vorliegenden Falle zur Reaction genommenen 32 gr. Zn(CHy), entwickelnden Gase gleich 10,5 Raumtheilen sein müsste. Der Schnee abgekühlten Kolben befand, zugesetzt. Als das | Berechnung nach müssten die aus 32 gr. Zn (CH3) Zugiessen beendet war, wurde die Flüssigkeit etwas róth-| und 17 gr. C,H,0CI bei der Zersetzung mit Wasser lich. Nach Verlauf von 3 Stunden zeigte sich im obern | sich entwickelnden Gase (vorausgesetzt, dass die Reac- Theile der Flüssigkeit (der Kolben blieb in der Mischung | tion nach der früher angeführten Gleichung vor sich von Wasser und Schnee) ein krystallinisches Häutchen, | geht) 5,2 Raumtheile einnehmen. Das bei diesem welches sich bestándig vergrósserte, und nach Verlauf | Versuche in einer Menge von 12,7 gr. erhaltene von 10 Stunden war die ganze Flüssigkeit vollständig Trimethylcarbinol ging bei der Destillation bei 81° — in Krystalle verwandelt. Darauf wurde der Kolben aus 83° über und stellte die bekannte krystallinische 10 gr. C,H,0C1 wurden tropfenweise allmählich zu 33 gr. Zu(CH,),, welches sich in einem durch Wasser mit chenden Gase wurden in demselben Gasometer , der . ausgesprochene Annahme. 518 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 514 Masse dar, welche bei Zimmer. Temperatur fest blieb. Theoretisch müsste man aus 17 gr. CH40Cl — 16 gr. C,H,,0 erhalten, folglich wurde es 79,6%, der theore- tischen Menge gebildet. Zugleich mit dem Alkohol ist bei dieser Reaction eine unbedeutende Menge von Aceton entstanden; von den hochsiedenden Neben- producten aber war keine Spur anwesend”). Wie man sieht, bestütigen die Versuche vollkommen die vorher Der Unterschied von 3 Y, zwischen den bei zwei Versuchen erhaltenen Mengen von Trimethylcarbinol kann nicht als bedeutend an- gesehen werden, wenn man bedenkt, dass bei den ver- schiedenen Manipulationen immer ein Verlust nicht umgangen werden kann. Die relativ gróssere Menge von Trymethylcarbinol bei dem letzten Versuche wird durch die verhältnissmässig grössere Menge Materials erklárt, wobei der Verlust selbstverstándlich relativ kleiner sein muss. — — Die Bereitung der tertiáren Alkohole unter An- wendung von 1Y, Mol. Zn(R'), und 1 Mol. R'COCI kann nicht verallgemeinert werden und ist nur für Trimethylearbinol brauchbar. Schon bei der Berei- tung von dem Trimethylcarbinol náchsten Analogon, Dimethyläthylcarbinol, muss man, um eine bessere Ausbeute zu erhalten, zur Reaction zwischen 2 Mol. Zn(CH,), und 1 Mol. C,H;OCI Zuflucht nehmen. Da dem Zn(CH,), öfters etwas CH,J beigemengt ist, wel- ches das Verhältniss zwischen letzterem und dem - Chlorpropionyl ändert, so bildet sich gewöhnlich eine geringe Menge des entsprechenden Ketons. Das- selbe wird auch für einige andere tertiäre Alkohole beobachtet. Ist ‘aber das Verhältniss ganz genau 1 Mol. C,H,OCI auf 2 Mol. Zu(CH;),, so erhält man gar keinen oder nur Spuren von Keton, Der Grund, warum das Dimethyläthylcarbinol und andere tertiáre Alkohohle nicht in reinem Zustande aus 1 Mol. R/COCI und 11, Mol. Zn (R.), erhalten werden können, liegt wahrscheinlich in dem verschiedenen Verhalten T zu erklären, will ich die Reaction zwischen 2 Molecü- der Verbindungen R-C /_ OZnR' zu ZnR'Cl. Um dieses l 15) Die Kolben, in welchen die Reaction des zwischen C,H40CI und Zn(CH,) vor sich ging, wie auch die Mengen des Wassers, wel- ches zur Zersetzung des krystallinischen Products angewandt wur- den, waren möglichst gleich. Tome XXII. len Zn(CH,), und 1 Molecül CHOCO) — und zwischen 3 Mol. Zn(CH;, und 2 Mol. C,H,0C1 näher bespre- chen. (Letzteres Verháltniss wird zur bequemeren Erklärung des Ganges der Reaction anstatt des Ver- hältnisses von 1, Mol. Zn(CH,), und 1 Mol. C;H,0CI genommen) Nimmt man 2 Molecüle Zn (CH) und 1 Mol. C,H,0C1, so zerfällt die Reaction in zwei Sta- dien; im ersten Stadium verbindet sich ein Molecül Zn(CH;) direct mit CHOCO) und bildet die Verbin- . CH, dung CH,-C OZuCH,, welche im zweiten Stadium CI mit dem anderen Molecül Zn(CH,) reagirt und y CH | CH,C — OZnCH, + CH;ZnCl Ct giebt; im zweiten Stadium tritt also das Chlor in Wechselwirkung mit Zn(CH;), ein, wobei das Cl gegen CH, ausgetauscht wird. Nimmt man aber 2 Mol. C,H40Cl und 3 Mol. Zn(CH,),, so zerfällt die Reac- tion in 3 Stadien: im ersten Stadium treten 2C,H,0Cl in directe Vereinigung mit 2 Zn(CH;), / ! 3 und bilden 2CH,- C — OZnCH,; im zweiten Stadium Cl tritt 1 Mol. CH;- C <- OZnOCH, in Wechselwirkung C | mit dem nachgebliebenen Molecül Zn(CH;) und es CH, | bildet sich CH,-C ^ OZnCH, = ZnCH,CI; endlich im letzten Stadium tritt das andere Molecül 7 CH, CH, - C— OZnCH, ^l in Wechselwirkung mit ZnCH,CI und bildet 7 CH; CH,- € — OZnCH; und ZnCl.. N CH, Auf diese Weise werden wir zu Ende der Reaction aus 2 C;H,OCI und 3 Zn (CH;), haben 2CH,-C — OZnCH, und ZnCl,. Ce CH, 33 15 Bulletin de l'Académie Impériale B 516 In der That lässt sich das Chloratom in | CH,C Ce OZnCH, Cl mit grosser Leichtigkeit gegen CH;, welches sich in CH,ZnCl befindet, austauschen. "Dieser Austausch erklárt, warum eine und dieselbe Menge von Trime- thylcarbinol bei Anwendung von 1 Mol: C,H4CIO auf 2 Mol. Zn (CH;), wie von 1 Mol. C,H;CIO auf UG Mol. Zn(CH,), sich bildet. In dem Maasse aber, wie das Molecülargewicht des Chloranhydrids und das der organischen Zinkyerbindung wächst, werden das Chlor- atom in C1- C E OZnR’ wie das Radical R’, sowohl R in ZnCIR/, als auch in Zn(R’), weniger beweglich und lassen sich nicht mehr so leicht gegenseitig austau- schen. In der That, bei Anwendung von 0¿H,0C1 geht der Austausch von Chloratom der Verbindung , CH, C,H, - C- OZnCH, CH, gegen CH, von Zn(CH,), viel langsamer vor sich, als bei der Wirkung des Chloracetyls auf Zn (CH,),. Das zweite Stadium der Reaction tritt in diesem Falle erst nach etwa vierundzwanzig Stunden ein. Bei C,H,OCI (Iso) und Zn(CH;) beginnt das zweite Stadium der Reaction nach etwa zweimal vierundzwanzig Stunden und schreitet nur sehr langsam vorwárts. Bei Anwen- dung beider letzterer Chloranhydride geht der Aus- tausch von Chloratom in R'-C E OZnR' gegen R' des C ZnCIR' gar nicht vor sich. Bei C¿H,OCI (Chlorisova- leryl) ist auch der Austausch von Chloratom des Re oH CH, — C£ OZnCH, Mel gegen CH, des Zn (CH) ausserordentlich tráge und sogar nach Verlauf eines Monats tritt grósstentheils ungefähr nur die Hälfte von C,H, — C — OZnCH, in Wechselwirkung mit Zn(CH,)% ein. Synthese der tertiáren Alkohole, welche drei verschiedene ` Radicale enthalten. Bis jetzt war noch kein tertiárer Alcohol bekannt, in welchem alle drei mit einem und demselben Koh- lenstoffatom verbundenenen Radicale verschieden wä- ren. Es ist mir gelungen, die beiden einfachsten Reprisentanten dieser Gruppe darzustellen: das Methyl- äthylpropylcarbinol und das Methyláthylisopropylcarbi- nol. Die Darstellung dieser Alkohole kónnte, wie ich schon früher bemerkt, als Bestätigung der Erklärung dienen, welehe Saytzew und Wagner der Einwirkung von Sáurechloranhydriden auf zinkorganische Verbin- dungen gegeben haben. l Zur Darstellung von Methyläthylpropylcarbinol wurde zu 1 Mol.Zn(CH,), unter Abkühlung allmählich ein Molecül Chlorbutyryl zugesetzt. Zu Ende der Reac- tion wurde die Flüssigeit im Kolben hellroth und etwas diekflüssig. Darauf wurde sofort zum Gemenge ein Molecül Zn (C,H;), zugefügt, wobei keine Reaction zu bemerken war. Die ursprüngliche Farbe der Flüssig- keit veránderte sich fast gar nicht. Nach drei Tagen wurde der Kolben, in welchem die Reaction vor sich. | gegangen war, aus dem Wasser herausgenommen und. wührend anderthalb Monate bei Zimmer- Temperatur gelassen. pe : Nach zwei Wochen bildeten sieh in der Flüssigkeit zwei Schichten: eine untere kleine und fast feste Schicht und eine obere dickflüssige. Eine weitere Veránderung der Schichten fand nicht statt. | Die nach der Zersetzung mit Wasser erhaltene ölige Flüssigkeit wurde . mit einer concentrirten Lösung von NaHSO, behandelt, darauf über was- serfreiem Baryt getrocknet und fractionirt. Nach, mehreren fractionirten Destillationen gelang es einen Körper mit einem ziemlich constanten Siedepunkte von 135?— 138? abzuscheiden. Um die Zusammensetzung '| und die Natur des erhaltenen Körpers zn bestimmen wurde aus ihm durch Einwirken von gasfórmiger HJ das Jodür dargestellt. Der Geruch des Jodürs erin- nerte ein wenig an Terpentin. Die Bestimmung des Jods in diesem Körper führte zu folgendem Resultate: 0,5425 gr. des Körpers gaben 0,5680 gr. AgJ, was ` 56,58%, Jod ausmacht. Der Theorie nach muss in C,H,, J 56,19Y, Jod enthalten sein. Die Bestimmung von J hat also gezeigt, dass man es mit dem Jodür 517 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 518 eines Heptylalkohols zu thun hatte. Die Bildung des Heptylalkohols bei der oben beschriebenen Reaction kann durch folgende Gleichung ausgedrückt werden: CH UTE TB oc + Zn (CH), —C,H,- 6 — 9 Zn CH, i LE C, H, CO Zn CH, + Zn(C,H Wd: | je CA, = OZnGH, + C,H,-C 0 Zn CH, CH , 2778 und wenn letztere Verbindung mit Wasser zersetzt pod € mar gen neuen tertáren Heptylalko- ol-Methyli lcarbinol, eine farblose Flüssigkeit, welche einen schwach campherartigen Ge- ruch hat. Aus dem Jodür des Methyläthylpropylearbi- nols wurde durch Einwirkung eines Gemisches von gesättigter alkoholischer Aetzkalilösung und von festem Aetzkali das entsprechende Heptylen dargestellt. Er- hitzt man die Mischung des Jodürs mit der alkoholi- schen Lauge, so tritt die Reaction bei der Siedetem- peratur schnell ein und beendigt sich bald unter Aus- scheidung von Jodkalium. Bei der Destillation und Verdünnung des Destillats mit viel Wasser erhält man den Kohlenwasserstoff als eine ölige aufschwimmende Schicht. Dieses Heptylen stellt eine farblose Flüssig- keit dar, mit einem Geruch, der an das Amylen erin- nert; sein Siedepunkt liegt Saken 90°—95?°, Um seine Natur zu bestimmen wurde seine Verbin- dung mit Brom dargestellt. Mit Brom verbindet es sich sehr energisch; giesst man aber Brom zu Hepty- len unter starker Abkühlung mittelst einer mit Ca- pillarrobr versehenen Pipette, so geht die Vereinigung unter kaum merklicher Ausscheidung von HBr vor sich. Die Bestimmung der Brom-Menge gab folgendé A Resultate: 0,6140 gr. des Kohlenwasserstoffes gaben 1,6425 gr. der Bromverbindung. Die Menge des ver- bundenen Broms ist gleich 1,0285 gr , was 62,619, ` Br. ausmacht, nach der Formel C,H,, Br, berechnet man 62,01%, Br. Von mehreren der Theorie nach mög- lichen Structurformeln des erhaltenen Heptylens muss man auf Grundlage bekannter Thatsachen eine von den folgenden zwei annehmen: - CH, 1) C=CH.CH, (Dimethylpropylüthylen) =CH,.CH,CH, : ‚CH, j 2) C — CH, .CH, (Diäthylmethyläthylen) CH CH,CH, e Zur Darstellung des Methyläthylisopropylcarbinols wurde die Reaction ebenso geführt, wie bei der Be- reitung von Methyläthylpropylcarbinol, nur mit dem Unterschiede, dass man anstatt Chlorbutyryl Chlor- isobutyryl anwandte. Nach Beendigung der Reaction war, die Flüssigkeit kaum gefürbt und blieb leicht beweglich. Nachdem aber dieselbe bei Zimmer-Temperatur wührend an- derthalb Monate gestanden hatte, wurde sie recht dickflüssig. Nach Zersetzung mit Wasser erhielt man eine ölige Schicht mit starkem Campher-Geruch. Die Flüssigkeit wurde mehrere Mal der fractionirten Des- tillation unterworfen und aus dem Erhaltenen, nachdem es vollkommen ausgetrocknet war, durch mehrmaliges Fractioniren eine Portion ausgeschieden, die ziemlich constant bei 124— 127^ siedete. Der Geruch dieser Portion erinnerte stark an das Hydrat des Pentamethyl- üthols, er war eampherartig und erinnerte zugleich an Schimmel. Um die Zusammensetzung und die Natur des erhaltenen Kórpers zu bestimmen, wurde wieder das Jo- dür durch Einwirkung von gasfórmiger HJ bereitet. Die Bestimmung des Jods zeigte, dass es das Jodür eines Heptylalkohols war: 0,8295 gr. der Substanz gaben 0,8720 AgJ, was 56,78%, ausmacht. Für die Formel C.H,,J sind 56,19%, Jod berechnet. Nach seiner Ent- stehung muss der erhaltene Alkohol als Methyläthyl- isopropylearbinol angesprochen werden; seine Bildung bei der beschriebenen Reaction ist ganz analog der Bildung von MethylithyIpropylear binol. Aus dem Jodür des M lcarbinols wurde durch Einwirkung einer alkaholincheig Aetzkali- lösung der Kohlenwasserstoff dargestellt, welcher ein Heptylen mit dem Siedepunkt 75—80° und mit ei- nem dem von Amylens sehr ähnlichen Geruche ist. Zur Prüfung wurde seine Verbindung mit Brom dargestellt: 0,5155 gr. von Kohlenwasserstoff gaben 1,3895 gr. der Bromverbindung. Die Menge des gebundenen Broms ist 0,8740 gr., was 62,90%, Br. ausutacht; wäh- ‚rend man nach der Formel CH, Dr, 62,01%, Brom S ; 33% 519 Bulletin de PAcadémie Impériale 520 berechnet. Bei der vorsichtig ausgeführten Vereini- gung von Brom mit diesem Heptylen entwickelt sich nur eine unbedeutende Menge HBr. Am allerwahrscheinlichsten kann man diesen Koh- lenwasserstoff als Tritmethyläthyläthylen ansehen und seine Bildung. würde in diesem Falle durch folgende Gleichung ausgedrückt werden kónnen: CH, << ihsani El CH, — un > CH, CH-C — Ode — H,0= CH, — — C, H, Ein besonderes Interesse wird, wie ich glaube, der Oxydationsgang dieser neuen tertiáren Alkohole dar- bieten. Da ich bei der gegenwürtigen Arbeit nur die Móg- lichkeit ihrer Bildung darzuthun beabsichtigte, und da ausserdem nur eine geringe Menge von Substanzen mir zur Verfügung stand, so konnte ich weder ihre physikalischen Eigenschaften náher, noch ihr Verhal- ten bei der Oxydation untersuchen. Dazu kommt noch, dass, obgleich die Selbstständigkeit der erwähnten Al- kohole, meiner Meinung nach, für genügend bewiesen angesehen werden kann, ich dieselben dennoch nicht in genügender Reinheit ausscheiden konnte. Daher habe ich auch die Absicht, diese Alkohole in grösse- ren Mengen darzustellen und mich mit dem näheren Studium ihrer Eigenschaften zu beschäftigen. Alle oben angeführten Versuche über die Synthese der tertiären Alcohole und der Ketone haben die An- sichten Saytzew’s und Wagner's vollkommen be- stätigt. Untersuchung der hochsiedenden Nebenproducte, welche man gleichzeitig mit den Ketonen und den tertiáren Alkoholen bei der Einwirkung von Sáurechloranhydriden auf zinkorganische Verbindungen erhält. Auf die Nebenproducte mit hóherem Siedepunkt, welche sich zugleich mit den Ketonen bilden, hat schon Freund"), als er Ketone darstellte, seine Aufmerksam- keit gelenkt. Jedoch konnte er weder die Natur noch die Zusammensetzung dieser Kórper bestimmen, da sie keinen beständigen Siedepunkt zeigten. Dem Anscheine nach ähnlicher Producte erwähnt auch A. Popow in seiner Untersuchung über die Ketone "). Auch bei der 16) Ann. d. Chem. und Pharm CXVIII, S. 1. 17) Die Beschreibung der einwerthigen Ketone. Kasan 1869. Darstellung verschiedener tertiárer Alkohole bilden sich zugleich mit den Alcoholen und den Ketonen diese hochsiedenden Nebenproducte, aber in so geringer Menge, dass ihre Untersuchung nicht ausgeführt wer- den konnte. Bei der Bereitung von Dimethylisobutyl- carbinol!?) bemerkte ich die Bildung eines Nebenpro- ducts mit dem Siedepunkt 217 — 219°, sammelte das- selbe und bin zur Ansicht geführt worden, seine Bildung müsse man dem geringen Überschusse des zur Reaction genommenen Chlorisovaleryls zuschreiben. Die Natur und die Zusammensetzung dieses Kórpers blieben damals unerklárt. Als ich mich mit der Dar- stellung grósserer Mengen von Dimethylisopropylear- binol beschäftigte (um daraus die Dimethylisopropyl- essigsäure darzustellen), erhielt ich auch das Neben- product mit dem Siedepunkt 189 —191'. Nachdem ich auf diese Weise zwei, dem Anscheine nach, analoge Producte zur Verfügung hatte, welche auch, nach ihren Siedepunkten zu urtheilen, ziemlich rein wa- ren, konnte ich zu‘ihrer ausführlichen Untersuchung . schreiten. ; | Nicht weniger interessant, als die Bestimmung der chemischen Natur dieser Kórper, war das Auffinden der Ursachen ihrer Entstehung bei der Einwirkung von Säurechloranhydriden auf zink-organische Verbindun- gen. Dieses konnte indirect zur Erlüuterung des Me- chanismus dieser Einwirkung selbst dienen. Die Bestimmung der Zusammensetzung der hoch- siedenden Nebenproducte hat mir gezeigt, dass sie dem Mesityloxyd analoge Producte der Condensation der ` Ketone sein mussten. Auf den ersten Blick schien es, dass man die Bildung dieser Producte durch die was- serentziehende Wirkung von Chlorzink auf Ketone leicht erklären könnte. Da es bekannt war, dass die tertiàren Alkohole beim Abdestilliren aus einer wäs- serigen Lösung von ZnCl, leicht Wasser verlieren und ungesättigte Kohlenwasserstoffe geben, so erschien es nicht unwahrscheinlich, dass auch die Ketone, welche sich zugleich mit den tertiáren Alcoholen bilden, diese Producte beim Abdestilliren von der chlorzinkhaltigen Lösung liefern. Diese Ansicht führte mich zum Stu- dium der Einwirkung von Chlorzink auf Aceton. Wenn man Aceton mit wasserfreiem ZnCl, in zu- 18) J. d. R. Ch. 6. VI, 170. `~ SA IA EE 521 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 522 - ] geschmolzenen Róhren auf dem Wasserbade zwei Tage lang erhitzt, so bildet der Inhalt der Róhre eine dicke dunkelbraune Masse. Behandelt man dieselbe mit Was- ser, so erhält man eine kleine ölige Schicht auf der Oberfläche des Lösung. Dieses mit Wasser ausge- waschene und über CaCl, getrocknete Product be- ginnt bei der Destillation bei ohngeführ 200° zu sie- den, und die Temperatur steigt bald bis auf 300? dabei bleibt ohngefähr noch die Hälfte des ganzen Products als harzige Masse in dem Destillations- apparate zurück. Ganz ebenso verhält sich das Ace- ton zu ZnCl,, wenn man die Einwirkung bei gewóhn- licher Temperatur vor sich gehen lásst, nur ist dann die Reaction viel langsamer. Wasserfreies ZnCl, wirkt also auf Aceton nicht nur beim Erhitzen ein, sondern giebt mit demselben auch ohne Erhitzen ein Gemenge hóherer Condensationsproducte. Hóchst merkwürdig - ist es aber, dass wasserfreies ZnCl,, trotzdem dass es so energisch condensirend wirkt, immer nur eine sehr ge- ringe Menge von angewandtem Aceton verändert. Et- was anders verhält. sich eine wässerige Chlorzinklö- sung: beim Erhitzen von Aceton mit solcher Lösung in zugeschmolzenen Röhren im Wasserbade während zweier Tage verdichtet sich das Aceton weniger stark, als bei Einwirkung von wasserfreiem Chlorzink. Un- terwirft man das bei letzterer Reaction erhaltene Oel der Destillation mit dem Thermometer, so beginnt es schon bei 140° zu sieden, das Quecksilber im Ther- mometer steigt dennoch bald bis zu 300°, und im - Destillationsapparate bleibt, dabei gleichfalls ein har- ziger Rückstand. Der Umstand, dass die erhaltene Flüssigkeit schon bei 140° zu sieden beginnt, kann auf die Anwesenheit einer unbedeutenden Menge von Mesityloxyd deuten. Durch die oben beschriebene Versuche der Einwirkung von wasserfreiem ZnCl, auf Aceton lässt sich nur die Bildung der hochsieden- den Nebenproducte bei der Reaction von 2 Mol. R'COCI auf 1Mol Zn(R), erklären, weil die bei dieser letzteren Reaction sich bildenden Nebenproducte eben- falls keinen bestündigen Siedepunkt haben und bei ihrer Destillation im Destillationsapparate immer harzige Producte zurückbleiben. Ausserdem war bei der Einwirkung von 2 Mol. R'COCI auf ein Mol. ZnR', die Menge der hochsiedenden Körper desto grös- Ser, je spáter das Reactionsproduct durch Wasser zersetzt wurde und je linger also die Reaction zwi- schen den entstandenen ZnCl, und Aceton vor sich ge- hen konnte. Die Entstehung der Condensationspro- ducte bei der Bereitung tertiürer Alkohole kann man aber nicht durch wasserentziehende Wirkung der ZnCl,- Lósung auf die sich hierbei in geringer Menge bil- denden Ketone erklären. Bei der oben beschriebenen | Wirkung der wässerigen ZnCl,-Lósung auf Aceton, bei zweitägigem Erhitzen auf 1007 verdichtete sich nur eine geringe Menge desselben, und Mesityloxyd konnte darin nur in den allergeringsten Mengen vor- handen sein. Dennoch bestehen aber die Producte, welche sich bei der Einwirkung von 1 Mol. R'COCI auf 2 Mol. Zu(R’), bilden, fast vollständig aus Analogen des Mesityloxyds. In Anbetracht der oben beschrie- benen Versuche musste jedoch die Ansicht, dass die condensirten sich bei der Einwirkung von 1 Mol. R'COCI auf 2 Mol. ZnE', bildenden Producte ihre Ent- stehung der wasserentziehenden Wirkung von ZnCl, auf Ketone verdanken, aufgegeben werden. Eine andere Erklárung der Entstehung von Con- -densations-Producten der Ketone könnte in der was- serentziehenden Wirkung der organischen Zinkver- bindungen gesucht werden. Einige hierauf bezügliche Beobachtungen findet man schon in der chemischen Literatur. Rieht und Beilstein””) erhielten bei der Einwirkung von Aceton auf Zinküthyl das Phoron, Prof. Butlerow*) erhielt bei der Einwirkung von Aceton auf Zinkmethyl ein schweres unangenehm rie- chendes Oel, welches er für einen Kohlenwasserstoff hielt und dessen Bildung er durch wasserentziehende : Wirkung von Zn(CH,), auf Aceton erklärte. Die er- wühnten Untersuchungen liessen bis zu einem gewis- sen Grade die Móglichkeit zu, auch in dem zu unter- suchenden Falle die Bildung von verdichteten Producten der wasserentziehenden Wirkung der organischen Zink- verbindungen auf Ketone zuzuschreiben. Da einerseits bei den Versuchen von Rieth und Beilstein, wührend der Einwirkung von Zn(C,H,), auf Aceton, sich nur ` Phoron und kein Mesityloxyd (was jedenfalls etwas befremdend erscheint) bildet und, andrerseits die von Butlerow bei der Einwirkung von Aceton auf Zn(CH,), erhaltenen verdichteten Producte von ihm nicht un- tersucht worden waren, so hielt ich es für nothwendig, 19) Ann. d. Ch. u. Ph. CXXVL S. 145. 20) Zeitschr. f. Ch. 1864 S. 385. 523 Bulletin de l'Académie Impériale 524 ausführliche Versuche über die Wirkung von Zn(CH,), und von Zn(C,H,), auf Aceton anzustellen. Einwirkung von Zinkäthyl auf Aceton. Nach Rieth und Beilstein wirkt Zinkäthyl beim Erhitzen sehr energisch auf Aceton ein. In der That, wenn man 1 Mol. C,H,O mit 1 Mol. Zn(C,H,), zusammen- mischt und mit umgekehrtem Kühler auf dem Wasser- bade bis zum Sieden von Aceton erhitzt (bei gewóhn- licher Temperatur findet keine merkliche Einwirkung statt), so bemerkt man in Laufe der ersten 10-15 Minu- ten gar keine Veránderung des Gemisches, spáter tritt aber plótzlich eine heftige Reaction ein, im Kolben findet ein starkes Aufscháumen statt und durch den stark ab- gekühlten Kühler kommen anfangs Dümpfe von freiem Aceton und später die von Zn(C,H,), zum Vorschein. - Ungeachtet der raschen Abkühlung des Kolbens gelingt es nicht, die Reaction zu beruhigen und sie dauert so lange fort, bis die letzten Spuren von freiem Zn(C,H,), und Aceton verbraucht sind. Nach Beendigung der Reaction stellt die Masse im Kolben eine stark-blasige Masse dar, welche, indem sie sich abkühlt, bald zu “einer zähen amorphen Substanz wird. Zersetzt man nun diese Substanz mit Wasser, so er- hàlt man, unter einer unbedeutenden Gasausscheidung, viel Zinkhydrat und auf der Oberflüche der Flüssig- keit sammelt sich eine gefärbte ölige Schicht, welche den starken characteristischen Geruch der Condensa- tionsproducte von Aceton besitzt. Diese Schicht wurde auf dem Oelbade vom Zn(OH), abdestillirt, zur Ent- 'fernung des Acetons mit Wasser gewaschen, über ge- sehmolzener Pottasche getrocknet und mit dem Ther- mometer destillirt. Der Körper fing bei ungefähr 110° an zu sieden und der Quecksilberfaden des Thermo- meters stieg allmählich bis 300°, wobei im Destilla- tionsgefáss nur ein geringer Theil zurückblieb. (Bei den Versuchen von Rieth und Beilstein gingen die er- haltenen Producte bei der nàmlichen Temperatur über.) Nachdem dieses Product einige Mal der fractionirten Destillation unterworfen war, gelang es, eine Portion mit dem ziemlich constanten Siedepunkt von 1 28- 1 33° 56,19%, berechnet. Es gelang mir nicht, das Phoron mit constanten Siedepunct abzuscheiden, desswegen wurde auch die Analyse dieses Kórpers nicht ausge- führt. Die Versuche, das Phoron aus den Portionen, welche einen dem Phoron nahen Siedepunkt hatten, zum Krystallisiren zu bringen, misslangen gleichfalls. Die Portion, welche unter 128^ siedete, bestand aus einem Gemenge von Mesityloxyd und Aceton. In dem Wasser, mit welchem die erhaltene Oelschicht ausge- waschen wurde, fand man nur Aceton. Die folgenden zwei Versuche wurden ohne Erhitzen ausgeführt. Das Aceton wurde unter Abkühlung zum Zn(C,H,), zugegossen. . Im Laufe von 3—4 Tagen veránderte sich die Farbe und die Beweglichkeit der Flüssigkeit nicht im ge- ringsten. Am 4ten oder 5ten Tag fing die Flüssigkeit an dick zu werden, wobei sich aus ihr allmáhlich Ga- se entwickelten. Nach 10 Tagen war das Gemenge so : dick geworden, dass es sich im Kolben kaum bewegte, und auf seiner Oberflüche bildete sich ein ziemlich bedeutendes Háutchen, welches aus Gasbláschen be- stand, die in der obern Schicht dieses Gemenges enthalten waren. Als diese Masse mit Schnee zersetzt wurde, so zeigte sich, dass sie viel freies Aceton ent- - hielt; auf der Flüssigkeits-Oberflüche sammelte sich eine ölige Schicht, welche mit Wasser ausgewaschen, über geschmolzener-Pottasche getrocknet und destil- lirt wurde. Bei der Destillation erhielt man, ebenso wie im ersten Versuche, ein Gemenge von Producten, welche von 115 bis 300°, siedeten, doch war die Menge | jenes Theils des Oeles, welcher zwischen 128 — 133^ gesammelt wurde, grósser als alle übrigen Producte zusammengenommen. Die Bestimmung von Jod in der Jodwasserstoffverbindung dieser Portion gab folgende. Resultate: 0,5930gr. der Substanz lieferten 0,7075 gr. AgJ, was 56,26%, J entspricht. Der Formel C,H,,JO for- — dert 56,19%, Jod. Auf diese Weise erwies sich der bei ` 128—130? siedende Kórper als ziemlich reines Mesi- tyloxyd; aber, ebenso wie im ersten Versuche, ge- lang es mir nicht das sich bei dieser Reaction bildende Phoron in genügend reinem Zustande zu erhalten. zu gewinnen, welche den Geruch des Mesityloxyds be- |. _sass. Die Bestimmung des Jods in der Jodwasserstoff- verbindung dieses Kórpers gab folgende Resultate: 0,2345 gr. des Kórpers gaben 0,2470gr. AgJ, was 56,829/ Jod entspricht; für die Formel C,H,,JO sind Einwirkung von Zinkmethyl auf Aceton. | Wenn man 1 Mol. C,H,O mit 1 Mol. Zn(CH,), bei gewöhnlicher Temperatur zusammenbringt, so beginnt die Reaction, unter kaum hörbarem Knistern, schon xw beds 1417 IT ad A AAA AE o OR Abt, E d: WATER CH D o 525 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 526 bei den ersten Tropfen Aceton, welche in den Kol- ben zum Zn(CH,), zugegossen werden, und allmählich stellt sich eine Gasentwickelung ein. Nach. Hinzufü- gung des ganzen Acetonquantums wurde das Gemenge ziemlich dick und trübe. Gase entwickelten sich dabei beständig. Nach etwa 15 Minuten hatte sich die Mischung in eine gallertartige Masse verwandelt, welche eine weisslich - graue Farbe besass und eine grosse Menge der während der Reaction gebildeten und in der Masse zurückgebliebenen Gasbläschen einschloss. Nach Verlauf einer Woche wurde die gallertartige Masse fester und geborsten. Als sie mit einer-grossen Menge Wasser bearbeitet wurde, entwickelten sich keine Gase und die einzelnen Stücke wurden vom Was- -ser nur sehr schwer angegriffen. Man war gezwungen, die Flüssigkeit von ihnea wiederholt abzudestilliren und neue Mengen Wasser zuzusetzen; aber auch un- ter dieser Bedingung zersetzte sich die Masse nicht leicht, und zu Ende musste man das sich ausscheidende Zinkoxyd in Salzsáure auflósen, um auf diese Art al- les Oel auszuscheiden, Dieses Oel enthielt Spuren von Aceton dud stellte ein Gemenge der Condensationsproducte dar, welche bei von 103 bis 300" siedeten. Aus ihnen wurde das Mesityloxyd mit dem Siedepunkt von 128—132? aus- geschieden. Die Bestimmung des Jods in der Jodwas- serstoffverbindung dieses letztern gab befriedigende Resultate: 0,4390 gr. der Substanz gaben 0,4600 -AgJ oder in %=56,60J; die Formel C,H,,JO for- dert 56,19%, Jod. Bei einem andern Versuche wurde das Aceton sehr langsam zum Zn(CH,), zugegossen, wobei der Kolben mit Zn(CH,), in Wasser und Schnee stand. Auf diese Weise war das Knistern schwächer, als beim ersten ' Versuche, es entwickelten sich auch weniger Gase und die Flüssigkeit wurde nicht so schnell dick; nach Ver- lauf einer Stunde stellte aber das Gemenge doch eine weisslichgraue gallertartige Masse vor. Die weitere Veründerung der Masse und auch die nach der Zer- setzung mit Wasser erhaltenen Producte erwiesen sich als vollkommen identisch mit den im ersten Versuch - beobachteten. Aus den angeführten Versuchen sieht man, dass das ` Zn(CH,), und Zn(C,H,),, wenn auch unter verschiede- nen Bedingungen, auf Aceton stets nur Wasser ent- ziehend einwirken und ein Gemenge von Condensations- producten bilden. Die Bildung von Mesityloxyd wird durch folgende einfache Gleichung ausgedrückt: 2C,H,0 + Zu(R‘,) = C,H,,0 + 2R'H + ZnO, doch besteht die Einwirkung der organischen Zink- verbindungen auf Aceton nicht allein in der Verdich- tung zu Mesityloxyd. Aus C,H,,0 und C,H,O findet wahrscheinlich unter nochmaliger Ausscheidung von Wasser eine weitere Verdichtung statt, und auf diese Art erhált man hóhere Producte. Durch die beschriebene Wirkung von Zu(CH, ) und Zn(C,H,), auf Aceton kann man sich ganz deutlich die Entstehung der Condensationsproducte der Ketone bei der Reaction von 1 Mol. R'COCI auf 2 Mol. ZnR’, vorstellen. Wenn man die letzte Hülfte von R'COCI zu 2 Mol. ZnE', zugiesst, befindet sich im Kolben nicht nur 1 Mol ZnK , sondern auch R'-C E OZnR' und das Cl Chloranhydrid, indem es mit dieser Verbindung zu- sammentrifft, kann auf einen kleinen Theil davon unter Bildung von Keton und ZnCl, einwirken. Das gebil- dete Keton giebt seinerseits mit dem noch vorhandenen freien ZnR', Verdichtungsproducte; da aber das ZnR’, zur Hálfte mit der Verbindung SG OZnR’ ver- ^g dünnt ist, so vid seine Wirkung auf die Ketone KSE sein, als wenn es frei ist, und daher wer- den, aller Wahrscheinlichkeit nach, die entstehenden Verdichtungs-Producte des Ketons fast ausschliesslich . aus den Analogen von Mesityloxyd bestehen. Das sich bei der Verdichtung der Ketone ausscheidende Was- ser wird einen Theil von ZnR’, zersetzen, und zwar unter Entwicklung von Gasen, was bei der Reaction öfters wirklich beobachtet wird. Um diese Behaup- tung zu bestütigen, wurde folgender Versuch ausge- führt. Unter Abkühlung goss man 1 Mol. CH,COCI zu 1 Mol. Zn(CH,, allmählich zu (das Zinkmethyl wurde in diesem Verhältniss genommen, um den letz- ten Mengen Chloranhydrid die Moglichkeit zu gewüh- ren, ein wenig mehr R-C de OZnR'in Aceton und Zn Cl, Ze | zu zerlegen); das Gemenge blieb in Schneewasser ste- hen. Nach’ 1—2 Stunden begannen aus der röthlich gewordenen Flüssigkeit sich Gase zu entwickeln, und 527 Bulletin de l'Académie Impériale 528 E später erstarrte dieselbe zu einer amorphen Masse. Als die Masse mit Wasser zersetzt, wobei eine nur schwache Gasentwickelung stattfand, und die Verdichtungs-Produckte abdestillirt waren, so erhielt man Aceton und Mesityloxyd; von letzterem ungefähr die Hälfte der ganzen Menge von Product. Za näherer Bestimmung der Natur des höher-sieden- den Productes wurde seine Verbindung mit HJ dar- gestellt. I. 0,4625 gr. der Substanz gaben 0,4850 gr. II. 0,6150 » » » » 0,6475 » In Procenten: I. 56,66J (berechnet für C,H,,JO0 — 56,19J) II. 56,89J Die Bildung von Mesityloxyd kann man in diesem Falle.so vorstellen, dass beim Zugiessen von 1 Mol. (CH,COCI zu 1 Mol. Zu(CH,), die letzten Portionen Chloracetyl zum Theil die Verbindung AgJ AgJ - 3 CH,-C E OZnCH, in Aceton und ZnCl, zersetzen, da- | CI durch bleibt ein Theil von Zn(CH,), frei, und kann das Aceton zu Mesityloxyd verdichten. Je schneller . das Chloracetyl zum Zu(CH,), zugegossen wird, desto mehr wird es von der Verbindung CH,-C ^ OZuCH, Cl zersetzt und desto mehr Zn(CH,), bleibt frei, dem ge- mäss vermehrt sich auch entsprechend die Menge von Mesityloxyd. Einige dem Mesityloxyd analoge Derivate: CH, 0, C,,H,.0 | un Cole >; ` Unter den Producten der Verdichtung der Ketone von der allgemeinen Bildungsart 2 CO — H,O war bis jetzt nur ein einziges und zwar das einfachste Glied, Mesi- tyloxyd, bekannt. Zuerst wurde das Mesityloxyd von Kane ”) durch Einwirkung von H,SO, so wie von HCI auf Acteon erhalten. Spüter erhielt es Fittig”) bei der Einwirkung von Aetzkalk auf Aceton. Baeyer”), 21) Pogg. Ann. 44, S. 433. 22) Ann. d. Chem. u. Pharm. CX, 8. 32. 23) Ann. d. Chem. u. Pharm. CXL, S. 297. * dunkelbraunen | Klaisen?*) und Kasantzew”) forschten nach den Be- dingungen, unter welehen man, bei der Einwirkung von HCl auf Aceton, die grösste Menge von Mesityl- oxyd erhált. Das Verhalten von Mesityloxyd zu verschiedenen Reagentien und seine chemische Natur sind ziemlich ausführlich erforscht. So untersuchte Fittig”) das Ver- ` halten von Mesityloxyd zu Salpeter- und Schwefelsáure, desgleichen behandelte er es auch mit Chlor, die sich hierbei bildenden gefärbten öligen Körper wurden aber von ihm fast gar nicht nüher untersucht, und daher kann man auch über dieselben nichts Bestimmtes sa- gen. Eine in dieser Richtung ausführlichere Untersu- | chung führte Baeyer”) aus, welcher bei der Einwir- kung von Chlor auf Mesityloxyd den Körper C,H,Cl,0, und bei der Einwirkung von PCI, die Verbindung C,H,,Cl, erhielt. Die letztere Verbindung verwan- delte Baeyer weiter in C,H,Cl. Baeyers Ver- suche haben also dargethan, dass das Mesityloxyd sich | zu Chlor und PCI, ebenso wie das Aceton selbst verhält. Als er Mesityloxyd in Alkohol-Lösung mit Natrium- amalgam behandelte, erhielt er ein mit Campher-Ge- ruch begabtes Oel, welches bei der Destillation sich anfangs zersetzte, indem es Wasser ausschied und erst bei 206° einen constanten Siedepunkt zeigte. Der Kör- per mit diesem Siedepunkt erwies sich der Zusammen- setzung nach als C,,H,,0; Baeyer hielt diesen letzteren Körper für Mesitylaether und erlárte seine Bildung durch den Verlust von Wasser aus dem Mesitylalko- hol, weleher bei der Einwirkung von Natriumamal- gam auf Mesityloxyd entstehen konnte. Diese An- schauung drückte er durch folgende Gleichungen aus: "C H,0 + H, = 0,H,0; 26,H,,0 — H,0 = C HO. Die unlängst von Klaisen *) ausgeführten Versuche haben gezeigt, dass bei der Reduction von. Mesityl- oxyd durch Natriumamalgam sich nicht C¡¿H;¿0, son- dern CHA (also etwa Pinacolin von Mesithyloxyd) bildet. Klaisen drückte die Bildung dieses Kürpers folgendermassen aus: 91) Ann. d. Chem. u. Pharm. CLXXX, S. 1. 25) J. d. R. Ch. G. VII 172. 26) Ann. d. Chem. u. Pharm. CXS. 23. 27) Ann. d. Chem. u. Pharm. CXLS: 297. 28) Amn. d. Chem. u. Pharm. CLXXX $. 1. EN 529 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 530 20,H,,0 + H, =C,,H,¿O + HO: Ausserdem bemerkte Klaisen, dass zugleich mit die- sem Product in geringen Mengen ein krystallinischer Kórper entsteht, den er jedoch nicht náher untersuchte (vielleicht Pinacon von Mesityloxyd). Weiter fand Klaisen, dass das Mesityloxyd mit Brom sich zu ei- nem gefärbten schweren Oel, wahrscheinlich C¿H,¿Br,0, verbindet und dass dieses Oel sich leicht unter Ent- wickelung von HBr zersetzt. Als Claisen Mesityl- oxyd durch Salpetersáure oxydirte, erhielt er Essig- und Oxalsáure. Es gelang mir, eine Verbindung des Me- sityloxyds mit HJ darzustellen. Am bequemsten erhält man diese Verbindung, indem man HJ unter Abküh- lung in Mesityloxyd leitet. Die Verbindung C¿H,,JO erscheint, nachdem sie mit Wasser ausgewaschen und über Chlorealeium getrocknet ist, als eine schwere, dunkel gefárbte Flüssigket, welche bei der Einwirkung von alkoholischer Aetzkalilósung wieder Mesityloxyd giebt. Das dem Mesityloxyd nächste Analogon wird C,H,,O sein (aus dem Methylüthylketon); diese Verbindung erhielt ich zugleich mit Methyläthylketon bei der Ein- wirkung ] Molecüls Chlorpropionyl auf 1 Mol. Zn(CH,),. Das auf diese Art bereitete Gemenge erscheint als eine ziemlich dicke dunkelrothe Flüssigkeit, aus welcher nach einiger Zeit sich Gase zu entwickeln anfangen. Nach Verlauf eines Tages erstarrt die recht dick ge- wordene Flüssigkeit zu einer dunkeln amorphen Masse. Wird diese Masse mit Wasser zersetzt, so erhált man eine ólige Schicht, nnd wird nun dieses Oel über ge- schmolzener Pottasche getrocknet und fractionirt, so . kann man daraus einen bei 167—168? siedenden Theil gewinnen, dessen Geruch etwas an Mesityloxyd erin- mert. Die Verbrennung dieses Kórpers mit CuO gab folgende Resultate: 0,1825 gr. der Verbindung gaben 0,4670 gr. CO, und 0,1680 gr. H,O. In Procenten: Versuch: digni Se C = 75,83 C = 76,19 H=11,13 H=1111. = Dieser Kórper erscheint als farblose im Wasser un- lósliche Flüssigkeit; seine Entstehung kann durch folgende Gleichung ausgedrückt werden: 2C,H,O (Me- thyläthylketon) — H,O = DNA, Tome XXII. Die Bestimmung des specifischen Gewichts ergab Folgendes: Gewicht des Wassers bei 0°....... =1,9560 » desselben Volums von Körper =1,7155 » des Wassers bei + 18°.... =1,9530 » desselben Volums von Körper RE EE ioca indio =1,6840 Hieraus berechnet man: das specifische Gewicht bei 0?..... =0,8770 » D D » + 18? e =0,8620 Der Coefficient der Ausdehnung für 1° zwischen 0^ und + 18°......... =0,00103. Bei der Einwirkung von gasfórmigem HJ auf C,H,,0 erhält man ein schweres dunkel-gefärbtes Oel von der Zusammensetzung C,H ‚JO. Die Bestimmung der Jod-Menge in dieser Verbin- dung ergab folgende Resultate: 0,2900 gr. der Ver- bindung gaben 0,2645 gr. AgJ, was 49,31%, J aus- macht, für C,H,,JO fordert die Theorie 50,00%, J. Der Bildung des so eben beschriebenen Products analog kann man erwarten aus dem Methylisopropylke- ton die Verbindung C,,H,¿O zu erhalten; und in der That bekam ich diese Verbindung bei der Reaction zwischen Chlorisobutyryl und Zn(CH,), als Nebenpro- duct. Es ist eine farblose eigenthümlich riechende Flüssigkeit, welehe im Wasser unlóslich ist und bei einer Temperatur von 189—191? siedet. Bei der Verbrennung mit Kupferoxyd gaben 0,1825 gr. Sub- stanz 0,5200 gr. CO, und 0,1925 gr. H,O; oder in Procenten : Versuch. Theorie für C,,H,,0. 0277,69 C=11,92 H= 11,72 H=11,69 Die Bestimmung des specifischen Gewichts ergab: . Gewicht des Wassers bei 0°......... —1,0400 » desselben Volums von Substanz BI beso = 0,9050 » des Wassers bei + 20°...... =1,0390 » desselben Volums von Substanz bi+20........2......=0,8890 Hieraus ergiebt sich: Das specifische Gewicht bei 0°...... =0,8700 » » » ED. 0,8550. : E 531 BEE) Da dieser Körper sich direct mit HCl oder HJ ver- einigt, so folgt wohl daraus, dass er eine ungesättigte Verbindung ist. Das Chlorwasserstoffderivat wurde dargestellt dureh Einleiten von HCl unter Abkühlung in €,,H,,0, welches mit einer geringen Menge Wasser vermischt war. Die mit Wasser ausgewaschene und über CaCl, getrocknete Verbindung stellte ein schwach gelb gefärbtes Oel dar, welches einen etwas an Terpen- tin erinnernden Geruch besass. Die Bestimmung von Chlor in dieser Verbindung führte zu folgenden Re- sultaten: : 1) 0,4840 gr. der Verbindung gaben 0,3660 AgCl. 2) 0,3495 gr. der Verbindung gaben 0,2655 AgCl. In Procenten : erhalten : für die Formel C,¿H,¿C10 berechnet: 1) 18,49, 2) 18,45. 18,62. Leitet man gasfórmige HJ unter Abkühlung in CHA, so erhält man einen dunkel-gefärbten krystal- linischen Kórper, welcher bei Zimmer- Temperatur fest bleibt. : Bei der Bereitung von Dimethylisobutylcarbinol. erhält man in einigen Fällen gar keinen Alkohol, son- dern nur ein Gemenge von Methylisobutylketon und ein hochsiedendes Product. | Trennt man dieses Nebenproduct vom Keton, so geht es bei der Destillation bei 217 — 219° über und erscheint als eine farblose, in Wasser unlósliche Flús- sigkeit. Bei der Verbrennung mit CuO erhielt man 0,7345 gr. CO, und 0,2760 gr. H,O. In Procenten ausgedrückt: Nach der Formel 0,2H,,0 : ás Versuch. chnet. re IT € 219,12 H- 1219 H—12,08 Wie aus der Analyse ersichtlich, erwies sich dieser Körper als Cl) und seine Bildung aus Methyliso- butylketon findet nach folgender Gleichung statt 20,H,,0 —H,0 = C,,H,0. Die Bestimmung des specifischen Gewichts ergab: Gewicht von Wasser bei 0° ......... —1,0400 » desselben Volums der Substanz bei gp ` o —1,8990 » von Wasser bei+20°....... 51,0390 » desselben Volums der Substanz e =1,8830 Bulletin de l'Académie Impériale 532 Hieraus hat man: das specifische Gewicht bei 0°..... . 20,8640 » » » » +" 920: SS — 0,8490. Die Verbindung dieses Kórpers mit HCl wurde auf dieselbe Weise wie die Vorhergehende bereitet. Die Bestimmung von Chlor in dem erhaltenen hellgelben Oele ergab: : 0,3110 gr. Substanz lieferten 0,2015 gr. AgCl. In Procenten entspricht dieses 16,01%, Cl und nach der Formel C,,H,,CIO berechnet man 16,059/, Cl. Die Jodwasserstoff- Verbindung wurde durch Einwirkung von HJ auf C,,H,,O erhalten; 0,1565 gr. davon ga- ben 0,1210 gr. AgJ. Das macht in Procenten 41,72%, J und der Formel C,,H,, JO entsprechend 40,96*/, J. Die oben beschrie- benen von mir erhaltenen Verbindungen kann man am wahrscheinlichsten für ungesättigte Ketone halten. Sie verbinden sich alle mit Brom und geben dabei schwere dunkel-gefärbte Oele. Die Bestimmung von Brom konnte, in Folge der heftigen Zersetzung unter Ausscheidung von HBr, nicht ausgeführt werden. Der Versuch, von den Verbindungen C,,H,,0 und C,,H,,0, durch Entziehung eines Moleculs Wasser, zu den entsprechenden Kohlewasserstoffen zu gelangen, führte nicht zum gewünsten Resultate, obgleich Ver- suche mit verschiedenen wasserentziehenden Reagen- tien angestellt wurden. è 3 Aus den von mir gesammelten Thatsachen kann man natürlich keinen bestimmten Schluss über die chemi- sche Structur der beschriebenen Kórper ziehen. Zur Bestimmung der chemischen Structur der ungesättig- ten Ketone, und theilweise auch zur entgültigen Fest- stellung der Structur des Mesityloxyds selbst, führt, ` meiner Meinung nach, ein sehr bequemer Weg, der des Studiums ihrer Verbindungen mit Halogenwas- serstoffsüuren. Dieser Weg kann auf zweifache Weise betreten werden: entweder kann man diese Verbin- dungen reduciren und auf diese Weise zu den gesät- tigten Ketonen und zu seeundären Alkoholen überge- ben, oder man kann sie oxydiren. Ich will hier diesen ` und jenen móglichen Fall für das Mesityloxyd näher betrachten. Ist die Struetur von Mesityloxyd wirklich CH,- C0- CH — C Z Hs. so wird bei der Verbindung SS S CH,’ mit HJ der Körper CH,CO-CH,-CI fp? entstehen, | a. & 533 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 534 welches Methylisobutylketon darstellt, in dem ein Wasserstoffatom des Radicals Isobutyl durch Jod er- setzt ist. Bei der Reduction dieser Verbindung muss man die Bildung von Methylisobutylketon oder Methyl- isobutylearbinol erwarten. Auf diese Weise würde die IR der bei der Reduction von / CH, X CH, Sg Weise entstehenden Producte mit den syn- thetisch-dargestellten die Frage über die Structur von Mesityloxyd vollstándig entscheiden. Vor kurzem hat Kasantzew”) die Absicht ausgesprochen, die chemi- sche Structur des Phorons vermittelst einer ühnlichen Methode zu bestimmen. Er beabsichtigt námlich von der Verbindung von 2 Molecülen HJ mit 1 Mol. Pho- ron auszugehen. Klaisen ?) versuchte Phorontetra- bromid durch die Einwirkung von Zink und Schwefel. sáure zu reduciren, jedoch erfolglos: der Wasserstoff entzog das Brom und reducirte das gebildete Phoron. Bei der Reduction der Verbindung von Mesityloxyd mit HJ wird man aber vielleicht zur Ersetzung des Halogens durch Wasserstoff gelangen. Durch Oxyda- tion von / CE ip CH, kann man hoffen, Chlorisobuttersáure zu erhalten, und durch deren Reduction zu Isobuttersäure úberzugehen. Diese Arbeit ist im Laboratorium des Herrn Prof. Butlerow ausgeführt worden. . CH,-CO-CH,-CJ CH,-CO-CH,-CCI Osmotische Erscheinungen bei Pflanzen und Thierzel- len, hervorgerufen durch die Einwirkung von Áther. Zweite Mittheilung. Von Heinrich Struve. (Lu le 9 octobre 1876.) Schloss ich meine erste Mittheilung *) mit den os- motischen Erscheinungen unter Einwirkung von Äther auf Froschlarven ab, so hat sich im Laufe der letz- ten Monate wieder eine Reihe neuer und überaus . interessanter Thatsachen angesammelt, über die ich in den folgenden Zeilen berichten móchte. Hierbei 29) Journal d. Russ. Chem. Gesellschaft B. VII. S. 172. 80) Ann. d. Chem. u. Pharm. CLXXX $. 1 1) Bull. de l'Acad. Imp. des Sciences tom. XXI. pag. 243—252. werde ich aber die einzelnen Versuche trotz unver- meidlicher Wiederholungen nach meinen Aufzeichnun- gen der Reihe nach wiedergeben. Versuch mit Kröten. Am 13. (25.) October wurden sechs kleine Kröten, die am Ufer die Kurflusses gefangen waren, in einem Verdrängungs-Apparat mit Äther behandelt. Beim Hineingeben der Kröten in den Äther erfolgte nach wenigen Augenblicken der Tod, wobei sie in den son- derbarsten augenblicklichen Stellungen blieben. Die Augen einiger Kröten waren vollständig geschlossen, während die anderer Kröten ganz klar und offen wa- ren. Diese Klarheit der Augen verschwand aber bald, indem sie ein mattes Ansehen annahmen. Nach 12 Stunden der Äthereinwirkung sammelten sich auf dem Boden des Gefässes einzelne schwach gelblich gefärbte Tropfen an, während sich auf dem Rücken der Krö- ten schleimartige Absonderungen zeigten, die im Laufe der nächsten 24 Stunden an Volum zunahmen, doch von dann an keine weiteren Formveränderungen zeig- ten. Diese Absonderungen traten an allen Kröten durch- aus gleichartig und gleich gelegen auf. Die grössten .Absonderungen erfolgten etwas unterhalb der Augen, dort, wo die länglichen Drüsen an jeder Seite des Kopfes liegen, wührend die andern überall dort sich beobachten liessen, wo die Króten durch dunkle Flecke gekennzeichnet sind. Diese Ausscheidungen, deren nähere Natur noch nicht eingehender von mir festgestellt worden ist, zeich- nen sich noch durch einen auffallenden Dichroismus aus. Bei durchfallendem Lichte erscheinen sie nàm- lich mit einer schwach gelblich-rothen Farbe, während bei reflectirtem Lichte sich ein ausgezeichnetes Far- benspiel von Blau und Grün bemerkbar macht. Diese Erscheinung unterliegt durch längere Einwirkung von Áther unter Gegenwart von hellem Tageslicht keinen bemerkbaren Veründerungen. Derartige schleimartige Absonderungen zeigten sich nicht auf dem Unterleibe oder auf den Vorderfüssen, während sie auf den Hinterfüssen unter Anwendung einer Loupe nicht schwer zu beobachten waren. Bei einer mikroskopischen Untersuchung dieser Ausschei- dungen konnten keine bestimmten Formelemente beob- achtet werden; es zeigte sich eine amorphe Masse mit dünnen hautartigen Ausscheidungen, wie man derar- 84* 535 Bulletin de l'Académie Impériale 536 tige aus alkalischen Albumin-Auflósungen durch Ein- wirkung von Kohlensäure erhalten kann. Auch zei- gen sich derartige Ausscheidungen unter besonderen Umständen bei der Behandlung von Albuminkrystallen mit Wasser’). Wie schon gesagt, die Schleimabsonderungen neh- men weiterhin nicht an Volum zu, während sich am Boden eine grössere Quantität einer braunrothen Flüs- sigkeit ansammelt, die vollständig durchsichtig ist und bleibt. Die Kröten selbst quellen dabei mehr und mehr auf, doch dieses hat auch seine Grenzen, wobei sie aber vollständig weich bleiben, während der Äther “eine gelbliche Färbung annimmt. Nach Verlauf von vier Monaten wurde der Äther abgegossen und der Destillation unterworfen, wodurch ein stark gelb gefärbter Rückstand erhalten wurde, der überaus leicht in Äther löslich ist, und aus dem sich bei gewöhnlicher Zimmertemperatuf selbst nach län- gerer Zeit durchaus kein festes Fett abscheidet. Die- ses ölartige Fett besitzt einen eigenthümlichen unan- genehmen penetranten Geruch. Bei einer Behandlung mit Natronlauge lässt es sich verseifen, und wenn man diese Seife abdampft, glüht, so erhält man einen feuer- festen Rückstand, in dem man sowohl mit Magnesia-. 2) Das Auftreten dieser schleimartigen Absonderungen erinnert sehr lebhaft an die interessanten Versuche von M. Traube zur Theorie der Zellbildung und Endosmose. Traube benutzte zu seinen Versuchen vorzüglich eine Lösung von Leim, die tropfenweise mit einer Gerbsäure-Lösung behandelt wurde. Ähnliche Erscheinungen erhält man auch bei der Benutzung einer Tanninlösung zur Ausfällung von Albumin oder Blutlösungen. Auch in der unorganischen Natur kann man auf ähnliche Erschei- nungen hinweisen, so zum Beispiel beim Vermischen von Wasser- glas-Lösungen mit Alaunlösungen, wo sich unter besonderen ständen oft auch derartige zellenartige Niederschläge einstellen, die sich während Tage und Wochen ohne Veränderung erhalten. Auf die Arbeit von M. Traube, die ich leider nicht im Original kenne, bin ich durch das Lehrbuch der Botanik von I. Sachs *) auf- merksam gemacht worden und dieses veranlasst mich, hier gleich auf eine Anmerkung von Sachs einzugehen, die er bei Erörterung der Versuche von Traube hinzugefügt hat. Sachs nämlich fügt in einer Anmerkung hinzu, in der er zuerst darauf aufmerksam macht dass in allen Schweinsblasen, Ochsenblasen, Herzbeuteln, Amnien, Collodiumhäuten, Pergamentpapieren, die bisher zu Diffusionsver- suchen benutzt worden waren, sich wirkliche Löcher befinden und schliesst darauf mit folgenden Worten: «Diese Erfahrungen zeigen, wie wenig zuverlässig die bisher mit Häuten gemachten Diffusionsversuche sein müssen.» Hier glaube ich, begeht Sachs einen Fehler und macht Vielen einen ungerechten Vorwurf, denn wäre derselbe wirklich begründet, so hätte man, gestützt auf die bisherigen so zahlreichen Diffusions- erscheinungen, nicht zu so entschiedenen Thatsachen gelangen kön- nen, die wir als feststehend in der Wissenschaft annehmen müssen. *) I. Sachs. Lehrbuch der Botanik. Leipzig. 1874. Seite 643. lósung, als auch mit Molybdán-Salpetersáure die Ge- genwart von Phosphorsäure nachweisen kann. Aus dieser Thatsache müssen wir auf die Gegenwart von Lecithin im Krótenfett schliessen. Untersucht man dieses flüssige Fett vor der Spalte des Spectralapparates, so erhült man ein überaus deut- liches Sáurespectrum des Bluts, námlich von 45,0 bis 47,9 einen scharf begränzten Absorptionsstreifen im Roth und weiterhin von 72,4 bis 75,9 einen über- aus sehwachen Streifen im Grün. Dieses Spectrum ver- ändert sich nicht bei längerem Stehen des Öls an der Luft unter Einwirkung des Lichts. Auf diese Spectral-Erscheinung, die eine bis dahin nicht beobachtete Thatsache ist, komme ich in der Folge noch wieder zurück. Gleichzeitig mit der Atheruntersuchung wurden ` auch die Kröten selbst einer mikroskopisch-histiolo- `- gischen Untersuchung unterworfen. Hierbei ergab es sich, dass alle Blutgefässe vollständig leer waren, nur in den Arterien zunächst dem Herzen wurden best erhaltene Blutkörperchen-Hüllen gefunden, die voll- ständig farblos waren, doch mit überaus scharfen Con- touren der äusseren und inneren Hülle, so dass man Messungen hätte ausführen können. Die aus den Kröten ausgepresste Flüssigkeit (3 CC.) von bräunlicher Farbe bei saurer Reaction zeigte vor der Spalte der Spectralapparates durchaus kein Spec- trum. Ebenso konnten aus der Lösung nach vorsich- tigem Abdampfen und bei geeigneter Behandlung mit Kochsalz und Eisessigsäure keine Häminkrystalle er- halten werden. Eine andere Quantität, deren Lösung über Schwefelsäure im luftlceren Raume abgedampft, | hinterliess einen durchaus amorphen Rückstand. Diese durch die Einwirkung von Äther auf Regen- würmer, Froschlarven und Króten gewonnenen That- sachen veranlassten mich, in ähnlicher Weise auf Fleisch- stücke einzuwirken, wodurch eine Reihe von Erschei- nungen sich herausstellte, die von nicht zu unter- schätzender Bedeutung sind. Erster Versuch. Aus einem grösseren Stück Ochsenfleisch wurden aus der Mitte zwei kleine Stücke rasch herausge- schnitten und unmittelbar an Fäden weisser Seide Im Äther aufgehängt, so dass demnach die frischen Schnitt- flächen nur momentan mit der atmosphärischen Luft / 537 des Sciences de Saint - Pétersbourg. in Berührung kamen. Beide Fleischstücke zeigten die bekannte Fleischfarbe und nur an dem einem Stück war eine kleine Blutader zu bemerken, aus der Spu- ren von Blut hervortraten. Die erste Einwirkung des Äthers machte sich da- durch bemerkbar, dass die Fleisch-Oberflüchen eine gleichfórmige hellere Fárbung annahmen mit Ausnahme einer kleinen Seitenfläche, die längere Zeit mit der Luft in Berührung gewesen war. Diese blieb dunkler ge- färbt selbst nach Monate langer Einwirkung von Äther. Nach und nach zeigten sich an verschiedenen Stel- len der Fleischstücke einzelne weisse Tropfen, die spüter herabfielen, um sich auf dem Boden des Glases anzusammeln. Diese Erscheinung nahm nach und nach zu, indem auf der ganzen Oberflüche des Fleischstückes ziemlich gleichmässig ölartige erst klare, bald darauf sich trübende Tropfen hervortraten. Am Boden sam- melte sich eine trübe Masse an, aus der sich eine amorphe Substanz auschied, die sich theils zu Boden senkte, theils hautartig die Flüssigkeit überdeckte. Nimmt man einen derartigen Tropfen unmittelbar vom Fleischstück aufs Objectglas zur Prüfung mit dem Mikroskope, so erkennt man in demselben niehts Kry- stallinisches. Er bildet eine hyaline Haut, die selbst nach dem Eintrocknen an der Luft noch deutlich sicht- bar ist, und ein feinkórniges amorphes Gerinsel, die sich beide in concentrirter Weinsáure vollstándig auf- lösen. Nach drei Tagen der Äther-Einwirkung wurde ein Stück Fleisch herausgenommen, die auf der Ober- fläche desselben noch anhaftenden Tropfen abgestreift und darauf ein frischer Durchschnitt gemacht. Hier- bei ergab sich, dass mehr oder weniger das ganze Fleischstück von Äther durchdrungen und hierdurch mürbe geworden war, während nur die äussersten Schichten eine graue Farbe zeigten. Die aussenliegen- den Schichten besassen eine röthliche Färbung, doch immerhin von geringerer Intensität als das frische Fleisch. Ebenso blieb das Bild nach einer fünfmonat- lichen Einwirkung des Äthers. Bei der mikroskopischen LI SS Untersuchung dieses Fleisches ergab sich das bekannte Bild quergestreifter Muskelfiden in aller Schónheit, . Ja ich möchte noch hinzufügen, dass das Bild schöner und deutlicher war, als wenn man frisches Fleisch unmittelbar untere. Der ausgepresste trübe Saft von stark saurer Reac- tion gab nach dem Abdampfen an der Luft einen gelb- lich weissen Rückstand, der bei gelindem Erwürmen schmolz und hierbei einen starken Bouillon-Geruch verbreitete. Bei hóherer Temperatur trat unter Auf- blähung Verkohlung ein, und schliesslich wurde eine ziemlich schwer verbrennliche Kohle erhalten, die eine grauschwarze alkalische Asche gab, in der Kalk- erde, Magnesia, Kali, Phosphorsüure, Schwefelsüure und Chlor nachgewiesen werden konnten. Ein anderer Theil des Saftes wurde filtrirt und da- rauf im klaren Filtrat die Gegenwart von Albumin so- wohl durch Salpetersáure, als auch durch Erhitzen der Lósung nachgewiesen. Schliesslich wurde der Rest des Muskelsaftes 80 viel als möglich vom Äther getrennt und darauf über Schwefelsäure unter der Luftpumpe abgedampft, wo- bei sich aus der Lósung verschiedene Krystalle aus- schieden. Der Rückstand wurde mit Wasser behan- delt, filtrirt und die so erhaltene blassgelb-róthliche Lósung wieder abgedampft. Hier schieden sich aus der Lósung, nachdem sie stark concentrirt war, erst gróssere farblose Krystalle aus und schliesslich noch lange Säulen, die dem äusseren Ansehen nach über- aus an die bekannten Blutkrystalle erinnerten, nur dass sie hier vollständig farblos waren. Als diese kry- stallinische Salzmasse mit einigen Tropfen Wasser be- handelt wurde, so verwandelten sich die langen säu- lenfórmigen Krystalle in hautartige hyaline Massen um, an welchen man zum Theil noch die frühere Form deutlich erkennen konnte. Bei noch grósserem Zusatz von Wasser bildete sich ein unlóslicher amorpher Nie- derschlag. Die saure, immer noch Albumin haltige Lösung, die bei der Prüfung vor der Spalte des Spec- , tralapparates ein deutliches Spectrum vom Hämatin nach Preyer?) gab, wurde abfiltrirt und darauf wie- der unter der Luftpumpe abgedampft. Diese Lósung, die einen eigenthümlichen Milehgeruch und Geschmack zeigte, gab nach dem Abdampfen verschiedene Kry- stalle, von welchen sich einige durch Grósse und Schón- heit der Formen auszeichneten. Spüter schied sich noch aus der Masse ein feines Gerinsel ab, doch die früher beobachteten langen süulenfórmigen Krystalle traten nicht mehr auf. Die rückstündige Masse lóste sich auf Zusatz von Wasser fast vollstándig auf, bis 3) Preyer. Die Blutkrystalle 1871. S. 231 oder Tafel I, II. Bulletin de l'Académie Empériale 540 7 A auf die grósseren Krystalle, die getrennt werden konn- . ten. In der so erhaltenen stark sauren Lósung konnte die Gegenwart von Albumin nicht mehr nachgewiesen werden. Auf Zusatz von Kali im Überschuss und von schwefelsaurer Kupferoxydlósung nahm die Lósung eine lazurblaue Fürbung an, die beim Erwármen erst hel- ler wurde und schliesslich in eine gelbe überging. Nach dem Erkalten fürbte sich die Flüssigkeit durch die Einwirkung der Luft nach und nach schón violett; er- hitzte man nun wieder die Lósung, so fand keine Far- benveründerung mehr statt. Tweiter Versuch. Frisches Ochsenfleisch wurde, nachdem es in kleine Stücke zerschnitten war, im Verdrüngungs - Apparat mit Äther behandelt. Die rothe Färbung des Fleisches ging rasch in eine etwas hellere über, doch selbst nach längerer Einwirkung erfolgte keine solche Entfárbung des Fleisches, wie im ersten Versuch. Ziemlich rasch sonderte sich ein vom aufgelósten Blut roth gefárbter Muskelsaft ab, der anfangs vollstándig klar war, spá- ter sich trübte, so dass schliesslich ein rothbraun ge- fürbter Niederschlag erfolgte. Untersuchte man diesen Muskelsaft bald nach der Ausscheidung vor der Spalte des Spectral-Apparates, so zeigte sich das deutlichste Spectrum des Sauerstoff-Hämoglobins (Preyer). Mit der Zeit der weiteren Einwirkung veründerte sich aber dieses Spectrum in das des Hámatins, wie schon früher bemerkt worden ist. Nach der Filtration des Muskelsaftes erhált man eine Lósung, die durch den Gehalt an mechanisch ab- sorbirten Áther vor fernerer Zersetzung geschützt ist. Erwármt man eine solche Lósung, so erfolgt schon bei + 40° C. eine neue Trübung von Albumin, bei 50? wird die Ausscheidung bedeutend stärker. Trennt man jetzt das ausgeschiedene Albumin durch Filtration, so muss man die Lösung bei + 70° erhitzen, um eine neue Albuminausscheidung zu erreichen. Auch hier erhält man ein weisses Albumin, und wenn man jetzt wieder filtrirt, so gewinnt man eine mehr oder weniger rothbraun gefärbte Lösung von stark saurer Reaction, die aber durchaus frei von Albumin ist. Das aus dem Muskelsaft freiwillig ausgeschiedene Albumin, wie auch das durch Kochen erhaltene, löst sich in concentrirter Weinsäure vollständig zu einer kla- ren dünnen Flüssigkeit auf, die bei hinlänglichem Vor- ! handensein von Albumin schliesslich zu einem Gelée er- starrt. Aus diesen Erscheinungen müssen wir folgern, dass in diesen Albuminmassen nicht Hüllen von Blut- kórperchen enthalten sein kónnen, da sich diese durch eine auffallende Unlöslichkeit in concentrirter Wein- süure auszeichnen, sondern sie nur aufquellen. | Behandelt man den dureh Kochen und Filtration von Albumin befreiten Muskelsaft mit Kalilósung, so entweieht Ammoniak mit Spuren von Trimethylamin, das sich durch seinen charakteristischen Geruch zu erkennen giebt. Ein Theil des frisch filtrirten Muskelsaftes wurde zur Bestimmung des specifischen Gewichtes benutzt, wobei sich ergab sp. G. des átherhaltigen Muskelsaftes bei + 15° C. = 1,0120, sp. G. des ätherfreien Muskelsaftes bei + 15° C. = 1,0190. Zur Entfernung des Äthers wurde ein bestimmtes Volum des Saftes so lange unter der Luftpumpe ab- gedampft, bis der Geruch nach Äther vollständig ver- schwunden war. Darauf wurde durch Hinzufügung von reinem Wasser das ursprüngliche Volum wiederher-. gestellt und darauf die Wägung ausgeführt. Dieser Muskelsaft von blutrother, Farbe trübte sich bei +- 30° C. und später erfolgte eine förmliche Aus- scheidung von Albumin, das durch Filtration getrennt werden konnte. Bei erneuerter Erwürmung der Flüssig- keit trat erst bei A. 62? C. eine neue Ausscheidung von ` Albumin ein, doch die vollstándige Ausfállung des- - selben erfolgte erst bei .- 80°C. Diese verschiede- ` nen Albumine waren von blendend weisser Farbe, wáb- rend die Lósung die frühere Färbung behielt und .. ebenso dieselben Absorptionstreifen, wie vor der Er- würmung, zeigte. ws Dieses Verhalten des Fieischsaftes zur Wärme erin- : nert durchaus an die Angaben von Kühne‘), nach welchen in der todtstarren Muskel sich drei Albumin- stoffe befinden sollen, námlich: 1) Alkalialbuminat, ` 2) ein bei 4- 45? gerinnender und 3) ein bei 75° gerin- nender Albuminstoff. Eine andere Quantität des frischen filtrirten Mus- kelsaftes wurde mit dem Wilds'chen Polarostrembo- 4) Hoppe - Seyler. Handbuch der physiologisch - chemischen Analyse 3** Auflage 1870 Seite 385. i ; ; 541 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 542 meter geprüft, wobei sich eine deutliche Drehung von 279 nach rechts herausstellte. Dritter Versuch. Frisches Ochsenfleisch wurde wie im vorigen Ver- such angegeben mit Äther behandelt, der ausgeschie- dene Muskelsaft vom Äther getrennt und filtrirt. Das auf dem Filter gesammelte Gerinsel, sorgfáltig aus- gewaschen, gab bei der Untersuchung unter dem Mi- kroskope keine besonderen Formelemente zu erkennen. Das Bild wurde auch nicht deutlicher nach Zusatz von concentrirter Weinsáure. Im Gegentheil es erfolgte ziemlich rasch eine vollstindige Auflósung. In glei- cher Weise wirkte Milchsáure. Eine kleine Quantitát dieses Ausgeschiedenen wurde mit einer 10%, Koch- salzlósung behandelt, wobei nur Spuren eines Kór- pers in Auflósung gingen, die sich beim Kochen durch eintretende Trübung anzeigten. Nicht mehr wurde von einer noch verdünnteren Kalisalzlósung, ebenso wie von einer Salpeterlósung aufgelóst. Diese Versuche zeigen, dass in dem Gerinsel kein Myosin enhalten ist, oder wenn, so hóchstens unbedeutende Spuren desselben. Eine Probe dieses Niederschlages gab nach dem Trocknen und nach einer Behandlung mit Kochsalz und Eisessigsáure ausgezeichnete Háminkrystalle, was für die Gegenwart von o Hämatin spricht. Wurde das feuchte Gerinsel nach dem Auswaschen mit Wasser mit Spiritus (75° Tr.) behandelt, so erfolgte bei ge- linder Erwärmung eine überaus schwache Färbung des Alkohols. Diese Lósung abfiltrirt, im Wasserbade eingedampft, gab einen überaus unbedeutenden Rück- stand, aus dem aber immerhin Spuren von Hámin- krystallen dargestellt werden konnten. Dieses Auftre- ten der Häminkrystalle bedarf noch einer näheren Er- klárung, da meinen bisherigen Erfahrungen nach der Blutfarbstoff o Hámatin in Spiritus unlóslich ist. Behandelt man darauf den noch feuchten Rückstand des Gerinsels mit ammoniakalischem Spiritus, so fárbt sich derselbe rasch roth und giebt vor der Spalte des Spectralapparates untersucht das bekannte Spectrum des sogenannten Sauerstoffs - Hämatinalkali nach Preyer. Das rückständige Albumin bleibt aber im- mer schwach braun gefürbt und nimmt beim Trocknen bei 100? eine dunkelschwarze Farbe an. Behandelt man dieses ausgetrocknete Albumin mit Eisessigsäure in einem Gláschen mit eingeriebenem Glasstópsel, so färbt sich die Säure nach und nach hell rosa, während das Albumin aufquillt und dabei fast farblos wird. Die gefärbte Eisessigsäure giebt bei der Untersuchung mit dem Spectralapparat die bekannten Absorptions- streifen des Säurebandes. Der durch die Einwirkung von Äther ausgeschie- dene Muskelsaft von stark saurer Reaction war blut- roth gefärbt, nichts destoweniger schied sich aus der Lösung, beim Erwármen das Albumin mit blendend weisser Farbe ab. 24,5 CC. des klaren stark nach Äther riechenden Muskelsaftes wurden in einer Platinschale erst mit 75 CC. Wasser verdünnt und darauf schwach erwärmt. Zugleich mit der Entweichung des Äthers erfolgte auch die Trübung der Lösung, doch erst bei einer Temperatur von gegen + 80°C. erfolgte eine vollstän- dige Ausscheidung aller Albuminstoffe. Das Albumin von blendend weisser Farbe wurde auf einem bei 100° getrocknetem und tarirtem Filter gesammelt, ausge- waschen und darauf im luftleeren Raume getrocknet. Dieses Albumin trocknete zu einer dunkelbraunen hornartigen Masse zusammen = 0,478 Grm., nach fernerem Trocknen bei 100° wurden 0,423 Grm. er- halten. Bei höherer Temperatur verbrannte dieses Al- bumin unter starkem Aufblähen und hinterliess nach dem Verbrennen der Kohle nur eine Spur von Asche — 0,003 Grm., in der Kalkerde und Phosphorsäure nachgewiesen werden konnten. Das schwach blutfarbene Filtrat, das bei stark sau- rer Reaction ein überaus scharfes Absorptionsspectrum von reducirtem Hämatin nach Preyer (Tafel I, 11) gab, wurde in einer Platinschale im Wasserbade einge- dampft, wobei durchaus keine fernere Trübung erfolgte. Schliesslich die Lósung in einem tarirten Platintiegel eingedampft, und der Rückstand von dunkelbrauner Farbe, der beim ferneren Trocknen bei 100° einen überaus starken Bouillon- Geruch verbreitete, dem Gewichte nach — 1,044 Grm. bestimmt. Dieser Rück- stand wurde verbrannt und hinterliess schliesslich eine weisse Asche — 0,244. Diese Asche lóste sich nur theilweise in Wasser, das darauf eine starke alkalische Reaction zeigte; nach Zusatz von Salpetersüure erfolgte vollständige Auflösung ohne irgend welehe Kohlensäure- Entwickelung. Diese Lösung wurde wieder eingedampft, getrocknet und darauf mit Wasser behandelt, wobei 543 Bulletin de l'Académie Impériale cine vollstándige Lósung der Salzmasse erfolgte, ein Zeichen der Abwesenheit von Kieselsáure. Die Lósung wurde mit Ammoniak im Überschuss versetzt, der Niederschlag von phosphorsaurer Magne- sia und phosphorsaurer Kalkerde nach 24 Stunden ge- sammelt und dem Gewichte nach — 0,025 bestimmt. Dieses Gemenge bestand aus 0,018 Grm. phosphor- saurer Magnesia und 0,007 Grm. phosphorsaurer Kalkerde. Die von diesen Salzen abfiltrirte Lósung wurde mit einer Eisenchloridlósung von bestimmtem Eisengehalt — 0,928 Eisen versetzt und mit Ammoniak gefällt. Das Gewicht des phosphorsäurehaltigen Eisenoxydes — 0,394 Grm. und folglich Phosphorsäure = 0,0683. Die vom Eisenoxyd abfiltrirte Lösung wurde ein- gedampft und darauf nach Zusatz von Salzsäure die Schwefelsäure durch Barytlösung gefällt. Gewicht des schwefelsauren Baryts = 0,032 Grm., somit Schwe- felsäure = 0,011 Grm. ` Stellen wir diese analytischen Resultate zusammen, so finden wir, dass in 100 CC. Muskelsaft enthalten sind: Amic oe 1,72 oder 28,77% Organische Substanz 3,27 » 54,70» TER 0,99 » 16,53» 5.98 100 ` Femer besteht der bei stand aus: | 23,37%, feuerfesten Bestandtheilen 76,637, organischen Substanzen. 100° getrocknete Rück- ES Dieses Verhältniss lässt sich mit demjenigen im Fleischextract aus der Fabrik Fray-Bentos Liebigs Company) vergleichen, in dem auf 27,18%, unorga- nische Substanzen 72,82 organische kommen, Diese Übereinstimmung ist so genau, als man nur wünschen kann und hieraus dürfen wir schliessen, dass der durch Ather ausgepresste Muskelsaft von Ochsen- fleisch nach Ausscheidung des aufgelösten Albumins durchaus identisch mit dem Liebig’schen Fleischex- tract ist. Die oben angeführten 23,37°/, feuerfester Bestand- theile bestehen aus: X À x Wagner. Jahresbericht der chemischen Technologie 1874. Phosphorsáure.. ...... Schwefelsäure. ....... Phosphorsaure Magnesia 1,72 Phosphorsaure Kalkerde 0,66 Chlorkalum |, ...... 12,68 Kali 23,37 oder in 100 Theilen Asche Phosphorsäure .. 36,75 Schwefelsáure... 5,05 Magnesia...... 2,62 Kalkerde...... 1,23 Chlorkalium-Kali 54,35 100 Bei diesen analytischen Resultaten müssen wir zu- erst hervorheben, dass die Bestimmung des Chlors und Kali nicht ausgeführt worden war, darum diesel- ben aus dem Verlust bestimmt. Ferner konnten we- der Kieselerde noch Eisenoxyd in der Asche nachge- wiesen werden. Des Vergleiches wegen lasse ich hier die Analyse der Gesammtasche von Ochsenfleisch nach Stólzel^) folgen, nach der in 100 Theile Asche enthalten sind: Ki ons 35,94 Magnesia.... 3,51 Kalkerde.... 1,73 Kalim.: =. 5,36 OD ee 4,86, Eisenoxyd ... 0,98 Phosphorsáure 34,36 Schwefelsäure. 3,97 Kieselsáure... 2,07 Kohlensäure.. 8,02 100 Beim Vergleich dieser Resultate mit den meinigen musste man folgern, als ob durch die Einwirkung von Äther aus dem Fleische alle anorganischen Salze mit dem Muskelsaft ausgetreten wären. Dagegen spricht aber die Thatsache, dass, wenn man die mit Äther behan- delten rückständigen Fleischstücke trocknet und ver- brennt, man schliesslich einen feuerfesten Rückstand 6) Gorup-Besanez. Physiologische Chemie 1862. Seite 615. 545 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 546 erhált, in dem man Phosphorsáure, Kalkerde, Magnesia und Kali nachweisen kann. Dieses Factum muss mit der Zeit durch genaue quantitative Versuche näher festgestellt werden. Zugleich müssen wir noch hervorheben, dass, wenn man die Fleischstücke nach der Behandlung mit Äther unmittelbar darauf mit Wasser behandelt, eine sauer reagirende Flüssigkeit erhalten wird, aus der beim Erhitzen noch Albumin ausgeschieden wird. Im Verlauf dieser drei Versuche mit Ochsenfleisch wurden verschiedene Ätherauszüge erhalten, von wel- chen einige sich durch eine gelbliche Färbung auszeich- neten, wührend andere wiederum vóllig farblos waren. Diese Lósungen wurden schliesslich getrennt der De- stillation unterworfen, um einerseits die im Äther lós- lichen Substanzen näher kennen zu lernen und anderer- seits, um den Áther zu neuen Arbeiten wiederzuge- winnen. Hierbei zeigte es sich, dass die meisten Äther- lösungen im Verhältniss, als der Äther entwich, sich mehr und mehr gelb färbten und dass sich beim Er- kalten aus diesen Lósungen ein weisses festes Fett __abschied. Beim ferneren Abdampfen schied sich schliess- lich auch ein gelber fettartiger Körper aus, der sich ' durch eine grosse Leichtlóslichkeit in Alkohol und Äther auszeichnete. Wurde ein solcher Rückstand mit Natronlauge behandelt, so erfolgte eine Verseifung, aus der durch Abdampfen, Verbrennen und Glühen schliesslich eine weisse Asche gewonnen wurde, in der Phosphorsäure in reichlicher Menge nachgewiesen wer- den konnte. Aus dieser Thatsache müssen wir auf das Vorkommen von Lecithin in diesen Lösungen schliessen. Auf diese Thatsache hat schon Hoppe-Seyler”) hin- gewiesen, indem er erwähnt: «Lecithin findet sich in fast allen bisher darauf untersuchten thie- rischen nnd pflanzlichen) Zellenflüssigkeiten und ebenso in fast allen thierischen Flüssig- - 7) Hoppe-Seyler. l. c. Seite 128. 8) Die Angabe von Hoppe-Seyler, dass sich Lecithin in fast allen bisher darauf untersuchten pflanzlichen Zellenflüssigkeiten findet, veranlasst mich zu erwähnen, dass es mir bei meinen bishe- rigen Untersuchungen noch nicht gelungen ist, dieses Factum bestä- tiren zu können. Ich möchte es deswegen in Abrede stellen und glaube auch darauf hinweisen zu müssen, dass wir diese von E Hoppe-Seyler aufgestellte Annahme weder in dem bekannten Werke von Julius Sachs, noch von Mayer in seinen agricultur- chemischen Vorlesungen aufgeführt finden. Káme Lecithin wirklich in den pflanzlichen Zellenflüssigkeiten allgemein oder auch nur un- ter besonderen Verhältnissen vor, hätten die genannten Gewährs® mánner die Thatsache gewiss nicht mit Stillschweigen übergangen. Tome XXII. keiten, wie Blut, Transsudate, Galle, Eiter- flüssigkeiten, besonders reichlich ist es im Gehirn, Nerven, Eidotter, Sperma, Eiter, Blut, electrischen Organen der Rochen gefunden.» Wurden schliesslich diese verschiedenen Atherló- sungen vor der Spalte des Spectralapparates unter- sucht, so stellte sich heraus, dass einzelne dieser Ló- sungen ein überaus deutliches Absorptionsspectrum des Sauerstoffhimoglobins nach W. Preyer gaben. Als weiteren Beleg dieser neuen und merkwürdigen Thatsache führe ich noch folgende quantitative Be- stimmung dieser Absorptionslinien auf, námlich 60,0 bis 63,5 und 70,6 bis 73,0, somit Linien überein- stimmend so nah, als man nur wünschen kann, mit den Angaben von W. Preyer, die einem Gehalt von 0,04 p. c. Hämoglobin entsprechen. Wie gesagt, diese Erscheinungen der Absorptions- linien traten nicht bei allen untersuchten Lósungen gleich stark auf, ja bei einigen traten gar nicht die Linien auf, obgleich dem äusseren Ansehen nach kein besonderer Unterschied zwischen den Lósungen fest- zustellen war. Eine Erklárung dieser neuen Erscheinung lag durch- aus nicht auf der Hand, zumal da man, wie bekannt, durch unmittelbare Ausschüttelung von Blut mit Äther Aus- züge erhült, die derartige Spectralerscheinungen nicht zeigen. Als Ausweg suchte ich zuerst die Erklürung in dem Vorkommen von Lecithin und um mich von der Richtigkeit einer derartigen Auffassung unmittel- bar durch den Versuch zu überzeugen, wurden Ei- dotter direct mit Áther ausgeschüttelt und die so er- haltenen stark gelb gefárbten Lósungen unmittelbar oder nach gehóriger Concentration vor der Spalte des Spectralapparates untersucht. Das Resultat war im- mer ein durchaus negatives, wobei ich zugleich nicht unterlassen kann hervorzuheben, dass es mir auch nicht gelang, die von W. Preyer im chloroformigen Auszug des Eigelbs angegebenen Absorptionsstreifen beobachten zu kónnen. Diese Thatsachen belegen aufs deutlichste, dass die angeführten Absorptionslinien nicht auf die Gegen- wart von Lecithin zurückgeführt werden kónnen. Die Erklürung dieser neuen Erscheinung ist und bleibt demnach noch eine offne Frage, die aber in physiolo- gischer Hinsicht von nicht zu unterschätzender Be- deutung ist. 35 - 547 Bulletin de l’Académie Impériale 548 Beim weiteren Verfolg dieser Erscheinung stellte es sich nun noch heraus, dass durchaus nicht die Átherauszüge aus all und jeder Fleischsorte diese Spectralerscheinung gaben, sondern dieselbe vielmehr nur selten auftrat. So fand ich diese Erscheinung nicht in den Ätherauszügen aus Hühnerfleisch, Schwei- nefleisch, magerem Ochsenfleisch , Lachsfleisch, wäh- rend sie sehr entschieden und stark aus fettem Ochsen- fleisch und Kalbfleisch erhalten wurde. In Sonderheit stark zeigte sich dieses Spectrum in den Ätheraus- zügen einer Kalbsleber. Bei einer gleichen Behand- lung einer frischen Ochsenleber zeigten die ersten 8 Ätherauszüge durchaus kein Spectrum, die folgen- den aber ein überaus starkes. Aus Hühnerlebern wurde nur ein sehr schwaches Spectrum erhalten. Bei der Bedeutung dieser Thatsachen halte ich es für gerechtfertigt, wenn ich mich schon hier etwas aus- führlicher über diegdie Gewinnung dieser neuen Sub- stanz begleitenden Erscheinungen auslasse. Hierdurch gebe ich die Möglichkeit, dass auch von anderen Sei- ten her dieses neue Factum aufgenommen und ver- folgt werden kamn, wenngleich ich mir besonders vor- behalte, diese Untersuchung in möglichst grosser Aus- dehnung fortzusetzen. | Bei der Behandlung einer Kalbsleber, die in kleine Stücke zerschnitten war, erfolgten mit Äther sehr rasch die osmotischen Erscheinungen, wobei der Äther eine citronengelbe Farbe annahm. Diese Lösung wurde ab- gegossen und der Destillation unterworfen, wobei als Rückstand ein orange-gelbes Öl erhalten wurde, das bei der Prüfung vor der Spalte des Spectralapparates nur schwache Spuren eines Speetrums erscheinen liess. Der wiedergewonnene Äther wurde von Neuem auf die Leberstücke gegeben, färbte sich nach einiger Zeit überaus schwach gelblich und wurde erst nach 3-tä- giger Einwirkung abgegossen und destillirt. Der Rück- stand zeigte eine schwach bräunlich-gelbe Farbe und 'gab ein bedeutend stärkeres Spectrum als je erstere Lösung. Die nächstfolgenden Ätherauszüge waren fast farblos und doch nach einer unbedeutenden Concen- tration derselben gaben sie das deutlichste Spectrum. Mit der Behandlung der Leber mit Äther wurde un- unterbrochen fortgefahren und obgleich schon 8 mal der Äther erneuert worden war, so gaben die Lösun- gen immer noch die genannten Absorptionstreifen. Diese verschiedenen Ätherlösungen wurden schliess- lich in einem Glaskolben zusammen abgedampft, wo- bei eine Lösung von röthlich-brauner Farbe erhalten wurde, die ein überaus deutliches Spectrum gab. Beim ferneren Abdampfen schieden sich nach und nach roth- gefärbte Öltropfen aus, während die Lösung eine gelb- liche Farbe zeigte. Beim Abkühlen erstarrten diese Öltropfen zu einer rothgefärbten durchscheinenden Masse, so dass die überstehende trübe gelb gefärbte Lösung abgegossen und der Rückstand noch mit Was- ser abgewaschen werden konnte. Dieser Rückstand gab das schönste Spectrum des Hämoglobins nach Preyer. Setzte man diesen Rückstand im Glaskolben der Tem- peratur des kochenden Wassers aus, so erfolgte keine Schmelzung, kein Flüssigwerden, aber auch keine an- deren Veränderungen der Masse zeigten sich. In Äther und Alkohol ist dieser Rückstand löslich mit schwa- cher Blutfarbe, und diese Lösung giebt das Spectrum in bekannter Weise. Beim Behandeln mit Natronlauge erhält man eine Seife, die nach dem Erkalten erstarrt und dabei immer noch dasselbe Spectrum zeigt. Ebenso wird das Spectrum durch eine Behandlung mit Schwe- felnatrium nicht verändert, dasselbe gilt, wenn man die alkoholische Lösung mit Essigsäure behandelt. Es tritt hier kein Säureband, wie beim Blut, auf, son- dern nach und nach verschwindet das Speetrum voll- ständig. ! Durch dieses Verhalten der Lósung zum Schwefel- natrium und zur Essigsäure unterscheidet sich das oben erwähnte Spectrum in überaus charakteristischer Weise vom Spectrum des Hämoglobins. a + Behandelt man eine kleine Probe dieser fettartigen Substanz auf dem Objectglase in bekannter Weise mit ` Kochsalz und Eisessigsüure, so erhált man keine Há- minkrystalle. = Kocht man diese Substanz in einer Platinschale mit Natronlauge, so erfolgt nach und nach eine vollstándige Verseifung, so dass bei gehóriger Concentration die . ganze Masse seifenartig erstarrt. Beim weitéren Ab- dampfen dieser Seife im Wasserbade erhält schliess- lich einen gelblich gefärbten Rückstand, der in Al- kohol nur zum Theil löslich ist. Die alkoholische Lö- sung von schwach róthlich-brauner Farbe zeigt das frühere Spectrum in ausgezeichneter Weise und giebt ‚beim Abdampfen einen schwach gefärbten Rückstand, der schwer in kaltem, leicht in kochendem Alko- 549 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 550 hol lóslich ist. Diese Lósung, bei deutlicher alka- lischer Reaction, giebt immer die unveránderten Ab- sorptionsstreifen. Versetzt man diese Lósung mit Na- tronlósung und verdampft sie, so erhält man einen Rück- stand, der bei hóherer Temperatur unter Verbreitung eines starken Geruchs nach Fett verbrennt, wobei . zuletzt eine Asche hinterbleibt, in der die Gegenwart von Phosphorsäure mit Leichtigkeit nachgewiesen wer- den konnte. Der nach der Verseifuug und nach der Behandlung mit Alkohol unlösliche Rückstand ist in Wasser leicht löslich mit schwach gelblicher Farbe und zeigt keine Absorptionsstreifen. Dieser in Alkohol unlösliche Rück- stand verbrennt auch bei höherer Temperatur unter Verbreitung eines Fettgeruchs und unter Hinterlas- sung einer Asche, in der die Gegenwart von Phos- phorsäure dargelegt werden konnte. Versetzt man die wässrige Lösung dieser Verbin- dung mit Schwefelsäure, so erfolgt erst starke Ent- wickelung von Kohlensäure und darauf Trübung durch Abscheidung der fettartigen Säure. Schüttelt man jetzt diese Lösung mit Äther aus, so löst sich die Fettsäure mit gelblicher Farbe auf. Dampft man diese Lósung wieder ab, so erhált man einen Riickstand, in dem man nach dem Verkohlen Phosphorsáure nach- weisen kann und der vor der Spalte des Spectralappa- rates keine Absorptionstreifen zeigt. Dieser Rückstand, sorgfältig mit Wasser ausgewaschen, um möglicher Weise vorhandene Spuren von Schwefelsäure zu ent- fernen, und dann in Alkohol aufgelóst, zeigte eine deutliche saure Reaction. Behandelt man die nach dem Ausziehen mit Äther rückstündigen Leberstücke mit kochendem absolutem . Alkohol, so erhält man eine schwach grünliche Lösung, die sich leicht filtriren lässt. Diese Lösung im Was- serbade eingedampft hinterlässt einen grünen glänzen- den Rückstand, der sich in Wasser zu einer schleimi- gen opalisirenden grünlichen Masse auflöst, die einer verdünnten Gallenlösung überaus ähnlich aussieht. Ausserdem verbreitete dieser Rückstand, ebenso wie die Lösung einen eigenthümlichen süsslichen Geruch. Prüft man eine kleine Probe dieser Lösung mit der Fehling’schen Kupferlósung, so stellt sich überaus rasch eine Ausscheidung von Kupferoxydul ein, als Zeichen der Gegenwart von Traubenzucker. Ver- setzt man eine andere Probe mit concentrirter Schwe- felsäure unter Vermeidung einer besonderen Steiget rung der Temperatur der Flüssigkeit, so färbt sich die Lósung blassroth als Zeichen der Gegenwart von Gallensáuren. Schüttelt man schliesslich den Rest der wässrigen Lösung mit Äther, so färbt sich der Äther wieder grün und prüft man darauf diese Lösung vor der Spalte der Spectralapparates, so zeigt sich noch ein schwaches Spectrum, was darauf hinweist, | dass bei den Behandlungen der Leberstücke mit Äther noch nicht die ganze Quantität des das Spectrum ge- benden Körpers extrahirt worden war. Eine zweite Behandlung der Leberstücke mit Alkohol gab eine Lösung, in der man immer noch Spuren von Zucker und Gallensäuren nachweisen konnte, es zeigten sich aber keine Spectralerscheinungen mehr. Diese hier mitgetheilten Erfahrungen über die durch die Einwigkung von Äther auf Fleisch hervorgerufenen osmotischen Erscheinungen veranlassten mich, dieser- ben als Ausgangspunkt zu einer Reihe vergleichender quantitativer Fleischanalysen verschiedener Thiere zu nehmen. Diese neuen umfangreichen Arbeiten schlossen sich in unerwarteter Weise an eine von der Kaiser- lichen caucasischen medicinischen Gesellschaft aufge- stellte Frage: «über die Nahrhaftigkeit des hie- sigen Fleisches zum Tscherkasskischen» an. Wenn gleich wenig zur endgültigen Entscheidung die- ser Frage, die zumal für die Verpflegung der caucasi- schen Armee von grósster Bedeutung ist, auf rein che- misch - analytischem Wege spricht, so hoffe ich doch immer durch meine unternommenen Untersuchungen etwas zur Lósung derselben beizutragen. Von dieser Überzeugung ausgehend theilte ich schon vor einigen Wochen der Kaiserlichen caucasischen medicinischen Gesellschaft meine ersten Resultate der Fleischanaly- sen in kurzer Zusammenstellung mit. . Unabhängig hiervon gehen aber meine Untersu- chungen ungehindert weiter, und hoffentlich ist es mir gestattet, nach einiger Zeit wieder berichten zu kónnen. Tiflis, 13. April 1876. | Fortgesetzte Untersuchungen über den Encke'schen Cometen. Von Dr. E. v. Asten. on le 21 septembre 1876.) In meiner letzten der Kais. Academie mitgetheilten Abhandlung (Bull. T. XX, Pg. 340—366) habe ich ^ 35* 551 Bulletin de l'Académie Impériale 552 Resultate behandelt, welche sich aus der Verbindung der vier in die Jahre 1861 — 62, 1865, 1868 und 1871 fallenden Erscheinungen des Encke'schen Cometen er- geben haben. Es hatte sich dabei gezeigt, dass die al- gemeinen, die himmlischen Bewegungen regelnden, Gesetze hinreichten, den Lauf des Cometen wührend der sechs Jahre 1865—71 zu erkláren, wührend der Anschluss der Beobachtungen von 1861—62 die Zu- ziehung der Hypothese einer Acceleration von nahezu dem durch Encke's Rechnungen festgestellten Betrage nóthig machte. Weitere Untersuchungen, bei denen die sümmtlichen in die Jahre 1855-75 fallenden Er- scheinungen in den Kreis der Betrachtung gezogen - wurden, habe ich seitdem in den Astronomischeu Nach- richten X 2038— 2039 veröffentlicht. Trotz des in gewisser Beziehung unvollstándigen Characters dieser Rechnungen liess sich. dennoch schon mit Bestimmt- heit daraus folgern, dass die Entwickelung der Theorie des Encke'schen Cometen ohne die Annahme einer im Allgemeinen bei jedem Umlaufe eintretenden Accele- ration seiner mittleren Bewegung unmöglich sein werde. Indessen schienen mir mehrere Gründe gegen die Hy- - pothese zu sprechen, welche die Ursache dieser Er- scheinung in einem widerstehenden Mittel sucht. Ausser dem oben erwühnten Umstande, dem scheinbar vólli- gen Ausbleiben der Acceleration wührend der Zeit 1865—1871, gehören hierher, allerdings verhältniss- mässig kleine, Störungen des Laufes des Cometen, welche bestimmten Gesetzen nicht zu folgen schienen, deren Vorhandensein jedoch einem eingehenden Stu- dium der exacten Encke’schen Arbeiten während des Zeitraumes 1818—48 nicht entgehen kann. Ausser- dem zeigte die Discussion der Beobachtungen von 1875, dass zwischen 1871 und 1875 zwar unzweifel- haft eine Vergrösserung der mittleren Bewegung des Cometen eingetreten ist, dass der Betrag derselben jedoch nur zwei Drittel des aus Encke’s Rechnungen zwischen 1818—48 und den meinigen zwischen 1855 und 1865 abgeleiteten Mittelwerthes derselben er- reichte. Die aus diesen Stórungen resultirenden Ab- weichungen der Theorie von den Beobachtungen, deren Erklärung weder Encke noch mir bisher gelungen war, glaubte ich dem Umstande zuschreiben zu müssen, dass die Grüsse der Acceleration wáhrend jedes Um- laufs des Cometen keine constante sondern veründer- liche Grósse sei. Die analytische Entwickelung der Theorie der Bewegung in einem widerstehenden Mittel giebt zwar Rechenschaft von Veründerungen in der Acceleration. Dieselben sind jedoch einerseits von der Art, dass sie der Rechnung unterworfen werden kón- nen und von Encke auch unterworfen worden sind, an- dererseits, da sie von den verháltnissmássig nicht gros- sen Veränderungen der Cometenbahn durch die Stö- rungen der Planeten und durch die A leration selbst abhüngen, von solcher Kleinheit, dass sie sich der Con- statirung durch die Beobachtungen jedenfalls entzie- hen müssen. Um solche Störungen in der Regelmäs- sigkeit der Acceleration zu erklären, wie sie so eben besprochen worden sind, müsste man ausser dem durch den Äther bewirkten Widerstande auch noch auf physische Veründerungen im Innern der Cometen- materie Rücksicht nehmen, immer vorausgesetzt na- türlich, dass man es hier mit, der Bewegung des En- cke'schen Cometen eigenthümlichen, Phánomenen zu thun hat. Unter diesen Umstánden schien es mir aber einfacher, die ganze Ursache der Acceleration in eine Thätigkeit des Cometen selbst zu verlegen, wie es be- kanntlich Bessel vorgeschlagen hat. Indem ich jedoch die Entscheidung über diesen delicaten Punkt ver- schob, bis durch Rückwärtsführung der Stórungen bis 1848 ein Anschluss an die Encke'schen Rechnungen gewonnen sei, machte ich schon 1874 darauf auf- merksam, dass die Zuziehung einer eventuellen Secular- ünderung der Excentricitit der Cometenbahn ein passendes Mittel bieten kónne, über die relative Wahrscheinlichkeit beider Erklárungsarten zu ent- scheiden. Da dieser Anschluss jetzt gewonnen ist, steht mir zur Prüfung der Frage das Material von 18 in die Jahre 1818—1875 fallenden Erscheinungen zu Ge- bote. Indem ich mir vorbehalte, das Detail meiner Un- tersuchungen in einem ausführlichen Mémoire zu ge- ben, dessen einzelne Theile noch einer weiteren Durch- arbeitung bedürfen, halte ich es für wünschenswerth, die gewonnen Hauptresultate schon jetzt zur Kenntniss des Publicums zu bringen, um so mehr, als ich den Standpunkt, auf dem ich zur Zeit meiner letzten Mit- theilungen stand, jetzt nicht mehr vertreten kann. Wenn ich mich bei Begründung dieser Resultate et- was kürzer fasse, als Manchem vielleicht wünschens- werth erscheinen wird, so muss ich dafür die Nachsicht der Astronomen in Anspruch nehmen und kann nur auf das Mémoire verweisen, welches mit möglichster Be- 553 ‘des Sciences de Saint - Pétersbourg. schleunigung zu vollenden, meine nächste Sorge sein wird. übergehe, welches ich bei der Verbindung der Er- scheinungen 1818— 1875 einschlug, halte ich es für | _ unnóthig, bei den Principien zu verweilen, welche mich bei der Entwickelung der planetarischen Stórungen in dem Zeitraume 1848— 1875 leiteten, da dieselben bei anderen Gelegenheiten zur Genigé erórtert wor- den sind. Ich will hier nur erwühnen, dass, da ur- sprünglich nur die Bestimmung der Masse des Mer- cur im Plane der Arbeit lag, welche' gewissermassen ein Element der Theorie des Encke'schen Cometen bildet, die Summation der Stórungen für die 5 Plane- ten Venus, Erde, Mars, Jupiter und Saturn gemein- schaftlich ausgeführt wurde. Die zu Grunde pue Massen für diese Planeten sind: * m (9) = tee: mbr C)— eem m (d) = er m (%) = ER m (Š) = ur Ein Versuch, die Beobachtungen des Cometen dar- zustellen, indem man diese Massen unverändert bei- behielt, liess aber so grosse Fehler übrig, dass ich mich genöthigt sah, zu untersuchen, ob nicht die Än- derung einer oder einiger derselben nöthig sei. Eine Correction der Jupitersmasse, welche ohne Schwie- rigkeit eingeführt werden konnte, indem die Summe aller Störungen mit den durch den Jupiter allein er- zeugten identificirt wurde, führte zu keinem befriedi- genden Ziele. Da jedoch das Gewicht dieser Masse sich als sehr bedeutend herausstellte, wurde sie bei Auflösung der Gleichungen als zu bestimmende Unbe- kannte beibehalten. Ausser den Jupitersstörungen sind nur diejenigen von grösserer Bedeutung, welche der Comet durch Venus und Erde erleidet. Dass die be- nutzte Burkhardt’sche Venusmasse bedeutend feh- lerhaft sei, war nicht zu befürchten, da das von Le- verrier in neuerer Zeit gefundene Resultat, nämlich: Indem ich jetzt zu der Darstellung des Verfahrens m(2)= uu nur etwa /, davon verschieden ist. Bei der Erdmasse ist es aber etwas Anderes. Die Masse m ( + C) = — 355409 Ist von Encke aus der Verbindung seiner Sonnenparallaxe mit den D ároi und der allgemeinen Schwere an dessen Oberflüche abgeleitet worden. Der jetzt am meisten gebrüuchliche Werth der Sonnenparallaxe, der von Newcomb, näm- lich: BERN würde diese Masse um etwa ein Zehntel vergrös- sern. Da sich jedoch die Astronomen über den jetzt anzunehmenden Werth der Sonnenparallaxe noch nicht endgültig geeinigt haben, und da mich ausserdem der Gedanke reizte, auf einem gewiss unerwarteten Wege einen Beitrag zu einer der jetzt auf der Tagesordnung stehenden Fragen der Astronomie zu liefern, beschloss ich, nicht etwa die Störungen durch Einführung des Newcomb'schen Werthes der Erdmasse zu verbessern, sondern diese Masse aus den Beobachtungen des En- cke’schen Cometen selbst zu bestimmen. Da die Stö- rungen des Encke’schen Cometen durch die Erde jedoch nur für die Periode 1818— 1848 getrennt von den Störungen der übrigen Planeten vorlagen, hätte ich die Summation für den Zeitraum 1848—1875 noch einmal besonders ausführen müssen, wodurch ein nicht unbeträchtlicher Zuwachs an Arbeit entstanden sein würde, wenn sich in diesem speciellen Falle nicht ein Mittel dargeboten hätte, dessen Anwendung mich dieser Mühe überhob. Wenn nämlich die von Han- sen in seiner Pariser Preisschrift entwickelten abso- luten Erdstörungen des Encke’schen Cometen, deren etwas vollständigere Ableitung zugleich eine meiner ersten Arbeiten über diesen Cometen gebildet hat, auch zu ungenau sind, um die Resultate der speciellen Störungsrechnung ersetzen zu können, so überzeugte mich doch die Vergleichung derselben mit den durch die Methode der Variation der Constanten von Encke berechneten Störungen, dass ihre Verwerthung für die Bildung der Coefficienten der Erdmasse möglich sei, ohne merkliche Fehler befürchten zu müssen. In den Erd-Störungen der mittleren Anomalie des En- cke’schen Cometen kommt ein Glied vor, welches bei der Masse m(4+ €) — agy 186" beträgt, und 555 Bulletin de l'Académie Impériale 556 dessen Periode ungeführ 47 Jahre umfasst. Da die Beobachtungen, welche mir zur Bahnbestimmung dien- ten, sich über einen Zeitraum von 57 Jahren ver- theilen, musste der Einfluss eines Fehlers dieses Glie- des sehr betrüchtlich werden, da sein Coefficient geo- centrisch im Durchschnitt fünf, im Maximum sogar achtzehnmal vergróssert auftritt. Ich komme jetzt zu der dem Encke'schen Cometen eigenthümlichen und daher empirisch zu ermittelnden Stórung. Die Schwierigkeit, ihre Ursache zu ergrün- den, entspringt besonders aus dem Umstande, dass sie sich wesentlich nur in einem einzigen Elemente, der mittleren Bewegung, bemerklich macht, und dass die Beobachtungen immer in demselben kleinen das Pe- rihel einschliessenden Theile der Cometenhahn con- centrirt sind. Wir wissen über dieselbe eigentlich nichts Anderes, als dass sich die mittlere Bewegung des Cometen im Laufe jeder Revolution um eine Quan- tität vergrüssert, welche im Grossen und Ganzen als eine Constante betrachtet werden darf. Offenbar kann dieser Bedingung durch unzählige Hypothesen genügt werden. Die einfachste unter denselben scheint die zu sein, dass sich der ganze Betrag der Stórung aus einer stetigen Folge von Incrementen zusammensetze, wel- che die mittlere Bewegung auf allen Punkten der Bahn gleichmässig empfängt, oder mit anderen Wor- ten, dass die mittlere Bewegung, nach Abzug der pla- netarischen Stórungen, die Form: p= py + Art habe, wo t die von der Epoche an gerechnete Zeit be- deutet. Alle anderen Hypothesen kónnen in der Form: p=p+ f o(d zusammengefasst werden, wo r den Radiusvector des Cometen bezeichnet, welche besagt, dass in gewissen Theilen der Bahn grössere Beträge der Störung ein- treten, als in anderen. Für die Rechnung wird es am bequemsten sein, anzunehmen, dass sich das Element y. jedes Mal in dem Augenblicke, wo der Comet einen bestimmten Punkt seiner Bahn passirt, sprungweise än- dert. Ich habe eine solche Form adoptirt und den Augenblick des Eintritts der Störung in die jedes- malige Perihelpassage verlegt. Es versteht sich von selbst, dass das nicht der Fall der Natur sein kann. Die gewählte Form wird sich diesem aber so nähern, dass der Unterschied für jede Erfahrung unmerklich sein wird, wenn es wahr ist, dass der ganze Betrag der Störung sich innerhalb eines sehr kurzen den Moment der Perihelpassage einschliessenden Zeitraumes zusam- mensummirt. Einen Grund, dieser Annahme den Vorzug vor anderen zu geben, giebt der Faye'sche Comet an die Hand, in dessen Bewegung die sorgfältige Unter- suchung des Herrn Prof. Axel Möller den Einfluss besonderer Kräfte nicht hat entdecken können. Will man diesem Himmelskörper nicht eine von der des Encke'schen Cómeten wesentlich verschiedene Con- stitution beilegen, so muss man die Ursache der Stö- rung in Kräften suchen, welche nur in Regionen des Weltenraums wirksam sind, durch welche sich der Faye’sche Comet nicht bewegt, d. h. in Regionen, welche der Sonne näher liegen, als das Perihel dieses Cometen. Von Hypothesen, welche diese Voraus- setzung erfüllen, sind bisher zwei Gegenstand der Discussion gewesen. Die erste erklärt die Accelė- ration durch den Widerstand eines Mittels, welches proportional dem Quadrate der Geschwindigkeit des sich in demselben bewegenden Körpers wirkt, und dessen Dichtigkeit umgekehrt proportional dem Qua- drate der Entfernung von der Sonne variirt. Die zweite erkennt diese Ursache in Ausströmungen von mate- riellen Theilen aus dem Cometenkörper. Die erste dieser Hypothesen ist von Encke streng der Bearbei- tung seines Cometen zu Grunde gelegt worden. Ihre analytische Entwickelung zeigt, dass 9 Zehntel der ganzen in einem Umlaufe erzeugten Acceleration in der kurzen Zeit von 50 Tagen, während der Comet den von den Radien vectoren 0,7 eingeschlossenen Theil- seiner Bahn durchläuft, erfüllt werden. Der Wider- stand erzeugt aber, während er die Elemente Knoten und Neigung ganz ungeändert lässt und in der Länge des Perihels nur sehr kleine periodische Störungen hervorbringt, ausser der Acceleration der mittleren Bewegung auch eine Secularánderung der Excentri- cität. Da Encke die Ursache der Acceleration, welche sein Comet notorisch erführt, als erkannt stipulirte, konnte er beide Änderungen aus einander theoretisch : | ableiten und brauchte daher aus den Beobachtungen nur eine einzige Constante, die Constante des Wider- standes U zu bestimmen. Indem er niemals versucht hat, den Zahlenwerth beider Quantitáten empirisch ic > 557 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 558 zu ermitteln, begab er sich aber der Aussicht, dass gewichtigste Argument, was úberhaupt zu erlangen ist, für die Richtigkeit seiner Hypothese beizubringen. Da es meine Absicht war, zuerst das Thatsüchliche der auf den Cometen wirkenden Kräfte festzustellen, bevor der Speculation Rechte zugestanden wurden, musste die unabhángige Bestimmung sowohl der Secularánderung der mittleren Bewegung als auch der der Excentricitát aus den Beobachtungen erfolgen. Es ist klar, dass der Gleichfórmigkeit wegen der Eintritt der Änderung des Excentricitätswinkels auch in den Augenblick der Perihelpassage verlegt werden musste. Aus vorstehender Auseinandersetzung folgt, dass die Aufgabe vorlag, aus dem gesammten auf 57 Jahre vertheilten Beobachtungsmaterial 11 Unbekannte zu ermitteln, nümlich ausser den 6 Elementen der Co- metenbahn: 7) Die Acceleration der mittleren Be- wegung bei jeder Perihelpassage . . TM 8) Die Veründerung des Excentricitáts- winkels bei jeder Perihelpassage. . . y 9) Die Masse des Mercur ......... m($) 10) Die gemeinschaftliche Masse der Erde nnd des Mondes .......... mé + €) 11) Die Jupitersmasse............. m(2) Die Beobachtungen vertheilen sich auf 18 in die Jahre 1818—1875 fallende Erscheinungen, und sind in 66 Normalórtern vereinigt worden. Wegen des schon oben erwáhnten Umstandes jedoch, wonach durch irgend welche Ursache die Wirkung der Acce- leration beim Übergang über das Perihel von 1868 zum gróssten Theil aufgehoben worden ist, mussten die beiden letzten Erscheinungen von 1871 und 1875 "mit den dazu gehörenden 9 Normalórtern vorläufig von der Untersuchung ausgeschlossen werden, so dass zur Bestimmung der 11 Unbekannten 114 Gleichungen übrig blieben. Es schien mir ráthlich, die Unter- suchung über die Ursache, welche der Annahme ge- máss zwischen 1868 und 1871 der Acceleration ent- gegengewirkt hat, so lange zu verschieben, bis die aus den 16 Erscheinungen 1818—1868 abgeleiteten Re- sultate fertig vorlagen. Die aus den Beobachtungen von 1818 bis 1858 abgeleiteten Normalórter sind unver- ändert so beibehalten worden, wie sie Encke in sei- Die Normalórter der vier Erscheinungen 1861— 1871 habe ich in den Astr. Nachr., V 2038—39, gegeben. Die zur Erscheinung 1875 gehórenden führe ich hier an. Ausser zwei Pulkowaer Beobachtungen des Hrn. Geh. Raths O. v.Struve und zweier Berliner Beobach- tungen von Prof. Tietjen und Dr. Vogel, ist bei Bildung derselben nur die vorzügliche Beobachtungs- reihe des Hrn. Prof. Bredichin in Moskau, zu wel- cher die Vergleichsterne am Repsold'schen Meridian- kreise der Pulkowaer Sternwarte von Hrn. Rom- berg bestimmt worden sind, benutzt worden. Normalórter für die Erscheinung 1875. M. Berl. Zeit. Æ 1875.0 Decl. 1875.0 1875 Febr. 27,0 5° 36 1053 --10? 4'36;7 März 8,0 10 58 49,3. +12 5 15,9 März 26,0 24 26 29,5 --16 13 12,0 April 8,0 35 53 45,7 +16 49 30,2 Bei der Auflósung der Gleichungen nach der Me- thode der kleinsten Quadrate erhielten die Normal- órter der Erscheinungen 1818—19, 1822 u. 1832 das Gewicht ”/,, diejenigen der Erscheinungen 1825 und 1835 das Gewicht Y,, alle anderen das Gewicht 1. Die Elemente, zu denen ich gelangte und für welche als Normalepoche die Zeit 1865 Aug. 19,0 M. Berl. Zeit, gewählt worden ist, nebst ihren — Fehlern, sind: Elemente XVI. T, — 1865 Aug. 19.0 Mittlere Berliner Zeit. Aequinox 1865.0. M = 24?46'12,45 + 0,546 zv — 158 3 48,91 + 1,853 Q — 334 32 38,55 + 8,790 i — 13 3 51,21 + 1,177 p = 57 48 43,22 + 1,025 ns 10735871812 + 0,0004632 wW = +0,1044184 = 0,0001353 o = —3,6796 + 0,1501 mini = 1/7636440 = 195907 m(&--C)e 1/305878 + 2272 m(9) = 1/1049,632 + 0,298 Dieselben sind mit XVI bezeichnet worden, weil sie auf 16 Erscheinungen beruhen. Es ist interessant, dass aus diesen Elementen folgende System von os- culirenden Elementen mit demjenigen zusammenzu- nen 8 academischen Abhandlungen aufgeführt hat. 559 Bulletin de l'Académie Impériale 560 - stellen, welches Encke aus der Discussion der 10 Er- scheinungen 1818—48 erhielt. Das Encke’sche System X beruht auf den Massen, welche ich am Anfange dieser Abhandlung angeführt habe. Die Mercursmasse, . sowie die sogenannte Constante des Widerstandes wurde aus den Beobachtungen wie folgt bestimmt: m (8$) = 1/3271742 — 1/894,892 Aus der letzteren Constante hat Encke in einer im Berliner astronomischen Jahrbuch für 1861 auf- genommenen Abhandlungen: «Über die Existenz eines widerstehenden Mittels im Weltenraume» die folgen- den Werthe der von mir unabhängig von einander be- stimmten Quantitäten p’ und e abgeleitet: p = 050977743 ọ = —3,471 System X (Encke) System XVI (Asten) T_ „= 1819 Jan. 27.25 M. Pariser Zeit. M = 359° 59 52,07 359° 59’ 49768 x — 156 59 44,44 156 59 46,78 Q — 334 33 38,99 334 33 17,53 i — 13 37 0,06 13 36 56,01 p= 58 3 43,09 58 3 42,47 p = 1076,958259 10765938309 Aequ. 1819.0 T = 1822 Mai 24.0 M. Par. Zeit. M = 0° 034554 0? 03915 x = 157 12 16,85 157512 1819 ` Q — 334 25 28,34 334 25 8,79 i= 13 20 23,37 13 20 21,00 e = 57 37 7,06 57 37 8,59 p = 1069527197 10695535612 Aequ. der Epoche. T oss 1825 Sept. 16.3 M. Par. Zeit. M= 0 023/01 0° 0'19737 =157 15 3,8. 157 15 5,65 Q — 334 2749,10 334 27 29,87 i — 13 21 30,57 13 21 28,05 o — 57 39 50,36 57 39. 51,81 p = 1070,335921 1070,338311 Aequ. der Epoche. = 1829 Jan. 9.72 M. Par. Zeit. 359? 59' 28711 157 18 28,05 384 29 32,07 13 20 38,42 57 38 10,04 10697863241 Aequ. der Epoche. T M = 359° 59' 21,93 r = 157 18 25,75 Q = 334 29 50,98 i — 18 20 40,91 "9 5738 BET uw = 1069851933 I. M = 0 013509 z = 157 21 33,54 - Q = 334 32 28,33 i — 13 22 15,13 o — 57 43 13,31 uw = 10717330853 50 — 1832 Mai 4.0 M. Par. Zeit. 0° 0' 8/26 157 21 35,95 334 32 9,77 13 22 12,45 57 43 13,93 1071,347675 Aequ. der Epoche. T , — 1835 Aug. 26.3 M. Par. Zeit. M = 359° 58' 35/54 x = 157 24 1,77 Q = 334 35 18,77 i = 13 2121,58 o E p = 1070/756846 57 40 47,02 359° 58' 46/85. 157 24 4,04 334 35 0,38 13 21 18,96 57 40 48,06 1070770606 Aequ. der Epoche. T , = 1838 Dec. 19,0 M. Par. Zeit. M = 359° 59' 43/28 r = 157 27 36,51 A = 334 37 0,12 13 21 34,71 57 41 41,30 ` i T o == p = 10717148705 359° 59 42/69 157 27 38,97 .334 36 42,27 13 21 32,02 57 41 43,13 10717143915 .—. Aequ. der Epoche. T ,-— 1842 April 12.0 M. Par. Zeit. M = 359° 5% 47;40 157 29 59,14 334 39 98,81 13 20 32,71 57 39 12,16 10707617361 Fr 6 92) A ü d 0 d M 359? 59' 32535 157.30. 188. 334 39 11,20 13 20 30,07 57 39 13,89 1070;621030 Aequ. der Epoche. des Sciences de Saint - Pétersbourg. T_e ME — — — — "c0 ec RT 3 zu 1 M = T == $2 à 9 Ls Dem pr XVI allein gehóren an die Elemente: Zeg T = 1845 Aug. 9.6 M. Par. ‚Zeit. 359° 59’ 48/54 Eo 51/94 157 44 53,73 157 44 54,84 334 19 51,87 334 19 36,60 13 7 40,26 13. 7 38,87 57 56 16,06 57 56 15,83 1075/313357 1075318179 Aequ. der Epoche. — 1848 Nov. 26.125 M. Par. Zeit. 0° 0'35,45 0? 0'40/29 157 4741,12 . 157 47 40,36 334 22 30,77 334 22 15,73 13 8 42,16 13 8 40,90 57 58 46,60 57 58 49,59 10767524260 1076/429183 . Aequ. der Epoche. E Juni 23.0 M. Berliner Zeit. M = 29?58 31/26 x = 157 51 5,57 Q = 334 23 42,98 (oum 13 °7 499 p = 5757 6,68 p = 10767369543 Aequ. 1852.0. = 1855 Oct. 6.0 M. Berl. Zeit. — 2859 5,35 me 157 99 1241 334 26 16,15 - 13 8 4,65 57 57 56,55 1076,523551 Aequ. 1855.0. 859 Jan. 28.0 M. Berl. Zeit. 30° 18’ 31/61 157 57 0,54 334 28 0,63 13. 4 17.25 57 49 17,90 10737963016 Aequ. 1858.0. jd g un T ,-- 1862 Mai 22.0 M. Berl. Zeit. 31?15' 6,32 108 T TIE 334 30 57,93 13 4 57,32 57 51 17,64 10747404629 Aequ. 1862.0. T, — 1865 Aug. 19.0 M. Berl. Zeit. 24° 46 19745 158 3 48,91 334 32 38,55 13 3 51,21 57 48 43,22 1073/871812 Aequ. 1865.0. T-+, = 1868 Juni 14.0 M. Berl. Zeit. 332? 13' 46,68 158 11 18,25 334 31 33,68 13 6 40,60 58 7 .1,08 1079/029196 Aequ. 1868.0. FO. Dad e E » qd d il die AR MENS Die osculirenden Werthe von p. und 9 vor und in- clusive der Erscheinung von 1848 sind, je nachdem die Osculationsepochen früher oder spáter als die be- treffenden Periheldurchgünge fallen, im System XVI bezüglich um die Hälfte des Werthes der Constanten v. und o vermehrt oder vermindert worden, ein Ver- fahren, das natürlich nur rein formale Bedeutung hat, durch welches jedoch der móglichst beste Anschluss an die Form, in welcher Encke die Störungen y’ und el berechnete, erzielt wird. Der Betrag der Störung durch das widerstehende Mittel lässt sich nämlich durch den Inhalt einer von einer Curve und der Ab- scissenaxe eingeschlossenen Fläche repräsentiren , welche gegen das Perihel symmetrisch liegt, dort ihren höchsten Punkt erreicht und deren Ordinaten mit der Entfernung von demselben rapid, jedoch mit endlicher Geschwindigkeit gegen die Abscissenaxe zu abfallen. Die von mir gewählte Form fordert dagegen, dass, bei gleich bleibendem Inhalte der durch die Curve 36 | Bulletin de l'Académie Impériale und Abscissenaxe begrünzten Fläche, sich die Strecke der Abscissenaxe, wo die Ordinaten noch einen merkli- chen Werth haben, unendlich zusammenzieht, während die Ordinate der Curve im Perihel einen unendlich grossen Werth bekommt. Durch die angewandte Re- duetion würden daher für das Perihel selbst beide Formen zu identischen Resultaten führen. Die Normal- örter werden durch beide Systeme, wie folgt, dargestellt, wobei zu bemerken ist, dass Encke bei Auflösung seiner Gleichungen allen Normalörtern gleiches Ge- wicht gegeben hat. Darstellung der Normalórter. Rechnung — Beobachtung. System X (Encke) XVI (Asten) M. Pariser Zeit. ARcos® ADecl ARcosd ADecl 1818 Dec. 22,25 1476 +21,6 | +24,5 +-24,8 1819 Jan. 1,25 —16,9 + 2,1 | — 3,1 + E € 12,25 —60,1 —26,7 | —39,8 — 20,7 1822 Juni 2,85 -+50,1 +19,9 +48,3 +23,9 12,85 + 1,0 — 6,9 |.— 2,3 + 4,6 22,95 +25,4 —11,8 +18,7 + 9,3 ` 1825 Aug.12,6 —25,0 --13,6 — 38,2 +14,9 17,6 —20,2 + 7,2 | —34,2 + 9,8 22,6 — 97 + 2,7 | —25,1 + 7,5 27,6 — 8,2 — 2,4 | —24,5 + 4,2 Sept. 1,6 + 5,8 — 3,7 | —10,4 + 4,2 6,6 + 0,1 — 4,6 | —16,4 + 4,3 1828 Oct. 28,3 4-10,8 + 4,6 +11,0 +20,8 Nov. 8,3 2-23,8 + 5,6 | +11,0 +19,0 30,3 +36,1 + 4,4 0,0 + 1,6 Dec. 7,3 +39,1 +12,4 | — 6,7 + 3,0 14,3 —+37,1 +15,3 | —15,6 — 1,3 25,3 +38,1 +20,2 | —25,9 — 6,7 1832 Juni 5,9 — 3,3 —34,3 | +41,5 + 8,9 1835 Juli 30,5 —57,9 +21,8 | —19,4 +12,4 Mittlere Berl. Zeit. 1838 Sept. 23,5 +17,3 +24,5 | +11,7 +24,1 Oct. 14,5 — e — 2,4 | —16,7 — 8,2 245 #68 + 2,9 | — 3,2 —13,9 Nov. 5,5 —13,0 — 6,9 | +10,4 —16,0 11,5 — 24,9 —14,8 | + 0,2 —19,2 24,5 .—11,8 — 5,4 | + 7,9 — 7,0 564 System X (Encke) ` (XVI Asten) M. Pariser Zeit. i ABR cosg8 A Decl. ARcosö A Decl. 1842 März 38 e 5.8 bd 16m 2.7 15 050 298 + 92,6 — 1,8 | + 4,4 — 3,4 April 78 —24,5 —28,7 | — 8,0 — 2,1 Mai 18 16 —104=-25,3 | —19,2 + 4,7 1845 Juli 10,6 +29,7 + 5,2 | +41,4 + 3,7 1848 Sept. 20 15" —20,3 — 1,4 | + 1,9 + 1,9 Out 715 —413 402. 298 = 66 28 15/—— 5,6 456] — 4,7 + 058 Noc d dif 20 cBINS cor 013 Ta: Durch das System XVI allein werden die betreffen- den Normalórter, wie folgt, dargestellt: System XVI. M. Berl. Zeit. 1852 Jan. 20,5 Febr. 12,5 Márz 8,5 1855 Juli 17,0 30,0 12,0 13,5 11,5 5,5 27.5 Aug. 1858 Aug. Sept. Oct. 1861 Nov. Ca Lä a EA ec. 1862 Jan. März 1865 Juni Juli 27,0 13,0 17,0 22,0 27,5 15,5 23,0 30,0 1868 Juli : Aug. AA cos à :1-20;1 + 5,4 +25,6 +21,8 +27,5 +29,5 —. 3,8 + 7,8 +14,3 +20,1 -- 23,0 + 7,1 (o 4,7 + 4,0 er pg —16,4 ARE: -—— + 3,6 + 7,9 +11,4 —+14,6 Die Summe der mit ihren Gewichten multiplieirten Fehlerquadrate wird für die 114 dem System XVlzu Grunde liegenden Positionen: (nn) = 19534,0, = woraus der wahrscheinliche Fehler eines Normalorts r= + 9,290 565 des Sciences de Saint - Pétersbourg. folgt. Für die 35 ersten in die Jahre 1818—1848 fallenden Normalórter wird (nn) = 112668, während Encke’s Darstellung (nn) = 419701 giebt. Diese Zahl wird zwar durch Reduction auf meine Gewichte auf (nn) = 31627,7 vermindert, bleibt jedoch im- merhin dreimal grösser als die aus meiner Darstellung folgende Summe der Fehlerquadrate. Die grosse Ver-. besserung wird noch auffallender, wenn man auf die Darstellung einzelner Erscheinungen oder Normalörter eingeht. So ist das Quadrat des Fehlers bei dem Nor- malorte 1842 Mai 18 bei Encke fast ebenso gross, als die Summe der Fehlerquadrate für die 35 ersten Normalörter in meiner Darstellung zusammengenom- men. Es ist klar, dass diese Verbesserung einzig und allein den veränderten Massen der Erde und des Ju- piter zu verdanken ist, welche den Elementen XVI zu Grunde liegen. Die Mercursmasse kann dabei keinen Antheil haben, da die Masse m (Y )— 1/3271742 bei Beibehaltung der alten Erd- und Jupitersmasse den Beobachtungen vor 1848 offenbar besser entspre- chen muss, als jede andere. Wenn man aber ausser- dem bedenkt, dass die gefundene kleine Correction der Bessel'schen Jupitersmasse die Summe der Fehler- quadrate für alle 114 Gleichungen nur um 3000 + vermindert, so muss man den weitaus gróssten Antheil an dieser Verbesserung der starken positiven Correc- tion zuschreiben, welche die Encke'sche Erdmasse oder, mit anderen Worten, die Enke'sche Sonnen- parallaxe erfahren hat. In seiner Abhandlung «Inves- tigation of the distance of the Sun etc. ete., Washington 1867» giebt Newcomb die folgende Relation zwi- schen beiden Quantitäten: log z? = 8,35488 + log m (6), wobei zu bemerken ist, dass alle in den Coefficienten von m (5) eintretenden Constanten so genau bekannt sind, dass für unseren Zweck der numerische Theil dieses Ausdrucks als absolut genau betrachtet werden darf. Zieht man von dem oben gefundenen Werthe: 1 | mr €) — 50587942272 die Mondmasse: m(C)= Sa en(5) ab, so erhält man zunächst: : i m (= 5096342299 und. daraus die Sonnenparallaxe: v = 9;009 + 0,022. Ohne natürlich die Richtigkeit dieser Zahl innerhalb der Gränzen ihres wahrscheinlichen Fehlers behaupten zu wollen, kann ich doch nicht umhin, es als ein Factum zu betrachten, dass die Theorie des Encke’- schen Cometen eine Vergrösserung desNewcomb'schen Werthes z — 8”.85 fordert. Eine weitere Entwicke- lung meiner Gründe verspare ich für das Eingangs dieser Abhandlung erwühnte Mémoire. Meine Bestimmung der Mercursmasse muss ich als die erste betrachten, welehe uns einen wirklichen Be- griff von dem materiellen Inhalte des kleinsten unter den Hauptplaneten giebt. In der Zeit 1818—1868 ist der Encke'sche Comet dem Mercur dreimal sehr nahe gekommen. Die stärksten Annäherungen beider Körper waren: 1835 Aug. 23,5 o = 0,120 1848 Nov. 22,6 = 0,039 1858 Oct. 25,1 o — 0,095. Bei seiner Ableitung der Mercursmasse konnte sich Encke nur auf die Stórungen stützen, welche der Co- met bei der ersten der drei angeführten Gelegenheiten erlitten hat, da die Stórung vom Jahre 1848 erst in der folgenden Erscheinung von 1852 sich in den De- obachtungen zeigen konnte, weil hier nur die Ände- rung der mittleren Bewegung in Betracht kommen kann. Da nun, wie Encke in seiner 7. Abhandlung selbst gezeigt hat, die Mercursstórungen in der Zeit bis 1848 sich derart mit der dem Encke’schen Co- meten eigenthümlichen empirischen Störung vermi- schen, dass ihr Einfluss fast vollständig durch eine kleine Änderung der Acceleration ersetzt werden kann, leuchtet es ein, dass die Encke’sche Bestimmung höch- stens als Gränzwerth Bedeutung habeu kann. Ganz anders liegt die Sache aber für das aus den 50 Jahren — '1818—1868 abgeleitete Resultat. Nicht allein wirk- ten die in den Jahren 1848 und 1858 eingetretenen viel bedeutenderen Störungen bei dieser Bestimmung | mit, der längere Zeitraum, über den die Beobachtun- gen vertheilt sind, würde auch schon für sich allein die Ersetzung der im Jahre 1835 erfolgten Störung durch eine Variation der Acceleration nicht erlaubt haben. Aus der Combination der Masse m (Y Les Lagun mit dem Halbmesser des Mercur in der Ein- heit der Entfernung 3734, der Sonnenparallaxe 97009 , 36* 567 Bulletin de l'Académie Impériale 1... NIORT DRE und der Erdmasse m (5) = een, ergiebt sich die Dich- tigkeit des Mercur zu 0,80 der Dichtigkeit der Erde. Über die gefundene Jupitersmasse ist hier nichts Anderes zu bemerken, als dass sie in guter Überein- stimmung mit den auf anderen Wegen gefundenen Zahlen steht. So interessant auch die eben besprochenen Resul- tate in Bezug auf die Massen dreier Planeten sind, so liegt doch der Kern vorliegender Untersuchung in den Aufschlüssen, welche sie uns über das Wesen der dem Encke'schen Cometen eigenthümlichen Stórung . verschafft. Wenn die Beobachtungen auch nicht der- artig dargestellt worden sind, dass die übrig bleiben- den Fehler als die wirklichen Beobachtungsfehler an- gesehen werden dürfen, so liegt doch kein Grund vor, aus denselben auf andere den Lauf des Cometen be- einflussende Krüfte zu schliessen, als die wirklich vor- ausgesetzten. Diese Fehler sind in der That eher klei- ner, als man bei Anwendung der speciellen Stórungen während eines Zeitraumes von 50 Jahren auf einen Kórper wie der Encke'sche Comet, dessen Perihel innerhalb der Mercursbahn liegt und dessen Excen- ` trieität sehr bedeutend ist, hätte erwarten sollen. Denn man darf nicht ausser Acht lassen, dass man bei Beur- theilung der Güte der Darstellung der Beobachtun- gen durch die Rechnung eigentlich nur auf die im he- ` liocentrischen Orte übrig bleibenden Fehler zu sehen hat, welche etwa fünfmal kleiner ausfallen werden als im geocentrischen Orte. Variatiónen von mehr als einigen Tausendtheilen der Secunde in der Grösse der Störung y” während einzelner Perihelpassagen sind durch die Untersuchung von der Möglichkeit ausgeschlossen. Besonders fesselt die Aufmerksamkeit aber die Relation, in welcher die empirisch ermittelte Störung der Excentricitit o zu der Acceleration der mittleren Bewegung y” steht. Dies Verhältniss ist näm- lich in der That dasselbe, welehes die Hypothese for- — dert, dass die beiden Störungen durch ein Mittel er- zeugt werden, dessen Dichtigkeit umgekehrt propor- tional dem Quadrate des Abstandes von der Sonne variirt, und welches der Bewegung eines sich in dem- selben bewegenden Kórpers einen Widerstand entge- gensetzt, der proportional dem Quadrate der Geschwin- digkeit desselben' wirkt. Berechnet man námlich aus | der Constanten p — + 071044184 den Werth von w theoretisch, so findet man: : 9 Se TOS während die Beobachtungen o = — 3,680 + 07150 geben. Diese Übereinstimmung ist zu frappant, als dass sie einem Zufalle zugeschrieben werden kónnte, und man wird daher kaum noch Anstand nehmen dürfen, zu behaupten, dass die Ursache der ausserordentli- chen Störung, welche der Encke'sche Comet noto- risch erfährt, in einem widerstehenden Mittel zu su- chen ist, Die Thatsache, dass in der Bewegung des Fay'eschen Cometen der Einfluss eines Widerstandes sich nicht bemerklich maeht, kann gegen die Existenz dieses Mittels überhaupt nicht geltend gemacht wer- den, da dieser Comet immer so weit von der Sonne ent- fernt bleibt, dass in den Gegenden des Weltenraumes, durch die er sich bewegt, die Dichtigkeit des Äthers so gering angenommen werden muss, dass derselbe dort auch auf die Bewegung des Encke'schen Come- ten einen merklichen Einfluss nicht mehr übt. Bis hierher, glaube ich, werden meine Schlüsse gewichtigeren Einwendungen kaum ausgesetzt sein kón- nen. Die Sache verwickelt sich jedoch bedeutend, wenn wir die beiden letzten in die Jahre 1871 und 1875 fallenden Erscheinungen in den Kreis der Betrachtung ziehen. Die Fortführung der Stórungen, sowohl der planetarischen, wie der durch den Äther bewirkten, führt für diese beiden Jahre zu folgenden osculirenden | Elementen: System XVI. T= 2 = 1871 Juli 15,0 M. Berl. Zeit. M= 309° 59' 5,90 z= 158 13 23,32 AN — 334 34 19,37. tz de (20,70 o — 58 8 22,80 p = 1079,824622 Aequ. 1871,0 T + 8 — 1874 Oct. 27,0 M. Berl. Zeit. M= 309? 41' 14577 1-158 17 22,32 Q —334 36 53,97 i = 18 7 16,56 o — 58 8 48,35 u = 10795434257 Aequ. 1875,0 569 des Sciences de Saint - Pétersbourg. . Da das System XVI auf durchaus solider Basis ruht, sollte man eine gute Darstellung der Beobachtungen erwarten. Statt dessen bleiben für die betreffenden Normalórter folgende enorme Abweichungen der Rech- | nung von der Beobachtung übrig: M. Berl. Zeit. AR cos à à Deet - 1871 Oct. 14,5 + 4248 +5 40/5 Nov. 5,5 — 7 395 +9 29,3 Nov. 15,0. —17 45,9 +4 984 | Noy. 25,5: —23 57,6 —2 30,8 Dec. 5,0 —28 35,1 —5 48,0 1875 Febr.27,0 + 115,2 +0 48,9 Mirz 8,0 + 1443 +0 40,8 Márz26,0 + 2 40,0. —0 22,9 April. 8,0 — 3 42,9 —7 28,2 Da die Störungsrechnungen unabhängig von einander zweimal durchgeführt worden sind, steht es für mich fest, dass die Ursache dieser Fehler in einer Naturer- scheinung zu suchen ist. Um ihrer Ursache auf die Spur zu kommen, wurden die beiden Erscheinungen zuerst unter Anwendung der dem System XVI eigen- thümlichen Massen so wie der zugehörigen Constante des Widerstandes verbunden, eine Operation, aus der das System II hervorging: System II. (1871— 1875). T — 1871 Juli 15,0 M. Berl. Zeit. M=309° 57' 36,20 + 0,498 z — 158 13 23,76 + 4,191 Q=334 34 21,20 + 13,221 i= 13 7 26,68 + 1,941 p = 58 8 29,99 -t 2,044 y —1079,706427 Æ 0,001357 Aequ. 1871,0 T — 1874 Oct. 27,0 M. Berl. Zeit M—309 37' 23,25 e = 168 :.17 29,76 Q —334 36 55,80 asta DOF ANA p= 58 8 54,48 E w = 1079/316062 t3 Aequ. 1875,0 welches die 9 Normalórter, wie folgt, darstellt: Rechn. — Beob. M. Berl. Zeit. AR cos. A Decl. 1871 Oct. 14,5 — 7,0 — 270 Nov. 5,5-- 7,10 — 2,4 Nov. 15,0+1,9 + 3,7 Nov. 25,5 —3,3 - 3,9 Dec. 5,0—2,7 — 3,9 1875 Febr. 27,0 — 2,1 + 5,6 März 8,0—3,4 — 1,7 März 26,0— 5,2 — 0,5 April. 8,0 — 1,6 — 2,3 Die Summe der Fehlerquadrate ist 261,6. Die Unterschiede beider Systeme sind in den 4 Ele- menten T, $2, ?, @ höchst unbedeutend, desto eclatan- ter ist aber die Differenz in den beiden Elementen M und y, welche den Ort des Cometen in seiner Bahn bestimmen. Die Ursache der Abweichung zwischen Theorie und Beobachtung muss daher in einer Stö- rung gesucht werden, welehe die mittlere Bewegung des Cometen in dem zwischen 1868 Juni 14,0 und 1871 Juli 15,0 liegenden Zeitraume erfahren hat. Ihre ‚Grösse und die Zeit, wo sie Statt gefunden hat, lässt sich ohne Schwierigkeit bestimmen, wenn man ihr "Eintreten als momentan betrachtet. Sieht man die für die Epochen des Systems II gültigen Werthe von M als Resultate der Beobachtung an, so führt die Verglei- chung derselben mit den dem System XVI eigenthüm- lichen Werthen von M zu folgenden Gleichungen: åp. t= 8970 * Ap (t + 1200) = — 231,52 in welchen Ay. die Stórung ausdrückt, welche der Co- met zu einer um ? Tage von der Epoche 1871 Juli 15,0 rückwärts gerechneten Zeit erlitten hat. Man erhält : Ay. = — 071 1818 t = — 759 Tage oder der Zeitpunkt, wann die Störung Statt fand, ist: 1869 Juni 16. Bringt man die aus dieser Hypothese folgenden Cor- rectionen von M und p an die Elemente XVI an, so erhält man folgende Darstellung der Normalörter: Bulletin de l'Académie Impériale ` 572 571 AR cos ò. A Decl. .1871 Oct. 145 +248 + 27 Nov. 5 25,2 +28,6 Nov. 15,0. — 4,6 29,1 Nov. 25,5 —30,0 +12,1 Dec. 5,0 —33,6 — 6,0 1875 Febr. 27,0 + 5,1 + 7,0 März 8,0 + 40 — 0,5 März 260 + 2,2 + 0,4 Ap. 8,0 + 6,3 + 0,4 Der gefundene Zeitpunkt des Eintritts der Stórung giebt zu einer eigenthümlichen Vermuthung Anlass. Der Radius-Vector des Cometen war damals: log r = 0,5098, der Comet befand sich also in der Gegend, in der sich die kleinen Planeten bewegen. Ein Zusammenstoss mit | einem derselben liegt also nicht ausser der Möglich- keit. Zu einem solchen müsste es allerdings gewisser- massen gekommen sein, wenn man für die Masse die- ser Körper nicht einen Werth annehmen will, der ausser jeder Wahrscheinlichkeit liegt. Da die Unsi- cherheit des aus der Erscheinung 1875 gefolgerten M für den Zeitpunkt des Eintritts dieser Störung un- geführ einen Spielraum von 150 Tagen übrig lässt, so . würde sich diese Vermuthung erproben lassen, wenn man nachweisen könnte, dass Encke’s Comet zwi- schen April und September 1869 einem dieser klei- nen Himmelskörper wirklich bis wenigstens auf 0,01 nahe gekommen wäre. Ich habe mir diejenigen unter den kleinen Playeten, deren Bahnen bekannt sind, auf diese Vermuthung hin, freilich nur flüchtig, angese- hen, aber keine Combination gefunden, die ich einer sorgfältigen und daher zeitraubenden Untersuchung für werth gehalten hätte, obgleich bedeutende Annäherun- gen einiger dieser Kórper an den Encke'schen Come- ten zweifellos Statt gefunden haben. So náherte sich der Comet der Diana 1869 Mai 28,5 bis quí o = 0,071. Wollte man aber diesem Planeten so- gar die Masse m = ‘homww beilegen, so würde der- selbe in der Zeit 1869 April 5 bis 1869 Juli 25 in der mittleren Bewegung des Enckeschen Cometen doch nur eine Störung von Ap. — — 0500160 hervor- gebracht haben. Selbst dann aber, wenn genauere Nachforschungen unter den bekannten kleinen Pla- neten fruchtlos bleiben sollten, würde die Móglich- keit nicht ausgeschlossen sein, dass die Stórung auf einen noch unentdeckten Planeten zurückzuführen ist, besonders da der Comet zu der angegebenen Zeit sich in einer Entfernung von der Sonne befand, in der sich nur die entfernteren dieser Kórper bewegen. Wie man die Sache aber auch ansieht, so ist die eben bespro- chene Vermuthung, die ich durchaus nicht zum Range einer Hypothese erheben will, die einzige, welche, wie mir scheint, zu einer dem speculativen Bedürfniss des Astronomen in etwas entsprechenden Erklärung führt. | — AA BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. L'Académie a recu dans ses dernières séances les ouvrages dont voici les titres: Dervischjan, (P. Seraphin). Armeniaca I. Das altarme- nische «f£. Ein Beitrag zur indo-europäischen Laut- lehre. Wien 1877. 8. Nève, (Fél). Exposé des guerres de Tamerlan et de Schah- Rokh dans l'Asie occidentale. Bruxelles 1860. 8. Riccardi, (P.). Biblioteca matematica Italiana. Fascic. 4. (Vol. II). Modena 1876. 4. Boncompagni, (P.). Bulletino di. bibliografia e di storia delle scienze matematiche e fisiche. Tomo VIII: Indici. ` Tomo IX. Gennaro— Luglio 1876. Roma 1875— 76. 4. Archiv der Mathematik und Physik. Gegründet v. Grunert, fortgesetzt von R. Hoppe. Th. 59. Heft 2. 3. 4. Leipzig 1876. 8. Bulletin de la Société mathématique de France. Tome IV. Avril N:4. Mai N5. Paris 1876. 8. Marie, (Maximilien). Théorie des fonctions de variables imaginaires T. III. Histoire de cet ouvrage. Paris. 1876. 8. Gaussin L. Définition du calcul quotientiel d'Eugène Gou- nelle. Paris 1876. 4 ` Glaisher, (J. W. L.). On a class of identical relations in the theory of elliptic functions. (From the Philoso- phical Transact. of the Roy. Soc. of London 165. 2). London 1876. 4. | Harant, (A). Théorie des aubes courbes et de leurs effets. Paris 1876. 8 * Comité international des poids et mesures. Procès-verbaux ` des séances de 1875-1876. Paris 1876. 8. Vierteljahresschrift der astronomischen Gesellschaft. X Jahrg. Ar" Heft XI Jahrg. 2" und 3" Heft. Leipzig 1875 — 76. 8. Memoirs of the royal Astronomical Society. Vol. XLIL ` 1873—1875. London 1875. 4. ^ ~ w T Kack 1 CM Se Ut dan r EE E E dE | E F hi ) E 578 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 574 Monthly notices of the Royal Astronomical Society. Vol. XXXVI N: 1. 4—9. London 1875—76. 8. Wolf, Gad. Me Mittheilungen XXXIX. XL. Zürich 1 8. Su VEER und meteorologische Beobach- tungen an der k. k. Sternwarte zu Prag im Jahre 1875. 36 Jahrgang. Prag 1876. 4. Annalen der Sternwarte in Leiden, herausg. von Dr. H. G. Van de Sande Bakhuyzen. A" Bd. Haag 1875. 4. 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Beobachtungen auf dem - Steinheil’schen Fühlspiegel-Comparator. Berlin1876. 4. 5. Das Präcisions-Nivellement ausgeführt von dem geodä- tischen Institut B. I. Arbeiten in den Jahren 1867—75. Berlin 1876. 4. | Verhandlungen der vom 20 bis 29 September 1875 in Pa- ris vereinigten: permanenten Commission der euro- päischen Gradmessung, redigirt von den Schriftfüh- rern C. Bruhns. A. Hirsch. Berlin 1875. 4. Oudemans, J. A. C. Die Triangulation von Java. Erste Abtheilung. Batavia 1875. 4. e Bulletin de la Société des sciences de Nancy. Série IL Tome I. fasc. I. III. IV 6° année 1873. 8° année 1875. Nancy 1874—76. 8. Composition du conseil d'administration de la Societé des sciences de Naney pour l'année 1874. Proces-verbaux des séances 1874. Nancy 1875. 8. Société des sciences physiques et naturelles de Bordeaux, Extrait des procès-verbaux des séances. Bordeaux 1876. 8. Atti della Società Italiana di scienze naturali. Vol. XVII. — Vol. XVIII. Fasc. I. II. Milano 1876. 8. 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